Six Sigma a été initié aux États-Unis dans les années 1980 chez Motorola.
• une diminution des rebuts, retouches, et plus généralement des coûts de non-qualité ;
• une amélioration de la disponibilité des machines et du taux de rendement synthétique (TRS) ;
• de meilleures parts de marché consécutives à l’amélioration de la qualité des produits.
une certaine philosophie de la qualité tournée vers la satisfaction totale du client;
un indicateur de performance permettant de savoir où se situe l’entreprise en matière de qualité;
une méthode de résolution de problèmes en quatre à huit étapes selon les auteurs dont l’objectif est de : Définir, Mesurer, Analyser, Innover/Améliorer, Contrôler, Standardiser, approche qui permet de réduire la variabilité et d’atteindre la cible sur les produits ou dans les services;
une organisation des compétences et des responsabilités des hommes de l’entreprise
un mode de management par la qualité qui s’appuie fortement sur une gestion par projet.
Six Sigma a été initié aux États-Unis dans les années 1980 chez Motorola.
• une diminution des rebuts, retouches, et plus généralement des coûts de non-qualité ;
• une amélioration de la disponibilité des machines et du taux de rendement synthétique (TRS) ;
• de meilleures parts de marché consécutives à l’amélioration de la qualité des produits.
une certaine philosophie de la qualité tournée vers la satisfaction totale du client;
un indicateur de performance permettant de savoir où se situe l’entreprise en matière de qualité;
une méthode de résolution de problèmes en quatre à huit étapes selon les auteurs dont l’objectif est de : Définir, Mesurer, Analyser, Innover/Améliorer, Contrôler, Standardiser, approche qui permet de réduire la variabilité et d’atteindre la cible sur les produits ou dans les services;
une organisation des compétences et des responsabilités des hommes de l’entreprise
un mode de management par la qualité qui s’appuie fortement sur une gestion par projet.
Web-formation | Les outils Lean d'amélioration du poste de travailXL Groupe
Emmanuel Parzy aborde les différents outils liés à l’amélioration du poste de travail.
Retrouvez le replay de cette web-conférence sur notre chaîne Youtube : http://buff.ly/2kWIQWD
Le GMAO Maintenance Directe est un outil perfectionné et complet, il demeure facile à utiliser. C’est un investissement avantageux permettant d’accroître la rentabilité de l’entreprise ainsi que la diminution des bris d’équipements; ce qui génère des économies et assure la sécurité des employés.
Grâce à notre logiciel d’entretien préventif, vous réaliserez des économies, car l’entretien préventif régulier permet de réduire les coûts de 15 % à 50 % des dépenses reliées aux réparations des équipements de production.
Le logiciel GMAO Maintenance Directe vous est offert en mode Saas (Software as a service) permettant au client de bénéficier de la solution sans devoir installer, gérer et entretenir un poste de travail ou un serveur.
Logiciel d’entretien préventif
- Logiciel de maintenance complet et convivial (facilité d’utilisation);
- Gestion des horaires de maintenance;
- Gestion des bons de travail (correctifs);
- Suivi individuel des équipements;
- Historique de maintenance des équipements;
- Suivi de l’usure des équipements : jrs, hrs ou Km;
- Gestion des coûts par équipement (pièces et main-d’oeuvre);
- Gestion d’inventaire de pièces et de fournisseurs;
- Le logiciel de maintenance jumelé au module Inventaire donne la possibilité d’associer les pièces aux opérations de maintenance et peut permettre à l’entreprise de réduire de 50% à 80% l’entreposage de pièces reliées aux réparations.
Production
- Augmentation de la production (%);
- Amélioration des délais de fabrication;
- Maintient la qualité de production.
Dépenses
- Diminution des dépenses reliées aux réparations;
- Diminution du temps supplémentaire (mécanicien);
- Réduction de l’inventaire de pièces de rechange;
- Maintien ou réduction des coûts d’assurances;
- Diminution des coûts de CSST.
