S4 revue de presse kylia - semaine du 20 au 26 janvier 2020
Revue de presse de la semaine 48 2012
1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 26 Novembre au 2 Décembre 2012
LES ARTICLES DE LA SEMAINE
La facture d'électricité des Français risque de
s'alourdir en 2013
Le 26/11/2012
La CSPE, la taxe sur les factures d'électricité qui finance notamment les énergies
renouvelables, nécessitera de lever 5,1 milliards d'euros en 2013, soit 19% de plus qu'en 2012,
selon le régulateur de l'énergie.
ENERGIE - La CSPE, la taxe sur les factures d'électricité qui finance notamment les énergies
renouvelables, nécessitera de lever 5,1 milliards d'euros en 2013, soit 19% de plus qu'en 2012, selon
un chiffrage annoncé ce lundi 26 novembre par le régulateur de l'énergie.
DR
La CSPE, la taxe sur les factures d'électricité qui finance notamment les énergies renouvelables,
nécessitera de lever 5,1 milliards d'euros en 2013, soit 19% de plus qu'en 2012, selon un chiffrage
annoncé ce lundi 26 novembre par le régulateur de l'énergie. En incluant un rattrapage pour 2011 et
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2. les années précédentes (2,1 milliards), le besoin de financement de la CSPE l'an prochain grimpe
même à 7,2 milliards, précise la Commission de Régulation de l'Energie dans un communiqué.
La CRE a rappelé que la hausse de la CSPE, qui représente actuellement 8% du prix de l'électricité,
était limitée à 3 euros du mégawattheure par an (soit environ 15 euros sur la facture annuelle en
moyenne pour un ménage). Son président Philippe de Ladoucette a estimé en septembre qu'il
s'attendait à une hausse maximum à partir du 1er janvier 2013, mais c'est au gouvernement de
trancher.
Créée en 2004 à un montant de 4,5 euros par mégawattheure, la CSPE s'est envolée depuis 2011, en
passant successivement à 7,5 euros, 9 euros et 10,5 euros depuis le 1er juillet. L'essentiel de la
hausse provient des tarifs bonifiés de l'électricité photovoltaïque, qui sont répercutés sur le
consommateur français (à plus de 90% toujours client d'EDF). En 2013, la part que représente
l'électricité photovoltaïque dans les charges de la CSPE grimpe ainsi à 41% (contre 32% cette année)
avec 2,1 milliards d'euros, "essentiellement du fait de la mise en service de nouvelles centrales", selon
la CRE.
Outre les énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse...) qui représenteraient 59% du total en
2013, la CSPE finance également les surcoûts de l'électricité dans les îles non connectées au réseau
national (Corse, DOM, certaines îles bretonnes...), qui devrait représenter 1,4 milliard en 2013.
Viennent s'ajouter les aides à l'électricité produite par cogénération (production simultanée de courant
et de chauffage) pour 532 millions (10% du total) ainsi que les tarifs sociaux de l'électricité (145
millions, 3%), dont l'attribution a récemment été automatisée.
Selon une estimation de la Cour des Comptes publiée en juillet, la CSPE devrait dépasser
"sensiblement" les 20 euros le mégawatheure (MWh) en 2020, soit plus du double du niveau actuel.
Le tarif réglementé standard est actuellement hors abonnement d'environ 125 euros du MWh.
Source : L’Expansion.com
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3. Logement neuf : la chute des ventes se
poursuit au troisième trimestre
Le 27/11/2012
Les ventes de logements neufs ont chuté de 24,9 % en France au troisième trimestre, selon les
chiffres publiés mardi 27 novembre par le ministère de l'écologie, du développement durable et
de l'énergie. Au total, environ 20 500 logements neufs ont été vendus par les promoteurs sur
cette période.
La fin annoncée du dispositif d'investissement locatif Scellier, qui a toutefois été prolongé jusqu'à la fin
de mars 2013, a incité de nombreux promoteurs, au vu aussi de la conjoncture économique, à
fortement ralentir le lancement de nouveaux programmes et le dépôt de permis de construire.
