2. Mélodie FAURY – faury @unistra.fr
D’où je parle ?
Quelles pratiques de Science ouverte ?
• De la biologie aux sciences de l’information et de la
communication
• Consultation en ligne : modifie profondément la
pratique de bibliographie
• Mise en ligne de mes articles – Archives ouvertes
• Blogging et effets du blogging – individuel et collectif
• Twitter & communauté en ligne
• Construction - Jury de la thèse
• CS d’Hypothèses
• Chargée de mission Sciences-société / Science ouverte
unistra
3. Contexte de découverte
de l’Open Access
• Acteurs réflexifs – sur la lecture et les nouvelles pratiques de recherche
• Approche par les pratiques de communication des chercheurs
• Rapports science et société
• Statut du savoir dans la société
• Problématique liés aux modèles économiques des éditeurs
• Questions autour de l’interdisciplinarité
• Des modifications de pratiques par le numérique
• Du rapport au savoir
• Du rapport à la publication à sa validation
• Légitimité et éthique
• Sciences citoyennes (ex A.Casili et sociologie en direct à partir des réseaux)
• (…)
4. Mélodie FAURY – faury @unistra.fr
Sommaire
Open Access et Archives ouvertes
Blogs
Réseaux sociaux
Outils collaboratifs
13. Mélodie FAURY – faury @unistra.fr - 27 octobre 2017
Pourquoi déposer ses travaux
dans les archives ouvertes ?
14.
15.
16.
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20.
21.
22.
23.
24.
25. Né en 1991 autour du projet ArXiv, formalisé en
2001 par la Déclaration de Budapest, inscrit
dans les recommandations européennes en
2012, et dans la loi française en 2016, l’accès
ouvert est le mouvement de diffusion gratuite
de la production scientifique sur le Web.
Source : Qu’est-ce que l’accès ouvert ? https://books.openedition.org/oep/1600
Accès ouvert
26. Source : Le livre de Peter Suber, Open Access, est un manuel qui s’adresse à la
communauté scientifique
L’open access : lève les barrières à l’accès et maintient toutes les protections
du droit d’auteur sur les textes, ce qui signifie qu’ils ne peuvent être
reproduits ou modifiés qu’après une autorisation explicite, dans le cadre d’un
contrat de cession de droit. La principale exception à cette protection est le
droit de courte citation, qui autorise les lecteurs à citer l’œuvre tant que
l’extrait cité reste bref.
L’accès libre : c’est un open access qui accorde aussi des droits
supplémentaires au lecteur, c’est-à-dire des libertés. Parmi elles, le droit de
partage, donc de diffusion publique, est le plus important. Certaines versions
de l’accès libre accordent même un droit de modification de l’œuvre originale,
mais il en est rarement question dans le cadre de la publication académique,
pour d’évidentes raisons d’intégrité documentaire.’’
Source : Qu’est-ce que l’accès ouvert ? https://books.openedition.org/oep/1600
Open Access
27. Le contexte numérique et les
nouvelles possibilités
‘’Le passage de l’imprimé au numérique nous permet de
proposer des copies parfaites de notre travail.
Le fait de passer de l’informatique individuelle à un réseau
global d’ordinateurs connectés nous autorise à partager ces
copies parfaites avec une audience planétaire pour un coût
quasi nul.
Cette possibilité de partage gratuit à l’échelon mondial a surgi
il y a une trentaine d’années avec l’apparition d'Internet.
Avant cela, il s’agissait d’une idée parfaitement utopique.’’
Source : Qu’est-ce que l’accès ouvert ? Peter Suber https://books.openedition.org/oep/1600
28. Le contexte numérique et les
nouvelles possibilités
• Biens non rivaux
• Change le rapport au savoir
• Le savoir a d’autant plus de valeur qu’il est partagé
• Au cœur de notre épistémologie et de nos pratiques
professionnelles de chercheurs
Source : Qu’est-ce que l’accès ouvert ? https://books.openedition.org/oep/1600
29. Les différentes voies
de l’accès ouvert
Dans l’histoire de l’accès ouvert, deux voies ont rapidement émergé.