Équipements
- Diminution des bris mécaniques;
- Permet la performance et fiabilité des équipements et des bâtiments.
- Département de maintenance;
- Meilleure organisation du travail pour les employés de maintenance.
Employés
- Diminution des risques d’accidents de travail (CSST);
- Amélioration de la qualité du milieu (environnement de travail);
- Meilleure relation entre opérateurs et mécaniciens.
AFAQ AFNOR INTERNATIONALE
Les outils et techniques du management des risques
Animé par Mr Iheb RAYAN
I. INTRODUCTION
II. CONTEXTE DE L’ANALYSE DE RISQUE
III. CHOISIR LES METHODES D’ANALYSE DE RISQUE 2
IV. CHOISIR LES OUTILS D’ANALYSE DE RISQUE
V. CONCLUSIONS
L’objectif de cette présentation est de vous montrer les outils couramment utilisés lors d’une démarche Lean afin de vous donner envie d’aller plus loin.
Sommaire de la présentation :
- Les bases du Lean
- Des outils au service d’une démarche
- Les outils de l’amélioration du flux
- Les outils de l’amélioration de la variabilité
- Les outils du pilotage
Introduction…………………………………………………………………………………………………………...5
Chapitre 1 - Importance de l’analyse des coûts……..……………………………………………………………8
1 – Aspects économiques de la maintenance…………………………………………………………………….8
2 – Les Coûts de maintenance entrent dans le prix de revient…………………………………………………8
3 - Problématique des coûts de maintenance…………………………………………………………………….9
4 – L'analyse des coûts est un outil de gestion essentiel……………………………………………………….9
5 – Estimation des coûts de maintenance……………………………………………………………………….10
6 - Exploitation des coûts………………………………………………………………………………………….10
7 – Remarques……………………………………………………………………………………………………..10
Chapitre 2 - Les coûts directs de maintenance…………………………………………………………………11
1 - Coûts de main-d'œuvre………………………………………………………………………………………..11
2 - Frais généraux du service maintenance……………………………………………………….…………….11
3 - Coûts de possession des stocks, des outillages des machines…………………………………………11
4 - Consommation de matières, de fournitures, de produits………………………………………………….11
5 - Coûts des contrats de maintenance…………………………………………………………………………11
6 - Coûts des contrats des travaux sous-traités………………………………………………………………..11
Chapitre 3 - Les coûts indirects de maintenance………………………………………………………………13
1 - Coûts de perte de production…………………………………………………………………………………13
2 - Estimation des CP……………………………………………………………………………………………..13
Chapitre 4 - Les coûts de défaillance……………………………………………………………………………14
1 – Notion…………………………………………………………………………………………………………..14
2 – Remarque………………………………………………………………………………………………………14
3 - Calcul des coûts de défaillance……………………………………………………………………………….14
4 - Suivi d'un matériel………………………………………………………………………………………………15
5 - Optimisation des CD……………………………………………………………………………………………16
Chapitre 5 – Maitrise économique du cycle de vie des équipements………………………………………..17
1 - Définition du LCC………………………………………………………………………………………………17
2 - Courbe LCC (Life Cycle Cost)………………………………………………………………………………..17
3 - Intérêt du LCC………………………………………………………………………………………………….18
4 - Constitution du LCC…………………………………………………………………………………………...18
Chapitre 6 - Les coûts moyens annuels de maintenance (d'un matériel)……………………………………20
1 - Notation Cma……………………………………………………………………………………………………20
2 - Calcul des Cma…………………………………………………………………………………………………20
3 - Coût moyen annuel de fonctionnement………………………………………………………………………21
Chapitre 7 – Budget de maintenance…………………………………………………………………………….22
1 - Le principe de base du budget………………………………………………………………………………..22
2 - L’absence de politique de maintenance……………………………………………………………………..22
3 - Coût horaire de la main d’œuvre (M.O.)……………………………………………………………………..22
Chapitre 8 - Les pertes économiques en maintenance productive totale……………………………………24
1 - Les pertes de productivité liées aux équipements………………………………………………………….24
Discussion et conclusion globale…………………………………………………………………………………25
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES…………………………………………………………………………..26
Management des risque etude de cas 1 - MOSAR/MADS Ibtissam El HASSANI
MOSAR Méthode Organisée Systémique d’Analyse des Risques
La méthode MOSAR est proposée par Pierre PERILHON. Elle s'appuie sur la méthodologie d'analyse des dysfonctionnements des systèmes (MADS).