Le dispositif Duflot qui lui succédera en 2013 promet une réduction d'impôt supérieure au Scellier (18
% contre 13 %) sur le prix de revient du logement (limité à 300 000 euros), mais il nécessitera le
respect de conditions plus restrictives, notamment au niveau du montant des loyers.
LES MISES EN CHANTIER TOUCHÉES AUSSI
Les prix restent toutefois stables, voire augmentent légèrement : le prix moyen au mètre carré des
appartements neufs s'établit à 3 821 euros, soit 0,9 % de plus qu'au troisième trimestre 2011. Les
ventes de maisons individuelles ressortent à un prix moyen stable de 248 000 euros.
La baisse est tout aussi brutale pour les mises en chantier, leur nombre, qui s'est élevé à 69 001 entre
août et octobre, est en repli de 21 % par rapport à la même période de 2011. Au cours des douze
derniers mois (novembre 2011 - octobre 2012), le nombre de mises en chantier, avec 330 196 unités,
baisse de 7,3 % par rapport aux douze mois précédents.
Par contre, le nombre de permis de construire accordés, à 452 648 sur les douze derniers mois
(novembre 2011 à octobre 2012), est encore en hausse de 1,6 % par rapport aux douze mois
précédents. Sur les trois derniers mois considérés (août à octobre), ce chiffre marque toutefois un
recul de 6,9 %, à 113 418.
Source : LeMonde.fr
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4. Les Français n'ont plus le cœur à acheter de la
pierre
Le 27/11/2012
51 % des sondés pensent que la période est propice aux projets immobiliers.
Malgré des taux d'emprunt bas et un coup de frein sur les prix, les acquéreurs potentiels
continuent à différer leur achat.
Ils pensent que c'est un bon moment pour acheter mais se refusent à franchir le pas. A en croire
l'indice du moral immobilier Logic-Immo/TNS Sofres, les Français sont paradoxaux. Ils sont 51 % à
penser que la période est propice aux projets immobiliers (seulement 15 % d'avis défavorables), le
meilleur score depuis janvier 2011, mais ne bougent pas quand il s'agit de passer à l'acte. Ils sont
d'ailleurs 58 % à estimer que les taux d'intérêt sont attractifs contre seulement 24 % en début d'année.
Mais c‘est surtout la mauvaise perception du climat économique qui pousse les acheteurs potentiels à
attendre: 72 % des personnes interrogées prévoient une dégradation du niveau de vie général dans
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5. les six prochains mois. Une situation qui selon eux doit déboucher sur une baisse des prix plus
perceptible. Ils sont désormais 51 % à penser que les maisons et appartements seront moins chers
dans les six prochains mois et 37 % à estimer qu'ils resteront stables (contre 45 % et 36 % en début
d'année). Il est donc urgent d'attendre.
Pour cette enquête d'octobre les habitants d'Ile-de-France ont été interrogés de façon spécifique. Ils
ne sont pas si différents du reste de la population. Il sont légèrement plus optimistes puisque seuls
68 % d'entre eux (contre 72 %) pensent que le niveau de vie futur va se dégrader. Côté prix, leur
attente de baisse est un peu moins marquée: 46 % estiment qu'elle viendra tandis que 16 % pensent
qu'ils augmenteront encore.
Source : LaTribune.fr
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6. Niveau de vie, logement, patrimoine... le
portrait des Français en sept points
Le 27/11/2012
Copyright Reuters
Comme chaque année, l'Insee dresse le "Portait social" de la France. L'institut passe au crible tout ce
qui concerne les Français: patrimoine, logement, revenus, consommation, santé, etc... Ainsi, le niveau
de vie médian s'élevait à 1.610 euros par mois en 2011.
Chaque année, l'Institut de la statistique (Insee) dresse un portrait social de la France qui fourmille de
données intéressantes sur la société française et ses évolutions. Tout y passe, qu'il s'agisse des
revenus, du patrimoine, de la protection sociale, de l'emploi, des habitudes de vie, de la démographie,
etc. La Tribune a sélectionné quelques données puisées dans cette somme.*
• Pouvoir d'achat
Le pouvoir d'achat du revenu disponible brut des ménages ralentit en 2011 (+0,5% après +0,9% en
2010). Cette modération s'explique notamment par l'accélération des prix, principalement ceux de
l'énergie. S'agissant du niveau de vie, la moitié des personnes ont un niveau de vie inférieur à 19.270
euros annuels en France métropolitaine, soit 1.610 euros pars mois (niveau de vie médian). Les 10%
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7. des personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10.430 euros. Alors que les 10% les
plus aisées ont un niveau de vie supérieur à 36.270 euros, soit 3,5 fois plus.
