La Nutrition est la science qui étudie les phénomènes physiologiques et les réactions de l’organisme face à l’ingestion d’aliments et aux comportements alimentaires d’un individu ou d’une population.
Retrouvez tous les kits pédagogiques de la Fondation Bonduelle : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/connaitre-les-legumes/kits-pedagogiques.html
La Nutrition est la science qui étudie les phénomènes physiologiques et les réactions de l’organisme face à l’ingestion d’aliments et aux comportements alimentaires d’un individu ou d’une population.
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Les fournisseurs de service qui évaluent des personnes ayant des risques de nutrition graves, surtout les diététistes professionnel(le)s, doivent connaître les renseignements généraux et l’information clinique concernant la nutrition pédiatrique, ainsi qu'avoir les compétences en counselling nécessaires auprès des familles et des enfants.
Nous avons préparé et évalué cinq modules de formation autonomes pour répondre à ces besoins; ils existent aussi en français.
Les vitamines sont des substances organiques non fabriquées par l’homme en quantité suffisante, sans valeur énergétique et indispensables à la vie. Seule l’alimentation peut donc fournir en quantité suffisante ces substances
Éducation sanitaire - Conférence de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - René MIGLIANI - IMTSSA - Parc du Pharo, Marseille, France - rene.migliani@free.fr
Les fournisseurs de service qui évaluent des personnes ayant des risques de nutrition graves, surtout les diététistes professionnel(le)s, doivent connaître les renseignements généraux et l’information clinique concernant la nutrition pédiatrique, ainsi qu'avoir les compétences en counselling nécessaires auprès des familles et des enfants.
Nous avons préparé et évalué cinq modules de formation autonomes pour répondre à ces besoins; ils existent aussi en français.
Les vitamines sont des substances organiques non fabriquées par l’homme en quantité suffisante, sans valeur énergétique et indispensables à la vie. Seule l’alimentation peut donc fournir en quantité suffisante ces substances
Éducation sanitaire - Conférence de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - René MIGLIANI - IMTSSA - Parc du Pharo, Marseille, France - rene.migliani@free.fr
The document discusses digestion, absorption, and transport. It provides details on:
1) The anatomy and functions of the digestive tract and its organs.
2) How food is broken down mechanically and chemically by secretions and enzymes.
3) The absorption of nutrients and transport throughout the body by the bloodstream and lymphatic system.
4) Common digestive issues like heartburn, ulcers, diarrhea and their causes and treatments.
This document provides an overview of nutrition and factors that influence food choices. It discusses how daily dietary choices can impact health and discusses chronic disease and diet. Food choices are influenced by personal preferences, social and behavioral factors, genetics, and other lifestyle influences. The major nutrients - carbohydrates, proteins, fats, water, vitamins, and minerals - are examined along with how the body uses them. Nutrition research methods and studies are outlined. Dietary reference intakes which establish recommendations for nutrient and energy intake are defined. The document stresses the importance of diet in relation to health and assessing nutrition at both the individual and population levels.
The document discusses principles and guidelines for planning a healthy diet, including adequacy, balance, nutrient density, moderation, and variety. It describes USDA Food Patterns which recommend daily amounts from five major food groups and discretionary calories. Food labels are discussed as an important tool for following dietary guidelines, with explanations of serving sizes, ingredients lists, nutrition facts, and nutrient claims. Overall the document provides information on translating dietary guidelines into a practical grocery shopping and meal planning approach.
Les fournisseurs de service qui évaluent des personnes ayant des risques de nutrition graves, surtout les diététistes professionnel(le)s, doivent connaître les renseignements généraux et l’information clinique concernant la nutrition pédiatrique, ainsi qu'avoir les compétences en counselling nécessaires auprès des familles et des enfants.
Nous avons préparé et évalué cinq modules de formation autonomes pour répondre à ces besoins; ils existent aussi en français.
La modulation de l'appetit pendant la periode périnatale | Bérengère Coupé et...Fondation Louis Bonduelle
Etude présentée par Patricia Parnet, directrice de thèse de Bérengère Coupé (lauréate du Prix de Recherche Louis Bonduelle 2008), lors des Rencontres de la Fondation Bonduelle 2010.
