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ALLIANCE DES MAISONS D'ÉDUCATION CHRÉTIENNE

PLUTÀROUK

VIE DE CICÉRON

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ALLIANCE DES MAISONS D'ÉDUCATION CHRÉTIENNE

PLUTÀRQUE

VIE DE CICÉRON
ET

PAB LLÈLE DE DÉMOSTHÈNE ET DE CICÉRON
TEXTE GREC
AVEC INTRODUCTION ET NOTES-

Par l'abbé H.

PETITMANGIN

LICENCIÉ ES LETTRES

PARIS
LIBRAIRIE GH. POUSSIELGUE
RUE CASSETTE, 15

BIBLIOTHECA
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INTRODUCTION

Plutarque

Un Béotien d'intelligence ouverte plutôt que profonde,
d'imagination aimable, de mœurs pures, enthousiaste des
lettres et prédicateur des plus humbles vertus domestiques, bon père de famille, administrateur intègre et dévoué, tel fut Plutarque. Le peu que nous savons de certain sur lui est répandu çà et là dans ses œuvres et nous
suffit à le connaître, car il fut, pendant la plus grande partie
de sa vie, un de ces hommes heureux qui n'ont pas d'histoire. Né entre 4G et 48 après J.-C, à Chéronée, en Béotie,
dans une famille aisée et vertueuse, où d"aimables causeries lui inspirèrent de bonne heure le culte des lettres
et l'admiration des grands hommes, il ne la quitta que
pour compléter ses études à Athènes auprès du philosophe
Ammonios. Un séjour de peu de mois lui fit connaître
Alexandrie. Les quelques voyages qui l'amenèrent à Rome
paraissent avoir eu surtout pour cause la défense des intérêts de sa patrie, mais ils n'en eurent pas moins sur sa
destinée littéraire une influence décisive. Il se lia d'amitié dans cette ville avec les citoyens les plus distingués
bientôt même ses qualités aimables, son savoir et le succès des conférences qu'il donnait en grec attirèrent sur
lui d'abord l'attention, puis les bienfaits des empereurs. Il
est faux toutefois qu'il ait été précepteur de Trajan comme
on l'a cru au moyen-àge sur la foi d'une lettre apocryphe
De institutione principis ad Trajanum.
Ce séjour à Rome ne suffit point à lui donner une
connaissance approfondie du latin. Il n'apprit jamais cette
langue de manière à pouvoir s'en servir couramment, ce
qu'un ambitieux n'eût pas manqué de faire. Mais les fa;

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INTRODUCTION.

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ron appartient à l'histoire politique comme à l'histoire litil n'est permis d'ignorer ni son civisme, ni son
éloquence.
11 ne faut pourtant pas espérer pouvoir se former d'après la Vie écrite par Plutarque une idée complète ou
même tout à fait juste de cette double gloire. L'orateur
est à peine apprécié. On a pu trouver qu'en s'abstenant
de juger l'éloquence de son héros et d'étnblir un parallèle détaillé entre Démosthène et lui à l'égard du talent
oratoire, Plutarque faisait preuve de bon goût et d'une
discrétion convenable à un étranger. Il ne faut pas oublier
toutefois que des écrivains romains, Cicéron lui-même,
par exemple, et Quintilien, pour ne citer que les plus
connus, ont souvent apprécié les mérites littéraires des
Grecs, les ont même comparés à ceux de leurs compatriotes, et cela avec assez d'indépendance, de clairvoyance
et de justesse pour que nous jugions à propos maintenant
encore de nous en tenir en général à leurs conclusions.
Un fait incontestable c'est que les Grecs de l'époque grécoromaine ont trop dédaigné la littérature latine. Que ce
soit par point d'honneur national ou indifférence, ou parce
que la littérature grecque, plus originale et plus riche,
leur suffisait, peu importe, ils n'en ont pas moins laissé
aux Romains l'honneur de créer la véritable critique littéraire,
j'entends celle qui prend pour base la critique
historique, celle qu'on trouve déjà dans le Bnitus de Cicéron ou le Dialogusde Oratoribua de Tacite,
laquelle
ne pouvait prendre son essor que chez un peuple en état
de connaître, d'apprécier et de comparer au moins deux
littératures. Plutarque en particulier, qui n'apprit le latin
qu'assez tard et de telle manière que dans ses lectures
« les faits déjà connus
lui apprenaient plutôt les mots
que les mots ne lui apprenaient les faits », ne l'a jamais
assez su pour éviter certaines bévues qu'ont signalées
ceux qui ont étudié de près les sources des Vies. On ne
sait s'il a raison de se moquer du rhéteur grec Cécilius
qui essaya de comparer l'éloquence de Démosthène à celle
de Cicéron, mais on est porté à croire qu'il fit preuve de
prudence en s'en abstenant lui-même.
Si l'on ne trouve pas dans la Vie de Cicéron ce qu'on
téraire et

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INTRODUCTION.

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le fait vivre, parce que, comme Ta dit J.-J. Rousseau,
Plutarque excelle par les mêmes détails dans lesquels
nous n'osons plus entrer. Il a une grâce inimitable à
peindre les grands hommes dans les petites choses et il
est si heureux dans le choix de ses traits, que souvent un
mot, un sourire, un geste, lui suffit pour caractériser son
héros. » Et Rousseau ajoute avec raison, après Plutarque
« La physionomie ne se
montre pas dans les
d'ailleurs
grands traits, ni le caractère dans les grandes actions
c'est dans les bagatelles que le naturel se découvre. Les
choses publiques sont ou trop communes ou trop apprêIl

«

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et c'est presque uniquement à
moderne permet à nos auteurs de

tées

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celles-ci

que

la dignité

Plutarque
n'hésite pas à

s'arrêter.

»

nous fait aimer aussi son héros, car, s'il
nous découvrir les petites faiblesses de Cicéron, sa vanité
surtout, il ne manque pas de faire ressortir son désintéressement, son amour de la patrie et la droiture de ses
intentions.

ne mérite donc pas qu'on l'accuse d'avoir sacrifié
Cicéron à Démosthène par préjugé national. C'est ce que
prouverait surabondamment l'impartialité dont il fait
preuve dans la comparaison qu'il établit selon sa méthode
ordinaire entre les deux orateurs. Nous avons dit qu'il
laissait presque entièrement de côté la partie la plus intéressante, le parallèle de leur éloquence, mais, cette
réserve faite, on ne voit pas que Plutarque viole sciemment les lois de la vérité. En somme, les erreurs qu'il a
commises et dont quelques-unes seront relevées dans le
commentaire sont de nature à nous faire mettre en doute
la sûreté de sa critique beaucoup plus que sa bonne foi ou
Il

son impartialité.

Le texte de cette édition est celui qu'a adopté M. Graux
dans son édition de la Vie de Cicéron (Hachette) en s'appuyant principalement sur le manuscrit de la Bibliothèque
Nationale de Madrid. Il ne diffère que dans les passages
suivants chap. xii. osa au lieu de ojtj chap. xxvi. ofôouvxa
au lieu de ofô&vta; chap. xlvii,ô<jts, maintenu au lieu de
8ç ys; chap. XLVin, neptsOst au lieu de jcept£6ee.
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Chap.

XV.

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1

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TABLE DES CHAPITRES.

9
Pages.

— Lentulus, chef des conjurés restés

Chap. XVII.

—

à

Home.
44

Ses espérances

— Preuves accablantes contre Lentulus.
— Lectures des lettres saisies. — Arrestation
XIX.
conjurés. — Embarras de Cicéron
XX. — Prodige qui décide Cicéron à la sévérité.

Chap. XVIII.

Chap.

des
Chap.

.

—

Le sénat délibère sur le sort des coupables
ConSuite de la délibération du sénat.
damnation des conjurés
Exécution des principaux conjurés.
Chap. XXII.
Échec complet de la conjuration
Les ennemis de Cicéron essaient do souChaPj XXIII.
lever l'opinion contre lui.
Il
est nommé « père de
Chap. XXI.

18

50

—

—

—

—

—

la patrie

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52

5

1

—

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Chap. XXIV. — Autorité de Cicéron. — Sa vanité qui n'exclut pas la droiture

Chap.
Chap.

Chap.
Chap.

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du caractère

XXV. — Bons mots de Cicéron
XXVI. — Bons mots de Cicéron (suite)
XXVII. — Bons mots de Cicéron
XXVIII. — Clodius et Cicéron. — Clodius

60
»>-2

65

(fin)

chez César à l'occasion

—

Déesse.

Il

des

mystères de

la

pénètre

Bonne
66

est accusé

— Procès de Clodius. — Cicéron dépose
— Clodius est absous
contre
Chap. XXX. — Clodius cherche à faire bannir Cicéron.
Chap. XXXI. — Cicéron s'éloigne de Rome
Chap. XXXII. — Cicéron dans
Chap. XXXIII. — Clodius se rend odieux à Borne par ses
violences. — On décide
retour de Cicéron. — HonChap.

XXIX.
lui.

l'exil

67

60
71
7:1

le

neurs rendus à
Chap.

XXXIY.

Chap.

XXXV.

75

l'exilé

—

Cicéron cherche à faire annuler les
actes publics accomplis sous l'influence de Clodius.
Mécontentement de Caton

—

—

Milon, ayant tué Clodius, est accusé.

—

défend avec timidité et sans succès
Douceur de son
Cicéron en Cilicie.
gouvernement.
Au retour il s'arrête à Athènes
Chap. XXXVII.
Cicéron essaie d'étouffer la guerre ciCicéron

Chap.

le

XXXVI.

78

—

—

—
—

vile prête à éclater.

77

—

80
s~

Son indécision
1.
10

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Parallèle de Dèmosthène et de Cicèron.

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III.— Leur influence politique.

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V.

— Les derniers

113

114
—

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CHAPITRE
La

famille de Cicéron.

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pour Silvia et p. 41, note 2.
xat, répond souvent au
latin cum... tum, d'une part,., de
l'autre. Il indique ici que xa),ôi;
modifie les deux infinitifs, ce que
le sens rend d'ailleurs évident.
-iXêioc

— Kai...

Cf. p. 22, note 4 et p. 94, n. 1.

~Hv. Le verbe
de

etvoci

êÇetvat,

a par-

comme

est

en latin après l'époque classique
(Tacite, Germanie v). Plutarque
n'emploie pas ici le présent probablement parce qu'il parle des

oè

7C6pl

,

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j/iv

Tpacpvjvat, tov

paffiXeuffavTa

transcription du latin Helvia. Cf.

2.

^ixptov.
>cal

'EàSmcv

XÉvouGtv

ToG^aov "Attiov

1. àé sert ici de transition. Il
suppose que l'on vient d'achever
la lecture de la vie de Démosthène et que l'on passe immédiatement à celle de Cicéron, qui fait
pendant à la précédente.
'Elêia:

fois le sens

de son nom.

fkêitoxivai

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— Origine
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recherches de ses prédécesseurs
sur la vie de Cicéron plutôt que
des siennes propres.
Mérpiov,
modéré, qui ne soit exagéré ni dans
un sens ni dans l'autre.

—

TouXXoç "Axttoç

: transTullus Attius. C'est
auprès de ce roi des Volsques que
Coriolan banni alla chercher un
asile. Plutarque l'appelle dans la
vie de Coriolan (ch. xxn) Tu).).o;
'A(ju>£8ioç. Cicéron, qui ne songeait d'ailleurs pas à cette descendance, se souciait assez peu
de la noblesse de ses ancêtres et

3.

cription

de

l'épithète de homo novus n'était
pas pour lui déplaire.
'Avàyetv,
faire remonter (àvà). Cf. oi àvw
toO yévou;, les ancêtres. PLATON j

—

Lois, 878, A.
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1 Le premier C.cvron a
donc eu
irtagé
un sillot.

comme au

cb.

iv.

en latin attingtre, oapemere rrm•im, ou a<f rempti&licam acre:

j

:

•

en remarquant
seni d'un
239, rem. II).

emb
d'un
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passé

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/'fJTorcera d*

présente-t-on parf-

ne devait en tous cas appartenir

beaucoup
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II

—

Naissance et enfance de Cicéron.
Ses premières études.
Cicéron poète.

Te^6vivai 8k KixÉpcdva ^eyouaiv, àvtoo'jvco; xai x:ro-

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3

toO

au

latin le terme de nouvelles calendes (celles de janvier), Plutar-

que compte les jours à la grecque
le troisième jour à partir du
:

1 er janvier, le

3 janvier ((!47 de
av. J.-C). Les Latins
au contraire, comptaient les jours
qui restaient pour atteindre le
terme suivant, calendes, ides ou
nones. Ce jour serait donc en latin ante diem III Nonas Januarias. Les Grecs comptaient aussi
les jours à rebours dans la 3 e décade du mois.
'HvejAtôv. Cf.

Rome, 106

—

iraci

ôvapaTa

p.avOavsiv

xat

Pcox.xl

pwcv-

yevopt.gvoç

lpoei7iEÏv w; ÈXTpeçovaY), sorte
d'attraction pour cbç xps'cpei. On
peut en rapprocher la construction
Mr) Tz-ifeaft' w: Sixaiôv ti
Xsyovxt. Cf. Gr.gr., 311, rem. IL
I

:

"AXXwç

adverbe qui joue
auprès de oveipaxa. L'emploi de l'article rend
les tournures de ce genre très
3.

:

le rôle d'adjectif

fréquentes et très claires (p. 24,
3), mais ici â),).io; ovcipaxa
étant indéterminé et attribut ne
peut pour ces deux raisons recede vains
voir l'article. TracL

note

:

songes.

—

'AXviOtvyjV est attribut.
toO u.av6àveiv. Platon
en employant l'infinitif de détermination dit èx £tv f )'-Y-'-'*v taioevetOxi {Lâchés, 187).
4.

'Ev

r,).txia

'

—

twv

OXG[/.X 0OîC6t

TxyÉco; xutÔç à7céoetçe

xaXavSûiv. Tout en empruntant

2.

TpiT/i

Y)(/.spa

aXXcoç

&è,

y;>.txia

page 12, note G.
revéoOat, s' être présenté.

(>£

oo£*Xo;

Tauxa

oo>couvra,

àV/iôtvYjv

wç

prêteur; uTraxo;, consul; cf. plus
bas 7)ye[juôv. l'empereur.
1. 'Hy.£pqç xptXYj t&v vétov

-ch. I,

pivÎTpdç,

vOv ol apvovreç

2

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en tctramètres
i.imbiques. Cette forme de vers
et est asseï singumime.
K
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3.

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II.
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CHAPITRE

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,

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*

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CHAPITRE
Continuation des études de Cicéron.
ciua d'Amérie, accusé de parricide.
en Grèce.

tûv

'AxaAAocysi; Sï

ev

xavTa-aaiv

,

III

— Son plaidoyer pour Ros— Causes de son voyage
£taTpiêâ>v

Traçât,

4>lAù)Vo;
7

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S'JÀÀZ
GTZT'.V,

£X,

àv^pXT t

:

—

—

'AxoOetv

et

surtout

chap. iv, page 17, note

ôia-

4.

'Axaôvj^aç.

—

Cf.

Philon
note 6, sqq.
appartenait à la nouvelle Académie dont Clitomaque avait été le
chef après Carnéade.
4.

17,

.

1ïp<i)T6'JOU<7l
VG[/.0>V

CO<p£-

(/.eTsa^ev

EIO

1

Û7ro

opcov £LÇ

même

TZ

Ego autem juris civilis
multum operae dabam il.
Scxvolx Q. F. (Brutus, § 30G).
Pour tout ce qui regarde la jeunesse de Cicéron on peut voir ce
:

studio

qu'il

en dit dans

le

Brutus, 306-

312.

xoûstv signifient spécialement suivre les leçons d'un philosophe. Cf.

page

770A£|/.OV

6

£è toîç

;

est attribut.

*EÇ

A(/.a

TY)Ç <7TZ<7£to; £1? OCXpOCTOV £a-'/TCTOVTa

—

3.

f/

TtOV

sTpaxeiaç

'P(0{/.atot

Ao'yov ÈOau-

tov

£^7T£!,pia,V

xal

IïoXXâiv, entendez uotrj1.
Evu-êaiveiv, au sens imtûv.
personnel de arriver se construit
avec l'infinitif seul ou quelquefois
précédé de ô'xtts.
"Eppeiv,
ecanescere.
'Ax),sr xal àxtjxov
2.

uufcAKTTa

r)tà

KO»

TOV MapfftîtÔV

C)£

,

y.ai

TCOAlTiy.Ol'ç

CtÇ

Tiva ypo'vov

7ï£pl

cv

tov Tpo'xov ryàu^cav.

G'JVWV,

pO'JÀ'/iç

à£ïto* xat

4

3

MoOxtoç, Quint us Mucius

Scœvola augur. Cicéron dit lui-

5. BouXvj, à l'époque classique, c'est le sénat ou conseil des
Cinq cents à Athènes ; à l'époque
romaine, c'est le sénat romain
appelé aussi <7Ûyx)v7)Toç ou même
yepouffia comme le sénat de Sparte.
6.

Tôv Mapotxov

la guerre des

«ôXejJtov,

Marses ou guerre

sociale. Cicéron avait dix-huit

et était tiro.

ans
ir.

-

i

t

i

i-i
1

-

i.

i

M
VII

fit

Ml

j.r

inscrire

ton nom api
de prœcn

-s liâtes

semé:
'•

EU

que se* biens fusent r
•,-res comme cens

..

OÔJv.

-/'
t/ o>

>

- -

r

m

.

i

lins

t

•

discours pour

II.

- ji

à M)

pour
pour

noms en

uigers ont

r

n



-

«on

millibuê ai

•

ichmes

somme

.

ce qui fait
quatre fois moindre,
transcri



Mf,'.'

CM

«•

de Roteiu*.
I

_

•

la

somme

quee par Plutarque s'accorde arec
n

rem.
ordinaire
qu'on exprime nn simple
.

(ô;

M

le

•

avec

''a

Bot

qu* tHHt §ezn
ce*, env

:

Bona...

0.000 de
0.000 fr.
CHAPITRE
1

[X.SV7JV

ô'vtwç

'EXXaSa,

àtacrceipaç

ai»TÔ

<7W{/.aTQç
t/)v

cTTO^dcy ou

0£pa7retaç

Seot/ivou.

irpocçepotAevoç*

axXvipà oà
tyjtoc

yÀiG^pa

xal
81

r,

âà

à;

Kai yàp

*/iv

xal

tou
3

wpaç

ttî;

fiiv

xal ax>.acToç, U7C0 Se toO

xal ttxÔoç ï/ovto;

Ao'yov,

o^è

[/.oyiç

xoW/i

<p<i)V7)

àwe-

àppusTia

acxpxoç,

xal

içyybç

eçtv
u.ixpà

xai xoc*

tov S'jààocv,

$è

tï|V

etç

Svf[jL7icev

Guvviyopiav

tvjv

Sê^ioj;

lÔaujAcico-Ov

2

toù

oùv

Àvocdei;a{/.€voç

.

TOpôwcaç

17

IV.

àyaÔvi,

Aoyou scpoSpô-

Sià tg>v avw

eAau-

To'vtoV

tou ccou-axo;.

vo[X£vyj, <po'£ov ::apciy£V inrèp

CHAPITRE IV

—

Cicéron disciple des philosophes grecs.
Il fréquente les rhéteurs
Sa déclamation en grec en présence d'Apollonius Molon.

asiatiques.

—

'AçucopLevo;

xa"XwviTOD

OHixouae

toG xal i/ap .Ti
vsaç

OUX

AeyofAêV/îç

ASr.vxç,

4
,

tyî

£77aiVOJV.

6

S'

'HSv]

'At-

tou

tôv Xdycov aù-

sùpouj

a

Axaov]u.eiaç

:

fit pas sitôt
Cicéron plaida
encore plusieurs fois avant de
partir. Cf. Brutus, XC
Deinceps
inde multae (causaè) quae nos di;

:

ligente)- elaboratas et

'Avtio^ou

iv

VOCp

toi;

5

$oyf/.affiv

E^lGTaTO

T7,;

,

1. *ûç àv Yevojj.évyjv
accus,
absolu. Cf. Gr.gr., § 311, 323.
2. 'AîteS^jAirioev. Ce voyage

ne se

btèv

xy)Aou[jt.evoç,

f

£V£COT£pl*(£V

à;

S'

tanquam

elu-

'AvTtovoç

ô

che. Cf.

ments.

Ta

—

T7 v

xal

4

Tcpo<7ï£po[X£va, les ali-

Tout ce passage

est à

comparer avec les chapitres XC
et xci du Brutus.
cf.
page 15,
4. Atrjxouoe
Antiochus d'Ascalon,
note 2.
:

—

en Syrie, est appelé par
2)olitissimus et acutissimus

Cicéron

omnium

cubratas adferebamus.
"O^è ttjç u>pa;. Le géni3.

nostrx mémorise philosophorum.

souvent à déterminer le
sens précis des adverbes de lieu
et de temps. Cf. ttoù tîjç yf^. Il

souvent des doctrines philosophiques. Cf. Mor. 14, E. Ta Tcspi tôt/
^v/Cùv Soyu-aTa; 3»>, A xà ll/à-

a

T(ovo: èv FopYi'a y.ai Iïo)>tT£i'a 86yu.aTa.

tif

sert

alors le sens partitif (Gr. gr.,
ripo<x:psp6u.svoç,
§ 164, rem. 2).
mangeant, litt. -.portant à sa bou-

—

5.

AoYjJia

(de

3oxô>)

se

dit

:

6.

Xéaç

Xe70jj.évyiç.

Cf.

Gr.
-

:
I

>

-

Je

1

I

-

.

1

Platoi

pies;
tr

au sujet non

•mIsjmi

-

rerbe» ctfu oo
tous ceux qui

j-.-u:

.

* naanceOO fie drmir,
C PTWf

1.

on

r.:

<-..n:rne

M

I

I

•

en grec à
•

.

in.

qui
'.

'.t

Ml

r^rOéC!

semble anticiper sur
le sens dn rerbe. renferme généralement une
I>arce qu'il

-

nion.

—

I

i

n de ne pas chan-

•mme on
I

;::

-

river."

il

-ri

-.u-g;

mtnt.

an passif.

an sens neutre

:

:

-

VIII.
CHAPITRE

vov

(

toÙ;

'OÔev

'AcrtxvaW

Mo^wvoç
tov

'Atcoaàcjmov

Xejctov,
Tf/Ty.f

osyjSYivai

tov

S

out'

?çxu<JX|iivou
[As'vOD

03

Kixipcov,
OlXTElpb)

[iiv

TO'j

'J7rSA£L7U£TO,

X.xl

EÙO'JÇ

2.

£7tiêa)>etv, cf. p. 40,

métaphore

ôp*yavov.

O'JTCOÇ

S'
/.xl

oixjaiX-

1

'Atcoa-

tov

S

/jvxt
SixyuQr

ElTTEtV

/.ai

SE

C(

|/.6V,

Stà

(0

'EXaxSoç

Se

tyjç

,

'P(0[AX''oif

TO'J

"fl[/.lV

TTpOCyt-

Xoyov. »

:

"ilaîtsp

STSl

ÔpÔV, X U.QVX TOJV XXyÔV

Totç xotvotç èntSaXstv
1.
«pàYjxaotv cf. page 12, note 4.

— Sur

outwç

sicotivotç,

Ôxupix^co

TXUTX

vojjlevx, ttxiSeixv /.xl

oix[/.£A£-

KxSsÇeaôai xoaùv ypo'vov, xy6o-

hxi

T'J7/7]V,

Se

oîqjjlevov

ÊV.TUE'JUAYÏyÔxi

xutou

Kwtc'ptoVOÇ

e7uaivû
TY)V

xaXouç

x/.poto [AEVOV

T'jvvouv

AeyeTat

'Pcoj/.xï/.r.v

TrpoOopuuc,

xaÀ7jÀouç toiç

Aa<76xi TTpoç

/.xl

uuvs-

'EXV/ivwîtI

SlUXVOpôtoCtV

TVJV

pisv

'AiuoàXgmg) tô)

ttjv

KuEpwvoç

tou

Kapt

toj

[Ae^

GuvtevTa

où

tcov

xoçî

.

nocs'.^coviw.

î/rcxy.o0<7ai

toÙ;

£U.£*X£TYi(T£,

Xtovtov

Se

pr-oox;.

'Aop<mi>TTY)V<5>

pvÎTop'.

1

(3êATIOVX

ECTEtOxI

Sireu98

3

<ptXoco<p(o

',

àvgjttvsi

/.al

[/.etigiv

Mevittttco

>cxl

Po^cp

&s

cr^oXa<76V, dv

/oyov

tw

laevoj&et

MxyvyjT'.

ô'pya-

ôditep

XUTOV T£ TXLÇ [JLeXeTXIÇ OIX-

To^ov

jtal

pTiTopcov

tw

Aiovucrtcp

xufkç

,

£7waivouptivGuç

'Asiav

£iç

to?ç

Tcapaîte'Xeuou.svou

pvjTopiîcov

àuV3C|/.lV,

xxl

7ïovwv

7upay[/.xo"iv

tov

iÇyipTUETo

T7)V 7TO^lTty.r V

'Avrtoyou
f

èTctëaXetv

xoivoîç
2

8'

TzoXkx

Sso[/.6v<ov,

19

IV.

note 5.
Cette

est plusieurs fois

em-

ployée par Plutarque. Cf. Vie de
Péricl. VIII.
3. Cicéron
préférait à l'éloquence asiatique, ampoulée et trop
brillante, l'éloquence rhodienne.
qui se rapprochait beaucoup plus
de la simplicité attique. Il se vit

cependant reprocher par

les

néo-

attiques, partisans de Calvus,
d'être tombé dans les défauts des
rhéteurs d'Asie.
4. Les Latins l'appellent Apollonius Molo, faisant un surnom
du nom de son père. Aussi quelques éditions portent tû 'MôXuru.

Oxixe...
5.
(Eurip., Iphig.
lieu

de

o'Zii...

ttott

est

poétique

m

Tour., 591) au
iz (Gr. gr., % 327).

— Aia/uô^vai,

cf. p. 77,

note

4.
.

B

I



«

1

I

I

I

BAPITRE



•

Il

révisât à

Ro«m.

la eeast;

K-<

et

I

I

I

I

.

I

oxvr
-

T

y

.

I

"
I

r'/'i:

.

'

77
.

F

'

'

'

«

•

"

70^7
de passif

de

usatif

<

doit t'expliqua
dre xatî
..

'

o:;s-enten-

Ou

'>

:

le

modo
.

:.

même
mod

verbe ixo-o».

•

npioi très fre

interro_-

non pluiccompaçné d'un attribut se
rapportant au sujet, forme un hellénisme qui peut se traduire en
français par s'entendre nomr
:elk façon

thie

ollon

-

de rendre lea oracle?.

loi. /
d'un Romain.
•

ov.

la

>

un terme de

e*t

traduit gra


.

On

I

-

«ait

à

-aire,

=

celle-ci

|

que ev àxovto

.

tournure correspondante
dicor) est
{amdio
populaire on poétique.
.1

.ns

;

c-à-d

nommé. Dons le
on trouve aussi bene, mnie a

I

débit.

t

—

n, le

<

T

-
CHAPITRE V.
touto

TÔV
iv

AtTWTUOV

S'

tôv

6sy.Tpw

Àeu6|/.evov

s'£a>

tgj

TCO

r

T7]v

H

os

TO

vardéçau

àcpvco

y.pxuyyiv

7uept

tx

IwidxoiTCTtov

T/-tor/.aocTx

o°

ttal xooco7]0£ta<;

Daùêave

:

et

du second
:

(Z>e

Vidi

in

JEsopo tantum ardorem vultuum

motuum ut eum vis quxdam
abstraxisse a sensu mentis videretur.
npoas'/Etv. L'infinitif appelé présent correspond aussi bien
à l'imparfait.
atque

—

©uéatov». La légende d'Atrée et de Thyeste a souvent tenté
les auteurs de
tragédies dans
l'antiquité et dans les temps mo1.

Attius avait composé
Atrêe qui fut souvent joué Sénèque a laissé Thyeste. Ce fut la
dernes.

;

•

Où

oY

poàv

3

xffôsvsiav
-oio^àv.

irocioiav

TOCtfTTJV

SOOKSt

yAacp'JCOV

x.xl

ttoààouç

*

6AU7rei.

So'^av.

—

XXXVI)

irxoo.-

ïxttov

écp

/tocTaxopco;

d'une part... de Vautre.
Cicéron
parle souvent de ces deux célèbres acteurs, Roscius et ^Esopus
qu'il appréciait beaucoup. Il dit
du premier (Pro Archia, VIII)
Propter excellentem artem ac venustatem videbatur omnino mori

non debuisse;
divinat. I,

1

tyjv

x.xl

[/.6V

aÙTvî

[/.EyOCÀO,

Ift.eye

vcAoùç

to(7iT£p

pou-

TOU U1TO)Cp(V6G0at.

K«.l TOUÇ y£ TCO

OIKOCVUCOV

ypcopLEvoç

£/.

'

S '.à to ttzQoç

àveAsTv

y.xl

TC£l6£LV Cririftp^fiV

pvjTopxç

£ÙTpot7T£Xt7.

eIvou,

twv ùir/ipeTàiv rtvoç
twv éacuToO ^oyiipLûv

Kl/.spCDVL.

v^pcofjLsvouç
£7ul

toG Gusctou

tyjç Ti[/.iopiy.ç

oxifmrp^i

£7U[ae'Xojç;

L)7wOX.ptv6^£VQV

tOTOpoDfftV

'ATpsoc,

'/.IXpà Sv) 7TpO<;
pOTÇTJ

Tpoycpoco izpoGiyjw

TOUTOV

irept

N

o paj/.6vTo;,

ovtx,

tw

AiatùTziù

S'

21

tragédie

d'Atrce

Thyeste qui

et

commença chez nous

la réputa-

tion de Crébillon.
2.

'AveXetv, de àvaipsïv,

3.

MeY<xXa ou Méya poâv,

tuer..

crier fort. Sur cet accusatif dequalification cf. Gr. gr. f § 161.

rXacpupoç (de

a
creux;
c'est chez Homère l'épithète de
nature des grottes et des vais4.

vXà:pco)

originairement

signifié

seaux fouillé
;

}

c.'à,-d.

travailléfine-

ment, de là le sens de fin, élégant,
spirituel. Cf. en français les sens

du mot

—

Cicéron recomses ouvrages
de rhétorique l'emploi de ce sel
qu'il croyait être une des qualités originales de l'éloquence romaine. Cf. spécialement le II e lipoli.

mande souvent dans

vre

du de

Oratore. Cf. p. 03, n.

1..
.

i

II

>ri

nn:i
an

Clcila.

r

-

'

'
I

<i

I

v

i

K
-

l

.

R
I

-

"

.

K
"

1.1'.—

habi-

•

'



>

.v.;«-i



r

leî

-

re.

:

:
:

ce rerbe
àr.::

•ï

gouverne

Am pkfMH
103. 3

-

I

II,

4.1

fi

<

-i.-'/j

/ujv

:

page

,/ft)

>q.

Plan'

de no1.

—
-

lui

causa une grande

déc*.

;

II.

in *h-

itrstcs

II-

on emplo:

époque classique
CHAPITRE
X£0(i)V,

TOUTOV

VOOVOV

TGV

£^aOuu.^cry.t TravTàiuocciv,

àyavèç

T7,V 7c6ÀtV

^l^OUÇ,

èa'JTtp

U.OV
2

COÇ

à6oi<7TQV

TZQOÇ

ïyeiv

£{/.7TaÔ£G"T£pov

TY)V

^£0vtw;

à'yp

7raviroç

r

.

3

AoyiT-

f^c',

^JO£AaV,

àjAl"XA(0[A£VOÇ

OoÇflCV

Où

frÉAayoç

Aoyoç oùoèv

cptAOTtjAtaç

ttjç

7JJTOV

O'JV

etç

UffTÉpOV

eyouffxv.

où

'

auToiï

7T£pl

7rpayU!.X

hrxivou^fivov

Yjx(petv

6

7TOÀ'J

xal wéoaç £<pi/Tov oùx

<Ûv

ye xaôixirep

77£7T017|X£V

e7U'$7)AOV

&6£a.V

6VÇ

£Ï

SULTwfiTttV

T6t£

»

1

23

VII.

[ay]v

aAAx to y£

xal

Tirpôç

aùxto

oo'çxv

xai

içapsptetve

7UOAÀXXIÇ TtoV OpOwV 6Ç8Tapa^6 AQyiff(ACOV.

CHAPITRE

VII

Cicéron se prépare à jouer un rôle politique.
Procès de Verres.

k

Â7UT6(Jl£VOÇ

«rypov

ypa>u.Évou;

y^wpav

ZTtÇ

tcj;

TQyetTO

dxsusfft
jjLviSè

Sï

XOAlTSLXÇ 7UpoÔu[A0T6pOV,

pavauaouç^

j/iv

à<luyoiç,

Suva|/.iv

vj

:

:

:

àu.i)-Xcou.£voç

(tcgôç) tyjv ooijav a>ç

àôpiaTov x. t. a. Voyez
Extraits suivis, Coriol. XXXIV,
page 77, note 3 Démost. VI.
2. 'ûç, dcms ta pensée que.
7tpoç

;

Où ôeôv-ctoçdoit être rat3.
taché à ^aipciv.
'E[X7ia8é(TT£pov
ej^eiv,

être

gr., § 93,

—
rem. —

trop sensible,
"A/.p'.

cf. GV.
uavro;,

jusqu<c la jin, toujours.
4. 'A^TÔjJievoi;
cf. page 12,
:

note
et

àyvostv

tov &è

4.

en

7.1-

ogyàvoiç

[/.tiosvoç

aùrcov,

toùtov, acc. de durée (Gr. gr., §
175).
Tàp
§ 346.
è[A7isaà)v (eî;)
1. Construisez
rijv 7ro>.tv xa6a7T£p etç TtéXayoç x.
t. a. Cette ellipse de la préposition est ordinaire dans les cas de
ce genre. Cf. un peu plus loin

—

Son désintéressement.

xal

ovopia

-oAm/ov, w

— ripo6uu.OT£pov. En grec
latin,

suivi d'un

le

comparatif non

complément

signifie

:

plus qu'il n'arrive d'ordinaire, de
là le sens de passablement, beaucoup et quelquefois trop.
Ata/p6v. Cette qualification ne tombe
pas sur chacun des deux termes
pris séparément, mais sur l'ensemble formé par leur opposition
marquée par jjiv et os cela lui
semblait (une contradiction) honteuse que d'une part... de l'autre etc.
Cf. Gr. gr., § 340, un exemple
analogue et cbap. XLVii.
Joi-

—

:

gnez

tAï]Ô£vôç aOxàiv.

