Une nouvelle version de la norme ISO 9001 va sortir en Septembre 2015.
PECB et ses partenaires s’engagent à fournir à leurs clients et aux parties prenantes les meilleures informations sur ces nouvelles mises à jour.
Sujets couverts par le webinaire :
Introduction – Contexte
Ce qui change en 2015
Les changements importants
Les nouvelles exigences
Le PDCA ou SCDA
Révolution ou évolution ?
Pourquoi passer en version 2015
Ile Reunion
Pourquoi nous ?
Ce webinaire est piloté par PECB et son partenaire Agrée à l’Ile de la Reunion, la SARL JCA INSTITUT.
Mr JC AUTRAN , ancien expert des Nations Unies, l’animateur est consultant sénior et auditeur IRCA, spécialiste de la norme ISO 9001 depuis 1993 dans l’Océan indien. Membre de J2C France.
2. Le PECB (Professional Evaluation and Certification Board)
est un organisme de certification des personnes pour un
large éventail de qualifications professionnelles, incluant
ISO 9001, ISO 14001, OHSAS 18001, ISO/IEC 20000, ISO
22000, ISO 22301, ISO 26000, ISO/IEC 27001, ISO
27002, ISO/IEC 27005, ISO 28000, ISO 31000, ISO
50001 et Certified Lead Forensic Examiner.
2
Jca institut Membre agréé Réunion
3. • Contexte de l’ISO 9001
• Ce qui change en 2015?
• Qu’est ce que l’annexe SL?
• Quels sont les changements importants
pour les entreprises?
• Revision et transition par dates
• Travailler pendant la transition
• Les 10 chapitres
• La gestion des risques
• Les processus V 2015
• Pourquoi nous?
Sommaire
4. 4
. Plus de 30 000 en France
. Plus de 155 à la Réunion
6. 6
ISO
9001
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Amélioration des
performances de
l’équipe
Cohérence de
l’approche au
sein des
organismes
Réduire les
risques
d’insatisfaction
des clients
Structure
pour tous
vos systèmes
d’activité
Améliorer les
profits
Accès à des
procédures
d’appels d’offres /
nouvelles
opportunités de
marché
Faire preuve
d’engagement
et améliorer la
réputation
Amélioration de
la satisfaction du
personnel
Améliorer les
processus et
les procédures
Réduction des
coûts grâce à des
améliorations de
procédés
Avantages
7. 7
ISO 9001 :1987
Procédures
ISO
9001 :1994
Action
préventive
ISO
9001 :2000
Approche
processus &
PDCA
ISO
9001 :2008
Approche
processus &
PDCA
ISO
9001 :2015
Risques et
opportunités
8. Oui ! La norme a été conçue pour que toutes
les entreprises puissent être certifiées quels
que soient leur taille et leur secteur d’activité.
Une personne (par exemple, un juge) peut être
certifié
8
Mon entreprise est elle certifiable ?
9. Une entreprise certifiée ISO 9001 est
auditée dans son intégralité tous les ans 3
ans par un auditeur indépendant, issu d’un
organisme de certification
Dans l’intervalle des 3 ans, nous effectuerons 2
visites de contrôle plus légères, pour s’assurer
que votre engagement se traduit concrètement
au quotidien
9
La certification est-elle valable a vie?
12. 12
Il existe une exigence organisationnelle pour un format
commun de toutes les normes afin d’en faciliter la mise
en œuvre et le management
Pour forger une base solide du management de la
qualité pour les prochaines 20 années
S’assurer que la norme ISO 9001 continue d’offrir “la
confiance dans la capacité de l’entreprise à fournir un
produit/service qui répond aux exigences des clients”
Pour reconnaître que les entreprises fournissent
souvent des services et non des produits physiques
Pourquoi le besoin de changement ?
13. 13
Quels sont les changements proposés ?
La norme sera toujours basée sur le PDCA avec la plupart
des exigences précédentes incluses, mais dans des
domaines différents
Le terme “produit” a été remplacé par
“biens ou services”
Il y a un besoin accru de la direction d’avoir une plus grande
implication dans le système de management de la qualité
La norme est rédigée conformément à l’annexe SL
“achat” et “sous-traitance” ont été remplacés par
“dispositions externes de biens et services”
14. 14
Qu’est-ce que l’annexe SL?