La première est celle des archives ouvertes, sur le modèle d’ArXiv (1991). Elle consiste à
atteindre l’accès ouvert via le dépôt des articles par leurs auteurs dans une « archive
ouverte », c’est-à-dire un serveur dédié à la diffusion en accès ouvert des résultats de la
recherche.
La deuxième est celle de l’édition électronique ouverte. Elle consiste quant à elle à
atteindre l’accès ouvert par la diffusion en ligne de revues sans péage. La première voie a
reçu le sobriquet de « voie verte », la deuxième celui de « voie dorée ».
Dans la première, ce sont les auteurs qui agissent, en déposant leurs productions en ligne
dans la deuxième, ce sont les revues qui agissent, en choisissant un mode de diffusion
ouvert en ligne. Ce qui distingue la première voie de la seconde, la voie verte de la voie
dorée, c’est l’acteur qui décide du mode de diffusion.
Source : Qu’est-ce que l’accès ouvert ? https://books.openedition.org/oep/1600
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Réseaux sociaux
Outils collaboratifs
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Outils collaboratifs
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Réseaux sociaux
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34. 1/ Connaissez-vous les outils de travail collaboratif ?
2/ Quels outils collaboratifs connaissez-vous :
- pour l’écriture collaborative
- pour la prise de notes collective :
- pour le partage de fichiers :
- pour faire un brainstorming collectif :
- pour le partage d’agendas :
- pour la planification de réunions :
- pour la gestion de projets :
- pour l’organisation de réunions à distance :
3/ Quels outils collaboratifs utilisez-vous :
4/ Sur quels outils souhaitez-vous plus particulièrement un approfondissement au
cours du stage ?
Point de départ et intelligence collective
Source : formation Marie-Laure Malingre et Alexandre Serres – URFIST Rennes (2014-2016)
35. Outils collaboratifs de recherche
• Outils de stockage
et de partage de
fichiers
• Outils d’écriture
collaborative
• Outils de
brainstorming
collectif
• Outils de gestion de
projets
• Outils de gestion
d’agendas
• Outils de planification
de réunions
• Outils de réunions à
distance
Source : formation Marie-Laure Malingre et Alexandre Serres – URFIST Rennes (2014-2016)
38. •Quelques définitions du travail collaboratif :
– « un travail qui n'est plus fondé sur l'organisation hiérarchisée
traditionnelle, et plus spécifiquement un nouveau mode de travail où
collaborent de nombreuses personnes grâce aux technologies de
l'information et de la communication » (Wikipedia).
– « Le travail collaboratif est une situation dans laquelle plusieurs agents
(dit partenaires) décident de coopérer, c'est-à-dire de produire et d'utiliser
l'intelligence collective, dans le but de résoudre en commun un problème »
(F. Aidouni).
Quelques définitions
Source : https://www.sites.univ-
rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
39. xxxx
De la coopération à la collaboration
Source : https://www.a-
brest.net/IMG/pdf/Guide_pratique_du_t
ravail_collaboratif.pdf
p.8
40. « Le travail coopératif peut être défini comme une organisation collective du travail dans
laquelle la tâche à satisfaire est fragmentée en sous- tâches.
Chacune de ces sous-tâches est ensuite affectée à un acteur, soit selon une distribution
parfaitement horizontale dans laquelle tâches et acteurs sont équivalents, soit selon
une logique d’attribution en fonction des compétences particulières de chacun
(Cerisier, « environnements d’apprentissages collectifs en réseaux » 1999).
Autrement dit, il s’agit d’une division rationalisée (négociée) d’une tâche en actions qui
seront réparties (attribuées) entre acteurs agissant de façon autonome. »
Le travail coopératif
Source : https://www.a-
brest.net/IMG/pdf/Guide_pratique_du_t
ravail_collaboratif.pdf
p.8-9
41. Le travail coopératif
Source : https://www.a-
brest.net/IMG/pdf/Guide_pratique_du_travail_collaboratif.pdf
p.9
De ce fait, le travail coopératif est un travail de groupe hiérarchiquement organisé et
planifié impliquant des délais et un partage des tâches selon une coordination précise.
