Conférence IFACI DFCG Deloitte - état de l'Art de la gestion des risquesEric CASPERS
Etat de l'Art de la Gestion des risques: maîtriser ses risques est un enjeu opérationnel, financier et un levier d'efficacité pour l'entreprise et l'ensemble de ses parties prenantes
Mémoire de fin d'études Master (2) Audit et Contrôle de Gestion (université m...YanisAHMEDALI
Analyse de la dimension pilotage des risques stratégiques dans la fonction contrôle de gestion. Illustration par le cas de l'Entreprise Nationale des Industries de l'Electroménager (ENIEM).
Maria Tootell (Oprisko)
Risques opérationnels et le système de contrôle interne : les limites d’un tel système
Cyrille Reynard et Jean-Jaques Kohler (Oprisko)
Cas pratiques issus de la gestion des risques, applicables aux secteurs public ou privé
eGov Workshop – La plus-value du système de contrôle interne
Conférence IFACI DFCG Deloitte - état de l'Art de la gestion des risquesEric CASPERS
Etat de l'Art de la Gestion des risques: maîtriser ses risques est un enjeu opérationnel, financier et un levier d'efficacité pour l'entreprise et l'ensemble de ses parties prenantes
Mémoire de fin d'études Master (2) Audit et Contrôle de Gestion (université m...YanisAHMEDALI
Analyse de la dimension pilotage des risques stratégiques dans la fonction contrôle de gestion. Illustration par le cas de l'Entreprise Nationale des Industries de l'Electroménager (ENIEM).
Maria Tootell (Oprisko)
Risques opérationnels et le système de contrôle interne : les limites d’un tel système
Cyrille Reynard et Jean-Jaques Kohler (Oprisko)
Cas pratiques issus de la gestion des risques, applicables aux secteurs public ou privé
eGov Workshop – La plus-value du système de contrôle interne
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
Présentation de Feten Ben Ali, sous directrice de l'audit interne à l'Institut Pasteur de Tunis sur "la conduite d'une mission d'audit interne". Conférence organisée par l'association amicale des surveillants de santé publique
Ce document aborde les notions de base de l'audit interne des organisations.
Le dernier traite les points suivants :
1- Audit : définition, caractéristiques de la fonction et processus
2- Audit interne vs contrôle interne
3- Les objectifs du contrôle interne et de l'audit interne
4- Les qualités et les Les responsabilités de l’auditeur
5- Les missions de l’audit interne
6- La conduite d’une mission d’audit
AFAQ AFNOR INTERNATIONALE
Les outils et techniques du management des risques
Animé par Mr Iheb RAYAN
I. INTRODUCTION
II. CONTEXTE DE L’ANALYSE DE RISQUE
III. CHOISIR LES METHODES D’ANALYSE DE RISQUE 2
IV. CHOISIR LES OUTILS D’ANALYSE DE RISQUE
V. CONCLUSIONS
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
Présentation de Feten Ben Ali, sous directrice de l'audit interne à l'Institut Pasteur de Tunis sur "la conduite d'une mission d'audit interne". Conférence organisée par l'association amicale des surveillants de santé publique
Ce document aborde les notions de base de l'audit interne des organisations.
Le dernier traite les points suivants :
1- Audit : définition, caractéristiques de la fonction et processus
2- Audit interne vs contrôle interne
3- Les objectifs du contrôle interne et de l'audit interne
4- Les qualités et les Les responsabilités de l’auditeur
5- Les missions de l’audit interne
6- La conduite d’une mission d’audit
AFAQ AFNOR INTERNATIONALE
Les outils et techniques du management des risques
Animé par Mr Iheb RAYAN
I. INTRODUCTION
II. CONTEXTE DE L’ANALYSE DE RISQUE
III. CHOISIR LES METHODES D’ANALYSE DE RISQUE 2
IV. CHOISIR LES OUTILS D’ANALYSE DE RISQUE
V. CONCLUSIONS
La Directive Solvabilité 2 adoptée par le Parlement européen en 2009 vise à améliorer et harmoniser le dispositif de protection des assurés en Europe, moderniser la supervision et renforcer la compétitivité des organismes d’assurance européens.
L’objectif recherché consiste, en particulier, à mettre en adéquation le niveau d’exigence réglementaire de fonds propres requis pour exercer l’activité d’assurance avec les risques auxquels sont effectivement confrontés les organismes d’assurance. Mais ce régime a également pour ambition de renforcer la gouvernance et le dispositif de contrôle des opérations réalisées par ces mêmes organismes ainsi que d’améliorer la qualité de l’information financière diffusée à destination du superviseur et du public.
