MARKETBEAT France INVESTISSEMENT Commerces SPECIAL MAPIC 2017 en demi-teinte mais croissance des volumes attendue en 2018 !
Volume d'investissement...fin des années record ?
Bureaux, Logistique…et commerces….
Un peu plus de 14 milliards d’euros ont été investis sur le marché français de l’investissement en immobilier d’entreprise banalisé sur les 9 premiers mois de l’année 2017. Ce volume s’inscrit en repli d’une année sur l’autre avec une contraction observée tant en volume (-9%) qu’en nombre de transactions (-4%). Sans réelle surprise, le compartiment « bureau » continue de drainer la très grande majorité des capitaux engagés, avec 9,5 milliards de transactions depuis le début de l’année. Plus surprenante est la montée en puissance des actifs logistiques (2,8 milliards d’euros investis) dont les volumes dépassent pour la 1ère fois ceux placés dans des actifs commerciaux (2 milliards d’euros).
Commerces : fin de la parenthèse enchantée ?
Depuis le point haut atteint en 2014 (6,4 milliards d’euros de cessions), la tendance est clairement au ralentissement sur le marché de l’investissement en commerces. Ce mouvement est observable depuis 2015 mais s’est très nettement accentué en 2017 : ainsi au terme du 3ème trimestre, on ne compte que 2 milliards d’euros d’acquisitions, soit 14% du volume total investi. Ce ratio tranche très nettement avec la moyenne de 22% relevée entre 2009 et 2016.
Il faut dire que les fonds d’investissement et grandes foncières - détentrices de centres commerciaux et d’actifs de centres ville - en ont terminé avec leur plan d’arbitrage et que le marché n’est donc plus alimenté que par la rotation naturelle des actifs détenus par les fonds d’investissement et par les livraisons de nouveaux actifs (centres commerciaux, retail parks ou encore magasins d’usines) développés par les promoteurs. Les doutes sur les capacités de réemploi du fruit d’éventuelles cessions dans un contexte de marché relativement sous-offreur freinent à l’évidence les arbitrages potentiels. Citons enfin quelques marketings avortés pour lesquels les aspirations des vendeurs en termes de prix n’ont pas rencontré l’adhésion des candidats acquéreurs, pourtant encore nombreux sur le segment des commerces.
L’ensemble de ces facteurs explique la contraction des volumes des opérations de cessions réalisées depuis le début de l’année. Le 4ème trimestre, bien que promettant un sursaut d’activité, ne pourra renverser cette tendance; l’année 2017 devrait donc s’achever sur un montant total d’investissement voisin de 3 milliards d’euros, ramenant le marché à sa performance de 2010-2013.
Téléchargez l'étude complète ici-dessus.
Cushman & Wakefield
Etude Apec - Recrutements de cadres : les dynamiques régionalesApec
- Quelles sont les caractéristiques des marchés régionaux du recrutement de cadres ?
- Quelles sont les régions les mieux orientées pour 2017 ?
Si dans l’ensemble des régions, les entreprises devraient enregistrer des hausses de recrutement de cadres en 2017, l’année 2016 s’est révélée plus contrastée.
Dans certaines d’entre elles, le marché de l’emploi cadre s’est révélé dynamique et fluide : Ile-de-France et Pays de la Loire mais aussi dans une moindre mesure Auvergne-Rhône-Alpes et Hauts-de-France.
Dans d’autres, la reprise ne s’est pas enclenchée aussi nettement. En Normandie et Centre-Val de Loire par exemple, le marché de l’emploi cadre s’est inscrit avec retard dans la dynamique de reprise. De même, en Bourgogne-Franche-Comté et Grand Est les marchés se sont montrés encore affaiblis par rapport à la tendance nationale.
Si 2017 s’inscrit dans la dynamique de 2016, toutes les régions n’en bénéficient pas de façon homogène.
Les spécificités sectorielles des régions s’impriment en toile de fond des recrutements de cadres.
Le marché des bureaux en Ile de-france - Bilan et perspectives 2014JLL France
• La pénurie de grandes transactions et de clés-en-main a fortement impacté la demande placée qui devrait atteindre environ 1,7 million de mètres carrés en fin d’année.
• Le marché de l’investissement devrait de nouveau être un bon cru cette année et atteindre environ 11 milliards d’Euros avec des taux de rendement prime stables à 4,50% dans le QCA.
• La reprise économique devrait progressivement permettre au marché de redémarrer au 2e semestre alors que l’on peut encore attendre une première moitié d’année au ralenti. Sur la totalité de l’année on peut anticiper une activité en légère hausse entre 1,9 et 2,1 millions de mètres carrés.
• Les valeurs locatives resteront sous pression et le marché favorable aux entreprises. Dans le QCA, compte tenu de la baisse déjà actée et du faible niveau de l’offre, le loyer prime devrait rester stable sur l’année.
• Le marché de l’investissement continuera sur sa bonne lancée et devrait entériner entre 10 et 12 milliards d’Euros d’investissements en 2014.
• Son attractivité auprès des investisseurs internationaux et la forte compétition sur les actifs « Core » pourrait amener à une légère compression des taux pour les meilleurs produits.
Panorama bureaux en Ile-de-France 3T 2013JLL France
• Le marché locatif continue à ralentir, impacté par le fort repli des transactions en clés-en-main.
• L’offre immédiate poursuit son ascension tandis que l’offre neuve demeure contenue.
• Les loyers demeurent sous pression.
• Plus de 7,9 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année 2013, soit une hausse de 8% en un an.
• 20 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées sur les neufs premiers mois de l’année
• Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
Bpifrance le Lab - PME - 63e enquête de conjoncture - Juillet 2016Bpifrance
Accélération de l’activité, amélioration de la situation financière, assouplissement des conditions d’accès aux crédits : la 63ème enquête de conjoncture PME de Bpifrance le Lab fait état d’un optimisme et d’un contexte très favorable, inédit depuis 5 ans parmi les PME françaises !
Baromètre Image PME du 3ème Trimestre 2017 : Il a été créé à partir de Statexpert, la base de données statistiques de la profession comptable issue des flux des télédéclarations fiscales et sociales (découvrez le motion design de présentation : https://www.dropbox.com/s/8s3czckh9nmymnw/001-StateExpert.mp4?dl=0
Etude Apec - Recrutements de cadres : les dynamiques régionalesApec
- Quelles sont les caractéristiques des marchés régionaux du recrutement de cadres ?
- Quelles sont les régions les mieux orientées pour 2017 ?
Si dans l’ensemble des régions, les entreprises devraient enregistrer des hausses de recrutement de cadres en 2017, l’année 2016 s’est révélée plus contrastée.
Dans certaines d’entre elles, le marché de l’emploi cadre s’est révélé dynamique et fluide : Ile-de-France et Pays de la Loire mais aussi dans une moindre mesure Auvergne-Rhône-Alpes et Hauts-de-France.
Dans d’autres, la reprise ne s’est pas enclenchée aussi nettement. En Normandie et Centre-Val de Loire par exemple, le marché de l’emploi cadre s’est inscrit avec retard dans la dynamique de reprise. De même, en Bourgogne-Franche-Comté et Grand Est les marchés se sont montrés encore affaiblis par rapport à la tendance nationale.
Si 2017 s’inscrit dans la dynamique de 2016, toutes les régions n’en bénéficient pas de façon homogène.
Les spécificités sectorielles des régions s’impriment en toile de fond des recrutements de cadres.
