Le congrès dédié à l'innovation de la rue et la route électriques.
Le congrès ELECTRIC-ROAD s'est déroulé du 18 au 19 juin 2018 à la Cité des Congrès de Nantes.
Née de la rencontre entre l’ingénierie, la veille, le conseil en stratégie et la communication, la plateforme des congrès ELECTRIC-ROAD se positionne comme un observatoire, un forum d’expertises et d’expériences, un media-center et une vitrine au service d'une mobilité propre pour tous les types de transports. C’est en outre un carrefour de rencontres participant à la naissance d’une nouvelle filière industrielle..
Au programme : conférences plénières, ateliers R&D, espace exposition.
Paris active le levier du stationnement pour améliorer la mobilité urbaineINOV360
Depuis le 1er janvier 2015, les automobilistes de la capitale doivent se plier à de nouvelles règles en matière de stationnement payant, dont le principal objectif est d’augmenter la rotation des places.
Cette décision est avant tout un signal fort de la collectivité pour inciter les Parisiens à transformer leurs habitudes de déplacement. L’objectif est de modifier l’usage de la voiture individuelle mais aussi la pratique du stationnement.
Le 8 juillet 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Benoît ROCHAS, Sous-préfet de Neufchâteau ; Alain ROUSSEL, Conseiller départemental des Vosges ; Julien GRANDIEU, Maire de Grignoncourt, les parlementaires et les élus locaux, le site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile à Grignoncourt, dans le département des Vosges.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s la commune de Grignoncourt. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée de la 4G dans cette commune.
La FFTélécoms souligne l’implication de l’ensemble des partenaires dans la réalisation de ce projet. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Au niveau national au 31 mars 2019 :
- Plus de 66 000 sites mobiles étaient déjà passés en 4G sur les 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus en service ;
- Plus de 10 700 sites sont passés en 4G depuis la mise en œuvre du "New Deal Mobile".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
La Fédération Française des Télécoms dans un souci de transparence et de pédagogie a mis en ligne sur son site internet :
- Un compteur national pour suivre l’évolution des déploiements mobiles : http://bit.ly/NDMchiffres310319
- Une plaquette pédagogique sur les grandes étapes de déploiement d’un site mobile depuis la loi ELAN à destination des élus locaux et parlementaires : http://bit.ly/NDMPlaquette2019
On vise à diminuer de 50% la pollution due au trafic routier urbain par la flotte de véhicules électriques fonctionnant en permanence. TUPI est un traitement sanitaire pour la ville ! Ce n’est pas seulement une solution de transport.
Le 3 mai 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence d’Élodie DEGIOVANNI, Préfète de la Haute-Marne, de Bérangère ABBA, Députée de la Haute-Marne, de Nicolas LACROIX, Président de Conseil département de la Haute-Marne, de Patrice PERNEY, Maire de Rougeux et les élus locaux, le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de la Haute-Marne, situé à Rougeux.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s les communes de Rougeux, Celsay, Champsevraine, et Fayl-Billot. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en oeuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée aujourd’hui de la 4G dans ces quatre communes.
La FFTélécoms souligne l’implication exemplaire du Conseil départemental qui a permis une mise à disposition rapide des infrastructures. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie de l’ancien programme "Zones blanches - centres-bourgs" dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par le département des Pyrénées-Atlantiques qui, en étroite concertation avec la commune, a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Au niveau national au 1er janvier 2019 :
- 64 000 sites mobiles étaient déjà passés en 4G sur les 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus en service ;
- 9 000 sites sont passés en 4G en 2018.
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
Le 19 avril 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence d’Isabelle SIMA, Préfète du Cantal, Bruno FAURE, Président du Conseil départemental du Cantal, André TRONCHE, maire de Peyrusse et les élus locaux, le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile de la région Auvergne-Rhône-Alpes (AURA), situé dans le département du Cantal, à Peyrusse.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s la commune de Peyrusse. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie de l’ancien programme « Zones blanches - centres-bourgs » dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par le département du Cantal qui, en étroite concertation avec la commune, a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
La FFTélécoms souligne l’implication exemplaire du Conseil départemental qui a permis une mise à disposition rapide des infrastructures. L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Cette inauguration est donc l’illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal mobile" sur le territoire. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée". Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
La région AURA comptait 10 975 sites tous opérateurs confondus au 31 décembre 2018. Parmi ces sites, 8 689 sites étaient équipés en 4G. Entre le 31 mars et le 31 déc. 2018, 1 083 nouveaux sites sont passés en 4G.
Au 31 déc. 2018, 2 286 sites doivent encore migrer vers la 4G. Sur ces 2 286 sites, 1 584 se trouvent sur des pylônes mutualisés à quatre opérateurs et représentent la majeure partie de l’effort de passage en 4G. Cela correspond à 396 pylônes multi-op. (couvrant 598 communes ou zones).
En outre, 72 pylônes multi-op. des anciens programmes gouvernementaux devront être construits : la maîtrise d’ouvrage est assurée par la collectivité concernée.
Couverture mobile : dispositif de couverture ciblée - Guide pratique à destination des Maires.
Ce guide a vocation à informer les élus des principales étapes du déploiement des sites mobiles et à les accompagner dans leurs premiers échanges avec les opérateurs.
Après l’accord signé en janvier dernier entre les opérateurs et les pouvoirs publics pour accélérer la couverture numérique dans les territoires, la FFTélécoms et ses membres ont pris l’initiative de mettre en place rapidement un protocole de coopération entre les opérateurs et les collectivités locales, afin de faciliter la coordination technique dans le cadre du nouveau dispositif de « couverture ciblée ».
Soucieuse d’accompagner au plus près les élus locaux et notamment les maires, la Fédération a proposé de matérialiser sous forme pédagogique les grands enjeux de ce dispositif de « couverture ciblée ». La Fédération et ses membres avec les associations de collectivités, en lien avec l’Agence du Numérique et sa Mission France Mobile, ont donc produit un premier document qui est disponible en ligne. Cette brochure sera envoyée à l’ensemble des maires concernés par le Gouvernement prochainement.
Ce guide a été réalisé en partenariat avec :
- l’Association des Départements de France (ADF),
- l’Association des maires de France et présidents d’Intercommunalités (AMF),
- l’Association des maires ruraux de France (AMRF),
- l’Association Nationale des Elus de Montagne (ANEM),
- l’Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l’audiovisuel (AVICCA),
- l’Association des Régions de France,
- Territoire d’Énergie - Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR),
- la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms),
- Bouygues Telecom,
- Free,
- Orange,
- SFR,
- l’Agence du Numérique (Mission France Mobile).
Ce guide vise à faciliter les déploiements et n’a pas de valeur juridique.
Inaugurations de sept sites 4G multi-opérateurs en Aveyron : les opérateurs télécoms tiennent leurs engagements d’accélération des déploiements de la 4G dans les territoires.
Le 12 mars 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Catherine SARLANDIE DE LA ROBERTIE, Préfète de l’Aveyron, Jean-François GALLIARD, Président du Conseil départemental de l’Aveyron, Claude BARTHÉLÉMY, Maire de Combret, Jean CAPEL, Maire de Saint-Victor-et-Melvieu, Roland CONDOMINES, Maire de Montclar, Jean-Luc CRASSOUS, Maire de Broquiès, Christian FONT, Maire de Saint-Juéry, Michel HÉRAUD, Maire de Viala-du-Tarn, et Jean-Jacques SELLAM, Maire de Saint-Izaire, sept sites 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile en Aveyron, situés dans les communes de Broquiès, Combret, Montclar, Saint-Izaire, Saint-Juéry, Saint-Victor-et-Melvieu et Viala-du-Tarn.
Ces inaugurations sont l’illustration concrète de l’accélération de la mise en oeuvre du "New Deal mobile". Cet accord historique entre les opérateurs et les pouvoirs publics permet un déploiement accéléré de l’internet mobile dans les territoires. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée".
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
Paris active le levier du stationnement pour améliorer la mobilité urbaineINOV360
Depuis le 1er janvier 2015, les automobilistes de la capitale doivent se plier à de nouvelles règles en matière de stationnement payant, dont le principal objectif est d’augmenter la rotation des places.
Cette décision est avant tout un signal fort de la collectivité pour inciter les Parisiens à transformer leurs habitudes de déplacement. L’objectif est de modifier l’usage de la voiture individuelle mais aussi la pratique du stationnement.
Le 8 juillet 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Benoît ROCHAS, Sous-préfet de Neufchâteau ; Alain ROUSSEL, Conseiller départemental des Vosges ; Julien GRANDIEU, Maire de Grignoncourt, les parlementaires et les élus locaux, le site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile à Grignoncourt, dans le département des Vosges.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s la commune de Grignoncourt. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée de la 4G dans cette commune.
La FFTélécoms souligne l’implication de l’ensemble des partenaires dans la réalisation de ce projet. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Au niveau national au 31 mars 2019 :
- Plus de 66 000 sites mobiles étaient déjà passés en 4G sur les 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus en service ;
- Plus de 10 700 sites sont passés en 4G depuis la mise en œuvre du "New Deal Mobile".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
La Fédération Française des Télécoms dans un souci de transparence et de pédagogie a mis en ligne sur son site internet :
- Un compteur national pour suivre l’évolution des déploiements mobiles : http://bit.ly/NDMchiffres310319
- Une plaquette pédagogique sur les grandes étapes de déploiement d’un site mobile depuis la loi ELAN à destination des élus locaux et parlementaires : http://bit.ly/NDMPlaquette2019
On vise à diminuer de 50% la pollution due au trafic routier urbain par la flotte de véhicules électriques fonctionnant en permanence. TUPI est un traitement sanitaire pour la ville ! Ce n’est pas seulement une solution de transport.