Plus d'infos sur les Rencontres de la Fondation Bonduelle 2010 : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/evenements-organises-par-la-fondation/zoom-sur-notre-assiette-les-legumes-de-la-france-a-l-europe.html
Modulation de l'apétit pendant la période perinatale - Bérengère coupé et Pat...Fondation Louis Bonduelle
L'amélioration des soins et des techniques en néonatologie a considérablement réduit la mortalité des nouveau-nés prématurés. Ces progrés ont essentiellement porté sur la prise en charge respiratoire, neurologique mais également nutritionnelle.
Conférence présentée par Dr Malek Chaabouni (pédiatre de libre pratique - ex professeur agrégé en médecine) à la 5ème journée médicale de l'AMUT (association des médecins unis pour la Tunisie), le 18 novembre 2017 à l'hôtel Golden Tulip - Sfax - Tunisie.
1. Besoins nutritionnels des
groupes vulnerables
Institut Supérieur Des
Professions Infirmières Et
Des Techniques De Santé
Realise par :
LAHMAMSSI Hasnae
TAFROUT Hajar
KHALID Mryem
OUGOURAR Soukaina
Sous l encadrement de:
Dr. Hajjouji
1
2. Plan :I. Définition des groupes vulnérables.
II. Besoins nutritionnels des groupes
vulnérables.
III. Besoins de nourrisson.
IV. Besoins de l’enfant.
V. Besoins de l’adolescent.
VI. Besoins de enceinte.
VII.Besoins de allaitante.
VIII.Besoins de vieillard.
2
3. Définition de vulnérabilité:
La notion de vulnérabilité renvoie à la finitude
et à la fragilité de l'existence humaine. Les
personnes vulnérables sont celles qui sont
menacées dans leur autonomie, leur dignité ou
leur intégrité, physique ou psychique. "La
vulnérabilité peut résulter de l'âge, la maladie,
une infirmité, une déficience physique ou
psychique ou un état de grossesse.
Les catégories de personnes présentées
comme vulnérables varient suivant le contexte.
La notion de vulnérabilité renvoie à la finitude
et à la fragilité de l'existence humaine. Les
personnes vulnérables sont celles qui sont
menacées dans leur autonomie, leur dignité ou
leur intégrité, physique ou psychique. "La
vulnérabilité peut résulter de l'âge, la maladie,
une infirmité, une déficience physique ou
psychique ou un état de grossesse.
Les catégories de personnes présentées
comme vulnérables varient suivant le contexte.
3
5. I. Besoins de nourrisson:
« Comme pour les plus grands,
les touts petits ont besoin de
couvrir leurs besoins
nutritionnels. Exclusivement à
base de lait au cours des
premiers mois, puis plus
diversifiée par la suite,
l’alimentation va conditionner la
croissance et la santé de
l’enfant . »
5
6. La première année de la vie est très importante pour le
développement du bébé.
La croissance de l’enfant est spectaculaire :
6
à 6 mois le poids de naissance a doublé
à 1 an il a triplé
à 2 ans il est multiplié par 4.
1. La croissance de nourrisson
7. 7
Les besoins en énergie du
nourrisson
représentent la somme des
besoins de maintenance et de
croissance.
Le tableau représente les
besoins énergétique chez les
nourrissons en bonne sante.
8. 1. Besoins en énergie
âge Kilocalories par kg et par jour
0-2 mois 97
3-5 mois 91
6-8 mois 90
9-11mois 96
8
9. Les besoins sont 2 a 3 fois plus grands que chez l’adulte le
nourrisson doit recevoir 2 a 2.5g de protéine par Kg/j . Les
protéines sont importantes car elles permettent:
La croissance
La maturation du système immunitaire
La maturation des systèmes enzymatique
La maturation des systèmes hormonaux
9
10. AGE Besoin de carence Be1soin de croissance
De 0 à 2 mois 3.5 3.8
De 3 à 6 mois 5.1 2.0
De 7 à 12 mois 7.2 1.0
Les protéines de lait maternel sont d excellente
valeur biologique jusqu’au 6 eme mois.
tableau des besoins en
protéines (g/j) chez le
nourrisson
10
11. 3. Les besoins en lipides
Ils représentent 45 à 50 % de l’apport énergétique total. Ils
vont contribuer au développement et à la maturation de tous
les systèmes nerveux.