Le marché des bureaux en Ile de-france - Bilan et perspectives 2014JLL France
• La pénurie de grandes transactions et de clés-en-main a fortement impacté la demande placée qui devrait atteindre environ 1,7 million de mètres carrés en fin d’année.
• Le marché de l’investissement devrait de nouveau être un bon cru cette année et atteindre environ 11 milliards d’Euros avec des taux de rendement prime stables à 4,50% dans le QCA.
• La reprise économique devrait progressivement permettre au marché de redémarrer au 2e semestre alors que l’on peut encore attendre une première moitié d’année au ralenti. Sur la totalité de l’année on peut anticiper une activité en légère hausse entre 1,9 et 2,1 millions de mètres carrés.
• Les valeurs locatives resteront sous pression et le marché favorable aux entreprises. Dans le QCA, compte tenu de la baisse déjà actée et du faible niveau de l’offre, le loyer prime devrait rester stable sur l’année.
• Le marché de l’investissement continuera sur sa bonne lancée et devrait entériner entre 10 et 12 milliards d’Euros d’investissements en 2014.
• Son attractivité auprès des investisseurs internationaux et la forte compétition sur les actifs « Core » pourrait amener à une légère compression des taux pour les meilleurs produits.
Panorama bureaux en Ile-de-France 3T 2013JLL France
• Le marché locatif continue à ralentir, impacté par le fort repli des transactions en clés-en-main.
• L’offre immédiate poursuit son ascension tandis que l’offre neuve demeure contenue.
• Les loyers demeurent sous pression.
• Plus de 7,9 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année 2013, soit une hausse de 8% en un an.
• 20 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées sur les neufs premiers mois de l’année
• Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
Bpifrance le Lab - PME - 63e enquête de conjoncture - Juillet 2016Bpifrance
Accélération de l’activité, amélioration de la situation financière, assouplissement des conditions d’accès aux crédits : la 63ème enquête de conjoncture PME de Bpifrance le Lab fait état d’un optimisme et d’un contexte très favorable, inédit depuis 5 ans parmi les PME françaises !
Baromètre Image PME du 3ème Trimestre 2017 : Il a été créé à partir de Statexpert, la base de données statistiques de la profession comptable issue des flux des télédéclarations fiscales et sociales (découvrez le motion design de présentation : https://www.dropbox.com/s/8s3czckh9nmymnw/001-StateExpert.mp4?dl=0
Panorama bureaux en Ile-de-France au 1T 2013JLL France
Trajectoires divergentes
Le marché locatif fléchit au 1er trimestre face à une situation macro-économique toujours compliquée.
Depuis 2009, l’offre immédiatement disponible n’évolue quasiment pas et reste plafonnée à près de 3,6 millions de m².
Le loyer prime du QCA acte une nouvelle baisse au 1er trimestre et s’établit désormais à 760 €/m².
Plus de 2 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année, soit une hausse de 43% en un an.
5 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées au 1er trimestre 2013.
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
61e enquête de conjoncture des PME - Juillet 2015Bpifrance
Bpifrance réalise une enquête semestrielle de conjoncture à partir d'un échantillon de plusieurs milliers de PME françaises. Les principaux paramètres économiques et financiers – activité, emploi, situation financière, investissement et financement – sont analysés.
La vacance commerciale dans les centralités sur Lorient Agglomération : bilan...AudéLor
AudéLor réalise ici le bilan 2018-2021 de la vacance commerciale dans les centralités sur Lorient Agglomération.
Composante essentielle de la dynamique des centres-villes et centres-bourgs, l’activité commerciale fait régulièrement l’objet d’une analyse fine grâce à l’observatoire du commerce réalisé par AudéLor.
Le suivi du taux de vacance dans les centralités permet d’appréhender la « santé » commerciale des villes et des bourgs. Les centralités sont en effet au cœur des enjeux soulevés par le SCoT du Pays de Lorient, notamment au travers du Document d’Aménagement Artisanal et Commercial (DAAC) qui en fait les lieux privilégiés d’implantation pour le commerce.
Sur la période 2018-2021, le taux de vacance est passé de 11,5% à 8,3% soit une baisse significative, puisque le taux a diminué dans plus de la moitié des centralités de l’agglomération.
Mise en œuvre du DAAC, multiplication des projets urbains en faveur des centralités, réajustement des loyers sur le centre-ville de Lorient, retour des consommateurs vers plus de proximité ont sans aucun doute participé activement à faire baisser la vacance. Cependant, les dispositifs de soutien mis en œuvre pendant la crise sanitaire ont brouillé les pistes en préservant les entreprises commerciales sur le court terme n’excluant pas leur fragilisation dans les mois à venir.
Ainsi, le commerce a connu une dynamique positive malgré la période incertaine de sortie de crise qui se dessine pour le secteur.
Etude Apec - Prévisions 2018-2020 des recrutements de cadres en France - juil...Apec
Après une année 2017 de très bonne facture formalisée par une croissance économique de +2,3 % s’appuyant sur des moteurs très actifs (investissement, consommation des ménages et commerce extérieur), le soufflé devrait quelque peu retomber en 2018. En effet, la progression du produit intérieur brut pourrait se limiter à +1,9 % selon l’OCDE. Cette légère baisse de tension devrait être imputable à une hausse moins tonique de l’investissement (+3,7 % en 2018 contre +4,7 % en 2017) avec notamment des dépenses des ménages en biens immobiliers moins intenses.
Pour autant, le chemin de croissance qui semble se dessiner pour les trois prochaines années reste bien orienté. Selon les prévisions retenues par l’Apec, la progression du PIB pourrait perdurer aux alentours de +1,8 % en 2019 et +1,6 % en 2020, prenant appui sur des dépenses d’investissement des entreprises toujours robustes. Pour mémoire, la croissance française était en moyenne de +0,8 % entre 2012 et 2016.
Selon ce scénario de « Croissance installée » privilégié par l’Apec, le volume de recrutements de cadres pourrait avoisiner les 251 000 en 2018 et atteindre 260 000 en 2020.
Certains aléas économiques (cours du pétrole, tensions protectionnistes et commerciales, etc.) et politiques (conséquences des dernières élections en Italie, etc.) pourraient perturber ces prévisions.
Bpifrance le Lab - PME - 64e enquête de conjoncture - Janvier 2017Bpifrance
Depuis 32 ans, Bpifrance réalise une enquête semestrielle de conjoncture à partir d'un échantillon de plusieurs milliers de PME installées en France. Les principaux paramètres économiques et financiers – activité, emploi, situation financière, investissement et financement – sont analysés avec une distinction PME innovantes et/ou internationalisées. Découvrez aujourd’hui les résultats de la 64 e enquête de conjoncture PME.
Covid-19 - Quelles perspectives pour le marché français de l'investissement ?Knight Frank France
Le marché de l'investissement a démarré l'année en trombe, avec une hausse de 28 % sur un an des sommes engagées en immobilier d’entreprise en France. Knight Frank dresse le bilan du 1er trimestre 2020 et livre quelques pistes de réflexion sur l'impact du Covid-19 (acteurs, typologies d’actifs, financements, etc.).
Etude Apec / Intergros - Le marché de l'emploi cadre dans le commerce interen...Apec
La création d’emplois cadres a repris dans le commerce interentre-prises en 2018
- Un climat des affaires en amélioration dans le commerce interentreprises.
- Après avoir enregistré des destructions d’emplois cadres en 2017, le secteur a créé près de 2 800 postes en 2018.
