Emmanuel Béguin, Eléonore Pommier (Idele) Philippe Briand (Chambres d’Agriculture de Bretagne) Martine Verger (Eilyps) Lise Emeraud (Lycée agricole du Rheu), Anne-Lise Jacquot (AgroCampusOuest)

1. LES MUTATIONS DU TRAVAIL DANS LES GRANDS
TROUPEAUX LAITIERS : COMMENT MIEUX
ACCOMPAGNER LES ÉLEVEURS ET FUTURS ÉLEVEURS
• Emmanuel Béguin, Eléonore Pommier (Idele)
• Philippe Briand (Chambres d’Agriculture de Bretagne)
• Martine Verger (Eilyps)
• Lise Emeraud (Lycée agricole du Rheu), Anne-Lise Jacquot (AgroCampus Ouest)
10/09/2019

2. Programme
10 septembre 2019
• Accueil & introduction - Martial Marguet (Président Idele)
• Programme + enjeux pour la filière laitière : Emmanuel Béguin
• Synthèse de quelques résultats des enquêtes d’ORGUE : Eléonore
Pommier/Emmanuel Béguin
• Témoignage vidéo : SCL de la Fontaine lactée
• La boite à outils des conseillers : Philippe Briand/Martine Verger
• La boite à outils des enseignants : Anne-Lise Jacquot/Lise Emeraud
• Echanges & conclusion (les livrables du projet ORGUE)

3. Un poids croissant des troupeaux de plus de
100 vaches (France et pays de l’UE)
10 septembre 2019
Exploitations > 100 VL
• Arrêt du lait : 3%/an => ~100 / an
• Nouveaux troupeaux => ~ 1000 /an
Exploitations 25-50 VL
• -12%/an depuis 2010
• Disparition dans 2 cas sur 3
• Passage à classe supérieure dans 1 cas sur 3
31% des vaches
dans 8400 étables >100 VL
(15% des exploitations)
% des VL dans étables > 100 VL
• Allemagne - Pays-Bas > 50%
• UK - Danemark > 80%

4. Une productivité apparente de la MO qui
progresse mais moins vite que celle d’autres
pays de l’UE
10 septembre 2019Source: DG AGRI RICA UE, Exploitations laitières spécialisées (OTEX 45)
Avec d’autres évolutions…
 Forte progression des robots de traite
 Plus d’une exploitations
laitières française sur 10 est
robotisée
 Emergence d’un modèle « salariat »
 Baisse des GAEC de transmission
 « Concurrence » entre associations et exploitations
individuelles avec salariés permanents => modèle
émergeant en France, dominant dans l’UE

5. 4 Enjeux à concilier pour les éleveurs et la
filière laitière française
I. COMPETITIVITE et MAITRISE de la CHARGE de TRAVAIL => nécessite la
mise en place d’organisations/de systèmes efficaces sur le plan du travail
 Des écarts importants de temps de travail / VL ou / 1000 l de lait produit
II. QUALITE de VIE au TRAVAIL, TEMPS LIBRE, SANTE et ATTRACTIVITE du
métier (éleveurs et salariés)
 43% des éleveurs laitiers n’ont pas accès à au moins 2 j de temps libre consécutifs /an (enq. SSP 2015)
III. Professionnalisation des éleveurs / RELATIONS et GESTION des RESSOURCES
HUMAINES (cadre hiérarchique ou non)
IV. Développement de l’approche « STRATEGIQUE » en intégrant la dimension
« TRAVAIL » et « METIER » dans les projets (notamment d’agrandissement)
« A l’échelle collective, répondre à ces 4 enjeux est crucial pour assurer un
dynamisme à la production laitière française et répondre au défi du
renouvellement des générations d’éleveurs »

6. Deux projets ORGUE et CNIEL « RH » en réponse
à ces enjeux
10 septembre 2019
Le projet CasDar ORGUE (2016-2019) étudie
l’organisation du travail, la durabilité sociale et la
transmissibilité des grands troupeaux laitiers « à la
française »

