Les nombreux débats sur le travail ces dernières années ont rarement abordé la notion de bonheur, pourtant, le travail ne peut se réduire au stress, à la souffrance, voire au suicide. Il constituerait même un facteur de performance dans le cadre d’un cercle vertueux où le plaisir génèrerait de la performance qui augmenterait encore la possibilité d’entretenir le plaisir.