—
— Tôv

xtxèv (àvôpa) celui qui
des affaires publiques.

t:o),i-

s'occupe
.

•

/

»
I

ri

:

1

-

I

.

I

penonne

'.a
i

1

du

tnuv«cr

'

I

vt'Jt:

noms

<

t

:er les

et

cher:

pour

-ours qi;
ce procès, les 

'

de saluer ceux

qu'il

rencontrait

tante de ses œuvres ora"
1

Aussi

mmes

i

-

(

.;.

prtUur.

politiques se faisaient
.

Remarquez

;>agnerd'un e
leur

mer

.

nom-

i

ns.

passif

j

ii/txv 666*
'JLSVIO.

b

à-l. Convaincrs

L-

ipahlt

vent se conalu
:

chemin
8

.-eux qui

fient

jnt

même

su

i

recevoir

doux

:»c-

a pour pnseif
.«. note
L
v.

Plutarque

ure un peu les fa.t?
ent oas les prvteurs de l'an-
,

CHAPITRE
TûOAAOtVç
(^TiAov

ypovoç

xipwv

[/.Y]

àva&piva;

xal

ttî;

2:i

àva<r:àç

xpwriç,

v^

~

cpepetv

Ki-

6

e-ayxywv

<xaa'

sxsA.sus

XpO-

Y)V

(I)Ç

où* sÇotpxédCi

ï)[ASpaç

^a^Oai Aoywv,

'

6<pv)

o

irepaç

oùr^è V/[<|;£Tai

{/.zpTupaç
TOl>Ç

Aoyoïç

toîç

ô'ti

VII.

£/.€?. A AQVTCOV,

U<7TaTY]V

T7]V

SIC

c

tyjv

touç
t]r?j<pov

OLX.a<7T0CÇ.

^£

'0[/.co;

rapt

aÙTou

£X£ivy)v

tov

[aouoi

£^ouA£to

tou

yotpov

tyjv

77apw7à[J!.£Voç

Beppou,

'O;

toÙç

8

Pw-

ot

yàp

oOv

x.xl

àTueXeuôepiîtôç

ovopia

KaixiÀioç,

ZtxeAiwTaç

KaT'/iyopEtv

iouo&i(,siv

Tt 'louoauo

((

oumvv] tAOV6U8Ta.i
BsppTiv

biXYiv.

x,aXoucriv.

tw

evo^o;

icvOpwTCo;

^aptsvTa

7wo}.Aà.

,

Trpoç

yotpov;

»

£<pY)

6

KixipCûV.

Tou

àè

'Ootyjvgiou

pvrropo;

BéppT] ffuvevrceîv

0eXiQ<7avTGÇ,

jayi

née, mais les préteurs désignés
pour l'année suivante qui étaient
disposés en faveur de Verres.
Aussi toutes les manœuvres des
partisans de Verres tendaient à
faire renvoyer le procès à l'année

suivante.
le

jour
1.

le

—

Tr)vuc»T<xTr)v(r [xÉpav),
l

plus éloigné.

"E<pv).

Verrem,

I,

Cf.

XI

:

Cicérox, in
Fructum istum

taudis, qui ex perpétua oratione
percipi potuit, in alia tempora re-

servemus

:

nunc hominem

tabulis,

testions, privatis publicisque lit teris

auctoritatibusque accusemus.
2.

'ExéXeue

:

sur cet impar-

Gr. gr., § 218.
3. "Evo/oç xto touSat'Çetv,
obnoxius Judaïcx superstitioni. Les
Juifs étaient déjà nombreux alors
à Rome et réussissaient à faire
des prosélytes. Or on sait que
les Juifs ne mangent point de
porc.
Ce Cœcilius est Q. Caecilius Niger, qui avait été questeur de Verres en Sicile. Il voulait

fait,

cf.

—

4

tyjv
ev

ptiv

S2

se substituer

tô

aux

EÙOfiïav

tgj
;>

tiiayi'ulocti

Siciliens

comme

accusateur de Verres. Cicéron repoussa ses prétentions dans le
discours intitulé
Divinatio.
:

'OpTVjvatov». Hortensius,
un peu plus âgé que Cicéron, fut
son rival dans l'art oratoire. Cicéron parle souvent de lui en termes éloquents dans ses ouvrages
de Rhétorique. Cf. le début du
Brutus.
Tyjv sOOeïav (s. e. ôoov
ou Ypa[X[XY]v), litt., enligne directe,
c.-à-d. sans détour, franchement
ouvertement. Cf. explication dans
Morales, 408, F "Oausp oi u.<x0y]4.

—

:

[xotuxoi ypau.u.Y)v
xr)v êXayt<rrr)v..

.

e06sïav xaXoOfft

ouxwç

to;) sOésïa rcpô; tyjv

(v

ôiaXe*/.-

à)>Y]6eiav x.

t. a.

5. Tt{J.yj{Jia

de

comme

tiu.yj

vient

xitù, évaluer. Il signifie ici

évaluation d'unepeine pécuniaire, d'où
amende. C'était la coutume chez
les Romains que l'accusé se fît

entourer par de grands personnages afin que leur autorité pesât
r

•.

>

.

<

K

.

«

MAPITRB Mil

.

franc».

ou de

-ateur

pen élerée que celle

on
lonpemsNC
•

en
•

dont

pari-

avec

Oa

I

Ces prt.

—

«?'.*.

•

!<•

jue.

—

corrompp'.

laieeé

ffi

a-.

<rt-i:r.«

-

qi

.-»

<:«•

-•'*.'»

J

expr*->v n- rorrnv-

on
II/î-

;

:

quart'

I

amplement par

qmt:

il

est

Pour
.routeil

•

faut

se

f

•

raj

itmpçons; Plutar-

à-d. »/:

inx.

'

1.

i

pt&$ta>V

II

.a

drach:

!

A

7 —
.

chiffre e-

ement au des<u

n'a

§

:



.

vent réuni* pour marquer l'idée
d'apporter, ou d'ewmener et d'emp<r
•

-

I

:
CHAPITRE

Tr ç

àiro

<pepovT8Ç

à)vV otov

%spôoç,

liroiVjffaTO

8ï

izoX'kk

vvfcou,

t

Zi

VIII.

*

tîkov,

xyopàv

tyjv

£-ci>tovL'7ai

ouôsv

tôv

àireypTÎo'aTO tt, tpiÀori.[na tcov àvGpwxcov.

0£ ^WplOV

'E/.£/.TV)TO

Ns'xv

t^oàiv

3

où [/.eyà^oi*

&ysveTO
èvvéa

àypoç, xal

r,v

zxl

ocoo£X.a,

[/.'jp'.xocdv

d"/;vapicov

TCSpl

XûCt

,

èVepoç,

no{/.:r/;iou;
4

ttoottiç

xX?]ûovo{j,La

'Atco

[/.upiàdaç.

Ttoopovcoç

/.al

x[/.a

wepi

ts Tepevrtaç tt.ç yuvawtoç

cpspvr,

T'Jva^Osî'cra

sXs'jÔcpLw;

2

"ApTUOlÇ

£V

Y.OL~kQV

|**Tà tcov

oiTjye

eiç

to'jtcov
crua-

<

£io'Jvtcov

vcov,

et

oyv

'EX'Xrlvcov

^oyOv;pcoç

[/.y.yco

Tcspl

to

to<7T£

y.xl

Kxl toGtov
îcxi

Oixixv Og
ycôpvî(7£V

"Oaov,

auToç

er

[JLÊV

sez

qSjcet

le

litt.,

à7t£Xpr (raTO...

èrceutovîffat x. t. a.

4

îueptTTo'ç,

T£Tay [/ivotç

ttoàXoÙç xal [/.sya-

tw

8

7UXp£-

Vésuve en 79 de notre ère.
yuvouxoç, sa femme.

4.

T%

—

Cf. Gr. gr., § 153.
Ar,vapîœv,
le denier valait environ un franc,

du temps de Cicéron.
5. KataxAtv6{j.£VOç,

ô<rov

— Les édiles

tant à table, mais

—

étaient chargés de surveiller les
marchés comme l'indique le mot
àyopavou-îa qui désigne l'édilité à
l'époque gréco-romaine.

Oùy_ o'jtoo;

metnote 2.
non pas tant...

cf. p.

to;,

se

29,

beaucoup plus usité que
r xxov. .. y;. Cf. IX, p. 30, note 4.
T-r^v aAX-rçv Osparcetav,
6.
que, est
(

2. 'Ev "Apîïocç. Il ne s'agit
pus dUArpi en Apulie, mais à'Arpinum. Plutarque avait peut-être

accus, de relat. Gr. gr., § 162.
7.

Touxov xôv xporcov

:

Gr.

gr., § 163.

écrit 'Apïuvoiç.

Xêot IIoAcç qu'on écrit aussi
NeàitoXiç, Naples. On sait que la
ville de Pompéi fut détruite par

aosAopcj)

to IlaXaTtov uirèp too

icept

(il était nécessaire')

A).).'

aAAr.v

(kxTrxic^xycoycov

'

irooç

TTXTpcoav

5
:

xal

,

cruv£ïy£v.

seulement aupour,
c.-à-d. seulement de manière à.
Pour cet emploi de l'infinitif après
ogoc, cf. Gr. gr., § 256. Construi1.

tyjv

5

cto-

tco

<7cou.x

àpiOuto

tov Tpo'-ov

xo'vooç

T7;V

to

àxpiêyjç

avoaov xal ôiapxYJ

gttz-

x,xTxzÀ'.vo'{/.evoc

*Hv 5s xal

6

Tpt^eTt xaî TrepiiraTOt;

Xoyç àytovaç

tant que

oà

coç

9epaiceiav

(p'/Xo'Xcycov,

7l)vtOU

oa/„£i{/.£vov.

crcofjia

'/pYiaOxi.
£C,tv

(Wulcov

oY àT/o)iav,

o'jtco

tyjv

rpo

Tors,

Pa>i/.xitov

y.al

8.

3.

lins

Tûi àôêAcpto, Quint us TutCicero.

—

l'infinitif, cf.


III et § 282.

'IpTÙp tov. avec
Gr. gr., § 252, rem.
I

I

I

1

/.

I

I

I

BAP1TRE

l

Ltciniu» Macer.

i

—

Plaisanterie

"

1:



y.

;

m

y.

- -

M

4

.

-77/

/

1

a-

H

1.

I,

a

L» ïfl

le

page 12. no*
k/ -<- :

5.

de venir «allier leur
matin et de lu
•rtait en ville.

l'habitude

patron

.

une arcu-ation de
malversation, en
repeinn inrum (s.

latin
e.

-

ainsi

Le grec aime à séparer
deux mots unis

:

erimen

/wrwatara).
aune

jnge).

|

-

'*

1

'

•

i

'.Cf.

p. 12, no*»
4.

Atxtvioç
>n
-,

Mx/.:-.

du nom de

0. Licinius

historien et o:

des
accusés
leur barbe et
portaient des

pour exciter la
et

du peuple,

laissaient croître
leurs chev

mente négligés.

pitié

les
CHAPITRE

ôç

ocOOcç

vevix7)x<i>ç,

Rpa(7<70U

TT,V

7USpl

àyopàv

sïç

tw Ktxépam o^av

Taïç

sx^w/.s

aTpe^aç xal xxTaxAtvaç

2

xpoïévar

3

Se
y.al

t|r/(<potç

âva-

,

os

xpày^x

£7n|/.£Ac5ç

jipaësu-

Tô

<x7ro6av£tv.

"HveyxEV

tqu

O.ÙTOJ

à7U3CVTT,(jaVTOÇ

*

at)A.£lOV

xacatç

Sri

<ppà(7avTO<;

29

IX.

wç

x

tô o tîta.GTr]p .ov.

(javTt

,

'Etts!

OùaTtvioç'*

o^è

ap^ovxaç

Toù;

Trpoç

tov

yoipâoiov

Se

xaTa<7Ta;

xapà toO

poiAeuo[/.svou

7C6pl

ypovov,

tto'XÙv

ys St(rràcgtÊ
Kixépcov

6

xai

Y)T£tTO

o^o'vtoç,

jv//)

wç

£i7T£V

ti

av

oôx

toutou aTpaTYjyûv, È7T'.GTpa-

'Aaa' sywy'

ce

xal

aruVTfjYoptaiç,

TrspiTv'AECoç,

Ktxépcdvoç,

aÙTo'ç

Tpa^ù

ti

touç

sv

TpXYj/îAOv

à);Aà

<pa;

sywv

àvvjp

,

oAiycopov

»

eiicev

«

oùx eyco

TY)AlXO'JTOV TpXYJQAoV'. »
>1

"Eti o
aÙTcp

tou
vou

yàp

7jv

suvotav

llovyiv

tgW

fiîQiauivav

—

Ka-caxAtvetç, ici se metau lit, mais cf. p. 27, note 5.

2.

tre

3.

:

AôÇav

VIII, page
4.

>}v£Yttev

26,

note

Oùaxtvtoç

:

a>ç

:

cf.

1.

transcription

de Vatinius. Cicéron prononça
plus tard contre ce Vatinius qu'il
appelle homo petulans et audax,
un discours qui nous a été conservé.
Construisez 'Eue! Oùa-

—

Tivto;... rjTStTO... xal,
t.

:

[xy]

ôiSovtoç

toû Kixépcovo;)... eItcev x.
a. La proposition principale

(s. e.

xai

eive

1

ttjç

àpv^vi;

7i

gtcouoyjv

pipa;

6

STpaTTQYÛv
1

tyjyoiy), s il était

O
ûtto

sxao^/Jjaoç

Ssxa toù-

commence seulement à

—

.

7

auTou, tuav
/.al

crpatTivôv

çeiç.

6

IIo[//7rfiïov

â^ioucav eo<ox£'

tyjv

Ilepi'fyjv aîiXetov (s. e.
'EàXwxe de à)i<7xou.ai
litt., être pris, c-h-d. déclaré coupable. Cf. VII, page 24, note 7.
1.

ïyovzi

£i»Guvwv x"A07Ty;ç

Aitouulsvou S

cp(Aoç.

>îyav3cxT7io*£v

Sûpav).

Tp£tç

^oxûv £Aauv£cOai Jià

o^'/ffAou,

KixÉpcov

7)

MavOaov

Ttç

MavtAio; outoç

Àè

6

^uo

vî(/ipa<;

lupocvîyayé

Inioxpa.-

=

z

<TTpa-

préteur.

5. TTfjAtxourov Tpà^vjAov.
Les jeux de mots passent difficilement d'une langue dans une
autre. Il semble que Cicéron devait jouer à la fois sur le sens de

nutare (balancer la tête ou hésiter}
et de l'expression tantas cervices
habere, qui signifie à la fois avoir
un gros cou et être impudent.
6.

EùOûvwv xXoïî^ç

:

cf.

page

28, note 5.
7.

xal ojîouSyjv,
studium. Cf. VIII, p. 28,

Evivotav

gratiam
note 2.

et

2.
b

im

vu:

:

lûrv

J;

-

.

Tci*; t

o"

I

.

,

I

.

.

!

I

-

I

CHAPITRE
Causes de

I

la



conjuration de Cstûina.

ICI

,v

I

1.1.:/

.

-:-.

comme

i '.r

c

i&mf (comme
.tvoc.

5.

ction d
.:it

infin

*o> ./

c.-4-d.

propre
>mnieen latin.

c c'est le
e

On

Tûv

un
loi.

d

—

rua fut consul «ao
an», aussitôt
s la

à 41

-

c.-à-i. en

ne

du maintien

constitution.
4.

OJ/ |lMia

.

ritsou-

- >>•'/ -> et p. 16, note

3.
CIIAPITRE X.
àoyvj
Ù7TO

ypovoi»

È'yeiv

ou

OÙ

£tb>V,

^sTaOe^vaL

8ï

SV

IlovTw

lv

U.Y108[/.taÇ

'P(0|X,7)

TYJ

àçtou.ayoo

Tftpt^ovTaç

eîvov

avopa

y.&ov

t6

i^uov evexdt x^sove-

nOfATT/fro'J

Apj/.evta

/.ai

toX[/.yityiv

tto^Ioîç

y.aTa<7Ta<7t.V

Ta TCapovTa oa-

ol

'

t,7)T0ÎivTeç

[jAtIOV,

TO

7Up6ç

(iasi^sutfLv

toîç

Tivà

7]07)

oV/.o'Jgtiç, Ticav

«pauXyiv

jcas

«reiffa!

cjv/iGcLaç

y»al

os

to't£

^pavet(njç,

aTcliwOu

(/.àv

31

TOIÇ

£Tl

[/.6V

oia7roXs[/.oiîvToç,

UCpSCTWUVjÇ 7700; TOl>;

Oûtoi

ouvôjlscoç.

V£(t)-

y.opurpaîbv

xal a£yaXo-pzrjxova

y.al

ttoi-

t

KaTtXtvav

Aeuîctov

7)Go;,

2

ô; aiTiav 7uorè

,

X

â^Xoiç

7rpoç
<pOV

aUTOU*

2>X"Xav
(XSVOIÇ

pol

3

âoijc'/fuiaçi
/ta!

fiVt

TOUTto

<poéo'J(/.svoç

67cei<rê

£^pÔapTO

&

Ott'

•fl&ovàç

TûpoçsvouvTo;

à^psi^w;

sy.aGTw

aTcocTaciv

FalaTta;.

~Haav ot^Tjxouvxeç,

—

ÔV/]

craojtàiv.

Ai-

£v

sic

'E7TY)pT0
y-al

5

2.

eaȣi-

grane son gendre, roi d'Arménie.
Remarquez la construction de cette
longue phrase, composée d'une
courte proposition principale enclavée entre deux couples de propositions au participe absolu. Si
elle n'est pas reliée à la précédente
par une particule, c'est qu'elle
forme une explication annoncée
par ï oùtîoc; TOififfôe, Gr. gr., §
335. Il en est de même pour la suivante qui commence par un dé-

ty)

ttoXe'.

â'pwTaç

TaoTa

o^a-âV/iv

o^

ts

Tup-

tyjç

£vtoç

vj

Ta izoXkx

'E7UO~<pa)i<7TaTa

terunt qui conarentur.
BaoïXsvaiv, Mithridate, roi 'du Pont, et Ti-

monstratif.

tcov

yuvaiy.wv

y.al

ty]v

y.al

y.al

Tfiç

4

«.ipoç

xotouç

y.al

TCapacry.fi'ja^ovTOç.

Trpo;

'!>,7r£cov

aÙToO xolù

â»/,Xotç

é'o^ocav

77''ctt£«,;

av9oa>7rov £y£u<7avT0

1

v£OT"/]To;,

1.

oùCkoLq T£

"XaêovT£ç,

p'/ivia

O^y.ïlV

w; £Tt ÇwVTa tov avOpa)7rov lv toi; aTroôavouTTpOypa^at. TOUTOV OÙV 7rpO<7TZT7ÎV Ot 7T0VY)-

y.aTaÔuaavT£ç

scfit

eXaêe %T£ivai ào £'X-

[/.syaXoiç

fi

â

1

ti

'Pwiavi

Asùxtov KattXtvav, Lu-

cius Catilina, d'ailleurs bien con-

nu.
3.

vocç.

*Ev totç à«oOavov>{xé-

La traduction

inter

necandos

n'est pas tout à fait exacte, car

participe futur ne renferme pas
plus en grec qu'en latin l'idée

le

d'obligation.
4. 'EYêOoavco. Salluste (Con;.
de Catil. 22) est moins affirmatif.
Fuere ea tempestate qui dice-

rent, etc.

5.
G.

'Etc^pto de

ÈTiaipco.

'EntocpaXscxaTa

et/ 5

'
<

BAPITBE
«ni,

I

I

malgré

l

loi effort*

I

/.y.
!

•z

lea

forme

«le

j

I

j

i

/

i

«

>



1

m

dant %

foû,e,-44.ma
-.i.

Sur
*

I

rem.

Ad-

.

—

Ki:;-:i..y;

1.

de l'orateur
Jr.;ndr«xpoc

second

.

fils

•

'

nstniit

ici

B

parce

««

qu'il renfern.

.

x»mme un

g<

at«olu.

I

.

<7<h,«

</«

/

bien, expression bien cou-

nue.

0»v,

r

elle-mèmt affaiblie,

o

à la

merci.

pour

la renverser.

p:ir

:----£. Pour passif de
on emt
XIV.
quelquefci
page 38, note
6.

"i

1
33

CÏ1APITRE XII.

xal

Se

tio'vtcov

Taïo; 'Avtwvioç
KixÉpcov

6

7)p£'0*/i(7a.v.

tiwtMCOu

1?

7)V

[ao'voç

RcaTot tûv

[/.£-

TraTpoç

,

où

ysyovwç.

(3ouX£utou,

CHAPITRE

XII

Cicéron remporte par son éloquence divers triomphes
sur les partisans de Catilina.

Rai

RxrOavxv

irspi

j/iv

t3c

xipwvoç

wo^iTsiav sSéçavTO.
xocrà toÙç

x<i>i)[/.6VOi

youv

2
,

iroX),à

T£IXV OU&£
ot

Toûto piv

dcpyetv 9

vo|/.ouç

[/.£TiovT£ç

6>.iyot,

tyjç

àp^àç

SùXXa TupavviSo;

xaTvjyopouvTeç

oixata.

yov

ouV

ovtsç

vetç

SuT^a

ptsyà^o:,

3
,

ou

*

6^|/.ap^oi

[/.èv

nO|/.7U7)'fou

1.

Touto

eTwtte part...

toùç îtfXXa

yap

ot

ouV

xpoç

ttjv

aÙTY)v

'iTocTiaç

V£0t)<7Tl

Jitèv..,

7cx<77];

77pO(7(Opt(7TO,

xouto

de Vautre.

£è

—

fie,

Kaià

D'après ces
magistratures

xe-

a<rGc-

£§>)[/. «.y (o-

[aèv

u7ro'9£(7iv

xal

1:0X1-

ttjv

XOCipÛ XIVOÛVTEÇ' TOUTO &£ VOfJLOUÇ

(7ÙV

Sap^iav xaOtGTavTeç âvSpwv ocÙTOxparopcov,
icck<rfiÇ

Ri-

t/jv

àV/iGTJ

Ssovti

£v

[r/jv

'

TOUÇ

STl,

lij.eXksv

tcoT^oÙ; "XavOavovTa, TwpoxywvEÇ o£

ElffYJ-

bsxx-

,

oiç eçeîro

Supîaç xai oca

XUplOUÇ OVTOCÇ,

4tà

77(i)>.glV

AYjjxaytùYwv to <7TpaTsuu,a txavixrjç
qpopàç xai xevûv eXnCScov ut:' a-j-

vojjlou;.

lois les principales

demeuraient interdites aux

3.

IloXXà xaTY)Yopouvceç,

regardait comme une
condition de l'apaisement des
troubles civils et du maintien de

répandant beaucoup d'accusations. Il ne faut pas faire dépendre Trj; -wXXa Tvpavv:8oç de
TtoXXâ, mais directement de xaT7)yopoûvreç ou plus exactement de
xoctoc qui entre dans la composition du verbe. Sur la construction
de plusieurs verbes composés de

l'ordre.

xaxà

fils

des proscrits. On craignait que
le pouvoir ne fût entre leurs mains

un instrument de vengeance. Cicéron soutint énergiquement ces
lois qu'il

2.

A^ii-atY^Y^v, pris en mau-

vaise part, signifie capter les bonnes
grâces de la multitude en flattant
ses passions. Cf. Vie de Fab.

V

:

litt.,

4.

cf.

Gr. gr.. § 167, 7°.
jj.sv x. t. a. Ces

nàanrçç

mots dépendent de ta ôr^ôata et
non pas de xupîouç ôvraç.
Ta

—

ôr][x6<na,

agrum publicum.
I

-

I

.


1

I

.

7

"
I

-

7



.

.

.

'pérant q

qui

.

sembi

h

page
ivec les

.

gouTernee des
iche* provinces, à son col-

.

on céda

ment de

Gaule

nota

la

afin
r

Il

','.-.;/::

.v

(

ou
5.

tendu]
le

l'ordinaire

I

i

de rester à
les

18,

i).

cm bien
( Vie

IX) on enfin
'-..

comme

ici

ptntèe

Rome

agitateurs.

?.--;-.-'.)

second rôle; teoomder. Ce terme

à
note

le

Maoéd

.

'

III.

16, note 3.

théàtre

où

l'on

la

lang~
CHAPITRE
ocAÀa
où

ïizzafyzi

(3ouAy]V

tt)v

piovov

aXkiùv à7royvwva.'. tquç

x.sXsuaa;

tov

£C,££a.À£

£x,£Îvov

CoDtOV

ÀOyw

TOJ

XpXT/îÔ£VT2.Ç

W

CHAPITRE

7rpOG£lOoSv,

/-al

aAAa xal tûv

v6[/.ov,

uapyou;

ô"/î

k

'

35

XIII.

£7wO'!y)<7£

rcacz

?

2.UT00.

XIII

Cicéron apaise un tumulte au théâtre et fait respecter la

MaAKTTa
v^^ovy;;

ô'crov

oOtoç

yàp
2

Ictiv,

àfil

(JL£V

à<paipsïv

'

£v

7TpOT£pOV

ÀOT;

X.2.1

tyj

£V

uTCOtTSia

TOÎÇ

{X£TOC

TOU 07^.00

tellement

furent subjugués; les trois
discours sur la loi agraire, qui valurent à Cicéron un si beau succès, nous ont été conservés.
"Ooov tjSovtjç. D'après
2.
ils

MM. Riemann
comparée,

Deuxième

et

Goelzer QGr.

128, note 2, et
année de grec, p. 318,
p.

rem.), le grec ne connaît pas les
constructions dans lesquelles un
génitif de quantité dépend d'adjectifs ou de pronoms neutres
employés au nominatif ou à l'accusatif. On voit qu'il se rencontre
des exceptions. Cf. Vie de Démost.
VII "Oaov xocfxou xai yjxpixo;.
:

3.

Tw

Aô^w,

tu

§è

en action.,, en paroles.

An-

{J.èv

êp*fo>...

^zpiTo;

y£vopt.£vov.

GsfltTpOlÇ

Ilapà toooutov,

1.

cu|/.çépovTo;.

Aoyov

tov

7U6ût

t*?iç

ôéaç

T0Î>

£py(p

Aetypia

&è

Tgjv

0)Ç

ocù-

Tàç

Ixrcizàiv

yàp
à V 0. {/.£[/.'. y f/.£VCOV TOLÇ

6£(i)U.£VttV

JCOt-

Trapà

to

jcal

TO

Aoyco to

61

a.'.paaOy»t ? tco

oeï

Jta.1
3

TW

t

Aov âvTt tou xoAa/.£'JovToç

toG

'P<ù|/,atotç

àv opÔwç TiyYjToa,

TOV £^ f/.£À(OÇ 7rOAlT£'j6a£VGV

>u7ro0v

loi.

Aoyoç t£> zaÀco irpo^TiOvict, xat ort to

àr/nr/iTov

Stxottov

Ixs^s^s

àvyjp

6

to-

£TUV^£

77o7^-

5
,

77CÔ5-

—

tithèse très fréquente.
ToO
xoXaxeuovxoç, ce qui flatte, au neutre, comme plus loin to Xurcovv,
to (Tujxcpspov. Le grec emploie souvent le neutre d'un adjectif ou
d'un participe, précédé de l'article
à la place d'un substantif abs-

Thucydide surtout
tionne cette tournure.

trait.

4.

Ilapà xàç Oéaç, pendant

les spectacles,

loin,

dans

les

jeux, plus
de place

îôîa osa a le sens

réservée
5.

affec-

au spectacle.

'Hc, ï"Z}yz

=

eïxy},

au ha-

sard, litt., comme cela se trouvait.
'Etù Ti[iy} (ÈTit, en vue de), pour

—

—

leur faire honneur.
Màpxio;
"06wv aTpaTYiyàiv double inexactitude : cet homme s'appelait
,
I

«

Sta

I

I

•

CHAPITRE

i

menace d'écU

MNM encore une

T

Il

]

fois.

.7
-

-

cbez les
ptup,

proposée
re les quaqui faisaient suite

I.

Op6c

r»vec
i

;

nt df,

de

pari

là le sens

de pro contumeJia accipert.
I

,

i

-',j

l

-

déesse de la guerre, Bel-

Romains

:

son tem-

voisin da théâtre de
où se produisait ce dé-

Pompée

Le discours grâce auquel
a réussit alors à calmer le
peuple ne nous a pa

sordre.

3.



r

.

IBS,

|f
—

d'abord.

, r ..

le sujet

-

la eonjmris,
don: l'idée est suggérée par cvrt*.

suppléer

:
CHAPITRE XIV

RaTiAivxv

*

xxl

S'JaXx

01

gJyipéOi^ov

^CXTC£Cpl>/tOT£Ç

txlç Tuppr,vtxat;

(Aa.yi{JLtL)Ta.TOi

7r6A£(7tv

àpxayxç

£TOt(xcov

ov£ipo7TOAo0vT£;.

"

AlOV

aOÔtÇ

&£

[X£TY)£l,

aùxov

P£êoUAe'J[ASVOÇ

twv

tov

TO

JCXl

OaipLOVlOV

xv0ow77cov

u.7)vu<j£tç

£A£y^ov

x7ToypoJGxt

va|/ivou

[Asyx

X.XT

àp/aipeaiâv iwçgpôépievoç

'O

yjy.aTwv

Ofi

y.xiviov

6

7

7U0AA0U;

AianecputtÔTeç. Expression
litt., ayant poussé, pris
racine, c.-à-d. s'étant établis par
toute l'Italie. Le génitif dépend
de l'idée contenue dans ôiâ. Coray
paraphrase ainsi 8ia7iepuTevu.evoi
:

Plus

Bi' ôXy);

t^ç

loin, èyxaT£(77rap-

qui n'a généralement que
sens figuré, continue néanmoins

jjLÉvot,

le

la

métaphore.
2.

MàXAtoç,

Salluste l'appelle

Manlius.
3.

Suvap^aipeaiotcovceç

—

—

ce lourd composé (<jûv
<*PX*I
aipscn;) que Plutarque est le seul
à employer, signifie aider à V élection des magistrats, qui sont dans
le cas présent les consuls. Le
participe futur marque ici le but

rLUTAR^UE.

xai

sv

TOV

TX

vjcrxv,

'Eo^o/.si

irpXGTOU.EVX

At

S'

o'jTwto

X7r'

â'

etç

x.xl

$u-

vijAÉoav

tgjv

6%&asi tov

Rx-

ty]v

Wfipl

TWV

£tVXt

t/j

yàp

KlJCSptoVX

èvoojou

OlOfJLSVOÇ

£cpi£[/.svouç

1.

'iTaXia;.

5

6 Riy-Épcov

figurée,

xac oiov èppiÇtouivoi

*

ôopu^ov.

Aio

<7TpX~

TCXp*?;C7XV

'Y-rcareiav

.

xvopo;

cuy/»V/iT0V

T7]V

SIC

aV£X.ptV£V.

1

XXI

<pa<7u.a<;iv.

[/iv

Rxtiaivx.

tou

3

XVSASW

îtxt

Mxa-

EÛAAX

RxTlA''va

1UpOCT,{/.XlVSlV

aA7)9eiç

7wAoutwv

y,y£[x6vx

'J7CO

àp^aipsfftôv

ts y.xi x.£pauvoîç

aziGiLtàç

TlAlVXV

T(0

<7uvxpyjxip£i7ix<70VT£;

'PtojAvjv

Trepl

è7Tl(paVWg

&S

£yy.xT£<77rxp|/iv(K

Outol yàp

GUVIGTXVTO

7UÀ£Î'7TOL

(Hx<popvK7£iç

jtoti

XV&pX TWV

sfyoVTSÇ

TE'JGXf/ivCOV,
£iç

toxaiv

arpaTittaoti,

7râ*A3Ci

'ItxAIXÇ,

TTJÇ

OAYJÇ

(ASV

37

A£yOJA£VCOV

TTOX-

T0l>Ç

Poua^,

X.XI

xux

(Gr. gr., § 302).
4. 'AveXetv, de àvocipetv, interJicere.
5.

IIpooYjjjLatvecv.

Dans son

traité de la Divination (I, § 17
seqq.) Cicéron cite un fragment

de son propre poème de consulatu
$uo, où sont précisément rapportés ces présages. Personnellement, au fond, il n'y croyait pas.
6. Cicéron, la veille même du
jour où devaient avoir lieu les
comices, fit remettre l'élection des
consuls à un autre jour.
np<xyKàLTiav
7.
xouvtov,

comme en
tion.

—

latin res novae, révolu-

'Evôetxvuu,evo;,

dat.,

se

—

faisant valoir aux yeux de.
'A7roxptva<r8ai à7i6xot<r.v, Cf. Gr.
gr., § 161.
I

I

K

Mvj:"o

1

La conjuration

w

BAPITOE

i

énat remet plein pou roi r

est dé

an conanl.

