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L'entretien d'embauche bien se préparer - www.poledocumentation.fr

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L’entretien d’embauche

Illustrations : Freedigitalphotos.net
Vous avez envoyé une candidature et êtes convoqué(e) à un entretien ? Bravo !
Mais ce n’est que le début…
Quelques conseil...
L’objectif de la deuxième phase est de collecter des informations utiles lors de l’entretien : vous
saurez déjà ce que fai...
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  1. 1. L’entretien d’embauche Illustrations : Freedigitalphotos.net
  2. 2. Vous avez envoyé une candidature et êtes convoqué(e) à un entretien ? Bravo ! Mais ce n’est que le début… Quelques conseils : S’informer sur l’entreprise Quelles informations chercher… Comme le conseille très justement Les Ptits Tuyaux (http://lesptitstuyaux.fr/entretien-embauche), « la première chose qu’il faut avoir en tête est qu’on ne va pas à un entretien en mode ‘passif’. Il faut à tout prix éviter de se dire ‘je ne sais pas exactement ce que fait l’entreprise mais on verra pendant l’entretien’ ou encore ‘je n’ai pas bien compris en quoi consiste le poste mais on me l’expliquera pendant l’entretien’ ». Pourquoi chercher des informations sur une entreprise ? C’est essentiel dans un processus de recherche d’emploi ! Connaître l’entreprise dans laquelle vous postulez vous apporte des arguments à présenter tant pour votre candidature que lors d’un éventuel entretien. Connaître votre interlocuteur au sein de cette entreprise (votre futur N+1, ainsi que le chargé de recrutement) vous permettra également de trouver des points communs à évoquer lors de l’entretien d’embauche… et ce genre de petit « plus » peut parfois faire toute la différence avec un autre candidat. En outre, vous présentez votre candidature comme professionnel de l’infocom, vous devez donc être en mesure de trouver ces informations dans le but de prouver de façon très simple à votre interlocuteur que vous avez réellement des compétences dans ce domaine ! De quelles informations avez-vous besoin, où les trouver ? Le but de la première phase de recherche est de connaître le minimum utile et « pratique sur l’entreprise visée. Ces informations sont également celles qui doivent figurer dans votre tableau de suivi des candidatures.
  3. 3. L’objectif de la deuxième phase est de collecter des informations utiles lors de l’entretien : vous saurez déjà ce que fait l’entreprise et connaîtrez ses produits ainsi que son actualité récente… vous ne serez ainsi pas pris au dépourvu si votre interlocuteur vous parle du dernier contrat signé par l’entreprise ! Les informations de la troisième phase vous permettront par exemple d’avoir des arguments à présenter en entretien, car ils vous donnent la possibilité d’analyser un éventuel besoin de l’entreprise ou encore ses objectifs de développement à court, moyen ou long terme.
  4. 4. Comme le conseille notamment Yves Gautier, coach en entretien d’embauche, tous ces éléments doivent vous permettre de déterminer la problématique actuelle de l’entreprise (par ex : elle souhaite toucher des clients plus jeunes), ainsi que d’apercevoir ce qui selon vous manque dans l’entreprise (par ex : « mon point de vue est que la gamme de vos produits est trop large. Il faudrait la recentrer sur 2 ou 3 produits »).