Le 3 mai 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence d’Élodie DEGIOVANNI, Préfète de la Haute-Marne, de Bérangère ABBA, Députée de la Haute-Marne, de Nicolas LACROIX, Président de Conseil département de la Haute-Marne, de Patrice PERNEY, Maire de Rougeux et les élus locaux, le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de la Haute-Marne, situé à Rougeux.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s les communes de Rougeux, Celsay, Champsevraine, et Fayl-Billot. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en oeuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée aujourd’hui de la 4G dans ces quatre communes.
La FFTélécoms souligne l’implication exemplaire du Conseil départemental qui a permis une mise à disposition rapide des infrastructures. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie de l’ancien programme "Zones blanches - centres-bourgs" dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par le département des Pyrénées-Atlantiques qui, en étroite concertation avec la commune, a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Au niveau national au 1er janvier 2019 :
- 64 000 sites mobiles étaient déjà passés en 4G sur les 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus en service ;
- 9 000 sites sont passés en 4G en 2018.
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
Le 19 avril 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence d’Isabelle SIMA, Préfète du Cantal, Bruno FAURE, Président du Conseil départemental du Cantal, André TRONCHE, maire de Peyrusse et les élus locaux, le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile de la région Auvergne-Rhône-Alpes (AURA), situé dans le département du Cantal, à Peyrusse.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s la commune de Peyrusse. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie de l’ancien programme « Zones blanches - centres-bourgs » dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par le département du Cantal qui, en étroite concertation avec la commune, a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
La FFTélécoms souligne l’implication exemplaire du Conseil départemental qui a permis une mise à disposition rapide des infrastructures. L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Cette inauguration est donc l’illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal mobile" sur le territoire. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée". Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
La région AURA comptait 10 975 sites tous opérateurs confondus au 31 décembre 2018. Parmi ces sites, 8 689 sites étaient équipés en 4G. Entre le 31 mars et le 31 déc. 2018, 1 083 nouveaux sites sont passés en 4G.
Au 31 déc. 2018, 2 286 sites doivent encore migrer vers la 4G. Sur ces 2 286 sites, 1 584 se trouvent sur des pylônes mutualisés à quatre opérateurs et représentent la majeure partie de l’effort de passage en 4G. Cela correspond à 396 pylônes multi-op. (couvrant 598 communes ou zones).
En outre, 72 pylônes multi-op. des anciens programmes gouvernementaux devront être construits : la maîtrise d’ouvrage est assurée par la collectivité concernée.
Couverture mobile : dispositif de couverture ciblée - Guide pratique à destination des Maires.
Ce guide a vocation à informer les élus des principales étapes du déploiement des sites mobiles et à les accompagner dans leurs premiers échanges avec les opérateurs.
Après l’accord signé en janvier dernier entre les opérateurs et les pouvoirs publics pour accélérer la couverture numérique dans les territoires, la FFTélécoms et ses membres ont pris l’initiative de mettre en place rapidement un protocole de coopération entre les opérateurs et les collectivités locales, afin de faciliter la coordination technique dans le cadre du nouveau dispositif de « couverture ciblée ».
Soucieuse d’accompagner au plus près les élus locaux et notamment les maires, la Fédération a proposé de matérialiser sous forme pédagogique les grands enjeux de ce dispositif de « couverture ciblée ». La Fédération et ses membres avec les associations de collectivités, en lien avec l’Agence du Numérique et sa Mission France Mobile, ont donc produit un premier document qui est disponible en ligne. Cette brochure sera envoyée à l’ensemble des maires concernés par le Gouvernement prochainement.
Ce guide a été réalisé en partenariat avec :
- l’Association des Départements de France (ADF),
- l’Association des maires de France et présidents d’Intercommunalités (AMF),
- l’Association des maires ruraux de France (AMRF),
- l’Association Nationale des Elus de Montagne (ANEM),
- l’Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l’audiovisuel (AVICCA),
- l’Association des Régions de France,
- Territoire d’Énergie - Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR),
- la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms),
- Bouygues Telecom,
- Free,
- Orange,
- SFR,
- l’Agence du Numérique (Mission France Mobile).
Ce guide vise à faciliter les déploiements et n’a pas de valeur juridique.
Inaugurations de sept sites 4G multi-opérateurs en Aveyron : les opérateurs télécoms tiennent leurs engagements d’accélération des déploiements de la 4G dans les territoires.
Le 12 mars 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Catherine SARLANDIE DE LA ROBERTIE, Préfète de l’Aveyron, Jean-François GALLIARD, Président du Conseil départemental de l’Aveyron, Claude BARTHÉLÉMY, Maire de Combret, Jean CAPEL, Maire de Saint-Victor-et-Melvieu, Roland CONDOMINES, Maire de Montclar, Jean-Luc CRASSOUS, Maire de Broquiès, Christian FONT, Maire de Saint-Juéry, Michel HÉRAUD, Maire de Viala-du-Tarn, et Jean-Jacques SELLAM, Maire de Saint-Izaire, sept sites 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile en Aveyron, situés dans les communes de Broquiès, Combret, Montclar, Saint-Izaire, Saint-Juéry, Saint-Victor-et-Melvieu et Viala-du-Tarn.
Ces inaugurations sont l’illustration concrète de l’accélération de la mise en oeuvre du "New Deal mobile". Cet accord historique entre les opérateurs et les pouvoirs publics permet un déploiement accéléré de l’internet mobile dans les territoires. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée".
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
Le 5 février 2018, Michel COMBOT, Directeur Général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile, Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR ont inauguré, en présence de Julien DENORMANDIE, Secrétaire d’État auprès du Ministre de la Cohésion des territoires, d’Henri NAYROU, Président du Conseil Départemental de l’Ariège, d’Alain DURAN, Sénateur de l’Ariège et de Philippe JALOUX, Maire de Villeneuve-du-Latou, un site multi-opérateurs dans le cadre du programme de couverture des zones blanches à Villeneuve-du-Latou en Ariège.
Ce site dessert la commune de Villeneuve-du-Latou (167 habitants), avec des débits théoriques maximum de plusieurs Mb/s. Il a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs.
En Ariège, sur les 57 communes inscrites au programme « Zones blanches - centres-bourgs » (ZBCB),
54 communes disposant d’un pylône, bénéficient de l’internet mobile de manière mutualisée au 31 décembre 2017. Pour les 3 communes non couvertes, Gudas, Segura et Ustou qui ont rejoint le programme ZBCB en février 2016, l’enjeu est aujourd’hui la construction du pylône et l’activation des services mobiles.
Un an après l’accord historique conclu entre les opérateurs de téléphonie mobile et les pouvoirs publics qui vise à étendre la couverture numérique sur le territoire, l’accélération de la 4G est une réalité.
- 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus sont en service ;
- 64 000 sites mobiles sont en 4G ;
- En 2018, 9000 sites sont déja passés en 4G ;
- D’ici fin 2022, les opérateurs se sont engagés à passer l’ensemble de leurs sites existants en 4G ;
- Retrouvez notre compteur national sur notre site.
- Au 1er janvier 2019, 16 346 sites doivent passer en 4G avant fin 2022.
Retrouvez toutes les informations sur le « New Deal Mobile ».
Déploiements mobiles : les nouvelles dispositions de la loi ELAN
La loi ELAN du 23 novembre 2018 a permis de gagner 5 mois sur le délai d’instruction.
Retrouvez l'étude complète Villes Françaises & Mobilité publiée en Mars 2019 par notre laboratoire d'idées en matière de mobilité et qui présente les villes françaises championnes en matière de mobilité en 2019 !
Ce rapport porte sur les 75 villes les plus peuplées de France (+65.000 habitants) et repose sur un questionnaire de plus de 80 questions. Cette étude a pour objet d'étudier les dispositifs Mobilité développés ou futurs ainsi que les accompagnements proposés à la mobilité dans les plus importantes communes de France. Les Clés de la Mobilité a souhaité proposer une étude la plus exhaustive possible : transports en commun, nouvelles mobilité, qualité de l'air, etc. Bonne lecture !
Présentation publique des conclusions du rapport "Décarboner la mobilité dans...The Shift Project
Présentation publique des conclusions du rapport "Décarboner la mobilité dans les zones de moyenne densité" par Francisco Luciano, Directeur du groupe de travail du Shift
Consultez le dossier de presse de l'inauguration site multi-opérateurs à Locquénolé dans le Finistère, un événement organisé par la Fédération Française des Télécoms. En savoir plus : http://bit.ly/FFTLocquénolé
Le 27 mai 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Patrice LATRON, Préfet de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, Président du Conseil départemental de l’Yonne, Bertrand DE LA GRAVIÈRE, Maire de Châtel-Censoir, Bruno MASSIAS JURIEN DE LA GRAVIÈRE, Maire de Merry-sur-Yonne et des élus locaux,
le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de l’Yonne, situé
à Châtel-Censoir.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s les communes de Châtel-Censoir et Merry-sur-Yonne. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée aujourd’hui de la 4G dans ces deux communes.