En attendant l’entrée en vigueur de ce nouveau régime de solvabilité au 1er janvier 2014, des mesures d'application sont en cours d'élaboration et devraient être adoptés dans le courant de l’année 2012.
Les audits des contrôles de sociétés de services SOC I – SOC II – SOC IIIISACA Chapitre de Québec
Les audits des contrôles de sociétés de services
SOC I – SOC II – SOC III
Par M. David Liberatore – Directeur vérification TI, Deloitte
le 31 mars 2015, ISACA-Québec
Comité de suivi et d'évaluation de la loi PACTE - Rapport méthodologiqueFrance Stratégie
La loi n° 2019-486 du 22 mai 2019 relative à la croissance et la transformation des entreprises (loi Pacte) comporte de nombreuses mesures réglementaires et fiscales dans le but de favoriser le financement de l’économie, la croissance des entreprises ou encore la participation des salariés.
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/comite-de-suivi-devaluation-de-loi-pacte-rapport-methodologique
Rapport de stage Comptabilité + Sujet: Les compétences et les actions nécessa...Fadhel El Fahem
Rapport de stage cabinet d'expertise comptable
+ Sujet: Les compétences et les actions nécessaires pour développer la clientèle dans un cabinet d’expertise comptable.
2. Le COSO est un référentiel de contrôle interne
visant à limiter les tentatives de fraudes dans les
rapports financiers des entreprises.
Il a été défini par le Committee of Sponsoring
Organisation of the Tread way Commission en
1992.
Toutefois, ce n'est qu'à partir de 2002 que le
modèle COSO a véritablement émergé. Les lois
américaines rendant obligatoire l'évaluation du
contrôle interne pour les sociétés faisant appel à
l'épargne publique (suite aux scandales Enron et
Worldcom), il est alors adopté comme référentiel.
En France, il faut attendre la loi de sécurité
3. Pour le référentiel COSO, le contrôle interne doit
répondre à trois :
Il définit également cinq
constitutives du contrôle interne :
4. Le contrôle interne, aussi bien conçu et aussi
bien appliqué soit-il, ne peut offrir qu'une
assurance raisonnable quant à la réalisation des
objectifs
en raison des limites suivantes :
Les jugements exercés
lors des prises de décision
peuvent se révéler défaillants
La contrainte
rapport coût-avantage
impose une contingence
aux procédures et dispositifs
de contrôle à mettre en place
Les mesures de contrôle
ne peuvent pas,
en toute circonstance,
empêcher la survenance
d'un dysfonctionnement
ou d'une défaillance humaine
ou d'une erreur
La collusion
entre plusieurs personnes
peut faire échouer les
contrôles
Le management
peut passer outre les
procédures
et ne pas respecter
le système de contrôle
interne
5. Si l’on s’intéresse maintenant aux différences entre COSO et
COSO 2, on peut mettre en évidence plusieurs d’entre elles :
Tout d’abord, le COSO 2 a la particularité de parler à la fois du
risque quand un évènement impacte négativement l’entreprise
mais aussi d’opportunité quand l’impact est positif.
Le COSO ne traitait pas l’opportunité.
Le COSO 2 introduit aussi la notion d’ « appétence au risque »
qui est le niveau du risque auquel l’entreprise est prête à faire
face et la notion de « seuil de tolérance » qui correspond à la
variation acceptable du niveau de risque par rapport au niveau
d’appétence défini.
Ensuite, le COSO 2 prend en compte les objectifs
stratégiques en plus des objectifs opérationnels, de reporting et
de conformité du COSO.
6. Le COSO 2 élargit également la palette du dispositif de
contrôle interne en ajoutant trois composantes :
*la fixation des objectifs (pour identifier les évènements
nuisibles à leur atteinte),
*l’identification des évènements (risques et opportunités),
*le traitement des risques.
Enfin le COSO 2 donne une dimension d’analyse
supplémentaire en instaurant une maitrise des risques
de toutes les strates de l’entreprise, filiales comprises.
Le COSO 2 élargit donc le périmètre du COSO en
ajoutant un ou plusieurs éléments à chaque dimension
du cube.
8. COSO et COSO 2 sont actuellement les référentiels les plus appliqués par les entreprises
européennes malgré l’apparition du
COSO 3 (COSO 2013).
En matière de contrôle interne, une version actualisée du COSO est parue le 14 Mai 2013.
Le but de cette mise à jour est de prendre en compte les évolutions des environnements opérationnels
et les attentes accrues concernant le contrôle interne.
Tout en se reposant sur les principes fondamentaux de la version initiale, cette mise à jour apporte
plusieurs nouveautés significatives permettant la mise en œuvre d’un dispositif plus agile s’alignant en
permanence aux objectifs de l’organisation.