Principaux résultats d'une enquête auprès de 600 chercheurs d'emploi. L'objectif est de mieux connaître leurs aspirations, leurs contraintes, et leurs points de vue sur le marché du travail et la recherche d'emploi.
Les 8 principaux éléments à retenir :
600 chercheurs d’emploi enquêtés
Pour 48% des chercheurs d’emploi, la recherche d’emploi s’effectue dans la commune de résidence ou les communes limitrophes
70% sont prêts à changer de métier ou de secteur
52% des chercheurs d’emploi expriment des difficultés à trouver un emploi
33% connaissent des contraintes personnelles
L’attractivité des postes et l’accès géographique difficile sont les deux premières raisons des difficultés de recrutement
Sur 14 métiers en tension seuls 2 sont jugés globalement attractifs
L’attractivité des métiers en tension est plus faible pour les jeunes, les diplômés du supérieur et les familles les plus aisées
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2017France Travail
Fin 2017, environ 48 % des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A sont des femmes, soit une part comparable à celle observée chez les personnes en emploi.
La part des femmes est plus élevée parmi les demandeurs les plus diplômés, ou parmi ceux en activité réduite. En particulier, de plus en plus de femmes sont inscrites à Pôle emploi tout en travaillant l’équivalent d’un temps complet.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
Si 19.012 femmes_demandeuses_d_emploi_en_2018France Travail
Depuis quelques années, le chômage touche proportionnellement autant les femmes que les hommes.
La part des femmes parmi les demandeurs d’emploi très diplômés a continûment progressé depuis vingt ans.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
Portait statistique du demandeur d'emploi : 20 ans d'évolutionFrance Travail
Entre 1996 et 2015, les caractéristiques des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi ont évolué, au rythme
des cycles économiques, mais également en lien avec les grandes tendances d’évolutions démographiques :
hausse de l’activité des seniors et de la participation des femmes au marché du travail.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi mesuré en s...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2021, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Vingt-quatre mois après leur inscription en septembre 2019, 72% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2020 France Travail
Fin 2020, environ 48% des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A sont des femmes, soit une part comparable à celle observée chez les personnes en emploi.
La part des femmes est plus élevée parmi les demandeurs les plus diplômés, ou parmi ceux en activité réduite.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
La population des « cadres », statut spécifiquement français qui renvoie à des fonctions d’encadrement et d’expertise, a longtemps été considérée comme étant épargnée par le chômage. Depuis les années 1990 cependant, ce n’est plus totalement le cas : le taux de chômage des cadres augmente lors des périodes de mauvaise conjoncture économique (même s’il reste très inférieur à celui d’autres catégories socioprofessionnelles), et une partie des cadres connaissent l’expérience du chômage de longue durée : parmi les 48 120 cadres inscrits sur les listes de demandeurs d’emploi au premier trimestre 2010, 36% ont cumulé au moins 12 mois sur les listes au cours des deux ans qui ont suivi leur inscription.
Les cadres débutant un épisode de chômage ont des représentations diverses de leur situation, qui renvoient à l’hétérogénéité de leur vécu du monde du travail et de leurs aspirations. Malgré cette diversité de représentation, on observe cependant des étapes communes dans l’évolution des représentations qu’ont les cadres de leur épisode de recherche d’emploi (temps du retour sur soi, période de doute et d’incompréhension, période des concessions).
Au total, quatre grands types de trajectoires donnant lieu à une inscription de longue durée à Pôle emploi apparaissent :
Plus d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée restent inscrits pendant près de deux ans, en effectuant peu d’activité réduite, avant de sortir durablement des listes de demandeurs d’emploi.
Un deuxième ensemble de trajectoires, qui concernent un peu plus souvent les femmes est marqué par l’exercice rapide d’une activité réduite (tout en restant inscrit à Pôle emploi), qui dans la grande majorité des cas, précède une sortie durable des listes.
Un peu moins d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée connaissent une réinsertion longue et difficile, pouvant dans certains cas prendre la forme d’une transition longue vers la retraite.
Enfin, une situation assez particulière et limitée quantitativement (3% des hommes) est le cas des cadres demandeurs d’emploi connaissant une réinsertion via la création d’entreprise.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2017France Travail
Fin 2017, environ 48 % des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A sont des femmes, soit une part comparable à celle observée chez les personnes en emploi.
La part des femmes est plus élevée parmi les demandeurs les plus diplômés, ou parmi ceux en activité réduite. En particulier, de plus en plus de femmes sont inscrites à Pôle emploi tout en travaillant l’équivalent d’un temps complet.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
Si 19.012 femmes_demandeuses_d_emploi_en_2018France Travail
Depuis quelques années, le chômage touche proportionnellement autant les femmes que les hommes.
La part des femmes parmi les demandeurs d’emploi très diplômés a continûment progressé depuis vingt ans.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
Portait statistique du demandeur d'emploi : 20 ans d'évolutionFrance Travail
Entre 1996 et 2015, les caractéristiques des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi ont évolué, au rythme
des cycles économiques, mais également en lien avec les grandes tendances d’évolutions démographiques :
hausse de l’activité des seniors et de la participation des femmes au marché du travail.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi mesuré en s...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2021, 44 % des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Vingt-quatre mois après leur inscription en septembre 2019, 72% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2020 France Travail
Fin 2020, environ 48% des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A sont des femmes, soit une part comparable à celle observée chez les personnes en emploi.
La part des femmes est plus élevée parmi les demandeurs les plus diplômés, ou parmi ceux en activité réduite.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
La population des « cadres », statut spécifiquement français qui renvoie à des fonctions d’encadrement et d’expertise, a longtemps été considérée comme étant épargnée par le chômage. Depuis les années 1990 cependant, ce n’est plus totalement le cas : le taux de chômage des cadres augmente lors des périodes de mauvaise conjoncture économique (même s’il reste très inférieur à celui d’autres catégories socioprofessionnelles), et une partie des cadres connaissent l’expérience du chômage de longue durée : parmi les 48 120 cadres inscrits sur les listes de demandeurs d’emploi au premier trimestre 2010, 36% ont cumulé au moins 12 mois sur les listes au cours des deux ans qui ont suivi leur inscription.
Les cadres débutant un épisode de chômage ont des représentations diverses de leur situation, qui renvoient à l’hétérogénéité de leur vécu du monde du travail et de leurs aspirations. Malgré cette diversité de représentation, on observe cependant des étapes communes dans l’évolution des représentations qu’ont les cadres de leur épisode de recherche d’emploi (temps du retour sur soi, période de doute et d’incompréhension, période des concessions).
Au total, quatre grands types de trajectoires donnant lieu à une inscription de longue durée à Pôle emploi apparaissent :
Plus d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée restent inscrits pendant près de deux ans, en effectuant peu d’activité réduite, avant de sortir durablement des listes de demandeurs d’emploi.
Un deuxième ensemble de trajectoires, qui concernent un peu plus souvent les femmes est marqué par l’exercice rapide d’une activité réduite (tout en restant inscrit à Pôle emploi), qui dans la grande majorité des cas, précède une sortie durable des listes.
Un peu moins d’un tiers des cadres demandeurs d’emploi de longue durée connaissent une réinsertion longue et difficile, pouvant dans certains cas prendre la forme d’une transition longue vers la retraite.
Enfin, une situation assez particulière et limitée quantitativement (3% des hommes) est le cas des cadres demandeurs d’emploi connaissant une réinsertion via la création d’entreprise.
171227 ara territoire_touches_eloignement_emploiFrance Travail
Fin 2016, en Auvergne-Rhône-Alpes, un demandeur d’emploi sur cinq est considéré comme éloigné de l’emploi. Le nombre de ces personnes, restées au moins 12 mois sans aucune activité au cours des 15 derniers mois, est en forte augmentation depuis 2010.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2018France Travail
Depuis quelques années, le chômage touche proportionnellement autant les femmes que les hommes.
La part des femmes parmi les demandeurs d’emploi très diplômés a continûment progressé depuis vingt ans.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
AU SORTIR DU CHÔMAGE, LA DYNAMIQUE DES MOBILITÉS ENTRE MÉTIERSFrance Travail
Identifier les métiers que les demandeurs d’emploi exerçaient avant de connaître le chômage et repérer ceux vers lesquels ils s’orientent quand ils sortent du chômage constituent de précieux éléments de compréhension et d’analyse des mobilités sur le marché du travail.
Où se situe la France en matière d’emploi par rapport à ses homologues européens ? Quels leviers actionner pour parvenir à faire progresser l’emploi et réduire notre taux de chômage tout en développant la qualité de l’emploi ?
http://francestrategie1727.fr/thematiques/politiques-emploi-et-marche-du-travail/
Les aides à la mobilité géographique sont encore peu connues des demandeurs d...France Travail
Les aides à la mobilité dans le cadre de la recherche d’emploi restent les plus mobilisées et représentent comme les années précédentes près de la moitié de l’ensemble des aides attribuées. En revanche, la part des aides à la mobilité géographiques attribuées par Pôle emploi dans le cadre d’une reprise d’emploi a progressé entre 2016 et 2017 ( 5 points de pourcentage de plus) tandis que la part des aides au financement des frais de formation s’est légèrement réduite.