Chaque intervenant sait ainsi ce qu’il doit faire dès le début et communique, échange ou
partage des éléments uniquement pour arriver à son objectif individuel.
A la fin, le travail de chacun est réuni pour créer un objet unique de travail.
En d’autres termes, c’est la succession progressive et coordonnée des actions de chacun
qui permet de remplir l’objectif fixé.
De cette manière, la responsabilité de chacun est ainsi engagée sur la seule réalisation des
tâches qui leur sont propres.
42. Le travail coopératif
Source : https://www.a-
brest.net/IMG/pdf/Guide_p
ratique_du_travail_collabor
atif.pdf
p.9
43. Source : https://www.a-
brest.net/IMG/pdf/Guide_pratique_du_t
ravail_collaboratif.pdf p.9
Le travail collaboratif
« La distinction entre le travail coopératif et le travail collaboratif peut s’effectuer
en différenciant
les relations existantes entre les membres du groupe (obligation ou liberté),
la responsabilité engagée ou non de chacun par rapport aux actions
(responsabilité déléguée au coordinateur ou constamment partagée),
la capacité de chacun à influer sur la définition et la succession des actions
permettant d’atteindre l’objectif assigné au groupe. »
44. Source : https://www.a-
brest.net/IMG/pdf/Guide_pratique_du_travail_collaboratif.pdf
p.9-10
Le travail collaboratif
Le travail collaboratif ne relève pas d’une répartition a priori des rôles.
La collaboration s’entend en fait par une situation de travail collectif où tâches et buts sont
communs.
Chacun des membres du groupe travaille ainsi sur les mêmes points. Il va en effet plutôt s’agir
ici de fusionner les contributions individuelles dans l’action. La responsabilité est donc ici
collective et incombe au groupe en tant que totalité. Ce mode de travail collectif engage par
conséquent une communication régulière entre les membres du groupe et une connaissance
précise de la progression de l’action collective. Les interactions interpersonnelles sont donc
permanentes afin d’assurer une cohérence globale, condition nécessaire de l’efficience de
l’action et donc de l’atteinte de l’objectif fixé.
46. Le travail collaboratif
• Principaux traits du travail collaboratif :
– Un objectif commun à plusieurs personnes :
• Produire une oeuvre
• Résoudre un problème
• Apprendre collectivement
– Apprentissage collaboratif
• Mener un projet collectif
– Organisation non-hiérarchique :
• Rapports d’égal à égal
– Rôle-clé des TIC :
– Responsabilité partagée
– Travail par accumulations, modifications permanentes :
• Parts individuelles indiscernables
Source : https://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
47. 47
– « Le travail coopératif peut être défini comme une
organisation collective du travail dans laquelle la
tâche à satisfaire est fragmentée en sous-
tâches. »
– « travail de groupe hiérarchiquement organisé et
planifié impliquant des délais et un partage des
tâches selon une coordination précise. »
Source : Guide pratique du travail collaboratif, Brest https://www.sites.univ-
rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
Le travail coopératif
59. Les obstacles au travail collaboratif
Source : Frédéric Soussin http://adn-creatif.jimdo.com
60. Source : Frédéric Soussin http://adn-creatif.jimdo.com
Les obstacles au travail collaboratif
61. Source : Frédéric Soussin http://adn-creatif.jimdo.com
Les obstacles au travail collaboratif
62. 62
• Très grande diversité des outils collaboratifs :
– Fonctions collaboratives dans la plupart des outils actuels
d’internet
• Principaux critères de typologies:
– Fonction principale
– Rapport au temps : outils synchrones / asynchrones
– Rapport à l’espace : outils présentiels / à distance
– Coût : gratuits / payants
– Implantation : en ligne / en local
– Nature du code : open source / propriétaires
Diversité et typologie des outils
63. 63
Les enjeux
– Des outils pour mieux coopérer / collaborer :
• Favoriser, fluidifier la communication entre les
personnes
• Améliorer les méthodes de travail en commun
• Faciliter la coordination des actions et des acteurs
Source : https://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
64. 64
Atouts des Outils de Travail Collaboratif (OTC) :
– Réduction du poids des contraintes de dispersion
géographique et temporelle
– Facilitation de la co-conception et la co-réalisation (un
document commun évolutif)
– Amélioration de la réactivité
– Mobilisation de l’intelligence collective et capitalisation des
connaissances
– Renforcement de la coordination et du co-pilotage du travail
– Développement de compétences collaboratives
Source : https://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
65. 65
Une définition / un périmètre
– « Ensemble de méthodologies et outils issus des TIC qui
permettent à des acteurs de réaliser une œuvre commune en
partageant des idées, des informations et des résultats »
(Observatoire e-collaboration)
– Quelles finalités précises ?