- Cette dynamique retrouvée s’explique par la hausse des recrutements (+13 % sur un an) et des promotions internes de salariés non-cadres au statut de cadre (+22 %) alors que les sorties de cadres ont diminué de 17 % dans le même temps.
La dynamique de recrutement devrait se poursuivre en 2019
- Le volume des recrutements de cadres prévus dans le commerce interentreprises pourrait varier entre 12 230 et 11 330, soit une hausse comprise entre 1 % et 8 % par rapport à 2018.
- Si les entreprises restent prudentes, elles envisagent plutôt une croissance de leur effectif cadre dans 11 % des cas. Les cadres commerciaux de 6 à 10 ans d’expérience sont les princi-pales cibles des recruteurs
- Les cadres de 6 à 10 ans d’expérience représenteraient plus de 3 recrutements de cadres sur 10 en 2019.
- Les profils de cadres commerciaux représenteraient plus de la moitié des recrutements du secteur.
Découvrez les résultats de la 59ème enquête semestrielle de conjoncture des PME réalisée par Bpifrance Le Lab. L'étude a été réalisée en interrogeant 28 000
entreprises de 1 à 249 salariés début mai 2014. L’analyse s’appuie sur un échantillon de 4 092 réponses jugées complètes et fiables.
Des perspectives de croissance positives pour 2014 pour les entreprises de l’industrie et des secteurs « B to B »ainsi que pour les PME innovantes et exportatrices. Une accélération modeste
anticipée pour 2015. Des effectifs qui se stabilisent.
Etude Apec - Prévisions 2015-2017 des recrutements de cadres en FranceApec
Actualisation des prévisions de recrutements de cadres pour 2015-2017.
Maintes fois annoncée et toujours repoussée, la reprise économique devrait prendre corps en 2015. Après trois années d’espoirs déçus et une faible croissance oscillant entre +0,7 % et +0,2 % entre 2012 et 2014, le PIB progresserait à hauteur de +1,2 % en 2015 selon l’Insee. Cette progression est portée, en partie, par des circonstances extérieures favorables (baisse du prix du pétrole et dépréciation de l’euro) et le rebond de la consommation des ménages au cours du 1er semestre 2015. L’investissement des entreprises devrait prendre le relais au cours du second semestre 2015 et dessiner les contours d’une reprise tangible et pérenne. Cette embellie économique fait consensus parmi les principaux instituts de conjoncture (OCDE, FMI, Eurostat, Insee…) qui tablent sur une croissance économique progressive. Elle constitue l’ossature du scénario privilégié par l’Apec avec une prévision de croissance qui oscille entre +1,5 % en 2016 et +1,7 % en 2017. Dans ce scénario, l’investissement formalisé par la Formation Brute de Capital Fixe retrouverait quant à lui des taux d’évolution positifs (+1 % en 2016 et +1,2 % en 2017). Dans cette configuration, les recrutements de cadres retrouveraient des niveaux élevés et approcheraient le niveau d’avant la crise de 2008/2009, avec 195 000 embauches de cadres en 2016, pour le dépasser en 2017 (avec 214 000 embauches de cadres).
Bpifrance le Lab - PME - 65e enquête de conjoncture - Juillet 2017Bpifrance
Depuis 32 ans, Bpifrance réalise une enquête semestrielle de conjoncture à partir d'un échantillon de plusieurs milliers de PME installées en France. Les principaux paramètres économiques et financiers – activité, emploi, situation financière, investissement et financement – sont analysés avec une distinction PME innovantes et/ou internationalisées. Découvrez aujourd’hui les résultats de la 65 e enquête de conjoncture PME.
Knight Frank, conseil international en immobilier d'entreprise, présente chaque trimestre son analyse du marché de l'investissement. Découvrez notre publication du 2ème trimestre 2017. Pour plus d'informations sur Knight Frank, rendez-vous sur knightfrank.fr et immobilier.knightfrank.fr
[FW Invest Mai] Près de 187 millions d’euros levés dans la Tech en mai, l’amo...FrenchWeb.fr
La hausse des investissements dans la Tech française se poursuit, selon l'indicateur FrenchWeb Invest du mois de mai. Les entreprises du digital françaises ont levé 186,9 millions d'euros ce mois-ci, en progression de 94% par rapport à la même période en 2016.
Au total, 42 opérations ont été recensées, soit 8 opérations de moins qu'en 2016. Les entreprises de la Tech sont donc moins nombreuses à avoir levé des fonds, mais elles ont levé des montants plus importants. Conséquence directe de cette évolution, le ticket moyen, à 4,5 millions d'euros, a plus que doublé comparé à l'année précédente.
Panorama bureaux en Ile-de-France au 1T 2013JLL France
Trajectoires divergentes
Le marché locatif fléchit au 1er trimestre face à une situation macro-économique toujours compliquée.
Depuis 2009, l’offre immédiatement disponible n’évolue quasiment pas et reste plafonnée à près de 3,6 millions de m².
Le loyer prime du QCA acte une nouvelle baisse au 1er trimestre et s’établit désormais à 760 €/m².
Plus de 2 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année, soit une hausse de 43% en un an.
5 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées au 1er trimestre 2013.
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
61e enquête de conjoncture des PME - Juillet 2015Bpifrance
Bpifrance réalise une enquête semestrielle de conjoncture à partir d'un échantillon de plusieurs milliers de PME françaises. Les principaux paramètres économiques et financiers – activité, emploi, situation financière, investissement et financement – sont analysés.
La vacance commerciale dans les centralités sur Lorient Agglomération : bilan...AudéLor
AudéLor réalise ici le bilan 2018-2021 de la vacance commerciale dans les centralités sur Lorient Agglomération.
Composante essentielle de la dynamique des centres-villes et centres-bourgs, l’activité commerciale fait régulièrement l’objet d’une analyse fine grâce à l’observatoire du commerce réalisé par AudéLor.
Le suivi du taux de vacance dans les centralités permet d’appréhender la « santé » commerciale des villes et des bourgs. Les centralités sont en effet au cœur des enjeux soulevés par le SCoT du Pays de Lorient, notamment au travers du Document d’Aménagement Artisanal et Commercial (DAAC) qui en fait les lieux privilégiés d’implantation pour le commerce.
Sur la période 2018-2021, le taux de vacance est passé de 11,5% à 8,3% soit une baisse significative, puisque le taux a diminué dans plus de la moitié des centralités de l’agglomération.
Mise en œuvre du DAAC, multiplication des projets urbains en faveur des centralités, réajustement des loyers sur le centre-ville de Lorient, retour des consommateurs vers plus de proximité ont sans aucun doute participé activement à faire baisser la vacance. Cependant, les dispositifs de soutien mis en œuvre pendant la crise sanitaire ont brouillé les pistes en préservant les entreprises commerciales sur le court terme n’excluant pas leur fragilisation dans les mois à venir.
Ainsi, le commerce a connu une dynamique positive malgré la période incertaine de sortie de crise qui se dessine pour le secteur.
Etude Apec - Prévisions 2018-2020 des recrutements de cadres en France - juil...Apec
Après une année 2017 de très bonne facture formalisée par une croissance économique de +2,3 % s’appuyant sur des moteurs très actifs (investissement, consommation des ménages et commerce extérieur), le soufflé devrait quelque peu retomber en 2018. En effet, la progression du produit intérieur brut pourrait se limiter à +1,9 % selon l’OCDE. Cette légère baisse de tension devrait être imputable à une hausse moins tonique de l’investissement (+3,7 % en 2018 contre +4,7 % en 2017) avec notamment des dépenses des ménages en biens immobiliers moins intenses.