• Pauvreté
En 2010, 8,6 millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté monétaire fixé à 60% du
niveau de vie médian. Ce seuil atteignait 964 euros par mois. Le taux de pauvreté s'élève ainsi à
14,1%, en augmentation de 0,6 point. Et la moitié des personnes pauvres ont un niveau de vie
inférieur à 781 euros mensuels. A noter que parmi les actifs, 10,2% sont en situation de pauvreté
monétaire.
• Protection sociale
En 2010, les dépenses de l'ensemble des régimes de protection sociale s'élèvent à 654,2 milliards
d'euros, dont 620 milliards consacrés aux prestations de protection sociale. Ces dernières
représentent 32,1% du PIB et progressent de 3,2% en valeur par rapport à 2010.
• Consommation et épargne des ménages
En 2011, la dépense de consommation des ménages ralentit à +0,3% en volume, après +1,4% en
2010. Elle a contribué pour seulement 0,1 point à la croissance du PIB (+1,7%). Le taux d'épargne
des ménages, lui, progresse de 0,2 point pour atteindre 16,1%. En revanche, leur taux d'épargne
financière (placements financiers) diminue de 0,2 point pour s'établir à 6,8%.
• Logement
Au 1er janvier 2012, on compte 34 millions de logements en France, soit 1% de plus qu'en 2011. Le
parc de logements est essentiellement composé de résidences principales (83,4%). De plus en plus
de ménages sont propriétaires de leur logement (58,1% contre 55,6% en 2000). La surface moyenne
d'un logement est de 91 m2, contre 77 m2 en 1978. Et ce, essentiellement en raison de
l'augmentation de la surface des maisons individuelles, alors que celle des appartements reste quasi
identique. En 2010, les dépenses de logement ont représenté 22,3% du PIB.
• Santé
L'état de santé est globalement bon en France. L'espérance de vie à la naissance est particulièrement
élevée pour les femmes (84,8 ans en 2011) et dans la moyenne européenne pour les hommes (78,2
ans). Mais à 35 ans, l'espérance de vie d'un cadre est de 6,3 années supérieures à celle d'un ouvrier.
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8. En 2011, la consommation de soin et de biens médicaux atteint 180 milliards d'euros, soit une
consommation par habitant de 2.762 euros sur un an.
• Vos paupières sont lourdes...
En 2010, les personnes dormaient en moyenne 7 heures et 47 minutes par nuit. Et l'on dort moins la
nuit qu'il y a 25 ans: la baisse est de 18 minutes chez les 15 ans ou plus.
* France Portrait Social, Edition 2012, Collection Insee Références (272 pages; prix: 18,80 euros).
Source : LaTribune.fr
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9. Diagnostic immobilier : mauvaises
perspectives pour 2013
Le 28/11/2012
Selon Xerfi, le secteur du diagnostic immobilier, après un recul de 3 % en 2012, devrait baisser
de 4 % en 2013.
Selon Xerfi, le secteur du diagnostic immobilier, après un recul de 3 % en 2012, devrait baisser de 4
% en 2013. Jaubert/Sipa
Sale temps pour les diagnostiqueurs immobiliers : selon les prévisions de l’institut d’études
économiques Xerfi, le chiffre d’affaires de la profession devrait connaître une baisse de 3 % et cette et
devrait connaître un nouveau recul de 4 % en 2013. La seconde année de baisse consécutive résulte
de la conjonction de trois principaux éléments qui menacent la croissance du secteur : le
ralentissement du marché immobilier, la déflation des prestations ainsi que l’image et la fiabilité
écornées du diagnostiqueur immobilier. Selon Xerfi, les ventes de logements anciens baisseront de 7
% l’an prochain suite au maintien des prix à un niveau élevé et de la faiblesse de la mobilité
résidentielle, liée à l’emploi. La construction de logements neufs, du fait du blocage de la demande,
restera au même niveau.