OÙ %

j
:

'

A'Jtlv

1.

«le

ron


rt<

:

•

Murtnn

pro

(un coin) de ta
i, rem.

arec

le«

verbe*

(•<

r.

yr..

••.:.i

este

4.

I

échouait enrore
X ï. —
-2, note 6.
Les
a.i

.firme

rei p

alterumjirmum

-,

r

transitifs en «oua-en tendant p

821'
.

r

I

qu'on

l'époque m.i

XXV

irt.

une forme

e*»t

tine capiU:

—

ritms tstet,

.turum.

capt
'

Il

aa*..
rt.

<:• ;i:vu)v,

—

comp-

d

étaient D. Junius Silacns et L.
us Mure a. ponr lequel Ci-

ùtter
1

?c

Champ

céron a éc

Prê Murena.
CHAPITRE XV.

TaXoy t(o{/ivcov

?

r (JL£pa.;

Oegiv

2

uiaaç vuxraç

tttpi

TWTaTOt
x.oç MàpxeA'Xoç
xai

<^S

yvoùç

T(i)

o

RpdC(7C7(0

w;

WpOÇ TGV

xal ti

à'X^oi;

tou

)ia.v
a(/.'

vtyipx

tuaaç

à7?s'$b>x£V

'EtwEI

&£

ÈTC'.CTOAà;
7-0(7-1-

£7riysypa.u!.(/.£vaç

Hv

.

f^OVTJV

àv?»-

irV/jyEi;

*/]<7av

KaxaXoxt?oji.évu)v,semnpar compagnies (Xoxoi). La
légion romaine est appelée par
1.

</e«n£

(X>,à'

,

ïayj,

oùv

7ÎJC6V

TOÙ &£IV0G

Û7T0
y;v

Six

<pi-

RlXs'pcoV

6

tzç £7:L<7T0^à; xo-

srtscrra&u.gvai

Ilasai S' ôfAOuoç

KoïVTOÇ

6

£>0J<7£V

BouX£u<7ay.£voç

oîç

(pav£pwç àvayvôvai.
£(ppa*C0V.

Ol)X

aov/)yay£, xal

(3ou"ativ

xurôv.

àvÔpWTCOU

'

otiTiaç a7roXû6{/.6Voç,

KaTtAiva.

£7re-

Ta yp£jjt.|/.aTa (povov
RaTt)ava xal 7rapY)vei tt,ç

Rr/.£pCOVa,

xai tâç

0£L7TVOV

TIVOÇ

07)'

TTolEWÇ Ù7T£$£^0eîV, TACÇ oiXkOLÇ
£'j6Ùç

èx&euov

k'cppa^E

oiîc

7To);i>v

xo^avTe; ôi

Tuapou^ia-v

ttjv
[/.ETa

à&£<T7wOT0V

pt,60tN

Rpa<7<70ç,

y£V7]G0'x£V0v

'J7T0

aXXaç

,

l

Mzp-

xal

Kpsfcereoç

MtfrjEXXo?

RpaGCW

Q'JptopOÇ,

Q

àyvcoTo;

t^eigocç

XUTto

(ppxcai KixÉpcavi

TOlOVÔC

&£

XTCoàrôtofflV

êm;-

KlXEpCOVOÇ

T/)V

xal xy^ecocvTsç tov ôupcopov

tocç 6upy.;

Hv

Sxvpri&v

x.al

ty)V

àvopE; oî TrpwTOt xai $uva-

'Pw^aiwv, Map/.oç te

yetpat

wpoç

cbpi<7|/ivyiç

eyyjç 0&771Ç, 7JX0V ÊIW

;

owwav

T^ç

y.xl

'

31)

'ÂpplOÇ

préoccuper

'

,

xsA£tf<iaç

,

ETuêotAvjv

tï]v

aVVjp

<7TpaT7)-

comme en

le répéter près

français de
de l'autre verbe

sous forme de pronom.

'Aôéottoxov, anonyme. Cf.
Démost. V
àôéa7ïOTa

Grecs Tay^a, quelquefois ?à).ay£, à moins qu'ils ne trans-

Vie

crivent le mot Jegio. Cf. 17e*', 1072,
ôuo Xeyewve; (oOtw yàp xà
c
TaYJxaTa ol Pw[xaïoi xa).oû<jiv).

ouvrir.

les

A

:

2.

Méaou vuxxeç, au

pluriel,

minuit.

'EneYStpat * at «ppàaou
3.
Ktzipiovt. En grec, quand deux
verbes gouvernant des cas différents ont un même complément,
on peut se contenter de mettre
ce complément au cas voulu par
le verbe le plus rapproché sans se

4.

.").

de

:

"EAuaev. Litt., délier c.-h-à.
Chez les anciens, au lieu

de mettre les lettres dans une enveloppe on les roulait et on les
entourait d'un fil. Il fallait pour
les lire couper ou dénouer ce fil.
G. <J»avepûç, à haute voix.
7. Quintus Arriva.
iTpaTrjyixoç, prxtorius, ancien préteur. Cf.
uîcaTixo;, personnage consulaire.
Cf. XIX, page 46, note 5.

—
m
i

.

i

I

BAHTRE Wl

oénm.

— La
de ilome

it

I

K

y T 1

rou

tomç

,

K

VI

;ra

y-

-

±-

>

mu,

V air, plane.
M ae expre*

•

.

D
I

•

'

em
inutrer par lui miwte.
gr..
z6 K>iS$o,

tenir #M*/>r

-

voj

:

R

ivrcau v.-f.a tf

i

--

'y>j

revê-

f -

fOMlkl d'un pouvoir san* faisant imftw*. entrant (di
formulars composés de
tt à côté de leur teos
circonstance

tait les

.

t

aositii.com me

:

,

comme
'

3.

I

'-

'J-i^x.

ils

tarent,

:

6.

euphémisme,

malheur.

gierf-

rtvvu»Txtiv. arec

l'inf

lut ion de.
CHAPITRE XVI.
MàÀA'.OV

TOV

TCOOÇ

RÉOviyov

xal

Ôusaç

wç

ecoBev

"Xaêovraç

V^fAÉpX,

Ôav viyavaxTOuv xal xaTsêdwv

façt

j7roxTdT£po

"flXOV

»[/.'

IIpoEAGtov

yEvÉcGai.

f

.

£IÇ

XOCÀOUGIV,

TtO[/.aiOt

to

7cp6ç

ôSoiï,

tcov <7uyxAY;Tixtov,
5

'Ap^a|A£V0Ç

.

teàoç àvaTTà;
àecoç

yàp avTov

1 Au lieu des deux personnages nommés ici à tort par Plutarque, Salluste désigne C. Cor»
'£>;
nelius et L. Vargunteius.
simple prétexte,
àffiraffojxévou;
cf. III, page 16, note 4.

—

,

2.

*ov)A6ta, transcription de
cf.

I,

note

1.

—

Tûv

57uçav(ôv, génitif partit. Cf. àvyjp
rôjv prjxopwv (Gr.gr., § 164).
3.

Le

'Avtôvxwv, quand on monte.
du génitif absolu est

sujet

souvent sous-entendu lorsqu'il est
facile à suppléer (JSr. gr., § 305).
On peut aussi employer dans ces
désignations de lieu, le datif de
relation, qui

marque par rapport

à qui l'affirmation est vraie. Cf.

Thucydide, 1,24,
èffxt 7io).iç

1

:

'E7tiSa(iv6<;

èv Se^îa èa7t)iovTi tov

'IOVIOV XÔ).7T0V.

6

xal

.

avTco tyjç
(aev

"EXOovtoç

4.

l)7T£-

tov paGpov

oc-tuô

sGopvêsîro

irpodfiTaÇfiv

SUtv

'Ev-

.

OÙOSIÇ

{ASV

7

*

âpYJ?;
3

OV
T*?)Ç

aAAwv sàÔovtqc

Tcîiv

As'yEiv

excfc-

lEpOV,

àviovTtov

àÀAa TràvTEç
8è

£V

lOpUflivOV

ixs'Tà

Ré-

£t(7£^-

RixÉpcov

o

6 RtxÉpcov

à7raAAaTT£G0at

Fulvia,

o

<7UyXaGl<7ai

'',

à7U0A0Y7)<70|./.£V0U

U.6TY1A0OV

<W-

Tat; Gupaiç, cotte

IlaAxTtov

RaT'.Atva

TauGa xal tou

X<i)Au6sVTEÇ

TO TOG 2tY)<T10U AlOÇ

A6t T7)V <7UYXAV)T0V

2T3CT0pa

[aeive

Ta;

IttI
icat

toùç rapl tov

cpuAaTTEGGat,
XOtl

d)Ç

8k

Toûto <t>ouÀëta, % yuvvi tûv
tw RixEpwvi, vuxtoç saGouco.

fiÇvfyyeiÀe

,

8t)YOV. 0'. S'

Ispà;

èaGeiv

tov RtxÉocova

à<77ra<70[/.£vou;

SiaxEÀsuaauivv)

xal

MxpXlOV

<7TpXT£UfAa 7

icpocTCeffdvTaç.

yp'/fcaçôai

êuriçavôv

TO

fiVt

êx6À6Uffe çtov)

*

41

sv

a>ç

7ro'-

7.o'yotc ?

ànoAoY"^-

aopxévou. D'ordinaire avec les
verbes de mouvement le participe
futur marquant le but n'est pas
accompagné de u>;; mais ici, le
verbe de mouvement étant lui-

même au

participe, obç n'est point
inutile à la clarté.
ô.

Me-c^Adov. Cicéron,

Catil.

VII, 16
Omnes consulares, qui
tibi persxpe ad cxdem constituai
fuerant, simul atque adsedisti parI,

:

tem istam subselliorum

nudam

atque

inanem reliquerunt.
6.
cf.

*Eôopu6etxo, à l'imparfait,
Gr. gr., § 218.

— TÉXoç,

Gr.

gr., § 163.

moment-là que
7. C'est à ce
Cicéron lança à Catilina la fameuse apostrophe qui commence
la première Catilinaire Quotisque
:
K

(M
tulm

cb'-f

âm

vii

lMii;l-

conjuré* resté* à

— Ses espérances.

Rom*.

I

K

J

j

.1



;

XVOX1

$£
-

-

/. 7. 1

.

1

.

3.
.9 il

pu

formellement

Rome:
<es

il

ne
île

se ronten:

i

v

ordonna
sortir de

lui

de

renflant

lui

Magno me

m>tu

liberabu

dumnu
V.

1.

iT/Aïixç

j.:,

OU

'

I

juitie

meut arracher leoù elles étaient plantées
pour donner

le

signal
(x>t)

</><

à part.

rtll? re.

- I

I

'

|

,

note
4.

—

.17.

§

4.

page

'I

-.//

i
11.

r

H

I

cusatif de relation

comme

8

10.

L'ex-

.j/j.

-

:

gr.

n.

1.

-

Le participe présent msrune simple ter*

5.

On

pouvait

être <k;

du rang de sénateur pour cause
d'indignité par les censeurs. Mais
si l'on se faisait élever de nouveau
par les suffrages du peuple à une
charge curule, on reprenait son
rang.
I

r

i

|

-•, j-
CHAPITRE
atTtaç.

TOtauTYjç
4

(jLteuwv

auyvà

,

Stsçôsipev.

xat

Aoyov

'Ev Totç xaTz 2uAAav ypovoiç Tatôv ô7)[/.oauov ^pv)t/.aTa>v à-wk^s
'AyavaxTouvTo; &è to0 SuAÀa jcat

àiraiTO'jvToç

xàvu

y(opfoç
2

Oasiv

év

xapst^s &è

7?&7oeç, oTav

01

«juyx^YjTcp,

tyj

xaTa^ppowiTixcoç,

xal

icSovai,

s<pr,

43

XVII.

(

tw

sv

j/iv

ovx

(o<ncsp

stw-

"Xoyov

xvr (r/]v,

ttiv

oai-

xpo<7£AÔot>v

cçaipiÇsiv

3

&ta|/.ap-

'Ex toutou Sotipaç TTapCOVOULOCTÔr,
TOÙpXV
yàp ot 'Pw^atot tvjv xwÎjjlyiv "XsyouTi. IlàAiv Se <^txy)V e^wv xal &ia<p6£t'paç Iviouç tùW àixacTGJv, êtusI
twgiv.

oucl

'

â^ecpuys

{/.avaiç

yovsvai to

6a.T£po)

pua

[/.ovov

^7)^0)

toioOtov

xal

f>t£CpOstpav
ïiz'/

xptTvj

xfivaïç

7U£7TAa<7^£va
7

xal

6

surnom de Sura. En grec,
nom propre se construit toujours comme apposition et ne se
patv, £e

met jamais au

génitif après les

motsôvo[xa,l7rixXy](jiç,7tpoaYiYopia.

En

latin

1.

on

dit

cognomen

TajAteOwv,

2.

Oùx

3.

'Ev

I«p»j,

Suris.

cf. p. 12,

refusa,

note G.
GV.

cf.

tû acpatptÇeiv. A cer-

tain jeu de

balle, le joueur, en
punition d'une maladresse, devait
présenter la jambe pour recevoir
un coup.

Malheureusement pour les
amateurs d'anecdotes, comme Plu4.

tarque, ce Lentulus n'est pas le
la famille qui ait porté
ce surnom.

premier de

5. T6 ôoOév. Diibner, en expliquant d'une façon assez inattendue tyjv Oirô tou stepou xpttoO ôoôsïaav (tlrjcpov), montre qu'il
:

5,

àpxetv

Toutov,

yàp

OVTa

ei

yexal

<pÙG"£t

TYJ

KaTiAiva,. içoocxal

^£uoo[/.xvt£iç

aSovTeç

ypv)(7|/.oi>ç

le

7uapavaAa)[/.a

£<p7)

ûxo toO

7i:po^'/îAo0vTa;

,

,

rîoQsv

à/rcsÀudT).

xexivviuivov

£Atc((7C

SiëuAÀsicov

^vj'cpoiç

*

,

eltAgpuivouç

y6?)T£ç

wç SX
eivat

TtoV

8

T/j

n'a pas du tout compris cette
impudente plaisanterie. Amyot
avait traduit avec raison
ce II
dit qu'il avoit perdu l'argent qu'il
avoit baillé à l'un de ces deux
juges-là, pour ce que lui estoit
assez d'estre absouls par une seule
voix de plus. »
6. Kevatç, litt., vides, c.-à-d.
vaines. Cf. en latin vanus pour
:

vac-nus de vaco (vacuus).
7.

'Exttov EtêuAAeîtov. Ces

livres sibyllins jouissaient d'une

grande autorité à Rome. Les devins, pour donner du crédit à leurs
prédictions, les en disaient extraites.

Eî{xap{i.évou<; ecvac, l'inaprès 7tpoÔY)Xo0vTaç, parce
que ce verbe, bien que formé de
8.

finitif

montrer (Gr. gr., § 236) se
rattache pour le sens aux verbes
qui signifient dire (Gr.gr., § 235).
ÔYiXùi,

.
-

.

14

BAP1TRE wiii

i

i

i

i

;

II

sem-

di

-ujet.

ais le ser.

En

oppose.

réalité, l'infini"

>tyle indirect

brement en

«introduit

ont exprimant
seulement

••st

impliquée dam
seulement par

A

|

y

c. Ici

— TaOïx

i

8t les infinitifs

-

employé
seul (ftr. gr..
.

|

2.

verbe

'I

4.

BfOMMO. Ces
:

sort

impersonnels qu'en
!i
prorx

.ne idée

tption

diffrr-

'

i

:

de

comme

4i-

péri»**.' (autre) que.

(«.

2

.

-;-.

client à

qui suive:"
/oùvti;.
1

ti

le

Il
emploie non seulement
après les comparatif», mais aussi
après les adjectif-, adverbes on

jrrec lorsq.

msfcqptM

orme

infinit

maticalement

II

ble

Ce

ver't>e

marque sou-

approche du rivage
en venant soit de la haute mer
soit de l'intérieur des terres. Aussi
est-ce le terme spécial pour rentrer dans sa patrie quand on rient
d'exil

ou d'une

taine. Cf.
4.

v

page 74.

loin-

e
::

xxiii.
CHAPITRE
viaotûv
toov

*

Se
8l

Sicpv)

,

<7TU7T7U£ÏOV /.al
aTu-izéiov zal

/.al

gtov

o'ieKAYi'pwaav,

éîcxTTcp

id>'

TQdaÛTa 2

[AlpYi

oY ÔAiyou

*/i

t'/)v

ôè *ra-

7Vo"AA(ov

'A^Aoi oè

7roAiç.

Ip^pàÇavreç âiuo<y<pàTTStv toùç

e^eaXov

o^stoi»;

eiç

'Pw^viç, exa-

T*?iç

ôjç

àva^avTojv <p>iyoiTO xavra^dôev
toùç

Ôeïov

xrcsxpi^av. "Avôpaç

KeQyfyou cpspov7£<; oixiav

çavTSÇ é/.aTÔv xal

45

XVIII.

ûSp£U0(/.£'V0UÇ.

'AA-

npxTTO(/.£VCOV 0£ TOUTtoV, £TU^OV S7ubv)[/.oiïVT£Ç

Aoêp'
tycov

Suo

Toutou;

ol

tvjv

/.al

JSouayiv,

Tvj

Kai ypàjxfAaTa

f

£7rl

tt,v

KaTiA-'vav

ïas?'

tyjv

xoLLi^ovra

Taç

à'jTaÔfi.vfTwv

xAAvftoiç

iAauvew

P<o|/.T,v

)tai

fieT

HeuGepiav,

tvjv

h

IvTuy^avovTwv

6

Tûv KpovtàSiov (de KpôSaturne). Les Saturnales à
l'époque de Plutarque duraient
plusieurs jours, mais au temps de
Catilina, un seul jour.
Tooauxa.

Salluste dit seuGabinius uti cum magna manu duodecim simul opportuna loca urbis
incenderent (Catil. 43).
:

Statilius et

'AXXoCptYtov.

Les Allobroges habitaient entre la Saône
3.

et l'Isère.

Dans

ces

— II6vY]pa 7tpaTTovTO?.
sortes

d'expressions

SouSi

Oia

$'

àvÔpco—tov

/.al

Siw/.cov 6

yi>vai/.àW
/.ai

Aoyi-

Ri/.spwv,

7ipàxT£iv a le sens neutre de se

1.

2.

&è

tivx KpOTCovix-

fîouA£u[/.aTa ~6vo>

trouver

voç,

lement douze

5

tx tuo^àx

spuo vyfyovTt *al ffuvédei irepiTT^

tov

Suvaire'ffTeAAov

.

aurwv Titov
ImffTOAaç.
oïvou

repoç

toÙç

sA£D8£pc6<7avTa

Trapax.alo'jVT£;

xpoç

aùxoTç

j^èv

xpoç KartAivav sSo-

Se

ypa{/.pi.aTa

ûmcr)(vouu.evGt,

ttev

KarOavav
Xodç

vjyepLOvtav.

ttjv

AévTAOV wçeÀLuouç 7iyou(xevoi irpoç
/.al [/.eTaëaXav ty]V Talartav eTrotTÎ-

auvfcjp.oTaç*

ix.fiï

sav,

tots

or,

|v..zAt<7Ta

(3apuvot/ivou

/.al

irept

y.iY^cx'.

(Tavxo

lôvouç

içpe'aëeiç,

TupaTTQVTo;

7uovr,pà

to

3

'

dans

BapuvofJiévou

tel

=

'EXaOvetv,

4.

ou

tel

état.

—

papecûç çépovro;.
s'avancer.

Pour

expliquer le sens intransitif de ce
verbe on sous-entend selon les
cas
tov ïiiTtov, ou to àp|xa, ou
ttjv vaaiv, ou tov cxpaTov. Gr. gr.,
:

§ 207.
5.

Ttxoç. Titus est un prénom,

nom était Vulturcius.
6.
'EvxufX^ 7667 **V&,

son

con-

férer avec quelqu'un. Construisez
pouXeuu,axa (ToiaOxa) ota x.
3.

:

t. a.
-

UAPITBB l

I

Lecture

d- n

ItttfN saisies.

— Anesta
<!•:

Ce»



•

/.y.

/

1

.

T.'j't'ti

.

vi'/jr/.T.,;



x-.j-.-j:.

I

kOt

~

r :

01.

:/',:

X

I

|

|

Anaphore
h

'.

I

-

-

I

I

I

1

I

%i.

•

.

I

:-•.

— Embarras

tioo des conjurés.

ron.

'jr.,

.

'.)...;-

la

manière do:
:

§

mes propres

'Ht' (de
les)

il

:

et:

.

oreil-

9YTI

.

El
.

pied

.

«lu

mont

k»t|«oéyai
v:',

-Jj

r

exdifférentes
.

nuances

deux con-

-

>te 4.

ç.

prime des

q*e
les

L :>.*<.-

*•">

tends dire)

Ctpitolin.

5.1-3-

;9.

note

7.
Al

CHAPITRE XIX.
TTiyûv
tyî

xal,

2

7cp£7couffav

OOtoç

.

7raG£^oO*/iGav etç a^ea(AOv
â'

HSv]

vovtoç àÔpowç,
toiç

Trpzy[/.a

oixiav

etç

7upoeA6wv

toû

oixi'a

îepotç

|/iv

xal

Ù7raTou

4

toû

xal

-apaj/i-

cppacaç

to

7rapYiAÔ£v

sxeivou yu-

tyjv

Ôsov,

ôpyixy>u(ïat

Je

xax'

yuvaixoç

S '.à

ai>Tà>

&7]f/.ou

Eaat.vsç

ai/r/i

ffU{JL-

<7i>v

irpomp^Oeif,

dbçpppvfToiç

S'

tyî

oî

/.ai

sv

*

toi"; ffTpaTTjyoïç.

KixÉpcov,

'AyaÔYi'v,

'EÔueto

ôvo[/.a£ouatv.

'

yarvuâvToç, iraiS'à

<piAou

'PtopLaîoi

xal

6

7TOAtTaiç,

xaTgîvov

vaîxeç
r.v

Xaxvjv

cp'j

iaOviTa

oùv

{/.ev

ougtiç

é<777îpa.ç

wepwropçupov

tvjv

awfAAaçev

xaTaÔ£t/.svoç,

(JouAvi

cpopa

sTuyyave),

yàp

F'jvaixeiav

Tr

sviauTov

[Jwpoç

r,

Iv

aÙTou,

t

f

E<7TiaScov

tcov

Kixspcov,

6

xal

aÙTW

Ta7ra<7iv

wapdvTov,

àvSpxciî. Tvfv

toîç

à^iXYf[/.aai

oV

Tt6xv£'.,

£TPieiX£iav

é

âvopxci

£V

TY)

vo;,

1.

1TOA61

wppojôst

yevst

yJGquç

T£

Ttjv TCîpcîiôp^'jpov (èaÔr)-

des principaux magistrats.
T9j oujjtcpopa ïçpércouaav,

ypyjGatTO

TupocTjXoucav

28, note 6.
&$eo{Jiov cpuAaxTjv,
en latin
in custodiam liberam.
On confiait dans ce cas les accusés individuellement à des citoyens
qui les gardaient chez eux et
répondaient de leur personne.
StpaTr/yoï:;
ce mot ne peut être
pris ici qu'au sens de préteur, or
Salluste nomme ces citoyens et il
:

—

p/j

xa-

Joxoiv;

ttreu.êai*

SuvaTOÙç

©iaouç
6k

xivSuvov'*

'/ 0'/]<j

X'J.Î-

Où

yàp

n'y avait aucun préteur parmi eux.
4. 'YjïAxov». Les mystères de
la Bonne Déesse pouvaient se célébrer non seulement dans la
maison du consul, mais aussi dans
celle

Edç

:

xal

[7.aAaX(OT£pOV

IX, page

8.

ô'ttco;

oùv
7rav-

xal

aÙTwv

qciç'

tinctif

cf.

,

ÔAiytov

xal TCixpâç

xpcoroiç

togam [purpuram) prxtextam,
toge prétexte, vêtement dis-

2.

5

a [/.a, xal wç

£{A<pop£i<7Gai

X£XTY)(A£VOlÇ'

tov

ê<ppo'vTi(,ev

yàp âxpav

Ta),
la

aÙTOV

Ti|A<opiav sÇviuÀaêÊiTo xal

tyiàixoutoiç

TT ç èçouctaç ayav
v£tv

T£

EicsÀOcov

Trapouaûv.

irapôsvcov

yevo(/.£Vo; xa8'

5.

du préteur.
revéoOou xa6' éatuTÔv,

plongé dans ses réflexions, méne pas confondre avec 7tap'
éauTto Y^écrOai {Vie d'Alex. LI)

être

diter,

=

cf.

yevédOai, revenir à soi.
XpYjoatTO xotç àvfipaa:,

k'vvou;
6.

IX, note
7.

nam

1,

Salluste

page 30.
(Catil. 46)

:

Pœ-

illorum sibi oneri, impunita-
V II

I

w

CHAPITBB
ron à la léTérit*.

sénat

l

i

I

— Le

.
i
I

I

Or »aVj
I

/.

rf

-

|

K

•.

'

;

I

prrdund'
Gr.
1.

"AA/.uj^.

lui

qui ne parais-

se

K ïTixi/

jl:.

:

>

*

:

note

1.

.

no-

f.

:

sont rare*
emier
par ne... quidem, le second par
meque.
l'cioque de la décadence,
on les emploie parfois pour
Li

langue

classique

et doivent s'expliq:.

A

3.

Ai
I!

itçtxi

-:i/o^

Mtp&évOI ^=

=

son

m

al

—

à);
I

.

—

—

dan>

eo parlant du
v
"i suscitât
-

V/

hardi.

-

VlIUilLK

,jr

32.
•';
I
49

CHAPITRE XX.



KlttSptoV

6

(p*/i<JLV

^£TaAa(J.êaV0U<7a

7C0>,tTHCÛV

TOJV

1

SX£lVCp)

Toiv

jcal

Ta

aTUo

[/.sTa^tSoijîcra

7)

T£ 7TpOÇ CCUTOV SCppOlGE

TOCUTO:

touç avopaç

£7ïïi

(ù

cppovTi^wv

ixstvou

TOXp

xœv otxiax&v
7Uap(i)$UV£V

XOtl

o^oiojç ô£ /.ai jvoivtoç

éxatpcov

<piAo<70<ptaç

7UÀ£ï<7Ta /.al {/.s'yurra

o

Niyi&oç,

IIo7UÀtoç

xapà Taç

aô£A<po<;

7roAiTixàç ÈypïJTO

7rpà£stç.

£'

Tv)

TWV àvôpOJV

X£pl Tt(A(i)piaç

StAavôç

tvjÔeIç

stiOevto

cov

m,

6

ytav

toj

eiç

$v

3

Kixspcovi

àxousiv

Èviwv

—

frère de

Cicéron.
ïïotcXio; Niyîôtoç, Publius Nigidius Figulus, savant
très lié avec Cicéron. Il reste de
lui des fragments sur divers su-

—

toix;

TCoAAaç

oOo^p^'av

Kôïvcoç, Quintus,

jets d'histoire,

TCpGCr-

Se

tou
ve'oç

àpyaç,

aù£y)<7£(oç

'Pw^atcov

toc

?i

1. On ne trouve point ce passage dans les œuvres qui nous
restent de Cicéron.

2.

Tots

yEVoj^Evou.

xpàyjJLotTa,

ÊÀsyvov

yovTtov

irpOff-

Kal TOUTCO

7UpwTaç sy wv tyjç

È|/.ëeoYiîC£6ç,

^e

£w.7)V Couvai

ptov.

Spto-

iroÀiTsia /.al Taiç sA7ugiv ecç È)te{v7)v

ttj

[AETE<7T7iGE

Qave,
£'

O 7TpWTOÇ yV(ô(/.Y)V

'

f^XF 1 Faiou Kai'crapoç,

7

ô^ôv

ty)v

Àdywv

<7uy>cA7]Tcp

iv

/

owcTaTopoç

/.al tocç

^è zal

vîSy]

,

§£<7[/.ojT7)

s^eÇvïç

radcvreç

TaOra

[/.ETa

TO

SIC

3

tyjv £<jyaTY)v

slrce

àyOsvTaç

Tj'îteiv

yivopivwv

uaTepaia,

de grammaire et

d'astronomie.
Ta uXeioxa, ace.
de qualif. (Gr.gr., § 161, rem.);
on dit -/pr,a6ai xivt Tt, se servir de
quelqu'un (tivi) pour quelque chose

coç,

à'ÀÀou;

ÈAav-

faco^i'aç,

Aocê'/jv

j/.èv

[/.èv

TCapE'§a>z£v

jxovap-

gtç

8

aAAa

*

Êyyùç

saOcov

jtal

ae-

aXtovat,,

Tiva YvwjJLrjv, rogare aliquem sertteniiam. Cf. Gr. gr., 160 et rem.
5. Atxvjv âouvac, expression
passive dont l'actif est Sixï]v ),aoziv{Gr.qr.,% 215 et rem.).
IIpo-

—

crrjxeiv

6.

(s. ent.

Néoç

ocùtoùç) àxôsvTa;,

a>v Ixt. Il avait trente-

sept ans.
7.

~H, grâce à laquelle.

comme en
voie,

latin via,

— 'Oôoç,

en français

passe facilement du sens de

chemin au sens de moyen.

Aa6/]v

8.

7capa5i$6vat,

comme

8.

Twv

àvôptov,

les

complices

de Catilina.
4. *Epu>TV)Qetç
gatus sentent iam. A

^6>l^,
l'actif,

ro-

èpouàv

Xaéyjv 7iapa<r/etv, fournir
l'occasion. Cf. le français donner
prise et le latin ansam prsebere.
9.

~Hv

= È^v. — 'Eyyù;

Là où nous employons

êXQcov.

la tour-
.

I

i

o
i

K

I

<

Wl

HAPITRE
•lu

lél

'DfUmiuUon de* oonjwA».

I

~
I

I

(

K3 t /

:

.

'

.

•

tfopimer.

*.'

Ainsi
-

rtntim

>


.

t

r:

-

infin.

•ie

ron.

I

est.
;

.

j

'

leur place.

ioscmwtqw*.

L

Baptfttft

1.

an jet
le

'.^r.

cour?

:

mode da

dis-

conser.

-

Ma

t
.
i

S

'it qut
j plutôt nssocifs
-

-

salut qh
r

uocié

perte.

-'.:r

VII. où tonte cette phrase se
trouve transposée a
aar demandait la détention
à perpétuité et sans r> mission :
Plutarque attribue ici à César
Xéron.
l'opinion de 1
notplus
"xav^scôxo-j. qui est employé
dans la ri
ch. VIII.
i

/

',:

i



.

c.-à-<i.

lui

(en

.
CHAPITRE XXI.

51

Aùto^ yàp àvaGTotç éve^eipYiaev
sic é*a-irpoTepa, toc oè Tvj yv(6[xv] RafcaTa j7.£v ty,
'

t>,txpàv.

T£oov,
pOÇ

(7l»V£l7T(i)V

AuaiTsAav

Kaiaapoç

ttjv

tixiç làeffôai

auToç

ôors

pt.ô^AOv,

6avaTix.Y]v

£t7T0!.

'PcouLaicùv oixviv eivai

{ioi»A£UT/i

3

Etpv)(/.svviç

Se

Tw

xai

T(ov,

Rateapa

tyjv

toç

cuyxÀviTOv,

tyjv

layxT'w

<ï>ç

7CpÔT0Ç

yàp àv$pl
àvT£XpOD<7£V
7

eiTa

&ia$sc;x{z.6vo;

J

Quu.oO jcal

GàvaTov

'

em

<7i>v£7w£p£i<7a;

ÛTCovotav, êvÉTTAYiffe
o>(7T£

où^

to SeapuoTTlpiov.

ccpobpw;

Ao'yo)

al-

StXavov aùBiç

Àsyetv

xai

yvoipLYjç,

tyiç

R»:taoç AouTàTioç*

aÙTY,

tÔv

yv<t>[JMr)V

ev

yàp

xvopaç) YipouvTO

toi>ç

2

T(0 RixiptOVt

(y.ttov

xaî

7rapaiT£i<7Ôat

a£Ta,êa>,Ao[/.£vov

0'!o'j.A6VOl

yv<o[JL7)V

OavaTcocavTa

[/.Y]

SsuTspav

ty]v

T£ <pi^OL 7TXVT6Ç

01

,

RàTOV

<ppov/i[/.a-

/.aTa^Y^iiracOx'.

tcov dcvooûv*

&è

ITspl

à^twv

oùx,

Ao'vTa;

6

vpnpLaTwv

$7i|/.6u<76b)ç

toc

cptAàvOpwTua tqç

tw

evl ypv)Ga<70at

1. 'EY/etpâi, pour èicixetpài,
qui est plus usité au sens d'entreprendre de démontrer, discuter.
Eîç éxàxepov, en faveur de
l'une et de l'autre opinion. Cf.

—

Mor. 955, E; 1037,

B

:

ol

et;

in
Xdyot. En latin
utramque partent disputare.ïïn réaéxdcxspov
lité,

:

Cicéron montra qu'il penchait

pour l'opinion de Silanus. Cf.
Catilin., IV, II, 13.

napouTeÊcôat repousser
2.
{sa première opinion), c.-à-d. la
rétracter. Cf. Vie de Coton, XXII
,

:

-tXavôv sSjapvov
x.

t.

a.

—

y a même,

ilvcci

xaDiysiv

toc

'Avôpi PouXeuxrj. Il
Vie de Caton, XXII,

àvSpl 'Ptofxaito.
3. E6pYjjj.èV*iç, et

On

dans lamême

voit qu'on peut
employer le génitif absolu lors

phrase

a.ùxr.

