La géographie sonore année II, travail en 2011-2012. Ecouter la ville pour mieux la comprendre: paysages sonores et cartographie au lycée à partir de téléphones mobiles
Comment utiliser des tablettes pour augmenter la perception des élèves et créer du lien au sein d'un exposition, espace d'échanges vec d'autres classes, d'autres niveaux
« Le discours et les choses. Matières technolangagières dans les environnements numériques », conférence au Colloque interdisciplinaire doctorant-e-s & jeunes chercheurs-ses Donnees hybrides et contextualisation des corpus. nouvelles approches, Universités SPC, 24 mai 2014
AREF 2016 : L'école de demain, le numérique, et les questions que se posent l...Marcel Lebrun
Communication présentée à l'AREF 2016 (Mons). A quelles questions cherchons-nous réponse à propos de l'articulation entre éducation et société ? L'école de demain, le numérique, et les questions que se posent les chercheurs à propos de leurs relations (AREF, Actualités de la Recherche en Education et Formation, 2016, MONS). Apports du numérique à l'école ou alors "école" dans une société numérique ? http://aref2016.sciencesconf.org/95580
La géographie sonore année II, travail en 2011-2012. Ecouter la ville pour mieux la comprendre: paysages sonores et cartographie au lycée à partir de téléphones mobiles
Comment utiliser des tablettes pour augmenter la perception des élèves et créer du lien au sein d'un exposition, espace d'échanges vec d'autres classes, d'autres niveaux
« Le discours et les choses. Matières technolangagières dans les environnements numériques », conférence au Colloque interdisciplinaire doctorant-e-s & jeunes chercheurs-ses Donnees hybrides et contextualisation des corpus. nouvelles approches, Universités SPC, 24 mai 2014
AREF 2016 : L'école de demain, le numérique, et les questions que se posent l...Marcel Lebrun
Communication présentée à l'AREF 2016 (Mons). A quelles questions cherchons-nous réponse à propos de l'articulation entre éducation et société ? L'école de demain, le numérique, et les questions que se posent les chercheurs à propos de leurs relations (AREF, Actualités de la Recherche en Education et Formation, 2016, MONS). Apports du numérique à l'école ou alors "école" dans une société numérique ? http://aref2016.sciencesconf.org/95580
De nombreux outils de diffusion de données territoriales existent. Chaque jour, de nouveaux indicateurs de plus en plus fins sont développés et mis à disposition du public comme des décideurs locaux. Ces données et indicateurs sont diffusés via différents portails internet dont l’appropriation par les acteurs est à ce jour difficilement quantifiée et qualifiée. Une étude conjointe entre le Commissariat Général à l’Égalité des Territoires (www.cget.gouv.fr) et le laboratoire CIMEOS – MSH de Dijon, de l’Univ. de Bourgogne Franche-Comté a été lancée en 2016 afin de construire une vision concertée de l’utilisation pratique par les territoires des connaissances produites nationalement, afin d’en comprendre l’impact, d’en évaluer la prégnance dans la construction des politiques publiques au niveau local comme national. Comment des démarches de diagnostic et d’observation s’inscrivent par exemple dans des dynamiques d’intelligence territoriale actées par les acteurs locaux ?
Dans un contexte de quartiers dits « prioritaires », amenés à se transformer au gré des innovations sociales, l’intérêt est ici de comprendre comment les acteurs se sont approprié des outils d’observation du territoire pour affiner leurs stratégies et améliorer la qualité de leurs actions.
Notre enquête, menée auprès d’élus, d’associatifs, de bureaux d’études, comme de producteurs et diffuseurs de données, permet d’éclairer de nouveaux modes de communication organisationnelle. Ce projet, revêtant la forme d’une recherche-action, s’intéresse dans un second volet à la production d’indicateurs par et pour les parties prenantes d’un territoire, à leur implication en amont de la réflexion et de la définition des besoins. Il questionne donc les acteurs sur l’organisation, la production et l’usage des informations territoriales. La méthodologie adoptée combine une enquête par entretiens semi-directifs, de l’analyse des contenus et des discours, et de la veille informationnelle territoriale.