La FFTélécoms souligne l’implication exemplaire du Conseil départemental qui a permis une mise à disposition rapide des infrastructures. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie des anciens programmes de couverture dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par la collectivité, qui a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Support utilisé lors de la table ronde 4 : "Nouvelles mobilités et action publique" lors des rencontres Mobilis 2008 (Belfort 18&19 nov 08). Intervenant : Christian Proust (Président du SMTC)
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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Le 20 juin 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Philippe FOURNIER-MONTGIEUX, Sous-préfet d’Abbeville ; Stéphane DECAYEUX, Vice-président en charge de l’innovation départementale ; Philippe DELAPORTE, Maire de Miannay et les élus locaux, le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de la Somme, situé à Miannay.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s la commune de Miannay. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée de la 4G dans cette commune.
La FFTélécoms souligne l’implication de l’ensemble des partenaires dans la réalisation de ce projet. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie des anciens programmes de couverture dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par la collectivité, qui a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Au niveau national au 31 mars 2019 :
- Plus de 66 000 sites mobiles étaient déjà passés en 4G sur les 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus en service ;
- Plus de 10 700 sites sont passés en 4G depuis la mise en œuvre du "New Deal Mobile".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
La Fédération Française des Télécoms dans un souci de transparence et de pédagogie a mis en ligne sur son site internet :
- Un compteur national pour suivre l’évolution des déploiements mobiles : http://bit.ly/CompteurNewDealMobile
- Une plaquette pédagogique sur les grandes étapes de déploiement d’un site mobile depuis la loi ELAN à destination des élus locaux et parlementaires : http://bit.ly/NDMPlaquette2019
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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Le 5 juillet 2019, les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Marie-Paule DEMIGUEL, sous-préfète de Saint-Gaudens ; Patrice RIVAL, Conseiller départemental et Vice-président en charge de l’Agriculture, de la Ruralité, de la Montagne et du Thermalisme ; Pascal MILESI, Maire de Payssous et les élus locaux, le site multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de la Haute-Garonne, situé à Payssous.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs Mb/s, la commune de Payssous. Ce pylône est mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie de l’ancien programme "Zones blanches - centres-bourgs" dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par le département de la Haute-Garonne qui, en étroite concertation avec la commune propriétaire du terrain, a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
La Fédération Française des Télécoms souligne l’implication exemplaire du Département et du CIDAP qui a permis aux opérateurs de procéder aux équipements radio du site.
Cette inauguration permettra également de faire un point précis sur l’avancée du "New Deal Mobile", accord historique entre les opérateurs et les pouvoirs publics qui permet un déploiement accéléré de l’internet mobile dans les territoires. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage progressif en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
La commune de Payssous sera donc dans les prochaines semaines, équipée de la technologie 4G.
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
Un oeil sur la Loi d'orientation des mobilités (LOM)Thinkmarket
[Suggestion : affichez le document en plein écran pour éviter la pixellisation]
Adopté par l’Assemblée nationale le 17 septembre 2019, ce projet de loi vise à améliorer concrètement la mobilité en répondant aux problématiques actuelles et futures (zones blanches, transition écologique, micro-mobilités, ...).
Découvrez notre analyse des impacts de la LOM sur l'écosystème des transports.
99e Congrès des maires et des présidents d’intercommunalités de France
Les opérateurs mobiles membres de la Fédération française des télécoms s’engagent
résolument en faveur de l’aménagement numérique des territoires
Le 5 février 2018, Michel COMBOT, Directeur Général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile, Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR ont inauguré, en présence de Julien DENORMANDIE, Secrétaire d’État auprès du Ministre de la Cohésion des territoires, d’Henri NAYROU, Président du Conseil Départemental de l’Ariège, d’Alain DURAN, Sénateur de l’Ariège et de Philippe JALOUX, Maire de Villeneuve-du-Latou, un site multi-opérateurs dans le cadre du programme de couverture des zones blanches à Villeneuve-du-Latou en Ariège.
Ce site dessert la commune de Villeneuve-du-Latou (167 habitants), avec des débits théoriques maximum de plusieurs Mb/s. Il a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs.
En Ariège, sur les 57 communes inscrites au programme « Zones blanches - centres-bourgs » (ZBCB),
54 communes disposant d’un pylône, bénéficient de l’internet mobile de manière mutualisée au 31 décembre 2017. Pour les 3 communes non couvertes, Gudas, Segura et Ustou qui ont rejoint le programme ZBCB en février 2016, l’enjeu est aujourd’hui la construction du pylône et l’activation des services mobiles.
Un an après l’accord historique conclu entre les opérateurs de téléphonie mobile et les pouvoirs publics qui vise à étendre la couverture numérique sur le territoire, l’accélération de la 4G est une réalité.
- 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus sont en service ;
- 64 000 sites mobiles sont en 4G ;
- En 2018, 9000 sites sont déja passés en 4G ;
- D’ici fin 2022, les opérateurs se sont engagés à passer l’ensemble de leurs sites existants en 4G ;
- Retrouvez notre compteur national sur notre site.
- Au 1er janvier 2019, 16 346 sites doivent passer en 4G avant fin 2022.
Retrouvez toutes les informations sur le « New Deal Mobile ».
Déploiements mobiles : les nouvelles dispositions de la loi ELAN
La loi ELAN du 23 novembre 2018 a permis de gagner 5 mois sur le délai d’instruction.
Retrouvez l'étude complète Villes Françaises & Mobilité publiée en Mars 2019 par notre laboratoire d'idées en matière de mobilité et qui présente les villes françaises championnes en matière de mobilité en 2019 !
Ce rapport porte sur les 75 villes les plus peuplées de France (+65.000 habitants) et repose sur un questionnaire de plus de 80 questions. Cette étude a pour objet d'étudier les dispositifs Mobilité développés ou futurs ainsi que les accompagnements proposés à la mobilité dans les plus importantes communes de France. Les Clés de la Mobilité a souhaité proposer une étude la plus exhaustive possible : transports en commun, nouvelles mobilité, qualité de l'air, etc. Bonne lecture !
Présentation publique des conclusions du rapport "Décarboner la mobilité dans...The Shift Project
Présentation publique des conclusions du rapport "Décarboner la mobilité dans les zones de moyenne densité" par Francisco Luciano, Directeur du groupe de travail du Shift
Consultez le dossier de presse de l'inauguration site multi-opérateurs à Locquénolé dans le Finistère, un événement organisé par la Fédération Française des Télécoms. En savoir plus : http://bit.ly/FFTLocquénolé
Le 27 mai 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Patrice LATRON, Préfet de l’Yonne, Patrick GENDRAUD, Président du Conseil départemental de l’Yonne, Bertrand DE LA GRAVIÈRE, Maire de Châtel-Censoir, Bruno MASSIAS JURIEN DE LA GRAVIÈRE, Maire de Merry-sur-Yonne et des élus locaux,
le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de l’Yonne, situé
à Châtel-Censoir.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s les communes de Châtel-Censoir et Merry-sur-Yonne. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée aujourd’hui de la 4G dans ces deux communes.
La FFTélécoms souligne l’implication exemplaire du Conseil départemental qui a permis une mise à disposition rapide des infrastructures. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie des anciens programmes de couverture dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par la collectivité, qui a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Support utilisé lors de la table ronde 4 : "Nouvelles mobilités et action publique" lors des rencontres Mobilis 2008 (Belfort 18&19 nov 08). Intervenant : Christian Proust (Président du SMTC)
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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Le 20 juin 2019, Michel COMBOT, Directeur général de la Fédération Française des Télécoms et les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Philippe FOURNIER-MONTGIEUX, Sous-préfet d’Abbeville ; Stéphane DECAYEUX, Vice-président en charge de l’innovation départementale ; Philippe DELAPORTE, Maire de Miannay et les élus locaux, le premier site 4G multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de la Somme, situé à Miannay.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs dizaines de Mb/s la commune de Miannay. Il représente une illustration concrète de l’accélération de la mise en œuvre du "New Deal Mobile" sur le territoire, avec l’arrivée de la 4G dans cette commune.
La FFTélécoms souligne l’implication de l’ensemble des partenaires dans la réalisation de ce projet. Ce pylône a été mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs, dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie des anciens programmes de couverture dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par la collectivité, qui a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
L’arrivée de la 4G sur ce site se fait grâce à l’accord historique du "New Deal Mobile" conclu l’année dernière entre les pouvoirs publics et les opérateurs. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
Au niveau national au 31 mars 2019 :
- Plus de 66 000 sites mobiles étaient déjà passés en 4G sur les 81 000 sites mobiles tous opérateurs confondus en service ;
- Plus de 10 700 sites sont passés en 4G depuis la mise en œuvre du "New Deal Mobile".
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
La Fédération Française des Télécoms dans un souci de transparence et de pédagogie a mis en ligne sur son site internet :
- Un compteur national pour suivre l’évolution des déploiements mobiles : http://bit.ly/CompteurNewDealMobile
- Une plaquette pédagogique sur les grandes étapes de déploiement d’un site mobile depuis la loi ELAN à destination des élus locaux et parlementaires : http://bit.ly/NDMPlaquette2019
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Le 5 juillet 2019, les représentants des opérateurs de téléphonie mobile ont inauguré, en présence de Marie-Paule DEMIGUEL, sous-préfète de Saint-Gaudens ; Patrice RIVAL, Conseiller départemental et Vice-président en charge de l’Agriculture, de la Ruralité, de la Montagne et du Thermalisme ; Pascal MILESI, Maire de Payssous et les élus locaux, le site multi-opérateurs d’accès à l’internet mobile du département de la Haute-Garonne, situé à Payssous.