  5. 5. Se renseigner sur son interlocuteur… Selon les entreprises, vous serez amenés à entrer en contact avec différents interlocuteurs. Vous devez, dans la mesure du possible, réunir des informations avant de rencontrer ces personnes. Il faudra d’abord s’intéresser aux dirigeants. Il peut y en avoir un (PME, TPE) ou plusieurs (comme dans les grandes entreprises ou bien dans des Scop, etc…). Vous pourrez ensuite chercher qui dans l’entreprise s’occupe des recrutements. Dans les grands groupes, c’est souvent un responsable des ressources humaines. Pour les PME, c’est plus flou. Vous pouvez éventuellement consulter d’anciennes offres d’emploi, et vérifier qui est le contact indiqué. Enfin, il vous faudra réunir des informations sur votre probable N+1, c’est-à-dire votre responsable direct. Ça peut être un responsable d’équipe ou de service. Ça peut également être un salarié, comme vous, mais qui dispose d’une expertise particulière et sera donc en mesure de chapeauter votre travail. Les réseaux sociaux sont vos alliés pour cette étape : visitez les profils professionnels du recruteur, ainsi que de vos futurs collègues. Les différents éléments qui y figurent vous permettront d’obtenir de précieuses informations, pour mieux comprendre votre futur rôle ! Relire l’offre d’emploi Relire l’offre d’emploi est indispensable. Vous pouvez également l’imprimer pour l’avoir sous les yeux lors de l’entretien. Si vous ne l’avez pas encore fait, utilisez aussi la technique de « lettre de motivation en quicklaunch », pour déterminer les différentes exigences du poste et vos compétences à mettre en parallèle :
  6. 6. Comment faire ? Vous aurez besoin pour ce « quicklaunch » d’un logiciel de traitement de texte type Word. Vous y créerez un tableau de 3 colonnes. • Dans la 1ère colonne, vous insérerez les exigences du poste décrites dans l’offre d’emploi. Il faudra bien sûr réserver une ligne pour chaque critère : ex travail en équipe, capacité d’innovation, création d’une base de données, etc. • La 2e colonne servira à reformuler ces exigences à l’aide de vos propres mots et d’un dictionnaire des synonymes. • La 3e colonne accueillera vos expériences, compétences ou qualités qui peuvent coller avec les exigences. Vous obtenez ainsi un document que vous pouvez utiliser pour plus aisément énumérer vos arguments pendant l’entretien. La deuxième colonne vous permet de montrer au recruteur que vous avez compris l’enjeu du poste et que vous vous l’êtes approprié. Tableau de motivation Exigences du poste Synonymes Mes expériences, compétences Promotion en ligne de l’image de marque de l’entreprise E-réputation, présence en ligne, identité numérique de l’entreprise Community manager chez société X, création d’une identité numérique Bonnes qualités de synthèse Résumé, abrégé, rédaction… Twitterophile, je suis capable d’abréger en 140 caractères une information importante sans en perdre le sens premier.Chez société X, j’ai créé une revue de presse où je proposais un résumé des articles sélectionnés. Préparer des documents Checklist des documents et outils à réunir pour l’entretien : Le CV que vous avez envoyé au recruteur Un CV complet, à ne donner que sur demande du recruteur, avec de nombreux détails et une liste détaillée de vos compétences, liées à des exemples concrets lors desquels vous les avez mises en œuvre Des lettres de recommandations Les noms d’anciens collègues ou responsables que le recruteur peut contacter
  7. 7. Des documents professionnels ou scolaires pouvant intéresser le recruteur : portfolio, documents de projets tutorés, etc… Un référentiel métier, si vous avez envoyé une candidature spontanée par exemple Votre agenda, pour une prise de rendez-vous ultérieure Un bloc-notes, pour noter les éléments importants évoqués pendant l’entretien Questions… Se préparer Préparer des réponses aux questions les plus souvent posées en entretien Pour cela, visitez le blog Questions d’Emploi de Gilles Payet : http://questionsdemploi.typepad.fr/questionsdemploi/les-25-questions-les-plus.html Préparer des questions « intelligentes » à poser à la fin de l’entretien Questions-types dont vous pouvez vous inspirer : projets de l’entreprise à court-moyen-long terme, collègues-équipe avec lesquels vous serez amené(e) à travailler, objectifs du poste ou résultats concrets attendus de votre travail, compétences et qualités attendues du candidat retenu, suite du processus de recrutement... Pitch… Adaptez votre pitch au poste visé et à la situation de l’entreprise mettez-le en oeuvre à la question fatidique « présentez-vous » !
  8. 8. Le pitch est aussi appelé Elevator Pitch. Imaginez que vous êtes dans l’ascenseur avec le recruteur pour le job de vos rêves. Il ne reste que quelques étages à descendre et c’est votre unique chance de vous adresser à cette personne : vous avez moins de deux minutes pour être percutant(e) et ainsi attirer son attention sur votre expertise et votre projet professionnel… Point important : tout comme le CV et la lettre de motivation, le pitch doit être personnalisé pour être adapté à chaque situation. Il permet d’obtenir l’écoute de votre interlocuteur. Erreur à ne pas commettre : réciter son CV de manière chronologique. Aïe ! C’est ennuyeux et ça fait perdre du temps. L’idée principale du pitch est de mettre l’accent sur vos points forts lors d’une introduction qui dure généralement entre 30 secondes et 2 minutes maximum. Pour préparer votre pitch, rédigez-le d’abord puis apprenez-le par cœur pour vous l’approprier. Présentez-le ensuite devant une personne en la laissant vous interrompre, ce qui vous permettra d’être plus naturel et d’adapter votre discours en fonction de ses questions. Rédaction du pitch : • Posez-vous les questions suivantes, à l’appui de votre CV et de votre parcours de formation… Quel est mon cœur de compétence, mon projet professionnel ? Par exemple, je suis spécialisé dans la mise en valeur d’une marque sur les réseaux sociaux et sur Internet. Mon métier consiste à manager les communautés d’amateurs de la marque, de répondre à leurs besoins et de leur proposer un contenu lié à l’actualité de la marque ainsi qu’à leurs demandes. Quelles sont mes forces professionnelles ? mes expertises ou spécialisations ? Par exemple, je dispose d’une spécialisation webmarketing.
