MARKETBEAT France INVESTISSEMENT Commerces SPECIAL MAPIC 2017 en demi-teinte mais croissance des volumes attendue en 2018 !
Volume d'investissement...fin des années record ?
Bureaux, Logistique…et commerces….
Un peu plus de 14 milliards d’euros ont été investis sur le marché français de l’investissement en immobilier d’entreprise banalisé sur les 9 premiers mois de l’année 2017. Ce volume s’inscrit en repli d’une année sur l’autre avec une contraction observée tant en volume (-9%) qu’en nombre de transactions (-4%). Sans réelle surprise, le compartiment « bureau » continue de drainer la très grande majorité des capitaux engagés, avec 9,5 milliards de transactions depuis le début de l’année. Plus surprenante est la montée en puissance des actifs logistiques (2,8 milliards d’euros investis) dont les volumes dépassent pour la 1ère fois ceux placés dans des actifs commerciaux (2 milliards d’euros).
Commerces : fin de la parenthèse enchantée ?
Depuis le point haut atteint en 2014 (6,4 milliards d’euros de cessions), la tendance est clairement au ralentissement sur le marché de l’investissement en commerces. Ce mouvement est observable depuis 2015 mais s’est très nettement accentué en 2017 : ainsi au terme du 3ème trimestre, on ne compte que 2 milliards d’euros d’acquisitions, soit 14% du volume total investi. Ce ratio tranche très nettement avec la moyenne de 22% relevée entre 2009 et 2016.
Il faut dire que les fonds d’investissement et grandes foncières - détentrices de centres commerciaux et d’actifs de centres ville - en ont terminé avec leur plan d’arbitrage et que le marché n’est donc plus alimenté que par la rotation naturelle des actifs détenus par les fonds d’investissement et par les livraisons de nouveaux actifs (centres commerciaux, retail parks ou encore magasins d’usines) développés par les promoteurs. Les doutes sur les capacités de réemploi du fruit d’éventuelles cessions dans un contexte de marché relativement sous-offreur freinent à l’évidence les arbitrages potentiels. Citons enfin quelques marketings avortés pour lesquels les aspirations des vendeurs en termes de prix n’ont pas rencontré l’adhésion des candidats acquéreurs, pourtant encore nombreux sur le segment des commerces.
L’ensemble de ces facteurs explique la contraction des volumes des opérations de cessions réalisées depuis le début de l’année. Le 4ème trimestre, bien que promettant un sursaut d’activité, ne pourra renverser cette tendance; l’année 2017 devrait donc s’achever sur un montant total d’investissement voisin de 3 milliards d’euros, ramenant le marché à sa performance de 2010-2013.
Téléchargez l'étude complète ici-dessus.
Cushman & Wakefield
Panorama bureaux en Ile-de-France au 1T 2013JLL France
Trajectoires divergentes
Le marché locatif fléchit au 1er trimestre face à une situation macro-économique toujours compliquée.
Depuis 2009, l’offre immédiatement disponible n’évolue quasiment pas et reste plafonnée à près de 3,6 millions de m².
Le loyer prime du QCA acte une nouvelle baisse au 1er trimestre et s’établit désormais à 760 €/m².
Plus de 2 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année, soit une hausse de 43% en un an.
5 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées au 1er trimestre 2013.
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
MARKETBEAT France INVESTISSEMENT Commerces SPECIAL MAPIC 2017 en demi-teinte mais croissance des volumes attendue en 2018 !
Volume d'investissement...fin des années record ?
Bureaux, Logistique…et commerces….
Un peu plus de 14 milliards d’euros ont été investis sur le marché français de l’investissement en immobilier d’entreprise banalisé sur les 9 premiers mois de l’année 2017. Ce volume s’inscrit en repli d’une année sur l’autre avec une contraction observée tant en volume (-9%) qu’en nombre de transactions (-4%). Sans réelle surprise, le compartiment « bureau » continue de drainer la très grande majorité des capitaux engagés, avec 9,5 milliards de transactions depuis le début de l’année. Plus surprenante est la montée en puissance des actifs logistiques (2,8 milliards d’euros investis) dont les volumes dépassent pour la 1ère fois ceux placés dans des actifs commerciaux (2 milliards d’euros).
Commerces : fin de la parenthèse enchantée ?
Depuis le point haut atteint en 2014 (6,4 milliards d’euros de cessions), la tendance est clairement au ralentissement sur le marché de l’investissement en commerces. Ce mouvement est observable depuis 2015 mais s’est très nettement accentué en 2017 : ainsi au terme du 3ème trimestre, on ne compte que 2 milliards d’euros d’acquisitions, soit 14% du volume total investi. Ce ratio tranche très nettement avec la moyenne de 22% relevée entre 2009 et 2016.