Le site dessert avec des débits théoriques maximum de plusieurs Mb/s, la commune de Payssous. Ce pylône est mutualisé de manière volontaire par les quatre opérateurs dans le cadre d’un précédant partenariat avec l’État et les collectivités locales. Il fait partie de l’ancien programme "Zones blanches - centres-bourgs" dont la maîtrise d’ouvrage a été portée par le département de la Haute-Garonne qui, en étroite concertation avec la commune propriétaire du terrain, a construit le pylône permettant aux opérateurs d’y installer leurs équipements radio.
La Fédération Française des Télécoms souligne l’implication exemplaire du Département et du CIDAP qui a permis aux opérateurs de procéder aux équipements radio du site.
Cette inauguration permettra également de faire un point précis sur l’avancée du "New Deal Mobile", accord historique entre les opérateurs et les pouvoirs publics qui permet un déploiement accéléré de l’internet mobile dans les territoires. Il prévoit notamment la généralisation de la 4G sur l’ensemble des réseaux et le passage progressif en 4G des communes du programme "Zones blanches - centres-bourgs".
La commune de Payssous sera donc dans les prochaines semaines, équipée de la technologie 4G.
Par ailleurs, cet accord comprend la construction de 5 000 nouveaux sites financés à 100% par les opérateurs afin de généraliser la bonne couverture, au sein du dispositif dit de "couverture ciblée"*.
Pour permettre une réussite opérationnelle de l’accord, un guide pratique à destination des maires a été réalisé par la FFTélécoms en partenariat avec les associations de collectivités. Les opérateurs réaffirment leur volonté de travailler de concert avec les élus locaux et les associations d’élus au profit de l’aménagement du territoire.
Un oeil sur la Loi d'orientation des mobilités (LOM)Thinkmarket
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Adopté par l’Assemblée nationale le 17 septembre 2019, ce projet de loi vise à améliorer concrètement la mobilité en répondant aux problématiques actuelles et futures (zones blanches, transition écologique, micro-mobilités, ...).
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99e Congrès des maires et des présidents d’intercommunalités de France
Les opérateurs mobiles membres de la Fédération française des télécoms s’engagent
résolument en faveur de l’aménagement numérique des territoires
L'Avere-France publie un guide pratique à destination des candidats aux élections municipales. Retrouvez nos propositions pour un avenir électromobile !
Le magazine Keo des idées neuves sur la mobilité fait par le Groupe Keolis. Actualités, dossiers, forums, zoom et analyses vous attendent au fil de ses 24 pages.
Au sommaire de ce numéro : Tranport public - réinventer un modèle économique, focus sur les partenariats public-privé, mutation du réseau d'Arras, dynamisation des zones piétonnes en centre-ville...
La consommation d’énergie en 2015 sur le pays de Lorient. AudéLor, septembre ...AudéLor
Au sommaire de cette fiche sur la consommation d'énergie en 2015 sur le Pays de Lorient réalisée par l'Observatoire Énergie-Climat d'AudéLor :
- Consommation énergétique finale par secteur
- Consommation des produits : gaz, pétrole, énergies renouvelables, électricité
- Flux énergétiques sur le territoire
- La consommation énergétique finale résidentielle en 2015
New Deal - Texte intégral - Le futur des routes du Grand Paris Leonard
Un groupement d’experts et d’innovateurs rassemblant Leonard, Seura (David Mangin), Jornet Llop Pastor, Carlo Ratti Associati présente aujourd’hui au Pavillon de l’Arsenal ses conclusions sur l’avenir des autoroutes et voies rapides du Grand Paris aux horizons 2024 (Jeux Olympiques), 2030 (Grand Paris Express) et 2050. Nées de la consultation internationale organisée par le Forum Métropolitain du Grand Paris, les conclusions du projet New Deal sont présentées à partir d’aujourd’hui au Pavillon de l’Arsenal à Paris. L’exposition est ouverte au public du 7 juin au 13 octobre 2019.
Le magazine Keo des idées neuves sur la mobilité fait par le Groupe Keolis. Actualités, dossiers, forums, zoom et analyses vous attendent au fil de ses 24 pages.
Au sommaire de ce numéro : La mobilité version digitale, la réorganisation du réseau de Nîmes, la réforme des rythmes scolaires pour les transports publics, le lancement du réseau de Boston...
Toute l’équipe de l’Inf’Ose se joint à moi pour souhaiter à nos chers lecteurs et lecteurs, nos meilleurs vœux pour cette nouvelle année. Pour ce mois de janvier, la rédaction a tenu à
se tourner vers le vecteur énergétique qu’est l’électricité. Des focus liés à des exemples de consommation, de production et de stockage seront évoqués avant de terminer sur une des implications en partie liées à la production d’origine carbonée.
Lorsque l’on s’intéresse à l'évolution du monde de l’énergie, il est bon de rappeler que l’énergie est le facteur fondamental du développement économique et social. Bien que cela puisse nous paraître évident au sein de nos sociétés développées, partout dans le monde, l’accès à l’énergie est au cœur des priorités. Environ 1,2 milliard d’habitants n’ont toujours pas accès à l’électricité et il devrait y avoir 2 milliards d’habitants de plus sur cette planète d’ici 2050. Pour assurer un développement économique à l ’ensemble de la population, l’accès à l’énergie doit se faire à un coût abordable. Le changement climatique est venu ajouter une contrainte supplémentaire au problème : l ’énergie doit désormais être propre. Le vrai challenge de l ’accès à une énergie propre est qu’il s’agit à la fois d’un problème global et de long terme. Alors que les discussions de court terme sur le système énergétique européen s’éternisent, l’Inde de son côté devrait installer, sur la période 2016 – 2040, l’équivalent de la capacité du parc actuel de génération d’électricité de l’Europe, et la Chine l’équivalent du parc actuel des Etats Unis.
Les décisions qui vont être prises en Europe ne peuvent désormais plus ignorer celles qui seront prises à Beijing et à New Delhi. Les choix technologiques de ces pays pour mener à bien leur politique énergétique, comme en Chine avec « Make the sky of China blue again », imposent les lois du marché à l’international : on l’a vu avec le marché des panneaux solaires, on le voit arriver avec le marché des batteries.
Le numéro que nous vous proposons donne un aperçu des enjeux auxquels l’Inde et la Chine sont confrontés, en regard de ceux qui occupent nos pays développés.
Florian ROUOT
Le magazine Keo des idées neuves sur la mobilité fait par le Groupe Keolis. Actualités, dossiers, forums, zoom et analyses vous attendent au fil de ses 24 pages.
Au sommaire de ce numéro : La satisfaction des clients au coeur de la stratégie des opérateurs de transport, la protection des données, forum autour de l'accessibilité...
2e place lors du concours Hack the City Toulouse 2015 (rush de 36h).
"Entrez une adresse et notre solution et vous renvoie la liste des zones de stationnement disponibles aux alentours".
L’automobile et la mobilité en général sont sans doute à la veille d’une grande rupture : les voitures deviennent électriques, elles sont connectées et leurs données disponibles pour créer de nouveaux services, la technologie de conduite autonome ouvre des perspectives inconnues, et l’usage prend le pas sur la propriété, les services de mobilité sur la possession d’une voiture individuelle. La convergence de tous ces changements permet d’imaginer de nouveaux services, de nouveaux objets, de nouveaux usages et de nouveaux modèles économiques. Et si Autolib' était remplacé par un service abordable de robotaxis électriques, autonomes, partagés et commandés sur une appli ?
SOMMAIRE :
- Actualité : L’Ifsttar s’installe au mobiLAB, le cluster des mobilités innovantes
- Dossier : Sécurité et maintenance des ouvrages d’art : l'Ifsttar en première ligne
- Rencontre : Nicolas Bardou, directeur technique de la maîtrise d’ouvrage de Cofiroute
Au sommaire :
Actualité : Les séminaires de connaissance réciproque : départ réussi pour l’Université Gustave Eiffel
Dossier : Sense-City, élaborer la ville de demain
Rencontre : Brigitte Bariol-Mathais, déléguée générale de la FNAU (Fédération nationale des Agences d'Urbanisme)
2017 saw many of our projects flourish, facilitated by fewer financial management constraints. We have become better
organised, produced research that is as valuable as ever and have been in greater demand, particularly by the socio-economic world. These favourable conditions have reinforced our influence in France and abroad. They have also helped us forge new partnerships. Within the framework of the Future Investments Programme, we obtained the certification of the I-Site FUTURE, which is a sign of the recognition of the scientific and institutional excellence of the project to create an establishment that we are jointly undertaking with our neighbouring partners: UPEM, ESIEE Paris, EAVT, EIVP,
IGN and ENPC.
L'année 2017 a vu un épanouissement de nombre de nos projets, facilité par une gestion financière plus sereine. Nous nous sommes mieux structurés, avons produit une recherche toujours aussi riche et avons été davantage sollicités, notamment par le monde socioéconomique. Ces bonnes conditions ont consolidé notre rayonnement en France comme à l’international. Elles ont aussi été propices à la création de nouvelles alliances. Nous avons obtenu la labellisation de l’I-Site FUTURE dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir, marque de reconnaissance de l’excellence scientifique et institutionnelle du projet d’établissement que nous partageons avec nos partenaires voisins : l’UPEM, ESIEE Paris, l’EAVT, l’EIVP, l’IGN et l’ENPC.