7. Les trois types de collectif de travail
retenus
10 septembre 2019
Type 1 : Petits collectifs à « forte productivité de la main d’œuvre » :
- 1 ou 2 chefs (Couple, 2 associés) +/- appoint MO (salarié et/ou bénévole) => 2,3 UMO (77% UMO lait)
- 91 VL, 583 000 L/UMO lait, 63 VL/ UMO lait – Forte productivité MO grâce aux équipements : 41% Robot, 18% Roto, externalisation de tâches
et/ou simplification des pratiques
Type 2: Grands collectifs de travail basés sur le salariat
- 1, 2 (ou 3) chefs + 2 à 7 salariés => 5,2 UMO (82% UMO lait) dont 3,4 UMO salarié
- 165 VL, 371 000 L/UMO lait, 42 VL/ UMO lait – 20% Robot, 30% Roto
Type 3: Grands collectifs de travail basés sur des associés
- 3 à 10 associés +/- salariés (41% avec salariat permanent) => 5 UMO (68% UMO lait) dont 0,7 UMO salarié
- 151 VL, 446 000 L/UMO lait, 47 VL/ UMO lait – 41% Robot, 9% Roto
Les enquêtes d’ORGUE (50 exploitations Grands troupeaux laitiers)
Répartis sur les 3 « France laitière » :
- Grand Est = zone de polyculture élevage
- Massif-Central= zone de montagne
- Bretagne, Pays de la Loire, Normandie = zone de plaine de l’Ouest

8. Caractéristiques des exploitations enquêtées
et repères de temps de travail
Type
Type 1:
Unipersonnel
17
Type 2: Exploitant +
salariés
10
Type 3: Sociétaire
22
Total
49
UMO (Tot) 2,3 5,2 5 4,1
Dont Exploit 1,4 1,4 3,8 2,5
Dont Salariés 0,4 3,4 0,7 1,5
UMO lait (% UMO Tot) 1,7 (79 %) 4,2 (82 %) 3,5 (72 %) 3,0 (76 %)
Litrage (L) 734 300 1 286 900 1 266 000 1 085 800
Lait/UMO Lait 483 700 328 900 417 700 421 300
Heures Lait/1000 L
produits
7,3 8,3 7,5 7,6
Nb de VL/UMO lait 63 42 47 52

9. Productivité et dimension de l’atelier laitier
Productivité et efficience du travail
Type 1: Petit collectif
Type 2: Exploitant + salariés
Type 3: Sociétaire/associés
RU: Angleterre = type 2
Pallier se dessine (3 h /1000 l)
A même productivité, il y a de la variabilité
Grandes exploitations ≠ forte productivité du travail
Productivité et efficience ?

10. Le remplacement
Remplacement et qualité de vie au sein des
grandes exploitations laitières
40 % estiment qu’il est difficile de se remplacer dans leur
collectif
Attention au « petit collectif » :
56 % d’entre eux estiment qu’il est difficile de se faire
remplacer
Appréciation de la qualité de vie
Plus que l’effet « taille du collectif »
= souplesse engendrée par sa composition !

11. Recours au salariat : management et
organisation du travail
Difficultés rencontrées dans le management:
• Gérer le relationnel: ouverture, souplesse, accepter de déléguer,
faire confiance.
• Communiquer
• Clarification de ce que l'on attend du salarié
• Passage de consignes
• Ecoute, prise en compte des motivations du salarié, ne pas être trop
exigeant, doser les responsabilités accordées
• Savoir fidéliser les salariés : améliorer les conditions de travail,
autonomie de décision, marge de manœuvre, récompenser
• Planifier, hiérarchiser, organiser le travail: horaires, absences,
rôles, missions, limiter les imprévus, partager les tâches
Former et
déléguer
Entretien de
suivi de carrière
Sorties
récréatives
Rotation des
tâches
Groupe
WhatsApp
Quelques bonnes pratiques :

12. Zoom sur la question de la répartition
des tâches et des responsabilités
2 principales formes de répartition des tâches et des responsabilités
Atouts Inconvénients Recommandations
« Spécialisée »
- Maîtrise des tâches
- Tâches bien définies =>
facile de définir un profil
de poste
- Difficulté de remplacement surtout
en cas d’imprévu
- La routine peut s’installer
- Risque de perte de la vision
globale de l’exploitation et risque
de difficulté à avoir une stratégie
partagée
- S’assurer régulièrement que la
répartition convienne à chacun
- Se mettre d’accord sur les tâches qui
ne plaisent à personnes
- Attention à l’usure liée à certaines
tâches
« Polyvalente »
- Facilité de remplacement
surtout imprévu
- Moins de monotonie
- Possibilité d’acquérir de
nouvelles compétences
- Les tâches qui ne plaisent vraiment
pas peuvent être source de stress
- Peut-être plus difficile de trouver
des salariés polyvalents
- Nécessité d’avoir des procédures
écrites et une communication
régulière
- S’assurer que certaines tâches ne
soient pas sources de stress

