1. Le sommeil
Introduction
Salut tout le monde ; la première des choses je tiens à remercier notre professeur qui m’a permit
de prouver que je suis un facteur producteur dans la classe et non pas seulement un
consommateur ; souhaitant que mon exposé sera à votre intention malgré que c’est la première
fois que je participe à un travail pareil.
Quant au plan de mon exposé qui comporte quatre parties dont la longueur dépendra de
l’importance de chacun des aspects abordés :
Premièrement les phases du sommeil, puis le rôle du sommeil, en suite les rêves et dernièrement
les troubles du sommeil
Définition du sommeil
Sommeil a longtemps été considéré comme un arrêt de l'activité physique et
mentale. Les expérimentations effectuées ces dernières années ont montré que
le dormeur conserve un certain contact avec son environnement, c'est-à-dire que
des stimuli plus ou moins forts (comme des bruits) le réveillent pendant son
sommeil.
Même si certains progrès ont été effectués sur la compréhension du sommeil, il
n'en reste pas moins que celui-ci prend une place parfois magique dans l'esprit
de l'homme.
On sait aujourd'hui que le sommeil est constitué de différentes phases.
Il semble y avoir une influence génétique sur la durée nécessaire de sommeil, qui
varie d'un individu à l'autre. En moyenne, un adulte a besoin d'environ 7 heures
et demie de sommeil par 24 h. Il n'existe pour ainsi dire personne dont le besoin
de sommeil descend en dessous de la barre des trois heures.
Inversement, les personnes ayant besoin de 12 ou 14 heures de sommeil par nuit
pour être en forme pendant toute la journée, sans somnolence ni besoin de
sommeil intempestif, sont beaucoup plus nombreuses.
2. Les phases du sommeil
Notre sommeil se divise en trois phases : le « sommeil léger », le « sommeil lent
profond » et le « sommeil paradoxal ». L’alternance entre ces trois phases forme
un cycle de sommeil qui s’étale sur près de 90 minutes. Une nuit complète
correspond généralement à 4, 5 ou 6 cycles, soit l’équivalent de 6 à 8 heures de
sommeil.
Le sommeil léger. C’est le premier stade par lequel nous passons avant de nous
abandonner aux bras de Morphée. Il s’agit d’un état de somnolence. Cette phase
dure moins de 20 minutes en moyenne. Elle est caractérisée par des bâillements,
des picotements aux yeux, une diminution de la vigilance et de la fréquence
cardiaque.
Le sommeil lent profond. Beaucoup plus longue que la première, cette phase
s’étale environ sur 100 minutes au cours d’une nuit. Comme son nom l’indique, nous
sombrons alors dans un sommeil dont il est difficile d’émerger. La température
corporelle baisse, l’activité cérébrale diminue et la respiration se ralentit…
Le sommeil paradoxal. Cette phase est de loin la plus fascinante ! Contrairement
aux précédentes, elle se caractérise par une relance très importante de l’activité
cérébrale. Alors que nous sommes bien installés dans notre sommeil, c’est à ce
moment que les rêves se bousculent dans notre tête. Le pouls et la respiration
sont alors irréguliers. Le sommeil paradoxal représente en moyenne, 20% de
notre temps total de sommeil.
Le rôle du sommeil
Le sommeil est indispensable pour qui veut vivre en bonne santé. Nous passons plus d’un tiers de
notre vie à dormir et la qualité de ce dernier influencera directement notre qualité de vie.
Un sommeil de qualité permet à long terme de préserver notre santé mais aussi à court terme de
récupérer de la journée passée et de constituer l’énergie suffisante pour la prochaine.
Ainsi, bien dormir c’est un pari gagnant du court comme du long terme.
Le rôle du sommeil sur la santé
Le rôle et l’importance du sommeil sur la santé n’est plus à démontrer et nous savons qu’il assure
une fonction essentielle quant :
1. la croissance
3. 2. la maturation cérébrale
3. le développement et la préservation de nos capacités cognitives
4. la régulation de la température
5. l’ajustement de nombreuses sécrétions hormonales
•
Un manque de sommeil ou un sommeil de mauvaise qualité peut donc avoir un impact réel
sur la santé et sur le bon déroulement de la vie quotidienne.
Les rêves
Tout le monde rêve même si aucun souvenir n’en subsiste presque toujours au cours du sommeil
paradoxal ; beaucoup plus rarement pendant le sommeil lent.
Une période de sommeil paradoxal peut être occupée par un seul rêve mais le plus souvent ; elle
comporte des rêves nombreux ; dont il n’est pas possible de se rappeler le début et la fin.