L’analyse des entretiens porte sur la perception des acteurs territoriaux de l’utilisation des données socio-économiques, des indicateurs, et de leur transformation en actions concrètes. Les résultats qui en découlent serviront à la rationalisation des pratiques dans une démarche socio-pragmatique, tournée vers des réalisations s’inscrivant dans la transition socio-écologique.
Ptit prof - apprendre en jouant au maitre et à la maitresseGCAF
L'appli P'titProf sera présentée au cours de cet exposé. Celle-ci, destinée aux élèves de primaire, a été créée par SBT mais son développement bénéficie d'un ancrage entreprise-terrain-recherche grâce à la collaboration avec deux professeurs des écoles, la Réunion des Musées nationaux Grand Palais et Aix-Marseille Université dans le cadre d'Ampiric. L'enfant peut exercer ses compétences en grammaire, mathématique et lecture en endossant le rôle du professeur. L'usage de cette appli interroge les notions de tutorat, de jeu, ainsi que de l'emploi et de l'ergonomie de l'outil numérique.
Cartographie 2.0 : quand les amateurs se transforment en capteursACSG Section Montréal
La convergence des SIG avec les TIC (Internet, téléphonie mobile) et les systèmes de géolocalisation (GPS) a modifié à la fois l’accessibilité comme les usages des SIG en offrant la possibilité au grand public d’interagir de manière croissante avec les cartes et les données (cartes interactives, globes virtuels, GPS, services mobiles géolocalisés, etc.). Parallèlement, le Web 2.0 a donné naissance à une culture de la contribution qui se caractérise par la montée en puissance des amateurs. Aujourd’hui le grand public lit et écrit les cartes de manière croissantes à l’image d’applications comme Google Maps ou OpenStreetMap. Au-delà d’un artefact marketing, la cartographie 2.0 est en passe de transformer assez radicalement les approches de la cartographie et plus spécifiquement celles de cartographie participative. Si les méthodes sur lesquelles s’appuie cette nouvelle forme de cartographie sont moins rigoureuses que celles des professionnels (métadonnées, mécanisme de validation, sémiologie graphique…), elles correspondent néanmoins à de nouveaux usages auxquels il convient de s’intéresser. En effet, sur le Web 2.0, les initiatives de cartographie participatives (publiques comme privés) se multiplient dans divers domaines (services aux citoyens, environnement, transports, loisirs, sciences,…). Cette communication explore le concept de science citoyenne, terme utilisé pour décrire l’engagement des citoyens dans le processus de collecte de données scientifiques. Plus spécifiquement, elle s’attache à décrire le développement d’une science de l’information géographique citoyenne, basée sur les contributions localisées des individus. Afin de démontrer les potentialités de la cartographie 2.0 pour ce type d’initiatives, nous présenterons une série de d’initiatives récentes s’appuyant sur le concept de « citoyens capteurs » pour alimenter la connaissance collective (observations de la faune et de la flore, relevés de pollutions atmosphérique et sonore, aménagement participatif, gestion de crise, etc.). Puis nous discuterons des enjeux, des perspectives et de l’implication des amateurs dans des contextes professionnels (commerciaux ou scientifiques).
Le web social: quelques pistes de compréhensionWeb2Learn
Présentation au séminaire Le numérique pour l'enseignement et l'apprentissage des langues, Montpellier, 12 & 13 décembre 2013
Liens utiles pour cette présentation: http://bit.ly/Numlangues
Vidéo de toutes les présentations: http://bit.ly/1eVWK0m
http://www.canal-u.tv/producteurs/um3/seminaires/le_numerique_pour_l_enseignement_et_l_apprentissage_des_langues_pour_non_specialistes_2013
Conférence de lancement et de présentation de NumLab, Think Tank numérique des Pays de l'Adour.