- Les acides gras poly insaturés
- Les acides gras mono insaturés
- Les acides gras saturés
- Le cholestérol
11
On va distinguer les apports en acides gras suivants :
12. 4. Les besoins en glucides
Le principal « sucre » est le lactose, il constitue 85
% du lait maternel.
Le rôle du lactose est de participer à la constitution
des cérébrosides (constituants du tissu nerveux).
En général, il n’est pas recommandé d’introduire
d’autres glucides avant les 4 mois révolus de
l’enfant (système digestif pas encore mâture).
Les besoins glucidique du
nourrisson sont de 10 à
15g/Kg/j.
12
13. 5. Les besoins en eau
Les besoins en eau l’apport hydrique est
essentiel a la survie du bébé . Une
déshydratation chez le nourrisson est très
grave.
l’eau est utilise pour la diurèse, la
régulation thermique, et la croissance .
Les besoins quotidiens en eau sont:
Nouveau ne : 160ml/Kg/j
A 6 mois:110ml/Kg/j
A 1 an :100ml/Kg/j
Les besoins quotidiens en eau sont:
Nouveau ne : 160ml/Kg/j
A 6 mois:110ml/Kg/j
A 1 an :100ml/Kg/j
13
14. 6. Les besoins en vitamines
La vitamine D : 20 à 25µg/j
La vitamine C : 50 mg/j
La vitamine A : 350 µg/j
Vitamine K : 5-10 μg
Vitamine B1 : 0,2 mg
Vitamine B2 : 0,4 mg
Vitamine BPP : 3 mg
Vitamine B6 : 0,3 mg
14
16. 7. colostrum
Avant le lait, le colostrum
Le colostrum est un « premier lait » qui
évolue vers le lait mature au bout de trois
jours environ : c'est à ce moment là que la
montée de lait a lieu avec une
augmentation importante du volume de lait
produit.
Dès le deuxième trimestre de votre
grossesse, la fabrication du colostrum se
met en route. De couleur jaune orangé,
ce liquide est très riche en protéines et
en anticorps, ce qui en fait un aliment
de choix, tout à fait adapté aux besoins
de votre enfant pendant les 48 à 72
heures qui suivent sa naissance.
16
17. Le pourcentage décomposition du
lait maternel %
17
Apport énergétique
Il n'y a pas de différence sensible sur le
plan calorique : 1 litre de lait apportant en moyenne
670 kcal (2 720 kJ).
18. II. Besoins de l’enfant:
Les besoins nutritionnels de
l’enfant varient dans
d’importante proportions entre
sujet du même âge en période
pre-pubertaire des enfants de
même sexe et de même âge
peuvent se trouver à des stades
de développement très
différents sur le plan individuel
plus que l’ age interviennent
donc le stade de
développement et le niveau
d’activité physique.
18
19. 1. Besoins énergétiques
âge Kilocalories par jour
Enfant de 1 à 3 ans 950 à 1200
Enfant de 4 à 6 ans 1250 à 1800
Enfant de 7 à 9 ans 1700 à 2100
Garçon de 10 à 12 ans 2200 à 2400
Fille de 10 à 12 ans 2000 à 2200
19
Le besoin en énergie de l’enfant peut être
considérablement modifie par le niveau des activités.
20. 2. Besoins en protéines
Age Grammes par jour
Enfant de 1 an 10
Enfant de 2 à 3 ans 12
Enfant de 4 à 6 ans 15 à 18
Enfant de 7 à 9 ans 19 à 25
Garçon de 10 à 12 ans 27 à 31
Fille de 10 à 12 ans 27 à 32
20
21. 3. Besoins en minéraux
Age calcium magnésium fer iode
Enfant de 1
à 3 ans
500mg/j 80mg/j 7mg/j 0.09mg/j
Enfant de 4
à 8 ans
700-900mg/j 130mg/j 7-8mg/j 0.09mg/j
Garçon et
fille de 9 à
13 ans
1200mg/j 240mg/j 8-10mg/j 0.120mg/j
21
22. 4. Besoins en vitamines
âge B1
mg
B2
mg
B6
mg
B12
ug
C
mg
A
ug
D
ug
Enfant
de 1 à
3 ans
0.4 0.8 0.6 0.8 60 400 10
Enfant
de 4 à
9 ans
0.6-0.8 1-1.3 0.8-1 1.1-1.4 75-90 450-
500
5
Enfant
de 10 à
12 ans
1 1.4 1.3 2 100 550 5
22
23. III. Besoins de l‘adolescent
On considère que l’adolescence s’inscrit dans
une période qui va du début de puberté à l’ âge
de 18-19 ans.