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10. Des prix en baisse constante
Par ailleurs, les prix des prestations des diagnostiqueurs immobiliers n’ont cessé de diminuer depuis
quelques années :
« Les diagnostiqueurs peinent à valoriser leur offre, qui s’est banalisée car l’offre
surabondante, les comparateurs de prix sur internet ou encore l’affichage obligatoire du
Diagnostic de Performance Energétique (DPE) dans les annonces immobilières de vente et de
location ont exercé une pression à la baisse sur les tarifs », souligne l’étude.
Enfin, plusieurs médias ont mis en évidence le manque de fiabilité des diagnostics de performance
énergétique à l’automne 2012. La recertification des compétences mise en place par les pouvoirs
publics pour durcir les conditions d’accès à la profession et contre laquelle les opérateurs protestent,
pénalise l’activité des indépendants, des Très Petits Entreprises (TPE) et des Petites et Moyennes
Entreprises (PME).
Pas que le DPE
Les diagnostiqueurs immobiliers disposent de relais de croissance et peuvent s’affranchir de leur
dépendance au marché immobilier en diversifiant leur activité au-delà du simple DPE dans la vente ou
la location de logements. Les opportunités sont nombreuses dans le bâtiment collectif et non
résidentiel. Par exemple la réalisation d’un DPE dans les centres commerciaux est obligatoire depuis
juillet 2012 pour la vente ou la location. Pour les copropriétés de moins de 50 lots un DPE collectif d’ici
2017 doit être effectué. C’est pour les diagnostiqueurs, l’occasion d’élargir leur offre de diagnostics
vers le tertiaire pour les opérations avant travaux ou démolition, avec les diagnostics déchets,
repérage amiante ou plomb…
L’entrée en vigueur de la RT 2012
Les opérateurs peuvent aussi bénéficier de l’entrée en vigueur de la RT 2012 en se lançant dans
l’attestation finale de prise en compte ou dans les tests d’infiltrométrie. « Ces derniers peuvent leur
ouvrir les portes du marché de la rénovation énergétique, qui ne représente que 2 % de leur chiffre
d’affaires », estime l’étude. Mais cela suppose des investissements conséquents de la part des
opérateurs, d’autant plus que le processus de recertification est déjà un frein à l’activité de beaucoup
de petits diagnostiqueurs qui risquent de sortir du marché, réduisant ainsi l’atomisation du secteur et
renforçant la place des leaders du secteur comme Allodiagnostic, Agenda ou Diagamter.
Source : LeNouvelObs.com
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12. l'assurance-vie et dans les produits bancaires et préfèrent placer leur argent dans la pierre", souligne
Olivier Pavy.
Baisse des maisons
Par contre, des "déserts économiques" n'enregistrent quasiment plus de demandes d'achats, ce qui
entraîne une baisse des prix de 10 à 15 % depuis 2009 dans un "croissant" allant de la Lorraine à
l'Auvergne en passant par la région Centre, ce qui explique que les prix des maisons ont baissé plus
(- 1,5 %) que les appartements (- 0,5 %).
Mais, contrairement à l'Espagne et à la crise de 2008 née des "subprimes" où les promoteurs s'étaient
retrouvés avec des stocks de logements neufs sur les bras, ces derniers se sont montrés cette fois
prudents, ce qui empêche un effondrement des prix aussi bien dans le neuf que dans l'ancien, selon
maître Thierry Delesalle. Pour l'ensemble de l'Hexagone, le nombre de transactions est estimé à 730
000 pour les 12 mois d'octobre 2011 à septembre 2012, soit une baisse significative (- 11,8 % par
rapport aux 12 mois précédents).