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance de handicap en 2020France Travail
En 2020, 41% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
30% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Cette mission de préparation de la concertation sur l’égalité professionnelle que le gouvernement conduira avec les partenaires sociaux, au second semestre 2009, porte sur deux points :
- effectuer un bilan des différences de traitement entre les femmes et les hommes en matière d’accès à l’emploi et d’évolution dans l’emploi, en vue de présenter des propositions en faveur de l’égalité professionnelle et salariale, et notamment sur les voies et moyens d’appliquer et d’adapter les règles actuelles et d’envisager des sanctions efficaces ;
- élaborer des préconisations sur la question de la représentation des femmes dans les conseils d’administration et de surveillance des sociétés et des entreprises publiques et plus largement dans les instances de décision.
Les aides à la mobilité géographique restent déterminantes dans le choix d'él...France Travail
Les aides à la mobilité géographique sont des aides financières proposées par Pôle emploi afin de permettre aux demandeurs d’emploi d’accéder à des emplois ou des formations éloignés de leur lieu de résidence. Si les jeunes et les diplômés du supérieur restent surreprésentés parmi les bénéficiaires des aides à la mobilité, le poids des moins de 30 ans a diminué entre 2017 et 2019 au profit notamment des plus de quarante ans.
La situation au regard de l’emploi retrouvé grâce à l’aide est relativement stable par rapport à 2017. Ainsi, l’emploi associé à l’aide est très souvent durable lorsqu’elle est attribuée dans le cadre d’une recherche d’emploi (85% d’emploi durable, 58% de CDI) ou d’une reprise d’emploi (71%). Pour ces aides, le taux de retour à l’emploi à 6 mois est relativement stable par rapport à 2017. La situation s’est en revanche améliorée pour les bénéficiaires des aides à la formation avec une part en emploi six mois après l’obtention de l’aide en hausse, confirmant la tendance déjà observée entre 2015 et 2017.
Dans la très grande majorité des cas, les aides à la mobilité, destinées à rendre le demandeur d’emploi plus mobile en lui évitant des difficultés financières et/ou en l’incitant à se déplacer, semblent bien répondre à leur vocation, témoignant d’un ciblage pertinent du public bénéficiaire. Elles sont particulièrement utiles aux demandeurs d’emploi ayant a priori des freins à la mobilité, de par leurs difficultés économiques et sociales ou leurs contraintes familiales. De surcroît, l’existence même du dispositif pourrait avoir des effets positifs sur la mobilité des demandeurs d’emploi : toutes choses égales par ailleurs, le seul fait d’être informé de la possibilité de recevoir une aide augmenterait la probabilité d’élargissement du périmètre de recherche d’emploi.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2017France Travail
Fin 2017, environ 48 % des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A sont des femmes, soit une part comparable à celle observée chez les personnes en emploi.
La part des femmes est plus élevée parmi les demandeurs les plus diplômés, ou parmi ceux en activité réduite. En particulier, de plus en plus de femmes sont inscrites à Pôle emploi tout en travaillant l’équivalent d’un temps complet.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
La mobilité géographique des demandeurs d'emploi : freins et leviersFrance Travail
Les opportunités d’emploi ne se situent pas toujours à proximité du lieu de résidence des demandeurs d’emploi : près d’un demandeur d’emploi sur cinq reprend un emploi dans un établissement localisé à plus de 50 km de leur domicile.
Près d’un demandeur d’emploi sur cinq considère la proximité géographique comme le critère prioritaire de leur recherche d’emploi. Le coût financier de la mobilité, mais aussi l’attachement à un territoire pour des raisons extra-professionnelles (notamment familiales) sont les principales motivations des demandeurs d’emploi qui n’envisagent pas d’élargir leur périmètre géographique de recherche
Les demandeurs d’emploi les moins mobiles peuvent cependant envisager d’élargir leur périmètre de recherche en cas d’aide financière au déménagement, d’aide à la recherche d’emploi du conjoint (en cas de déménagement), ou de mise en place d’une « navette » pouvant les conduire sur leur lieu de travail.
171227 ara territoire_touches_eloignement_emploiFrance Travail
Fin 2016, en Auvergne-Rhône-Alpes, un demandeur d’emploi sur cinq est considéré comme éloigné de l’emploi. Le nombre de ces personnes, restées au moins 12 mois sans aucune activité au cours des 15 derniers mois, est en forte augmentation depuis 2010.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2018France Travail
Depuis quelques années, le chômage touche proportionnellement autant les femmes que les hommes.
La part des femmes parmi les demandeurs d’emploi très diplômés a continûment progressé depuis vingt ans.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
AU SORTIR DU CHÔMAGE, LA DYNAMIQUE DES MOBILITÉS ENTRE MÉTIERSFrance Travail
Identifier les métiers que les demandeurs d’emploi exerçaient avant de connaître le chômage et repérer ceux vers lesquels ils s’orientent quand ils sortent du chômage constituent de précieux éléments de compréhension et d’analyse des mobilités sur le marché du travail.
Où se situe la France en matière d’emploi par rapport à ses homologues européens ? Quels leviers actionner pour parvenir à faire progresser l’emploi et réduire notre taux de chômage tout en développant la qualité de l’emploi ?
http://francestrategie1727.fr/thematiques/politiques-emploi-et-marche-du-travail/
Les aides à la mobilité géographique sont encore peu connues des demandeurs d...France Travail
Les aides à la mobilité dans le cadre de la recherche d’emploi restent les plus mobilisées et représentent comme les années précédentes près de la moitié de l’ensemble des aides attribuées. En revanche, la part des aides à la mobilité géographiques attribuées par Pôle emploi dans le cadre d’une reprise d’emploi a progressé entre 2016 et 2017 ( 5 points de pourcentage de plus) tandis que la part des aides au financement des frais de formation s’est légèrement réduite.
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance de handicap en 2020France Travail
En 2020, 41% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
30% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Cette mission de préparation de la concertation sur l’égalité professionnelle que le gouvernement conduira avec les partenaires sociaux, au second semestre 2009, porte sur deux points :
- effectuer un bilan des différences de traitement entre les femmes et les hommes en matière d’accès à l’emploi et d’évolution dans l’emploi, en vue de présenter des propositions en faveur de l’égalité professionnelle et salariale, et notamment sur les voies et moyens d’appliquer et d’adapter les règles actuelles et d’envisager des sanctions efficaces ;
- élaborer des préconisations sur la question de la représentation des femmes dans les conseils d’administration et de surveillance des sociétés et des entreprises publiques et plus largement dans les instances de décision.
Les aides à la mobilité géographique restent déterminantes dans le choix d'él...France Travail
Les aides à la mobilité géographique sont des aides financières proposées par Pôle emploi afin de permettre aux demandeurs d’emploi d’accéder à des emplois ou des formations éloignés de leur lieu de résidence. Si les jeunes et les diplômés du supérieur restent surreprésentés parmi les bénéficiaires des aides à la mobilité, le poids des moins de 30 ans a diminué entre 2017 et 2019 au profit notamment des plus de quarante ans.
La situation au regard de l’emploi retrouvé grâce à l’aide est relativement stable par rapport à 2017. Ainsi, l’emploi associé à l’aide est très souvent durable lorsqu’elle est attribuée dans le cadre d’une recherche d’emploi (85% d’emploi durable, 58% de CDI) ou d’une reprise d’emploi (71%). Pour ces aides, le taux de retour à l’emploi à 6 mois est relativement stable par rapport à 2017. La situation s’est en revanche améliorée pour les bénéficiaires des aides à la formation avec une part en emploi six mois après l’obtention de l’aide en hausse, confirmant la tendance déjà observée entre 2015 et 2017.
Dans la très grande majorité des cas, les aides à la mobilité, destinées à rendre le demandeur d’emploi plus mobile en lui évitant des difficultés financières et/ou en l’incitant à se déplacer, semblent bien répondre à leur vocation, témoignant d’un ciblage pertinent du public bénéficiaire. Elles sont particulièrement utiles aux demandeurs d’emploi ayant a priori des freins à la mobilité, de par leurs difficultés économiques et sociales ou leurs contraintes familiales. De surcroît, l’existence même du dispositif pourrait avoir des effets positifs sur la mobilité des demandeurs d’emploi : toutes choses égales par ailleurs, le seul fait d’être informé de la possibilité de recevoir une aide augmenterait la probabilité d’élargissement du périmètre de recherche d’emploi.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à Pôle emploi en 2017France Travail
Fin 2017, environ 48 % des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A sont des femmes, soit une part comparable à celle observée chez les personnes en emploi.
La part des femmes est plus élevée parmi les demandeurs les plus diplômés, ou parmi ceux en activité réduite. En particulier, de plus en plus de femmes sont inscrites à Pôle emploi tout en travaillant l’équivalent d’un temps complet.
Les femmes demandeuses d’emploi accèdent aussi vite que les hommes à l’emploi salarié durable, mais moins fréquemment aux missions d’intérim ou à la création d’entreprise.
La mobilité géographique des demandeurs d'emploi : freins et leviersFrance Travail
Les opportunités d’emploi ne se situent pas toujours à proximité du lieu de résidence des demandeurs d’emploi : près d’un demandeur d’emploi sur cinq reprend un emploi dans un établissement localisé à plus de 50 km de leur domicile.
Près d’un demandeur d’emploi sur cinq considère la proximité géographique comme le critère prioritaire de leur recherche d’emploi. Le coût financier de la mobilité, mais aussi l’attachement à un territoire pour des raisons extra-professionnelles (notamment familiales) sont les principales motivations des demandeurs d’emploi qui n’envisagent pas d’élargir leur périmètre géographique de recherche
Les demandeurs d’emploi les moins mobiles peuvent cependant envisager d’élargir leur périmètre de recherche en cas d’aide financière au déménagement, d’aide à la recherche d’emploi du conjoint (en cas de déménagement), ou de mise en place d’une « navette » pouvant les conduire sur leur lieu de travail.