Il faut dire que les fonds d’investissement et grandes foncières - détentrices de centres commerciaux et d’actifs de centres ville - en ont terminé avec leur plan d’arbitrage et que le marché n’est donc plus alimenté que par la rotation naturelle des actifs détenus par les fonds d’investissement et par les livraisons de nouveaux actifs (centres commerciaux, retail parks ou encore magasins d’usines) développés par les promoteurs. Les doutes sur les capacités de réemploi du fruit d’éventuelles cessions dans un contexte de marché relativement sous-offreur freinent à l’évidence les arbitrages potentiels. Citons enfin quelques marketings avortés pour lesquels les aspirations des vendeurs en termes de prix n’ont pas rencontré l’adhésion des candidats acquéreurs, pourtant encore nombreux sur le segment des commerces.
L’ensemble de ces facteurs explique la contraction des volumes des opérations de cessions réalisées depuis le début de l’année. Le 4ème trimestre, bien que promettant un sursaut d’activité, ne pourra renverser cette tendance; l’année 2017 devrait donc s’achever sur un montant total d’investissement voisin de 3 milliards d’euros, ramenant le marché à sa performance de 2010-2013.
Téléchargez l'étude complète ici-dessus.
Cushman & Wakefield
Panorama bureaux en Ile-de-France au 1T 2013JLL France
Trajectoires divergentes
Le marché locatif fléchit au 1er trimestre face à une situation macro-économique toujours compliquée.
Depuis 2009, l’offre immédiatement disponible n’évolue quasiment pas et reste plafonnée à près de 3,6 millions de m².
Le loyer prime du QCA acte une nouvelle baisse au 1er trimestre et s’établit désormais à 760 €/m².
Plus de 2 milliards d’euros ont été investis depuis le début de l’année, soit une hausse de 43% en un an.
5 transactions de plus de 100 millions d’euros ont été enregistrées au 1er trimestre 2013.
Le taux prime de référence, dans le Quartier Central des Affaires, reste stable dans une fourchette comprise entre 4,50 et 5,00%.
The document analyzes the state of the financial services industry in 2011 and presents a scenario for a future financial crisis in 2015. Key points:
1) In 2011, the global economy was recovering but new regulations were struggling to prevent risky behavior. Talent shifted to the shadow banking sector and emerging markets as growth opportunities.
2) By 2015 in the scenario, a shadow banking bubble and emerging market commodities bubble had formed and then burst, triggering a global recession. Sovereign debt crises in developed nations exacerbated the financial crisis.
3) The scenario aims to stress test new financial regulations and systems, and encourage considering multiple potential crisis scenarios rather than just predictions of the future. It shows regulations
The document analyzes the state of the financial services industry in 2011 and presents a scenario for a future financial crisis in 2015. Key points:
1) In 2011, the global economy was recovering but new regulations were struggling to prevent risky behavior. Talent shifted to the shadow banking sector and emerging markets as growth opportunities.
2) By 2015 in the scenario, a shadow banking bubble and emerging market commodities bubble had formed and then burst, triggering a global recession. Sovereign debt crises in developed nations exacerbated the financial crisis.
3) The scenario aims to stress test new financial regulations and systems, and encourage considering multiple potential crisis scenarios rather than just predictions of the future. It shows regulations
The document presents the Global Competitiveness Index rankings for 2012-2013. Switzerland, Singapore, and Finland are ranked as the top three most competitive economies. The rankings are based on a scale of 1 to 7, where a higher score indicates a more competitive economy. The table shows each country's rank, score, and how their rank and score compares to the 2011-2012 rankings.
This document provides a summary of Maroc Telecom's consolidated financial and operational results for Q3 2011. It includes key performance indicators such as revenue, EBITDA, customer numbers, ARPU, and capital expenditures for Maroc Telecom Group and its subsidiaries in Morocco, Mauritania, Burkina Faso, Gabon, and Mali. The document also provides a glossary of terms, index of financial and operational KPIs, consolidated financial statements, and disclaimer about the information presented.