Un langage commun appliqué à toutes les normes de
systèmes de management
Le cadre fournira des clauses contre les structures de
haut niveau
L’annexe SL a été conçue pour améliorer la cohérence et
l’harmonisation des différentes normes de systèmes de
management
L’annexe SL est la nouvelle structure de haut niveau qui
fournira un cadre commun à tous les systèmes de
management
15. LE DÉTAIL DES NOUVEAUX ARTICLES ET PARAGRAPHES
ISO 9001 EN V 2015
• 0.1 Généralités
• 0.2 Les normes ISO de management de la
qualité
• 0.3 Approche processus
• 0.4 Le cycle PDCA
• 0.5 Approche par les risques
• 0.6 Compatibilité avec d'autres systèmes de
management
• 1 Domaine d'application
• 2 Référence normatives
• 3 Termes et définitions
15
16. 4 Contexte de l'organisation
- 4.1 Compréhension de l’organisation et son
contexte
– 4.2 Compréhension des besoins et attentes
des parties intéressées
– 4.3 Détermination du domaine d'application du
système de management de la qualité
– 4.4 Système de management de la qualité et
ses processus
16
17. 5. Leadership
– 5.1 Leadership et engagement
• 5.1.1 Leadership et engagement relatifs au
système de management de la qualité
• 5.1.2 Ecoute client
– 5.2 Politique qualité
– 5.3 Rôles, responsabilités et autorités
au sein de l'organisation
17
18. 6 Planification du système de management de
la qualité
– 6.1 Actions à mettre en œuvre face aux
risques et opportunités
– 6.2 Objectifs qualité et planification pour les
atteindre
– 6.3 Planification des modifications
18
19. 7 Support (soutien)
– 7.1 Ressources
• 7.1.1 Généralités
• 7.1.2 Personnel
• 7.1.3 Infrastructures
• 7.1.4 Environnement pour
l'opération des processus
• 7.1.5 Ressources de
surveillance et mesurage
• 7.1.6 Connaissances de
l'organisation
– 7.2 Compétences
– 7.3 Sensibilisation
– 7.4 Communication
– 7.5 Informations
documentées
• 7.5.1 Généralités
• 7.5.2 Création et mise à
jour
• 7.5.3 Maîtrise des
informations
documentées
19
20. 8 Réalisation des activités opérationnelles
– 8.1 Planification et maîtrise
opérationnelles
– 8.2 Détermination des exigences
relatives aux produits et services
• 8.2.1 Communication avec les
clients
• 8.2.2 Détermination des exigences
relatives aux produits et services
• 8.2.3 Revue des exigences relatives
aux produits et services
– 8.3 Conception et développement de
produits et services
• 8.3.1 Généralités
• 8.3.2 Planification de la conception
et du développement
• 8.3.3 Éléments d’entrée de la
conception et du développement
• 8.3.4 Maîtrise de la conception et
du développement
• 8.3.5 Éléments de sortie de la
conception et du développement
• 8.3.6 Modifications de la
conception et du développement
– 8.4 Maîtrise des produits et services
fournis par des prestataires
externes
• 8.4.1 Généralités
• 8.4.2 Type et étendue de la
maîtrise des prestations externes
• 8.4.3 Information à l'attention des
prestations externes
– 8.5 Production et prestation de service
• 8.5.1 Maîtrise de la production et
de la prestation de service
• 8.5.2 Identification et traçabilité
• 8.5.3 Propriété des clients ou
prestataires externes
• 8.5.4 Préservation
• 8.5.5 Activités après livraison
• 8.5.6 Maîtrise des modifications
– 8.6 Libération des produits et services
– 8.7 Maîtrise des éléments de sortie des
processus, des produits et services non
conformes
20
21. 9 Évaluation des performances
– 9.1 Surveillance, mesure, analyse et évaluation
• 9.1.1 Généralités
• 9.1.2 Satisfaction du client
• 9.1.3 Analyse et évaluation (indicateurs - monitoring)
– 9.2 Audit interne
– 9.3 Revue de direction
21
En italiques ajouté par nous
23. 5.1 Généralités
5.2 Engagement de la direction
5.3 Politique
5.4 Rôles, responsabilités et
autorités
6.1 Actions pour maitriser les
risques et déployer des
opportunités
6.2 Objectifs et plans d’actions
7.1 Ressources
7.1.1 Infrastructures
7.1.2 Environnement de travail
7.2 Compétence
7.3 Sensibilisation
7.4 Communication
7.5 Informations documentées
7.5.1 Généralités
7.5.2 Création et mise à jour
7.5.3 Contrôle des informations
documentées
8.1 Maitrise de la planification opérationnelle
8.2 Planification de la réalisation du produit
8.3 Processus relative aux clients
8.3.1 Détermination des exigences relatives au produit
8.3.2 Revue des exigences relatives au produit
8.3.3 Communication avec les clients
8.4 Conception et développement
8.4.1 Planification de la conception du développement
8.4.2 Données d’entrée de la conception du développement
8.4.3 Données de sortie de la conception du développement
8.4.4 Revue de la conception du développement
8.4.5 Vérification de la conception du développement
8.4.6 Validation de la conception du développement
8.4.7 Maitrise des modifications de la conception et du
développement
8.5 Achats
8.5.1 Processus d’achat
8.5.2 Informations relatives aux achats
8.5.3 Vérification du produit acheté
8.6 Production et fourniture du service
8.6.1 Maîtrise de la production et de la fourniture du
service
8.6.2 Validation des processus de production et de
fourniture du service
8.6.3 Identification et traçabilité
8.6.4 Propriété du client
8.6.5 Préservation du produit
10.1 Non-conformité et action
corrective
10.2 Amélioration continue
9.1 Surveillance, mesure, analyse
et évaluation
9.1.1 Satisfaction client
9.1.2 Surveillance et mesure des
processus
9.1.3 Surveillance et mesure du
produit
9.1.4 Maitrise des équipements
de surveillance et de mesure
9.2 Audit interne
9.3 Revue de direction
7 – Supports
8 – Opérations
4 – Contexte de
l’organisme
5 – Leadership
6 – Planification
10 - amélioration
9 – Evaluation des
performances
4.1 Compréhension de l’organisme
et de son contexte
4.2 Compréhension des besoins et
attentes des parties intéressées
4.3 Détermination du périmètre du
système de management
4.4 Système de management
Amélioration
continue
24. Disparition du manuel qualité
• Marqueur de la norme ISO 9001, le manuel qualité va-t-il disparaitre ?