La mobilité géographique des demandeurs d'emploi : freins et leviers
Similaire à Chercheurs d'emploi dans le Nouveau pays de Lorient. Points de vue et perceptions sur le marché du travail. Communication AudéLor n°134, janvier 2020.
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance de handicapFrance Travail
En 2018, 43% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
31% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Dossier de présentation - L'insertion professionnelle des jeunesFrance Stratégie
C’était une des onze mesures pour la jeunesse promises par le gouvernement au printemps 2016. La concertation en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes, lancée en septembre dernier, s’est conclue mardi 24 janvier 2017 par la remise d’un rapport de diagnostic à la ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.
En savoir plus :
http://strategie.gouv.fr/publications/linsertion-professionnelle-jeunes
Les demandeurs d'emploi bénéficiaires d'une reconnaissance administrative du ...AVIE
En 2018, 43% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance de handicap bénéficient d’un accompagnement spécialisé par Cap Emploi ou renforcé par Pôle emploi.
31% des demandeurs d’emploi ayant une reconnaissance administrative de handicap accèdent à l’emploi au cours de l’année qui suit leur inscription.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à France Travail en 2023.pdfFrance Travail
Fin 2023, 48,8% des demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en catégorie A sont des femmes. Depuis 2009, la part des femmes au sein des personnes inscrites en catégorie A est proche de celle observée au sein des personnes en emploi.
Conditions d'accès à l'emploi des jeunes en situation de handicap (2).pdfAVIE
Quelles sont les conditions d’accès à l’emploi des jeunes en situation de handicap ?
ÉTUDES ET STATISTIQUES
OBSERVATOIRE DE L'EMPLOI
ET DU HANDICAP
ÉTUDE IFOP POUR AGEFIPH
NOVEMBRE 2021
Femmes cadres et Hommes cadres : des inégalités professionnelles qui persiste...Egalco
"Femmes cadres et Hommes cadres : des inégalités professionnelles qui persistent", Apec, Mars 2011
Le travail réalisé par l'Apec sur les inégalités entre les femmes et les hommes chez les cadres comporte beaucoup d'informations clés.
Etude mondiale HSBC « L’avenir des retraites » Monimmeuble.com
L’étude mondiale HSBC « L’avenir des retraites » souligne l’apparition de nouveaux comportements face à la retraite qui se traduisent par une diminution de la générosité des retraités de demain, certains actifs déclarant privilégier les dépenses à la transmission d’un patrimoine.
www.hsbc.fr
Enquête auprès des jeunes dans la perspective de l'élection présidentielle de...Ipsos France
Notre dernière enquête Ipsos Sopra Steria réalisée pour France Inter révèle une jeunesse très composite et qui a de fortes attentes envers l’élection présidentielle, sans pour autant se sentir bien représentée par les candidats.
La direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) vient de publier une étude sur les travailleurs indépendants et les salariés du privé. Selon l'étude de la DREES, indépendants et salariés du privé ont une vision concordante du système de protection sociale.
En effet, ni indépendants ni salariés du prive ne souhaitent une diminution des prestations sociales en échange d'une baisse des impôts. En revanche, les indépendants sont moins favorables que les salariés du privé à une hausse des cotisations patronales ou des dépenses de santé.
L'étude intégrale de la DREES est reproduite ci-après.
Les jeunes accompagnés par la Mission Locale du Pays de Lorient. Communicatio...AudéLor
Cette étude est née de la volonté de la Mission Locale d’obtenir une connaissance approfondie de la trajectoire d’insertion des jeunes.
Elle s’inscrit dans le cadre de la convention signée entre la Mission Locale et Audélor et s'attache à mieux connaître le parcours d’insertion des jeunes, mais aussi leurs perceptions et leurs besoins d’appui et d’accompagnement.
Pour cette nouvelle enquête dans le cadre de l’Observatoire Enedis, Harris Interactive a invité un échantillon représentatif de jeunes Français âgés de 18 à 34 ans à se prononcer sur le regard qu’ils portent sur le marché du travail et la perspective de la recherche d’emploi.
Similaire à Chercheurs d'emploi dans le Nouveau pays de Lorient. Points de vue et perceptions sur le marché du travail. Communication AudéLor n°134, janvier 2020. (20)
Lorient Agglomération. Votre entreprise, notre priorité. Bienvenue dans la 3è Agglomération de Bretagne. Pourquoi choisir Lorient ?
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Bienvenue dans la 3ème agglomération de Bretagne - votre projet est notre pri...AudéLor
Bienvenue sur l'agglomération de Lorient !
Ce magazine, pratique et facilement consultable, fait état de l’ensemble des informations dont a besoin un porteur de projet ou une entreprise intéressés par le territoire lorientais : son cadre de vie unique, son marché de l’emploi dynamique et diversifié, les filières d’activité présentes, mais aussi les ressources et l’écosystème mis à leur disposition pour accompagner le développement de leur projet.
Une cartographie du territoire permet également de se rendre compte en un seul coup d’œil des sites d’activités, bureaux et espaces collectifs de travails présents, ainsi que des zones et cœur urbains.
www.audelor.com
Agglomération de Lorient : cap sur votre épanouissement !AudéLor
Ce dépliant, ludique et concis, met en avant les atouts du cadre de vie et la diversité de l’offre d’équipements, services, commerces et activités de loisirs ou culturelles dont pourra bénéficier un nouvel arrivant au quotidien sur l'agglomération de Lorient
www.audelor.com
Le Parc Technologique de Soye - Pôle d'innovation de Lorient AgglomérationAudéLor
Implantez votre entreprise au parc de Soye et rejoignez un écosystème innovant et dynamique !
Le Parc de Soye, ce sont 14 hectares orientés sur l’entreprenariat innovant, liant
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2 pépinières d'entreprises :
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2 centres de compétences :
■ IRMA : centre technique pour la conception de pièces techniques par fabrication additive et avec des matériaux de faible impact
■ ComposiTIC (UBS) : plateau technique dédié à la R&D sur la mise en oeuvre de composites innovants
■ 1 Fablab : N°4 - Le fablab du pays de Lorient / Un atout pour favoriser l'innovation !
Découpe laser, imprimante 3D, thermoformeuse, réalité virtuelle… de nombreux moyens de production mis à disposition des entreprises, des étudiants et des particuliers.
Bénéficiez de conseils et du lieu pour prototyper et tester vos idées !
Festival Lorient Océans du 7 au 10 juillet 2022 - Présentation du village innovation proposé par Lorient Technopole - AudéLor et le Pôle Mer Bretagne atlantique
Lorient Agglomération, 3ème agglomération de Bretagne. Un territoire maritime...AudéLor
Un territoire innovant et accueillant... productif... e t touristique
- Un tissu économique diversifié, des savoir-faire spécifiques : Pêche, Agroalimentaire, Tourisme, Construction-Réparation navale, Numérique-Électronique, Nautisme-Matériaux, ÉcoActivités-Énergies…
- Des ambitions basées sur des compétences avérées : hydrogène, propulsion décarbonée, énergies marines renouvelables, alimentation…
- 300 actions / initiatives d’économie verte identifiées, qui limitent la consommation de ressources et les émissions de gaz à effet de serre.
- L’une des 7 Technopoles de Bretagne.
- 400 projets innovants accompagnés par Lorient Technopole entre 2015 et 2020 : 92 % de taux de survie à 5 ans.
- 2 sites d’activités technopolitains : Parc Technologique de Soye et Lorient La Base.
- 4 Centres techniques : ComposiTIC, IDmer (plateforme de recherche et développement pour la transformation de produits alimentaires et la technologie
marine), IFREMER, IRMA (Institut Régional des Matériaux Avancés) et 14 laboratoires de recherche.
- 3 Pépinières d’entreprises, 17 tiers-lieux et espaces collectifs de travail.
- 1 atelier de fabrication numérique et 1 cube de réalité virtuelle « n°4 FabLab ».
- 3 équipements structurants pour le tourisme d’affaires et l’événementiel : Palais des Congrès, Parc des Expos, Salle événementielle K2.
- Le site de Lorient La Base, pôle économique et touristique majeur : Cité de la Voile Éric Tabarly, sous-marin Flore, visites guidées de La Base, Musée sous-marin, Tyrolienne, pôle course au large d’une douzaine de teams...
Le pays de Lorient-Quimperlé vu de l'extérieur. Communication AudéLor n°172, ...AudéLor
AudéLor a réalisé une enquête auprès de 3000 français pour connaître, « vue de l’extérieur », leur perception du pays de Lorient-Quimperlé.
Une enquête réalisée en partenariat avec le cabinet Gece, institut d'études, sondages, enquêtes
Période COVID : le marché de l'immobilier ancien sur le pays de Lorient-Quimp...AudéLor
Représentant chaque année environ trois fois le volume de constructions neuves, le marché de l’ancien joue un rôle majeur dans l’accueil et le maintien de la population sur le territoire.
Le nombre de ventes immobilières (maisons et appartements) a progressivement augmenté de 2014 à 2018 passant de 2660 à 4200 transactions. L’activité du marché a donc été en forte hausse : 12 % par an.