Le projet INDIRA_B (INDIcators for Reliability and Variability of Bus Systems) a pour objectif d'étudier la qualité de service des bus.
Le poster a été présenté lors de la visite officielle d’Emmanuel Macron et de Frédérique Vidal en Inde au Knowledge Summit du 10 et 11 mars 2018.
- Une année pour finaliser la création de l’université dédiée en particulier à la ville durable et à la mobilité
- Quel futur pour l’I-SITE FUTURE ?
- Sense-City, la mini-ville pour la ville de demain achève sa construction en 2018
- Retour sur les Assises de la mobilité : organisation d’un atelier sur la logistique urbaine
- NoiseCapture, une démarche participative sur smartphone pour cartographier l’environnement sonore
- 9e conférence internationale Indoor Positioning and Indoor Navigation
- Sols artificialisés et processus d’artificialisation des sols
- Transpolis, une plateforme nationale à Lyon dédiée à l’innovation pour la mobilité
- Étude MIRE
- Identifier les scénarios critiques pour le véhicule autonome
- Conducteur et automatisation, focus sur le monitoring du conducteur
- Focus projet
- L’Ifsttar et la Banque mondiale
- Projet Captatus
- Les systèmes GNSS, éléments incontournables pour le développement du train de demain
- La modélisation et l’optimisation du plan de transport d’un réseau ferroviaire
- Agenda 2018
Numéro spécial ANM : Assises Nationales de la Mobilité
- Dossier : Réinventer la mobilité du quotidien
- Stratégie de recherche : « Répondre aux besoins d'aujourd'hui et anticiper ceux de demain »
- Rencontre : Philippe Duron, président de l'association TDIE
L'année 2016 nous a permis de faire un point d'étape important dans notre évolution : nous avons été évalué par l'Hceres, nous avons fait le bilan de notre premier Contrat d’objectifs et de performance, de notre stratégie scientifique, et nous avons négocié notre deuxième contrat avec l’État. Les départements ont continué à produire de la recherche de très bonne qualité, nous avons participé à de nombreux projets d’IDEX ou d’I-Site couronnés de succès, et… pendant ce temps, les services support ont jonglé avec la GBCP (Gestion budgétaire et comptable publique). Nous avons accru notre visibilité au niveau national et international, en confirmant la pertinence de nos sujets.
Numéro spécial ITS : Vers une mobilité intelligente
- Stratégie de recherche : les systèmes de transports intelligents : un enjeu fort pour notre Institut
- Dossier : vers une mobilité intelligente
- Transports intelligents : quels bénéfices pour les usagers ?
L’année 2017 marque la fin d’un cycle et l’ouverture d’une nouvelle période quinquennale. Les structures de recherche de l’Ifsttar ont été particulièrement sollicitées depuis l’année 2014, avec la préparation de leurs dossiers d’évaluation par le HCERES fin 2014, par celle de l’établissement pour tous les aspects gouvernance et management fin 2015, par la réflexion désormais achevée sur les thématiques prioritaires de
l’Ifsttar et l’élaboration d’un nouveau Contrat d’Objectifs et de Performance, pour la période 2017-20121.
Les équipes vont pouvoir disposer en 2017 d’une année relativement légère en sollicitations stratégiques - les
évaluations sont passées, une stratégie scientifique à 10 ans précisée a été validée en conseil scientifique et en conseil d’administration - et se concentrer sur leur cœur de métier. Cela n’empêchera évidemment pas de suivre avec attention les suites données aux recommandations faites par les comités d’expert mandatés par le HCERES, avec un examen à mi-parcours en Conseil Scientifique de l’Ifsttar.
L’année 2017 devrait être particulière sur deux volets :
1- La mise en œuvre du nouveau Contrat d’Objectifs et de Performance 2017-2021 de l’Ifsttar.
2- Les suites des structurations des grands ensembles d’enseignement et de recherche, issues ou portées par les réponses aux appels lancés dans le cadre du PIA2, en particulier les projets d’IdEx et d’I-Site, en lien avec les différents sites de l’Ifsttar.
(voir également les annexes du programmes de recherche 2017)
Version précisée suite à la démarche « thématiques prioritaires ». Ce document présente une version « précisée » de la « stratégie scientifique à 10 ans », élaborée en 2012. En repartant des « questions de recherche » des quatre défis initiaux de la stratégie scientifique, ont été listées celles sur lesquelles l’Ifsttar estime qu'il pourra se positionner en conservant un impact significatif (publications, valorisation, expertise, appui aux politiques publiques). Cette sélection se fonde sur la démarche de priorisation des thématiques scientifiques, menée au sein de l'Ifsttar de 2014 à 2016. Elle a été validée en Conseil Scientifique de l’Ifsttar le 23 novembre 2016.
Dans le cadre des décennies de l'Ifsttar - Table ronde : les nouveaux matériaux, par François TOUTLEMONDE, Département Matériaux & Structures, Délégué scientifique.
Avec la participation de : Florent BABY – Denis BOLUSSET - Claude BOULAY – Stéphane DUBROCA – Fernanda GOMES - Thomas GUENET – Amaury HERRERA – François de LARRARD - Ludovic LAUVIN - Robert LE ROY - Pierre MARCHAND – Edouard PARANT – Jean-Claude RENAUD – Stéphane RENWEZ - Pierre ROSSI – Nicolas ROUSSEL – Isabelle SCHALLER – Thierry SEDRAN - Jérôme SERCOMBE – Luca SORELLI …
Dans le cadre des décennies de l'Ifsttar - Table ronde : Comment développer la pratique du vélo ? par Stéphane Caro, Ingénieur de recherche Ifsttar/COSYS
Dans le cadre des décennies de l'Ifsttar - Table ronde : Comment développer la pratique du vélo ? par Sophie Midenet, Chargée de mission au Labex FUTURS URBAINS, Ifsttar/COSYS
Dans le cadre des décennies de l'Ifsttar - Table ronde : Comment développer la pratique du vélo ? par Nadine Chaurand, Chercheuse en psychologie, Ifsttar/AME
Plus de l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux (20)
52. 16 MAI 18
Site internet
ACPM : NC
Nantes accueille ELECTRIC-ROAD
Sous le patronage du Ministère chargé des Transports et la participation de la Région Pays de Loire, du
département Loire Atlantique et de Nantes Métropole et en présence de la Ministre des Transports, Madame
Elisabeth Borne, les acteurs de la mobilité électrique seront à Nantes pour le 5ème Congrès ELECTRIC-
ROAD.
Les 18 et 19 juin, cet événement national, permettra de mettre en avant l'implication et les innovations et la
dynamique de la ville et sa région dans le domaine et de mettre en avant les acteurs de la filière mais aussi
les transformations industrielles, sociétales et politiques qui impactent et impacteront le monde de la mobilité
bouleversé par la nouvelle donne électrique.
ELECTRIC-ROAD permettra de faire le point sur les avancées technologiques et sur le développement
d’une mobilité propre pour tous les types de transports. Organisé sur deux jours, le congrès propose un
programme de conférences, d’exposition, d'essai et de networking autour de l’avenir de la mobilité électrique
et son écosystème infrastructurel.
La métropole nantaise et sa région accélèrent leurs projets dans l’électro-mobilité.
Ambition : devenir le premier pôle régional de France dans la mobilité durable.
Pour réduire de 50 % ses émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030, Nantes Métropole va notamment
investir un milliard € pour développer des solutions de mobilité durable dans le cadre de son Plan Climat Air
Energie Territorial (PCAET). Parmi les 33 engagements pris par la métropole nantaise dans de nombreux
domaines, celui de la mobilité électrique est prioritaire. Alors que le transport représentait 42 % des
émissions de gaz à effet du territoire en 2014 selon Air Pays de la Loire, la métropole met ainsi le paquet
pour développer des solutions de mobilité plus durables. Outre l'accélération de ses flottes de véhicules
propres, Nantes vise également l'abandon des bus diesel d'ici à 2020 au profit d’une motorisation électrique.
Pour cela, elle vient de commander 20 bus bi-articulés 100% électriques au constructeur suisse Hess. Pour
pouvoir assurer un très haut niveau de service, la commande nantaise sera dotée de la recharge très rapide
en station-flash, une première nationale ! Hess fournira en effet le système de recharge ultra-rapide TOSA
actuellement en cours de test à Genève. Attendus dès l'automne 2018, les premiers e-busway seront mis en
service à la rentrée 2019.
Incitation fiscale à l’achat d’un véhicule électrique
Comme sa capitale, la région Pays de la Loire montre sa forte volonté de développer la mobilité durable. La
région qui ambitionne d’en devenir la première région de France, mise aussi sur le véhicule électrique. Avec
192 millions d'euros sur cinq ans, dont 71 millions de fonds européens, le plan transition énergétique de la
région a pour but d'accélérer le passage aux énergies vertes. Parmi les cinq objectifs majeurs de cette feuille
de route sur la période 2016-2021, les mobilités alternatives, et notamment électriques, tiennent une place
prépondérante grâce à une enveloppe de 35 millions €. Pourtant, la région part de loin. La fréquence
d'utilisation de l'automobile (71%) y est plus élevée que dans les autres territoires (hors Île-de-France),
tandis que les parts de véhicules hybrides (5%) ou électriques (entre 1,5% et 2%) restent très minoritaires.