Pour autant, le chemin de croissance qui semble se dessiner pour les trois prochaines années reste bien orienté. Selon les prévisions retenues par l’Apec, la progression du PIB pourrait perdurer aux alentours de +1,8 % en 2019 et +1,6 % en 2020, prenant appui sur des dépenses d’investissement des entreprises toujours robustes. Pour mémoire, la croissance française était en moyenne de +0,8 % entre 2012 et 2016.
Selon ce scénario de « Croissance installée » privilégié par l’Apec, le volume de recrutements de cadres pourrait avoisiner les 251 000 en 2018 et atteindre 260 000 en 2020.
Certains aléas économiques (cours du pétrole, tensions protectionnistes et commerciales, etc.) et politiques (conséquences des dernières élections en Italie, etc.) pourraient perturber ces prévisions.
Bpifrance le Lab - PME - 64e enquête de conjoncture - Janvier 2017Bpifrance
Depuis 32 ans, Bpifrance réalise une enquête semestrielle de conjoncture à partir d'un échantillon de plusieurs milliers de PME installées en France. Les principaux paramètres économiques et financiers – activité, emploi, situation financière, investissement et financement – sont analysés avec une distinction PME innovantes et/ou internationalisées. Découvrez aujourd’hui les résultats de la 64 e enquête de conjoncture PME.
Covid-19 - Quelles perspectives pour le marché français de l'investissement ?Knight Frank France
Le marché de l'investissement a démarré l'année en trombe, avec une hausse de 28 % sur un an des sommes engagées en immobilier d’entreprise en France. Knight Frank dresse le bilan du 1er trimestre 2020 et livre quelques pistes de réflexion sur l'impact du Covid-19 (acteurs, typologies d’actifs, financements, etc.).
Etude Apec / Intergros - Le marché de l'emploi cadre dans le commerce interen...Apec
La création d’emplois cadres a repris dans le commerce interentre-prises en 2018
- Un climat des affaires en amélioration dans le commerce interentreprises.
- Après avoir enregistré des destructions d’emplois cadres en 2017, le secteur a créé près de 2 800 postes en 2018.
- Cette dynamique retrouvée s’explique par la hausse des recrutements (+13 % sur un an) et des promotions internes de salariés non-cadres au statut de cadre (+22 %) alors que les sorties de cadres ont diminué de 17 % dans le même temps.
La dynamique de recrutement devrait se poursuivre en 2019
- Le volume des recrutements de cadres prévus dans le commerce interentreprises pourrait varier entre 12 230 et 11 330, soit une hausse comprise entre 1 % et 8 % par rapport à 2018.
- Si les entreprises restent prudentes, elles envisagent plutôt une croissance de leur effectif cadre dans 11 % des cas. Les cadres commerciaux de 6 à 10 ans d’expérience sont les princi-pales cibles des recruteurs
- Les cadres de 6 à 10 ans d’expérience représenteraient plus de 3 recrutements de cadres sur 10 en 2019.
- Les profils de cadres commerciaux représenteraient plus de la moitié des recrutements du secteur.
Découvrez les résultats de la 59ème enquête semestrielle de conjoncture des PME réalisée par Bpifrance Le Lab. L'étude a été réalisée en interrogeant 28 000
entreprises de 1 à 249 salariés début mai 2014. L’analyse s’appuie sur un échantillon de 4 092 réponses jugées complètes et fiables.
Des perspectives de croissance positives pour 2014 pour les entreprises de l’industrie et des secteurs « B to B »ainsi que pour les PME innovantes et exportatrices. Une accélération modeste
anticipée pour 2015. Des effectifs qui se stabilisent.
Etude Apec - Prévisions 2015-2017 des recrutements de cadres en FranceApec
Actualisation des prévisions de recrutements de cadres pour 2015-2017.
Maintes fois annoncée et toujours repoussée, la reprise économique devrait prendre corps en 2015. Après trois années d’espoirs déçus et une faible croissance oscillant entre +0,7 % et +0,2 % entre 2012 et 2014, le PIB progresserait à hauteur de +1,2 % en 2015 selon l’Insee. Cette progression est portée, en partie, par des circonstances extérieures favorables (baisse du prix du pétrole et dépréciation de l’euro) et le rebond de la consommation des ménages au cours du 1er semestre 2015. L’investissement des entreprises devrait prendre le relais au cours du second semestre 2015 et dessiner les contours d’une reprise tangible et pérenne. Cette embellie économique fait consensus parmi les principaux instituts de conjoncture (OCDE, FMI, Eurostat, Insee…) qui tablent sur une croissance économique progressive. Elle constitue l’ossature du scénario privilégié par l’Apec avec une prévision de croissance qui oscille entre +1,5 % en 2016 et +1,7 % en 2017. Dans ce scénario, l’investissement formalisé par la Formation Brute de Capital Fixe retrouverait quant à lui des taux d’évolution positifs (+1 % en 2016 et +1,2 % en 2017). Dans cette configuration, les recrutements de cadres retrouveraient des niveaux élevés et approcheraient le niveau d’avant la crise de 2008/2009, avec 195 000 embauches de cadres en 2016, pour le dépasser en 2017 (avec 214 000 embauches de cadres).
Bpifrance le Lab - PME - 65e enquête de conjoncture - Juillet 2017Bpifrance
Depuis 32 ans, Bpifrance réalise une enquête semestrielle de conjoncture à partir d'un échantillon de plusieurs milliers de PME installées en France. Les principaux paramètres économiques et financiers – activité, emploi, situation financière, investissement et financement – sont analysés avec une distinction PME innovantes et/ou internationalisées. Découvrez aujourd’hui les résultats de la 65 e enquête de conjoncture PME.
Knight Frank, conseil international en immobilier d'entreprise, présente chaque trimestre son analyse du marché de l'investissement. Découvrez notre publication du 2ème trimestre 2017. Pour plus d'informations sur Knight Frank, rendez-vous sur knightfrank.fr et immobilier.knightfrank.fr
[FW Invest Mai] Près de 187 millions d’euros levés dans la Tech en mai, l’amo...FrenchWeb.fr
La hausse des investissements dans la Tech française se poursuit, selon l'indicateur FrenchWeb Invest du mois de mai. Les entreprises du digital françaises ont levé 186,9 millions d'euros ce mois-ci, en progression de 94% par rapport à la même période en 2016.
Au total, 42 opérations ont été recensées, soit 8 opérations de moins qu'en 2016. Les entreprises de la Tech sont donc moins nombreuses à avoir levé des fonds, mais elles ont levé des montants plus importants. Conséquence directe de cette évolution, le ticket moyen, à 4,5 millions d'euros, a plus que doublé comparé à l'année précédente.
Bilan 2019 et Perspectives 2020 - L'immobilier d'entreprise en FranceKnight Frank France
De nouveaux sommets atteints pour le secteur de l'investissement et de bons résultats pour le marché des bureaux. Du côté du commerce, l'année 2019 a été marquée par une nette hausse des arrivées de nouvelles enseignes étrangères.
Dans cette étude, Knight Frank dresse le bilan complet du marché de l'investissement en France, bureaux, commerces et locaux industriels au troisième trimestre 2020.
Lyon Bureaux : Demande placée
Demande placée: nettement moins bon que l’an passé !