IviaraTO

Raîcap,

iauTou yvco^ç lîtêa-

<7x.'jOo(07UOTàTco.

môme que
se trouve

le

sujet

Bia£o[/.e-

du

participe

exprimé à un autre cas

la phrase. En latin cette
construction est fort rare et ne
doit pas être imitée. En grec
même, il semble qu'on ne l'emploie
qu'intentionnellement pour mettre en relief l'action marquée par
le participe elle devient plus fréquente à la décadence.
KàxXo;
Aouxcmos, Q. Lutatius Catulus.

dans

;

4.

—

AtaSeÇàpievoç, succédant à,

c.-à-d. prenant la parole après. Cf.

en latin

excipiens

sermonem.

—
—

Kâxcov, Caton d'Utique.
5. "iiaxe (s.-ent. ocvxyjv).
Tà>v àvôpwv. Ce génitif ne dépend pas de ôàvaxov, mais de
l'idée contenue dans xaxà (contre). Cf. Gr. gr., § 167, 7°,
6. S.-ent. (aùxoù;) ÈxêaXdvxaç.
vie di

>

>f

BAPfTRB Wll

I

—

ré*

cwpWl

Kcbec

d

.

'

I

,

m

I

1

a

rr,(

-

-

/.v.

Q

T7

-

ÉOtoX

10

:

1

K

xaTOYocYti

T

T

(

-

i

.

-

-

.

T07T7:

;

'

U.6VOVTOC,

—

:

<m.

T

.

•

.

ns ac«

F>

i.Tûv arpat t i yftw Ct XIX,
3.
W
'Itp&ç
L
iik
,

,

le

•oir (ir^c

qo

forum.

—

tam

ru* J*.
aie racine

:

-

t

rigu et J

'

llr.
I

: I

ïitmnt faire.

.al-

:

lusion aux mystères.
5.

Le

Tuliianum, cachot sou-

terrain.

Ce mot

a

6.
;

e:.-

'

v

-

raiMitif.

.

il

jit

j
CHAPITRE XXII.

53

sÇaoTCayTiVat, cpOey^àfAsvo; ptiya xpoç aÙTOuç, « "EÇr,TO.V

»

'

£l7T5V.

6ï

OuTfc)

'Ptojy.aitoV

01

$Uff<p7)|A6lV

(/./(

àyopaç âvéëatvev

sic

fiouXofJUVOl TO TsOv^Vat <77)(/.aiv0U(7lV.
2

"H^yi &'

Y)v

£<j7U£pa

OtJCtaV, OÙJCETI

TTjV

7rpoTPe(/.7udvT(i>v

Teyôv

7rpoûWivov
:

,

ùtuo

<5v

5

7ro(/. 7r7

01

7T>,£Î(7T0l,

yo&ou;

xal

ektyi pivot

&tà
y*^v

oà

oï

xal

6

cpwTa,

TZoXkèc

jtat

Sa^a;
twv

yuvaix.EC ex

osa

àviovroç*
7

XaT£pya<7X(/.£V0l

xal

affETarjXaxoTEç

Gpià[/.£ojv

àv&poç,

toO

crs^vw;

^.x).a

T£

7UoX£[/.0'JÇ

xal

At

Ti|«j

àpiaTcov

tô>v

j

Ta

/.tigtyiv

jcal

>.a[/.7?£$ia

ôupaic.

bel

xpoTOtç o£yo-

jcal

scùTYJpa

,

ttsvcotto'jc,

sxl Tatç

'

i(7TavTc»jv

3

T«^l

XOÀITWV OÙ6s

àl),à cpcovaîç

TCocTpiooç.

tyjç

toÙc

•/taT£>,a^7U£

ot'

TtoV

yEVOixo

oi»c

àvaxa^ouvrcov

xal

C7l(07infi

ocùto'v,

1

jcaô

[i£V(j)v 9

,

ÔaXaTTav

J7.E-

irpocr-

oXtymv, èêàSt^ov

oùx

àvo[/.oXoyou|/.£Vot irpoç à^V/flouç ttoàXoÏc-

(asv

twv

to'te

/

7Îys|/.o vtov

xal

<77upaTïiywv

xal Xa<pup(ov xal

7wXo'jtou
c

Suva[jL£coç
>,£iac

1.

ai

^aptv ocpEtXEtv tov
xal

TtoTYiptaç

"E^Yjoav, rixerunt. On

Ivl

s'at-

tendrait an parfait èÇrjxaai, car
rixerunt a dans cette expression
ia valeur d'un parfait (vita transacta est) et non pas d'un aoriste.

Quant aux formes

zC^go. et iÇrjxa

{Vies, 954, D), les Attiques leur
substituent èéîwv et psêiwxa (Cr.
^r., § 83, rem. 1). Cicéron et Sénèque traduisent vixi en ce sens

par

le parfait grec. Cf.

Epist.,

XII

:

SÉNEQUE.
ou (k-

(Jeêtiotai

,

@uox6 selon les éditions; ClCER.
Ad Attic, XII, 2, et XIV, 21
(îsêicoTai, vita transacta est.
:

2.
</r.,

"HÔvj yjv éa?cépa xa£. (&r.
§ 353)
;

(ToOtiov) *aô' oOç Y6votxo, devant lesquels il passait.
On a l'optatif parce que l'action
3.

P(0[/.aicav
[xo'vto

8

KtxEpom,
dans

se répète

Sr^ov, â<r©a-

le

tyi^i-

passé (Gr. gr..

§ 272).

'Ioxàvctov

4.

(s.-ent.

twv

TToXlTWV).

TêYOç,

5.

en latin

cf.

toit,

comme

tego, tectum.

axéyoç;

— ITpou-

çxxtvov, éclairaient.

Ot àlptoTOt,

6.

optimales.

KaTepYaaàjJisvot.

Cf. en
en français orAe»er.
EîaeXauvstv, entrer, à cheval ou sur un char. Plutarque
7.

latin

conficere,

—

dit

aussi

elasXa-jvetv

0ptau.oov

301, F) ou eiceXaûveiv
ôpiajiêsuwv (H«s, 625, E).

(Hes,

—

lIpocxT^CTÔat , ajouter par
conquêtes (à la république).
Vies, 11,

E

:

npo<7XTYj(7àu,evo;

ses

Cf.
tr,

'Attixvî Trjv MeyapiXY)v.
8.

"Evl

jJ.ôvto.

Etç

se joint
I

I

I

:

K7-



.

:

I



CHAPITRE Wili
Les ennemis

n essaient de soulrrer l'opinion contre
Il

de

'

la patrie ».

>

rtiïV

/.al

7

.

.

:

Kr.r/.y

,

I

>yr-j.y.:y,

Br.tfTlflW

rou

^y.;

<>

-

-

:

/.y

M«

.

fo

-7:1/7

t

K*./.
:

»

qnelqnefoi* à pAvoc pour marquer
tartemeat

—

.

Lùn

K

ux
1.

I

•,

attl

foou,

et

m

ment

des

propositions

verbe*.

plus loin

.

rticle

suivi de l'infinitif
suivi d'un

:

L'adverbe xxxû;

•.

nnel^ for-

I

fl

.

u.

Cf. page
$ 216.

.

tu>v. //.« magistrall'année suivante.

complé-

a

r

ïre tribun

1

-

peuple.

•

6.
..

£»p

-onflurrt.

Je à.

11.

T«I>v iu€o>.u;

note -.
explique

—

:

Ils

lui

t

dirent

dm
.

CHAPITRE XXIII.
6svts;

pzQpa,

yXk'

èx&suov,

à7uo[y.oc7avTa

wç

rcapieffav

K&csivoç

Jtai,

y£vop.£V/)ç

TTûOTiXôt*

ô'pjtovj

'Ecp

1

O7)tJt.0Ç

jcal

no (JWTVllOV

t£

p.£Ta

t<yy)ç

tov opzov ai»TÔ

<^£

tw

Kucsp<ove Tapajràç epr)
aÙToîv

T£ ovfiAapyoi

ot

xal

y.ai

rcàcT)

toTç

w;

aùxto tcov

7T(o7tot£

tloiTépa

lFpOffayopeuff«E

monter à la tribune

(?),

fiouXoixo xaxaêaiveiv u.6vov...
à7rofJL6cavTa, s't7 consentait à desîi

cendre après avoir simplement prêté
le serment. Cette traduction suppose que l'on a p.6vov à7TO(x.6<jaç.
Expliquez 'ÉxsXevov xaxaèaîveiv
{jlovov à7ro[xd(îavxa, el poûXoixo
ayant seulement prêté le serment,
si toutefois il jugeait à propos de
le prêter. Le magistrat sortant de
charge jurait se nihil contra leges fecisse.
'Etcc. -çoO-cotç
1.
avec cette
ron dit ion.
:

/.axaXuGOVTa

oy]

'AXV

r,v

o<pe),o;

8r |/.ap^wv

iuo>.st

tyî

(

à—

7ToXiT£u[xaGtv

èxeivcov

^£

xo&etv

etffvfvÊTO

^uvacTcixv.

1

&oç/)ç âvTiTadffoiJtevoç.

T£ yàp GLXkx pxSuoç â'iuo^,
àuva<7T£tav outw; Yipe tô ^.oya)

),suov) (/e

xat-

Kafcap

Ta

ti[aocç

(ticotty;;,

T£

IJoixTÉaç, [/.ei^ovoç

fJt-èv

'

7raTptSa xal 8iaT£-

GTpocTiaç,

Tf,;

Kr/-spa)Vt

KaTcov

tot£

xutgj

ïàtov Tiva /.ai

'Eicw[/.vue

ûtc

v6[/.oç

Rtx.£po>voç
toj

àpy^z

toutqi;

6irt

•"'

^avàvTO,

(iiya

,

ïti [j.aTAov o

otç

xkV

Xeyeiv.

tt,$

'.

5^a>.s7çaivovTsç, oiXkoLC,

/1V

3

aeccoKsvai T7)V

(/.-/jv

•/)

TYipvncévat t/)V 7îy£jj!.ovtav.
GU[i.77aÇ 6

wept

(xovov

y.araêatvav.

,

où tov rcarpiov

xttcÔ[/.vu£v

èiuéTpsTCov

oi»S'

fiouXotTO,

et

2

6|/.oG(ov

vôv

où

OO

xaî ty]v

Kixspcovoç

Ô7][X.Yiyop7i'<jaç

ps.6yi<7Taç

wtts

,
fi

<|;y]<piGa.Gdai

TCXTpiSoç.

xots

IIpcoTG)

yàp

formule d'affirmation dans les
serments.
Xedwxévat
sur la
manière dont s'introduit cet infi nitif, cf. XVII, note 8, p. 43.

—

4.

:

(Populus Iiomanus universus)

meum jusjurandum
tum, juratus
conscnsu

ipse

atque tanvoce et
ClCÉR., In

taie

una

approbavit.

Pisonem, III.
5.

KaXetv

:

remarquez

la

ma-

nière dont s'introduit cet infinitif
pour expliquer en quoi consiste
cette loi.

,

'Oji.6oci>v.

2.

que
3.

:

Forme

classi-

(Gr. gr., § 119).
«àxptov ôpttov, le

ofXO'jjxevo;

Tôv

serment traditionnel.

—

^11 (xyjv,

6. M''7)<ptaa<j6ou, ici '.faire ro-

—

Cicéron dans son discours
contre Pison (III) raconte que
Quintus Catulus lui donna le même

ter.

nom au

sénat.
M»

!

I

I

BAPITRB

WlV
pM U

iclot

d roi une

«lu

-

1
I

i

nxl



)•;.<,:

/-r//

1

Mj



,-

t

;

(

v.

|

y/.;.

XCtlK

7./.T',

I//7.7.

Tt$ &* ixaivtttv

1.

une

om }«>tt

roxr

If

'i

la teet

U mu

rf

•noêt.,
-

Ilv

il

par exemple.
.ro position a

(*:>*,
lemer,
I

u.:tov

.

.

à

remarquez
'.

i

.

le
•

I

sens poneei
|

)mae
alors

que l'idée de dire es: seulement
suggérée par ce qui précède. Cf.

mm*

on

pe-mt le ti-

rer Je set trurres, c.-è-d.

comme

—

m

note BL
Fi
tionu a m
fondent Aristatelft
.

WV),

—

-

èyxto-

iru
:

rem.

mm

•-,.

II,

XXXYIII,

§

I
-

CHAPITRE XXIV.
'ApiffTOT&ou;

ort ^pu<7toi> 7TOTa[/.ôç

,

^pyjdÔai

7w£(puît£V

outw

,

iïioLkzyoyÂvou
2

<ppa<7TOV gtwOet T0UÇ7JV IOIO.V

^oywv

At)|/.og6svou;

GTOV

£Îvat,

TOV

KucépCOVOÇ,

[X£yt(7TOV

77po;

Y)V

tcov os

At)|/.0(jÔsV/]*

7co^a^ou

Taiv

[/.gyaXwv

XP^ Tat

.

Xo'ywv

<Woi7)

T0 ^

'AvTtOVlOU, 4>'Al7?irUlOÙç £7T£ypa^£V,

ti

Tiywv

ysvscOai

1.

6

tw

ypàcpcov

7]

^oywv,

tov

6rt

:i

TQl>Ç

àu.V71«/.OVO'J(7l.

y.%1

irxpx

Ilepî

7t£pi

éx.à<JTOU.

cp'Ao-

Kaisapoç apyovTOç

:

pour

tûv

II/octcovo;

oiaXoyfov (outio tyjv yvto(xr|V elxsv)

toO Aie;... outw GiaXeyouivou
c
lî; signifiant ç-we, cf. GV.
gr., § 311, rem. II, voir p. 26,
note 1.
Héçvxev avec l'infinitif, cf. Gr. gr., § 291, rem. 1.
to;

x. t. a.

—

XLII,

lex.

E

:

Kpoc-

'Pw/.aiw

TCept7uaTY)Tix.w oie7upaç;a.To (jiv

*ûç ôtaXeYojJiévou

:

scwo'jSaffs

eÙ^evco;

se rendre compte de cette tournure, il faut se rappeler que l'idée
de dire et de penser domine toute
cette phrase. Cf. note précéd.

Entendez

£7Tl-

£<mv oùoVç, ôv aux fconiaev svSoÇotsoov

oOx.

jlmtip oè

TO'J

£V

îtott

svoo^wv âwô Aoyou

Si xar' ocotov

T(OV

Ça>V7J

âvopoç,

/.OCT'

vî

TtVgÇ

*

'jtcovikjtx^siv

oùç

Taiv

fcd&Xt-

£ÔV]X£V

icepl

ço<ptaç

loyco

si

6a'j»/.a©TÔv &7?aiVQ>v,

/.al

i&ttov

xai,

Tôv ^£ 060IIspl Se twv

£77l<pU0VTai

7r£ p'
t

[/.xÀi?Ta Taiv

.

KaiTOl

817Ç6.

TtVa TCOV £ToiptOV

ypx^aç, Êvta^ou

ttoV/j

Tiva

3

OY)[/.0(7Ô£V^£IV

7TpOCr7rOlOU^£VWV

Aioç,
*

OCKOKOCktlV

èp&>ry)ôeiç,

péovToç*

sïv)

tg>v IlAicTcovo; oiaXdytov, o>; toG>

TTSpl

otç

i)i

otswoàÇaTO

TiSyj,

îlot; ïSîoiç;

Mor. 237.

Tov;

Trad.

:

ioiôu; aiôefoôai 7carépa;.
ses délices à lui.

3.

T6v

Jeune

(I,

t^ÉYtoxov.

Pline

le

20) nous rapporte qu'on
disait aussi de Cicéron
M. Tulliiim, cujus oratio optima esse fer
tur quae maxima.
:

"Eftb^Oovcai, attaquent
4.
avec obstination, s'attachent à. Cf.
Vie de Périclès, XIII vie de Dér
most., XIV. Au sens propre,
teS,
;

I

ClCÉR.

Brutiis, § 121. Jovem sic
aiunt philosophi, si grince loque-

142,

voi;, se

retur, loqui.

pements.

TpvxpYjv tôtav. L'emploi
au lieu du génitif du
pronom réfléchi paraît se répandre surtout au premier siècle av.
J.-C. Plutarque en offre d'assez
nombreux exemples. Cf. Vie d'A-

5.

2.

de

tôtoç,

B

:

èîticpueCTÔai

cramponner

Remarquez

de

le

toî; xprjfxa des escar-

changement

construction
àu.vY]u.ovoO<r
tôW £7iaîvtov... xai ôti x. t. a.
'E7C£Ypa^ev, cf. p 103, note 1.

r

—

:

6.

'Pu>{j.ac<»>

pourrait y avoir

.

YSvéoOat,
c

il

Pwu,aîov. Cf.
«



-

K

:es*l

11

J:

I

K

!

I

I

.1

:

.

-.

Il

i

I

CHAPITRE 
Bons mots de

I

-:',

j-.i

y.

-

l.
l

.

Ces

'

•

pen-

-ait

~

-

/.-/.

~

Me

&6xt.

y.,

<

/.

.

:

~

Ilaox h
pas a

L

avoir à ces

hon-

traction ordin
inîîn.

:.

r
I

r

I

|

k

du

Athènes

de Cicéron.
v
pas confondre ce Gor-

fils

fameux

le

s>

contemporain c
I

lettres

fih

g recq

I

/

'/.TV.xwv

.

•

>

mi

tait

la vo'
•

•-••

:

Munatiur
Planons Bursa. qui fut plus tard
lui-même et
accusé par
.VU.
condamne.
note 7, page I
I
CHAPITRE XXV.
à7UO<puycov

ty]V

£/»£Îvoç

Stîtïiv

Saétvov, otjTw ^ÉysTat
oWt'

gtiTÊÎv:

£V

Cpom

<jga»JTo'v

Rpséccov

$è

2

|i.aTOç

wç

loi^optov aùxov,

aoTÔç

gxgïvoç

£t7T£v,

Où

«

T^oyov

(3-/)-

dXivaç

aùOiç

yàp IvTauOa

JNai, » çvicl,

ce

))

yu^va^wv tov

çjcotoç

àwô toG

^[/ipaç

[/.gÔ

iiuvivgiç;

Tj{/.âç

£V£X£V

^6Tviç

'

ty]v

))

gyx(o[ua^cov

xal

£i»*/ip!.£p7]G£,

Rtxipcov,

wo^ù

gjjiou

TÔ) OUCa<7TY]pi(d TCgpi^g'avTOç;

Màpxov

Tûpwviv

oûx

?

ûcÙtou

w MouvaTie,

Ixetwqv,

yocp

8.x

àx£Cpuy£<;

Sixtiv

£Ta?pov

gdt'antgv

7rpo7T£(7£tv ùtt' opyyj'ç 6
l

Su

((

59

« pig-

cpaolr,v

£iç

ûtto-

Ô£<71V ».

El7UOVTOÇ
*Pw|/.Y)

£V

u<7T£pov
7ra6cov

{àg£l(t>XgVai

tout'
t$£coç

"HtSsiç,

«

xal

xxou<70[A£VOi>ç

Ti

«

);£yovTo;

»

RpàtfCTOV

|7//]O£V0C

g£v)XOVTagTiaÇ,

[/.OCXpOTgpOV

xai

gtrcov;

»

o

1

1

iyw

Tw-

«

gçvj,

Sià tout'

àv

glô

k

goVjf/.a-

)).

j.psoTCgo*9ai

tx'vtoi;,

'OpX

((

TQU KpXGGOU

1TOT£

àpvoi>[/.£Vou

:J

{/.xiouç

ywygiç

<^£

^gyouatv

oii
'

U.^1

<^£

tcIouciov
(/.xXXoV,

givai.

))

Rpxcaou

tou

StohxoÎç

cpïi-

tov xyxÔov x7rocpxivou(7tv,'

£ivxi
))

tolç

£l7î£V,

Aigêe&^gTO

((

o'

OTt 7TXVTX TOU (JOCpoO
giç

cpi"Xxpyuoîxv

o

Kparooç.
'E7U£t

0£

TOU

RpXGGOU

TtOV

XXtOOJV

6

£T£0OÇ,

rdcp s'explique par une elSi tu agis ainsi, c'est donc
que... (Gr. gr., § 346). L'interrogation est ironique.
Cf. Quintilien, II, 17 : se tenebras offudisse in causa Cluentii gloriatus

quelle siégeait le général. Cf. Vie
de Coriol., X.
3. TC îcaôtôv : sur cet hellénisme bien connu, cf. Gr. gr.,
§ 228, Rem. I.

est.

'Eôyi^aytoyeiç, tu cherchais à flatter le peuple. Cf. page 33, note 2.

1.

lipse

:

—

xo> PirjjJLaTOç, du
2. *Aîtô
haut de la tribune aux harangues.

On

appelle aussi (3rju.a, le
tribunal, sorte de plate-forme élevée que les Romains construisaient dans leur camp et sur la-

4.

Atà to>to, par ce moyen.

—

5. "Opa est construit avec {/.y;
par analogie avec les verbes qui
signifient craindre que, prendre
garde que. Trad.
Prends garde
que ce ne soit parce que (ôti)...
:
Jl7

Ut



<

M

IIMMIIII.

W

I

1

K

i

1
I

i
I

I

:

I

I

i

1

:

i.

: I

7

Qpoa

Ji

b6q

-

le

de

for.

.

J.

<^e

jeu de mots qui
9



nom

mme

;

siimifiant dig>

la

racine

en latin dap*

et

dapi-

n

comme

adjectif
naturelle-

-ible.

Plutarque (J/onneàce mot une >in«ruliere
îr.

"

Bxttvta'j

4.

nom

se tronr*

chap. IX, d'où Ton v..':t combien
il
est difficile de tirer de ce*
aortes de transcri;
gles précises pour déterminer la

prononciation ancienne do. grec
.

latin.
'

CHAPITRE XXVI.
OTt

rjOLQÙÇ

y copav

Katcapt,

Ss

'Eicel

>caTav£jj//)0^va'.

l^ixryepaivov
Tt

ojxou

~

gv

wv,

«

,

Kaf/.i?avta

xoXaoI

,

Ae&cioç

{JouA-vi,

tyj

aÙTOO

GTpaTtwTatç

Totç

£è

Il60l(Z.glVCi)|X.gV

,

[i.èv

Fg'AÀtoç,

wç où

eixsv

6

Y.OLY.d^^

èv

tyjv

^7)<p'.<7a[/.svco

TcpgcêuTaTOç

TOÙTO £ôVTOÇ

TOW'jV à7TOAOtTO

Ko./.OÇ

«

£/f

Gl

yevTQdgTai

» Ô

Ktfcgpcov

« [/.axsicv yàp où/. atTfitrat FgAAioç uTuepôeciv.

g<p*/]

*Hv

'Ojctocouïoç

Tt;

Je'

toutov

xpoç

ygyovg'vaf
Kixs'piovoç

Ttv.

ev

»

Atêuviç

g*/.

Agyovxa

^tîcri

Kal

«

gÇaxotieiv,

a*/i

gytov

atTtotv

»

s^etç

oùx,

{/.viv

toO

k

g i7U£

((

TO OÛÇ àTpU7T/)TOV

MgTgA^ou
yap

Aoyài

CCVYipyr/.gV

»

•

Nétccùtoç

Se

Ta(/.apTUpÔV

J

(7UVY]y0pàW

7]

iriGTgwç

«

scpr,

»
oti 77A£tova;

giTCovToç

<7£<7Ct»C£V,

gv

ifjtol

«

twAsqv

îcoc-

*O(A0yj

iei-

vottito; gtvat. »

Nsavicaou

tw

oap(/.axov

AgyovToç
«

gcpy)

Trapàc

1

(/.gO

PouAoptgvou
(Jvftoç

1.

est

Y]V

goo
rïè

jtat

a<pt£[/.£voç

5

j^aAÀov

vj

«

Tc'Xax.ouvTa

piogvt
Ù7TO

Kav.oç xax&ç à«6Aotxo
une expression toute faite

maie pereat en latin.
à peu
pris : sur cet emploi de xtç, cf.
Gr. gr., §201 et rem.
3. Macrobe (Saturn. VII) ex*Oji.oi xi, presque,

plique ainsi cette plaisanterie
Octavius qui natu nobilis dicebatur, Ciceroni recitanti ait : a Non
audio qum dicis )). Ille resjwndit :
a Certe solebas bene foratas aures
:

T(ov

aÙToO

,

£V

».
TtVl

gtmtv,
,

»

xavTa

&è

7rapt£VTo;
oV.oc<7tg)v

xai

Toîïto

auvvîyopov [AgV aÙTOV

'*

comme
2.

Gpacuvoaivou

,

7rapa AaêdvTOç

gTg'pwv

xÀazouvT'.

gv

Kty.£pcova,

tôv

pouAO(Jtat

Stictiou

Agygtv

gyovTOç

os$a>%g'vai

7ra.Tpt

ÔTt T^otSopriffgt

Ilo7UAtou
StXY)

atTtav

Ttvoc,

r^£

7$7)

ûç
ty)ç

haberej). Hoc eo dictum quia Octarius Libys oriundus dicebatur,

quibus mos

est au rem for are.
Cicéron a défendu ce P.
Sestius ou Sextius dans un plai-

4.

doyer que nous avons encore.
5. A^Aoç Yjv à<p&£{jievoç, cf.
Gr, gr., rem. II, § 316.
Le sel
de cette plaisanterie, qui n'est pas
très apparent, consiste peut-être
en ceci
« Profite, dit Cicéron,
pour parler à ton aise, du temps

—

:
1



.1

1

!

•

M

N
I

1

II-

 iwrrc



S

<~

1

i

ttrfh
/.y.

l

)

'.'

/.

-

M

K

'

•

I

'/,7

-r.'rOflti

quel-

-.j.'jr

vot).

un homme pnbU

I

terminé)
u (le pr
tu ne seras plus qu'un a
•

levait

passer po.ir kivard.
l.

Kopuaoç ,

jwrispentmi.

e
>

k

ci

(a,

de dire

qu'il

t du nom du

"'<"•

j-',z

qui pas*- pour
de la rhétc.

ien
r

I.

:

,

-e

—

ba»

était
<x
1

on

inven-
I

CHAPITRE XXVII.

63

CHAPITRE XXVI
Bons mots de Cicéron

TÔ
&'

st'j^e

olç

<7uvY)y6

juiroç

My.px.ov

àaç, "ASpaaTOv

SUX10U
YTQV

4
,

I

Âx.ùXAtov
3

â'v£'/ta

padiw Si

2

e^ovxa

,

îtal

àvTlOt/tO'J^

(JKCàfJL-

pYjTopiîcov

fitvat.

toO yslotou 7UOXÙ

toutwv ôTaya.

&uo

ya[x.€poùç <puyz-

éx.àA£t.

KoTTOt

0£

oox.£t

'

7upocr/.pous'.v

ocutco.

~ pOÇ

71

mîtpoTspoi;

^p^rrOai

|/.oc<7t

to

OÙV TTOO; £^8pQl>Ç

[/.£V

(Jvn),

T71V

ê^OVTOÇ

TIU.Y)?IX7)V

«piÀOlVOTZTOU o' OVTOÇ, U7TaT£taV

àp-

Ô

Kl-

[7,6TLb)V

twv (piXcov /.uxàco iFepiffTàvTWVj
COÇ
S7UtV8V,
(C
U.7Î
'OpOôç (poêocrÔs » élire
U.Ot
yevvjTai ^ocàetcûç 6 tijatityiç ô'ti u^wp Twivco. »
/ipcov

gSi^Yjffs,

x.ai

((

Bwzwvioj

5

S'

ocTûavTvfçra.;

ayovTt

1

éauToiï

(/.fiO

Tpeiç

àpLopcpOTaTaç ôuyaTÉpaç àveçôsyÇaro
« <J>OlêoU TCOT* OU* £WVTO<; £<ITCSip£V TEXVOfc 6 .

Mapxou

àè

Ffi^Xiou

ysyovsvai, Xafjwrpâ: &è
llbxpoxépotç.

1.

cf.

le

—

motif
2.

:

ypocu.-

ne cherche pas à fuir ou qu'on ne
peut fuir.

XP*Ï~

forment
sujet de âoxsï

4.

'Ttwzi-*.'i

sure^ TijXY)Trjç, le
note 6, p. 12.

àp/^,
censeur.

cenCf. I,

la

'PriTopiy.ov, cf.

intérieure

ou

le

en vue de.

Màpxoç 'AxOAA&oç,

trans-

Marcus Aquilius.
"ASpaoTOç. Ce roi d'Argos

cription de
3.

(i-syàV/i

62,

Les

—
— "Evexa peut mar-

p. 21, n. 4.
quer la cause

y.al

£A£u9spcov

(pcovyj

tOoci et tô... 7tpo<7xpouetv

respectivement
et de (Tuvyjye.

&,

oùx.

tyj

page

note 3 et 23, note 4.
propositions infinitives tô...

^oxoOvtoç

))

et de Sicyone avait pour gendres
Tydée et Polynice qui tous deux
avaient fui leur patrie. Notez eu

outre que àôpacTo; signifie qui

5. Biottwvtio, transcription de
Voconius.
G. Litt., Il a engendré des enfants contre le gré d'Apollon. Ce
vers, dans la pièce d'ailleurs in-

connue d'où

il
est tiré, devait
être appliqué à Laïus, à qui l'oracle d'Appollon avait prédit qu'il

mourrait de la main de son
s'il en avait un de Jocaste.

fils
ï,

I

I

.

i

:r,v

:

IIU'IIHL WIII

<

(

—

ron.

•

riixlia* pénctn- rhe*

Dé

I

Cotr
II

à l'occaatoo de*

eai accru*.

/.

!

'.'-

>

i

Z14

j

1

1

/

[-.

K
:

-

I

I

|

I

I

7

;

-

K

:

nui

/.-/•.

7

•

k

-

•
.

Encore un mot
obscur pour :.
•uir

ré,

lu

publics (

ueut:..'

ofl

:

4.

aient

On a songe
t

16,

note

3.

ron jooe
sur le double sens de ce mot
afficha*}' d'urne rtmU e: pro*crip-

q

;

ression

page

- r

:

i

à haïr

;

f.

M

h
.tnt (;iu

ZdXka

aaeex

1 .

se

é

g

de>

Publina

eai

I

les

C

.cher qui

montra plu-

tard
de Ciceron.

t~Wl

m

l'ennemi

célébraient

mystères de la Bonne Déesse.
IX. rage ;7, note 4.
CHAPITRE XXIX.
ATfcscOai

7îl(e

Qç

yuvaiy-cov.

TCOV

7j7TOp6l

cWSùç

TûpOÇ

IIo|i/7r/)iaV

stores vuktoç

c^'

xal

oioocov*

ôepaicatvlç

TY)V

65

oùuav

sic

[/.syàV/jv',

aÙTÔv

îooucra

[/.YjTpoç,

^TYjffev

7r'Aavc6u.£vov

AvpyiAi'aç, ttjç

TCOV

(/.ETOC

Raïaapoç

S' âvayjcacrOsvTOç aÙToG

ovo^a.

<t>6éyEa<76ai

<7a.vToç

àzolouGov Ilo^7U7)ia; £y)T8iv 'Aëpav TOUvo(/.a%

Tuvstcra

ty)v

Ta;

<7uv£KdcÀei

Aï

yovaiîtaç.

Ç73-

àvsxpays xal

yuvaucô; oùaav,

où

cpcov/jv

/.al

Taç

àxox. As traçât

b'

Oupaç &ai 7ravTa StspEuvcotuvai Àa[/.£avou<7i tov Ràcoc^tov,

ToO

7T£cp£uyoTa.

3

7rai5i(7/.7];

o'6a)[/.a

sic

xpay^aToç

$1

vou, Raîcrap tot£ ttjv IIof//7r/|Lav

xaTa-

<7UV£i<7yja6£

v

iuEpi£oY)Tou
',

àcpTJ/.s

ysvojjii-

xal $ix7]v

êypà^aTO tco Ràcochco.

Ttç T(I>v ^-/)^àpycov àffsëeiaç

CHAPITRE XXIX
Procès de Clodius.

Rixspcov

RaTt^tvav
spyco

1.

(F Y)v

eyxAvj(/.x

tou
tco

£V 'Pc6f7//1

Siarpiêsiv

,

£X£ypY]TO

aXV

(7a«s

une grande maison, c.-à-d. dans la
maison de César qui était fort
vaste.
2.

"Aêpav touvojiux

6vo{j.a), cf.

Etç

t7r.

(=

x6

^r., § 162.

îîatôcaxvjç,
l'emploi de eîç indique qu'il faut
rattacher ces mots à xaTOMteçeuydxa.
3.

ocx.v|{jLa

TOIÇ

jcaT8[JLfl6pTup7)ff6V

tcov

7C6ût
C7UV-

iGYjjpi'(o[/.£vo'j

ysyovsvat
£V

Clodius est

TUpoGu[i.OTaTCO

crcojj.aTOç*
ulyiSs

,

Etç otxtav {JiSYàArjV,

—

lui.

auTou <piAoç% xal

L/iv

ouAaxi

TOV V^pOVOV
ptoiç

Cicéron dépose contre
absous.

7TpaTTO[/.£VCOV

xal

to

xpoç

—

coç

xaT'

TTOppCOTXTCO
6

iïï

êxâvov
T^CO-

àçiyf/ivou

T£

4. Tviv IIojJLnTjtav à<pv)xe.
Plutarque raconte en détail cette
aventure dans la Vie de César.

(IX-X).
5. *tXoç. Cependant plus tard
Cicéron reprocha souvent à Clodius d'avoir été l'ami de Catilina.
6.

—

*ûç, disant que.
'AçiyOn peut considérer ce gécomme absolu ou mieux

uivou.
nitif

4.
a

*

'

lu

>
i

I

II.

l

r/i

.

.

i

.

I

l

I

rit <
i

t
;

£xON

.