Un sujet réveille au milieu d’un rêve se rappelle habituellement les événements ce songe avec une
grande précision et en couleurs. Les personnes aveugles de naissance n’ont bien sur pas de rêves
visuels ; mais seulement des rêves auditifs et olfactifs ou sensitifs. En revanche ; un sujet
devenu aveugle après l’age de sept ans peut continuer a rêver avec des images pendant 10 à 20
ans :
Certaines personnes sont occasionnellement ou habituellement ; conscientes de rêver ; comme si
elles assistaient à un film : c’est ce qu’on appelle le rêve lucide. Certains rêveurs lucides
parviennent même mais plus rarement à contrôler les images de leur rêve.
Pourquoi rêve-t-on ?
En 1900 ; Sigmund Freud révolutionnait l’approche du rêve en publiant (l’interprétation des rêves)
selon Freud le rêve révèle à travers son contenu manifeste un contenu latent ; expression de la
réalisation de désirs refoules. Mais sa théorie est loin d’expliquer la fonction biologique du rêve :
pourquoi rêve-t-on ? Et pourquoi le sommeil paradoxal est-il proportionnellement plus important
chez le nourrisson ? Selon Freud ; le rêve permettrait de stabiliser la mémoire à long terme ;de
revivre ou d’oublier des moments de la journée écoulée ou encore de reprogrammer
génétiquement le cerveau et de retrouver la part innée de sa personnalité .
Les troubles du sommeil
Sommeil peu réparateur ; insuffisant entrecoupé de réveils, éveils précoces, l insomnie est
multiple et constitue le plus fréquent des troubles du sommeil. Cependant, il en existe bien
d’autres, en particulier ceux qui sont liés à des problèmes respiratoires ou qui surviennent
pendant la journée (somnolence).
4. Les insomnies
L’insomnie d’endormissement, la plus fréquent ;une personne qui se couche vers 23h, par exemple,
ne trouvera le sommeil que vers 1h ou 2h du matin, est souvent la conséquence d’un état anxieux
ou d’une mauvaise hygiène de vie (consommation de tabac, l’alcool).
En revanche, une insomnie survenant dans la second partie de la nuit ;le sujet se réveille souvent
après un rêve vers 3h du matin,rumine des pensées réparateur en fin de nuit ; constitue parfois
le premier signe d’un état dépressif.
L’insomnie se traduit pendant la journée par des maux de tête, une irritabilité, une diminution de
la vigilance ou de performances ainsi que par une somnolence.
On évalue sa gravité en fonction de son retentissement sur la qualité de vie pendant la journée :
une insomnie qui n’entraîne pas des troubles de la veille doit être considérée comme bénigne ; il
est inutile de la traiter par des médicaments hypnotiques.
Somnolence diurne et narcolepsie :
Somnoler pendant la journée peut être conséquence d’un sommeil trop court, d’une grave
insomnie, d’horaires de sommeil irréguliers ou de la prise de médicaments hypnotiques. Dans
certains cas ; la somnolence découle d’arrêts respiratoires (apnée) survenant pendant le sommeil.
Beaucoup plus rarement, certaines personnes qui pensent souffrir de somnolence sont, en fait,
atteintes d’une maladie appelée narcolepsie, ou syndrome de Gélineau. Cette affection qui se
soigne aujourd’hui très bien, se caractérise par l’association de deux signes majeurs : des accès
de sommeil invincible et une cataplexie ; sous l’influence d’une émotion, le patient perd le contrôle
de son tonus musculaire, sent ses jambes devenir molles et peut s’effondrer .
Les troubles respiratoires
Certaines personnes, plus souvent lorsqu’elles sont obèses et ronflent, se plaignent d’un mauvais
sommeil entrecoupé de réveils fréquents, de maux de tête en fin de nuit, parfois d’une
importante transpiration nocturne. Elles souffrent en fait d’un syndrome d’apnée du sommeil, qui
consiste en arrêts respiratoires a répétition de 20 à 30 secondes survenant au cours du sommeil
paradoxal ou du stade 2 du sommeil lent, ce syndrome entraîne une diminution, parfois très
importante, de la quantité d’oxygène dans le sang. Un traitement est alors nécessaire et consiste
dans certains cas en une ablation chirurgicale de la partie basse du palais et de luette, ou uvulo-
palato-pharyngoplastie. Parfois, il est indiqué de faire respirer au patient de l’air par pression
positive à travers un masque pendant le sommeil.
Conclusion
5. Au terme de ce travail je veux bien vous donner quelques conseils pour bien dormir et par
conséquent mieux vivre :
Premièrement il est préférable de se lever et de se coucher à des heures fixes, et se lever tot.
Deuxièmement café, thé et tabac doivent être proscrits le soir.
Troisièmement il est conseillé d’avoir des activités physiques dans la journée.
Et dernièrement de boire une infusion calmante
Tout cela peut exercer un effet bénéfique sur la qualité du sommeil