D’autant qu’au niveau national, la voiture électrique a le vent en poupe. Selon l’Avere France, tous les
segments du marché du véhicule électrique ont été en nette hausse en mars dernier. Les ventes de
véhicules électriques particuliers ont atteint un niveau inégalé depuis 2010 et enregistré une progression de
41,60% et les véhicules électriques utilitaires une hausse de 26,21% ! Pour rattraper son retard et s’inscrire
dans cet élan, la région nantaise multiplie aujourd’hui les initiatives en la matière dans le transport des
personnes et des marchandises.
53. 16 MAI 18
Site internet
ACPM : NC
Pour inciter l’achat de véhicules électriques, le Conseil régional s’engage avec le bonus régional sur la carte
grise qui exonère la totalité des frais de la taxe régionale de la carte grise pour l’achat d’un véhicule
électrique. En 2016, le coût global de l’exonération a représenté près d’un million € pour la Région. Cela
représente 48 € par cheval fiscal. Par exemple, le bonus régional sur le coût de la carte grise d’une petite
citadine (environ 2 chevaux) est de 96 € et de 336 € pour une familiale (environ 7 chevaux).
549 bornes publiques de recharge en 2018 sur le territoire régional
Mais pour rouler électrique, encore faut-il avoir l’assurance de pouvoir recharger facilement son véhicule,
quels que soient ses trajets : longs, courts, en ville ou en campagne… Pour ce faire, la Région cofinance
également l’installation d’un ambitieux réseau de bornes publiques de recharge pour les véhicules
électriques, opérées par les syndicats départementaux d’énergie. Elle vient d’ailleurs de voter une aide de
près de 900 000 euros, correspondant à 35 nouvelles bornes de recharge ! L’objectif est d’atteindre 549
bornes publiques en 2018. Ce qui réduirait la distance maximale entre deux points de recharge à 80
kilomètres. La Communauté de communes du Mont des Avaloirs (CCMA) qui a lancé son propre service
d'auto-partage électrique en milieu rural doit y contribuer. Fin 2017, on recensait déjà près de 430
installations de recharge à l’échelle de la région.
ELECTRIC-ROAD, Le rendez-vous grand public et professionnel pour se connecter et avancer dans
l'électro-mobilité
Une exposition, des exclusivités et des démonstrations pour tous
>>Exclusivités
Eco Solar Breizh, association d'origine bretonne de partenaires publics et privés, dévoilera en simulation
virtuelle 3D, Heol, son prototype de véhicule électrique solaire de compétition. Celui-ci s'inscrit dans un plus
large projet de véhicule biplace électrique solaire urbain autonome qui devrait voir le jour en 2019.
La société Israëlienne ElectReon présentera sa technologie inédite (DWPT, Dynamic Wireless Power
Transfer) une recharge dynamique par induction de véhicules électriques en cours de déplacement par
transfert d'énergie sans fil, à l'aide de bobines magnétiques insérées dans la chaussée.
EDF présentera la navette NAVYA qui s’installe à Nantes, et la « blockchain » au service de la mobilité
électrique !
>>Véhicules
Nissan présentera la technologie e-pedal de son modèle électrique Leaf qui révolutionne la conduite en
permettant au conducteur d'accélerer, de freiner et de s'arrêter en appuyant plus ou moins fort sur la pédale
d'accélérateur. Les systèmes d'aide à la conduite de la Leaf seront aussi mis en avant tels que ProPilot
(contrôle automatique de la distance avec le véhicule de devant) et ProPilot Park (permettant à la voiture à
se garer toute seule).
Nissan exposera également son nouveau véhicule de police E-NV 200, un utilitaire électrique aménagé en
"bureau mobile" pour être adapté aux besoins des polices locales ou municipales.
La nouvelle version de la BMW i3 électrique dotée d'un design original et aussi innovante et intelligente que
durable dans ses moindres détails sera exposée.
ASPP Technology qui développe de petits moteurs électriques de voitures, scooters et vélos, présentera la
City Fun 45km/h, sa petite citadine électrique sans permis à partir de 14 ans.
>>Solutions de charge
La start-up Electric Loading exposera sa borne de recharge intelligente, ultra-rapide, économique et
facilement adaptable à tout type d'infrastructure. Le robot Leon que l'entreprise a mis au point, en fera la
démonstration.
Gulplug, qui développe des solutions innovantes de connections aux réseaux électriques, montrera P-Plate,
son système de recharge automatique de véhicules électriques par induction à l'aide d'un capteur
magnétique et d'un disque branché sur le réseau électrique et relié par un fil à la batterie du véhicule.
G2Mobility mettra en avant sa solution intelligente d'infrastructure de recharge, composée de bornes
adaptées à tout type d'environnement et pilotées par un système de gestion et de supervision central et
universel ainsi que par un outil de gestion locale, la G2box, qui permet d'optimiser la consommation et la
dépense d'énergie.
54. 16 MAI 18
Site internet
ACPM : NC
>>Routes
Le groupe de TP Colas affichera Wattway, sa route solaire dotée du premier revêtement photovoltaïque au
monde et Flowell sa route intelligente de signalisation dynamique constituée de rubans d'ampoules LEDs
reliés au réseau électrique.
>>Transport
Aftral, le premier organisme de formation professionnelle initiale et continue en transport et logistique mettra
à la disposition des visiteurs son simulateur de conduite de camion.
La société canadienne TransPod dévoilera au travers de films et d'animations, le premier train électrique
supersonique à approvisionnement solaire pour voyageurs et marchandises, capable de se déplacer à une
vitesse de 1000 à 1200 km/h, à raison d'un départ toutes les 80 secondes.
MAN, champion des solutions de livraison urbaine et de transport électrifiés, présentera ses concepts et
notamment son dispositif de récupération de l’énergie de freinage dans les batteries pour alimenter les
phases d’accélération.
La SNCF présentera également des solutions d’avenir, sur rail et hors rail.
>>Motorisation
Le bureau d'étudesEve System exposera tout son savoir-faire dans l'ingénierie de propulsion et motorisation
électrique et hybride et en conception et intégration d'intelligence embarquée.
Des conférences 100% électriques
Organisé sur deux jours, le congrès propose un programme de conférences, de plénières, d'ateliers et de
networking autour de l’avenir de la mobilité électrique et de son écosystème infrastructurel.
Un programme autour de l’avenir de la mobilité électrique et son écosystème
- Lundi 18 juin : la mutation de la mobilité urbaine et routière
Cettepremière journée a pour objectif la mise en lumière des transformations qui impactent aujourd'hui et
impacteront demain le monde de la mobilité, notamment des nouveaux usages de déplacement portés par le
numérique et une jeune génération Internet.
Elle sera ponctuée de conférences plénières où chercheurs, dirigeants d'entreprises et d'instituts spécialisés
ainsi que de collectivités locales se pencheront notamment sur la mobilité électrique à l'origine des nouveaux
usages collaboratifs des véhicules comme l'autopartage et le covoiturage.
Les évolutions et les nouveaux enjeux de la transition énergétique des transports publics en ville et les
solutions urbaines proposées seront également des thèmes forts abordés.
Le rôle majeur de la motorisation électrique dans la logistique urbaine et la livraison de marchandises en ville
sera débattu au travers d'initiatives innovantes en électro-mobilité qui permettent de réduire la pollution
urbaine liée aux émanations de CO2 et de particules des véhicules thermiques. Un point sera fait sur les
avancées de l'infrastructure de recharge des véhicules électriques en ville et sur le réseau routier.Un atelier
R&D sera notamment consacré à ce thème en présentant deux expérimentations de l'utilisation d'une flotte
de véhicules électriques pour gérer leur recharge dans divers environnements smart grid.
- Mardi 19 juin :la réponse technologique et sociétale apportée aux nouvelles mobilités
Au travers de Conférences plénières et de ateliers-débats, cette journée se penchera sur les innovations
technologiques, numériques et sociétales qui représentent l'avenir de la mobilité, mais aussi sur les
réalisations concrètes actuelles issues de la recherche.
Les réalités écologiques, économiques et sociétales de la propulsion électrique seront comparées à celles
des moteurs thermiques
Chercheurs et dirigeants d'entreprise débattrons sur les échanges d'électricité entre véhicules électriques et
les réseaux intelligents d'énergie (smart grids) ou encore sur les perspectives et les risques de la voiture
autonome et de l'automatisation des véhicules.
Enfin, les spécialistes s'attacheront à évoquer la route de 5ème génération en 2020 afin defédérer tous les
acteurs issus de métiers multiples et complexes du nouvel ecosystème de l'électro-mobilité. Ils passeront en
revue tous ses aspects : le déploiement des infrastructures des villes et des routes, l'intégration des
systèmes de recharge statiques et dynamiques dans la chaussée, les nouvelles normes, standards et
réglementations dans l'approvisionnement et la distribution énergétique....
67. 4 LA TRIBUNE | VENDREDI 1ER
JUIN 2018 | NO
253 | WWW.LATRIBUNE.FRÀ L A U N E
Voitureélectrique:peut-o
Encore moquée il y a peu,
la voiture électrique s’est
imposée comme
la technologie de rupture
la plus prometteuse
du secteur. Si la Chine
a pris de l’avance,
l’Europe s’organise. Enjeu :
sauver son industrie
automobile...