Comme chez l’enfant le besoin énergétique est
essentiellement lié à la maintenance et a
l’activité.
Le besoin de la croissance est négligeable
le besoin est influence par le niveau d’activité
physique.
23
24. 1. Apports énergétique
conseilles Kcal/j
âge adolescentes adolescents
12-13 ans 2300 2700
14-15 ans 2500 2900
16-20 ans 2600 3100
Ces chiffres sont donnés à titre indicatif car ils varient
en fonction du poids , de la taille , de l’activité
physique
24
25. 2. Besoins protéique
âge adolescent Adolescente
12-13ans 32-38g/j 32-38g/j
14-15 ans 43g/j 41-47g/j
16-20 ans 44g/j 50g/j
25
26. 3. Besoins en calcium
Age adolescente adolescent
13-15 ans 1200 mg/j 1200mg/j
15-20ans 1200mg/j 1200mg/j
26
27. 4. Les apports quotidiennes du
vitamines
âge B1
mg
B9
ug
B12
ug
C
mg
A
ug
D
ug
E
mg
13-15 G 1.3
F 1.1
300
300
2.3
2.3
110
110
700
600
5
5
12
12
16-19 G 1.3
F 1.1
300
300
2.4
2.4
110
110
800
600
5
5
12
12
27
28. 5. A surveiller chez l’adolescent:
• Les apports énergétiques doivent être couverts chaque
jours à 55 % par les glucides le reste étant des lipides et
des protéines.
• Des apports en calcium suffisants pour la constitution du
capitales calciques de l’organisme
• Des apports alimentaire en magnésium à augmenter
chez l’adolescent surtout qu’il pratique des activités
physiques.
• Des apports en fer suffisant chez la jeune fille quand les
premiers règles apparaissent.
28
29. IV. Nutrition de la femme enceinte
29
L’adaptation de l’organisme maternel
pendant la grossesse permet de :
maintenir l’homéostasie maternelle
favoriser les changements anatomiques
et physiologiques,
aider à la croissance fœtale
préparer la lactation.
l’augmentation du volume du réseau
sanguin
la fabrication du liquide amniotique et
placenta.
.
30. 1. Les besoins énergétiques
• La dépense énergétique théorique d’une
grossesse est estimée à 80 000 Kcal, soit en
moyenne 150à 350 Kcal/jour.
• L’apport doit couvrir :
1.Les besoins du fœtus et de ses annexes, soit
40 Kcal/jour.
2.La constitution d’une réserve dans
l’organisme maternel, soit 35 000 Kcal pour 3 à
4 Kg de masse grasse.
30
31. • Les lipides permettent le transport des
vitamines (A, D, E) et interviennent dans
le développement des membranes du
système nerveux du fœtus.
2. APPORT ÉNERGÉTIQUE TOTAL
31
lipides = 30 % de l’apport
32. 32
• Le supplément doit apporter une part importante de protéines
de façon à ce que le besoin protidique atteigne 1.5 à 2g/kg/j
de protéines .
• Dans l’alimentation, il faudra veiller à associer les protéines
animales (viande, œufs, poisson..) aux protéines végétales
contenues dans les céréales et les légumineuses.
protides = 20 % de l’apport
33. 33
glucides = 50 % de l’apport
• Le glucose est la source essentielle d’énergie pour le fœtus.
• pendant la grossesse, il est conseillé de prendre les pâtes, le riz, le
pain…
• Le métabolisme glucidique est modifié pendant la grossesse du fait
de l’hyperinsulinisme au cours des deux premiers trimestres et de
l’insulino-résistance au 3ème trimestre.