-

.

XkrfytsC

comme
•

d<

étaient des tablette» enduites de

rctf
:

1.

*il^. ici

pensant que.

cire.

;

:

—

On

y inscrirait les lettres

soupçonnant
'

T
par-

pas nécessaire de brouilUr les lettres si l'on ne roulait ni condamner ni absoudre, il suffis*;-,
crire

— kaXûv va- zOâv, cl

4.

;

haut
Yûijj.;jLxot. Le; bulletins

s.

NL.
+»A0

i

;

mur à ha

-.Le
appui qui
CHAPITRE XXX.
<poëou«/.evoi

KlX£p<OV
otî
(C

&£

[/.apTupcov

'AàV

TOU

,

oùx

SU.OI |/iv

outaaràiv

S'

|jl£vtoi

yuvaucoç,

yz^ov

oùS'

ydcp

aou

aur^v

oti tov

2
*

où

vàp
z~l

nCkrfiûç

ttj;

K.at<rapoç eSst

ccA'Xà

ja.ovov,

TtoV

jcaTS'-Lvi^t-

xaT£yvto/ivx'.

[AOtystav

xpa^coç ai^pa;

'

))

où xaTe|/.aoTupyiae

£çpvi

o

£lX.O(7l

ÈTûiTTEusav

où/,

,{

1

SixacTaîç,

toïç
Kttl

£Aaêov t6 àpyùptcv.

r,

à<p£i>cévoc'.

où

xaOaoov

togoOtoi

Kouorocp

Kaco&iov,

« Ot 77£VT£

Tptax.ovTa

oî

-poTSpov olizéaugolv

tov

£17T£V

»

ÀSYOVTOÇ

OCUTOV

7UpOÇ

tcittiv xapà.

Iffyé
))

to àpyjpiov.

âosA-vjTai

K-ACOOlOU

wc£<iTeu<xav

TavTo. Soi

O

ùpàv

T'.ç

[J-Tt

67

xa.1

avfp.'flç

£iva'..

XXX

CHAPITRE

Clodius cherche à faire bannir Cicéron.

A'.acpuycov ^è

yo;

atpeôelç,

£ÙGùç

etveTo'

entourait le tribunal du préteur
ne protégeait pas suffisamment
les juges contre l'intervention de
la foule.
Tô àpyupiov, l'argent
avec lequel Clodius les avait corrompus. Cicéron raconte ainsi le
fait
Quorum (judicum) Catulus

—

:

cum

quemdam

vidisset

:

((

Quid

vos, inquit, praesidium a nobis
postulabatis t An, ne nummi vobis
eriperentur timebatis ? j)

Ot jcévce xat ei'xoac, et
Tpiàxovxa. On emploie l'article
avec les noms de nombre quand
ils désignent
une partie déterminée d'un tout également déterminé. Cf. Corneille, Menteur, I,
J'avais pris cinq
bateaux... les quatre contenaient
quatre chœurs de musique.
1.

ol

V

:

KagAo;,

tov xivSuvov 6
4

toù

xai &rf[A%p-

Kixlpcovoç ,

rcavO

1

Où*

sjctoxsvxiav. Ils ne
ils ne se sont pas
fiés à toi, puisqu'ils ont d'abord
exigé l'argent. Cicéron jouait sur
le mot crediderunt, qui signifie à
la fois croire et faire crédit. Cf.
g.

pas cru,

t'ont

Cicéron,

Oùô'

Ad

Attic. I,

XVI,

5.

x. x. a., il déclara qu'il ne croyait pas sa femme
coupable d'adultère. Cf. Gr. gr.,
§ 325 et 167, 7°. Ici la négation
3.

ecpYj

de oùô' ëçyj tombe logiquement
sur xaxeYvwxevai mais non pas sur

—

Cf. Vie de César,
Iïwç ouv àTts7céfxd»c*> t^v yuvaïxa; )> a "Oxi, £yrh xrjv eu.r,v

àçeixsvai.

X

:

ce

yj^touv (xyjô à {/7rovoY;8r;vai. ».

4.

Efyexo,

litt.,

s'attacha

à,

s'acharna contre. Cf. 'EtiiçvsaOat tivt XXIV, p. 57, note 4.

c.-à-d.
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Bolero. pptx . Film de A nnne Fontaine
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Πλούταρχου Κικέρων – http://www.projethomere.com