Méthode pour analyser et neutraliser les risques techniques dans les installations humaines, aussi bien au stade de leur conception que sur des installations existantes.
La méthode MOSAR s'articule autour d'une vision macroscopique des risques et une vision microscopique des risques.
La vision macroscopique :
consiste à réaliser une analyse des risques principaux.
La vision microscopique :
consiste à réaliser une analyse détaillée de tous les dysfonctionnements techniques et opératoires apparus au cours du premier module. Au cours de cette phase, des outils particuliers et spécifiques sont mis en œuvre (AMDEC, HAZOP, Arbre des causes, Arbre des défaillances, etc.).
kanban est une méthode de gestion de production a stock zéro qui se base sur le principe du flux tiré (aval commande l'amont) et qui permet de réduire les volumes d'encours dans une chaîne de production
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Emmanuel Parzy aborde les différents outils liés à l’amélioration du poste de travail.
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Le GMAO Maintenance Directe est un outil perfectionné et complet, il demeure facile à utiliser. C’est un investissement avantageux permettant d’accroître la rentabilité de l’entreprise ainsi que la diminution des bris d’équipements; ce qui génère des économies et assure la sécurité des employés.
Grâce à notre logiciel d’entretien préventif, vous réaliserez des économies, car l’entretien préventif régulier permet de réduire les coûts de 15 % à 50 % des dépenses reliées aux réparations des équipements de production.
Le logiciel GMAO Maintenance Directe vous est offert en mode Saas (Software as a service) permettant au client de bénéficier de la solution sans devoir installer, gérer et entretenir un poste de travail ou un serveur.
Logiciel d’entretien préventif
- Logiciel de maintenance complet et convivial (facilité d’utilisation);
- Gestion des horaires de maintenance;
- Gestion des bons de travail (correctifs);
- Suivi individuel des équipements;
- Historique de maintenance des équipements;
- Suivi de l’usure des équipements : jrs, hrs ou Km;
- Gestion des coûts par équipement (pièces et main-d’oeuvre);
- Gestion d’inventaire de pièces et de fournisseurs;
- Le logiciel de maintenance jumelé au module Inventaire donne la possibilité d’associer les pièces aux opérations de maintenance et peut permettre à l’entreprise de réduire de 50% à 80% l’entreposage de pièces reliées aux réparations.
Production
- Augmentation de la production (%);
- Amélioration des délais de fabrication;
- Maintient la qualité de production.
Dépenses
- Diminution des dépenses reliées aux réparations;
- Diminution du temps supplémentaire (mécanicien);
- Réduction de l’inventaire de pièces de rechange;
- Maintien ou réduction des coûts d’assurances;
- Diminution des coûts de CSST.
Équipements
- Diminution des bris mécaniques;
- Permet la performance et fiabilité des équipements et des bâtiments.
- Département de maintenance;
- Meilleure organisation du travail pour les employés de maintenance.
Employés
- Diminution des risques d’accidents de travail (CSST);
- Amélioration de la qualité du milieu (environnement de travail);
- Meilleure relation entre opérateurs et mécaniciens.
AFAQ AFNOR INTERNATIONALE
Les outils et techniques du management des risques
Animé par Mr Iheb RAYAN
I. INTRODUCTION
II. CONTEXTE DE L’ANALYSE DE RISQUE
III. CHOISIR LES METHODES D’ANALYSE DE RISQUE 2
IV. CHOISIR LES OUTILS D’ANALYSE DE RISQUE
V. CONCLUSIONS
L’objectif de cette présentation est de vous montrer les outils couramment utilisés lors d’une démarche Lean afin de vous donner envie d’aller plus loin.