• C’est en effet bien possible, mais surement pas demain tant la notion de
manuel qualité est profondément ancrée dans la culture qualité.
• La révision n’exige en effet plus l’organisation certifiée de maintenir à jour
un manuel qualité. Mais attention car pour autant l’exigence de
documentation n’a pas disparue. Il est toujours nécessaire de documenter,
maintenir à jour et conserver les informations pertinentes. Un manuel
qualité est donc toujours un élément de réponse possible à cette
exigence, même si il cesse d’être la seule option possible.
• L’objectif de la norme est de prendre en compte les évolutions
technologiques et sociétales. L’information n’est plus créée, organisée,
gérée, maintenue, diffusée et accédée comme il y a 20 ans ou le papier
restait le médium roi.
• La norme révisée permet aussi une plus grande souplesse dans
l’organisation des sociétés. Il sera maintenant possible d’être conforme à
l’ISO 9001 sans mettre en péril une certaine forme d’agilité managériale.
24
25. Le leadership
• L’engagement à la qualité au travers d’un
leadership assumé et visible est renforcé :
• La notion de « Représentation du
Management » disparait totalement
• La politique qualité et les objectifs définis
doivent être en phase avec les orientations
stratégiques
• Les exigences du SMQ peuvent être
fusionnées aux processus métiers
25
26. Gestion des risques
• La gestion des risques via une approche préventive devient un
élément fondamental de la norme révisée : L’identification des
risques, leur qualification, leur gestion. La qualité est une résultante
de la bonne gestion de ces risques, débordant ainsi du strict
périmètre du produit ou service livré : Il n’y a pas de qualité sans la
capacité à fournir à son client, dans la durée, un produit ou service
conforme.
• Le risque a son corollaire opposé: l’opportunité. La norme
ISO9001:2015 embrasse aussi ce concept d’incertitude positive.
• Gérer le risque c’est aussi œuvrer à l’amélioration continue : une
correction correspond à un risque mal identifié ou mal géré, une
action préventive répond à un risque : celui d’une non-conformité
possible mais non encore advenue.
26
28. À quel endroit aborde-t-on le risque dans le projet
actuel de la norme ISO 9001:2015
• Chap 4: Approche processus: Dans son approche processus, l’organisation
doit déterminer les risques qui pourraient affecter sa capacité à fournir des
biens et des produits conformes et obtenir la satisfaction du client.
• Chap 5: Leadership: La direction doit démontrer son engagement et son
leadership pour identifier les risques et les adresser adéquatement.
• Chap 6: Planification: Une section complète est réservée à la gestion des
risques. L’organisation devra prendre en compte les éléments et les
exigences identifiés dans les clauses 4.1 et 4.2. L’organisation devra
démontrer comment elle effectue le traitement des risques permettant
d’éviter, d’atténuer ou d’accepter les risques.
• Chap 8: Opération: L’organisation devra documenter un processus pour
identifier et adresser les risques d’opérations.
• Chap 9: Évaluation de la performance: L’organisation devra monitorer,
mesurer, analyser et évaluer les risques et les opportunités.
• Chap 10: Amélioration: L’organisation pourra améliorer son système de
management de la qualité basé sur les résultats des analyses, les
opportunités et les changements liés aux risques identifiés (chapitre 6).
28
29. Importance donnée au contexte de
l’organisation certifiée et aux parties prenantes
• Deux clauses nouvelles apparaissent (4.1 et
4.2) qui demandent une meilleure prise en
compte du contexte de l’organisation : analyse
du contexte, identification des parties
prenantes, compréhension de leurs attentes.