1. RESULTATS SEMESTRIELS 2010 ARTBOURSE 13/10/2010
Chimie
COLORADO PEINTURES
ÉVOLUTION COURS COL Vs MASI en 2010 PRÉSENTATION DES RÉSULTATS S1 2010 DE COL
1. Ralentissement de l’activité du secteur du bâtiment ;
2. Croissance du CA de COL de +7,4% du fait de sa politique de
communication diversifiée (affichage urbain, radio et presse), sa
politique de marketing direct agressive et à sa politique d’innovation
soutenue ;
3. Signature d’un partenariat stratégique avec le groupe VALSPAR
(peintures carrosserie) et augmentation des tarifs de vente de
produits vinyliques et Glycéro en mai 2010 ;
4. Split de la valeur de l’action de 100 DH à 10 DH en juin 2010.
Le CA s’établit à 329 MDH à fin juin 2010, en évolution de +7,4% par
rapport à la même période de l’année dernière. Cette performance est
redevable à l’évolution de 3% des volumes vendus.
ACTIONNARIAT AU 30/06/10
Le tonnage produit se bonifie de 12% par rapport au S1 2009 se fixant à
plus de 25.000 T.
Le ratio marge brute sur achats consommés, accusant une baisse d’un
point, se fixe à 48,6% du CA à fin Juin 2010 (contre 49,8% au 30 Juin
2009). En valeur, le ratio se fixe à 160 MDH au 30 Juin 2010 (Vs 152 MDH
au 30 Juin 2009), soit une hausse de 4,9%.
La contre performance du taux de marge, imputable au coût élevé de la
politique promotionnelle, est amorti par la baisse des prix de certaines
matières premières et par la hausse des prix de ventes.
Le résultat d'exploitation affiche 79 MDH à fin juin 2010 (contre 83 MDH
sur la même période de l’exercice précédent), soit un léger repli de 5%.
Caractéristique- Valeur S1-10
VQM S1-10 720 930,91 La diminution du taux de marge (un point), l’augmentation d’un point des
Capital Social (DH) 90 000 000,00 charges externes (publicitaires) ainsi que celle des dotations aux
amortissements relatives aux nouveaux investissements (0,7 point) sont à
Nombre d’actions 9 000 000
l’origine de cette contre performance du résultat d’exploitation.
Capitalisation (DH) 1 098 000 000,00
VWAP 105,18 Au 30 Juin 2010, et grâce à l’augmentation des gains de change, le
Cours 30-06-10 122 résultat financier ressort en amélioration de 10% par rapport au S1 2009
MAX S1-10 124 réduisant son déficit à -3,5 MDH. Dans ce sillage, les autres produits
MIN S1-10 79 financiers et charges financières sont restés stables entre Juin 2009 et
Performance S1-10 45,24%
Juin 2010.
Le résultat non courant, quant à lui, affiche -4 MDH au 30 Juin 2010
(contre -0,3 MDH au 30 Juin 2009). Ce repli est lié à l’augmentation des
amortissements dérogatoires suite aux nouveaux investissements.
Indicat. Fin.(MDH)
S1-09 S1-10 Var.
CA 306,4 329 +7,4% Du fait du retour au taux normal de l’IS de 30% au lieu du taux
MB / achats cons. 152,4 159,9 +4,9% préférentiel de 26,25%, le résultat net qui représente notamment 15%
REX 83,49 79,22 -5,1% du CA à fin Juin 2010 (contre 19% sur la même période de l’année
Marge Opérat. 27,25% 24,08% -3,17 pts écoulée) s’établit à 50,1 MDH (contre 58,4 MDH à fin S1 2009) ; soit une
Résultat Fin. -3,94 -3,55 +9,9% baisse de 14,2%.
Résultat Net 58,43 50,14 -14,2%
Marge nette 19,07% 15,24% -3,83 pts À fin Juin 2010, le ratio d’endettement enregistré est de 14% du
CP 258,59 268,23 +3,73% financement permanent.
Fonds de Roul. 169,39 181,55 ---
Au 30 Juin 2010, les dépenses d’investissements s’élèvent à 12 MDH et
concernent l’achat de matériel technique et des dépenses relatives aux
Multiples Boursiers 2009 2010e
acquisitions et aménagements des showrooms.
Cours 84 114,9 Côté perspectives d’atterrissage 2010, COLORADO vise:
BPA (DH) 9,64 7,92 Le maintien de la croissance du CA et de la politique d’innovation en
PER 8,71x 14,51x termes d’assortiment ;
DPA (DH) 4,5 4,0 La signature de partenariats commerciaux et industriels afin
D/Y 5,36% 3,48% d’intensifier sa présence dans la zone MENA;
P/B 2,78x 2,83x L’ouverture de showrooms sur les villes de Tanger et Kénitra.
ARTBOURSE 2010 I. HESSASTA