Sommaire de la présentation :
- Les bases du Lean
- Des outils au service d’une démarche
- Les outils de l’amélioration du flux
- Les outils de l’amélioration de la variabilité
- Les outils du pilotage
Introduction…………………………………………………………………………………………………………...5
Chapitre 1 - Importance de l’analyse des coûts……..……………………………………………………………8
1 – Aspects économiques de la maintenance…………………………………………………………………….8
2 – Les Coûts de maintenance entrent dans le prix de revient…………………………………………………8
3 - Problématique des coûts de maintenance…………………………………………………………………….9
4 – L'analyse des coûts est un outil de gestion essentiel……………………………………………………….9
5 – Estimation des coûts de maintenance……………………………………………………………………….10
6 - Exploitation des coûts………………………………………………………………………………………….10
7 – Remarques……………………………………………………………………………………………………..10
Chapitre 2 - Les coûts directs de maintenance…………………………………………………………………11
1 - Coûts de main-d'œuvre………………………………………………………………………………………..11
2 - Frais généraux du service maintenance……………………………………………………….…………….11
3 - Coûts de possession des stocks, des outillages des machines…………………………………………11
4 - Consommation de matières, de fournitures, de produits………………………………………………….11
5 - Coûts des contrats de maintenance…………………………………………………………………………11
6 - Coûts des contrats des travaux sous-traités………………………………………………………………..11
Chapitre 3 - Les coûts indirects de maintenance………………………………………………………………13
1 - Coûts de perte de production…………………………………………………………………………………13
2 - Estimation des CP……………………………………………………………………………………………..13
Chapitre 4 - Les coûts de défaillance……………………………………………………………………………14
1 – Notion…………………………………………………………………………………………………………..14
2 – Remarque………………………………………………………………………………………………………14
3 - Calcul des coûts de défaillance……………………………………………………………………………….14
4 - Suivi d'un matériel………………………………………………………………………………………………15
5 - Optimisation des CD……………………………………………………………………………………………16
Chapitre 5 – Maitrise économique du cycle de vie des équipements………………………………………..17
1 - Définition du LCC………………………………………………………………………………………………17
2 - Courbe LCC (Life Cycle Cost)………………………………………………………………………………..17
3 - Intérêt du LCC………………………………………………………………………………………………….18
4 - Constitution du LCC…………………………………………………………………………………………...18
Chapitre 6 - Les coûts moyens annuels de maintenance (d'un matériel)……………………………………20
1 - Notation Cma……………………………………………………………………………………………………20
2 - Calcul des Cma…………………………………………………………………………………………………20
3 - Coût moyen annuel de fonctionnement………………………………………………………………………21
Chapitre 7 – Budget de maintenance…………………………………………………………………………….22
1 - Le principe de base du budget………………………………………………………………………………..22
2 - L’absence de politique de maintenance……………………………………………………………………..22
3 - Coût horaire de la main d’œuvre (M.O.)……………………………………………………………………..22
Chapitre 8 - Les pertes économiques en maintenance productive totale……………………………………24
1 - Les pertes de productivité liées aux équipements………………………………………………………….24
Discussion et conclusion globale…………………………………………………………………………………25
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES…………………………………………………………………………..26
Management des risque etude de cas 1 - MOSAR/MADS Ibtissam El HASSANI
MOSAR Méthode Organisée Systémique d’Analyse des Risques
La méthode MOSAR est proposée par Pierre PERILHON. Elle s'appuie sur la méthodologie d'analyse des dysfonctionnements des systèmes (MADS).
Méthode pour analyser et neutraliser les risques techniques dans les installations humaines, aussi bien au stade de leur conception que sur des installations existantes.
La méthode MOSAR s'articule autour d'une vision macroscopique des risques et une vision microscopique des risques.