29
30. La connaissance est une ressource
comme une autre
• Encore une fois, la norme ISO9001:2015 s’adapte à son
époque. La connaissance est devenue un élément clef pour
la réussite de nombreux projets ainsi que pour celle du
développement commercial. La nouvelle norme considère
la connaissance comme une ressource à part entière qu’il
faut gérer :
• Identifier les connaissances nécessaires pour mener à bien
l’activité dans le respect du SMQ et afin d’atteindre les
objectifs définis
• Maintenir la connaissance à jour, la protéger et la mettre à
disposition lorsqu’elle est nécessaire
• Anticiper les besoins d’évolution de la connaissance et
gérer les risques de ne pas l’acquérir en temps et en heure,
concept de veille..
30
31. 8,4,2 et 8,5,5 - Le SAV
• Le traitement des activités sous-traitées
(outsourcing) est mieux défini dans la nouvelle
norme et examiné sous l’angle des risques.
Dès que l’activité a un impact sur la qualité de
votre produit ou de votre service – également
si elle concerne les «projets et
développements» –, vous devez définir un
«span of control» et déterminer quelles
actions de contrôle vous mènerez.
31
32. Gestion des processus V 2008
32
GOUVERNANCE
OPERATIONNEL
SUPPORT
Réalisation
Mise en Oeuvre
Production
Management
Pilotage
Soutien
33. 1 Gestion des processus V 2015
33
Gouverner et
piloter
l’entreprise
Chapitre 5 + 6.2 Objectifs
qualité
4.4. Mise en œuvre des
processus
7.4 Communication
6.1 Risques et
opportunités
GOUVERNANCE
OPERATIONNEL
SUPPORT
37. 5 le métier
37
Gouverner et
piloter
l’entreprise
OPERATIONNEL
SUPPORT
Développer les
compétences et
les connaissances
Manager les
ressources
fonctionnelles
Structurer
l’information et
les données
Concevoir et
développer les
produits et
services
Manager
la relation
client
Produire et /
ou réaliser la
prestation
Maîtriser les achats
et la sous traitante
GOVERNANCE
8.58.1 8.48.28.3
38. 6
38
Gouverner et
piloter
l’entreprise
GOVERNANCE
OPERATIONNEL
SUPPORT
Développer les
compétences et
les connaissances
Manager les
ressources
fonctionnelles
Structurer
l’information et les
données
Optimiser
l’organisation et
générer des
améliorations
Concevoir et
développer les
produits et
services
Manager
la relation
client
Produire et
/ ou
réaliser la
prestation
Maîtriser les achats
et la sous traitante
9.1. Eléments de
surveillance et de
contrôle +
9.12 Satisfaction du
client + 9.2 Audit
interne
39. 7
39
Gouverner et
piloter
l’entreprise
GOVERNANCE
OPERATIONNEL
SUPPORT
Développer les
compétences et
les connaissances
Manager les
ressources
fonctionnelles
Structurer
l’information et
les données
Optimiser
l’organisation et
générer des
améliorations
Concevoir et
développer
les produits et
services
Manager
la relation
client
Produire et
/ ou
réaliser la
prestation
Maîtriser les achats
et la sous traitante
9.1 Eléments de
surveillance et de
contrôle + 9.1.2
Satisfaction du
client + 9.2 Audit
interne
9.1.3 Analyse
des données +
9.3 Revue de
direction
40. 8
40
Gouverner et
piloter
l’entreprise
GOVERNANCE
OPERATIONNEL
SUPPORT
Développer les
compétences et
les connaissances
Manager les
ressources
fonctionnelles
Structurer
l’information et
les données
Optimiser
l’organisation et
générer des
améliorations
Concevoir et
développer les
produits et
services
Manager
la relation
client
Produire et
/ ou
réaliser la
prestation
Maîtriser les
achats et la sous
traitante
10.2
10
46. Pourquoi passer en ISO version 2015
Sur un plan commercial :
trouver de nouveaux
clients
améliorer son image
fidéliser les clients actuels
accéder à de nouveaux
marchés
se différencier de la
concurrence
se conformer à des
réglementations par
obligation ISO (délais maxi 3
ans)
En interne :
mettre en œuvre l ’efficacité
et la rigueur
réduire les coûts de non-
conformité et non qualité
mobiliser l’entreprise vers un
objectif commun et améliorer
les conditions de travail
responsabiliser l ’ensemble
des acteurs de l’entreprise
optimiser les méthodes de
production et de gestion
faire face aux développement
et risques de l ’entreprise
46
49. Ile Réunion
• 26 000 entreprises du
secteur privé
• 170 000 salariés
• Plus artisans,
commerces ,
agriculteurs et fonctions
publiques
• 820 000 habitants
• 25 % de chômage
49
50. La démarche JCA INSTITUT
Pratique de la maïeutique :
Travail par groupe de 5 à 6 personnes,
Réunions de 1h30 à 2h maximum,
Inventaire des informations utiles,
Sélection, validation,
Enrichissement pertinent
Efficacité,
Fédération,
Dynamisme,
Apprentissage,
Appropriation.