• Les apports en glucides doivent être supérieurs à 250 g/j
34. Pendant la grossesse, il est fréquent de voir apparaitre
une diminution de la tolérance au glucose et une
augmentation de l’insulinémie . En effet, les tissus de
l’organisme de la mère deviennent résistants à l’insuline,
le glucose a du mal à pénétrer dans les cellules. Il reste
alors en circulation dans le sang et ne devient donc plus
disponible pour le fœtus.
On va donc conseiller de suivre les conseils nutritionnels
adaptés au diabète.
Le diabète gestationnel
35. 3. LES BESOINS EN MINÉRAUX
FerFer
• Le total des besoins en fer de
la grossesse est estimé à 850
mg avec un apport quotidien
de 20 mg.
• cela pour couvrir les besoins
de fœtus qui constitue son
hémoglobine , ses globules
rouges .
35
36. Le calciumLe calcium
• Le calcium contribue à la
minéralisation du squelette fœtal.
• Pendant la grossesse, il y a une
augmentation de l’absorption
intestinale du calcium.
• Les besoins en calcium sont
environ1000 à 1200 mg/j
36
37. Le magnésiumLe magnésium
• L’alimentation est généralement
suffisante pour faire face à la
demande fœtale et la
croissance des tissus maternels.
• Le magnésium est présent
surtout dans le chocolat, les
légumes, les fruits secs.
37
39. 5. L'eau:
• on conseille 1.5L à 2L par jour.
• On dit souvent que la femme enceinte
ne doit pas manger
deux fois plus, mais deux fois mieux !!!
39
40. 6. Le poids de la femme
enceinte
• Il n’existe pas de prise de poids optimale,
mais en moyenne la femme enceinte
prend entre 9 et 14 kg.
Réserves graisseuses : 2 à 3 kg
Rétention d’eau : 2kg
Utérus : 900 g /
Placenta : 400 à 500 g
Seins : 400 à 500 g
Volume Sanguin : 1 à 1.5 kg
Liquide amniotique : 900 gr 40
41. prise de poids conseillée
41
On constate cependant que la prise de poids est
fonction du poids de départ de la mère : plus la mère
est mince plus elle prendra du poids, et vice versa.
42. La femme ne doit pas prendre de poids. Il se peut même
qu’elle en perde si elle a des nausées, des vomissements …
La masse grasse va augmenter dans la partie supérieure des
cuisses, des hanches et du ventre. Ce tissu « adipeux » va
servir de réserves d’énergie pour fabriquer du lait. A 6 mois de
grossesse, la mère a pris la moitié du poids total pris à terme.
La mère va prendre beaucoup de poids, mais cette prise de
poids sera axée sur le développement du bébé, et non sur le
stockage de masse grasse.
42
43. 7. Les aliments à limiter
L’alcool : Une consommation d’alcool durant la
grossesse va engendrer le « syndrome d’alcoolisme
fœtal » : retard de croissance, atteinte du système
nerveux central, malformations diverses, retard
psychomoteur et intellectuel …
Le tabac : Fumer pendant la grossesse provoque
un risque de prématurité, des risques de problèmes
respiratoires, et une augmentation du risque
d’apparition de cancers …
Le café : Une consommation excessive de café
(plus de 8 tasses par jour) peut provoquer une
tachycardie fœtale (accélération du rythme
cardiaque du bébé).
43
44. V. LES BESOINS Énergétique DE
LA FEMME ALLAITANTE
« Les besoins énergétiques
de la femme allaitante sont
encore plus élevés que ceux
de la femme enceinte : en
effet, la mère doit couvrir ses
besoins et donner au bébé,
par le lait, tous les éléments
nécessaires à son
développement. »
44
45. 1. La composition du Lait
Composition approximative du lait materne
pour 100 ml
eau 88g
lactose 6.8g
protéines 1.2g
graisses 3.8g
Na 15mg
K 55mg
Cl 43mg
Ca 33mg
La composition du lait reflète celle de l’alimentation. Il est donc
important que celle-ci apporte l’ensemble des nutriments nécessaires à
la mère et à la lactation.
45
46. Le besoin énergique de la femme allaitante est
élevé à ceux d ’une femme normal de 750 Kcal/j .