Ainsi, le nombre élevé de transactions a progressivement fait diminuer le stock de logements en vente et la situation de pénurie d’offre sur le marché de l’occasion s’est fait sentir dès la fin de l’année 2019, au cours de laquelle le nombre de transactions est redescendu brutalement à 3500.
L’année 2020, marquée par la crise sanitaire, a également été une année de hausse des prix de l’immobilier assez nette.
Cette étude en évalue l’ampleur et tente, à l’appui d’entretiens menés auprès de professionnels de l’immobilier, d’en identifier les causes.
Période COVID : la construction de logements neufs sur le pays de Lorient-Qui...AudéLor
Les prix de l’immobilier dans l’ancien connaissent de fortes hausses, du fait d’une rétractation de l’offre sur ce marché. La production de logements neufs est donc plus que jamais au coeur des préoccupations pour répondre au besoin des ménages, qu’ils arrivent sur le territoire, déménagent ou décohabitent.
Au coeur des objectifs des SCoT, PLH et PLU, le nombre de logements mis en chantier reste un indicateur majeur des politiques d’urbanisme et d’habitat. Le Pays de Lorient avait connu un net recul en la matière en 2019 (-32,3 % de mises en chantier déclarées), après deux années de fortes hausses.
La baisse du nombre d’autorisations délivrées en 2019 et la crise du COVID-19 faisaient craindre le pire sur la production 2020. Cette dernière ne s’est pas effondrée, connaissant même une très légère hausse.
En revanche, le premier semestre 2021 est marqué par une nette reprise sur Quimperlé Communauté et Blavet Bellevue Océan qui compense le ralentissement sur Lorient Agglomération. De plus, les autorisations (permis de construire) repartent très fortement.
Destination Lorient-Quimperlé. Bilan touristique 2020. Communication AudéLor ...AudéLor
AudéLor réalise chaque année un bilan de l’activité touristique pour la destination Lorient-Quimperlé. Plusieurs indicateurs sont ainsi mesurés : offre et fréquentation des hébergements, des offices de tourisme, des équipements et événements touristiques, des transports, suivi des labels obtenus, etc.
L’activité touristique a sans surprise été touchée par la crise sanitaire de la Covid-19, mais la destination Lorient-Quimperlé, comme la plupart des territoires bretons, a mieux résisté.
Bien que la saison estivale 2020 ait affiché complet, elle n’a pas compensé la baisse de fréquentation annuelle, marquée par des « ailes de saison » creusées par les confinements.
Quelques chiffres de la destination touristique Lorient-Quimperlé :
- 170 km de côte et 22 plages surveillées
- 1700 km de randonnées, 3 véloroutes voies vertes
- 9 bases nautiques, de surf ou d’eau vive, 16 ports de plaisance
- 26 équipements touristiques majeurs de plus de 2000 entrées annuelles (hors Covid), dont : 10 musées, 8 loisirs verts, 4 visites de sites bâtis, 2 visites de sites du vivant
- 3 équipements structurants pour le tourisme d’affaires et l’événementiel
- Un parc diversifié d’hébergements : 52 hôtels, 55 campings, 6 villages de vacances, 6 résidences de tourisme, 4 auberges collectives
- Un territoire labellisé : « Ville et Pays d’Art et d’Histoire », 4 stations classées et 9 communes touristiques, 1 ville de surf, 1 cité fluviale, 4 sites Natura 2000
Ce document est le résultat d’un travail collaboratif mené avec Lorient Agglomération, Quimperlé Communauté, Lorient Bretagne Sud Tourisme, Quimperlé Terre Océane, la Sellor et la Segepex. Il présente des analyses de données à la fois quantitatives, mais aussi qualitatives, collectées notamment auprès des professionnels locaux du tourisme, gestionnaires d’équipements touristiques et organisateurs d’événements.
Nous remercions sincèrement l’ensemble de ces acteurs pour leur précieuse participation, qui permet d’inscrire cet observatoire dans la durée et d’établir des évolutions sur plusieurs années.
Observatoire de l'économie maritime en Bretagne n°2. Juillet 2021AudéLor
L’Observatoire de l’économie maritime en Bretagne est réalisé par les réseaux bretons des chambres de commerce et d’industrie et des agences d’urbanisme et de développement en partenariat et avec le soutien de la Région Bretagne.
Si la Bretagne est sans conteste une région maritime, quel est le poids de cette économie ? Quels en sont les principaux secteurs ? Combien d’établissements et de salariés en dépendent ? Quelles évolutions a-t-elle connues ?
Retrouvez les résultats par filière et par territoire, ainsi qu'un focus sur les effets de la crise sanitaire.
CHIFFRES CLÉS
➡️ 70 350 emplois fin 2019 dans l'économie maritime bretonne
Une croissance de +3% de 2016 à 2019
✅ 2100 emplois supplémentaires en 3 ans
✅ 5 pays bretons avec plus de 4 500 emplois (87% des emplois)
⚓️ 4 grands domaines : Défense liée à la mer, produits de la mer alimentaires, construction et réparation navale et nautisme
➡️ 82,1% des emplois dans ces 4 domaines
Une croissance de +7% des emplois maritimes privés
Les résidences services séniors sur Lorient Agglomération. Communication Audé...AudéLor
Selon les tendances démographiques élaborées par l’Insee Bretagne et les agences d’urbanisme bretonnes, la population augmentera d’ici 2040, avec un nombre de personnes âgées en forte croissance, notamment sur le littoral sud et la zone de Lorient. Ces évolutions à venir sont liées aux grands âges des baby-boomers.
Les enjeux porteront sur les besoins en forte hausse tant en termes de structures d’accueil que de services à la personne permettant aux seniors de rester dans leur logement. Les problématiques d’adaptation des logements, ainsi que d’offre de services adaptés à cette catégorie de population, se poseront également, avec encore plus d’acuité.
AudéLor a réalisé, pour Lorient Agglomération, une étude sur l'ensemble des hébergements des personnes âgées, et en particulier sur les résidences services séniors privés.
Cette étude comprend également une analyse de la démographie des personnes âgées, de leur mobilité résidentielle et de leur niveau de revenus.
Un recueil de témoignages, effectué par AudéLor, auprès des résidents de ces structures, apporte un éclairage contrasté sur divers aspects de la vie en résidences services séniors privées.
Le marché des bureaux sur le Pays de Lorient en 2020. Communication AudéLor n...AudéLor
L'observatoire des bureaux a été mis en place en 2010 à la demande de Lorient Agglomération. Il a pour objectif d'actualiser les caractéristiques et les évolutions du marché local des bureaux, et notamment le niveau de tension offre/demande.
Ce document présente les principaux résultats de la 11ème édition de cet observatoire, réalisée en 2021 sur les données 2020. Il s’appuie sur un travail partenarial d’AudéLor avec Blot Entreprise et l’Immobilière d’Entreprise, que nous remercions pour leur participation active.
En complément, une série de rendez-vous et de contacts préalables ont été menés auprès des professionnels ( propriétaires, commercialisateurs, gestionnaires) locaux de l’immobilier tertiaire : Tourny Meyer, BIIM-Bicheray Immobilier, Celtic Submarine, Patrimoine Expansion, La Colloc, XSEA, CCI du Morbihan, les villes de Lorient et de Ploemeur.
Barographe du Pays de Lorient-Quimperlé n°33. AudéLor, juillet 2021AudéLor
Outil de connaissance du pays de Lorient-Quimperlé, le Barographe propose chaque semestre des synthèses d'études réalisées par AudéLor, ainsi que des éléments de conjoncture économique et une revue de presse.
Les articles à retrouver dans ce numéro :
TERRITOIRE
Les tiers-lieux et espaces collectifs de travail sur le pays de Lorient-Quimperlé
ÉCONOMIE
L'économie verte prend de l'ampleur dans le pays de Lorient-Quimperlé
ÉCONOMIE
Le taux de vacance commerciale passe à la baisse sur Lorient Agglomération
HABITAT
Un parc des logements sociaux entre progression et tension sur Lorient Agglomération
MOBILITÉ
Le point sur la mobilité entre domicile et études dans le pays de Lorient-Quimperlé
TERRITOIRE
Lorient et Saint-Nazaire, regards croisés
CARTOGRAPHIE
Les sites d'activités technopolitains de Lorient Agglomération
Notes de conjoncture et revue de presse
Les niveaux de loyers dans le parc social au 1er janvier 2020 sur Lorient Agg...AudéLor
Depuis 2018, Lorient Agglomération a confié à AudéLor la mission d’observation du parc social.
Il s’agit donc d’un observatoire partenarial qui a pour mission de favoriser la connaissance et la diffusion d’informations dans le domaine du logement social et les échanges entre les différents acteurs concernés (Lorient Agglomération, bailleurs, communes…).
Cette note vise à faire un état des lieux des niveaux de loyers pratiqués dans le parc social au 1er janvier 2020.
A RETENIR
Des efforts importants :
Les loyers du parc social de l’agglomération sont surtout impactés par la typologie et la date de construction du logement
Les loyers pratiqués dans le parc social favorisent une durée d’occupation plus longue
La performance énergétique a très peu d’impact sur les loyers pratiqués
Le parc social de Lorient Agglomération au 1er janvier 2020. Communication Au...AudéLor
La connaissance du parc social aux échelles territoriales pertinentes est un enjeu majeur pour les politiques d’urbanisme et d’habitat compte tenu de sa fonction d’accueil et de son rôle dans le parcours résidentiel des habitants du territoire.
Lorient Agglomération a confié depuis 2018 à AudéLor la mission d’observation du parc social.