La dynamique haussière à l’oeuvre sur le marché des bureaux de Lyon depuis 3 ans semble marquer le pas au 1er semestre 2017. Alors que depuis 6 trimestres, la demande placée avait franchi plutôt facilement la barre des 60 000 m², le début de l’année 2017 montre un ralentissement assez net. Au cumul du 1er semestre, seulement 109 300 m² de bureaux ont été commercialisés sur le marché lyonnais, un chiffre en repli de 20% sur un an et en dessous de la moyenne décennal du 1er semestre (114 000 m²). En termes de qualité des surfaces traitées au 1er semestre, les bureaux de 1ère main accusent une baisse plus importante que ceux de 2nde main (respectivement - 30% et -15% environ). L’année 2016 s’est caractérisée par des positionnement d’entreprises visant majoritairement des bureaux de 2nde main ; cette tendance s’est poursuivie et même accentuée au 1er semestre 2017.
Les grandes transactions manquent à l’appel
Les nombreuses transactions de plus de 2 000 m² qui ont animé le marché lyonnais depuis 2013 manquent à l’appel du 1er semestre 2017 : celles-ci n’ont totalisé que 27 500 m² seulement, loin de leur performance des dernières années (125 000 m² traités en moyenne entre 2013 et 2016). Ces grands mouvements (8 au total) se sont réalisés exclusivement à Lyon intra-muros, plus précisément sur le secteur Carré de Soie / Grand Clément (ATOS, VEOLIA et SUEZ ENVIRONNEMENT).
A l’inverse, le marché a gardé le cap pour les bureaux compris entre 500 et 2 000 m². Le rythme a même forci pour les surfaces de 200 à 500 m² (plus de 25 000 m² commercialisés au 1er semestre 2017), une performance très au-delà de son volume annuel moyen (42 000 m² sur 10 ans).
La Part-Dieu résiste…les destinations alternatives gagnent du terrain
Le leadership de La Part-Dieu sur le marché lyonnais (23 500 m² placés depuis le début de l’année) se vérifie à nouveau. Pour autant, l’écart se resserre avec ses poursuivants, qu’il s’agisse de destinations tertiaires intramuros comme Gerland, Vaise, Carré de Soie / Grand Clément - entre 9 900 et 12 000 m² traités en 6 mois – ou de la périphérie (9 600 m² pour le Nord Ouest).
Cushman & Wakefield France
[FW Invest Février] Plus de 118 millions d’euros investis dans la Tech frança...FrenchWeb.fr
Après un mois de janvier marqué par des opérations exceptionnelles, les investissements dans la Tech française ne tarissent pas en février, selon l'indicateur FrenchWeb Invest. Au total, 118,3 millions d'euros ont en effet été investis dans le secteur, soit 12% de plus qu'en février 2016. Si les montants investis sont en hausse, le nombre d'opérations recensées (41 au total, contre 49 en février 2016) est quant à lui en baisse de 16%. Le ticket moyen, à 2,9 millions d'euros, augmente mécaniquement.
[FW Invest] Avec 315 millions d’euros levés en septembre, les start-up frança...FrenchWeb.fr
S'il y a eu 28 opérations de plus annoncées ce mois-ci comparé à la même période en 2015, les montants investis sont quant à eux en légère diminution sur un an (+6%).
L’Etude annuelle « Les Marchés Immobiliers Français » dresse le bilan des 12 derniers mois des marchés des bureaux, des commerces, de la logistique et de l'investissement, et dessine un panorama des perspectives pour l'année 2014.
[FW Invest] 1,16 milliard d’euros investis dans la Tech au premier semestre, ...FrenchWeb.fr
L'investissement dans la Tech française semble être entré dans une nouvelle phase. 1,16 milliard d'euros ont été investis dans des entreprises du secteur au premier semestre, en hausse de 39% par rapport à la même période en 2016, selon les résultats du FrenchWeb Invest.
En parallèle, le nombre d'opérations recensées, 290 au total, diminue légèrement, de 7%. Le ticket moyen investi dans la Tech augmente mécaniquement, pour atteindre les 4 millions d'euros, contre 2,7 millions d'euros il y a un an. Les entreprises qui lèvent des fonds sont donc moins nombreuses, mais elles lèvent chacune des montants plus importants.
MarketBeat IDF Paris QCA Bureaux T3 2017 - So far, so good !
Demande placée : toujours aussi haut !
Les 315 000 m² de bureaux commercialisés au cumul des 3 premiers trimestres de 2017 dans le Quartier Central des Affaires frisent le temps de passage de l’an passé (-1%). Les 2ème et 3ème trimestres - 119 000 puis 109 000 m² - auront rattrapé un démarrage à bas régime (86 500 m² au 1er trimestre). Ce rythme d’activité, qui mérite d’être apprécié à l’aune de deux exercices 2015 et 2016 records (450 000 m² chacun) et de stocks au plus bas promet une fin d’année 2017 au-delà des 400 000 m² commercialisés. Le QCA confirme non seulement son pouvoir d’attraction, mais aussi son potentiel de résilience dans des conditions d’offre historiquement faible.
Grandes transactions à la manœuvre
La prise de vitesse du QCA depuis bientôt 3 ans s’accompagne en 2017 de plusieurs nouveautés. Les accélérations de l’activité en 2015 et 2016 avaient pour moteur principal les surfaces inférieures à 5 000 m². Ces positionnements d’utilisateurs sont aujourd’hui à l’origine de plus de 80% de la demande placée, mais l’étroitesse de l’offre immédiate tend à écrêter leur performance, avec des reculs de 8% à 11%. A l’inverse, la bride est lâchée pour les transactions d’envergure (+75% en un an), qui devraient dépasser leur score de l’année précédente (61 700 m²). A ce titre, les prises à bail d’ALTAREA COGEDIM (22 000 m²) et de WEWORK (5 950 m²) au 3ème trimestre placent au coude à coude l’Etoile et le Centre (30 000 et 27 000 m² respectivement). La forte proportion des pré-commercialisations sur ce créneau de surfaces (70%) traduit une volonté de sécuriser les meilleurs immeubles sans attendre leur livraison. Elle témoigne aussi du caractère décisif de la centralité et de la mixité des usages dans leurs choix d’implantation.
Valeurs locatives : poussées haussières
La demande soutenue des entreprises pour des bureaux bien placés et qualitatifs, confrontée à l’étroitesse de l’offre disponible immédiatement ou à moyen terme, met sous pression les valeurs locatives. La barre symbolique des 800 €/m²/an a été franchie pour le prime et plusieurs signatures au-delà de 750 €/m²/an confirment cette rupture de seuil.
Cette poussée haussière se vérifie d’ailleurs hors des produits d’exception; elle est soutenue par le caractère limité des choix d’implantations ouverts aux utilisateurs. Le loyer moyen des bureaux restructurés s’établit à 670 €/m²/an (+2% en un an), tandis que les surfaces de seconde main se traitent en moyenne à des valeurs faciales de 560 €/m²/an (+4%), un point haut depuis 2001
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Etude Apec - Prévisions 2017-2019 des recrutements de cadres en FranceApec
Dans un environnement mondial porteur, un cycle de croissance soutenue semble prendre corps en France en 2017. La progression du PIB pourrait atteindre +1,6 % en
2017 et +1,8 % en 2019, un optimisme partagé par la totalité des instituts de conjoncture. Différents facteurs expliquent cette amélioration, au premier rang desquels
le renforcement de l’investissement, avec des entreprises bénéficiant de perspectives d’activité bien orientées et des ménages profitant de conditions favorables pour investir
dans l’immobilier. Au final, la progression de la FBCF oscillerait entre +2,3 % en 2017 et +3,3 % en 2019. Enfin, l’embellie du commerce mondial pourrait permettre aux
entreprises exportatrices françaises de tirer leur épingle du jeu.