  9. 9. Quelles sont les deux ou trois étapes marquantes de mon parcours (formation principale, expériences professionnelles, etc.) ? Par exemple, j’ai validé une licence professionnelle en animation de communautés. J’ai étoffé mon expérience professionnelle d’un stage comme Assistant Community Manager dans l’entreprise LMN où j’ai pu mener une opération de promotion de la nouvelle page Facebook. J’ai ainsi généré 450 likes en deux mois. Quelles sont les professionnels de mon réseau dont je peux citer le nom ? les ouvrages ou autres documents consultés que je peux mentionner car ils sont en lien avec le poste ou mon expertise ? Par exemple, je suis actif sur les réseaux sociaux, mais je n’en délaisse pas moins mon réseau physique. Ainsi, lors d’un événement réseau, j’ai pu rencontrer Mr Community Manager qui m’a parlé de votre entreprise… • Une fois que vous aurez la liste des thèmes à aborder dans votre « elevator pitch », vous pourrez résumer en une phrase l’essence de votre identité professionnelle. Il s’agit du « chapeau », qui permet en quelques mots simples mais percutants de dresser votre portrait. Par exemple, je suis Amélie Dubalcon, jeune diplômée d’une licence pro, j’ai pour objectif d’occuper un poste de community manager dans le secteur du social commerce. D’autres exemples de pitch sont disponibles ici : Archiviste : http://www.poledocumentation.fr/pitch-metier-3-exemples-points-fortsarchiviste Community Manager : http://www.poledocumentation.fr/pitch-metier-3-exemples-pointsforts-community-manager Knowledge Manager : http://www.poledocumentation.fr/pitch-metier-3-exemples-pointsforts-knowledge-manager • Pour résumer, comme le conseille Yves Gautier dans sa vidéo « Parlez-moi de vous, se vendre en 2 minutes, exemple de présentation, simulation Assistante », vous pouvez donc commencer par annoncer votre poste (ou le poste que vous visez), parler rapidement de votre parcours de formation (et plus particulièrement celui en lien avec le poste), évoquer vos années d’expériences et les domaines d’activités ou un autre élément qui peut être important (pour l’exemple d’assistant de direction qu’évoque Yves Gautier, il cite notamment le nombre de salariés). Enfin, vous pourrez parler de votre spécialisation et finir par un petit plus (dans l’exemple d’Yves Gautier, une sensibilité commerciale du profil est mise en avant). http://www.youtube.com/watch?v=AYtAhi-YE9U
  10. 10. Coaching… Afin d’être préparé(e) au mieux, n’hésitez pas à visionner quelques vidéos de coaching sur l’entretien. La chaîne Youtube d’Yves Gautier est une véritable base de données des différentes situations que l’on peut rencontrer en entretien… http://www.youtube.com/user/QuestionEntretien Négociation / Salaire… La négociation pour le salaire doit être lancée à l’initiative du recruteur. Il sera toujours temps pour vous, au moment où l’on vous annoncera que vous êtes retenu(e) pour le poste, de lancer les négociations. Certains recruteurs peuvent en effet être « refroidis » si vous posez la question dès le premier entretien… Si vraiment cet élément est très décisif pour vous, vous pouvez éventuellement poser la question de façon intelligente : « je pense avoir connaissance des éléments les plus importants concernant le poste. Pourriez-vous toutefois me donner un aperçu du niveau de salaire prévu ? ». Il est malgré tout indispensable de préparer vos prétentions salariales, afin d’être capable de répondre si le recruteur vous les demande ! Sur PoleDocumentation.fr, vous trouverez des exemples de rémunérations par métiers dans l’information-communication. Quelques métiers ci-dessous : http://www.poledocumentation.fr/quelles-sont-vos-pretentions-salariales Documentaliste : Avec 9 ans d’expérience et 8 ans d’ancienneté dans la TPE où il travaille comme documentaliste, Olivier annonce un peu plus de 1.500€ nets par mois, sans compter sa prime annuelle d’environ 1.000€ brut. Il a validé une licence en Infocom. Deux documentalistes, travaillant dans des PME mais souhaitant rester anonymes, expliquent toucher l’un 1.300€ (avec un 13e mois) et 11,87€ brut de l’heure pour l’autre. Ils ont respectivement moins d’un an d’ancienneté et un niveau licence pro pour l’un, tandis que l’autre a validé un Bac+5…