- Genèse et mode d'emploi
- La ville intelligente
- Incitation à la création de projets
- Stimuler les idées, la recherche et la formation
Travail intellectuel, traces et réflexivitéYannick Prié
Présentation au Séminaire préparatoire ENMI - 30 juin / 2 juillet 2014 sur "La « vérité » du numérique. Recherche et enseignement supérieur du point de vue des digital studies"
De nombreux outils de diffusion de données territoriales existent. Chaque jour, de nouveaux indicateurs de plus en plus fins sont développés et mis à disposition du public comme des décideurs locaux. Ces données et indicateurs sont diffusés via différents portails internet dont l’appropriation par les acteurs est à ce jour difficilement quantifiée et qualifiée. Une étude conjointe entre le Commissariat Général à l’Égalité des Territoires (www.cget.gouv.fr) et le laboratoire CIMEOS – MSH de Dijon, de l’Univ. de Bourgogne Franche-Comté a été lancée en 2016 afin de construire une vision concertée de l’utilisation pratique par les territoires des connaissances produites nationalement, afin d’en comprendre l’impact, d’en évaluer la prégnance dans la construction des politiques publiques au niveau local comme national. Comment des démarches de diagnostic et d’observation s’inscrivent par exemple dans des dynamiques d’intelligence territoriale actées par les acteurs locaux ?
Dans un contexte de quartiers dits « prioritaires », amenés à se transformer au gré des innovations sociales, l’intérêt est ici de comprendre comment les acteurs se sont approprié des outils d’observation du territoire pour affiner leurs stratégies et améliorer la qualité de leurs actions.
Notre enquête, menée auprès d’élus, d’associatifs, de bureaux d’études, comme de producteurs et diffuseurs de données, permet d’éclairer de nouveaux modes de communication organisationnelle. Ce projet, revêtant la forme d’une recherche-action, s’intéresse dans un second volet à la production d’indicateurs par et pour les parties prenantes d’un territoire, à leur implication en amont de la réflexion et de la définition des besoins. Il questionne donc les acteurs sur l’organisation, la production et l’usage des informations territoriales. La méthodologie adoptée combine une enquête par entretiens semi-directifs, de l’analyse des contenus et des discours, et de la veille informationnelle territoriale.
L’analyse des entretiens porte sur la perception des acteurs territoriaux de l’utilisation des données socio-économiques, des indicateurs, et de leur transformation en actions concrètes. Les résultats qui en découlent serviront à la rationalisation des pratiques dans une démarche socio-pragmatique, tournée vers des réalisations s’inscrivant dans la transition socio-écologique.
Ptit prof - apprendre en jouant au maitre et à la maitresseGCAF
L'appli P'titProf sera présentée au cours de cet exposé. Celle-ci, destinée aux élèves de primaire, a été créée par SBT mais son développement bénéficie d'un ancrage entreprise-terrain-recherche grâce à la collaboration avec deux professeurs des écoles, la Réunion des Musées nationaux Grand Palais et Aix-Marseille Université dans le cadre d'Ampiric. L'enfant peut exercer ses compétences en grammaire, mathématique et lecture en endossant le rôle du professeur. L'usage de cette appli interroge les notions de tutorat, de jeu, ainsi que de l'emploi et de l'ergonomie de l'outil numérique.
Cartographie 2.0 : quand les amateurs se transforment en capteursACSG Section Montréal
La convergence des SIG avec les TIC (Internet, téléphonie mobile) et les systèmes de géolocalisation (GPS) a modifié à la fois l’accessibilité comme les usages des SIG en offrant la possibilité au grand public d’interagir de manière croissante avec les cartes et les données (cartes interactives, globes virtuels, GPS, services mobiles géolocalisés, etc.). Parallèlement, le Web 2.0 a donné naissance à une culture de la contribution qui se caractérise par la montée en puissance des amateurs. Aujourd’hui le grand public lit et écrit les cartes de manière croissantes à l’image d’applications comme Google Maps ou OpenStreetMap. Au-delà d’un artefact marketing, la cartographie 2.0 est en passe de transformer assez radicalement les approches de la cartographie et plus spécifiquement celles de cartographie participative. Si les méthodes sur lesquelles s’appuie cette nouvelle forme de cartographie sont moins rigoureuses que celles des professionnels (métadonnées, mécanisme de validation, sémiologie graphique…), elles correspondent néanmoins à de nouveaux usages auxquels il convient de s’intéresser. En effet, sur le Web 2.0, les initiatives de cartographie participatives (publiques comme privés) se multiplient dans divers domaines (services aux citoyens, environnement, transports, loisirs, sciences,…). Cette communication explore le concept de science citoyenne, terme utilisé pour décrire l’engagement des citoyens dans le processus de collecte de données scientifiques. Plus spécifiquement, elle s’attache à décrire le développement d’une science de l’information géographique citoyenne, basée sur les contributions localisées des individus. Afin de démontrer les potentialités de la cartographie 2.0 pour ce type d’initiatives, nous présenterons une série de d’initiatives récentes s’appuyant sur le concept de « citoyens capteurs » pour alimenter la connaissance collective (observations de la faune et de la flore, relevés de pollutions atmosphérique et sonore, aménagement participatif, gestion de crise, etc.). Puis nous discuterons des enjeux, des perspectives et de l’implication des amateurs dans des contextes professionnels (commerciaux ou scientifiques).