Cette note vise à faire un état des lieux du parc locatif des bailleurs sociaux au 1er janvier 2020.
A RETENIR
Des efforts importants :
- Sur le développement de l’offre de petits logements
- Pour une meilleure répartition territoriale dans la production récente
- Pour l’amélioration de la qualité énergétique du parc
Le point sur la démographie du pays de Lorient-Quimperlé. Communication 157, ...AudéLor
Comme chaque année, AudéLor met à votre disposition une fiche récapitulative des résultats du recensement de la population du pays de Lorient - Quimperlé.
Le pays de Lorient - Quimperlé a connu une croissance démographique de +0,32% par an entre 2013 et 2018, soit un tout petit peu moins que la moyenne nationale (+0,35% par an).
Les trois communautés composant le pays de Lorient (Lorient Agglomération, Quimperlé Communauté, Blavet Bellevue Océan) sont en croissance démographique sur la période 2013-2018.
Pour Lorient Agglomération, cette croissance est plus forte entre 2013 et 2018 que sur la période précédente 2008-2013 : +0,30% par an contre +0,25%.
Pour les deux autres communautés la croissance a ralenti :
Quimperlé Communauté : +0,31% contre +1,00%
Blavet Bellevue Océan : +0,52% contre +2,36%
Aux échelles morbihannaise (+0,46% par an), finistérienne (+0,17%), bretonne (+0,47%) et française (+0,35%), les progressions démographiques ont également été ralenties.
Vous trouverez dans cette communication n°157 les résultats détaillés par communes depuis 2008 : les communes ayant connu les plus forte progression démographique (en nombre ou en part) ou les baisses les plus nettes, les changements de tendance.
La vacance commerciale dans les centralités sur Lorient Agglomération : bilan...AudéLor
AudéLor réalise ici le bilan 2018-2021 de la vacance commerciale dans les centralités sur Lorient Agglomération.
Composante essentielle de la dynamique des centres-villes et centres-bourgs, l’activité commerciale fait régulièrement l’objet d’une analyse fine grâce à l’observatoire du commerce réalisé par AudéLor.
Le suivi du taux de vacance dans les centralités permet d’appréhender la « santé » commerciale des villes et des bourgs. Les centralités sont en effet au cœur des enjeux soulevés par le SCoT du Pays de Lorient, notamment au travers du Document d’Aménagement Artisanal et Commercial (DAAC) qui en fait les lieux privilégiés d’implantation pour le commerce.
Sur la période 2018-2021, le taux de vacance est passé de 11,5% à 8,3% soit une baisse significative, puisque le taux a diminué dans plus de la moitié des centralités de l’agglomération.
Mise en œuvre du DAAC, multiplication des projets urbains en faveur des centralités, réajustement des loyers sur le centre-ville de Lorient, retour des consommateurs vers plus de proximité ont sans aucun doute participé activement à faire baisser la vacance. Cependant, les dispositifs de soutien mis en œuvre pendant la crise sanitaire ont brouillé les pistes en préservant les entreprises commerciales sur le court terme n’excluant pas leur fragilisation dans les mois à venir.
Ainsi, le commerce a connu une dynamique positive malgré la période incertaine de sortie de crise qui se dessine pour le secteur.
Les sites d'activités technopolitains de Lorient Agglomération. Communication...AudéLor
Dans le cadre de ses missions d’observatoire des espaces d’activités économiques, AudéLor a réalisé une étude spécifique sur les deux sites d’activités qui constituent les espaces de développement privilégié de l’innovation sur le territoire : le parc technologique de Soye et Lorient La Base.
Lorient Agglomération, 3ème agglomération bretonne (204 107 habitants et près de 80 000 emplois), offre un climat technopolitain et toutes les composantes d’un territoire innovant : université, centres de recherches, activités de pointe, entreprises innovantes, structure d’accompagnement de l’innovation (Technopole), réseaux d’innovation.
En 2020, Lorient Agglomération se positionne en 3ème position dans la dynamique technopolitaine bretonne par le nombre d’entreprises suivies sur des projets innovants par Lorient Technopole.
Cette note synthétique, issue de l’étude, propose un focus sur ces espaces technopolitains.
Saint-Nazaire, Lorient, regards croisés. AudéLor, addrn, mai 2021AudéLor
Ce panorama est le premier d’une série de Portraits croisés thématiques des villes de Lorient et de Saint-Nazaire qui devra répondre à plusieurs attentes : conforter le dialogue entre les deux villes, créer du lien, susciter l’envie, faire ressortir les potentiels.
Il s’appuie sur l’analyse d’indicateurs communs à partir de thèmes récurrents que sont l’emploi, l’économie, la démographie et l’habitat.
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
Les Français et les élections européennes - 9ème vague
Chercheurs d'emploi dans le Nouveau pays de Lorient. Points de vue et perceptions sur le marché du travail. Communication AudéLor n°134, janvier 2020.
1. Chercheurs d’emploi dans le
Nouveau pays de Lorient
Points de vue et perceptions
sur le marché du travail
# 134 / JANVIER 2020
Pays de Lorient
DES CONTACTS AVEC 4200 PERSONNES
DE 18 ANS ET PLUS
Un sondage représentatif a été réalisé par
le cabinet GECE en octobre/novembre 2019
auprès de 600 chercheurs d’emploi1
. Ces
derniers ont été identifiés à partir de 4200
contacts téléphoniques auprès de per-
sonnes de plus de 18 ans résidant sur le
territoire du Nouveau pays de Lorient (Lo-
rient Agglomération, Blavet Bellevue
Océan et Quimperlé Communauté). Le
seul critère pour répondre au question-
naire était d’être à la recherche d’un em-
ploi. Les chercheurs d’emploi enquêtés
peuvent donc être ou non en emploi et être
inscrits ou non à Pôle emploi.
76 % INSCRITS À PÔLE EMPLOI ET 33 %
EN EMPLOI
La grande majorité des “chercheurs d’em-
ploi” sont des “demandeurs d’emploi” ins-
crits à Pôle emploi. Un peu moins d’1 sur 4
n’est pas inscrit. Le taux de non inscrits qui
est de 24 % en moyenne est plus élevé pour
les moins de 30 ans et les chercheurs
d’emploi ayant un emploi.
Une part importante (33 %) des chercheurs
d’emploi exercent une activité. Celle-ci est
souvent en CDD ou en intérim (47 %) et une
fois sur deux à temps partiel. Rappelons
que, parmi les demandeurs d’emploi ins-
crits à Pôle emploi dans le pays de Lorient
en catégories A, B ou C, près de la moitié
(46 %) ont exercé une activité au cours du
mois écoulé (soit les catégories B et C).
53 % DE FEMMES ET 36 % DE DIPLÔMÉS
DU SUPÉRIEUR
Les femmes représentent plus de la moitié
(53 %) des chercheurs d’emploi et les moins
de 30 ans un peu moins d’un tiers (29 %).
41 % des chercheurs ont un niveau de for-
mation infra bac, 23 % le niveau bac et 36 %
un niveau d’au moins bac+2 (40% des
femmes et 33% des hommes). Près de la
moitié des chercheurs d’emploi (45 %) vi-
vent en couple. Près de la moitié également
(47 %) ont des enfants à charge (en étant en
couple ou seul). En matière de revenu du
ménage, les chercheurs d’emploi se répar-
tissent en 3 parts équivalentes : 31 % dispo-
sent de moins de 1000 euros par mois
dans le foyer ; 35 % entre 1000 et 2000 euros
et 34 % au moins 2000 euros par mois2
.
Économie
UNE ENQUÊTE AUPRÈS DE
600 CHERCHEURS D’EMPLOIS
Définition :
catégorie A : demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs
de recherche d'emploi, sans emploi ;
catégorie B : demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs
de recherche d'emploi, ayant exercé une activité réduite courte (i.e.
de 78 heures ou moins au cours du mois) ;
catégorie C : demandeurs d'emploi tenus de faire des actes positifs
de recherche d'emploi, ayant exercé une activité réduite longue (i.e.
plus de 78 heures au cours du mois).
Cette note présente les principaux résultats
d’un sondage représentatif effectué par le ca-
binet GECE et AudéLor auprès des cher-
cheurs d’emploi du Nouveau pays de Lorient.
L’objectif est de mieux connaître leurs aspi-
rations, leurs contraintes et leurs points de
vue sur le marché du travail et la recherche
d’emploi. Cette enquête s’inscrit dans une
étude-action plus large qui vise, dans le cadre
du contrat de Plan État-Région, à mieux
comprendre les difficultés de recrutement
rencontrées par les entreprises et à proposer
des pistes d’action au niveau local.
1
(1) : L’échantillon a été redressé pour que les résultats concernant la partie des chercheurs inscrits à Pôle emploi correspondent
à la répartition par âge et par sexe des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A, B et C.
(2) : La part des 2000 euros et plus par foyer est supérieure à 50 % pour les chercheurs d’emploi en couple et inférieure à 15 %
pour les personnes seules.
2. Parmi ces derniers seulement 14 % dispo-
sent de 3000 euros et plus.
Rappel : au niveau national, seulement
50,6 % des demandeurs d’emploi inscrits
à Pôle emploi (A, B, C) sont indemnisés. Le
montant médian de l’indemnisation est de
1060 € /mois (Source : Pôle emploi). Le taux de
pauvreté est de 37,6 % pour les deman-
deurs d’emploi et 8,2 % pour les actifs oc-
cupés (Source : Insee).