  11. 11. Etre documentaliste dans un grand groupe permet apparemment à Odile d’obtenir un salaire de 2.200€ brut par mois (35h) sur 13 mois, avec mutuelle. Un CE permet de bénéficier d’autres avantages. Dans un autre grand groupe, le salaire net de base d’une documentaliste (Justine) atteint les 2.300€ avec une prime d’ancienneté de 300€ net et une prime annuelle de 2.300€ net. La personne qui me donne ces chiffres affiche 28 années d’expérience au compteur, dont 22 ans dans l’entreprise actuelle. Elle a validé une licence professionnelle de documentaliste d’entreprise. Seize ans d’expérience, dont 4 ans comme responsable des ressources documentaires dans sa PME actuelle, Elodie (titulaire d’une maîtrise des sciences de l’information et de la documentation) peut compter sur 2.200€ nets mensuels sur treize mois. Chargé de veille : Deux chargés de veille acceptent de lever le voile sur leur fiche de paie : Régis m’indique bénéficier d’une rémunération annuelle brute de 33.000€ répartie sur 13 mois, avec une part variable (sur objectif) pouvant atteindre au maximum 8% de sa rémunération annuelle. Après un DESS à l’INTD, il a engrangé 10 ans d’expérience, dont 5 ans sur le poste actuel de chargé de veille en propriété industrielle pour un grand compte international. Pour sa part chargé de veille dans une PME, Adrien dispose de deux Master 2 en intelligence économique et en marketing stratégique. Il gagne 1.400€ net après 7 années d’expérience. Archiviste : Dans le secteur des archives, les paies des personnes interrogées varient de 1.545€ brut (archiviste documentaliste en PME, 6 ans d’expérience et niveau licence professionnelle) à 2.078€ net (assistante archiviste pour une grande entreprise, 1 an d’expérience, licence Geiadoc). Objections… Etre paré(e) à toute éventualité : repérez les points faibles de votre candidature (manque d’expérience, trop ou pas assez de diplômes, niveau de maîtrise de langue vivante non atteint, etc…) et préparez les réponses aux objections que pourraient vous faire le recruteur. N’oubliez pas de conclure votre argumentaire en rebondissant sur un point positif : « je n’ai certes pas le niveau demandé en Anglais, mais j’ai plusieurs contacts professionnels sur le marché néozélandais que vous visez ».
  12. 12. L’après La synthèse d’entretien… Saviez-vous que de plus en plus de recruteurs demandent aux candidats, plus vraisemblablement ceux en short-list, de rédiger une synthèse du ou des entretiens d’embauche passés dans l’entreprise ? Afin de ne pas vous trouver démuni(e) face à une telle demande, pensez à toujours emmener un petit bloc-notes avec vous lors de vos entretiens. Les informations relevées constitueront une précieuse aide pour ne rien oublier ! L’exemple de Fabienne Fabienne m’a justement envoyé un document qu’elle a réalisé après un rendez-vous avec plusieurs recruteurs d’une entreprise. Elle a choisi de structurer sa synthèse de cette façon : 1. Objet et date des entretiens, noms et fonctions des personnes présentes 2. Une rapide présentation du déroulé des entretiens 3. Une description de l’entreprise et de son activité, ainsi qu’une explication détaillée du futur poste, tel qu’il a été décrit par les recruteurs 4. Une synthèse des arguments présentés par Fabienne pour convaincre les recruteurs qu’elle était la bonne candidate Comment faire la synthèse d’un entretien d’embauche ? Même si cela ne vous a pas été demandé, il peut être intéressant de réaliser une petite synthèse de l’entretien d’embauche puis de l’envoyer dans le corps de mail, en version courte, à la personne qui vous a reçue. Dans le cas d’une synthèse demandée par votre interlocuteur, vous pouvez faire un peu plus long. Fabienne a rédigé deux pages de texte, mais une seule peut suffire. L’idéal est de réussir à résumer les besoins de votre futur employeur, et d’expliquer en quoi vos compétences correspondent au mieux… bref, d’en profiter pour mettre votre candidature en valeur, comme vous le feriez dans une lettre de motivation. Commencez par rappeler quels sont les enjeux du poste, les tâches principales. Expliquez en quoi cette mission vous intéresse (par exemple, mettre en œuvre telle compétence ou bien en développer de nouvelles). Enfin, n’oubliez pas de rappeler des exemples concrets d’utilisation de ces compétences dans un autre contexte par exemple. Soyez positif ! Une bonne synthèse peut parfois vous permettre de gagner des points suite