Le web social: quelques pistes de compréhensionWeb2Learn
Présentation au séminaire Le numérique pour l'enseignement et l'apprentissage des langues, Montpellier, 12 & 13 décembre 2013
Liens utiles pour cette présentation: http://bit.ly/Numlangues
Vidéo de toutes les présentations: http://bit.ly/1eVWK0m
http://www.canal-u.tv/producteurs/um3/seminaires/le_numerique_pour_l_enseignement_et_l_apprentissage_des_langues_pour_non_specialistes_2013
Conférence de lancement et de présentation de NumLab, Think Tank numérique des Pays de l'Adour.
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Travail intellectuel, traces et réflexivitéYannick Prié
Présentation au Séminaire préparatoire ENMI - 30 juin / 2 juillet 2014 sur "La « vérité » du numérique. Recherche et enseignement supérieur du point de vue des digital studies"
Mapping space through sounds and noises with digital GI Forum 2012Formaka
This document summarizes a study on using mobile devices and sound mapping in education. The study explored how sounds and noises can help students understand space, and the roles mobile devices can play in fieldwork activities. Researchers conducted an exploratory study in Limoges, France where students mapped sounds using GPS and recorded field notes. They found that sounds can act as a medium for understanding spaces and that mapping sounds provides an educational experience for students.
The document discusses using audio mapping projects to teach students about sound and noise from a didactic perspective. It describes setting up a simulation where students work in groups as an acoustic consulting company mapping noise and sounds in their city. The project involves fieldwork collecting audio data, making maps of the data, and doing spatial analyses to advise the local government. Evaluations found the simulation helped students understand data reliability and the personal epistemology of acoustic knowledge.
3. Référence: L’utilisation
des téléphones
portables en éducation
• Les outils mobiles
permettent la création de
véritables enquêtes de
terrain
• Ils favorisent la
démarche scientifique
de collectes puis
d’interprétations des
données. (Mike
Sharples)
4. Référence: modèle de
Sharples sur l’éducation
mobile
A Framework for analyzing
mobile learning (M. Sharples, J.
Taylor, G. Vavoula, 2007)
5. Référence: Les outils
mobiles comme vecteur
de la collaboration
citoyenne
• Notion de participation
citoyenne: the world of
volunteered geography
(Goodchild)
• Dans le domaine des
sons et des relevés
sonores:de nombreuses
applications: Noisetube,
Wildnoise, noisemeter…
15. • Quel outil avez vous le plus utilisé pour
vous repérer dans la ville ?
• Quel outil vous a le plus servi pour
enregistrer les sons ?
• D’après vous , quels sont les instruments
aux mesures les plus justes pour cette
sortie ?
• D’après vous, quels sont les outils les plus
pratiques pour réaliser cette sortie?
Questionnaire final sur
les utilisations des outils
16. Conclusion: Les outils
mobiles capteurs de
notre environnement
• Les outils mobiles prolongement de la main,
comme capteurs de notre environnement dans ce
cadre celui de l’environnement sonore
• Les outils mobiles comme un carnet de bord
expérimental mêlant analyse spatiale, annotations,
dessins, bilan...
• Postures différentes des élèves.: « human as
sensors » (Goolchild) => students as sensors ?
Les élèves capteurs et donc acteurs de la
perception et de l’analyse de leur environnement
17. Conclusion: Le modèle
de Sharples
Technological Mediating
Artefect : mobile devices
(smartphones, tablets)
Technological object: Collect
data on the noise
Changed Object: Collect
data for creating noise
maps
Technological Control
Access to the mobile devices, acess
to the Wifi networks
Technological Context
Smartphones Applications, digital
records from the phone mobile
Technological Communication:
SMS, Wifi
Technological Subject
Students