Ralentissement de la hausse à Paris
Paris fait, une nouvelle fois, encore exception avec un nouveau record à 8 440 euros le mètre carré
en moyenne, une augmentation de 0,8 % sur un an et de 1,0 % sur les trois mois précédents, selon la
chambre des notaires Paris-Ile-de-France. Mais cette poursuite de la hausse des prix, mais qui s'est
fortement ralentie dans la capitale par rapport à la "flambée" qui avait dépassé les 20 % en juin 2011,
s'accompagne d'une forte réduction des transactions, avec une chute de 19 %.
La part des étrangers parmi les acheteurs continue de progresser, même si elle reste modeste, de 6,8
à 7,3 % du total, contribuant à la bonne tenue du marché parisien. Pour maître Olivier Savary, "les prix
à Paris devraient rester stables au cours des prochains mois". "Les acheteurs deviennent frileux en
raison de la période économique incertaine et du flou artistique des réformes fiscales", explique
Patrick Chappey, directeur associé du groupe d'agences immobilières Imax.
Des riches n'hésitent toutefois pas à solliciter leur compte en banque pour s'offrir des demeures de
rêve dans la capitale. Ainsi, un appartement de 121 m2 a été cédé à 26 260 euros le mètre carré dans
le quartier de l'Arsenal (4e arrondissement) et un autre de 186 mètres carrés s'est envolé à 35 320
euros le mètre carré près des Champs-Élysées (8e arrondissement), soit la coquette somme de 6,57
millions d'euros.
Source : LePoint.fr
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13. Immobilier : le point sur les prix à Paris et dans
toute l'Ile-de-France
Le 29/11/2012
Les notaires viennent de tenir leur traditionnelle conférence de presse trimestrielle sur les prix de
l'immobilier à Paris et en Ile-de-France. Le point sur les faits marquants et les tendances d'évolution.
dr
Les notaires l'avaient prévu lors de leur point sur le marché immobilier parisien du deuxième trimestre.
ème
Dans la capitale, le marché immobilier se caractérise par une stabilité relative au 3 trimestre 2012,
tant en ce qui concerne les prix affichés par les appartements anciens que le nombre de transactions.
Côté prix, le phénomène de " plateau ", à savoir la stagnation constatée durant les cinq trimestres
précédents, semble s'installer durablement dans la capitale, même si les statistiques affichent un
record jamais atteint concernant le prix au m², tous arrondissements confondus (8 440 euros/ m²).
Maître Olivier Savary justifie la stabilité du marché par l'allongement des délais de commercialisation,
du fait du niveau d'exigence des acquéreurs qui maintiennent cependant à la pierre son statut de
valeur refuge.
De plus, les prix se maintiennent car ce sont essentiellement les biens de qualité qui se vendent.
ème
L'augmentation sur un an est de 0,8 %. La progression la plus importante concerne le 6
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14. ème
arrondissement (+ 4%) qui affiche 13 520 euros/m², et creuse ainsi l'écart avec le 7 (12 170
euros/m²) qui le talonnait depuis quelques années.
ème
Le prix le plus élevé pour ce troisième trimestre : la vente d'un appartement de 186 m² dans le 8
arrondissement, à hauteur de 35 320 euros / m²... ! Il est vrai qu'on se trouve en plein Triangle d'Or,
un secteur recherché par les grandes fortunes étrangères. Etrangers qui constituent 6 % des
acheteurs et impactent peu les prix moyens.
Côté volume, les ventes enregistrent en revanche un recul significatif de 19 % par rapport à la même
époque en 2011. Parallèlement, les délais de vente s'allongent. Il faut aujourd'hui compter 4 mois et
une semaine pour vendre un bien alors qu'il y a deux ans, un vendeur trouvait un acheteur en deux
mois et deux semaines.
La situation de la Petite Couronne parisienne, qui comprend les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis
et le Val-de-Marne, ne tranche pas réellement avec celle du marché parisien. Le nombre de
ème
transactions réalisées au 3 trimestre a également baissé de manière importante. Pour les
appartements, cette décrue s'échelonne de 20 % (ancien) à 24 % (neuf), même si ces chiffres ne
doivent pas masquer la faible variation affectant le département des Hauts-de-Seine au niveau du
logement ancien (- 12 %). Le marché de la maison enregistre également une baisse sensible du
volume des ventes (- 19 %).