50
51. Le consultant JC AUTRAN
1. 22 ans d’expérience ISO (depuis 1993)
2. Auditeur IRCA
3. Expert des Nations Unies en qualité ISO (chef
de mission).
4. Certifié VERITAS pour ISO: 2008.
5. A vécu des certification interne d’entreprise Manager délégué
Amsco -UNDP. ( Cotesud et Tami Knitwear, Sanca, UMS…).
6 Certification ISO : 2015 par PECB (en cours)
…
51
52. L’équipe
Autour de Jean Claude AUTRAN et Laurent GAJAC
se regroupent une quinzaine de consultants
sélectionnés pour leur professionnalisme, leur
valeur et leur capacité à intervenir en totale
autonomie dans l’esprit de notre entreprise.
Ils sont eux-mêmes dirigeants de leur propre
société de conseil et choisissent de travailler avec
JCA INSTITUT par goût pour le cœur de notre métier
: l’organisation et la normalisation.
52
53. Les formations
ISO 9001 V 2015- Système de Management de la Qualité
ISO 13053 - Six Sigma
ISO 26000 - Responsabilité sociétale
ISO 14001 - Système de management environnemental
OHSAS 18001 - Santé et sécurité au travail
ISO 27005 - Gestion des risques
ISO 31000 - Management du risque
53
54. Iso 9001 Version 2015
• Qui devrait y participer ?
• Les personnes responsables de la transition du
SMQ et du respect des nouvelles exigences
dans leur organisation ;
• Les personnes qui envisagent de mettre en
œuvre un nouveau système de management
de la qualité ;
• Le personnel des opérations
• Les représentants de la direction
54
55. …
• Objectifs de la formation
• Identifier les modifications prévues par la prochaine
publication de la révision de la norme ISO 9001.
• Comprendre la mise en œuvre du Système de Management
de la Qualité, conformément à la norme ISO 9001:2015
• Acquérir une compréhension exhaustive pour interpréter,
planifier, et mettre en œuvre les modifications de la norme
ISO 9001:2015.
• Identifier de quelles façons ces modifications pourraient
avoir un effet sur le système de management de la qualité
de l’organisation.
• Définir l’échéancier pour la mise en œuvre et les incidences
du système de management ISO 9001.
55
56. Dates
• En Septembre
Cours de transition de la norme ISO
9001:2008 à la norme ISO 9001 : 2015.
56
Fin présa
Voir notre site : www.jca-institut.com
Annexe SL , guide des auditeurs IRCA, les chapitres, la correspondance aux autre normes ex 14001, on verra cela plus tard
BS = British standard
On voit sur la coté gauche de l’écran les 10 chapitres de l’ISO 9001 version 2015.
Dans l’amélioration la gestion du risque est maintenant intégré
On en parlera en détails plutard
Un juge ou un chirurgien ou un consultant…
Au vu de la parution de la norme 2015 vous avez un délais de trois ans pour re modeler votre système…
Evolution pour augmenter la confiance et notion de services renforcés , harmonisation des différentes normes de système de management
Encore plus d’implication de la direction
Plus d’outils dont le PDCA , l’AMDEC et le SIX SIGMA sont à prendre en compte
La sous traitance et le Sav deviennent une exigences
Annexe SL = ou HSL La structure HLS (High Level Structure) propose un cadre commun pour les normes relatives aux autres systèmes de management.
Y compris la nouvelle norme ISO 45000 (SO 45001. Using OHSAS 18001 ). et définition de l’organisation des chapitres (10 pour 2015).
Certaines sont déjà alignées sur la HLS, comme l’ISO 27001 (management de la sécurité des informations) d’autre le seront dès leur prochaine édition, comme les très attendues ISO 14001 (management environnemental).
Cet article propose de résumer la structure HSL, en s’appuyant sur l’annexe SL 2014 des normes ISO 9001, ISO 14001 et ISO 9000 (management de la qualité – Principes essentiels et vocabulaire).
(connu anciennement comme ISO Guide 83)
Cette nouvelle norme de management intégré présente les dispositions pour satisfaire les exigences des normes :
ISO 9001 - 2008 pour le management de la qualité,
OHSAS 18001 - 2007 pour le management de la santé et la sécurité au travail, bientôt ISO 40001 pour le QSST
ISO 14001 - 2004 pour le management de l’environnement,
ISO 50001 - 2011 pour le management de l’énergie,
ISRS8 de DNV.
Le domaine d’application de ce concerne l’ensemble des Manuel de Management intégré
Dans la prochaine version de l'ISO 9001:2015 qui paraîtra en Sept 2015, il n'y aura plus aucune procédure obligatoire.
Il est toujours difficile de se débarrasser d’habitudes prises par le passé et le manuel qualité fait encore partie de celles-ci.
On trouve encore de-ci et de-là des arguments tels que : « Les auditeurs en ont besoin ! », ce qui est malgré tout un peu vrai !