Cette accélération de la croissance se répercuterait sur l’emploi et permettrait un recul du chômage. Le volume de recrutements de cadres progresserait de 5 % chaque année
entre 2017 et 2019. Cette hausse pourrait déboucher sur un nombre record d’embauches de cadres dès 2017 (près de 215 000) et au-delà. Toutefois, des aléas (Brexit, menaces terroristes, baisse de la consommation des ménages...) pourraient contrarier cet enchaînement vertueux.
Similaire à Cushman & Wakefield MarketBeat France Investissement Commerces (20)
Reload - Immobilier vecteur de la transformation des entreprises Cushman & W...Cushman & Wakefield France
Quand l’immobilier s’affirme comme vecteur de la transformation des entreprises. Cushman & Wakefield analyse les grands mouvements des entreprises d’Île de France sur 10 ans
Paris, 8 janvier 2018 – Les départements Global Occupier Services et Research de Cushman & Wakefield ont observé 10 ans de grands mouvements d’entreprises en Île de France, et dressent le double constat suivant :
. Plus de 650 transactions de bureaux supérieures à 5 000 m² de 2007 à 2016 ont été dénombrées , soit 9 millions de m² placés durant cette période
. Paris pèse 30% du volume des transactions en IDF entre 2007 et 2016, mais 50% de ce volume depuis 2 ans.
Fin des idées reçues :
. Les entreprises franciliennes déménagent à 64% dans le même secteur géographique, elles sont donc nettement moins mobiles qu’imaginé
. Elles recherchent de la centralité et concentrent leurs mouvements autour des 4 pôles majeurs que sont Paris, la Défense, Péri-Défense et Boucle Sud (Boulogne-Billancourt et Issy-les-Moulineaux)
. Elles ne prennent ni plus ni moins de surfaces qu’avant, avec une taille moyenne de transactions stable autour de 13 500 m²
. Elles mettent plus d’argent dans leur immobilier, avec une valeur locative médiane qui augmente de 390 en 2007 à 450 € HT/ m²/an en 2017 (T1-T3).
Cushman & Wakefield France
Global Survey 2017 - Stratégie des Entreprises : les facteurs clés de décision.
RESUME :
Les directeurs immobiliers du monde entier se concentrent sur des stratégies visant à attirer et conserver les meilleurs talents tout en améliorant leur productivité. Dans le même temps, ils doivent continuellement trouver des moyens de
réduire les coûts d’occupation. Leur défi primordial est d’équilibrer ces deux objectifs, souvent contradictoires. C’est la conclusion de la nouvelle enquête mondiale sur l’immobilier d’entreprise menée par C&W et
Corenet Global , qui met en avant le délicat équilibre entre coûts et avantages des lieux de travail : un critère de décision devenu central pour les entreprises. Cette nouvelle étude fait suite à celle conduite en 2015 sur les tendances de ce secteur
Cette année, notre enquête s’est penchée non seulement sur l’importance de la stratégie d’implantation et du lieu de travail dans la création de valeur pour l’entreprise, mais aussi sur l’adéquation entre la stratégie immobilière des entreprises et leur stratégie opérationnelle d’ensemble. Comme en 2015, les résultats montrent une tension persistante entre les ambitions affichées des dirigeants immobiliers et leur prise de décision en pratique. Les résultats de cette année suggèrent la raison possible de ce décalage : trop souvent, l’immobilier d’entreprise doit faire passer des objectifs de réduction des coûts avant ses efforts de contribution aux objectifs stratégiques de l’entreprise. Véritable baromètre de la santé du secteur, l’enquête explore le délicat équilibre entre coût et avantages du lieu de travail, avec toujours un écart important entre les ambitions affichées des entreprises et la réalité des décisions concrètes en matière de relocalisation ou d’expansion.
Les 266 participants à l’enquête correspondent principalement à de grandes entreprises mondiales ou régionales, plus de 76 % d’entre eux ont des implantations internationales. Les réponses à l’enquête proviennent de responsables immobiliers de différents secteurs d’activité, représentés grâce à un grand nombre de participants. Les réponses ont été recueillies en ligne et lors des différents CoreNet Global Summits. Elles ont été analysées au niveau mondial, régional et sectoriel.
Pour lire la suite, téléchargez l'étude complète ci-dessus.
Cushman & Wakefield - Département Global Occupier Services
MarketBeat Immobilier de Sante France - Investisseurs et Opérateurs : partenariats gagnants et conquérants !
La securite sociale : une specificite francaise - Faible croissance de la consommation de santé
Le montant des dépenses courantes de santé a atteint 266,6 milliards d’euros en 2016, soit 12% du produit intérieur brut (PIB) en base 2010. La consommation de soins et de biens médicaux (CSBM), qui en représente les trois quarts, atteint pour sa part 198,5 milliards d’euros. Elle s’établit à 9,4% du PIB en 2016, contre 8,9% en 2012. Ce pourcentage relativement stable depuis le début des années 2000 place la France dans le groupe de tête des pays de l’OCDE pour le poids des dépenses courantes de santé dans le PIB. La France marque cependant sa différence par la part élevée du financement public de la santé (78% pour les soins et les biens médicaux).
La progression en valeur de la CSBM reste sensiblement inférieure à 3% pour la cinquième année consécutive : +2,3 % en 2016, après +1,5 % en 2015, +2,7 % en 2014,+1,9 % en 2013 et +2,2% en 2012. La CSBM affiche donc des taux de progression relativement faibles comparés à ceux enregistrés au début des années 2000 (entre 5% et 6% entre 2000 et 2004). La stabilité de la consommation de médicaments, imputable à la faible croissance de leur volume conjuguée à la baisse des prix, limite la croissance de la CSBM.
La composition des dépenses de santé reste dominée par trois types de dépenses majeures : les soins hospitaliers (92,4 milliards d’euros en hausse de 2,2% en un an), les soins de ville (52,2 milliards d’euros en 2016, en hausse de 3,3% en un an) et les médicaments qui, avec un volume de 34 milliards d’euros en 2016, enregistrent une hausse de 0,3%, après une légère baisse de -0,7% relevé en 2015. Les trois quarts des soins hospitaliers sont réalisés dans des structures publiques (71,3 milliards d’euros, en progression de 2,2%) alors que ceux privés ont représenté 21,1 milliards d’euros en 2016, en hausse de 2,1%.
Largement financée par la Sécurité Sociale
La répartition des dépenses de santé selon leur mode de financement n’a que peu évolué en 2016. La Sécurité Sociale supporte près de 78% de la dépense totale alors que les organismes complémentaires comptent pour 13% supplémentaires. Il en résulte une part prise en charge par les ménages en baisse, passée de 9,1% en 2012 à 8,3% en 2016. Elle est encore élevée pour certains types de dépenses (optique, soins dentaires ou médicaments), mais est en revanche très faible pour d’autres dépenses comme les soins hospitaliers.
Téléchargez l'étude complète ci-dessus.
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Marché des bureaux en Ile-de-France au 4ème trimestre 2017 : Meilleur 4ème trismestre de tous les temps !