C’était samedi 19 mai… Le monde
entier avait les yeux rivés sur
cette Jaguar Type E! C’est à bord
de ce cabriolet de 1968 aux lignes
très british qu’après la cérémonie Harry
emmena Meghan, son épouse de
quelques minutes. La monarchie britan-
nique est attachée aux traditions, elle
n’en reste pas moins attentive aux chan-
gements d’époque. Le prince Harry a
donc fait reconvertir cette Jaguar avec
une propulsion électrique. La publicité
est immense pour la marque automobile
britannique engagée depuis deux ans
dans une gamme électrique. En réalité,
le choix des jeunes mariés sonne la
consécration d’une nouvelle ère de l’in-
dustrie automobile.
Un virage qui était pourtant très loin
d’être évident il y a encore trois ans… Les
constructeurs qui intégraient des voitures
100 % électriques se comptaient alors sur
les doigts d’une main et les investisse-
ments dans les infrastructures relevaient
davantage de l’incantation. Bref, personne
ou presque ne pariait sur la voiture élec-
trique, c’est tout juste si les constructeurs
consentaient à envisager des voitures
hybrides, forcés en cela par les objectifs
de réduction de CO2. En effet, l’Europe
impose que les constructeurs réduisent
leurs émissions moyennes à 95 grammes
de CO2 à horizon 2021. Pour atteindre une
telle moyenne, il suffisait d’intégrer
quelques modèles hybrides dans la gamme
et le tour était joué.
AUTONOMIE : DE 150 À 400 KM
Sauf qu’entre-temps, l’affaire Volkswagen
a créé un puissant électrochoc, tant dans
l’opinion publique que chez les construc-
teurs eux-mêmes. Les vœux pieux ne
pouvaient plus suffire pour se racheter
une virginité auprès d’une opinion
publique trompée. La rupture technolo-
gique devenait la seule solution. C’est
tout naturellement qu’ils se sont alors
tournés vers la voiture électrique. « Le
scandale Volkswagen a fait faire un bond en
avant, mais il y avait aussi la fusée Tesla »,
raconte Jean-Patrick Teyssaire, président
d’Electric-Road, un forum autour de la
voiture électrique.
La voiture électrique élaborée par Elon
Musk est alors vue comme la voiture la
plus branchée du
moment, et les
vedettes d’Hol-
lywood se l’ar-
rachent. Le Sud-
Africain installé en
Californie a mon-
tré que la voiture
électrique pouvait
être un produit de
luxe autant qu’un
catalyseur de per-
formance, là où les
constructeurs his-
toriques ne fai-
saient que pointer
ses limites techno-
logiques.
Des limites? Il est
vrai qu’avec une
autonomie souvent
réduite à 150 km, la
voiture électrique
ne faisait pas
rêver… Sauf que depuis, et c’est probable-
ment la deuxième évolution de ces der-
nières années, le triumvirat Leaf (Nissan)-
Zoé (Renault)-i3 (BMW) est passé à une
autonomie de 300 à 400 km. Autrement
dit, la voiture électrique devient intéres-
sante pour un usage urbain et extra-
urbain. Le regard sur la voiture électrique
n’est plus le même.
LES BUDGETS DES CONSTRUCTEURS
ET L’IMPULSION DE L’ÉTAT
Les constructeurs qui, jadis, moquaient
cette technologie, se sont subitement
convertis. Et pour compenser leur retard,
ils ont déployé les grands moyens. Le
groupe Volkswagen a promis une enveloppe
de 20 milliards
d’euros pour équi-
per ses marques de
pas moins de
80 modèles 100 %
électrique d’ici à
2025. De son côté,
Mercedes a carré-
ment lancé un label
dédié à l’électrique.
Près de dix modèles
sous la marque EQ
s e r o n t a i n s i
déployés par la
marque premium
allemande d’ici à
2022. De son côté,
BMW a décidé que
l’i3 ne suffirait pas à
r é p o n d r e à
la demande. Le
groupe munichois
a donc annoncé une
stratégie « produit »
plus étoffée avec 12 modèles entièrement
électriques d’ici à 2025, avec des autonomies
d’environ 700 km. Car les marques pre-
mium doivent courir derrière Tesla, ses
500 km d’autonomie et sa puissance de feu
qui permet de faire du 0 à 100 km/h en
moins de 3,5 secondes.
Chez les généralistes, c’est également la
course… Même PSA l’a compris, et ce, mal-
gré les réticences de son boss, Carlos
Tavares. Pour l’heure, le groupe automobile
français privilégie la technologie hybride
(80 % de la gamme sera électrifiée à hori-
zon 2022), mais il y aura bien des voitures
100 % électriques dans la gamme, dès cette
année pour la marque DS, qui présentera
un nouveau modèle au salon de Paris.
Mais toutes ces initiatives seraient vaines
sans l’impulsion de la puissance publique.
Dès la loi de transition énergétique en
2015, le gouvernement français a mis en
place de nouveaux leviers pour dévelop-
per la voiture électrique. Il a allégé les
restrictions pour l’installation de bornes
dans les copropriétés. Ces dernières n’ont
plus le droit de s’y opposer. Les nouvelles
constructions doivent également prévoir
l’infrastructure qui permettra d’installer
des bornes. Les pouvoirs publics ont aussi
institué le statut d’opérateur national
d’infrastructure de recharge, en vertu
duquel les entreprises retenues sont exo-
nérées de la redevance d’exploitation du
territoire. Résultat, la France détient un
des meilleurs taux d’équipements en
bornes électriques d’Europe, selon l’Asso-
ciation française pour le développement
de la voiture électrique (Avere), avec
23000 points de recharge accessibles.
DES MILLIONS D’EMPLOIS EN JEU
Mais la voiture électrique ne recouvre pas
seulement un défi environnemental qui
serait relevé à coups de lois et d’investis-
sement en infrastructures. Elle est aussi
et surtout un enjeu industriel aussi impor-
NABILBOURASSI
@NabilBourassi
Le scandale
Volkswagen
a fait faire un
bond en avant,
mais il y avait
aussi la fusée
Tesla
68. 5LA TRIBUNE | VENDREDI 1ER
JUIN 2018 | NO
253 | WWW.LATRIBUNE.FR
t-onenfinycroire?
tant que le sera la voiture autonome dans
les dix prochaines années. En septembre
dernier, Carlos Tavares, PDG de PSA, met-
tait en garde contre le retard pris par les
Européens en la matière : « Qui
aujourd’hui est en train de se soucier de trai-
ter de la question des mobilités propres dans
leur globalité? Quelles solutions pour la
fabrication et le recyclage des batteries, l’ex-
ploitation mais également l’approvisionne-
ment en terres rares, la nature de la produc-
tion d’électricité… », s’était-il interrogé
devant un parterre de journalistes réunis
au Salon automobile de Francfort.
Selon lui, 37 % de la valeur d’une voiture
réside dans la chaîne de traction ther-
mique. Si celle-ci devait disparaître au
profit d’une technologie maîtrisée par
l’Asie, c’est autant d’emplois (des cen-
taines de milliers, voire des millions) et
de valeur ajoutée qui disparaîtraient
d’Europe.
À Bruxelles, on a bien tenté de lancer un
« Airbus » des batteries, mais les candi-
dats ne se bousculent pas à la porte.
Bosch a calculé qu’une telle usine coûte-
rait la bagatelle de 18 milliards d’euros.
Las, l’équipementier automobile craint
que ce projet finisse comme l’industrie
éolienne : des surcapacités peu compéti-
tives face à la filière chinoise. Un risque
d’autant plus grand que la batterie est
appelée à voir son prix baisser significa-
tivement dans les prochaines années.
D’après une étude Bloomberg News
Energy Finance, le prix du kilowattheure
pourrait tomber à 70 dollars en 2030,
contre 208 aujourd’hui et 800 en 2011.
Or les Asiatiques ont déjà une longueur
d’avance avec des installations de pro-
duction déjà opérationnelles et déjà en
partie amorties. La baisse des prix rendra
moins évidente cet amortissement.
RenaultZoéVoiture électrique la plus vendue en France,
la Zoé vient de voir son autonomie doublée.
Renault fonde de grands espoirs sur cette
citadinepours'imposercommeleleaderde
l'électromobilitéenEurope.
BMWi3La marque allemande a saisi l'occasion de la
technologieélectriquepourcasserlescodes
desesvoitureshistoriquesaveccettevoiture
atypique,quiillustrenéanmoinslavisionpre-
miumdel'electromobilitéselonBMW.
NissanLeafLa Leaf reste la voiture électrique la plus
vendue au monde. Elle vient d’être renou-
velée et gagne en modernité tant sur son
style que sur ses prestations. La Leaf reste
laréférencedesvoituresélectriques.
SmartElectriqueC'était le rêve du fondateur de Smart,
Nicolas Hayek : fabriquer des voitures 100 %
électrique. Il est vrai que nulle autre voiture
n'était mieux configurée pour accueillir
cettetechnologie.
HyundaiIoniqLesSud-Coréensnesontpasenresteetpro-
posent également une palette de voitures
électriques. L'avantage de la Ioniq, c'est
qu'elle est disponible en version thermique,
hybride rechargeable ou 100 % électrique.
Victime de son succès, cette dernière ver-
sionestenruptured'approvisionnement...
TeslaModelSC'est probablement la voiture électrique
la plus chic de ces dernières années. Son
promoteur, le flamboyant Elon Musk, a
construit sa notoriété au point d'en faire la
voiturelaplusenvueàHollywood,suscitant
la curiosité et la jalousie des constructeurs
premiumsallemands.