La plupart du temps on retrouvait un manuel qualité qui récitait les chapitres de la norme en essayant tant que mal (et souvent assez mal ....) d'intégrer les spécificités de l'entreprise et trop souvent un document de plusieurs dizaines de pages ennuyeux, peu consulté et très mal compris par la majorité des acteurs de l'entreprise.Rarement une approche vraiment "qualité" et encore moins une amélioration continue.
En 2015, une démarche en quatre étapes itératives, respectivement baptisées Plan, Do, Check et Act. Soit en français : Planifier , Développer, contrôler, Ajuster.
Exclusions : encore un terme disparu ! En fait simplement remplacé par la notion d’applicabilité par retournement de perspective. L’annexe A.5 d’ISO 9001:2015 clarifie cette notion d’applicabilité et ses limites. Cette non applicabilité d’une exigence ne peut avoir pour effet « l’impossibilité pour l’organisme d’obtenir des produits et services conformes ou d’accroître la satisfaction de ses clients ». Comme dans les versions précédentes.
Expérience : savoir acquis par la pratique et/ou l'observation. Elle est individuelle (elle est propre à chacun)
Connaissance :Ensemble des représentations, idées ou perceptions acquises par l'étude ou l'expérience (elle est plus facilement partageable, elle reste lorsqu'on est parti)
Compétence : Expérience + Connaissance
Jusqu'ici, chaque organisme visant l'ISO 9001 s'intéressait au management des compétences, sans vraiment se préoccuper des connaissances. Ce n'est plus possible avec la version 2015 qui consacre tout un paragraphe à ce thème (iso DIS 9001 § 7.1.6)
Sur ce point, l'iso 9001 version 2015 exige de tenir compte des sources internes (retours d'expérience….) comme des sources externes (norme, conférence, enseignement, ….).
Knowledge Management : La notion de maîtrise du savoir, de la connaissance est un élément des processus supports.
Services : Le processus ne permet pas uniquement de créer un produit mais aussi un service, la production est remplacée par l’Opération incluant la gestion du changement.
On voit ici l’alignement avec l’ISO 20 000, ITIL.
Nous vous conseillons Mouvement quebecois de la qualite leadership et Avantage du quali-mètre: est de rapidement cerné les forces et faiblesses de l’organisme afin d’en dégager des indicateurs pertinents pour l’amélioration continu.
Questions et indicateurs bien fait par le MMQ.
Le leadership remplace la « responsabilité de la direction »
Risk based thinking : Tous les processus n’ont pas le même impact sur la qualité, le risque doit permettre de déterminer le degré de formalisation, de contrôle.
Nous allons y revenir
Procedures conseillés: les termes enregistrements et documents remplacés par « Information documentée »
Documented Information : La gestion de la documentation est étendue à tous types d’information ; que l’information soit présente au sein d’une application ou non. Cela fait suite aux évolutions technologiques.
Il est toujours difficile de se débarrasser d’habitudes prises par le passé et le manuel qualité fait encore partie de celles-ci. On trouve encore de-ci et de-là des arguments tels que : - Les auditeurs en ont besoin ! - Les clients y découvrent le système de management de la qualité ! - Les employés nouvellement embauchés y apprennent le fonctionnement de l’organisme, etc.
Voilà une proposition de 10 astuces pour gagner en efficacité :1. Supprimez les références : donnez un titre et date. Le document est ainsi parfaitement identifié et cela suffit2. Supprimez les signatures : stockez les documents sur un espace partagé réservé aux documents valides. Le transfert dans cet espace a valeur de validation3. Eliminez de façon simple et fiable les documents obsolètes, avec la même méthode que ci-dessus. Il suffit de retirer de cet espace tout document obsolète : c'est bien plus rapide que les systèmes de diffusion contrôlée4. Insérez dans le pied de page le texte suivant "seule la version informatique fait foi", cela évite d'avoir des conflits entre un document imprimé resté non à jour et le fichier informatique qui lui sera plus vite à jour5. Lorsqu'un document est terminé et validé, transformez le en PDF pour éviter les modifications intempestives, et conservez le fichier source dans un espace non public6. Supprimez la procédure de gestion documentaire : un paragraphe dans le MQ peut la remplacer7. Si vous utilisez des fiches processus pour la description de vos processus pensez à y inclure 2 champs pour les procédures et les enregistrements spécifiques au processus. Cela peut aussi servir d'aide mémoire.8. Si vous pratiquez les "revues de processus", pensez à inclure dans la liste des thèmes de la revue l'examen de la nécessité de mettre à jour les documents. Cela évite faire une réunion spécifique sur le sujet.9. Pour la rédaction des documents, limitez-vous volontairement aux outils "universels" comme par exemple Word et Excel ou leurs équivalents gratuits (Open Office, Libre Office, …) : vous serez ainsi sûr que tout le monde pourra facilement tenir à jour les documents.