Paris, le 9 Janvier 2018 – L'année 2017 s'est terminée sur une très bonne performance pour le marché des bureaux en Ile-de-France, avec près de 854 000 m² de surfaces commercialisées, meilleur score de tous les temps pour un 4ème trimestre. Ce résultat vient conforter la dynamique déjà porteuse observée cet automne et permet d'achever l'année 2017 sur un volume de demande placée de l'ordre de 2,6 millions de m², en hausse de 8% par rapport à 2016.
« L'apport des grandes transactions - c'est à dire celles portant sur une surface supérieure à 5 000 m² - aura été crucial; ce segment compte un nombre record de signatures (88 en 2017 à comparer à 65 l'an dernier) pour un total de 1,1 million de m² » indique Magali Marton, Directrice des Etudes de Cushman & Wakefield. « Fait rarissime, les volumes traités au-delà des 5 000 m² égalent quasiment, au 4ème trimestre 2017, la demande placée en-deçà de ce seuil ».
Plus d'information en téléchargeant l'étude ci-dessus.
Cushman & Wakefield France.
Flash Investissement France au 1er Janvier 2018 - Activité toujours soutenue !
26,1 milliards d’euros investis sur l’ensemble de l’année 2017, un volume légèrement en-dessous de celui de 2016, en baisse de 3% d’une année sur l’autre.
Après un mois de novembre exceptionnel, le volume des transactions réalisées en décembre ne permet pas à l’année 2017 de dépasser le volume total de 2016.
L’activité locative observée toute au long de l’année et l’optimisme des prévisions économiques françaises laissent augurer de belles perspectives sur le marché de l’investissement en 2018 !
Plus d'informations sur notre site internet Cushman & Wakefield
Cushman & Wakefield France.
Pop-Up market Ventes T3 2017
Au 3ème trimestre 2017, le volume placé de bureaux à la vente en Ile-de-France est de 183 300 m², soit une augmentation de 6% par rapport à l'année précédente. La croissance n'est pas équivalente sur tous les secteurs. Paris qui concentre 48% de la surface transactée voit au contraire son volume placé diminuer de 18%.
Des valeurs à la vente constantes pas rapport au trimestre précédent. Des prix de vente qui varient en fonction de la dimension des actifs. Les valeurs des immeubles indépendants d'une surface supérieure à 500 m² étant significativement plus élevées que les surfaces en copropriété ou inférieures à 500 m².
L'offre immédiate recensée sur l'Ile-de-France s'élève à 389 000 m². Si à l'échelle de la région parisienne, cette offre augmente de 2% par rapport à la fin d'année en 2016, elle reste très restreinte sur la Capitale et continue de se contracter (-24 % par rapport à l'année précédente).
L'offre future en Ile-de-France continue de croître avec une hausse de 35% par rapport à la fin d'année 2016. L'offre reste inégale selon les secteurs. Avec 21 400 m² en baisse d'une année sur l'autre, Paris ne représente que 17% du stock total en Ile-de-France. La Première Couronne, et particulièrement le secteur Sud, voit a contrario son stock augmenter considérablement. Elle totalise 44 400 m² soit plus d'un tiers de l'offre à un an à l'échelle de la région. Mais c'est en Deuxième Couronne qu'est localisé l'essentiel de l'offre avec 50 300 m², soit 39% de l'offre annoncée en 2018.
Plus d'informations en téléchargeant l'étude complète.
Cushman & Wakefield
Le marché des commerces de luxe en France: un peu moins d’inaugurations en 2017 mais de belles perspectives pour 2018 - Le bilan de l’année réalisé par Cushman & Wakefield
A retenir :
- Un retour en force des touristes internationaux à fort pouvoir d’achat sur la Capitale
- Un rythme d’ouvertures en recul avec 38 ouvertures (57 en 2016), dont plus de la moitié concernent des créations ou des premières implantations
- Paris reste dominant sur le marché, un marché régional concentré sur la Côte d’Azur
- Des perspectives encourageantes pour les années qui viennent avec une hausse des engagements de 30%
Plus d'informations sur le site : http://www.cushmanwakefield.fr
3. 3Cushman & Wakefield | MarketBeat France Investissement Commerces 3ème trimestre 2017
Des réformes sur fond de reprise
économique
Après un début d’année ponctué par les incertitudes
électorales (présidentielles puis législatives), le 3ème
trimestre 2017 sonne l’heure des premières réformes :
signature des ordonnances de la loi travail, plan
budgétaire et projet de loi de finances pour 2018 (réforme
de l’ISF en Impôt sur la Fortune Immobilière). Ces
changements sont plutôt bien accueillis par les chefs
d’entreprises (en un trimestre hausse de 2 points de
l’indice du climat des affaires) mais ils suscitent
mécontentements au sein d’une partie de la population
française (chute de 7 points de l’indice de moral des
ménages). Grèves générales et protestations sont autant
de signes que la mise en œuvre du programme du
nouveau Président ne sera pas un long fleuve tranquille.
Le gouvernement possède néanmoins un atout majeur par
rapport à ses prédécesseurs : une reprise économique
mondiale durable basée sur des fondamentaux robustes.
Pour l’année 2017, l’INSEE prévoit une croissance de
+1,8% en France (versus +2,2% en zone euro), un record
depuis 2011 (+2,1%). Les taux d’intérêts bas constituent le
principal moteur de cette reprise française. En effet, ils
permettent de soutenir, d’une part les investissements des
entreprises et d’autre part ceux des ménages avec
notamment l’achat de logements neufs, un élément
favorable au secteur de la construction.
Dynamique porteuse pour l’emploi
L’augmentation du nombre total de créations d’entreprises,
(+6,2% en France au 1er trimestre 2017) couplée à la
baisse du nombre de défaillances d’entreprises (-9,3% sur
la même période) rend compte d’une dynamique porteuse
pour l’emploi. Il en résulte une création nette d’emplois
supérieure à l’augmentation de la population active, et une
probable inflexion durable de la courbe du chômage.
Ainsi, Oxford Economics prévoit une baisse du taux de
chômage d’une année sur l’autre de 50 pdb (prévision de
9,5% fin 2017). Cette embellie sur le marché de l’emploi
devrait soutenir durablement le pouvoir d’achat et la
consommation des ménages qui repart à la hausse depuis
juillet, notamment en produits manufacturés et équipement
du logement. La reprise de l’indice de climat des affaires
du commerce de détail ainsi que les perspectives
générales d’activité s’inscrivent dans la même tendance et
affichent un léger regain d’optimisme pour cette rentrée
2017.
CONTEXTE ECONOMIQUE
DE L’OPTIMISME A LA REALITE !
Croissance trimestrielle du PIB en France, %
Source : INSEE
Dépenses de consommation des ménages, évolution sur
12 mois, en %
Source : INSEE
Perspectives générales d’activité et climat des affaires
du commerce de détail, indice
Source : INSEE
4. 4Cushman & Wakefield | MarketBeat France Investissement Commerces 3ème trimestre 2017
Bureaux, Logistique…et commerces….
Un peu plus de 14 milliards d’euros ont été investis sur le
marché français de l’investissement en immobilier
d’entreprise banalisé sur les 9 premiers mois de l’année
2017. Ce volume s’inscrit en repli d’une année sur l’autre
avec une contraction observée tant en volume (-9%) qu’en
nombre de transactions (-4%). Sans réelle surprise, le
compartiment « bureau » continue de drainer la très
grande majorité des capitaux engagés, avec 9,5 milliards
de transactions depuis le début de l’année. Plus
surprenante est la montée en puissance des actifs
logistiques (2,8 milliards d’euros investis) dont les volumes
dépassent pour la 1ère fois ceux placés dans des actifs
commerciaux (2 milliards d’euros).