• Résolution d’un problème (discussion, validation)
• Coordination d’un projet
• Co-écriture et production de documents
• …
Source : https://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
66. 66
4 grands types de composants des OTC
(source : JDN)
• Services de communication
• Services de coordination des tâches
• Services de partage de ressources et d’applications
• Services de partage de connaissances et de réseau
social
Source : https://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
68. • Communication, Échanges d’information sur les actions
– Échanges de messages, des notes > email, chat, dispositifs
d’annotation, réseaux sociaux
• Coordination
– Applications de gestion de projets, répartition de tâches, calendriers
et échéanciers partagés, alertes sur l’avancement des tâches,
procédures de validation concertée
• Partage de ressources et d’applications
– Outils de stockage, de travail et de partage de ressources, de
documents
• Partage de connaissances
– Outils de brainstorming, réseaux sociaux, outils de veille partagée,
outils d’écriture partagée, plateformes de production commune et
diffusion de documents
Source : https://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
78. Références
https://www.participation-et-democratie.fr/sciences-citoyennes
http://institut.inra.fr/Partenaires/Sciences-et-societe/Toutes-les-actualites/Livre-Blanc-Prendre-au-serieux-la-societe-de-la-
connaissancealliss
http://www.cnrs.fr/comets/IMG/pdf/comets-avis-sciences_citoyennes-25_juin_2015.pdf
Gilles Bœuf, Yves-Marie Allain et Michel Bouvier, « L’apport des sciences participatives à la connaissance de la biodiversité
en France », La Lettre de l’OCIM [En ligne], 144 | 2012, mis en ligne le 01 novembre 2014, consulté le 15 juillet 2019. URL :
http://journals.openedition.org/ocim/1119 ; DOI : 10.4000/ocim.1119
http://www.sciences-participatives.com/Rapport
https://www.mnhn.fr/fr/participez/actualites/open-portail-sciences-participatives
Le Crosnier Hervé, Neubauer Claudia, Storup Bérangère, « Sciences participatives ou ingénierie sociale : quand amateurs et
chercheurs co-produisent les savoirs », Hermès, La Revue, 2013/3 (n° 67), p. 68-74. URL : https://www.cairn.info/revue-
hermes-la-revue-2013-3-page-68.htm
Hubert Bernard, Aubertin Catherine, Billaud Jean-Paul, « Recherches participatives, recherches citoyennes ... une
clarification nécessaire », Natures Sciences Sociétés, 2013/1 (Vol. 21), p. 1-2. DOI : 10.1051/nss/2013078. URL :
https://www.cairn.info/revue-natures-sciences-societes-2013-1-page-1.htm
https://sciencescitoyennes.org/reaction-de-sciences-citoyennes-a-la-publication-du-rapport-sur-les-sciences-
participatives/?highlight=sciences%20participatives
https://sciencescitoyennes.org/la-fsc-depose-un-cahier-dacteur-dans-le-cadre-de-la-mission-sciences-participatives/