Maitrise de la Sous traitances
maitrise du SAV
Le traitement des activités sous-traitées (outsourcing) est mieux défini dans la nouvelle norme et examiné sous l’angle des risques. Dès que l’activité a un impact sur la qualité de votre produit ou de votre service – également si elle concerne les «projets et développements» –, vous devez définir un «span of control» et déterminer quelles actions de contrôle vous mènerez.
Business : la qualité doit être intégrée dans les processus business et alignée sur la stratégie de l’entreprise ayant un focus qui n’est plus uniquement centré sur le client mais sur toutes les parties prenantes.
Italiques ajoutés par nous
Naturellement, l’analyse, la description et l’amélioration des processus mettent également l’accent sur les risques et sur les performances: il est bien de mesurer, mais l’objectif est d’améliorer les prestations et d’atteindre des résultats. Cela explique l’accent sur les indicateurs de prestation figurant dans le chapitre relatif à la mesure.
Le mot continue disparait
L’AMELIORATION CONTINUE c’est la fameux mot kaizen qui est la fusion des deux mots japonais kai et zen qui signifient respectivement « changement » et « bon ». La traduction française courante est « amélioration continue ». En fait, par extension, on veut signifier « ANALYSER POUR RENDRE MEILLEUR »
Manuel Qualité : seconde disparition ! Le terme « manuel qualité » a bien disparu d’ISO 9001 mais ce qui était exigé le concernant l’est toujours. On parle dorénavant d’ « information documentée » pour présenter par exemple le domaine d’application du système de management de la qualité (chapitre 4.3) et le système de management lui-même avec ses processus (chapitre 4.4). La précision relative à la documentation du « juste nécessaire pour soutenir le fonctionnement des processus », en fin de ce chapitre, fait plaisir à lire. Encore une fois, aucune raison de crier au scandale.
Procédures et enregistrements : terminé aussi pour les procédures ? Pas vraiment, comme pour les éléments précédents, si le terme a disparu dans ISO 9001 : 2015, il n’en est évidemment pas de même pour la nécessité de documenter comment sont réalisés les opérations et contrôles. Le terme « information documentée » apparait dans cette nouvelle version et recouvre l’équivalent des « procédures documentées » et les « enregistrements » exigés dans ISO 9001:2008. Les exigences qui s’appliquaient à ceux-ci sont décrites de manière semblable dans le chapitre 7.5. Pas de changement plus profond ici que le terme utilisé, lorsqu’il est question de conserver des informations documentées, il s’agit des «
enregistrements » de la version précédente.
Fournisseur » est maintenant remplacé par « prestataire externe », « produit acheté » par « produits et services fournis par des prestataires externes ».
Vous l’aurez compris, comme en 2000 avec l’arrivée de l’approche processus, la catastrophe annoncée par certains n’aura pas lieu pour ces changements. Il suffit de lire les annexes de ISO 9001:2015 dans la version DIS et d’ouvrir ISO 9000 dans la même version pour s’en convaincre. Et, en bonus, trouver l’indication que l’organisme peut utiliser les termes qu’il veut.
Durant les dernières décennies, la notion de « responsabilité » s’est développée : responsabilité des individus, des parents, des citoyens, des entreprises et organisations, des États, etc. Le champ de cette responsabilité s’est également étendu, de la responsabilité purement juridique (« hard law ») à la responsabilité plus sociétale (« soft law ») : sociale, environnementale ou même morale et éthique.
Il paraît donc logique que tous les textes qui traitent de responsabilité entrepreneuriale consacrent une large partie de leurs pages aux acteurs en charge de cette « responsabilité » et aux systèmes de prise de décision.
Les RAQ ne seront pas pour autant au chomage car il faudra toujours gerer la norme
Le « leadership » (anglicisme passé dans le langage courant) va remplacer la « responsabilité de direction » dans la future version de la norme de système de management de la qualité.
« La direction » est de nos jours une expression un peu galvaudée et usée par son excessive utilisation au bas des courriers d’entreprises ou d’organismes, dans les conversations de couloirs et même pour la signalétique des parkings réservés. En outre, le leadership pourrait devenir un des principes fondamentaux du man
Un autre point de rapprochement avec le modèle EFQM est le lien exigé par la future NF EN ISO 9001:2015 entre la vision politique et stratégique de l’organisation et les aspects opérationnels. « La politique et les objectifs qualité […] sont compatibles avec l’orientation stratégique et le contexte de l’organisme. » En effet, une des lignes directrices d’excellence managériale prônées de longue date par l’EFQM est le déploiement opérationnel des approches du management de la qualité.