Commerces : fin de la parenthèse
enchantée ?
Depuis le point haut atteint en 2014 (6,4 milliards d’euros
de cessions), la tendance est clairement au ralentissement
sur le marché de l’investissement en commerces. Ce
mouvement est observable depuis 2015 mais s’est très
nettement accentué en 2017 : ainsi au terme du 3ème
trimestre, on ne compte que 2 milliards d’euros
d’acquisitions, soit 14% du volume total investi. Ce ratio
tranche très nettement avec la moyenne de 22% relevée
entre 2009 et 2016.
Il faut dire que les fonds d’investissement et grandes
foncières - détentrices de centres commerciaux et d’actifs
de centres ville - en ont terminé avec leur plan d’arbitrage
et que le marché n’est donc plus alimenté que par la
rotation naturelle des actifs détenus par les fonds
d’investissement et par les livraisons de nouveaux actifs
(centres commerciaux, retail parks ou encore magasins
d’usines) développés par les promoteurs. Les doutes sur
les capacités de réemploi du fruit d’éventuelles cessions
dans un contexte de marché relativement sous-offreur
freinent à l’évidence les arbitrages potentiels. Citons enfin
quelques marketings avortés pour lesquels les aspirations
des vendeurs en termes de prix n’ont pas rencontré
l’adhésion des candidats acquéreurs, pourtant encore
nombreux sur le segment des commerces.
L’ensemble de ces facteurs explique la contraction des
volumes des opérations de cessions réalisées depuis le
début de l’année. Le 4ème trimestre, bien que promettant
un sursaut d’activité, ne pourra renverser cette tendance;
l’année 2017 devrait donc s’achever sur un montant total
d’investissement voisin de 3 milliards d’euros, ramenant le
marché à sa performance de 2010-2013.
VOLUME D’INVESTISSEMENT
FIN DES ANNÉES RECORD ?
Investissement en commerce, milliards d’euros
Source : Cushman & Wakefield
Volume d’investissement en commerces en France,
milliards d’euros et % du volume total
Source : Cushman & Wakefield
Source : Cushman & Wakefield
Volume d’investissement en immobilier d’entreprise
banalisé en France, milliards d’euros
5. 5Cushman & Wakefield | MarketBeat France Investissement Commerces 3ème trimestre 2017
Disparition des grands volumes
Le marché de l’investissement en commerces a conservé
tout son dynamisme sur le segment des actifs unitaires de
moins de 50 millions d’euros. A la fin du 3ème trimestre, les
temps de passage moyens sont respectés sur l’ensemble
de ces petits volumes.
Il en va différemment pour les actifs commerciaux d’un
montant supérieur à 50 millions d’euros dont le nombre de
cessions marque un ralentissement très net cette année :
l’effet est d’autant plus spectaculaire que la tranche de
montant unitaire est élevée. On comptait ainsi encore une
quinzaine de cessions d’actifs de plus de 100 millions
d’euros en 2014 et 2015; elles sont tombées à 9 en 2016
et seulement 3 depuis le début de l’année 2017 : « Le
Queen » sur les Champs-Elysées acquis par AEW
EUROPE, le portefeuille de retail parks IKEA cédé à
PRADERA et le portefeuille de commerces de centre ville
« Solstice » acquis par AMUNDI IMMOBILIER.
Moins de centres commerciaux…plus de
retail parks
Selon les années, les volumes d’investissement les plus
importants ont concerné alternativement les actifs de
centre ville ou les centres commerciaux. Ces derniers
viennent généralement abonder les volumes via des
cessions de grande ampleur. Depuis 2016, les centres
commerciaux ont cédé leur place aux retail parks qui
auront ainsi représenté 1,3 milliard d’euros de cessions en
2016 et déjà près de 545 millions d’euros cette année, soit
28% du volume total tant en 2016 qu’en 2017. Une
nouvelle génération de parcs arrive sur le marché depuis
quelques années; ils attirent les enseignes avec des
architectures soignées et des concepts innovants
proposés à des loyers et des niveaux de charge maitrisés.
Il n’en fallait pas moins pour emporter l’adhésion des
investisseurs, assez confiants dans le devenir sur le
moyen / long terme de ces nouveaux formats de
commerce.
Taux de rendement au niveau plancher
Face à une offre de qualité de plus en plus rare, les taux
prime se maintiennent à un niveau historiquement bas sur
toutes les catégories de commerces. Une légère remontée
des taux prime sur les actifs de centre-ville est à prévoir à
court terme alors que, sur les autres classes d’actifs
commerciaux, la persistance de taux bas des OAT tant en
2018 qu’en 2019 devrait maintenir les taux de rendement
des actifs prime à ces niveaux records.
TYPOLOGIE D’ACTIFS TRANSACTÉS
PAS DE GRANDS VOLUMES, MOINS DE MALLS
Investissement en commerces par montant unitaire,
millions d’euros
Source : Cushman & Wakefield
Investissement en commerces par type d’actifs,
millions d’euros
Source : Cushman & Wakefield
Taux de rendement prime commerces, %
Source : Cushman & Wakefield
6. 6Cushman & Wakefield | MarketBeat France Investissement Commerces 3ème trimestre 2017
Reprise des volumes d’investissement
attendue en 2018
Quelques cessions d’actifs commerciaux emblématiques
vont venir dynamiser l’activité du marché de
l’investissement au 4ème trimestre, portant ainsi le volume
total au terme de l’année 2017 à près de 3 milliards
d’euros. Le cru 2017 ne restera donc pas dans les annales
des meilleures années sur le marché de l’investissement;
cependant des éléments permettent d’être confiants quant
à une nouvelle accélération du marché en 2018, sans pour
autant pouvoir rivaliser avec le niveau record de 2014.
Selon nos premières estimations, le volume
d’investissement pourrait dépasser les 4 milliards d’euros
en 2018, avec un retour en force des cessions de centres
commerciaux.
Quelques fonds d’investissement arrivent en effet à leur
terme et s’apprêtent donc à arbitrer leur patrimoine,
composé de centres commerciaux pour l’essentiel. Il en va
de même pour quelques foncières qui ont acté pour 2018
la cession d’actifs emblématiques. Quatre actifs de ce type
représentant un volume plus d’un milliard d’euros sont
aujourd’hui en phase initiale de commercialisation pour un
closing attendu au 1er semestre 2018. Sur ce type d’actif
immobilier, les quelques marketings avortés au cours de
l’année 2017 devraient amener les vendeurs à raison
garder : les acquéreurs sont aujourd’hui davantage
prudents dans leur approche des valeurs locatives et des
taux d’effort supportables par les enseignes, en particulier
pour les centres commerciaux de centre ville.
L’engouement des investisseurs pour les retail parks mais
également pour les magasins d’usine devrait soutenir les
volumes d’acquisitions en 2018, et ce malgré une
compression continue des taux de rendement prime pour
cette typologie d’actifs.
Les investisseurs sont d’ailleurs toujours nombreux
s’intéresser aux actifs de commerces : tant français
qu’européens mais aussi nord-américains ou asiatiques,
tant fonds d’investissements qu’OPCI-SCPI, tous les 2
déjà détenteurs d’une part de marché de plus de 30% en
2017.
PERSPECTIVES 2018
UNE ANNEE QUI S’ANNONCE ACTIVE
Investissement en commerces en France,
milliards d’euros
Source : Cushman & Wakefield