Mais cette configuration n'a pas pour autant provoqué de baisse des prix, dont le niveau reste stable
ce trimestre (+ 1,9 %). Une stagnation qui recèle cependant des disparités, en particulier concernant
le prix des maisons dans la Petite Couronne. La chute du prix médian dans certaines villes comme
Asnières-sur-Seine (- 25 %) ou Livry-Gargan (- 19 %) se trouve en effet compensée par des hausses
plus ou moins importantes de celui-ci à Colombes (+ 10,7 %) et à Antony (+ 24,8 %).
Les prix sont en moyenne de 4 480 euros/m², soit une progression sur un an de 0,3 %. Les Hauts-de-
Seine caracolent en tête, avec 5 450 euros /m², alors qu'ils sont de 3 330 euros/m² en Seine-Saint-
Denis. A Boulogne-Billancourt, le prix est de 7 310 euros/m², proche de celui de Vincennes (7 020
euros/m²). Pour les maisons, il faut compter en moyenne 363 900 euros en Petite Couronne, 591 200
euros dans les Hauts-de-Seine et 280 600 euros en Seine-Saint-Denis.
En Grande Couronne, on ne constate pas non plus de bouleversement. Le prix des appartements est
de 3 140 euros /m², avec une progression de 1 % sur un an. Les différences sont grandes d'une ville à
l'autre : 5 940 euros/m² à Saint-Germain-en-Laye, 5 720 euros/m² à Versailles, mais seulement 1 980
euros à Evry ou 2 220 euros à Meaux. La contraction des volumes de vente est de 22 %.
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15. Le prix médian des maisons anciennes dans ces départements est de 289 200 euros. Avec là aussi
de grandes différences d'une commune à l'autre : 551 000 euros à Chatou, 300 000 euros à Herblay,
260 000 euros à Roissy-en-Brie, 310 000 euros à Montgeron. La contraction du volume des ventes
est presque égale à celle des appartements : -23 %.
Quel avenir pour le marché francilien ? Maître Christian Godard estime que les prix ne devraient pas
baisser, le phénomène de stagnation constaté depuis plusieurs mois devant se poursuivre. En
revanche, les stocks de biens augmentent, ce qui pourrait avoir un impact sur les ventes si ces
derniers deviennent excessifs.
Source : L’Express.fr
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16. Des logements vides seront réquisitionnés d'ici
la fin de l'année
Le 29/11/2012
La ministre du Logement Cécile Duflot a annoncé que des logements vides seront
réquisitionnés d'ici fin 2012. Ces réquisitions concerneront des bâtiments appartenant
uniquement à des personnes morales.
IMMOBILIER - Des réquisitions de logements vides auront lieu d'ici la fin de l'année, a annoncé jeudi
29 novembre la ministre du Logement Cécile Duflot
REUTERS/Philippe Wojazer
Des réquisitions de logements vides auront lieu d'ici la fin de l'année, a annoncé jeudi la ministre du
Logement Cécile Duflot à l'AFP, au cours d'une visite dans un centre d'hébergement d'urgence pour
sans-abri à Paris, géré par l'association Emmaüs Solidarité. "Trois lettres" sont sur le point d'être
envoyées aux préfets des régions les plus tendues en matière de logements, Ile-de-France, Rhône-
Alpes et PACA, "pour se mettre en situation de procéder à des réquisitions d'ici la fin de l'année", a
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17. expliqué la ministre, précisant que ces réquisitions concerneraient des bâtiments appartenant
uniquement à des personnes morales.
Fin octobre, Cécile Duflot avait dit sa volonté de mettre en œuvre ce dispositif rarement appliqué par
un gouvernement pour accueillir sans-abri et mal-logés. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault lui
avait emboîté le pas début novembre en demandant un "inventaire" des bâtiments vides pouvant
accueillir des personnes sans domicile. A Paris, une soixantaine d'immeubles appartenant à des
personnes morales ont déjà été repérés comme susceptibles d'être réquisitionnés, "dont la moitié
présente un réel potentiel", avait annoncé mardi le préfet de Paris et d'Ile-de-France Daniel Canepa.
Source :L’Expansion.com
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18. A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :
• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.
• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.
• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39
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