37 % DE CHERCHEURS LONGUE DURÉE
(1 AN ET PLUS)
Plus du tiers des chercheurs d’emploi (37 %)
est en recherche depuis au moins 1 an. Ce
taux est inférieur à celui constaté pour les
demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi
(48,7 % en septembre 2019 pour les catégo-
ries A, B et C). La recherche de longue durée
est plus fréquente que la moyenne pour les
chercheurs de plus de 45 ans (47 %). À
contrario, elle ne concerne que 22 % des
moins de 30 ans.
Les 16 premiers métiers recherchés repré-
sentent 45 % des chercheurs d’emploi.
À noter que 17% des chercheurs d’emploi
ne savent pas quel métier rechercher et
7 % recherchent plusieurs métiers.
LA RECHERCHE D’EMPLOI N’EST PAS MO-
TIVÉE QUE PAR DES RAISONS FINAN-
CIÈRES
L'aspect financier est logiquement la pre-
mière motivation des chercheurs d'emploi
(89 % d’entre eux répondent “oui tout à fait”
ou “plutôt oui”). Mais, ce n’est pas la seule
motivation de la recherche d’emploi.
L’épanouissement personnel est également
très important (85 %). Le fait de se sentir
utile motive également 79 % des chercheurs
d'emploi. En dernière position, on retrouve
l'intégration sociale, aspect moins impor-
tant que les précédents aux yeux des cher-
cheurs d'emploi.
Les motivations varient peu suivant l’âge.
Contrairement à ce qu’on entend parfois,
UNE RECHERCHE D’EMPLOI
AUX MOTIVATIONS PLURIELLES
1
0
5
10
15
20
25
30
Techniciens
de
m
aintenance
Infirm
iers,sages-fem
m
es
Techniciens
adm
inistratifs
et/ou
com
ptables
Cadres
adm
inistratifs
et/ou
com
ptables
Professionnels
des
arts
etdes
spectacles
Em
ployés
adm
inistratifs
d'entreprise
Caissiers,em
ployés
de
libre
service
Assistantes
m
aternelles
Serveurs
restauration
Professionnels
de
l'action
sociale
Conducteurs
de
véhicules
Ouvriers
second
œ
uvre
du
bâtim
ent
Attachés
com
m
erciaux
Aides
à
dom
icile
Secrétaires
Vendeurs
Les 16 premiers métiers recherchés par
les chercheurs d’emploi (en nb de personnes)
Source : Enquête AudéLor-GECE
72%
63%
54%
38%
17%
22%
25%
21%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
des
raisons
alim
entaires
votre
épanouissem
ent
personnel
vous
sentirutile
vous
intégrer
socialem
ent
oui plutôt oui tout à fait
Vous recherchez un emploi pour…
(réponses multiples possibles)
Source : Enquête AudéLor-GECE
2
3. celles des jeunes sont très proches de la
moyenne. On note, toutefois, après 45 ans
une moindre recherche d’épanouissement
personnel. Pour les femmes, l’épanouisse-
ment personnel semble une motivation
plus fréquente que pour les hommes (67 %
de “tout à fait” contre 60 %). Pour les per-
sonnes les moins aisées (moins de 1000
euros par foyer) les raisons financières sont
un peu plus importantes. Mais, pour ces
dernières, l’épanouissement personnel est
aussi une motivation très répandue (84 %
d’entre elles dont 58 % “oui tout à fait”).
Enfin, les personnes seules sans enfant ex-
priment de façon plus forte les motivations
liées à l’intégration sociale.
RECHERCHE DE CDI MAIS AUSSI DE CDD
ET D’INTÉRIM
Une majorité (62 %) de chercheurs d’em-
ploi espère un CDI et une majorité est éga-
lement en quête d’un emploi à temps plein
(60 %). Ce type de recherche n’est toutefois
pas ultra-dominant. Les CDD, les contrats
en intérim et/ou des temps partiels sont
souhaités par des parts significatives des
chercheurs d’emploi. Le CDI à temps plein
n’est finalement attendu de manière ex-
clusive que par 32 % des personnes en-
quêtées.
Les moins de 30 ans sont davantage en
quête de CDD (38 % contre 29 % en
moyenne). Les femmes recherchent en
majorité des temps complets même si les
temps partiels sont légèrement surrepré-
sentés (27 % contre 23 % en moyenne).
Près de la moitié des chercheurs d'emploi
cherchent un emploi à proximité de leur
lieu d'habitation, que ce soit dans leur
commune ou dans une commune limi-
trophe. Leur recherche ne s’étend donc
pas sur l’ensemble du bassin d’emploi.
33 % prospectent dans l’ensemble du Nou-
veau pays de Lorient et seulement 16 %
dans un périmètre plus large.
À noter : au niveau national 42 % des de-
mandeurs d’emploi qui trouvent un emploi
le trouvent dans leur commune de rési-
dence ou à moins de 10 kilomètres (Source :
Éclairage et synthèses - Pôle emploi - N° 51 - Avril 2019).
La recherche au-delà du Nouveau pays de
Lorient est plus fréquente chez les
hommes (23 % contre 11 % pour les
femmes) ; chez les moins de 30 ans (20 %),
les bac +2 (23 %) et les plus aisés (foyer à
2000 € et plus pour 20 %).
À l’inverse, les recherches de proximité sont
plus fréquentes chez les femmes (56 %
contre 48 % en moyenne), les niveaux infra
bac (55 %) et les personnes seules avec en-
fants (59 %).
33 % des chercheurs d'emploi se décla-
rent prêts à déménager du Nouveau pays
de Lorient ou ses environs pour trouver un
emploi correspondant à leurs attentes.
Cette éventualité est nettement moins en-
visagée par les femmes que par les
hommes (rappelons que le périmètre de
recherche de ces derniers est plus large).
UNE FOIS SUR DEUX,
UNE RECHERCHE DE PROXIMITÉ
2
22%
26%
33%
7%
5%
2% 2%
0%
5%
10%
15%
20%
25%
30%
35%
Com
m
une
de
résidenceCom
m
unes
lim
itrophes
N
ouveau
pays
de
Lorient
M
orbihan/Finistère
Bretagne
France
Étranger
Périmètre géographique de la recherche
Source : Enquête AudéLor-GECE
3
4. Économie
Le fait d'être en couple, et particulièrement
avec des enfants, est un réel frein au dé-
ménagement.
Les moins de 30 ans et les hommes sont à
la fois plus souvent enclins à déménager
et en recherche d’emploi sur un périmètre
plus large.
Les chercheurs aux revenus les plus élevés
recherchent un emploi sur un périmètre
plus large mais sont toutefois moins prêts
à déménager (sans doute plus souvent en
couple et plus souvent propriétaires) .
DES DIFFICULTÉS POUR TROUVER UN
EMPLOI
La moitié (52 %) des chercheurs d’emploi
estime qu’il est difficile de trouver du tra-
vail localement dans les métiers qu’ils re-
cherchent.
3 catégories de chercheurs d’emploi ressen-
tent davantage de difficultés à trouver du
travail localement : les femmes (56 % soit 10
points de plus que les hommes), les diplô-
més de l’enseignement supérieur (59 %) et
les 45 ans et plus (55 %). Le taux de chô-
mage décroît avec l’élévation du niveau de
formation. Pourtant les diplômés de l’ensei-
gnement supérieur ressentent des difficul-
tés importantes à trouver localement un
DES DIFFICULTÉS RESSENTIES3
40%
47%
49%
45%
51%
20%
25%
30%
35%
40%
45%
50%
55%
hom
m
es
revenus
foyerinférieurs
à
1000
euros
m
oins
de
30
ans
personnes
seules
sans
enfants
habite
chez
ses
parents
Les profils les plus enclins à déménager
du Nouveau pays de Lorient
25%
21%
18%
10%
15%
20%
25%
fem
m
es
revenus
foyer
de
2000
euros
etplus
couple
avec
enfants
Les profils les moins enclins à déménager
du Nouveau pays de Lorient
Source : Enquête AudéLor-GECE
Source : Enquête AudéLor-GECE
46,0%
56,0%
49,0%
43,0%
59,0%
47,0%
51,0%
55,0%
20% 25% 30% 35% 40% 45% 50% 55% 60%
hommes
femmes
niveau infra
bac
bac
au moins
bac + 2
moins de
30 ans
30-45 ans
45 ans et
plus
Difficulté à trouver du travail localement
dans le métier recherché
Source : Enquête AudéLor-GECE
4
5. emploi dans le métier recherché. Cela peut
illustrer un nombre insuffisant d’emplois de
cadres et de professions intermédiaires par
rapport aux diplômés du supérieur dans un
territoire de taille intermédiaire comme celui
de Lorient (risque de “déclassement”).
DES COMPÉTENCES JUGÉES EN ADÉQUA-
TION AVEC LE MÉTIER RECHERCHÉ
Selon les chercheurs d’emploi, leur diffi-
culté à accéder à l’emploi n’est pas direc-
tement liée à un manque de compétences.
En effet, 82 % d’entre eux estiment détenir
les compétences requises pour exercer le
métier qu'ils recherchent. Les personnes
de niveau au moins bac + 2 sont encore
plus nombreuses (88 %) que les autres à
partager cette opinion.