La vision macroscopique :
consiste à réaliser une analyse des risques principaux.
La vision microscopique :
consiste à réaliser une analyse détaillée de tous les dysfonctionnements techniques et opératoires apparus au cours du premier module. Au cours de cette phase, des outils particuliers et spécifiques sont mis en œuvre (AMDEC, HAZOP, Arbre des causes, Arbre des défaillances, etc.).
kanban est une méthode de gestion de production a stock zéro qui se base sur le principe du flux tiré (aval commande l'amont) et qui permet de réduire les volumes d'encours dans une chaîne de production
Optimisation des bandes de garde, suivant norme ISO/IEC Guide 98-4Jean-Michel POU
Je viens de présenter cette conférence à Pretoria, dans le cadre du CAFMET. Le but principal est de mettre en évidence les conséquences des bandes de garde, notamment en matière de Risque Fournisseur et de proposer une vision différente : Minimisation de la somme pondérée des risques Client et Fournisseur
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
2. M
S
P
« SI NOS FABRIQUES IMPOSENT
A FORCE DE SOIN LA QUALITE
SUPERIEURE DE NOS PRODUITS,
LES ETRANGERS TROUVERONT
AVANTAGE A SE FOURNIR CHEZ
NOUS ET LEUR ARGENT AFFLUERA
DANS LE ROYAUME. »
COLBERT Le 3 AOUT 1664
Qualité – Maitrise
Statistique du Procédé
3. M
S
P
La QUALITÉ d' un produit
ou d'un service est son
APTITUDE à SATISFAIRE
les BESOINS d' un
utilisateur au moindre coût.
DEFINITION DE LA QUALITE
4. M
S
P
LE CONTRÔLE EST
GENERALEMENT CONSIDERE
COMME LA PIERRE ESSENTIELLE
DE LA QUALITE:
IL EST LE FILTRE QUI PERMET
DE NE LIVRER QUE DES
PRODUITS CORRECTS.
LE CONTRÔLE
5. M
S
P
IL FAUT DETECTER LA NON QUALITE AU PLUS
PRES DU POSTE OU ELLE A ETE PRODUITE.
COUT DE LA NON
QUALITE EN FONCTION
DE SA DETECTION
Coût=1
sur le
poste
Coût=1000
dans le
réseau de
distribution
Coût=100
juste avant
l'
expédition
Coût=10
en bout de
ligne
6. M
S
P
EXEMPLE
CAS D’UNE PUCE MONTEE A L’ENVERS SUR
UN C.I. FABRIQUE A PLUSIEURS CENTAINES
DE MILLIERS PAR MOIS
* AU CODAGE: 0. 12 €
* A LA CERTIFICATION: 0.2 €
* AU CONTRÔLE APRES INSERSION: 0.5 €
* AU CONTRÔLE DU CIRCUIT IMPRIME: 6.7 €
* A LA MISE AU POINT : 68 €
* CHEZ LE CLIENT: (recherche de panne) 381 €
X 3175
7. M
S
P
OBTENIR LA QUALITE AU DEPART DE
LA FABRICATION
Maîtriser le processus tout au long de
la fabrication.
(De l’approvisionnement à l’expédition)
FAIRE LA QUALITE DU PREMIER COUP
Maîtriser les procédés utilisés
UN DEFAUT PREVU COUTE 100
FOIS MOINS CHER QU'UN DEFAUT
CONSTATE
8. M
S
P
La MSP est un élément d'assurance
qualité.
Son objectif est de maîtriser un
processus mesurable par suivi graphique
temporel basé sur des fondements
statistiques.
Convient uniquement pour la grande
série.