  • 1. ALLIANCE DES MAISONS D'ÉDUCATION CHRÉTIENNE PLUTÀROUK VIE DE CICÉRON Ud'/of LIBRAIUI Otiaua 39003001336121 RUE CASSETTE, 1902 15
  • 2.
  • 3. « ' 0) c et d <! "fi tt>£ fi S o et (A « +3 u a * cfi * S «§ et S tf ° o « r. & s 3 ce ce tf « w S s (1) •<~i ., co +» fa fa <tf w S 3 * & ce «) t, ce o} ~ en .S o g S £ a 5 ' • t M Ct " i— et £j o o ^ h > ? et 2 o ~" o S ce ** ~ &0 ci M a • .2 ce a d -CD ce ~ o a d CD d » S -H •^ i « oo g H et o 5 ta fi O S CD ce a CD ce k o a w fi ."S et ^ ^H — a " ce fa IN, a fa S S o ! fi S ce ce CD ^ ce CD ri et 1 g +j <o * rt § 2 S CD «m -+j CD ® •-( ce -et fi ^ » a ce o +3 et -et t. -g •iH > +3 c o o ce fa cd ce cd d •ih 'CD ce - fi CD CD ,Q c o t. CD ~h ^ >S © '« ce ^ &* > en •H a .p-l -M fa -CD •« r. fi o ce <y -d X! fi ce fa ^gSÏÏ d et o ce CD tf +3 a &£ Co Ct ce fa o ~ d 3 d CD O fi : fi' CD fi S « a * H CD CD &* et CD o S ? **> s 9. & « a et -fi fi cd CD fa CD > S et CD et 1 fa CD G Ci -CD £ t a o * CD Zl * a CC cd <u ce CD co H ce et fa et 23 Q et 2 * 1 o o o d S o o ce eu a 00 o w a fa i— 0) 2 fi et 'CD a fa w * o a î> •1-1 CD > >cd fa et o Cfi A go<U a o - ce O ce cd £ '3 i +j fi fi c~ cd fi o a S LIBRAIRIE GH. P0USSIELGUE RUE CASSETTE, 15 BIBUOTHECA o ce
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  • 5. ALLIANCE DES MAISONS D'ÉDUCATION CHRÉTIENNE PLUTÀRQUE VIE DE CICÉRON ET PAB LLÈLE DE DÉMOSTHÈNE ET DE CICÉRON TEXTE GREC AVEC INTRODUCTION ET NOTES- Par l'abbé H. PETITMANGIN LICENCIÉ ES LETTRES PARIS LIBRAIRIE GH. POUSSIELGUE RUE CASSETTE, 15 BIBLIOTHECA P*teviensvs
  • 7. INTRODUCTION Plutarque Un Béotien d'intelligence ouverte plutôt que profonde, d'imagination aimable, de mœurs pures, enthousiaste des lettres et prédicateur des plus humbles vertus domestiques, bon père de famille, administrateur intègre et dévoué, tel fut Plutarque. Le peu que nous savons de certain sur lui est répandu çà et là dans ses œuvres et nous suffit à le connaître, car il fut, pendant la plus grande partie de sa vie, un de ces hommes heureux qui n'ont pas d'histoire. Né entre 4G et 48 après J.-C, à Chéronée, en Béotie, dans une famille aisée et vertueuse, où d"aimables causeries lui inspirèrent de bonne heure le culte des lettres et l'admiration des grands hommes, il ne la quitta que pour compléter ses études à Athènes auprès du philosophe Ammonios. Un séjour de peu de mois lui fit connaître Alexandrie. Les quelques voyages qui l'amenèrent à Rome paraissent avoir eu surtout pour cause la défense des intérêts de sa patrie, mais ils n'en eurent pas moins sur sa destinée littéraire une influence décisive. Il se lia d'amitié dans cette ville avec les citoyens les plus distingués bientôt même ses qualités aimables, son savoir et le succès des conférences qu'il donnait en grec attirèrent sur lui d'abord l'attention, puis les bienfaits des empereurs. Il est faux toutefois qu'il ait été précepteur de Trajan comme on l'a cru au moyen-àge sur la foi d'une lettre apocryphe De institutione principis ad Trajanum. Ce séjour à Rome ne suffit point à lui donner une connaissance approfondie du latin. Il n'apprit jamais cette langue de manière à pouvoir s'en servir couramment, ce qu'un ambitieux n'eût pas manqué de faire. Mais les fa; :
  • 8. I • tra r. ' >ur«! Il M tlgr» la la • M. I. pP Il nstranl I lui app* mai* nt nui. ion D II La Vie de Cicéron • pulii l'une des il - - . ;>lus podoit i;ile '.roQ lui-i. g -Tand orateur. (
  • 9. INTRODUCTION. 5 ron appartient à l'histoire politique comme à l'histoire litil n'est permis d'ignorer ni son civisme, ni son éloquence. 11 ne faut pourtant pas espérer pouvoir se former d'après la Vie écrite par Plutarque une idée complète ou même tout à fait juste de cette double gloire. L'orateur est à peine apprécié. On a pu trouver qu'en s'abstenant de juger l'éloquence de son héros et d'étnblir un parallèle détaillé entre Démosthène et lui à l'égard du talent oratoire, Plutarque faisait preuve de bon goût et d'une discrétion convenable à un étranger. Il ne faut pas oublier toutefois que des écrivains romains, Cicéron lui-même, par exemple, et Quintilien, pour ne citer que les plus connus, ont souvent apprécié les mérites littéraires des Grecs, les ont même comparés à ceux de leurs compatriotes, et cela avec assez d'indépendance, de clairvoyance et de justesse pour que nous jugions à propos maintenant encore de nous en tenir en général à leurs conclusions. Un fait incontestable c'est que les Grecs de l'époque grécoromaine ont trop dédaigné la littérature latine. Que ce soit par point d'honneur national ou indifférence, ou parce que la littérature grecque, plus originale et plus riche, leur suffisait, peu importe, ils n'en ont pas moins laissé aux Romains l'honneur de créer la véritable critique littéraire, j'entends celle qui prend pour base la critique historique, celle qu'on trouve déjà dans le Bnitus de Cicéron ou le Dialogusde Oratoribua de Tacite, laquelle ne pouvait prendre son essor que chez un peuple en état de connaître, d'apprécier et de comparer au moins deux littératures. Plutarque en particulier, qui n'apprit le latin qu'assez tard et de telle manière que dans ses lectures « les faits déjà connus lui apprenaient plutôt les mots que les mots ne lui apprenaient les faits », ne l'a jamais assez su pour éviter certaines bévues qu'ont signalées ceux qui ont étudié de près les sources des Vies. On ne sait s'il a raison de se moquer du rhéteur grec Cécilius qui essaya de comparer l'éloquence de Démosthène à celle de Cicéron, mais on est porté à croire qu'il fit preuve de prudence en s'en abstenant lui-même. Si l'on ne trouve pas dans la Vie de Cicéron ce qu'on téraire et — —
  • 10. I la i p ment, ; M et il** du personn; elle à plus avait • latarqoe parla le l'ilh; ici • Plut non- >ien • mi o«uj' e . quel«i' son sujet, - ur ss le il i la biis la pOOT i En de ui l'un des | fait vi-
  • 11. INTRODUCTION. 7 le fait vivre, parce que, comme Ta dit J.-J. Rousseau, Plutarque excelle par les mêmes détails dans lesquels nous n'osons plus entrer. Il a une grâce inimitable à peindre les grands hommes dans les petites choses et il est si heureux dans le choix de ses traits, que souvent un mot, un sourire, un geste, lui suffit pour caractériser son héros. » Et Rousseau ajoute avec raison, après Plutarque « La physionomie ne se montre pas dans les d'ailleurs grands traits, ni le caractère dans les grandes actions c'est dans les bagatelles que le naturel se découvre. Les choses publiques sont ou trop communes ou trop apprêIl « ; : : et c'est presque uniquement à moderne permet à nos auteurs de tées : celles-ci que la dignité Plutarque n'hésite pas à s'arrêter. » nous fait aimer aussi son héros, car, s'il nous découvrir les petites faiblesses de Cicéron, sa vanité surtout, il ne manque pas de faire ressortir son désintéressement, son amour de la patrie et la droiture de ses intentions. ne mérite donc pas qu'on l'accuse d'avoir sacrifié Cicéron à Démosthène par préjugé national. C'est ce que prouverait surabondamment l'impartialité dont il fait preuve dans la comparaison qu'il établit selon sa méthode ordinaire entre les deux orateurs. Nous avons dit qu'il laissait presque entièrement de côté la partie la plus intéressante, le parallèle de leur éloquence, mais, cette réserve faite, on ne voit pas que Plutarque viole sciemment les lois de la vérité. En somme, les erreurs qu'il a commises et dont quelques-unes seront relevées dans le commentaire sont de nature à nous faire mettre en doute la sûreté de sa critique beaucoup plus que sa bonne foi ou Il son impartialité. Le texte de cette édition est celui qu'a adopté M. Graux dans son édition de la Vie de Cicéron (Hachette) en s'appuyant principalement sur le manuscrit de la Bibliothèque Nationale de Madrid. Il ne diffère que dans les passages suivants chap. xii. osa au lieu de ojtj chap. xxvi. ofôouvxa au lieu de ofô&vta; chap. xlvii,ô<jts, maintenu au lieu de 8ç ys; chap. XLVin, neptsOst au lieu de jcept£6ee. : ;
  • 12. m;i i III. iii'iir,i - rr ,fi. i ' 17 IV. <n i N Il — DES i _ ( Y vr - VI - n it.- est 1 1 j • VU Ciap. Chap. Mil. < MM". IX. MlilK. Chap. Chu M Ciap. j i fH h un tumulte au tl. - Chap. XV. — La - 1 '.
  • 13. TABLE DES CHAPITRES. 9 Pages. — Lentulus, chef des conjurés restés Chap. XVII. — à Home. 44 Ses espérances — Preuves accablantes contre Lentulus. — Lectures des lettres saisies. — Arrestation XIX. conjurés. — Embarras de Cicéron XX. — Prodige qui décide Cicéron à la sévérité. Chap. XVIII. Chap. des Chap. . — Le sénat délibère sur le sort des coupables ConSuite de la délibération du sénat. damnation des conjurés Exécution des principaux conjurés. Chap. XXII. Échec complet de la conjuration Les ennemis de Cicéron essaient do souChaPj XXIII. lever l'opinion contre lui. Il est nommé « père de Chap. XXI. 18 50 — — — — — la patrie 1<> 52 5 1 — ">6 » Chap. XXIV. — Autorité de Cicéron. — Sa vanité qui n'exclut pas la droiture Chap. Chap. Chap. Chap. "j8 du caractère XXV. — Bons mots de Cicéron XXVI. — Bons mots de Cicéron (suite) XXVII. — Bons mots de Cicéron XXVIII. — Clodius et Cicéron. — Clodius 60 »>-2 65 (fin) chez César à l'occasion — Déesse. Il des mystères de la pénètre Bonne 66 est accusé — Procès de Clodius. — Cicéron dépose — Clodius est absous contre Chap. XXX. — Clodius cherche à faire bannir Cicéron. Chap. XXXI. — Cicéron s'éloigne de Rome Chap. XXXII. — Cicéron dans Chap. XXXIII. — Clodius se rend odieux à Borne par ses violences. — On décide retour de Cicéron. — HonChap. XXIX. lui. l'exil 67 60 71 7:1 le neurs rendus à Chap. XXXIY. Chap. XXXV. 75 l'exilé — Cicéron cherche à faire annuler les actes publics accomplis sous l'influence de Clodius. Mécontentement de Caton — — Milon, ayant tué Clodius, est accusé. — défend avec timidité et sans succès Douceur de son Cicéron en Cilicie. gouvernement. Au retour il s'arrête à Athènes Chap. XXXVII. Cicéron essaie d'étouffer la guerre ciCicéron Chap. le XXXVI. 78 — — — — vile prête à éclater. 77 — 80 s~ Son indécision 1.
  • 14. 10 i i i i I |iihI i Mil i I Cbap i.iy - l. I. Cbap. XI. I — Il XLY1II. CBAP. l.! .*ii - ** I |o| - • I • <lu iraiti*e l'hi rend ju* Parallèle de Dèmosthène et de Cicèron. —Ç Cbap. !•». r».vr. III.— Leur influence politique. ra- to — I fut 111 • I l'exil. V. — Les derniers 113 114
  • 15. — nAOYTAPXOÏ KIKEPQN CHAPITRE La famille de Cicéron. Kixsptovo; §s x&t ysyovsva'. ttjv ' xaXtoç 2 piv viv xvacpaco jcal y£V£(7Ôat Ttvi àp^Yjv toO o' yévouç, pour Silvia et p. 41, note 2. xat, répond souvent au latin cum... tum, d'une part,., de l'autre. Il indique ici que xa),ôi; modifie les deux infinitifs, ce que le sens rend d'ailleurs évident. -iXêioc — Kai... Cf. p. 22, note 4 et p. 94, n. 1. ~Hv. Le verbe de etvoci êÇetvat, a par- comme est en latin après l'époque classique (Tacite, Germanie v). Plutarque n'emploie pas ici le présent probablement parce qu'il parle des oè 7C6pl , Oi j/iv Tpacpvjvat, tov paffiXeuffavTa transcription du latin Helvia. Cf. 2. ^ixptov. >cal 'EàSmcv XÉvouGtv ToG^aov "Attiov 1. àé sert ici de transition. Il suppose que l'on vient d'achever la lecture de la vie de Démosthène et que l'on passe immédiatement à celle de Cicéron, qui fait pendant à la précédente. 'Elêia: fois le sens de son nom. fkêitoxivai TruOéaOai etç — Origine [/.yjTs'px xal xaTpoç où^ev Aéyoucrtv, ol « ( I 3 yàp Iv avàpa àvy.youcrt, Xa(j/rcpc5ç ev tou ttjv Ouo- recherches de ses prédécesseurs sur la vie de Cicéron plutôt que des siennes propres. Mérpiov, modéré, qui ne soit exagéré ni dans un sens ni dans l'autre. — TouXXoç "Axttoç : transTullus Attius. C'est auprès de ce roi des Volsques que Coriolan banni alla chercher un asile. Plutarque l'appelle dans la vie de Coriolan (ch. xxn) Tu).).o; 'A(ju>£8ioç. Cicéron, qui ne songeait d'ailleurs pas à cette descendance, se souciait assez peu de la noblesse de ses ancêtres et 3. cription de l'épithète de homo novus n'était pas pour lui déplaire. 'Avàyetv, faire remonter (àvà). Cf. oi àvw toO yévou;, les ancêtres. PLATON j — Lois, 878, A.
  • 16. I 1 1 I I : , I 1 - . Kv1 . i 1. 1 1 i ' i Ttv 1 MHT : oqoe que classique au aena de «m imjet de. • ut en plus à stf I de n. . du -arde pour la* 1 Le premier C.cvron a donc eu irtagé un sillot. comme au cb. iv. en latin attingtre, oapemere rrm•im, ou a<f rempti&licam acre: j : • en remarquant seni d'un 239, rem. II). emb d'un .rnoui lui .na a mail vcr.u d'une la joue, Au«si re- passé —G .: : /'fJTorcera d* présente-t-on parf- ne devait en tous cas appartenir beaucoup nomina .' I, optime oaus itulo- . -romaine noms des magistrature? romai ut 7U1V. tereret i les grec:-: terme esteur. c
  • 17. CHAPITRE xvaÔmx tcoio'j[/.svo; ovo^ârcov OCVTl Ta tx fj^èv TrpwTa ô'Jo tcov Mapxov jcat tov Tou)Oaov, àpyupoOv, t£ ercéypatj/s, to'v TOG TptTOU <^£ 13 II. OV.COTTTtoV £0é'êtv6oV £XLc'à£'J<7£ tov te^vCttiv èvTopeOaau Tauxa ypapt.pt.xTa 7Capà pt.èv oùv TOU OVOpLXTOÇ t(JTdp7)T«t. 7U£pl CHAPITRE II — Naissance et enfance de Cicéron. Ses premières études. Cicéron poète. Te^6vivai 8k KixÉpcdva ^eyouaiv, àvtoo'jvco; xai x:ro- vw; aÙToG 'koyeubein'nç Ka'Xav&àW vso)v Ô'JOUGIV 'JTTÈp ysvÉçOa!, -^ , /.al iroo£tiratv £ivai . ' êv su^ovTat TITO*/] ptiya 3 toO au latin le terme de nouvelles calendes (celles de janvier), Plutar- que compte les jours à la grecque le troisième jour à partir du : 1 er janvier, le 3 janvier ((!47 de av. J.-C). Les Latins au contraire, comptaient les jours qui restaient pour atteindre le terme suivant, calendes, ides ou nones. Ce jour serait donc en latin ante diem III Nonas Januarias. Les Grecs comptaient aussi les jours à rebours dans la 3 e décade du mois. 'HvejAtôv. Cf. Rome, 106 — iraci ôvapaTa p.avOavsiv xat Pcox.xl pwcv- yevopt.gvoç lpoei7iEÏv w; ÈXTpeçovaY), sorte d'attraction pour cbç xps'cpei. On peut en rapprocher la construction Mr) Tz-ifeaft' w: Sixaiôv ti Xsyovxt. Cf. Gr.gr., 311, rem. IL I : "AXXwç adverbe qui joue auprès de oveipaxa. L'emploi de l'article rend les tournures de ce genre très 3. : le rôle d'adjectif fréquentes et très claires (p. 24, 3), mais ici â),).io; ovcipaxa étant indéterminé et attribut ne peut pour ces deux raisons recede vains voir l'article. TracL note : songes. — 'AXviOtvyjV est attribut. toO u.av6àveiv. Platon en employant l'infinitif de détermination dit èx £tv f )'-Y-'-'*v taioevetOxi {Lâchés, 187). 4. 'Ev r,).txia ' — twv OXG[/.X 0OîC6t TxyÉco; xutÔç à7céoetçe xaXavSûiv. Tout en empruntant 2. TpiT/i Y)(/.spa aXXcoç &è, y;>.txia page 12, note G. revéoOat, s' être présenté. (>£ oo£*Xo; Tauxa oo>couvra, àV/iôtvYjv wç prêteur; uTraxo;, consul; cf. plus bas 7)ye[juôv. l'empereur. 1. 'Hy.£pqç xptXYj t&v vétov -ch. I, pivÎTpdç, vOv ol apvovreç 2 ©"Xuapov T£ixv ? ttjç TOU ^y£(/.OVOÇ. Tï) s>CTp£©otf <r/| [/.aïoi; iv ' :
  • 18. 14 K'.- II I /.y | 1 ! i I - II i 'lat 1. -• I <OQ — i t ,-<•> re a aous- S rattaché à nbut, rt« os, (juif qu'il était, avait do pHDBsr • XIII : Antkedome me» I Amyot trado en vers iambi .;e> de 8 » c -à-d. en tctramètres i.imbiques. Cette forme de vers et est asseï singumime. K liers par 3. « — I I d'urne fa- I émirs sortes de par conséquent en et abordant II- II. .ploie quel- souvent pour e ex- 7 . BOCI{ ~.r : poètes de l'époque d'Augur^escendre bien bas le renom poétique de Cicéron.
  • 19. CHAPITRE So£a pMcvi vuv ota|/iv€i, [J<éy?i 15 III. y.aiTrsp où (MJtpaç rapt touç Aoyouç; yeyevyj{/.évy]ç %aivoTO[/.iaç, rr.v oè irotYiTUtvjv auTou xoAAà>v , sùcpuàiv * ëmY£VOU.6V<i)V CHAPITRE Continuation des études de Cicéron. ciua d'Amérie, accusé de parricide. en Grèce. tûv 'AxaAAocysi; Sï ev xavTa-aaiv , III — Son plaidoyer pour Ros— Causes de son voyage £taTpiêâ>v Traçât, 4>lAù)Vo; 7 2 toû rr/.O'JTS tcov Ka£ito[/.2vou (Tuvr.Owv [/.acrav 7T£pi TYJC 'AxaàYijuaç s$ y.x! rîià Mo'JXlOV 5 S'JÀÀZ GTZT'.V, £X, àv^pXT t : — — 'AxoOetv et surtout chap. iv, page 17, note ôia- 4. 'Axaôvj^aç. — Cf. Philon note 6, sqq. appartenait à la nouvelle Académie dont Clitomaque avait été le chef après Carnéade. 4. 17, . 1ïp<i)T6'JOU<7l VG[/.0>V CO<p£- (/.eTsa^ev EIO 1 Û7ro opcov £LÇ même TZ Ego autem juris civilis multum operae dabam il. Scxvolx Q. F. (Brutus, § 30G). Pour tout ce qui regarde la jeunesse de Cicéron on peut voir ce : studio qu'il en dit dans le Brutus, 306- 312. xoûstv signifient spécialement suivre les leçons d'un philosophe. Cf. page 770A£|/.OV 6 £è toîç ; est attribut. *EÇ A(/.a TY)Ç <7TZ<7£to; £1? OCXpOCTOV £a-'/TCTOVTa — 3. f/ TtOV sTpaxeiaç 'P(0{/.atot Ao'yov ÈOau- tov £^7T£!,pia,V xal IïoXXâiv, entendez uotrj1. Evu-êaiveiv, au sens imtûv. personnel de arriver se construit avec l'infinitif seul ou quelquefois précédé de ô'xtts. "Eppeiv, ecanescere. 'Ax),sr xal àxtjxov 2. uufcAKTTa r)tà KO» TOV MapfftîtÔV C)£ , y.ai TCOAlTiy.Ol'ç CtÇ Tiva ypo'vov 7ï£pl cv tov Tpo'xov ryàu^cav. G'JVWV, pO'JÀ'/iç à£ïto* xat 4 3 MoOxtoç, Quint us Mucius Scœvola augur. Cicéron dit lui- 5. BouXvj, à l'époque classique, c'est le sénat ou conseil des Cinq cents à Athènes ; à l'époque romaine, c'est le sénat romain appelé aussi <7Ûyx)v7)Toç ou même yepouffia comme le sénat de Sparte. 6. Tôv Mapotxov la guerre des «ôXejJtov, Marses ou guerre sociale. Cicéron avait dix-huit et était tiro. ans
  • 20. ir. - i t i i-i 1 - i. i M VII fit Ml j.r inscrire ton nom api de prœcn -s liâtes semé: '• EU que se* biens fusent r •,-res comme cens .. OÔJv. -/' t/ o> > - - r m . i lins t • discours pour II. - ji à M) pour pour noms en uigers ont r n - «on millibuê ai • ichmes somme . ce qui fait quatre fois moindre, transcri Mf,'.' CM «• de Roteiu*. I _ • la somme quee par Plutarque s'accorde arec n rem. ordinaire qu'on exprime nn simple . (ô; M le • avec ''a Bot qu* tHHt §ezn ce*, env : Bona... 0.000 de 0.000 fr.
  • 21. CHAPITRE 1 [X.SV7JV ô'vtwç 'EXXaSa, àtacrceipaç ai»TÔ <7W{/.aTQç t/)v cTTO^dcy ou 0£pa7retaç Seot/ivou. irpocçepotAevoç* axXvipà oà tyjtoc yÀiG^pa xal 81 r, âà à; Kai yàp */iv xal tou 3 wpaç ttî; fiiv xal ax>.acToç, U7C0 Se toO xal ttxÔoç ï/ovto; Ao'yov, o^è [/.oyiç xoW/i <p<i)V7) àwe- àppusTia acxpxoç, xal içyybç eçtv u.ixpà xai xoc* tov S'jààocv, $è tï|V etç Svf[jL7icev Guvviyopiav tvjv Sê^ioj; lÔaujAcico-Ov 2 toù oùv Àvocdei;a{/.€voç . TOpôwcaç 17 IV. àyaÔvi, Aoyou scpoSpô- Sià tg>v avw eAau- To'vtoV tou ccou-axo;. vo[X£vyj, <po'£ov ::apciy£V inrèp CHAPITRE IV — Cicéron disciple des philosophes grecs. Il fréquente les rhéteurs Sa déclamation en grec en présence d'Apollonius Molon. asiatiques. — 'AçucopLevo; xa"XwviTOD OHixouae toG xal i/ap .Ti vsaç OUX AeyofAêV/îç ASr.vxç, 4 , tyî £77aiVOJV. 6 S' 'HSv] 'At- tou tôv Xdycov aù- sùpouj a Axaov]u.eiaç : fit pas sitôt Cicéron plaida encore plusieurs fois avant de partir. Cf. Brutus, XC Deinceps inde multae (causaè) quae nos di; : ligente)- elaboratas et 'Avtio^ou iv VOCp toi; 5 $oyf/.affiv E^lGTaTO T7,; , 1. *ûç àv Yevojj.évyjv accus, absolu. Cf. Gr.gr., § 311, 323. 2. 'AîteS^jAirioev. Ce voyage ne se btèv xy)Aou[jt.evoç, f £V£COT£pl*(£V à; S' tanquam elu- 'AvTtovoç ô che. Cf. ments. Ta — T7 v xal 4 Tcpo<7ï£po[X£va, les ali- Tout ce passage est à comparer avec les chapitres XC et xci du Brutus. cf. page 15, 4. Atrjxouoe Antiochus d'Ascalon, note 2. : — en Syrie, est appelé par 2)olitissimus et acutissimus Cicéron omnium cubratas adferebamus. "O^è ttjç u>pa;. Le géni3. nostrx mémorise philosophorum. souvent à déterminer le sens précis des adverbes de lieu et de temps. Cf. ttoù tîjç yf^. Il souvent des doctrines philosophiques. Cf. Mor. 14, E. Ta Tcspi tôt/ ^v/Cùv Soyu-aTa; 3»>, A xà ll/à- a T(ovo: èv FopYi'a y.ai Iïo)>tT£i'a 86yu.aTa. tif sert alors le sens partitif (Gr. gr., ripo<x:psp6u.svoç, § 164, rem. 2). mangeant, litt. -.portant à sa bou- — 5. AoYjJia (de 3oxô>) se dit : 6. Xéaç Xe70jj.évyiç. Cf. Gr.
  • 22. - : I > - Je 1 I - . 1 Platoi pies; tr au sujet non •mIsjmi - rerbe» ctfu oo tous ceux qui j-.-u: . * naanceOO fie drmir, C PTWf 1. on r.: <-..n:rne M I I • en grec à • . in. qui '. '.t Ml r^rOéC! semble anticiper sur le sens dn rerbe. renferme généralement une I>arce qu'il - nion. — I i n de ne pas chan- •mme on I ;:: - river." il -ri -.u-g; mtnt. an passif. an sens neutre : : - VIII.
  • 23. CHAPITRE vov ( toÙ; 'OÔev 'AcrtxvaW Mo^wvoç tov 'Atcoaàcjmov Xejctov, Tf/Ty.f osyjSYivai tov S out' ?çxu<JX|iivou [As'vOD 03 Kixipcov, OlXTElpb) [iiv TO'j 'J7rSA£L7U£TO, X.xl EÙO'JÇ 2. £7tiêa)>etv, cf. p. 40, métaphore ôp*yavov. O'JTCOÇ S' /.xl oixjaiX- 1 'Atcoa- tov S /jvxt SixyuQr ElTTEtV /.ai SE C( |/.6V, Stà (0 'EXaxSoç Se tyjç , 'P(0[AX''oif TO'J "fl[/.lV TTpOCyt- Xoyov. » : "ilaîtsp STSl ÔpÔV, X U.QVX TOJV XXyÔV Totç xotvotç èntSaXstv 1. «pàYjxaotv cf. page 12, note 4. — Sur outwç sicotivotç, Ôxupix^co TXUTX vojjlevx, ttxiSeixv /.xl oix[/.£A£- KxSsÇeaôai xoaùv ypo'vov, xy6o- hxi T'J7/7]V, Se oîqjjlevov ÊV.TUE'JUAYÏyÔxi xutou Kwtc'ptoVOÇ e7uaivû TY)V xaXouç x/.poto [AEVOV T'jvvouv AeyeTat 'Pcoj/.xï/.r.v TrpoOopuuc, xaÀ7jÀouç toiç Aa<76xi TTpoç /.xl uuvs- 'EXV/ivwîtI SlUXVOpôtoCtV TVJV pisv 'AiuoàXgmg) tô) ttjv KuEpwvoç tou Kapt toj [Ae^ GuvtevTa où tcov xoçî . nocs'.^coviw. î/rcxy.o0<7ai toÙ; £U.£*X£TYi(T£, Xtovtov Se pr-oox;. 'Aop<mi>TTY)V<5> pvÎTop'. 1 (3êATIOVX ECTEtOxI Sireu98 3 <ptXoco<p(o ', àvgjttvsi /.al [/.etigiv Mevittttco >cxl Po^cp &s cr^oXa<76V, dv /oyov tw laevoj&et MxyvyjT'. ô'pya- ôditep XUTOV T£ TXLÇ [JLeXeTXIÇ OIX- To^ov jtal pTiTopcov tw Aiovucrtcp xufkç , £7waivouptivGuç 'Asiav £iç to?ç Tcapaîte'Xeuou.svou pvjTopiîcov àuV3C|/.lV, xxl 7ïovwv 7upay[/.xo"iv tov iÇyipTUETo T7)V 7TO^lTty.r V 'Avrtoyou f èTctëaXetv xoivoîç 2 8' TzoXkx Sso[/.6v<ov, 19 IV. note 5. Cette est plusieurs fois em- ployée par Plutarque. Cf. Vie de Péricl. VIII. 3. Cicéron préférait à l'éloquence asiatique, ampoulée et trop brillante, l'éloquence rhodienne. qui se rapprochait beaucoup plus de la simplicité attique. Il se vit cependant reprocher par les néo- attiques, partisans de Calvus, d'être tombé dans les défauts des rhéteurs d'Asie. 4. Les Latins l'appellent Apollonius Molo, faisant un surnom du nom de son père. Aussi quelques éditions portent tû 'MôXuru. Oxixe... 5. (Eurip., Iphig. lieu de o'Zii... ttott est poétique m Tour., 591) au iz (Gr. gr., % 327). — Aia/uô^vai, cf. p. 77, note 4.
  • 24. . B I « 1 I I I BAPITRE • Il révisât à Ro«m. la eeast; K-< et I I I I . I oxvr - T y . I " I r'/'i: . ' 77 . F ' ' ' « • " 70^7 de passif de usatif < doit t'expliqua dre xatî .. ' o:;s-enten- Ou '> : le modo . :. même mod verbe ixo-o». • npioi très fre interro_- non pluiccompaçné d'un attribut se rapportant au sujet, forme un hellénisme qui peut se traduire en français par s'entendre nomr :elk façon thie ollon - de rendre lea oracle?. loi. / d'un Romain. • ov. la > un terme de e*t traduit gra . On I - «ait à -aire, = celle-ci | que ev àxovto . tournure correspondante dicor) est {amdio populaire on poétique. .1 .ns ; c-à-d nommé. Dons le on trouve aussi bene, mnie a I débit. t — n, le < T -
  • 25. CHAPITRE V. touto TÔV iv AtTWTUOV S' tôv 6sy.Tpw Àeu6|/.evov s'£a> tgj TCO r T7]v H os TO vardéçau àcpvco y.pxuyyiv 7uept tx IwidxoiTCTtov T/-tor/.aocTx o° ttal xooco7]0£ta<; Daùêave : et du second : (Z>e Vidi in JEsopo tantum ardorem vultuum motuum ut eum vis quxdam abstraxisse a sensu mentis videretur. npoas'/Etv. L'infinitif appelé présent correspond aussi bien à l'imparfait. atque — ©uéatov». La légende d'Atrée et de Thyeste a souvent tenté les auteurs de tragédies dans l'antiquité et dans les temps mo1. Attius avait composé Atrêe qui fut souvent joué Sénèque a laissé Thyeste. Ce fut la dernes. ; • Où oY poàv 3 xffôsvsiav -oio^àv. irocioiav TOCtfTTJV SOOKSt yAacp'JCOV x.xl ttoààouç * 6AU7rei. So'^av. — XXXVI) irxoo.- ïxttov écp /tocTaxopco; d'une part... de Vautre. Cicéron parle souvent de ces deux célèbres acteurs, Roscius et ^Esopus qu'il appréciait beaucoup. Il dit du premier (Pro Archia, VIII) Propter excellentem artem ac venustatem videbatur omnino mori non debuisse; divinat. I, 1 tyjv x.xl [/.6V aÙTvî [/.EyOCÀO, Ift.eye vcAoùç to(7iT£p pou- TOU U1TO)Cp(V6G0at. K«.l TOUÇ y£ TCO OIKOCVUCOV ypcopLEvoç £/. ' S '.à to ttzQoç àveAsTv y.xl TC£l6£LV Cririftp^fiV pvjTopxç £ÙTpot7T£Xt7. eIvou, twv ùir/ipeTàiv rtvoç twv éacuToO ^oyiipLûv Kl/.spCDVL. v^pcofjLsvouç £7ul toG Gusctou tyjç Ti[/.iopiy.ç oxifmrp^i £7U[ae'Xojç; L)7wOX.ptv6^£VQV tOTOpoDfftV 'ATpsoc, '/.IXpà Sv) 7TpO<; pOTÇTJ Tpoycpoco izpoGiyjw TOUTOV irept N o paj/.6vTo;, ovtx, tw AiatùTziù S' 21 tragédie d'Atrce Thyeste qui et commença chez nous la réputa- tion de Crébillon. 2. 'AveXetv, de àvaipsïv, 3. MeY<xXa ou Méya poâv, tuer.. crier fort. Sur cet accusatif dequalification cf. Gr. gr. f § 161. rXacpupoç (de a creux; c'est chez Homère l'épithète de nature des grottes et des vais4. vXà:pco) originairement signifié seaux fouillé ; } c.'à,-d. travailléfine- ment, de là le sens de fin, élégant, spirituel. Cf. en français les sens du mot — Cicéron recomses ouvrages de rhétorique l'emploi de ce sel qu'il croyait être une des qualités originales de l'éloquence romaine. Cf. spécialement le II e lipoli. mande souvent dans vre du de Oratore. Cf. p. 03, n. 1..
  • 26. . i II >ri nn:i an Clcila. r - ' ' I <i I v i K - l . R I - " . K " 1.1'.— habi- • ' > .v.;«-i r leî - re. : : : ce rerbe àr.:: •ï gouverne Am pkfMH 103. 3 - I II, 4.1 fi < -i.-'/j /ujv : page ,/ft) >q. Plan' de no1. — - lui causa une grande déc*. ; II. in *h- itrstcs II- on emplo: époque classique
  • 27. CHAPITRE X£0(i)V, TOUTOV VOOVOV TGV £^aOuu.^cry.t TravTàiuocciv, àyavèç T7,V 7c6ÀtV ^l^OUÇ, èa'JTtp U.OV 2 COÇ à6oi<7TQV TZQOÇ ïyeiv £{/.7TaÔ£G"T£pov TY)V ^£0vtw; à'yp 7raviroç r . 3 AoyiT- f^c', ^JO£AaV, àjAl"XA(0[A£VOÇ OoÇflCV Où frÉAayoç Aoyoç oùoèv cptAOTtjAtaç ttjç 7JJTOV O'JV etç UffTÉpOV eyouffxv. où ' auToiï 7T£pl 7rpayU!.X hrxivou^fivov Yjx(petv 6 7TOÀ'J xal wéoaç £<pi/Tov oùx <Ûv ye xaôixirep 77£7T017|X£V e7U'$7)AOV &6£a.V 6VÇ £Ï SULTwfiTttV T6t£ » 1 23 VII. [ay]v aAAx to y£ xal Tirpôç aùxto oo'çxv xai içapsptetve 7UOAÀXXIÇ TtoV OpOwV 6Ç8Tapa^6 AQyiff(ACOV. CHAPITRE VII Cicéron se prépare à jouer un rôle politique. Procès de Verres. k Â7UT6(Jl£VOÇ «rypov ypa>u.Évou; y^wpav ZTtÇ tcj; TQyetTO dxsusfft jjLviSè Sï XOAlTSLXÇ 7UpoÔu[A0T6pOV, pavauaouç^ j/iv à<luyoiç, Suva|/.iv vj : : : àu.i)-Xcou.£voç (tcgôç) tyjv ooijav a>ç àôpiaTov x. t. a. Voyez Extraits suivis, Coriol. XXXIV, page 77, note 3 Démost. VI. 2. 'ûç, dcms ta pensée que. 7tpoç ; Où ôeôv-ctoçdoit être rat3. taché à ^aipciv. 'E[X7ia8é(TT£pov ej^eiv, être gr., § 93, — rem. — trop sensible, "A/.p'. cf. GV. uavro;, jusqu<c la jin, toujours. 4. 'A^TÔjJievoi; cf. page 12, : note et àyvostv tov &è 4. en 7.1- ogyàvoiç [/.tiosvoç aùrcov, toùtov, acc. de durée (Gr. gr., § 175). Tàp § 346. è[A7isaà)v (eî;) 1. Construisez rijv 7ro>.tv xa6a7T£p etç TtéXayoç x. t. a. Cette ellipse de la préposition est ordinaire dans les cas de ce genre. Cf. un peu plus loin — Son désintéressement. xal ovopia -oAm/ov, w — ripo6uu.OT£pov. En grec latin, suivi d'un le comparatif non complément signifie : plus qu'il n'arrive d'ordinaire, de là le sens de passablement, beaucoup et quelquefois trop. Ata/p6v. Cette qualification ne tombe pas sur chacun des deux termes pris séparément, mais sur l'ensemble formé par leur opposition marquée par jjiv et os cela lui semblait (une contradiction) honteuse que d'une part... de l'autre etc. Cf. Gr. gr., § 340, un exemple analogue et cbap. XLVii. Joi- — : gnez tAï]Ô£vôç aOxàiv. — — Tôv xtxèv (àvôpa) celui qui des affaires publiques. t:o),i- s'occupe
  • 28. . • / » I ri : 1 - I . I penonne '.a i 1 du tnuv«cr ' I vt'Jt: noms < t :er les et cher: pour -ours qi; ce procès, les ' de saluer ceux qu'il rencontrait tante de ses œuvres ora" 1 Aussi mmes i - ( .;. prtUur. politiques se faisaient . Remarquez ;>agnerd'un e leur mer . nom- i ns. passif j ii/txv 666* 'JLSVIO. b à-l. Convaincrs L- ipahlt vent se conalu : chemin 8 .-eux qui fient jnt même su i recevoir doux :»c- a pour pnseif .«. note L v. Plutarque ure un peu les fa.t? ent oas les prvteurs de l'an-