13. Transmission des grandes structures
laitières
Anticiper les mouvements dans le collectif: une prise de conscience
mais des difficultés pour le mettre en œuvre :
• Problèmes accrus de gestion de la main-d’œuvre et risques de « tensions » plus élevés
dans des collectifs agrandis
• Difficulté à trouver un associé dans de telles structures
Réorganiser le travail, la place de chacun : prise en compte du projet humain dans la
stratégie d’entreprise
Anticiper les investissements matériel (ex: robot de traite)
Assurer l’assise foncière : pour éviter le démantèlement des structures
Nécessité de professionnaliser la gestion des ressources humaines 
formaliser, conceptualiser, structurer

14. Témoignage d’éleveur
10/09/2019

15. Méthode et posture pour le conseil travail
Philippe Briand (CRA Bretagne)
Martine Verger (Eilyps)
Avec la collaboration de Romain DANCET CA de la manche
Anne-Charlotte RICHARD ; Landry REGNAULT Littoral normand

16. Etape 1
Prise de
connaissance/
découverte
D’où venons-nous ?
Qui sommes nous ? Etape 2
Diagnostic
Où en sommes
nous?
Etape 3
Expression des projets
Vers où voulons-nous aller?
Que voulons nous changer ?
Etape 4
Impacts des
scénarios (travail)
Est-ce cohérent?
Etape 5
Plan d’action
Comment
vraiment ?
La démarche
16

17. Exemple de démarche
d’accompagnement
• Trajectoires
17
 Exploitation issue de la fusion récente de 2
structures en constante augmentation de volume

18. Exemple de démarche
d’accompagnement
18
Situation initiale
• Main d’œuvre
GAEC (3 associés ; une salariée)
=>3.5 UTH (dont 0.5 UTH salarié)
Deux départs prévus dans 1 at 4 ans
Système
Atelier lait : 1 700 000 l
Atelier poulet label 3 poulaillers
400m²
240 ha SAU sur 4 sites éclatés (de 6 à
20 km de distance)
Ateliers bovins
Bâtiments vaches : 2 lots 1
bâtiment logettes et un bâtiment
aire paillé inadapté
Salle de traite saturée: Roto 24
places
 Exploitation partiellement morcelée, saturée du côté des moyens de production et
devant faire face à une diminution prochaine de main d’œuvre
 Projet de traite robotisée envisagée

19. Exemple de démarche
d’accompagnement
• Prise de connaissance et découverte de la structure
• Description de l’exploitation actuelle (moyens de production et
humains essentiellement)
• Histoire de chacun et évolution de la structure (trajectoires)
• Fonctionnement du collectif
• Répartition des tâches
• Journée type
• Gestion des absences
19
Retour sur le premier rendez-vous

20. Exemple de démarche
d’accompagnement
20
• Cadre de référence
• Equilibre vie pro/ vie privée central (objectifs clairs en termes
d’horaires, week-ends, congés)
• Projet envisagé et ouverture
• Un projet de bâtiments avec intégration de 3 robots et l’embauche
d’un salarié
• Une question en suspens: 3 robots et 1 salarié pourront ils palier à
l’augmentation de la charge de travail ?
1 seul associé était présent lors du 1er RDV, l’expression du cadre
de référence a donc été limitée et a due être complétée lors du RDV 2

21. La posture
du conseiller Travail
• Conditions à réunir :
• Pour l’exploitant
• En individuel
• En collectif
• En groupe de pairs
• Pour le conseiller, l’accompagnant
• Seul
• Au sein d’une équipe
• Multi partenarial
21