Représentant de la direction : disparition totale d’ISO 9001 ? Oui dans la forme mais en fait non. En fait, seul le terme à disparu puisque le contenu de ce rôle tel qu’il existait dans ISO 9001:2008 est décrit dans le chapitre « 5.3 Rôles, responsabilités et autorités au sein de l’organisme ». De plus, ISO/DIS 9000 ajoute la note suivante à la définition du mot direction : « La direction a le pouvoir de déléguer son autorité et de fournir des ressources au sein de l’organisme ». Par exemple déléguer ce qui a trait au SMQ à un responsable de la qualité le représentant dans ce cadre. Pas de révolution.
La vraie difficulté viendra de la capacité des entreprises à utiliser les exigences relatives aux risques et à la prise en compte du contexte et des parties prenantes. Ce qui revient en quelque sorte à faire du SMQ un vrai outil de management de l’entreprise.
Le premier étant une cartographie matricielle du processus de management des risques qui est développée en fonction d’une analyse approfondie de la norme ISO/DIS 9001:2015 , ainsi que les normes de management des risques (ISO 31000..etc.).
Faire un outil de management des risques.
Les étapes d’élaboration de ces outils s’englobe dans 5 phases du cycle SCDCA avec Study (étude des normes), Compare (benchmarck des méthodes d’évaluation des risques), Do (élaboration des outils), Check (test des outils) et Act (amélioration selon les retours).La cartographie de processus de management des risques, les analyses des différentes méthodes qui existent, et l’outil développé visent à généraliser l’approche de la gestion des risques, pour pouvoir être utilisé dans tout secteur d’activité, en dépit de la taille de l’entreprise.
Prise en compte du management des risques (en lieu et place des actions préventives);
Non exhaustif exemple
Bien que le concept du risque est implicite dans la norme actuelle, la prochaine version de la norme ISO 9001 la rendra plus explicite. La norme conserve comme toile de fond l’orientation client et intègre maintenant le management du risque au coeur du management de la qualité.
La connaissance et la créativité
Sur ce point, l'iso 9001 version 2015 exige de tenir compte des sources internes (retours d'expérience….)
comme des sources externes (norme, conférence, enseignement, ….).
A noter toutefois qu'il ne suffit pas d'emmagasiner des connaissances et des savoir pour constituer de la valeur. Alors profitons-en vraiment faire grandir nos organismes par une plus grande création de valeur
Ce n'est pas une exigence formelle de l'iso 9001 v2015, et n'attendons pas que ça le soit !
En effet, il y a deux manières de prendre en compte les exigences d'une norme :
respecter à la lettre et strictement à la lettre les exigences normatives... et connaître le pire ;
en comprendre l'esprit et en tirer le meilleur profit … pour le meilleur !
Prise en compte du management des risques (en lieu et place des actions préventives);
Prise en charge du management du changement.
La formalisation exigée des processus d’innovation et la prise en compte, encore plus forte, des attentes des clients (cf. solution intra’customers) devraient inciter les organismes à répondre aux changements rapides et ainsi gagner en agilité.
La notion étendue de «partie intéressée» y est étroitement liée et constitue un fondement important de l’analyse des risques. Dans l’ISO 9001:2008, le système de qualité est clairement axé sur le client, alors que dans la nouvelle norme, tous les acteurs qui contribuent à fournir de la qualité au client sont des «partie intéressée», également les fournisseurs, le législateur, les sous-traitants, etc.
Nouveau c’est l’Ajout des risques
Gestion des RH et connaissances
Support informatique …
La documentation à minima
1 mini manuel
Quelques procédures
Les processus métiers
On ajoute en gouvernance
Le contrôle, …swot etc…
La satisfaction client
Et l’audit interne : en fait l’AMELIORATION
J’ajoute sur le process gouverner
Analyse des données stats financières etc…
Et la revue de direction
Il me reste a ajouter les non conformités et AED (gestion des Ecarts et Derogation) du chapitre 10
Et j’ai terminer mon process: iso 9001 version 2015
Le benchmarking, la référenciation, l'étalonnage
est une technique de marketing (mercatique) ou de gestion de la qualité
qui consiste à étudier et analyser les techniques de gestion, les modes d'organisation des autres entreprises afin de s'en inspirer et d'en tirer le meilleur.
C'est un processus continu de recherche, d'analyse comparative, d'adaptation et d'implantation des meilleures pratiques pour améliorer la performance des processus dans une organisation.
Un benchmark est un indicateur chiffré de performance dans un domaine donné (qualité, productivité, rapidité et délais, etc.) tiré de l'observation des résultats de l'entreprise qui a réussi le mieux dans ce domaine.
Cet indicateur peut servir à définir les objectifs de l'entreprise qui cherche à rivaliser avec elle.
Financement sur fond de formation
On vous enverra une convention de formation sur notre sté de formation Conseil et services
Un manuel de 120 pages
Durée 2 fois 6 h , 2 jours PECB
Cout 900 euros jour
Une attestation ou certification (avec examen 2 h)en cas d’échec possibilité de repasser l’examen sous certaines conditions