  • 29. , CHAPITRE TûOAAOtVç (^TiAov ypovoç xipwv [/.Y] àva&piva; xal ttî; 2:i àva<r:àç xpwriç, v^ ~ cpepetv Ki- 6 e-ayxywv <xaa' sxsA.sus XpO- Y)V (I)Ç où* sÇotpxédCi ï)[ASpaç ^a^Oai Aoywv, ' 6<pv) o irepaç oùr^è V/[<|;£Tai {/.zpTupaç TOl>Ç Aoyoïç toîç ô'ti VII. £/.€?. A AQVTCOV, U<7TaTY]V T7]V SIC c tyjv touç t]r?j<pov OLX.a<7T0CÇ. ^£ '0[/.co; rapt aÙTou £X£ivy)v tov [aouoi £^ouA£to tou yotpov tyjv 77apw7à[J!.£Voç Beppou, 'O; toÙç 8 Pw- ot yàp oOv x.xl àTueXeuôepiîtôç ovopia KaixiÀioç, ZtxeAiwTaç KaT'/iyopEtv iouo&i(,siv Tt 'louoauo (( oumvv] tAOV6U8Ta.i BsppTiv biXYiv. x,aXoucriv. tw evo^o; icvOpwTCo; ^aptsvTa 7wo}.Aà. , Trpoç yotpov; » £<pY) 6 KixipCûV. Tou àè 'Ootyjvgiou pvrropo; BéppT] ffuvevrceîv 0eXiQ<7avTGÇ, jayi née, mais les préteurs désignés pour l'année suivante qui étaient disposés en faveur de Verres. Aussi toutes les manœuvres des partisans de Verres tendaient à faire renvoyer le procès à l'année suivante. le jour 1. le — Tr)vuc»T<xTr)v(r [xÉpav), l plus éloigné. "E<pv). Verrem, I, Cf. XI : Cicérox, in Fructum istum taudis, qui ex perpétua oratione percipi potuit, in alia tempora re- servemus : nunc hominem tabulis, testions, privatis publicisque lit teris auctoritatibusque accusemus. 2. 'ExéXeue : sur cet impar- Gr. gr., § 218. 3. "Evo/oç xto touSat'Çetv, obnoxius Judaïcx superstitioni. Les Juifs étaient déjà nombreux alors à Rome et réussissaient à faire des prosélytes. Or on sait que les Juifs ne mangent point de porc. Ce Cœcilius est Q. Caecilius Niger, qui avait été questeur de Verres en Sicile. Il voulait fait, cf. — 4 tyjv ev ptiv S2 se substituer tô aux EÙOfiïav tgj ;> tiiayi'ulocti Siciliens comme accusateur de Verres. Cicéron repoussa ses prétentions dans le discours intitulé Divinatio. : 'OpTVjvatov». Hortensius, un peu plus âgé que Cicéron, fut son rival dans l'art oratoire. Cicéron parle souvent de lui en termes éloquents dans ses ouvrages de Rhétorique. Cf. le début du Brutus. Tyjv sOOeïav (s. e. ôoov ou Ypa[X[XY]v), litt., enligne directe, c.-à-d. sans détour, franchement ouvertement. Cf. explication dans Morales, 408, F "Oausp oi u.<x0y]4. — : [xotuxoi ypau.u.Y)v xr)v êXayt<rrr)v.. . e06sïav xaXoOfft ouxwç to;) sOésïa rcpô; tyjv (v ôiaXe*/.- à)>Y]6eiav x. t. a. 5. Tt{J.yj{Jia de comme tiu.yj vient xitù, évaluer. Il signifie ici évaluation d'unepeine pécuniaire, d'où amende. C'était la coutume chez les Romains que l'accusé se fît entourer par de grands personnages afin que leur autorité pesât
  • 30. r •. > . < K . « MAPITRB Mil . franc». ou de -ateur pen élerée que celle on lonpemsNC • en • dont pari- avec Oa I Ces prt. — «?'.*. • !<• jue. — corrompp'. laieeé ffi a-. <rt-i:r.« - qi .-» <:«• -•'*.'» J expr*->v n- rorrnv- on II/î- ; : quart' I amplement par qmt: il est Pour .routeil • faut se f • raj itmpçons; Plutar- à-d. »/: inx. ' 1. i pt&$ta>V II .a drach: ! A 7 — . chiffre e- ement au des<u n'a § : . vent réuni* pour marquer l'idée d'apporter, ou d'ewmener et d'emp<r • - I :
  • 31. CHAPITRE Tr ç àiro <pepovT8Ç à)vV otov %spôoç, liroiVjffaTO 8ï izoX'kk vvfcou, t Zi VIII. * tîkov, xyopàv tyjv £-ci>tovL'7ai ouôsv tôv àireypTÎo'aTO tt, tpiÀori.[na tcov àvGpwxcov. 0£ ^WplOV 'E/.£/.TV)TO Ns'xv t^oàiv 3 où [/.eyà^oi* &ysveTO èvvéa àypoç, xal r,v zxl ocoo£X.a, [/.'jp'.xocdv d"/;vapicov TCSpl XûCt , èVepoç, no{/.:r/;iou; 4 ttoottiç xX?]ûovo{j,La 'Atco [/.upiàdaç. Ttoopovcoç /.al x[/.a wepi ts Tepevrtaç tt.ç yuvawtoç cpspvr, T'Jva^Osî'cra sXs'jÔcpLw; 2 "ApTUOlÇ £V Y.OL~kQV |**Tà tcov oiTjye eiç to'jtcov crua- < £io'Jvtcov vcov, et oyv 'EX'Xrlvcov ^oyOv;pcoç [/.y.yco Tcspl to to<7T£ y.xl Kxl toGtov îcxi Oixixv Og ycôpvî(7£V "Oaov, auToç er [JLÊV sez qSjcet le litt., à7t£Xpr (raTO... èrceutovîffat x. t. a. 4 îueptTTo'ç, T£Tay [/ivotç ttoàXoÙç xal [/.sya- tw 8 7UXp£- Vésuve en 79 de notre ère. yuvouxoç, sa femme. 4. T% — Cf. Gr. gr., § 153. Ar,vapîœv, le denier valait environ un franc, du temps de Cicéron. 5. KataxAtv6{j.£VOç, ô<rov — Les édiles tant à table, mais — étaient chargés de surveiller les marchés comme l'indique le mot àyopavou-îa qui désigne l'édilité à l'époque gréco-romaine. Oùy_ o'jtoo; metnote 2. non pas tant... cf. p. to;, se 29, beaucoup plus usité que r xxov. .. y;. Cf. IX, p. 30, note 4. T-r^v aAX-rçv Osparcetav, 6. que, est ( 2. 'Ev "Apîïocç. Il ne s'agit pus dUArpi en Apulie, mais à'Arpinum. Plutarque avait peut-être accus, de relat. Gr. gr., § 162. 7. Touxov xôv xporcov : Gr. gr., § 163. écrit 'Apïuvoiç. Xêot IIoAcç qu'on écrit aussi NeàitoXiç, Naples. On sait que la ville de Pompéi fut détruite par aosAopcj) to IlaXaTtov uirèp too icept (il était nécessaire') A).).' aAAr.v (kxTrxic^xycoycov ' irooç TTXTpcoav 5 : xal , cruv£ïy£v. seulement aupour, c.-à-d. seulement de manière à. Pour cet emploi de l'infinitif après ogoc, cf. Gr. gr., § 256. Construi1. tyjv 5 cto- tco <7cou.x àpiOuto tov Tpo'-ov xo'vooç T7;V to àxpiêyjç avoaov xal ôiapxYJ gttz- x,xTxzÀ'.vo'{/.evoc *Hv 5s xal 6 Tpt^eTt xaî TrepiiraTOt; Xoyç àytovaç tant que oà coç 9epaiceiav (p'/Xo'Xcycov, 7l)vtOU oa/„£i{/.£vov. crcofjia '/pYiaOxi. £C,tv (Wulcov oY àT/o)iav, o'jtco tyjv rpo Tors, Pa>i/.xitov y.al 8. 3. lins Tûi àôêAcpto, Quint us TutCicero. — l'infinitif, cf. III et § 282. 'IpTÙp tov. avec Gr. gr., § 252, rem.
  • 32. I I I 1 /. I I I BAP1TRE l Ltciniu» Macer. i — Plaisanterie " 1: y. ; m y. - - M 4 . -77/ / 1 a- H 1. I, a L» ïfl le page 12. no* k/ -<- : 5. de venir «allier leur matin et de lu •rtait en ville. l'habitude patron . une arcu-ation de malversation, en repeinn inrum (s. latin e. - ainsi Le grec aime à séparer deux mots unis : erimen /wrwatara). aune jnge). | - '* 1 ' • i '.Cf. p. 12, no*» 4. Atxtvioç >n -, Mx/.:-. du nom de 0. Licinius historien et o: des accusés leur barbe et portaient des pour exciter la et du peuple, laissaient croître leurs chev mente négligés. pitié les
  • 33. CHAPITRE ôç ocOOcç vevix7)x<i>ç, Rpa(7<70U TT,V 7USpl àyopàv sïç tw Ktxépam o^av Taïç sx^w/.s aTpe^aç xal xxTaxAtvaç 2 xpoïévar 3 Se y.al t|r/(<potç âva- , os xpày^x £7n|/.£Ac5ç jipaësu- Tô <x7ro6av£tv. "HveyxEV tqu O.ÙTOJ à7U3CVTT,(jaVTOÇ * at)A.£lOV xacatç Sri <ppà(7avTO<; 29 IX. wç x tô o tîta.GTr]p .ov. (javTt , 'Etts! OùaTtvioç'* o^è ap^ovxaç Toù; Trpoç tov yoipâoiov Se xaTa<7Ta; xapà toO poiAeuo[/.svou 7C6pl ypovov, tto'XÙv ys St(rràcgtÊ Kixépcov 6 xai Y)T£tTO o^o'vtoç, jv//) wç £i7T£V ti av oôx toutou aTpaTYjyûv, È7T'.GTpa- 'Aaa' sywy' ce xal aruVTfjYoptaiç, TrspiTv'AECoç, Ktxépcdvoç, aÙTo'ç Tpa^ù ti touç sv TpXYj/îAOv à);Aà <pa; sywv àvvjp , oAiycopov » eiicev « oùx eyco TY)AlXO'JTOV TpXYJQAoV'. » >1 "Eti o aÙTcp tou vou yàp 7jv suvotav llovyiv tgW fiîQiauivav — Ka-caxAtvetç, ici se metau lit, mais cf. p. 27, note 5. 2. tre 3. : AôÇav VIII, page 4. >}v£Yttev 26, note Oùaxtvtoç : a>ç : cf. 1. transcription de Vatinius. Cicéron prononça plus tard contre ce Vatinius qu'il appelle homo petulans et audax, un discours qui nous a été conservé. Construisez 'Eue! Oùa- — Tivto;... rjTStTO... xal, t. : [xy] ôiSovtoç toû Kixépcovo;)... eItcev x. a. La proposition principale (s. e. xai eive 1 ttjç àpv^vi; 7i gtcouoyjv pipa; 6 STpaTTQYÛv 1 tyjyoiy), s il était O ûtto sxao^/Jjaoç Ssxa toù- commence seulement à — . 7 auTou, tuav /.al crpatTivôv çeiç. 6 IIo[//7rfiïov â^ioucav eo<ox£' tyjv Ilepi'fyjv aîiXetov (s. e. 'EàXwxe de à)i<7xou.ai litt., être pris, c-h-d. déclaré coupable. Cf. VII, page 24, note 7. 1. ïyovzi £i»Guvwv x"A07Ty;ç Aitouulsvou S cp(Aoç. >îyav3cxT7io*£v Sûpav). Tp£tç ^oxûv £Aauv£cOai Jià o^'/ffAou, KixÉpcov 7) MavOaov Ttç MavtAio; outoç Àè 6 ^uo vî(/ipa<; lupocvîyayé Inioxpa.- = z <TTpa- préteur. 5. TTfjAtxourov Tpà^vjAov. Les jeux de mots passent difficilement d'une langue dans une autre. Il semble que Cicéron devait jouer à la fois sur le sens de nutare (balancer la tête ou hésiter} et de l'expression tantas cervices habere, qui signifie à la fois avoir un gros cou et être impudent. 6. EùOûvwv xXoïî^ç : cf. page 28, note 5. 7. xal ojîouSyjv, studium. Cf. VIII, p. 28, Evivotav gratiam note 2. et 2.
  • 34. b im vu: : lûrv J; - . Tci*; t o" I . , I . . ! I - I CHAPITRE Causes de I la conjuration de Cstûina. ICI ,v I 1.1.:/ . -:-. comme i '.r c i&mf (comme .tvoc. 5. ction d .:it infin *o> ./ c.-4-d. propre >mnieen latin. c c'est le e On Tûv un loi. d — rua fut consul «ao an», aussitôt s la à 41 - c.-à-i. en ne du maintien constitution. 4. OJ/ |lMia . ritsou- - >>•'/ -> et p. 16, note 3.
  • 35. CIIAPITRE X. àoyvj Ù7TO ypovoi» È'yeiv ou OÙ £tb>V, ^sTaOe^vaL 8ï SV IlovTw lv U.Y108[/.taÇ 'P(0|X,7) TYJ àçtou.ayoo Tftpt^ovTaç eîvov avopa y.&ov t6 i^uov evexdt x^sove- nOfATT/fro'J Apj/.evta /.ai toX[/.yityiv tto^Ioîç y.aTa<7Ta<7t.V Ta TCapovTa oa- ol ' t,7)T0ÎivTeç [jAtIOV, TO 7Up6ç (iasi^sutfLv toîç Tivà 7]07) oV/.o'Jgtiç, Ticav «pauXyiv jcas «reiffa! cjv/iGcLaç y»al os to't£ ^pavet(njç, aTcliwOu (/.àv 31 TOIÇ £Tl [/.6V oia7roXs[/.oiîvToç, UCpSCTWUVjÇ 7700; TOl>; Oûtoi ouvôjlscoç. V£(t)- y.opurpaîbv xal a£yaXo-pzrjxova y.al ttoi- t KaTtXtvav Aeuîctov 7)Go;, 2 ô; aiTiav 7uorè , X â^Xoiç 7rpoç <pOV aUTOU* 2>X"Xav (XSVOIÇ pol 3 âoijc'/fuiaçi /ta! fiVt TOUTto <poéo'J(/.svoç 67cei<rê £^pÔapTO & Ott' •fl&ovàç TûpoçsvouvTo; à^psi^w; sy.aGTw aTcocTaciv FalaTta;. ~Haav ot^Tjxouvxeç, — ÔV/] craojtàiv. Ai- £v sic 'E7TY)pT0 y-al 5 2. ea»£i- grane son gendre, roi d'Arménie. Remarquez la construction de cette longue phrase, composée d'une courte proposition principale enclavée entre deux couples de propositions au participe absolu. Si elle n'est pas reliée à la précédente par une particule, c'est qu'elle forme une explication annoncée par ï oùtîoc; TOififfôe, Gr. gr., § 335. Il en est de même pour la suivante qui commence par un dé- ty) ttoXe'. â'pwTaç TaoTa o^a-âV/iv o^ ts Tup- tyjç £vtoç vj Ta izoXkx 'E7UO~<pa)i<7TaTa terunt qui conarentur. BaoïXsvaiv, Mithridate, roi 'du Pont, et Ti- monstratif. tcov yuvaiy.wv y.al ty]v y.al y.al Tfiç 4 «.ipoç xotouç y.al TCapacry.fi'ja^ovTOç. Trpo; '!>,7r£cov aÙToO xolù â»/,Xotç é'o^ocav 77''ctt£«,; av9oa>7rov £y£u<7avT0 1 v£OT"/]To;, 1. oùCkoLq T£ "XaêovT£ç, p'/ivia O^y.ïlV w; £Tt ÇwVTa tov avOpa)7rov lv toi; aTroôavouTTpOypa^at. TOUTOV OÙV 7rpO<7TZT7ÎV Ot 7T0VY)- y.aTaÔuaavT£ç scfit eXaêe %T£ivai ào £'X- [/.syaXoiç fi â 1 ti 'Pwiavi Asùxtov KattXtvav, Lu- cius Catilina, d'ailleurs bien con- nu. 3. vocç. *Ev totç à«oOavov>{xé- La traduction inter necandos n'est pas tout à fait exacte, car participe futur ne renferme pas plus en grec qu'en latin l'idée le d'obligation. 4. 'EYêOoavco. Salluste (Con;. de Catil. 22) est moins affirmatif. Fuere ea tempestate qui dice- rent, etc. 5. G. 'Etc^pto de ÈTiaipco. 'EntocpaXscxaTa et/ 5 '
  • 36. < BAPITBE «ni, I I malgré l loi effort* I /.y. ! •z lea forme «le j I j i / i « > 1 m dant % foû,e,-44.ma -.i. Sur * I rem. Ad- . — Ki:;-:i..y; 1. de l'orateur Jr.;ndr«xpoc second . fils • ' nstniit ici B parce «« qu'il renfern. . x»mme un g< at«olu. I . <7<h,« </« / bien, expression bien cou- nue. 0»v, r elle-mèmt affaiblie, o à la merci. pour la renverser. p:ir :----£. Pour passif de on emt XIV. quelquefci page 38, note 6. "i 1
  • 37. 33 CÏ1APITRE XII. xal Se tio'vtcov Taïo; 'Avtwvioç KixÉpcov 6 7)p£'0*/i(7a.v. tiwtMCOu 1? 7)V [ao'voç RcaTot tûv [/.£- TraTpoç , où ysyovwç. (3ouX£utou, CHAPITRE XII Cicéron remporte par son éloquence divers triomphes sur les partisans de Catilina. Rai RxrOavxv irspi j/iv t3c xipwvoç wo^iTsiav sSéçavTO. xocrà toÙç x<i>i)[/.6VOi youv 2 , iroX),à T£IXV OU&£ ot Toûto piv dcpyetv 9 vo|/.ouç [/.£TiovT£ç 6>.iyot, tyjç àp^àç SùXXa TupavviSo; xaTvjyopouvTeç oixata. yov ouV ovtsç vetç SuT^a ptsyà^o:, 3 , ou * 6^|/.ap^oi [/.èv nO|/.7U7)'fou 1. Touto eTwtte part... toùç îtfXXa yap ot ouV xpoç ttjv aÙTY)v 'iTocTiaç V£0t)<7Tl Jitèv.., 7cx<77]; 77pO(7(Opt(7TO, xouto de Vautre. £è — fie, Kaià D'après ces magistratures xe- a<rGc- £§>)[/. «.y (o- [aèv u7ro'9£(7iv xal 1:0X1- ttjv XOCipÛ XIVOÛVTEÇ' TOUTO &£ VOfJLOUÇ (7ÙV Sap^iav xaOtGTavTeç âvSpwv ocÙTOxparopcov, icck<rfiÇ Ri- t/jv àV/iGTJ Ssovti £v [r/jv ' TOUÇ STl, lij.eXksv tcoT^oÙ; "XavOavovTa, TwpoxywvEÇ o£ ElffYJ- bsxx- , oiç eçeîro Supîaç xai oca XUplOUÇ OVTOCÇ, 4tà 77(i)>.glV AYjjxaytùYwv to <7TpaTsuu,a txavixrjç qpopàç xai xevûv eXnCScov ut:' a-j- vojjlou;. lois les principales demeuraient interdites aux 3. IloXXà xaTY)Yopouvceç, regardait comme une condition de l'apaisement des troubles civils et du maintien de répandant beaucoup d'accusations. Il ne faut pas faire dépendre Trj; -wXXa Tvpavv:8oç de TtoXXâ, mais directement de xaT7)yopoûvreç ou plus exactement de xoctoc qui entre dans la composition du verbe. Sur la construction de plusieurs verbes composés de l'ordre. xaxà fils des proscrits. On craignait que le pouvoir ne fût entre leurs mains un instrument de vengeance. Cicéron soutint énergiquement ces lois qu'il 2. A^ii-atY^Y^v, pris en mau- vaise part, signifie capter les bonnes grâces de la multitude en flattant ses passions. Cf. Vie de Fab. V : litt., 4. cf. Gr. gr.. § 167, 7°. jj.sv x. t. a. Ces nàanrçç mots dépendent de ta ôr^ôata et non pas de xupîouç ôvraç. Ta — ôr][x6<na, agrum publicum.
  • 38. I - I . 1 I . 7 " I - 7 . . . 'pérant q qui . sembi h page ivec les . gouTernee des iche* provinces, à son col- . on céda ment de Gaule nota la afin r Il ','.-.;/:: .v ( ou 5. tendu] le l'ordinaire I i de rester à les 18, i). cm bien ( Vie IX) on enfin '-.. comme ici ptntèe Rome agitateurs. ?.--;-.-'.) second rôle; teoomder. Ce terme à note le Maoéd . ' III. 16, note 3. théàtre où l'on la lang~
  • 39. CHAPITRE ocAÀa où ïizzafyzi (3ouAy]V tt)v piovov aXkiùv à7royvwva.'. tquç x.sXsuaa; tov £C,££a.À£ £x,£Îvov CoDtOV ÀOyw TOJ XpXT/îÔ£VT2.Ç W CHAPITRE 7rpOG£lOoSv, /-al aAAa xal tûv v6[/.ov, uapyou; ô"/î k ' 35 XIII. £7wO'!y)<7£ rcacz ? 2.UT00. XIII Cicéron apaise un tumulte au théâtre et fait respecter la MaAKTTa v^^ovy;; ô'crov oOtoç yàp 2 Ictiv, àfil (JL£V à<paipsïv ' £v 7TpOT£pOV ÀOT; X.2.1 tyj £V uTCOtTSia TOÎÇ {X£TOC TOU 07^.00 tellement furent subjugués; les trois discours sur la loi agraire, qui valurent à Cicéron un si beau succès, nous ont été conservés. "Ooov tjSovtjç. D'après 2. ils MM. Riemann comparée, Deuxième et Goelzer QGr. 128, note 2, et année de grec, p. 318, p. rem.), le grec ne connaît pas les constructions dans lesquelles un génitif de quantité dépend d'adjectifs ou de pronoms neutres employés au nominatif ou à l'accusatif. On voit qu'il se rencontre des exceptions. Cf. Vie de Démost. VII "Oaov xocfxou xai yjxpixo;. : 3. Tw Aô^w, tu §è en action.,, en paroles. An- {J.èv êp*fo>... ^zpiTo; y£vopt.£vov. GsfltTpOlÇ Ilapà toooutov, 1. cu|/.çépovTo;. Aoyov tov 7U6ût t*?iç ôéaç T0Î> £py(p Aetypia &è Tgjv 0)Ç ocù- Tàç Ixrcizàiv yàp à V 0. {/.£[/.'. y f/.£VCOV TOLÇ 6£(i)U.£VttV JCOt- Trapà to jcal TO Aoyco to 61 a.'.paaOy»t ? tco oeï Jta.1 3 TW t Aov âvTt tou xoAa/.£'JovToç toG 'P<ù|/,atotç àv opÔwç TiyYjToa, TOV £^ f/.£À(OÇ 7rOAlT£'j6a£VGV >u7ro0v loi. Aoyoç t£> zaÀco irpo^TiOvict, xat ort to àr/nr/iTov Stxottov Ixs^s^s àvyjp 6 to- £TUV^£ 77o7^- 5 , 77CÔ5- — tithèse très fréquente. ToO xoXaxeuovxoç, ce qui flatte, au neutre, comme plus loin to Xurcovv, to (Tujxcpspov. Le grec emploie souvent le neutre d'un adjectif ou d'un participe, précédé de l'article à la place d'un substantif abs- Thucydide surtout tionne cette tournure. trait. 4. Ilapà xàç Oéaç, pendant les spectacles, loin, dans les jeux, plus de place îôîa osa a le sens réservée 5. affec- au spectacle. 'Hc, ï"Z}yz = eïxy}, au ha- sard, litt., comme cela se trouvait. 'Etù Ti[iy} (ÈTit, en vue de), pour — — leur faire honneur. Màpxio; "06wv aTpaTYiyàiv double inexactitude : cet homme s'appelait ,
  • 40. I « Sta I I • CHAPITRE i menace d'écU MNM encore une T Il ] fois. .7 - - cbez les ptup, proposée re les quaqui faisaient suite I. Op6c r»vec i ; nt df, de pari là le sens de pro contumeJia accipert. I , i -',j l - déesse de la guerre, Bel- Romains : son tem- voisin da théâtre de où se produisait ce dé- Pompée Le discours grâce auquel a réussit alors à calmer le peuple ne nous a pa sordre. 3. r . IBS, |f — d'abord. , r .. le sujet - la eonjmris, don: l'idée est suggérée par cvrt*. suppléer :
  • 41. CHAPITRE XIV RaTiAivxv * xxl S'JaXx 01 gJyipéOi^ov ^CXTC£Cpl>/tOT£Ç txlç Tuppr,vtxat; (Aa.yi{JLtL)Ta.TOi 7r6A£(7tv àpxayxç £TOt(xcov ov£ipo7TOAo0vT£;. " AlOV aOÔtÇ &£ [X£TY)£l, aùxov P£êoUAe'J[ASVOÇ twv tov TO JCXl OaipLOVlOV xv0ow77cov u.7)vu<j£tç £A£y^ov x7ToypoJGxt va|/ivou [Asyx X.XT àp/aipeaiâv iwçgpôépievoç 'O yjy.aTwv Ofi y.xiviov 6 7 7U0AA0U; AianecputtÔTeç. Expression litt., ayant poussé, pris racine, c.-à-d. s'étant établis par toute l'Italie. Le génitif dépend de l'idée contenue dans ôiâ. Coray paraphrase ainsi 8ia7iepuTevu.evoi : Plus Bi' ôXy); t^ç loin, èyxaT£(77rap- qui n'a généralement que sens figuré, continue néanmoins jjLÉvot, le la métaphore. 2. MàXAtoç, Salluste l'appelle Manlius. 3. Suvap^aipeaiotcovceç — — ce lourd composé (<jûv <*PX*I aipscn;) que Plutarque est le seul à employer, signifie aider à V élection des magistrats, qui sont dans le cas présent les consuls. Le participe futur marque ici le but rLUTAR^UE. xai sv TOV TX vjcrxv, 'Eo^o/.si irpXGTOU.EVX At S' o'jTwto X7r' â' etç x.xl $u- vijAÉoav tgjv 6%&asi tov Rx- ty]v Wfipl TWV £tVXt t/j yàp KlJCSptoVX èvoojou OlOfJLSVOÇ £cpi£[/.svouç 1. 'iTaXia;. 5 6 Riy-Épcov figurée, xac oiov èppiÇtouivoi * ôopu^ov. Aio <7TpX~ TCXp*?;C7XV 'Y-rcareiav . xvopo; cuy/»V/iT0V T7]V SIC aV£X.ptV£V. 1 XXI <pa<7u.a<;iv. [/iv Rxtiaivx. tou 3 XVSASW îtxt Mxa- EÛAAX RxTlA''va 1UpOCT,{/.XlVSlV aA7)9eiç 7wAoutwv y,y£[x6vx 'J7CO àp^aipsfftôv ts y.xi x.£pauvoîç aziGiLtàç TlAlVXV T(0 <7uvxpyjxip£i7ix<70VT£; 'PtojAvjv Trepl è7Tl(paVWg &S £yy.xT£<77rxp|/iv(K Outol yàp GUVIGTXVTO 7UÀ£Î'7TOL (Hx<popvK7£iç jtoti XV&pX TWV sfyoVTSÇ TE'JGXf/ivCOV, £iç toxaiv arpaTittaoti, 7râ*A3Ci 'ItxAIXÇ, TTJÇ OAYJÇ (ASV 37 A£yOJA£VCOV TTOX- T0l>Ç Poua^, X.XI xux (Gr. gr., § 302). 4. 'AveXetv, de àvocipetv, interJicere. 5. IIpooYjjjLatvecv. Dans son traité de la Divination (I, § 17 seqq.) Cicéron cite un fragment de son propre poème de consulatu $uo, où sont précisément rapportés ces présages. Personnellement, au fond, il n'y croyait pas. 6. Cicéron, la veille même du jour où devaient avoir lieu les comices, fit remettre l'élection des consuls à un autre jour. np<xyKàLTiav 7. xouvtov, comme en tion. — latin res novae, révolu- 'Evôetxvuu,evo;, dat., se — faisant valoir aux yeux de. 'A7roxptva<r8ai à7i6xot<r.v, Cf. Gr. gr., § 161.
  • 42. I I K Mvj:"o 1 La conjuration w BAPITOE i énat remet plein pou roi r est dé an conanl. OÙ % j : ' A'Jtlv 1. «le ron rt< : • Murtnn pro (un coin) de ta i, rem. arec le« verbe* (•< r. yr.. ••.:.i este 4. I échouait enrore X ï. — -2, note 6. Les a.i .firme rei p alterumjirmum -, r transitifs en «oua-en tendant p 821' . r I qu'on l'époque m.i XXV irt. une forme e*»t tine capiU: — ritms tstet, .turum. capt ' Il aa*.. rt. <:• ;i:vu)v, — comp- d étaient D. Junius Silacns et L. us Mure a. ponr lequel Ci- ùtter 1 ?c Champ céron a éc Prê Murena.
  • 43. CHAPITRE XV. TaXoy t(o{/ivcov ? r (JL£pa.; Oegiv 2 uiaaç vuxraç tttpi TWTaTOt x.oç MàpxeA'Xoç xai <^S yvoùç T(i) o RpdC(7C7(0 w; WpOÇ TGV xal ti à'X^oi; tou )ia.v a(/.' vtyipx tuaaç à7?s'$b>x£V 'EtwEI &£ ÈTC'.CTOAà; 7-0(7-1- £7riysypa.u!.(/.£vaç Hv . f^OVTJV àv?»- irV/jyEi; */]<7av KaxaXoxt?oji.évu)v,semnpar compagnies (Xoxoi). La légion romaine est appelée par 1. </e«n£ (X>,à' , ïayj, oùv 7ÎJC6V TOÙ &£IV0G Û7T0 y;v Six <pi- RlXs'pcoV 6 tzç £7:L<7T0^à; xo- srtscrra&u.gvai Ilasai S' ôfAOuoç KoïVTOÇ 6 £>0J<7£V BouX£u<7ay.£voç oîç (pav£pwç àvayvôvai. £(ppa*C0V. Ol)X aov/)yay£, xal (3ou"ativ xurôv. àvÔpWTCOU ' otiTiaç a7roXû6{/.6Voç, KaTtAiva. £7re- Ta yp£jjt.|/.aTa (povov RaTt)ava xal 7rapY)vei tt,ç Rr/.£pCOVa, xai tâç 0£L7TVOV TIVOÇ 07)' TTolEWÇ Ù7T£$£^0eîV, TACÇ oiXkOLÇ £'j6Ùç èx&euov k'cppa^E oiîc 7To);i>v xo^avTe; ôi Tuapou^ia-v ttjv [/.ETa à&£<T7wOT0V pt,60tN Rpa<7<70ç, y£V7]G0'x£V0v 'J7T0 aXXaç , l Mzp- xal Kpsfcereoç MtfrjEXXo? RpaGCW Q'JptopOÇ, Q àyvcoTo; t^eigocç XUTto (ppxcai KixÉpcavi TOlOVÔC &£ XTCoàrôtofflV êm;- KlXEpCOVOÇ T/)V xal xy^ecocvTsç tov ôupcopov tocç 6upy.; Hv Sxvpri&v x.al ty)V àvopE; oî TrpwTOt xai $uva- 'Pw^aiwv, Map/.oç te yetpat wpoç cbpi<7|/ivyiç eyyjç 0&771Ç, 7JX0V ÊIW ; owwav T^ç y.xl ' 31) 'ÂpplOÇ préoccuper ' , xsA£tf<iaç , ETuêotAvjv tï]v aVVjp <7TpaT7)- comme en le répéter près français de de l'autre verbe sous forme de pronom. 'Aôéottoxov, anonyme. Cf. Démost. V àôéa7ïOTa Grecs Tay^a, quelquefois ?à).ay£, à moins qu'ils ne trans- Vie crivent le mot Jegio. Cf. 17e*', 1072, ôuo Xeyewve; (oOtw yàp xà c TaYJxaTa ol Pw[xaïoi xa).oû<jiv). ouvrir. les A : 2. Méaou vuxxeç, au pluriel, minuit. 'EneYStpat * at «ppàaou 3. Ktzipiovt. En grec, quand deux verbes gouvernant des cas différents ont un même complément, on peut se contenter de mettre ce complément au cas voulu par le verbe le plus rapproché sans se 4. ."). de : "EAuaev. Litt., délier c.-h-à. Chez les anciens, au lieu de mettre les lettres dans une enveloppe on les roulait et on les entourait d'un fil. Il fallait pour les lire couper ou dénouer ce fil. G. <J»avepûç, à haute voix. 7. Quintus Arriva. iTpaTrjyixoç, prxtorius, ancien préteur. Cf. uîcaTixo;, personnage consulaire. Cf. XIX, page 46, note 5. —
  • 44. m i . i I BAHTRE Wl oénm. — La de ilome it I K y T 1 rou tomç , K VI ;ra y- - ±- > mu, V air, plane. M ae expre* • . D I • ' em inutrer par lui miwte. gr.. z6 K>iS$o, tenir #M*/>r - voj : R ivrcau v.-f.a tf i -- 'y>j revê- f - fOMlkl d'un pouvoir san* faisant imftw*. entrant (di formulars composés de tt à côté de leur teos circonstance tait les . t aositii.com me : , comme ' 3. I '- 'J-i^x. ils tarent, : 6. euphémisme, malheur. gierf- rtvvu»Txtiv. arec l'inf lut ion de.
  • 45. CHAPITRE XVI. MàÀA'.OV TOV TCOOÇ RÉOviyov xal Ôusaç wç ecoBev "Xaêovraç V^fAÉpX, Ôav viyavaxTOuv xal xaTsêdwv façt j7roxTdT£po "flXOV »[/.' IIpoEAGtov yEvÉcGai. f . £IÇ XOCÀOUGIV, TtO[/.aiOt to 7cp6ç ôSoiï, tcov <7uyxAY;Tixtov, 5 'Ap^a|A£V0Ç . teàoç àvaTTà; àecoç yàp avTov 1 Au lieu des deux personnages nommés ici à tort par Plutarque, Salluste désigne C. Cor» '£>; nelius et L. Vargunteius. simple prétexte, àffiraffojxévou; cf. III, page 16, note 4. — , 2. *ov)A6ta, transcription de cf. I, note 1. — Tûv 57uçav(ôv, génitif partit. Cf. àvyjp rôjv prjxopwv (Gr.gr., § 164). 3. Le 'Avtôvxwv, quand on monte. du génitif absolu est sujet souvent sous-entendu lorsqu'il est facile à suppléer (JSr. gr., § 305). On peut aussi employer dans ces désignations de lieu, le datif de relation, qui marque par rapport à qui l'affirmation est vraie. Cf. Thucydide, 1,24, èffxt 7io).iç 1 : 'E7tiSa(iv6<; èv Se^îa èa7t)iovTi tov 'IOVIOV XÔ).7T0V. 6 xal . avTco tyjç (aev "EXOovtoç 4. l)7T£- tov paGpov oc-tuô sGopvêsîro irpodfiTaÇfiv SUtv 'Ev- . OÙOSIÇ {ASV 7 * âpYJ?; 3 OV T*?)Ç aAAwv sàÔovtqc Tcîiv As'yEiv excfc- lEpOV, àviovTtov àÀAa TràvTEç 8è £V lOpUflivOV ixs'Tà Ré- £t(7£^- RixÉpcov o 6 RtxÉpcov à7raAAaTT£G0at Fulvia, o <7UyXaGl<7ai '', à7U0A0Y7)<70|./.£V0U U.6TY1A0OV <W- Tat; Gupaiç, cotte IlaAxTtov RaT'.Atva TauGa xal tou X<i)Au6sVTEÇ TO TOG 2tY)<T10U AlOÇ A6t T7)V <7UYXAV)T0V 2T3CT0pa [aeive Ta; IttI icat toùç rapl tov cpuAaTTEGGat, XOtl d)Ç 8k Toûto <t>ouÀëta, % yuvvi tûv tw RixEpwvi, vuxtoç saGouco. fiÇvfyyeiÀe , 8t)YOV. 0'. S' Ispà; èaGeiv tov RtxÉocova à<77ra<70[/.£vou; SiaxEÀsuaauivv) xal MxpXlOV <7TpXT£UfAa 7 icpocTCeffdvTaç. yp'/fcaçôai êuriçavôv TO fiVt êx6À6Uffe çtov) * 41 sv a>ç 7ro'- 7.o'yotc ? ànoAoY"^- aopxévou. D'ordinaire avec les verbes de mouvement le participe futur marquant le but n'est pas accompagné de u>;; mais ici, le verbe de mouvement étant lui- même au participe, obç n'est point inutile à la clarté. ô. Me-c^Adov. Cicéron, Catil. VII, 16 Omnes consulares, qui tibi persxpe ad cxdem constituai fuerant, simul atque adsedisti parI, : tem istam subselliorum nudam atque inanem reliquerunt. 6. cf. *Eôopu6etxo, à l'imparfait, Gr. gr., § 218. — TÉXoç, Gr. gr., § 163. moment-là que 7. C'est à ce Cicéron lança à Catilina la fameuse apostrophe qui commence la première Catilinaire Quotisque :
  • 46. K (M tulm cb'-f âm vii lMii;l- conjuré* resté* à — Ses espérances. Rom*. I K J j .1 ; XVOX1 $£ - - /. 7. 1 . 1 . 3. .9 il pu formellement Rome: <es il ne île se ronten: i v ordonna sortir de lui de renflant lui Magno me m>tu liberabu dumnu V. 1. iT/Aïixç j.:, OU ' I juitie meut arracher leoù elles étaient plantées pour donner le signal (x>t) </>< à part. rtll? re. - I I ' | , note 4. — .17. § 4. page 'I -.// i 11. r H I cusatif de relation comme 8 10. L'ex- .j/j. - : gr. n. 1. - Le participe présent msrune simple ter* 5. On pouvait être <k; du rang de sénateur pour cause d'indignité par les censeurs. Mais si l'on se faisait élever de nouveau par les suffrages du peuple à une charge curule, on reprenait son rang. I r i | -•, j-
  • 47. CHAPITRE atTtaç. TOtauTYjç 4 (jLteuwv auyvà , Stsçôsipev. xat Aoyov 'Ev Totç xaTz 2uAAav ypovoiç Tatôv ô7)[/.oauov ^pv)t/.aTa>v à-wk^s 'AyavaxTouvTo; &è to0 SuAÀa jcat àiraiTO'jvToç xàvu y(opfoç 2 Oasiv év xapst^s &è 7?&7oeç, oTav 01 «juyx^YjTcp, tyj xaTa^ppowiTixcoç, xal icSovai, s<pr, 43 XVII. ( tw sv j/iv ovx (o<ncsp stw- "Xoyov xvr (r/]v, ttiv oai- xpo<7£AÔot>v cçaipiÇsiv 3 &ta|/.ap- 'Ex toutou Sotipaç TTapCOVOULOCTÔr, TOÙpXV yàp ot 'Pw^atot tvjv xwÎjjlyiv "XsyouTi. IlàAiv Se <^txy)V e^wv xal &ia<p6£t'paç Iviouç tùW àixacTGJv, êtusI twgiv. oucl ' â^ecpuys {/.avaiç yovsvai to 6a.T£po) pua [/.ovov ^7)^0) toioOtov xal f>t£CpOstpav ïiz'/ xptTvj xfivaïç 7U£7TAa<7^£va 7 xal 6 surnom de Sura. En grec, nom propre se construit toujours comme apposition et ne se patv, £e met jamais au génitif après les motsôvo[xa,l7rixXy](jiç,7tpoaYiYopia. En latin 1. on dit cognomen TajAteOwv, 2. Oùx 3. 'Ev I«p»j, Suris. cf. p. 12, refusa, note G. GV. cf. tû acpatptÇeiv. A cer- tain jeu de balle, le joueur, en punition d'une maladresse, devait présenter la jambe pour recevoir un coup. Malheureusement pour les amateurs d'anecdotes, comme Plu4. tarque, ce Lentulus n'est pas le la famille qui ait porté ce surnom. premier de 5. T6 ôoOév. Diibner, en expliquant d'une façon assez inattendue tyjv Oirô tou stepou xpttoO ôoôsïaav (tlrjcpov), montre qu'il : 5, àpxetv Toutov, yàp OVTa ei yexal <pÙG"£t TYJ KaTiAiva,. içoocxal ^£uoo[/.xvt£iç aSovTeç ypv)(7|/.oi>ç le 7uapavaAa)[/.a £<p7) ûxo toO 7i:po^'/îAo0vTa; , , rîoQsv à/rcsÀudT). xexivviuivov £Atc((7C SiëuAÀsicov ^vj'cpoiç * , eltAgpuivouç y6?)T£ç wç SX eivat TtoV 8 T/j n'a pas du tout compris cette impudente plaisanterie. Amyot avait traduit avec raison ce II dit qu'il avoit perdu l'argent qu'il avoit baillé à l'un de ces deux juges-là, pour ce que lui estoit assez d'estre absouls par une seule voix de plus. » 6. Kevatç, litt., vides, c.-à-d. vaines. Cf. en latin vanus pour : vac-nus de vaco (vacuus). 7. 'Exttov EtêuAAeîtov. Ces livres sibyllins jouissaient d'une grande autorité à Rome. Les devins, pour donner du crédit à leurs prédictions, les en disaient extraites. Eî{xap{i.évou<; ecvac, l'inaprès 7tpoÔY)Xo0vTaç, parce que ce verbe, bien que formé de 8. finitif montrer (Gr. gr., § 236) se rattache pour le sens aux verbes qui signifient dire (Gr.gr., § 235). ÔYiXùi, .
  • 48. - . 14 BAP1TRE wiii i i i i ; II sem- di -ujet. ais le ser. En oppose. réalité, l'infini" >tyle indirect brement en «introduit ont exprimant seulement ••st impliquée dam seulement par A | y c. Ici — TaOïx i 8t les infinitifs - employé seul (ftr. gr.. . | 2. verbe 'I 4. BfOMMO. Ces : sort impersonnels qu'en !i prorx .ne idée tption diffrr- ' i : de comme 4i- péri»**.' (autre) que. («. 2 . -;-. client à qui suive:" /oùvti;. 1 ti le Il emploie non seulement après les comparatif», mais aussi après les adjectif-, adverbes on jrrec lorsq. msfcqptM orme infinit maticalement II ble Ce ver't>e marque sou- approche du rivage en venant soit de la haute mer soit de l'intérieur des terres. Aussi est-ce le terme spécial pour rentrer dans sa patrie quand on rient d'exil ou d'une taine. Cf. 4. v page 74. loin- e :: xxiii.
  • 49. CHAPITRE viaotûv toov * Se 8l Sicpv) , <7TU7T7U£ÏOV /.al aTu-izéiov zal /.al gtov o'ieKAYi'pwaav, éîcxTTcp id>' TQdaÛTa 2 [AlpYi oY ÔAiyou */i t'/)v ôè *ra- 7Vo"AA(ov 'A^Aoi oè 7roAiç. Ip^pàÇavreç âiuo<y<pàTTStv toùç e^eaXov o^stoi»; eiç 'Pw^viç, exa- T*?iç ôjç àva^avTojv <p>iyoiTO xavra^dôev toùç Ôeïov xrcsxpi^av. "Avôpaç KeQyfyou cpspov7£<; oixiav çavTSÇ é/.aTÔv xal 45 XVIII. ûSp£U0(/.£'V0UÇ. 'AA- npxTTO(/.£VCOV 0£ TOUTtoV, £TU^OV S7ubv)[/.oiïVT£Ç Aoêp' tycov Suo Toutou; ol tvjv /.al JSouayiv, Tvj Kai ypàjxfAaTa f £7rl tt,v KaTiA-'vav ïas?' tyjv xoLLi^ovra Taç à'jTaÔfi.vfTwv xAAvftoiç iAauvew P<o|/.T,v )tai fieT HeuGepiav, tvjv h IvTuy^avovTwv 6 Tûv KpovtàSiov (de KpôSaturne). Les Saturnales à l'époque de Plutarque duraient plusieurs jours, mais au temps de Catilina, un seul jour. Tooauxa. Salluste dit seuGabinius uti cum magna manu duodecim simul opportuna loca urbis incenderent (Catil. 43). : Statilius et 'AXXoCptYtov. Les Allobroges habitaient entre la Saône 3. et l'Isère. Dans ces — II6vY]pa 7tpaTTovTO?. sortes d'expressions SouSi Oia $' àvÔpco—tov /.al Siw/.cov 6 yi>vai/.àW /.ai Aoyi- Ri/.spwv, 7ipàxT£iv a le sens neutre de se 1. 2. &è tivx KpOTCovix- fîouA£u[/.aTa ~6vo> trouver voç, lement douze 5 tx tuo^àx spuo vyfyovTt *al ffuvédei irepiTT^ tov Suvaire'ffTeAAov . aurwv Titov ImffTOAaç. oïvou repoç toÙç sA£D8£pc6<7avTa Trapax.alo'jVT£; xpoç aùxoTç j^èv xpoç KartAivav sSo- Se ypa{/.pi.aTa ûmcr)(vouu.evGt, ttev KarOavav Xodç vjyepLOvtav. ttjv AévTAOV wçeÀLuouç 7iyou(xevoi irpoç /.al [/.eTaëaXav ty]V Talartav eTrotTÎ- auvfcjp.oTaç* ix.fiï sav, tots or, |v..zAt<7Ta (3apuvot/ivou /.al irept y.iY^cx'. (Tavxo lôvouç içpe'aëeiç, TupaTTQVTo; 7uovr,pà to 3 ' dans BapuvofJiévou tel = 'EXaOvetv, 4. ou tel état. — papecûç çépovro;. s'avancer. Pour expliquer le sens intransitif de ce verbe on sous-entend selon les cas tov ïiiTtov, ou to àp|xa, ou ttjv vaaiv, ou tov cxpaTov. Gr. gr., : § 207. 5. Ttxoç. Titus est un prénom, nom était Vulturcius. 6. 'EvxufX^ 7667 **V&, son con- férer avec quelqu'un. Construisez pouXeuu,axa (ToiaOxa) ota x. 3. : t. a.