UNE MINORITÉ DES CHERCHEURS D’EM-
PLOI CONNAIT DES CONTRAINTES PER-
SONNELLES
La plupart des chercheurs d’emploi (67 %)
n’ont pas de contraintes personnelles ou
familiales qui pourraient rendre difficile
leur prise d'un poste. Pour les 33 % d’entre
eux qui en éprouvent, la principale contrainte
concerne la garde des enfants (57 %) loin de-
vant les problèmes de santé (19 %).
Les contraintes sont sensiblement plus
nombreuses chez les femmes (39 %) que
chez les hommes (27 %). Elles sont plus fré-
quentes chez les personnes entre 30 à 45
ans (47 %), les couples avec enfants (46 %)
et les personnes seules avec enfants (52 %).
DES DISCRIMINATIONS RESSENTIES PAR
1 CHERCHEUR D’EMPLOI SUR 4
Un quart des chercheurs d'emploi estime
avoir déjà été victime de discrimination
dans leur recherche d’emploi. Ces discri-
minations portaient principalement sur
l'âge (44 % des personnes concernées)
puis l'origine “ethnique” (25 %) et enfin le
physique (12 %) et le sexe (10 %). Cette pro-
portion ne varie pas de façon significative
selon les différents profils des chercheurs
d'emploi.
PLUTÔT OPTIMISTES À 71 %
Malgré les difficultés rencontrées, les
chercheurs d'emploi restent très majoritai-
rement (71 %) confiants dans leur avenir
professionnel.
À l'opposé, 25 % se déclarent pessimistes.
Ce pessimisme est plus fréquent (au moins
33 %) parmi :
n les personnes disposant des plus
faibles revenus,
n celles de plus de 45 ans,
Faible difficulté à trouver localement
un emploi dans le métier recherché
(moins de 35 %)
Forte difficulté à trouver localement
un emploi dans le métier recherché
(plus de 66 %)
Maraîchers, jardiniers
Ouvriers gros œuvre du bâtiment
Ouvriers second œuvre du bâtiment
Opérateurs IAA
Caissiers, employés de libre-service
Serveurs restauration
Plusieurs métiers recherchés
Secrétaires
Secrétaires de direction
Assistantes maternelles
Professionnels des arts et des spectacles
Infirmiers, sages-femmes
Source : Enquête AudéLor-GECE
NB : Attention ces résultats sont donnés à titre indicatif compte tenu de la faiblesse des effectifs concernés.
5
6. n et les personnes vivant seules, avec ou
sans enfant.
Il est aussi de plus en plus important avec
l'ancienneté de la recherche d'emploi. Il
atteint ainsi 36 % pour les personnes en
recherche depuis au moins 1 an.
UNE MOBILITÉ PROFESSIONNELLE SOU-
VENT ENVISAGÉE
La mobilité professionnelle est plus souvent
envisagée que la mobilité géographique.
Ainsi, 7 chercheurs d'emploi sur 10 seraient
prêts à rechercher un emploi dans un autre
métier ou un autre secteur d’activité. Ce
constat s'observe dans tous les profils de
chercheurs d'emploi. Seuls ceux vivant chez
leurs parents et les bac + 2 et plus se dis-
tinguent en étant plus réticents que les
autres à envisager un tel changement.
Cette disposition à changer de métier se
confirme dans les faits. Au niveau national,
“le retour à l’emploi passe dans près de la
moitié des cas par une mobilité profession-
nelle. C’est vrai en particulier pour ceux qui
connaissent des trajectoires “alternance
emploi-chômage” ou “passage prolongé
par la formation” (Source : Études et recherches-
n°11 –Janvier 2019 Pôle emploi).
De plus faibles dispositions à changer de
métier sont enregistrées dans des métiers
qui requièrent des formations longues ou
qui relèvent de vocation.
62 % des chercheurs d’emploi estiment
qu’il est facile de s’informer sur les sec-
teurs et les métiers qui recrutent loca-
lement. Il y a peu d’écart de ce point de
vue entre les profils. Seuls les chercheurs
inscrits à Pôle emploi et ceux qui sont
sans emploi enregistrent des taux signi-
ficativement plus élevés (respectivement
65 % et 66 %).
LA FORMATION : 1ER
BESOIN POUR TROU-
VER UN EMPLOI
FORMATION ET ACCOMPAGNE-4
MENT : DES BESOINS EXPRIMÉS PAR
LES CHERCHEURS D’EMPLOI
Économie
Faible disposition à changer de métier
(moins de 55 %)
Forte disposition à changer de métier
(plus de 80 %)
Jardiniers maraîchers
Techniciens maintenance
Cadres administratifs ou comptables
Infirmiers, sages-femmes
Ouvriers gros œuvre du bâtiment
Plusieurs métiers recherchés
Métier inconnu
Caissiers, employés de libre-service
Vendeurs
Serveurs restauration
70%
53% 51%
17%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
vous
form
er
m
ieux
définir
votre
projetprofessionnel
être
davantage
accom
pagné
autre
Les besoins pour trouver un emploi
qui convient aux chercheurs d’emploi
Source : Enquête AudéLor-GECE
Source : Enquête AudéLor-GECE
NB : Attention ces résultats sont donnés à titre indicatif compte tenu de la faiblesse des effectifs concernés.
6
7. La formation est le 1er
besoin exprimé. Cela
n’est pas en contradiction avec la conviction
de détenir des compétences pour le métier
recherché exprimée par 82 % des cher-
cheurs d’emploi. En effet, la formation peut
également être vue comme nécessaire pour
changer de métier, possibilité également
largement partagée par les chercheurs
d’emploi. Il s’agit ici d’un emploi “qui vous
convient” qui peut être dans un autre métier
que celui recherché dans l’immédiat.
Les deux autres besoins portant sur la dé-
finition du projet professionnel et l’accom-
pagnement sont également exprimés par
plus de la moitié des chercheurs d’emploi.
Par rapport à la moyenne, ces 3 besoins
sont exprimés de manière plus importante
par les niveaux infra bac.
Selon les chercheurs d’emploi, 2 raisons
dominent pour expliquer les difficultés de
recrutement rencontrées par les entre-
prises :
n le manque d’attractivité des postes
(salaires, horaires, conditions de travail…)
n et l’accès géographique difficile (entre-
prises éloignées, manque de transport en
commun…).
La question du manque de compétences
des chercheurs d’emploi arrive seulement
en 3ème
position et le manque d’envie de
travailler en 4ème
.
Ces résultats sont très différents du point
de vue exprimé par les employeurs. Selon
les enquêtes réalisées auprès des em-
ployeurs au niveau national par Pôle em-
ploi (Éclairages et synthèses n°40 - décembre 2017) et
l’Insee (Insee Focus n°106 - 21 décembre 2017), la 1ère
raison des difficultés est la “pénurie de for-
mation” ou “l’indisponibilité d’une main
d’œuvre compétente”.
Pour la totalité des chercheurs d’emploi,
on retrouve aux 2 premiers rangs des dif-
ficultés de recrutement des entreprises
les motifs du manque d’attractivité des
postes et de l’accès géographique difficile.
Le sujet de l’accès géographique devance
le manque d’attractivité pour quelques
profils : revenus de moins de 1000 € dans
le foyer, niveau inférieur au bac ou cher-
cheurs depuis 1 an ou plus.
En ce qui concerne le manque de compé-
tences des chercheurs d’emploi, il est lo-
giquement plus fréquemment cité chez
les chercheurs de niveau infra bac (59 %)
et nettement moins chez les bacs +2 et
plus (46 %).
MANQUE D’ATTRACTIVITÉ DES5
POSTES : 1ère
RAISON DES DIFFICUL-
TÉS DE RECRUTEMENT SELON LES
CHERCHEURS D’EMPLOI
62%
60%
52%
38%
20%
25%
30%
35%
40%
45%
50%
55%
60%
65%
atttractivité
des
postes
accès
géographique
difficile
m
anque
de
com
pétences
des
chercheurs
d'em
ploi
m
anque
d'envie
de
travaillerdes
chercheurs
d'em
ploi
Les raisons des difficultés de
recrutement des entreprises selon
les chercheurs d’emploi
Source : Enquête AudéLor-GECE
7
8. Économie
Le manque d’envie de travailler des cher-
cheurs d’emploi est globalement peu cité.
Il l’est encore moins par les femmes, les
plus de 45 ans, les chercheurs “longue
durée” (depuis au moins 1 an) et les bac+2
et plus.
Dans le cadre de l’enquête, une sélection
de 14 métiers en tension a été proposée
aux chercheurs d’emploi. Il leur a été de-
mandé de dire s’ils étaient potentiellement
disposés (“oui” ou “oui pourquoi pas”) à
exercer ces métiers.
PARMI 14 MÉTIERS EN TENSION, SEULS
2 MÉTIERS RELATIVEMENT ATTRACTIFS
Parmi les 14 métiers en tension proposés,
seuls 2 métiers apparaissent relativement
“attractifs” auprès de l’ensemble des cher-
cheurs d’emploi (au moins 40 % de per-
sonnes sont potentiellement prêtes à les
exercer). Il s’agit des :
n aides à domicile,
n agents de propreté.
À l’inverse, 5 métiers sont jugés “peu at-
tractifs” auprès de l’ensemble des cher-
cheurs d’emploi (moins de 25 % de
personnes sont prêtes à les exercer). Il
s’agit des maçons, des employés de
marée, des conducteurs routiers, des sou-
deurs/usineurs et des mécaniciens.
7 métiers en tension se situent dans une
situation intermédiaire autour de 35 %.