à un entretien moyen : faites le maximum pour bien démontrer votre valeur ajoutée, les bénéfices que vous pourrez apporter une fois en poste. Ne rapportez donc pas uniquement les propos échangés pendant l’entretien, ajoutez un argumentaire encore plus convaincant et mieux structuré qu’à l’oral. Comment se démarquer ? Le risque est de rédiger un document très classique, scolaire même… Le conseil de Gilles Payet pour éviter d’envoyer un document ennuyeux ? http://www.questionsdemploi.fr/2013/06/test-enentretien-embauche-recrutement-voici-7-conseils-pour-faire-la-synthese-reunion-de-1h30.html « Le top pour moi : faire une présentation à ‘l’anglosaxonne’ : donnez tout de suite les conclusions ou les prises de décision puis les commentaires, les points de vue échangés par la suite. Une telle
  13. 13. présentation est plus efficace de mon point de vue qu'une présentation classique à la française : rapport des débats dans un premier temps et conclusion à la fin. A vous d'adapter ce séquençage en fonction du contexte. ». Un autre écueil à éviter : vous avez voulu rédiger un document parfait… il l’est… mais il arrive 15 jours après l’entretien et le recruteur vous a déjà oublié (et d’ailleurs, il se demande pourquoi vous réapparaissez soudain ??)… L’exercice est certes un moyen de faire preuve d’esprit de synthèse, mais aussi de montrer votre réactivité, et par là, votre réel intérêt pour le poste. Dernier piège : envoyer la synthèse sans vous fendre d’un petit mot pour le recruteur. Rappelez brièvement le contexte et remerciez pour le temps accordé. Indiquez également que vous restez disponible pour échanger sur ce point ou tout autre élément que votre interlocuteur jugera utile. Relancer le recruteur… De nombreux chercheurs d’emploi n’introduisent pas dans leur méthodologie de recherche la phase de la relance du recruteur. Le point sur cette étape indispensable, qui permet de montrer sa motivation, et quelques conseils pour vous rappeler à son bon souvenir sans pour autant le harceler… Quand dois-je recontacter le recruteur ? Après l’envoi d’une candidature, le délai idéal est situé entre 5 et 10 jours. Si une date limite de candidature est précisée dans l’offre, vous pouvez alors faire les démarches de prise de contact 2 à 3 jours après cette date. Toutefois, s’il s’agit d’une candidature spontanée avec un « bonus » (un travail concret envoyé avec la candidature visant à démontrer vos compétences), alors mieux vaut ne pas attendre plus de 3 jours. Au minimum pour s’assurer que votre dossier a bien été déposé sur le bureau de la bonne personne ! Après un entretien, il est conseillé d’envoyer un email dans les 24 à 48h pour remercier l’interlocuteur de son accueil, et réaffirmer sa motivation… le message doit être assez court, pour ne pas ennuyer. Comment le relancer ? Attention au téléphone ! Si vous n’êtes pas à l’aise, ou bien trop impatient, cela peut se retourner contre vous. Si vous choisissez quand même ce moyen de reprendre contact, préparez bien votre
  14. 14. discours : pensez à préciser en une phrase rapide d’introduction qui vous êtes et quel est l’objet de votre appel ; et surtout, prenez congé dès que vous avez obtenu la réponse à votre question, il est hors de question de tenir pendant de longues minutes votre interlocuteur au téléphone (sauf si lui en profite pour poser de nouvelles questions sur votre candidature). L’idéal est d’envoyer un email court, mais pas non plus « dépersonnalisé ». Si le recruteur reçoit un email qu’il perçoit comme « standard », il sera tenté de le mettre de côté pour répondre plus tard… et risque de vous oublier. Pensez à demander un accusé de réception et de lecture : recevoir ces confirmations vous rassurera pendant l’attente ! Et en attendant, je fais quoi ? Vous pouvez évidemment chercher si l’entreprise ou le recruteur disposent de profils sur les réseaux sociaux, et les demander en contact ou bien devenir fan de la page. Vous rappelez ainsi au recruteur le souvenir de votre candidature, lui permettez également d’obtenir plus d’information sur vous (si vous avez bien pris le temps de remplir votre profil en ligne), et de votre côté, vous pouvez peut-être trouver d’autres informations utiles sur l’entreprise… Ce document vous est offert par www.PoleDocumentation.fr

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