  • 50. - UAPITBB l I Lecture d- n ItttfN saisies. — Anesta <!•: Ce» • /.y. / 1 . T.'j't'ti . vi'/jr/.T.,; x-.j-.-j:. I kOt ~ r : 01. :/',: X I | | Anaphore h '. I - - I I I 1 I %i. • . I :-•. — Embarras tioo des conjurés. ron. 'jr., . '.)...;- la manière do: : § mes propres 'Ht' (de les) il : et: . oreil- 9YTI . El . pied . «lu mont k»t|«oéyai v:', -Jj r exdifférentes . nuances deux con- - >te 4. ç. prime des q*e les L :>.*<.- *•"> tends dire) Ctpitolin. 5.1-3- ;9. note 7.
  • 51. Al CHAPITRE XIX. TTiyûv tyî xal, 2 7cp£7couffav OOtoç . 7raG£^oO*/iGav etç a^ea(AOv â' HSv] vovtoç àÔpowç, toiç Trpzy[/.a oixiav etç 7upoeA6wv toû oixi'a îepotç |/iv xal Ù7raTou 4 toû xal -apaj/i- cppacaç to 7rapYiAÔ£v sxeivou yu- tyjv Ôsov, ôpyixy>u(ïat Je xax' yuvaixoç S '.à ai>Tà> &7]f/.ou Eaat.vsç ai/r/i ffU{JL- <7i>v irpomp^Oeif, dbçpppvfToiç S' tyî oî /.ai sv * toi"; ffTpaTTjyoïç. KixÉpcov, 'AyaÔYi'v, 'EÔueto ôvo[/.a£ouatv. ' yarvuâvToç, iraiS'à <piAou 'PtopLaîoi xal 6 7TOAtTaiç, xaTgîvov vaîxeç r.v Xaxvjv cp'j iaOviTa oùv {/.ev ougtiç é<777îpa.ç wepwropçupov tvjv awfAAaçev xaTaÔ£t/.svoç, (JouAvi cpopa sTuyyave), yàp F'jvaixeiav Tr sviauTov [Jwpoç r, Iv aÙTou, t f E<7TiaScov tcov Kixspcov, 6 xal aÙTW Ta7ra<7iv wapdvTov, àvSpxciî. Tvfv toîç à^iXYf[/.aai oV Tt6xv£'., £TPieiX£iav é âvopxci £V TY) vo;, 1. 1TOA61 wppojôst yevst yJGquç T£ Ttjv TCîpcîiôp^'jpov (èaÔr)- des principaux magistrats. T9j oujjtcpopa ïçpércouaav, ypyjGatTO TupocTjXoucav 28, note 6. &$eo{Jiov cpuAaxTjv, en latin in custodiam liberam. On confiait dans ce cas les accusés individuellement à des citoyens qui les gardaient chez eux et répondaient de leur personne. StpaTr/yoï:; ce mot ne peut être pris ici qu'au sens de préteur, or Salluste nomme ces citoyens et il : — p/j xa- Joxoiv; ttreu.êai* SuvaTOÙç ©iaouç 6k xivSuvov'* '/ 0'/]<j X'J.Î- Où yàp n'y avait aucun préteur parmi eux. 4. 'YjïAxov». Les mystères de la Bonne Déesse pouvaient se célébrer non seulement dans la maison du consul, mais aussi dans celle Edç : xal [7.aAaX(OT£pOV IX, page 8. ô'ttco; oùv 7rav- xal aÙTwv qciç' tinctif cf. , ÔAiytov xal TCixpâç xpcoroiç togam [purpuram) prxtextam, toge prétexte, vêtement dis- 2. 5 a [/.a, xal wç £{A<pop£i<7Gai X£XTY)(A£VOlÇ' tov ê<ppo'vTi(,ev yàp âxpav Ta), la aÙTOV Ti|A<opiav sÇviuÀaêÊiTo xal tyiàixoutoiç TT ç èçouctaç ayav v£tv T£ EicsÀOcov Trapouaûv. irapôsvcov yevo(/.£Vo; xa8' 5. du préteur. revéoOou xa6' éatuTÔv, plongé dans ses réflexions, méne pas confondre avec 7tap' éauTto Y^écrOai {Vie d'Alex. LI) être diter, = cf. yevédOai, revenir à soi. XpYjoatTO xotç àvfipaa:, k'vvou; 6. IX, note 7. nam 1, Salluste page 30. (Catil. 46) : Pœ- illorum sibi oneri, impunita-
  • 52. V II I w CHAPITBB ron à la léTérit*. sénat l i I — Le . i I I Or »aVj I /. rf - | K •. ' ; I prrdund' Gr. 1. "AA/.uj^. lui qui ne parais- se K ïTixi/ jl:. : > * : note 1. . no- f. : sont rare* emier par ne... quidem, le second par meque. l'cioque de la décadence, on les emploie parfois pour Li langue classique et doivent s'expliq:. A 3. Ai I! itçtxi -:i/o^ Mtp&évOI ^= = son m al — à); I . — — dan> eo parlant du v "i suscitât - V/ hardi. - VlIUilLK ,jr 32. •'; I
  • 53. 49 CHAPITRE XX. KlttSptoV 6 (p*/i<JLV ^£TaAa(J.êaV0U<7a 7C0>,tTHCÛV TOJV 1 SX£lVCp) Toiv jcal Ta aTUo [/.sTa^tSoijîcra 7) T£ 7TpOÇ CCUTOV SCppOlGE TOCUTO: touç avopaç £7ïïi (ù cppovTi^wv ixstvou TOXp xœv otxiax&v 7Uap(i)$UV£V XOtl o^oiojç ô£ /.ai jvoivtoç éxatpcov <piAo<70<ptaç 7UÀ£ï<7Ta /.al {/.s'yurra o Niyi&oç, IIo7UÀtoç xapà Taç aô£A<po<; 7roAiTixàç ÈypïJTO 7rpà£stç. £' Tv) TWV àvôpOJV X£pl Tt(A(i)piaç StAavôç tvjÔeIç stiOevto cov m, 6 ytav toj eiç $v 3 Kixspcovi àxousiv Èviwv — frère de Cicéron. ïïotcXio; Niyîôtoç, Publius Nigidius Figulus, savant très lié avec Cicéron. Il reste de lui des fragments sur divers su- — toix; TCoAAaç oOo^p^'av Kôïvcoç, Quintus, jets d'histoire, TCpGCr- Se tou ve'oç àpyaç, aù£y)<7£(oç 'Pw^atcov toc ?i 1. On ne trouve point ce passage dans les œuvres qui nous restent de Cicéron. 2. Tots yEVoj^Evou. xpàyjJLotTa, ÊÀsyvov yovTtov irpOff- Kal TOUTCO 7UpwTaç sy wv tyjç È|/.ëeoYiîC£6ç, ^e £w.7)V Couvai ptov. Spto- iroÀiTsia /.al Taiç sA7ugiv ecç È)te{v7)v ttj [AETE<7T7iGE Qave, £' O 7TpWTOÇ yV(ô(/.Y)V ' f^XF 1 Faiou Kai'crapoç, 7 ô^ôv ty)v Àdywv <7uy>cA7]Tcp iv / owcTaTopoç /.al tocç ^è zal vîSy] , §£<7[/.ojT7) s^eÇvïç radcvreç TaOra [/.ETa TO SIC 3 tyjv £<jyaTY)v slrce àyOsvTaç Tj'îteiv yivopivwv uaTepaia, de grammaire et d'astronomie. Ta uXeioxa, ace. de qualif. (Gr.gr., § 161, rem.); on dit -/pr,a6ai xivt Tt, se servir de quelqu'un (tivi) pour quelque chose coç, à'ÀÀou; ÈAav- faco^i'aç, Aocê'/jv j/.èv [/.èv TCapE'§a>z£v jxovap- gtç 8 aAAa * Êyyùç saOcov jtal ae- aXtovat,, Tiva YvwjJLrjv, rogare aliquem sertteniiam. Cf. Gr. gr., 160 et rem. 5. Atxvjv âouvac, expression passive dont l'actif est Sixï]v ),aoziv{Gr.qr.,% 215 et rem.). IIpo- — crrjxeiv 6. (s. ent. Néoç ocùtoùç) àxôsvTa;, a>v Ixt. Il avait trente- sept ans. 7. ~H, grâce à laquelle. comme en voie, latin via, — 'Oôoç, en français passe facilement du sens de chemin au sens de moyen. Aa6/]v 8. 7capa5i$6vat, comme 8. Twv àvôptov, les complices de Catilina. 4. *Epu>TV)Qetç gatus sentent iam. A ^6>l^, l'actif, ro- èpouàv Xaéyjv 7iapa<r/etv, fournir l'occasion. Cf. le français donner prise et le latin ansam prsebere. 9. ~Hv = È^v. — 'Eyyù; Là où nous employons êXQcov. la tour-
  • 54. . I i o i K I < Wl HAPITRE •lu lél 'DfUmiuUon de* oonjwA». I ~ I I ( K3 t / : . ' . • tfopimer. *.' Ainsi - rtntim > . t r: - infin. •ie ron. I est. ; . j ' leur place. ioscmwtqw*. L Baptfttft 1. an jet le '.^r. cour? : mode da dis- conser. - Ma t . i S 'it qut j plutôt nssocifs - - salut qh r uocié perte. -'.:r VII. où tonte cette phrase se trouve transposée a aar demandait la détention à perpétuité et sans r> mission : Plutarque attribue ici à César Xéron. l'opinion de 1 notplus "xav^scôxo-j. qui est employé dans la ri ch. VIII. i / ',: i . c.-à-<i. lui (en .
  • 55. CHAPITRE XXI. 51 Aùto^ yàp àvaGTotç éve^eipYiaev sic é*a-irpoTepa, toc oè Tvj yv(6[xv] RafcaTa j7.£v ty, ' t>,txpàv. T£oov, pOÇ (7l»V£l7T(i)V AuaiTsAav Kaiaapoç ttjv tixiç làeffôai auToç ôors pt.ô^AOv, 6avaTix.Y]v £t7T0!. 'PcouLaicùv oixviv eivai {ioi»A£UT/i 3 Etpv)(/.svviç Se Tw xai T(ov, Rateapa tyjv toç cuyxÀviTOv, tyjv layxT'w <ï>ç 7CpÔT0Ç yàp àv$pl àvT£XpOD<7£V 7 eiTa &ia$sc;x{z.6vo; J Quu.oO jcal GàvaTov ' em <7i>v£7w£p£i<7a; ÛTCovotav, êvÉTTAYiffe o>(7T£ où^ to SeapuoTTlpiov. ccpobpw; Ao'yo) al- StXavov aùBiç Àsyetv xai yvoipLYjç, tyiç R»:taoç AouTàTioç* aÙTY, tÔv yv<t>[JMr)V ev yàp xvopaç) YipouvTO toi>ç 2 T(0 RixiptOVt (y.ttov xaî 7rapaiT£i<7Ôat a£Ta,êa>,Ao[/.£vov 0'!o'j.A6VOl yv<o[JL7)V OavaTcocavTa [/.Y] SsuTspav ty]v T£ <pi^OL 7TXVT6Ç 01 , RàTOV <ppov/i[/.a- /.aTa^Y^iiracOx'. tcov dcvooûv* &è ITspl à^twv oùx, Ao'vTa; 6 vpnpLaTwv $7i|/.6u<76b)ç toc cptAàvOpwTua tqç tw evl ypv)Ga<70at 1. 'EY/etpâi, pour èicixetpài, qui est plus usité au sens d'entreprendre de démontrer, discuter. Eîç éxàxepov, en faveur de l'une et de l'autre opinion. Cf. — Mor. 955, E; 1037, B : ol et; in Xdyot. En latin utramque partent disputare.ïïn réaéxdcxspov lité, : Cicéron montra qu'il penchait pour l'opinion de Silanus. Cf. Catilin., IV, II, 13. napouTeÊcôat repousser 2. {sa première opinion), c.-à-d. la rétracter. Cf. Vie de Coton, XXII , : -tXavôv sSjapvov x. t. a. — y a même, ilvcci xaDiysiv toc 'Avôpi PouXeuxrj. Il Vie de Caton, XXII, àvSpl 'Ptofxaito. 3. E6pYjjj.èV*iç, et On dans lamême voit qu'on peut employer le génitif absolu lors phrase a.ùxr. IviaraTO Raîcap, iauTou yvco^ç lîtêa- <7x.'jOo(07UOTàTco. môme que se trouve le sujet Bia£o[/.e- du participe exprimé à un autre cas la phrase. En latin cette construction est fort rare et ne doit pas être imitée. En grec même, il semble qu'on ne l'emploie qu'intentionnellement pour mettre en relief l'action marquée par le participe elle devient plus fréquente à la décadence. KàxXo; Aouxcmos, Q. Lutatius Catulus. dans ; 4. — AtaSeÇàpievoç, succédant à, c.-à-d. prenant la parole après. Cf. en latin excipiens sermonem. — — Kâxcov, Caton d'Utique. 5. "iiaxe (s.-ent. ocvxyjv). Tà>v àvôpwv. Ce génitif ne dépend pas de ôàvaxov, mais de l'idée contenue dans xaxà (contre). Cf. Gr. gr., § 167, 7°, 6. S.-ent. (aùxoù;) ÈxêaXdvxaç.
  • 56. vie di > >f BAPfTRB Wll I — ré* cwpWl Kcbec d . ' I , m I 1 a rr,( - - /.v. Q T7 - ÉOtoX 10 : 1 K xaTOYocYti T T ( - i . - - . T07T7: ; ' U.6VOVTOC, — : <m. T . • . ns ac« F> i.Tûv arpat t i yftw Ct XIX, 3. W 'Itp&ç L iik , , le •oir (ir^c qo forum. — tam ru* J*. aie racine : - t rigu et J ' llr. I : I ïitmnt faire. .al- : lusion aux mystères. 5. Le Tuliianum, cachot sou- terrain. Ce mot a 6. ; e:.- ' v - raiMitif. . il jit j
  • 57. CHAPITRE XXII. 53 sÇaoTCayTiVat, cpOey^àfAsvo; ptiya xpoç aÙTOuç, « "EÇr,TO.V » ' £l7T5V. 6ï OuTfc) 'Ptojy.aitoV 01 $Uff<p7)|A6lV (/./( àyopaç âvéëatvev sic fiouXofJUVOl TO TsOv^Vat <77)(/.aiv0U(7lV. 2 "H^yi &' Y)v £<j7U£pa OtJCtaV, OÙJCETI TTjV 7rpoTPe(/.7udvT(i>v Teyôv 7rpoûWivov : , ùtuo <5v 5 7ro(/. 7r7 01 7T>,£Î(7T0l, yo&ou; xal ektyi pivot &tà y*^v oà oï xal 6 cpwTa, TZoXkèc jtat Sa^a; twv yuvaix.EC ex osa àviovroç* 7 XaT£pya<7X(/.£V0l xal affETarjXaxoTEç Gpià[/.£ojv àv&poç, toO crs^vw; ^.x).a T£ 7UoX£[/.0'JÇ xal At Ti|«j àpiaTcov tô>v j Ta /.tigtyiv jcal >.a[/.7?£$ia ôupaic. bel xpoTOtç o£yo- jcal scùTYJpa , ttsvcotto'jc, sxl Tatç ' i(7TavTc»jv 3 T«^l XOÀITWV OÙ6s àl),à cpcovaîç TCocTpiooç. tyjç toÙc •/taT£>,a^7U£ ot' TtoV yEVOixo oi»c àvaxa^ouvrcov xal C7l(07infi ocùto'v, 1 jcaô [i£V(j)v 9 , ÔaXaTTav J7.E- irpocr- oXtymv, èêàSt^ov oùx àvo[/.oXoyou|/.£Vot irpoç à^V/flouç ttoàXoÏc- (asv twv to'te / 7Îys|/.o vtov xal <77upaTïiywv xal Xa<pup(ov xal 7wXo'jtou c Suva[jL£coç >,£iac 1. ai ^aptv ocpEtXEtv tov xal TtoTYiptaç "E^Yjoav, rixerunt. On Ivl s'at- tendrait an parfait èÇrjxaai, car rixerunt a dans cette expression ia valeur d'un parfait (vita transacta est) et non pas d'un aoriste. Quant aux formes zC^go. et iÇrjxa {Vies, 954, D), les Attiques leur substituent èéîwv et psêiwxa (Cr. ^r., § 83, rem. 1). Cicéron et Sénèque traduisent vixi en ce sens par le parfait grec. Cf. Epist., XII : SÉNEQUE. ou (k- (Jeêtiotai , @uox6 selon les éditions; ClCER. Ad Attic, XII, 2, et XIV, 21 (îsêicoTai, vita transacta est. : 2. </r., "HÔvj yjv éa?cépa xa£. (&r. § 353) ; (ToOtiov) *aô' oOç Y6votxo, devant lesquels il passait. On a l'optatif parce que l'action 3. P(0[/.aicav [xo'vto 8 KtxEpom, dans se répète Sr^ov, â<r©a- le tyi^i- passé (Gr. gr.. § 272). 'Ioxàvctov 4. (s.-ent. twv TToXlTWV). TêYOç, 5. en latin cf. toit, comme tego, tectum. axéyoç; — ITpou- çxxtvov, éclairaient. Ot àlptoTOt, 6. optimales. KaTepYaaàjJisvot. Cf. en en français orAe»er. EîaeXauvstv, entrer, à cheval ou sur un char. Plutarque 7. latin conficere, — dit aussi elasXa-jvetv 0ptau.oov 301, F) ou eiceXaûveiv ôpiajiêsuwv (H«s, 625, E). (Hes, — lIpocxT^CTÔat , ajouter par conquêtes (à la république). Vies, 11, E : npo<7XTYj(7àu,evo; ses Cf. tr, 'Attixvî Trjv MeyapiXY)v. 8. "Evl jJ.ôvto. Etç se joint
  • 58. I I I : K7- . : I CHAPITRE Wili Les ennemis n essaient de soulrrer l'opinion contre Il de ' la patrie ». > rtiïV /.al 7 . . : Kr.r/.y , I >yr-j.y.:y, Br.tfTlflW rou ^y.; <> - - : /.y M« . fo -7:1/7 t K*./. : » qnelqnefoi* à pAvoc pour marquer tartemeat — . Lùn K ux 1. I •, attl foou, et m ment des propositions verbe*. plus loin . rticle suivi de l'infinitif suivi d'un : L'adverbe xxxû; •. nnel^ for- I fl . u. Cf. page $ 216. . tu>v. //.« magistrall'année suivante. complé- a r ïre tribun 1 - peuple. • 6. .. £»p -onflurrt. Je à. 11. T«I>v iu€o>.u; note -. explique — : Ils lui t dirent dm
  • 59. . CHAPITRE XXIII. 6svts; pzQpa, yXk' èx&suov, à7uo[y.oc7avTa wç rcapieffav K&csivoç Jtai, y£vop.£V/)ç TTûOTiXôt* ô'pjtovj 'Ecp 1 O7)tJt.0Ç jcal no (JWTVllOV t£ p.£Ta t<yy)ç tov opzov ai»TÔ <^£ tw Kucsp<ove Tapajràç epr) aÙToîv T£ ovfiAapyoi ot xal y.ai rcàcT) toTç w; aùxto tcov 7T(o7tot£ tloiTépa lFpOffayopeuff«E monter à la tribune (?), fiouXoixo xaxaêaiveiv u.6vov... à7rofJL6cavTa, s't7 consentait à desîi cendre après avoir simplement prêté le serment. Cette traduction suppose que l'on a p.6vov à7TO(x.6<jaç. Expliquez 'ÉxsXevov xaxaèaîveiv {jlovov à7ro[xd(îavxa, el poûXoixo ayant seulement prêté le serment, si toutefois il jugeait à propos de le prêter. Le magistrat sortant de charge jurait se nihil contra leges fecisse. 'Etcc. -çoO-cotç 1. avec cette ron dit ion. : /.axaXuGOVTa oy] 'AXV r,v o<pe),o; 8r |/.ap^wv iuo>.st tyî ( à— 7ToXiT£u[xaGtv èxeivcov ^£ xo&etv etffvfvÊTO ^uvacTcixv. 1 &oç/)ç âvTiTadffoiJtevoç. T£ yàp GLXkx pxSuoç â'iuo^, àuva<7T£tav outw; Yipe tô ^.oya) ),suov) (/e xat- Kafcap Ta ti[aocç (ticotty;;, T£ IJoixTÉaç, [/.ei^ovoç fJt-èv ' 7raTptSa xal 8iaT£- GTpocTiaç, Tf,; Kr/-spa)Vt KaTcov tot£ xutgj ïàtov Tiva /.ai 'Eicw[/.vue ûtc v6[/.oç Rtx.£po>voç toj àpy^z toutqi; 6irt •"' ^avàvTO, (iiya , ïti [j.aTAov o otç xkV Xeyeiv. tt,$ '. 5^a>.s7çaivovTsç, oiXkoLC, /1V 3 aeccoKsvai T7)V (/.-/jv •/) TYipvncévat t/)V 7îy£jj!.ovtav. GU[i.77aÇ 6 wept (xovov y.araêatvav. , où tov rcarpiov xttcÔ[/.vu£v èiuéTpsTCov oi»S' fiouXotTO, et 2 6|/.oG(ov vôv où OO xaî ty]v Kixspcovoç Ô7][X.Yiyop7i'<jaç ps.6yi<7Taç wtts , fi <|;y]<piGa.Gdai TCXTpiSoç. xots IIpcoTG) yàp formule d'affirmation dans les serments. Xedwxévat sur la manière dont s'introduit cet infi nitif, cf. XVII, note 8, p. 43. — 4. : (Populus Iiomanus universus) meum jusjurandum tum, juratus conscnsu ipse atque tanvoce et ClCÉR., In taie una approbavit. Pisonem, III. 5. KaXetv : remarquez la ma- nière dont s'introduit cet infinitif pour expliquer en quoi consiste cette loi. , 'Oji.6oci>v. 2. que 3. : Forme classi- (Gr. gr., § 119). «àxptov ôpttov, le ofXO'jjxevo; Tôv serment traditionnel. — ^11 (xyjv, 6. M''7)<ptaa<j6ou, ici '.faire ro- — Cicéron dans son discours contre Pison (III) raconte que Quintus Catulus lui donna le même ter. nom au sénat.
  • 60. M» ! I I BAPITRB WlV pM U iclot d roi une «lu - 1 I i nxl )•;.<,: /-r// 1 Mj ,- t ; ( v. | y/.;. XCtlK 7./.T', I//7.7. Tt$ &* ixaivtttv 1. une om }«>tt roxr If 'i la teet U mu rf •noêt., - Ilv il par exemple. .ro position a (*:>*, lemer, I u.:tov . . à remarquez '. i . le • I sens poneei | )mae alors que l'idée de dire es: seulement suggérée par ce qui précède. Cf. mm* on pe-mt le ti- rer Je set trurres, c.-è-d. comme — m note BL Fi tionu a m fondent Aristatelft . WV), — - èyxto- iru : rem. mm •-,. II, XXXYIII, § I
  • 61. - CHAPITRE XXIV. 'ApiffTOT&ou; ort ^pu<7toi> 7TOTa[/.ôç , ^pyjdÔai 7w£(puît£V outw , iïioLkzyoyÂvou 2 <ppa<7TOV gtwOet T0UÇ7JV IOIO.V ^oywv At)|/.og6svou; GTOV £Îvat, TOV KucépCOVOÇ, [X£yt(7TOV 77po; Y)V tcov os At)|/.0(jÔsV/]* 7co^a^ou Taiv [/.gyaXwv XP^ Tat . Xo'ywv <Woi7) T0 ^ 'AvTtOVlOU, 4>'Al7?irUlOÙç £7T£ypa^£V, ti Tiywv ysvscOai 1. 6 tw ypàcpcov 7] ^oywv, tov 6rt :i TQl>Ç àu.V71«/.OVO'J(7l. y.%1 irxpx Ilepî 7t£pi éx.à<JTOU. cp'Ao- Kaisapoç apyovTOç : pour tûv II/octcovo; oiaXoyfov (outio tyjv yvto(xr|V elxsv) toO Aie;... outw GiaXeyouivou c lî; signifiant ç-we, cf. GV. gr., § 311, rem. II, voir p. 26, note 1. Héçvxev avec l'infinitif, cf. Gr. gr., § 291, rem. 1. to; x. t. a. — XLII, lex. E : Kpoc- 'Pw/.aiw TCept7uaTY)Tix.w oie7upaç;a.To (jiv *ûç ôtaXeYojJiévou : scwo'jSaffs eÙ^evco; se rendre compte de cette tournure, il faut se rappeler que l'idée de dire et de penser domine toute cette phrase. Cf. note précéd. Entendez £7Tl- £<mv oùoVç, ôv aux fconiaev svSoÇotsoov oOx. jlmtip oè TO'J £V îtott svoo^wv âwô Aoyou Si xar' ocotov T(OV Ça>V7J âvopoç, /.OCT' vî TtVgÇ * 'jtcovikjtx^siv oùç Taiv fcd&Xt- £ÔV]X£V icepl ço<ptaç loyco si 6a'j»/.a©TÔv &7?aiVQ>v, /.al i&ttov xai, Tôv ^£ 060IIspl Se twv £77l<pU0VTai 7r£ p' t [/.xÀi?Ta Taiv . KaiTOl 817Ç6. TtVa TCOV £ToiptOV ypx^aç, Êvta^ou ttoV/j Tiva 3 OY)[/.0(7Ô£V^£IV 7TpOCr7rOlOU^£VWV Aioç, * OCKOKOCktlV èp&>ry)ôeiç, péovToç* sïv) tg>v IlAicTcovo; oiaXdytov, o>; toG> TTSpl otç i)i otswoàÇaTO TiSyj, îlot; ïSîoiç; Mor. 237. Tov; Trad. : ioiôu; aiôefoôai 7carépa;. ses délices à lui. 3. T6v Jeune (I, t^ÉYtoxov. Pline le 20) nous rapporte qu'on disait aussi de Cicéron M. Tulliiim, cujus oratio optima esse fer tur quae maxima. : "Eftb^Oovcai, attaquent 4. avec obstination, s'attachent à. Cf. Vie de Périclès, XIII vie de Dér most., XIV. Au sens propre, teS, ; I ClCÉR. Brutiis, § 121. Jovem sic aiunt philosophi, si grince loque- 142, voi;, se retur, loqui. pements. TpvxpYjv tôtav. L'emploi au lieu du génitif du pronom réfléchi paraît se répandre surtout au premier siècle av. J.-C. Plutarque en offre d'assez nombreux exemples. Cf. Vie d'A- 5. 2. de tôtoç, B : èîticpueCTÔai cramponner Remarquez de le toî; xprjfxa des escar- changement construction àu.vY]u.ovoO<r tôW £7iaîvtov... xai ôti x. t. a. 'E7C£Ypa^ev, cf. p 103, note 1. r — : 6. 'Pu>{j.ac<»> pourrait y avoir . YSvéoOat, c il Pwu,aîov. Cf.
  • 62. « - K :es*l 11 J: I K ! I I .1 : . -. Il i I CHAPITRE Bons mots de I -:', j-.i y. - l. l . Ces ' • pen- -ait ~ - /.-/. ~ Me &6xt. y., < /. . : ~ Ilaox h pas a L avoir à ces hon- traction ordin inîîn. :. r I r I | k du Athènes de Cicéron. v pas confondre ce Gor- fils fameux le s> contemporain c I lettres fih g recq I / '/.TV.xwv . • > mi tait la vo' • •-•• : Munatiur Planons Bursa. qui fut plus tard lui-même et accusé par .VU. condamne. note 7, page I I
  • 63. CHAPITRE XXV. à7UO<puycov ty]V £/»£Îvoç Stîtïiv Saétvov, otjTw ^ÉysTat oWt' gtiTÊÎv: £V Cpom <jga»JTo'v Rpséccov $è 2 |i.aTOç wç loi^optov aùxov, aoTÔç gxgïvoç £t7T£v, Où « T^oyov (3-/)- dXivaç aùOiç yàp IvTauOa JNai, » çvicl, ce )) yu^va^wv tov çjcotoç àwô toG ^[/ipaç [/.gÔ iiuvivgiç; Tj{/.âç £V£X£V ^6Tviç ' ty]v )) gyx(o[ua^cov xal £i»*/ip!.£p7]G£, Rtxipcov, wo^ù gjjiou TÔ) OUCa<7TY]pi(d TCgpi^g'avTOç; Màpxov Tûpwviv oûx ? ûcÙtou w MouvaTie, Ixetwqv, yocp 8.x àx£Cpuy£<; Sixtiv £Ta?pov gdt'antgv 7rpo7T£(7£tv ùtt' opyyj'ç 6 l Su (( 59 « pig- cpaolr,v £iç ûtto- Ô£<71V ». El7UOVTOÇ *Pw|/.Y) £V u<7T£pov 7ra6cov {àg£l(t>XgVai tout' t$£coç "HtSsiç, « xal xxou<70[A£VOi>ç Ti « );£yovTo; » RpàtfCTOV |7//]O£V0C g£v)XOVTagTiaÇ, [/.OCXpOTgpOV xai gtrcov; » o 1 1 iyw Tw- « gçvj, Sià tout' àv glô k goVjf/.a- )). j.psoTCgo*9ai tx'vtoi;, 'OpX (( TQU KpXGGOU 1TOT£ àpvoi>[/.£Vou :J {/.xiouç ywygiç <^£ ^gyouatv oii ' U.^1 <^£ tcIouciov (/.xXXoV, givai. )) Rpxcaou tou StohxoÎç cpïi- tov xyxÔov x7rocpxivou(7tv,' £ivxi )) tolç £l7î£V, Aigêe&^gTO (( o' OTt 7TXVTX TOU (JOCpoO giç cpi"Xxpyuoîxv o Kparooç. 'E7U£t 0£ TOU RpXGGOU TtOV XXtOOJV 6 £T£0OÇ, rdcp s'explique par une elSi tu agis ainsi, c'est donc que... (Gr. gr., § 346). L'interrogation est ironique. Cf. Quintilien, II, 17 : se tenebras offudisse in causa Cluentii gloriatus quelle siégeait le général. Cf. Vie de Coriol., X. 3. TC îcaôtôv : sur cet hellénisme bien connu, cf. Gr. gr., § 228, Rem. I. est. 'Eôyi^aytoyeiç, tu cherchais à flatter le peuple. Cf. page 33, note 2. 1. lipse : — xo> PirjjJLaTOç, du 2. *Aîtô haut de la tribune aux harangues. On appelle aussi (3rju.a, le tribunal, sorte de plate-forme élevée que les Romains construisaient dans leur camp et sur la- 4. Atà to>to, par ce moyen. — 5. "Opa est construit avec {/.y; par analogie avec les verbes qui signifient craindre que, prendre garde que. Trad. Prends garde que ce ne soit parce que (ôti)... :
  • 64. Jl7 Ut < M IIMMIIII. W I 1 K i 1 I i I I : I I i 1 : i. : I 7 Qpoa Ji b6q - le de for. . J. <^e jeu de mots qui 9 nom mme ; siimifiant dig> la racine en latin dap* et dapi- n comme adjectif naturelle- -ible. Plutarque (J/onneàce mot une >in«ruliere îr. " Bxttvta'j 4. nom se tronr* chap. IX, d'où Ton v..':t combien il est difficile de tirer de ce* aortes de transcri; gles précises pour déterminer la prononciation ancienne do. grec . latin.
  • 65. ' CHAPITRE XXVI. OTt rjOLQÙÇ y copav Katcapt, Ss 'Eicel >caTav£jj//)0^va'. l^ixryepaivov Tt ojxou ~ gv wv, « , Kaf/.i?avta xoXaoI , Ae&cioç {JouA-vi, tyj aÙTOO GTpaTtwTatç Totç £è Il60l(Z.glVCi)|X.gV , [i.èv Fg'AÀtoç, wç où eixsv 6 Y.OLY.d^^ èv tyjv ^7)<p'.<7a[/.svco TcpgcêuTaTOç TOÙTO £ôVTOÇ TOW'jV à7TOAOtTO Ko./.OÇ « £/f Gl yevTQdgTai » Ô Ktfcgpcov « [/.axsicv yàp où/. atTfitrat FgAAioç uTuepôeciv. g<p*/] *Hv 'Ojctocouïoç Tt; Je' toutov xpoç ygyovg'vaf Kixs'piovoç Ttv. ev » Atêuviç g*/. Agyovxa ^tîcri Kal « gÇaxotieiv, a*/i gytov atTtotv » s^etç oùx, {/.viv toO k g i7U£ (( TO OÛÇ àTpU7T/)TOV MgTgA^ou yap Aoyài CCVYipyr/.gV » • Nétccùtoç Se Ta(/.apTUpÔV J (7UVY]y0pàW 7] iriGTgwç « scpr, » oti 77A£tova; giTCovToç <7£<7Ct»C£V, gv ifjtol « twAsqv îcoc- *O(A0yj iei- vottito; gtvat. » Nsavicaou tw oap(/.axov AgyovToç « gcpy) Trapàc 1 (/.gO PouAoptgvou (Jvftoç 1. est Y]V goo rïè jtat a<pt£[/.£voç 5 j^aAÀov vj « Tc'Xax.ouvTa piogvt Ù7TO Kav.oç xax&ç à«6Aotxo une expression toute faite maie pereat en latin. à peu pris : sur cet emploi de xtç, cf. Gr. gr., §201 et rem. 3. Macrobe (Saturn. VII) ex*Oji.oi xi, presque, plique ainsi cette plaisanterie Octavius qui natu nobilis dicebatur, Ciceroni recitanti ait : a Non audio qum dicis )). Ille resjwndit : a Certe solebas bene foratas aures : T(ov aÙToO , £V ». TtVl gtmtv, , » xavTa &è 7rapt£VTo; oV.oc<7tg)v xai Toîïto auvvîyopov [AgV aÙTOV '* comme 2. Gpacuvoaivou , 7rapa AaêdvTOç gTg'pwv xÀazouvT'. gv Kty.£pcova, tôv pouAO(Jtat Stictiou Agygtv gyovTOç os$a>%g'vai 7ra.Tpt ÔTt T^otSopriffgt Ilo7UAtou StXY) atTtav Ttvoc, r^£ 7$7) ûç ty)ç haberej). Hoc eo dictum quia Octarius Libys oriundus dicebatur, quibus mos est au rem for are. Cicéron a défendu ce P. Sestius ou Sextius dans un plai- 4. doyer que nous avons encore. 5. A^Aoç Yjv à<p&£{jievoç, cf. Gr, gr., rem. II, § 316. Le sel de cette plaisanterie, qui n'est pas très apparent, consiste peut-être en ceci « Profite, dit Cicéron, pour parler à ton aise, du temps — :
  • 66. 1 .1 1 ! • M N I 1 II- iwrrc S <~ 1 i ttrfh /.y. l ) '.' /. - M K ' • I '/,7 -r.'rOflti quel- -.j.'jr vot). un homme pnbU I terminé) u (le pr tu ne seras plus qu'un a • levait passer po.ir kivard. l. Kopuaoç , jwrispentmi. e > k ci (a, de dire qu'il t du nom du "'<"• j-',z qui pas*- pour de la rhétc. ien r I. : , -e — ba» était <x 1 on inven-
  • 67. I CHAPITRE XXVII. 63 CHAPITRE XXVI Bons mots de Cicéron TÔ &' st'j^e olç <7uvY)y6 juiroç My.px.ov àaç, "ASpaaTOv SUX10U YTQV 4 , I Âx.ùXAtov 3 â'v£'/ta padiw Si 2 e^ovxa , îtal àvTlOt/tO'J^ (JKCàfJL- pYjTopiîcov fitvat. toO yslotou 7UOXÙ toutwv ôTaya. &uo ya[x.€poùç <puyz- éx.àA£t. KoTTOt 0£ oox.£t ' 7upocr/.pous'.v ocutco. ~ pOÇ 71 mîtpoTspoi; ^p^rrOai |/.oc<7t to OÙV TTOO; £^8pQl>Ç [/.£V (Jvn), T71V ê^OVTOÇ TIU.Y)?IX7)V «piÀOlVOTZTOU o' OVTOÇ, U7TaT£taV àp- Ô Kl- [7,6TLb)V twv (piXcov /.uxàco iFepiffTàvTWVj COÇ S7UtV8V, (C U.7Î 'OpOôç (poêocrÔs » élire U.Ot yevvjTai ^ocàetcûç 6 tijatityiç ô'ti u^wp Twivco. » /ipcov gSi^Yjffs, x.ai (( Bwzwvioj 5 S' ocTûavTvfçra.; ayovTt 1 éauToiï (/.fiO Tpeiç àpLopcpOTaTaç ôuyaTÉpaç àveçôsyÇaro « <J>OlêoU TCOT* OU* £WVTO<; £<ITCSip£V TEXVOfc 6 . Mapxou àè Ffi^Xiou ysyovsvai, Xafjwrpâ: &è llbxpoxépotç. 1. cf. le — motif 2. : ypocu.- ne cherche pas à fuir ou qu'on ne peut fuir. XP*Ï~ forment sujet de âoxsï 4. 'Ttwzi-*.'i sure^ TijXY)Trjç, le note 6, p. 12. àp/^, censeur. cenCf. I, la 'PriTopiy.ov, cf. intérieure ou le en vue de. Màpxoç 'AxOAA&oç, trans- Marcus Aquilius. "ASpaoTOç. Ce roi d'Argos cription de 3. (i-syàV/i 62, Les — — "Evexa peut mar- p. 21, n. 4. quer la cause y.al £A£u9spcov (pcovyj tOoci et tô... 7tpo<7xpouetv respectivement et de (Tuvyjye. &, oùx. tyj page note 3 et 23, note 4. propositions infinitives tô... ^oxoOvtoç )) et de Sicyone avait pour gendres Tydée et Polynice qui tous deux avaient fui leur patrie. Notez eu outre que àôpacTo; signifie qui 5. Biottwvtio, transcription de Voconius. G. Litt., Il a engendré des enfants contre le gré d'Apollon. Ce vers, dans la pièce d'ailleurs in- connue d'où il est tiré, devait être appliqué à Laïus, à qui l'oracle d'Appollon avait prédit qu'il mourrait de la main de son s'il en avait un de Jocaste. fils
  • 68. ï, I I . i :r,v : IIU'IIHL WIII < ( — ron. • riixlia* pénctn- rhe* Dé I Cotr II à l'occaatoo de* eai accru*. /. ! '.'- > i Z14 j 1 1 / [-. K : - I I | I I 7 ; - K : nui /.-/•. 7 • k - • . Encore un mot obscur pour :. •uir ré, lu publics ( ueut:..' ofl : 4. aient On a songe t 16, note 3. ron jooe sur le double sens de ce mot afficha*}' d'urne rtmU e: pro*crip- q ; ression page - r : i à haïr ; f. M h .tnt (;iu ZdXka aaeex 1 . se é g de> Publina eai I les C .cher qui montra plu- tard de Ciceron. t~Wl m l'ennemi célébraient mystères de la Bonne Déesse. IX. rage ;7, note 4.
  • 69. CHAPITRE XXIX. ATfcscOai 7îl(e Qç yuvaiy-cov. TCOV 7j7TOp6l cWSùç TûpOÇ IIo|i/7r/)iaV stores vuktoç c^' xal oioocov* ôepaicatvlç TY)V 65 oùuav sic [/.syàV/jv', aÙTÔv îooucra [/.YjTpoç, ^TYjffev 7r'Aavc6u.£vov AvpyiAi'aç, ttjç TCOV (/.ETOC Raïaapoç S' âvayjcacrOsvTOç aÙToG ovo^a. <t>6éyEa<76ai <7a.vToç àzolouGov Ilo^7U7)ia; £y)T8iv 'Aëpav TOUvo(/.a% Tuvstcra ty)v Ta; <7uv£KdcÀei Aï yovaiîtaç. Ç73- àvsxpays xal yuvaucô; oùaav, où cpcov/jv /.al Taç àxox. As traçât b' Oupaç &ai 7ravTa StspEuvcotuvai Àa[/.£avou<7i tov Ràcoc^tov, ToO 7T£cp£uyoTa. 3 7rai5i(7/.7]; o'6a)[/.a sic xpay^aToç $1 vou, Raîcrap tot£ ttjv IIof//7r/|Lav xaTa- <7UV£i<7yja6£ v iuEpi£oY)Tou ', àcpTJ/.s ysvojjii- xal $ix7]v êypà^aTO tco Ràcochco. Ttç T(I>v ^-/)^àpycov àffsëeiaç CHAPITRE XXIX Procès de Clodius. Rixspcov RaTt^tvav spyco 1. (F Y)v eyxAvj(/.x tou tco £V 'Pc6f7//1 Siarpiêsiv , £X£ypY]TO aXV (7a«s une grande maison, c.-à-d. dans la maison de César qui était fort vaste. 2. "Aêpav touvojiux 6vo{j.a), cf. Etç t7r. (= x6 ^r., § 162. îîatôcaxvjç, l'emploi de eîç indique qu'il faut rattacher ces mots à xaTOMteçeuydxa. 3. ocx.v|{jLa TOIÇ jcaT8[JLfl6pTup7)ff6V tcov 7C6ût C7UV- iGYjjpi'(o[/.£vo'j ysyovsvat £V Clodius est TUpoGu[i.OTaTCO crcojj.aTOç* ulyiSs , Etç otxtav {JiSYàArjV, — lui. auTou <piAoç% xal L/iv ouAaxi TOV V^pOVOV ptoiç Cicéron dépose contre absous. 7TpaTTO[/.£VCOV xal to xpoç — coç xaT' TTOppCOTXTCO 6 iïï êxâvov T^CO- àçiyf/ivou T£ 4. Tviv IIojJLnTjtav à<pv)xe. Plutarque raconte en détail cette aventure dans la Vie de César. (IX-X). 5. *tXoç. Cependant plus tard Cicéron reprocha souvent à Clodius d'avoir été l'ami de Catilina. 6. — *ûç, disant que. 'AçiyOn peut considérer ce gécomme absolu ou mieux uivou. nitif 4.
  • 70. a * ' lu > i I II. l r/i . . i . I l I rit < i t ; £xON . - . XkrfytsC comme • d< étaient des tablette» enduites de rctf : 1. *il^. ici pensant que. cire. ; : — On y inscrirait les lettres soupçonnant ' T par- pas nécessaire de brouilUr les lettres si l'on ne roulait ni condamner ni absoudre, il suffis*;-, crire — kaXûv va- zOâv, cl 4. ; haut Yûijj.;jLxot. Le; bulletins s. NL. +»A0 i ; mur à ha -.Le appui qui
  • 71. CHAPITRE XXX. <poëou«/.evoi KlX£p<OV otî (C &£ [/.apTupcov 'AàV TOU , oùx SU.OI |/iv outaaràiv S' |jl£vtoi yuvaucoç, yz^ov oùS' ydcp aou aur^v oti tov 2 * où vàp z~l nCkrfiûç ttj; K.at<rapoç eSst ccA'Xà ja.ovov, TtoV jcaTS'-Lvi^t- xaT£yvto/ivx'. [AOtystav xpa^coç ai^pa; ' )) où xaTe|/.aoTupyiae £çpvi o £lX.O(7l ÈTûiTTEusav où/, ,{ 1 SixacTaîç, toïç Kttl £Aaêov t6 àpyùptcv. r, à<p£i>cévoc'. où xaOaoov togoOtoi Kouorocp Kaco&iov, « Ot 77£VT£ Tptax.ovTa oî -poTSpov olizéaugolv tov £17T£V » ÀSYOVTOÇ OCUTOV 7UpOÇ tcittiv xapà. Iffyé )) to àpyjpiov. âosA-vjTai K-ACOOlOU wc£<iTeu<xav TavTo. Soi O ùpàv T'.ç [J-Tt 67 xa.1 avfp.'flç £iva'.. XXX CHAPITRE Clodius cherche à faire bannir Cicéron. A'.acpuycov ^è yo; atpeôelç, £ÙGùç etveTo' entourait le tribunal du préteur ne protégeait pas suffisamment les juges contre l'intervention de la foule. Tô àpyupiov, l'argent avec lequel Clodius les avait corrompus. Cicéron raconte ainsi le fait Quorum (judicum) Catulus — : cum quemdam vidisset : (( Quid vos, inquit, praesidium a nobis postulabatis t An, ne nummi vobis eriperentur timebatis ? j) Ot jcévce xat ei'xoac, et Tpiàxovxa. On emploie l'article avec les noms de nombre quand ils désignent une partie déterminée d'un tout également déterminé. Cf. Corneille, Menteur, I, J'avais pris cinq bateaux... les quatre contenaient quatre chœurs de musique. 1. ol V : KagAo;, tov xivSuvov 6 4 toù xai &rf[A%p- Kixlpcovoç , rcavO 1 Où* sjctoxsvxiav. Ils ne ils ne se sont pas fiés à toi, puisqu'ils ont d'abord exigé l'argent. Cicéron jouait sur le mot crediderunt, qui signifie à la fois croire et faire crédit. Cf. g. pas cru, t'ont Cicéron, Oùô' Ad Attic. I, XVI, 5. x. x. a., il déclara qu'il ne croyait pas sa femme coupable d'adultère. Cf. Gr. gr., § 325 et 167, 7°. Ici la négation 3. ecpYj de oùô' ëçyj tombe logiquement sur xaxeYvwxevai mais non pas sur — Cf. Vie de César, Iïwç ouv àTts7céfxd»c*> t^v yuvaïxa; )> a "Oxi, £yrh xrjv eu.r,v àçeixsvai. X : ce yj^touv (xyjô à {/7rovoY;8r;vai. ». 4. Efyexo, litt., s'attacha à, s'acharna contre. Cf. 'EtiiçvsaOat tivt XXIV, p. 57, note 4. c.-à-d.