DES NUANCES SENSIBLES SELON LES
PROFILS DE CHERCHEURS D’EMPLOI
Métiers attractifs
Le métier d’aide à domicile est jugé attrac-
tif par les femmes (50 % d’entre elles), les
chercheurs de niveau bac (41 %) et infra bac
(50 %) et également les moins de 45 ans.
À l’inverse, il ne l’est pas pour les hommes,
les plus diplômés (au moins bac+2) et les
plus aisés (foyers avec au moins 2000
euros par mois)
En ce qui concerne les agents de propreté,
l’attractivité concerne aussi bien les
hommes que les femmes et les moins de
45 ans. Ils ne sont, en revanche, guère pri-
sés par les chercheurs disposant d’un bac
et plus et par les plus aisés (foyer avec au
moins 2000 euros par mois).
3 autres métiers en tension sont attractifs
pour seulement quelques profils :
n Pour les diplômés de l’enseignement
supérieur et les plus aisés (foyer avec au
moins 2000 euros par mois)
n Les métiers de la comptabilité
n Les informaticiens
n Pour les chercheurs d’emploi de ni-
veau infra bac : les opérateurs IAA.
UNE OUVERTURE SÉLECTIVE6
AUX MÉTIERS EN TENSION
M
açon
Em
ployé
de
m
arée
Conducteurroutier
Soudeur/usineur
M
écanicien
Cuisinier
Serveurrestauration
Ouvrieragricole
Inform
aticien
M
étiers
de
la
com
ptabilité
Opérateurde
production
agroalim
entaire
Technicien
de
m
aintenance
Aides
à
dom
icile
Agentde
propreté
41%
40%
35%
33%
30%
29%
28%
28%
27%
24%
22%
21%
21%
16%
Pourcentage de personnes potentiellement prêtes
à aller travailler dans 14 métiers en tension
Source : Enquête AudéLor-GECE
8
9. Métiers peu attractifs
Les 5 métiers jugés globalement peu at-
tractifs ne sont pas jugés comme tels par
les hommes. Pour ces derniers, les mé-
tiers considérés comme peu attractifs sont
ceux de cuisiniers et de serveurs. Pour les
femmes, on compte 8 métiers peu attrac-
tifs : mécanicien, soudeur usineur,
conducteur routier, employé de marée,
maçon mais aussi informaticien, ouvrier
agricole et technicien de maintenance. Il y
a donc une perception des métiers en ten-
sion fortement marquée par le genre.
Par ailleurs, l’âge joue aussi un rôle impor-
tant. Ainsi, pour les moins de 30 ans, seuls
2 métiers en tension sont considérés
comme peu attractifs les employés de
marée et les maçons, contre 8 pour les
plus de 45 ans.
Le niveau de formation influence aussi l’at-
tractivité des métiers en tension. Ainsi, seuls
3 métiers en tension sont jugés peu attrac-
tifs par les infra bac : métiers de la compta-
bilité, conducteurs routiers et maçons.
Pour les bac+2 et plus, le nombre est beau-
coup plus important. Ce sont 10 métiers en
tension sur 14 qui sont jugés peu attractifs :
les 5 métiers jugés peu attractifs par l’en-
semble des demandeurs d’emploi ainsi que
les opérateurs IAA, les agents de propreté,
les cuisiniers, les serveurs et les ouvriers
agricoles.
L’ATTRACTIVITÉ DES MÉTIERS EN TEN-
SION DÉCLINE QUAND LE NIVEAU DE
FORMATION S’ÉLÈVE
Les profils les plus ouverts aux métiers en
tension sont les hommes (“attirés” par au
moins 4 métiers en tension), les niveaux
infra bac (5 métiers) et les personnes dont
les ressources du foyer sont inférieures à
1000 € par mois (4 métiers).
0 1 2 3 4 5 6
moyenne
hommes
femmes
moins
de 30 ans
30-45 ans
45 ans et
plus
inf bac
bac
bac +2 et
plus
moins de
1000 €
1000 à
2000 €
2000 €
et plus
Nombre de métiers en tension jugés
“attractifs” (au moins 40 % de personnes
prêtes à les exercer)
4
5
4
Source : Enquête AudéLor-GECE
9
10. Économie
Les profils les plus fermés aux métiers en
tension sont :
n les femmes (8 métiers “peu attractifs”),
n les 45 ans et plus (8 métiers),
n les bac+2 et plus (10 métiers),
n les foyers avec plus de 2000 € par
mois (10 métiers).
Le métier d’origine des chercheurs d’em-
ploi influence leur ouverture aux métiers
en tension. 10 professions sont ainsi fer-
mées aux métiers en tension et seule-
ment 5 sont ouvertes. On peut noter que
les personnes les plus ouvertes aux mé-
tiers en tension sont déjà positionnées sur
des métiers qui connaissent des tensions
(BTP, transport, restauration).
Parmi les moins ouvertes, on note des
métiers qui requièrent davantage de di-
plômes et de formation longue. Il s’agit
aussi de métiers plus féminins et plus ter-
tiaires.
0 2 4 6 8 10 12
moyenne
hommes
femmes
moins
de 30 ans
30-45 ans
45 ans et
plus
inf bac
bac
bac +2 et
plus
moins de
1000 €
1000 à
2000 €
2000 €
et plus
Nombre de métiers en tension jugés
“peu attractifs” (moins de 25% de personnes
prêtes à les exercer)
8
8
10
10
Source : Enquête AudéLor-GECE
Faible ouverture aux métiers en tension
(plus de 8 métiers jugés “peu attractifs”)
Forte ouverture aux métiers en tension
(plus de 5 métiers jugés “attractifs”)
Techniciens de maintenance
Secrétaires
Techniciens administratifs et/ou comptables
Cadres administratifs et/ou comptables
Caissiers, employés de libre-service
Vendeurs
Attachés commerciaux et représentants
Assistantes maternelles
Professionnels de l'action sociale
Infirmiers, sages-femmes
Ouvriers du gros œuvre du bâtiment
Ouvriers du second œuvre du bâtiment
Conducteurs de véhicules
Cuisiniers
serveurs de la restauration
Aide à la lecture :
Les chercheurs d’emploi qui recherchent dans les
métiers de vendeur sont faiblement ouverts aux
métiers en tension (plus de 8 métiers jugés peu at-
tractifs).
Source : Enquête AudéLor-GECE
NB : Attention ces résultats sont donnés à titre indicatif compte tenu de la faiblesse des effectifs concernés.
10
11. Jeunes (moins de 30 ans)
n Recherches de CDD plus fréquentes mais aussi de temps plein
n Recherches géographiques plus larges et beaucoup plus enclins à déménager
n Motivations de recherche d’emploi identiques à la moyenne
(revenus et épanouissement)
n Plus ouverts aux métiers en tension (11 métiers/14)
n Moins de contraintes personnelles
n Recherche d’emploi plus facile à vivre et plus optimistes sur leur avenir
Femmes
n Temps partiel davantage recherché (mais seulement 27 %)
n Recherche géographique moins large et peu enclines à déménager (25%)
n Plus de contraintes personnelles et familiales
n Ouverture plus rare aux métiers en tension (2 métiers/14)
n Travail plus difficile à trouver ; recherche d’emploi plus difficile à vivre
Hommes
n Temps plein davantage recherché (67 %)
n Périmètre de recherche plus large (23% hors du pays de Lorient)
et plus enclin à déménager (41 %)
n Plus ouverts aux métiers en tension (4/14)
n Travail plus facile à trouver ; recherche d’emploi plus facile à vivre (42%)
Niveaux infra bac
n Recherche d’intérim plus fréquente (22 %)
n Motivations de recherche d’emploi identiques (revenus et épanouissement)
n Ouverts aux métiers en tension (7 métiers/14)
n Plus facile de trouver du travail
n Difficultés de recrutement : manques de compétences ou d’envie
plus souvent évoqués
n Davantage de besoins de formation et de conseil
n Recherche d’emploi plus souvent très difficile à vivre (21 %)
Bac +2 et plus
n Sentiment plus fort de détenir les compétences pour exercer le métier recherché
n Périmètre plus large et plus enclin à déménager
n Moins mobiles professionnellement
n Très peu ouverts aux métiers en tension (2/14)
n Moins de contraintes familiales
n Difficile de trouver du travail dans leur secteur/métier
ZOOMS SUR LES
SPÉCIFICITÉS
PAR PROFIL
11
12. ENQUÊTE CHERCHEURS D’EMPLOI : 8 ÉLÉMENTS À RETENIR
12 avenue de la Perrière
56324 Lorient cedex
02 97 12 06 40
www.audelor.com
Contact : Gilles Poupard
02 97 12 06 67
Directeur de la publication : Philippe Leblanche - ISSN 2118-1632
66 Rue des Polieux,
35000 Rennes
02 23 30 77 32
www.gece.fr
Pour télécharger
les communications
d'AudéLor : www.audelor.com
600 chercheurs d’emploi enquêtés
70% sont prêts à changer de métier ou de secteur
52% des chercheurs d’emploi expriment des difficultés à trouver un emploi
33% connaissent des contraintes personnelles
selon eux, les deux premières raisons des difficultés de recrutement
sont l’attractivité des postes et l’accès géographique difficile
parmi 14 métiers en tension seuls 2 sont jugés globalement attractifs
L’attractivité des métiers en tension est plus faible pour les jeunes,
les diplômés du supérieur et les familles les plus aisées
pour 48% des chercheurs d’emploi, la recherche d’emploi s’effectue
dans la commune de résidence ou les communes limitrophes