Comment suivre son e-reputation et la piloter - 01 avril 2014
1. Transcriptions des tables-rondes de la matinée du 01/04/2014
Associations : comment utiliser les réseaux sociaux ?
Merci à LinkedIn pour son accueil. http://nonprofits.linkedin.com/
Merci à tous de votre implication.
Comment
suivre
son
ereputation
et
la
piloter
Avec
Olivier
Rozenkranc,
Cofondateur
de
Réputation
VIP
2. Transcriptions des tables-rondes de la matinée du 01/04/2014
Associations : comment utiliser les réseaux sociaux ?
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Surveillance de l’E-Reputation
Olivier présente sa vision de la surveillance d’une e-reputation : hyper-concentration sur les résultats de
recherche affichés par les moteurs, et notamment les 10 premiers résultats puisque ce sont ceux qui
concentrent le plus de visibilité et donc le plus de pouvoir 1) de diffusion de l’information, 2) de
construire ou détruire une image de marque
è Surveiller notamment les requêtes faites sur le nom de l’association, car c’est le premier indicateur
de suivi de la popularité de l’association et du bruit qui peut être fait autour
Principes généraux & conseils pratiques pour la gestion de l’e-reputation
Conséquence n°1 de la surveillance des résultats de recherche : la nécessaire optimisation de ces
résultats par le référencement
Conséquence n°2 : la nécessaire homogénéité des contenus publiés sur les différentes plateformes de
communication sur internet (même mots-clés partout)
Plusieurs exigences de « méthode » :
1) Prendre la parole pour éviter les fakes
« Si vous ne faites rien, d’autres vont s’en occuper à votre place »
2) Préparer du contenu régulier le plus tôt possible dans la vie de l’association
« Principe d’antériorité : Google favorise les éditeurs qui publient depuis longtemps »
(même si la donne est relativement chamboulée par l’instantanéité des réseaux sociaux)
3) Préparer des contenus suffisamment longs pour favoriser l’indexation
« Préparer des textes de 300 mots minimums »
(toujours à l’heure des réseaux sociaux, gérer de manière complémentaire les lieux de
publication des contenus de fonds – par ex. sur un site internet – et les lieux de publications
d’actualités – par ex. les plateformes sociales)
4) Signaler systématiquement le nom de l’association dans les articles publiés
« cela favorise l’identification de l’association par les moteurs »
5) Ajouter systématiquement des liens (vers un site, un réseau) dans les articles publiés
« cela favorise le page rank de Google »
E-Reputation : comment suivre son e-reputation et la piloter ?
Animation Oliver Rozenkranc, co-fondateur de Reputation VIP
Restitution Patrick Buttard, bénévole Webassoc
3. Transcriptions des tables-rondes de la matinée du 01/04/2014
Associations : comment utiliser les réseaux sociaux ?
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6) Protéger les contenus sensibles de leur diffusion publique
Google aimant bien la diversité, occuper le terrain sur de multiples supports est essentiel à la visibilité de
l’association (et donc à une visibilité supérieure à celle que pourrait générer d’autres éditeurs).
Bad buzz?
Plusieurs associations témoignent d’expériences de bad buzz ayant entaché leur e-reputation ou
compliqué leur travail de communication ; comment endiguer ces phénomènes ?
• Endiguement par la technologie : des sociétés proposent de doper la diffusion de contenus
« positifs » destinés à « noyer » le bad buzz
• Endiguement par le bétonnage juridique : ex. attaque en diffamation, avec l’aide d’avocats
réellement spécialistes (car faire émerger des responsabilités et des défenses efficaces dans la
chaine de valeur complexe du numérique n’est la compétence que de quelques cabinets d’avocats)
• Endiguement par les méthodes de gestion de crise classiques (qui sont valables sur les supports de
communication classiques comme numériques) :
o Limiter les prises de paroles non contrôlées à l’avance
o Publier sur le site officiel de l’association un contenu concis et validé juridiquement pour
exprimer de manière corporate la position de l’association sur le sujet du bad buzz
o Et sur les réseaux sociaux,
§ éviter de se noyer dans les conversations de masse,
§ s’appuyer sur les influenceurs leaders (exige de les avoir repérés en avance, et donc
d’avoir pour chaque association une gestion fine de ses communautés).
§ Anticiper des messages clés qui permettent de réagir de manière à la fois ferme et
non polémique sur les sujets de bad buzz
§ Prévoir la gestion en « direct message » (ie. non visibles de tous mais seulement des
personnes auteurs des mauvais posts) et « sortir la conversation du réseau » pour la
traiter en « offline » avant d’en republier sur internet le dénouement (heureux ;-) )
A étudier également pour faire face aux « coups durs médiatiques » qui peuvent être occasionnés par
des personnalités connues et dont le discours desservirait l’e-reputation d’une association :
• se doter d’un « parrain » ou d’une « marraine », référent(e) et aussi connu(e) que possible, et
susceptible d’intervenir en ambassadeur pour prendre en quelque-sorte la défense de
l’association et clamer son message de manière audible.
• l’appel à la communauté des « fans » comme soutien lors d’une crise est également évoqué,
mais aucune association présente ne semble l’avoir testé.
Ressources additionnelles
La conférence de Richard Strul, CEO de Resoneo, lors de l’événement Webassoc du 30 janvier 2014,
pour comprendre mieux les opportunités et enjeux du référencement naturel et payant
http://www.youtube.com/watch?v=qLAojAGbll8
L’outil Topsy http://topsy.com/ signalé par plusieurs associations comme un outil de veille efficace sur
les marques.
4. Transcriptions des tables-rondes de la matinée du 01/04/2014
Associations : comment utiliser les réseaux sociaux ?
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A noter hors des « crises » évoquées ci-dessus, que l’e-reputation émerge souvent des publications
personnelles que peuvent faire des collaborateurs, partenaires, bénévoles : proposer des chartes de
bonnes pratiques et des contenus pré-rédigés peut aider à diffuser une image cohérente et maîtrisée, en
tous cas à situer ce qui est « officiel » de ce qui ne l’est pas.