Maîtrise Statistique du Procédé
Statistical Process Control
10. M
S
P
HISTOGRAMME
C’EST LA REPRESENTATION
DES RESULTATS DE MESURE
D’UN ECHANTILLON PAR
CLASSES DE DIMENSIONS
Pour déterminer le nombre de
classes d’un échantillon de n pièces:
K = n
Dimensions
Effectif
X mini X maxi
X
12. M
S
P
LOI NORMALE
Point d’inflexion
de la courbe
m
ECART TYPE
L’ ECART TYPE EST UNE
GRANDEUR STATISTIQUE
RENSEIGNANT SUR LA
REPARTITION D’UNE
CARACTERISTIQUE (plage
et densité de valeurs)
MOYENNE: m = X
m = (1 / n) Xi
i=1
n
Dimensions
Effectif
X
13. M
S
P
ECART TYPE
Point d’inflexion
de la courbe
m
ECART TYPE
1
n
n
i=1
(Xi – X)
2
RACINE CARREE
DE LA MOYENNE
DE LA SOMME
DES CARRES DES
ECARTS A LA
MOYENNE
Effectif
Dimensions
X
27. M
S
P
LA VARIABILITE DU PROCEDE
DOIT ETRE LA PLUS FAIBLE
POSSIBLE.
IL EXISTE DEUX CAUSES PROVOQUANT
CETTE VARIABILITÉ :
* LES CAUSES ASSIGNABLES
* LES CAUSES ALEATOIRES
28. M
S
P
Usure du matériel.
Environnement (humidité,
température).
Variation de l'alimentation
électrique.
Déréglages brusques ou
progressifs.
Changement de matière
première, d'équipe,
d'outillage.
Intervention de maintenance.
Exemples
Permanents
Variations quantifiables.
Variations le plus souvent
prévisibles.
Ponctuels et pouvant se
répéter.
Variations importantes.
Imprévisibles ou dus à des
actions maîtrisées.
Effets
Résulte du procédé lui-même,
en assez grand nombre,
chacune de ces sources a un
effet limité et varie dans une
plage restreinte, elles sont
indépendantes entre elles.
Identifiables, sources de
défauts importants, souvent
irrégulières, instables,
difficiles à prévoir mais
repérables.
Nécessite une intervention
sur le procédé.
Caractéristiques
ALEATOIRES
ASSIGNABLES
CAUSES
CAUSES DES DISPERSIONS
29. M
S
P
MISE SOUS CONTRÔLE D’UNE FABRICATION
POUR VERIFIER QU’UNE
FABRICATION EST SOUS
CONTRÔLE, IL FAUT SE REFERER
A 2 INDICATEURS:
* L’INDICE DE CAPABILITE
* L’INDICATEUR DE DEREGLAGE
30. M
S
P
L’INDICE DE CAPABILITE
CET INDICATEUR COMPARE LA
PERFORMANCE ATTENDUE (IT) ET LA
PERFORMANCE OBTENUE (DISPERSION).
6 6
I T
I T
m m
31. M
S
P
L’INDICE DE CAPABILITE MACHINE
6 6
I T
I T
Intervalle de tolérance IT
Dispersion instantanée 6
Cm = =
m m
36. M
S
P
6
I T
6
I T
L’INDICATEUR DE DEREGLAGE
½ dispersion instantanée 3 3
Distance (Moyenne / limite le plus proche) m – Ti Ts - m
Cmk = = mini ;
D1
D2
D1
D2
MACHINE
m
m
37. M
S
P
6
I T
6
I T
L’INDICATEUR DE DEREGLAGE
½ dispersion globale 3 3
Distance (Moyenne / limite le plus proche) m – Ti Ts - m
Cpk = = mini ;
D1
D2
D1
D2
PROCEDE
m
m
42. M
S
P
TEMPS
PRESENCE DE
CAUSES
ASSIGNABLES
LE PROCEDE N’EST PAS
SOUS CONTRÔLE
PRESENCE DE CAUSES
ASSIGNABLES
PRESENCE DE PIECES
HORS TOLERANCE.
LE PROCEDE
N’EST PAS
CAPABLE
IL FAUT SUPPRIMER
LES CAUSES
ASSIGNABLES POUR
RENDRE LE
PROCESSUS
SOUS CONTROLE