22. Exemple de démarche
d’accompagnement
10/12/2019 22
Retour sur le rendez-vous 2
Opportunités Menaces
Forces
CONSOLIDER :
• Continuer à se former à échanger sur
l’organisation du travail
• Consolider la CUMA mélangeuse en
réfléchissant au remplacement à venir du
chauffeur.
DEVELOPPER :
• Rendre l’exploitation attractive pour les
salariés.
• Formation employeur de MO
• Renforcer les relations avec la laiterie pour
continuer à produire un lait adapté aux besoin
de ses marchés.
Faiblesses
INVESTIR :
• Robotiser la traite et adapter le parc bâtiment
• Faire jouer à plein la concurrence entre les
marques de robot y compris sur la
maintenance.
• Bien réfléchir aux aménagements bâtiment.
• Mesurer l’impact économique des
investissements futurs.
REPOSITIONNER / ARRET :
• Réfléchir au devenir de l’atelier volaille
• Déléguer certaines activités : gestion, travaux
des cultures
• Rester en alerte sur les possibilités de
regrouper le parcellaire.
• Partage du diagnostic (Matrice SWOT)

23. Exemple de démarche
d’accompagnement
23
• Les indicateurs exprimés
• Horaires 6 h30 à 19h00 avec un impératif ferme le soir et une souplesse
le matin.
• Pouvoir se libérer à 17h un soir par semaine/associé
• 3 semaines de congés
• Un weekend sur 2 de libre voir si possible 2 weekends sur 3.
• Un autre élément est important nos épouses sauront nous dire si on
termine trop tard ou si on ne garde pas assez de temps pour la famille.
Pas de seuil exprimé en terme d’amplitude horaire, très optimistes (trop) sur
leur capacité de travail ?
 L’association est récente pour le moment c’est la « Lune de Miel » :
Comment déclencher les prises de consciences ?

24. • Plan d’action : (2 actions prioritaires)
10/12/19 24
ACTION RESULTAT /
INDICATEUR
QUOI FAIRE RESSOURCES LIMITES /
RISQUES
QUAND
PRIORITE
ROLES
Evaluer l’impact
économique
Déterminer
l’impact sur le
revenu
Prévoir une étude économique
et système d’élevage.
conseiller de gestion
Conseiller élevage (impact
système fourrager)
Conseiller bâtiment
Sous évaluer les
investissements
nécessaires.
juin-19 A J
Commencer à
adapter la conduite
d’élevage
Anticiper
l’évolution des
effectifs vaches,
Augmentation de la
production par
vache pour
diminuer l’effectif.
Assainir le troupeau
avant l’arrivée des
robots : la santé des
mamelles est
primordiale ainsi
que la santé des
pattes.
Monter en compétences MO Conseiller élevage
Organismes de formation
Difficulté dans la
maitrise technique
Sens du métier remis
en question.
été 2019
hiver 2019 /
2020
A J
Exemple de démarche
d’accompagnement

25. D’autres pistes à explorer ?
SIMPLIFIER
Arrêt de
productions
Conduite
d’ateliers
Protocoles
de suivi
DELEGUER
Association
Embauche
Services
S’EQUIPER
Mécaniser
Automatiser
Informatiser
ORGANISER
Tâches
Trajets
Information
Compétence
25

26. La posture
du conseiller Travail
26
• enjeux:
• Répondre à des attentes d’agriculteur (non exprimées)
• Détecter l’objet/le sujet
• Impacts sur l’exploitation, les relations humaines, le familial
• Désirs d’autonomie
• Valeur marchande de la prestation
• Offre de service
• Temps à consacrer

27. Accompagner les futurs éleveurs de grands
troupeaux laitiers?
Point de vue des enseignants-formateurs
Anne-Lise Jacquot1, Florence Kling-Eveillard2, Yannick Mousseron3
1Agrocampus Ouest – UMR PEGASE
2Idele
3CFAA-CFPPA de Meurthe-et-Moselle
10/09/2019

28. Quels besoins d’accompagnement pour
les éleveurs de grandes structures?
permet de réfléchir et échanger,
recueillir des perceptions, avec un
panel sur un sujet précis
ConseillersEleveurs Enseignants-formateurs
Méthode pour mener une réflexion prospective
Focus Group
Quelles spécificités des grandes
structures?
Quels besoins en accompagnement –
quoi et comment?
Quelles visions des grandes
structures et de leur durabilité
sociale?
Quelle formation actuelle?
Quels besoins pour former?