Les réserves accumulées pendant la grossesse
représentent 200 Kcal/j disponibles au besoin de la
lactation .
Le supplément que doit recevoir la femme allaitante
est donc de 550 Kcal/j .
2. Les besoins en énergie
46
47. Les besoins en protéines sont les même durant l’allaitement
que durant la grossesse. En augmentant légèrement les
portions des groupes viandes et produits laitiers… ceci devrait
permettre à la femme qui allaite de combler ses besoins
supplémentaires en protéines à tous les jours.
La femme allaitante besoin de 1.5 à 2g/kg/j.
3. Les besoins en protéines
47
48. Puisque la composition du lait reflète celle
de l’alimentation de la mère, il est
important que celle-ci fournisse
des acides gras de bonne qualité
nécessaires au développement du
nourrisson.
4. Les besoins en Lipides
48
49. 5. Les besoins en gLucides
Le besoin reste inchangé par rapport
aux apports nutritionnels conseillés de
la femme adulte standard.
Donc elle a besoin de 4 à 6g/Kg/j.
49
50. L’apport en eau doit couvrir les besoins de la
mère qui sont d’environ de 1 à 1.5 L de
boissons par jour.
Mais il doit également couvrir les besoins liés
à l’allaitement soit environ 600 ml.
Il sera donc conseiller de boire 2 L au
minimum par jour.
Ces apports pourront être majorés en fonction
des saisons et des fortes chaleurs notamment
6. Les besoins en eau
50
51. Les femmes allaitantes présentent une
aménorrhée et la lactation entrainent une
augmentation de l’absorption du fer. Il n’est
donc pas nécessaire de supplémenter les
femmes allaitantes en bonne santé.
7. Les besoins en fer
51
52. . Les besoins en caLcium et phosphore
L’allaitement exige que l’alimentation
soit d’un bon apport en calcium (1000 à
1200 mg/j) et en phosphore (3g/kg/j)
durant la première année . 52
53. En raison de ses faibles
réserves à la naissance, il
est particulièrement
important d’assurer un
apport adéquat au
nourrisson en vitamine A.
Il est donc conseillé
d’augmenter les apports
de la mère.
9. Les besoins en vitamine a
53
54. cas particuLiers
• si la mère à moins de 18 ans où si elle
est très active son alimentation doit
contenir dans le 1er
cas plus de protides,
vitamine A et de calcium
• dans le 2eme cas, être plus abondante
pour satisfaire les besoins énergétiques
54
55. VI. L'ALIMENTATION DE LA
PERSONNE ÂGÉE
« Une alimentation
équilibrée est importante
tout au long de la vie et cela
s’accentue avec l’âge.
Attention aux idées reçues
concernant les apports
nutritionnels de la personne
âgée. »
« Une alimentation
équilibrée est importante
tout au long de la vie et cela
s’accentue avec l’âge.
Attention aux idées reçues
concernant les apports
nutritionnels de la personne
âgée. »
55
56. Les apports pour ce groupe ne sont pas
faciles à établir car c est un groupe non
homogène. On peut avoir une personne
de 70 ans super active et une autre
grabataire .
On ne peut donc pas généraliser.
56
57. Les déséquilibres alimentaires ne sont pas rares
. On les estime à 4 % de la population âgée .
La vieillesse est considère parmi les causes de
la dentition .celle ci augmente si la personne a
des problèmes de mobilité ,dentaires, des
perturbations mentales … Les réserves
notamment les muscles diminuent avec l’âge et
on observe des problèmes métabolique comme
une diminution de l’absorption intestinales
57
58. • A noter qu' il ne faut jamais changer
brutalement les habitudes alimentaires d
un vieillard a moins qu' elles soient
néfastes à sa sante .
• L’alimentation des vieillard sera celle de
l’adulte en lui apportant les modifications
suivantes.
58
59. Restreindre légèrement les matières grasses et
de sodium.
Conseiller les aliments riche en calcium(lait )pour
prévenir l’ostéoporose qui est assez fréquente
chez le vieillard .
Un supplément de Vita D pour toute les
personnes âges de plus de 50 ans est
recommande par l’OMS.
Tenir compte de la dentition des vieillards –
légumes écrase ,viande hachée, jus de fruit…
59