29. L’agrandissement des
exploitations : un incontournable
Description des membres du FG:
- 2 Enseignants-chercheurs Ecoles d’ingénieur
- 6 Enseignants-formateurs
- BTSA : 4 (ACSE, PA)
- Bac STAV / Bac pro : 2
- BP REA : 1
- Partie prenante dans l’exploitation agricole des
centres de formation : 2
Des disciplines diverses:
-Agronomie
-Economie-gestion
-Zootechnie (+ systèmes d’élevage / durabilité)
Des niveaux et des disciplines divers représentésPixerécourt
Agrandissement et robotisation : des évolutions incontournables, mais interrogation sur les attentes
sociétales
Agrandissement : pas un sujet d’enseignement mais vu par des cas d’études

30. Enseignements actuels sur la thématique
« travail & grandes exploitations » et
besoins actuels et futurs
Questionnements et besoins:
- Difficulté de trouver un temps/module dédié
(car pas dans les référentiels pédagogiques)
- Manque de références actualisées et adaptées
(agrandissement) : bilan travail?
- Méthodes/cadre d’analyse:
- Situer une exploitation selon les différentes
dimensions du travail (quanti et quali)
- Passer d’une compilation de cas à une
comparaison structurée → moments clés,
points de vigilance, facteurs de
réussite/échecs…
- Comment aborder le travail et les rapports humains
dans les enseignements? Ils se sentent démunis
Travail : thématique transversale et pluridisciplinaire
mais abordée selon certains angles et pas dans sa
« globalité »,
Traitée selon la « sensibilité » des enseignants
Thématique complexe dans des systèmes de + en +
complexes

31. Lycée Théodore Monod (35)
Outils pédagogiques pour enseigner le
travail dans les grandes exploitations
laitières
10/09/2019

32. Lycée Théodore Monod (35)
•Situation pédagogique initiale :
•  Les référentiels ne traitent pas des grandes exploitations :
•  Peu ou pas de notions de management, de communication
•  Pas d'axes spécifiques sur leurs caractéristiques
•  Difficultés pédagogiques :
•  En pratique, impossible de rencontrer tous les associés en même temps
•  Analyse plus complexe pour les apprenants
Faire quels supports ? Pour qui ? Pour quoi ?

33. Lycée Théodore Monod (35)
• Travail n° 1 : les 7 vidéos pour caractériser les grandes EA laitières, dans
leur diversité
• → Gestion technique d'un grand troupeau : choix de la conduite en lot
• → Déléguer les travaux des champs pour se recentrer sur son métier d'éleveur
• → Gestion et management des salariés : partie I, management (1:30)
• → Gestion et management des salariés : partie II, embaucher et s'organiser (1:30)
• → Bonne communication entre associés pour maintenir l'entente
• → Optimisation du bâtiment pour un grand troupeau
• → Intégrer des nouvelles technologies pour limiter la main-d’œuvre
Les vidéos durent 3 minutes et sont visibles enchaînées ou séparées.

34. Lycée Théodore Monod (35)
• Travail n° 2 : vidéo pour l'approche stratégique des grandes EA
• → Intégrer la notion de collectif de travail
• → Approche technique adaptée
• → Méthode expérimentale (adaptation de la méthode Perf'Ea de l'agrosup
Montpellier)
La vidéo sera réalisée au 2ème semestre 2019

35. Lycée Théodore Monod (35)
10/09/2019
Exemple de VIDEO

36. Merci de votre attention
Retrouvez les diaporamas
de nos conférences sur
idele.fr
Venez échanger avec nos
ingénieurs sur le
stand A40 (Hall 4)
Partenaires du projet Orgue :
Institut de l’Elevage, Chambres d’agriculture de Bretagne, des Pays-de-la-Loire, de Normandie, de Lorraine, de l’Aveyron, Eilyps, Agro Campus Ouest, Agro Sup Dijon, ELP le Rheu,
Inra , EPLEFPA Meurthe et Moselle, Irstea, ALPA, Gaec et Sociétés, BTPL, EDE du Puy-de-Dôme, Littoral Normand
Partenaire financier :

37. Les partenaires du projet ORGUE