LA CHINE DONNE LE LA
Il est vrai que la Chine est probablement
l’un des pays qui a été le plus en pointe
dans l’aide à cette technologie. Avec les
restrictions dans certaines grandes agglo-
mérations, les marques chinoises ont très
tôt cherché à se doter d’une gamme de
voitures électriques. En 2017, les ventes
ont augmenté de 71 % en Chine avec
600000 immatriculations, soit pas moins
de la moitié des ventes mondiales! C’est
certes seulement 3,3 % du marché natio-
nal, mais déjà deux fois plus que la part
de marché en France (1,24 %), et six fois
plus que l’année précédente. Et ce sont
les marques locales qui contrôlent ce
marché à 96 %!
Pas étonnant que le premier constructeur
de voitures électriques du monde soit un
chinois. BYD prévoit d’ailleurs de débar-
quer en Europe. Il a signé avec le
royaume du Maroc un projet de trois
usines à Tanger pour des véhicules élec-
triques mais également des batteries, afin
de desservir l’Europe. Et pour bien
contrôler cette filière, les autorités
chinoises ont totalement verrouillé les
approvisionnements de cobalt, dont la
République démocratique du Congo est
un des producteurs quasi exclusifs dans
le monde. En matière de batteries élec-
triques, l’avantage reste néanmoins aux
sud-coréens LG et Samsung, qui
contrôlent en grande partie ce marché.
En France, le gouvernement a décidé de
lancer sa propre stratégie. Lors d’un
comité stratégique de filière réuni le
22 mai à Bercy, les constructeurs et équi-
pementiers se sont mis d’accord avec le
gouvernement sur une feuille de route.
Celle-ci doit préparer l’industrie auto-
mobile française à la transformation
iStock
1,24 %
lapartdemarchédelavoitureélectrique
enFranceaupremiertrimestre
31 000
lenombredevoituresélectriquesvendues
enFranceen2017
50 %
lapartdesvoituresélectriques
venduesenChine
parrapportauxventesmondiales
70$
leprixdukilowattheuredesbatteries
électriquesattenduen2030,
contre208dollarsaujourd'hui
et800dollarsen2011.
69. 6 LA TRIBUNE | VENDREDI 1ER
JUIN 2018 | NO
253 | WWW.LATRIBUNE.FRÀ L A U N E
majeure en cours dans le monde, que
ce soit sur le véhicule autonome ou sur
la voiture électrique. L’objectif est de
booster le marché de l’électrique en
France (des ventes et un parc multipliés
par cinq d’ici à 2022) afin de consolider
un marché domestique puissant. Les
ventes passeraient alors de 31000 voi-
tures par an à environ 150000 en 2022.
Pour respecter l’objectif de 1 borne pour
10 voitures électriques, le gouvernement
prévoit de porter le nombre de bornes
publiques à 100000 en 2022. Certes, ce
chiffre fera baisser le ratio actuel, mais
le nombre de bornes sera cinq fois plus
élevé. En outre, l’Avere estime que dans
85 % des cas, la recharge s’effectue dans
la sphère privée (entreprise ou domicile).
D’autant que ces objectifs ne prennent
pas en compte les voitures hybrides
rechargeables, qui sont aussi amenées à
se brancher à une borne.
LAPROMESSEDELABATTERIESOLIDE
Pour les Européens, il est impératif de
reprendre la main sur la R&D, et la batte-
rie solide pourrait être une opportunité
de relocaliser le centre de gravité techno-
logique en Europe. Cette technologie pro-
met de résoudre toutes les insuffisances
de la batterie classique : autonomie dou-
blée, temps de charge qui se compte en
quelques minutes, durée de vie rallongée…
« Elle n’a que des avantages », s’enthou-
siasme Jean-Patrick Teyssaire, qui ajoute :
« Dans trois ans, elle est sur le marché. »
Toyota vise une mise en service de cette
batterie nouvelle génération pour 2025,
tandis que Fisker (le Tesla hollandais) a
annoncé avoir mis au point une batterie
Les flottes d’entreprise mettent les watts!
U
n coût d’utilisation plus élevé que
celui des voitures diesel, un choix de
modèles restreint et une autonomie
insuffisante ont détourné, jusqu’ici,
les flottes d’entreprises de l’utilisation de
véhicules électriques. Un nouvel essor
semble pourtant poindre depuis le début
de l’année. Après la progression record de
55 % relevée en mars, c’est une nouvelle
hausse des ventes de véhicules électriques,
de + 44 %, qui a été enregistrée en avril,
avec surtout un bond de + 84 % pour les
seules voitures particulières acquises par
les entreprises. Un taux de croissance
important, mais qui ne porte que sur un
faible volume : seulement 4511 immatricu-
lations ont été enregistrées sur les quatre
premiers mois de l’année. Il n’empêche, le
« plan-produit » présenté par les construc-
teurs automobiles d’ici à 2025 ne laisse
plus place aux hésitations. Et c’est bien à
une forte accélération des ventes de voi-
tures électriques qu’il faut s’attendre.
Pour les loueurs longue durée, qui ont
enregistré 62 % des achats automobiles
réalisés par des entreprises l’an passé, il
s’agit d’un virage à ne pas rater. Comme le
signale Jean-François Chanal, directeur
général d’ALD Automotive, « avec désormais
une autonomie de l’ordre de 300 km, les véhi-
cules électriques peuvent répondre à de nou-
velles cibles de parcs et trouver une plus large
place dans les flottes. Et cela conduit à des
usages différents de la voiture. Ainsi, avec
notre nouvelle offre ALD Switch, dans le cadre
d’une location d’un véhicule électrique, son
conducteur peut bénéficier, 60 jours par an,
d’un véhicule thermique ou hybride pour réa-
liser des kilométrages importants le week-end
ou lors de ses congés ».
DENOUVELLESOFFRES
De même, explique Jean-Loup Savigny,
directeur commercial et marketing de
LeasePlan, « nous voulons forcer le destin du
véhicule électrique en proposant aux flottes des
loyers de location attractifs au travers d’une
offre “full package” prévoyant l’installation
de bornes de recharge dans l’entreprise, mais
aussi au domicile du conducteur du véhicule
lorsque cela s’avère nécessaire ». Même ten-
dance chez Arval France, dont le directeur
général, Ferréol Mayoly, annonce : « Nous
avons fait le constat que les freins au passage
du véhicule thermique à la mobilité électrique
dans les flottes n’étaient pas les véhicules eux-
mêmes, mais la nécessité pour les collabora-
teurs des entreprises de pouvoir tester sur le
long terme les voitures électriques dans leur
activité. Nous proposons donc désormais en
location de moyenne durée, et pour des périodes
de trois à six mois, des véhicules électriques en
test associés quelques semaines par an à un
véhicule thermique. Même si elle porte sur un
volume encore modeste, c’est une croissance de
30 % que nous enregistrons avec cette nouvelle
offre sur les premiers mois de l’année. »
Tous les loueurs sont en effet convaincus
de l’essor prochain des ventes de voitures
électriques dans les parcs d’entreprises.
Comme le rappelle Jean-Loup Savigny,
« c’est notre métier de conseiller nos clients et
nous estimons que la demande de véhicules
électriques va progresser dans les flottes en
raison de la hausse que va connaître le coût
total d’utilisation (TCO) des véhicules ther-
miques. D’abord, l’introduction en septembre
du nouveau protocole d’homologation WLTP
va provoquer un réajustement fiscal. Ensuite,
les modifications apportées aux motorisations
thermiques afin de les rendre compatibles avec
la norme de pollution Euro 6c vont renchérir
les prix des modèles thermiques et provoquer
une hausse de leur TCO ».
PLUSCHERSMAISDESAVANTAGES
Si les véhicules électriques sont plus chers,
ils bénéficient toujours d’un bonus de
6000 euros. Surtout, le coût de la recharge
complète d’un véhicule électrique est seu-
lement de l’ordre de 1,50 euro. Quant aux
prestations d’entretien, elles sont limitées
aux freins et aux pneumatiques.
Enfin, constate Jean-Loup Savigny, « il
existe chez nos clients grands comptes une
forte demande de cotations de véhicules élec-
triques dans la perspective prochaine de les
inscrire dans le catalogue des voitures propo-
sées par l’entreprise à ses collaborateurs. Cette
catégorie de clients en effet est soumise à des
contraintes économiques mais également à un
engagement sociétal qui conduit les flottes à se
tourner vers des modèles électriques ».
solide d’une autonomie de 800 km pour
une minute de charge!
Autant dire que la voiture électrique pas-
serait alors dans une autre dimension! Si
la batterie solide tient ses promesses, elle
ringardiserait voitures thermiques,
hybrides et neutraliserait la voiture à
hydrogène dans l’œuf.
Il y a un dernier aspect que la puissance
publique devra résoudre, c’est celui de
l’infrastructure électrique. Si l’Allemagne
produit une grande partie de son électri-
cité par des énergies fossiles et carbo-
nées (40 %), la voiture électrique pourra
difficilement se justifier. Que n’a-t-on
pas lu à ce sujet… D’après certains, il fau-
drait construire 14 centrales nucléaires
supplémentaires pour que le réseau sup-
porte un parc totalement électrifié. Pour
l’Avere, ces chiffres relèvent du fantasme
absolu. « D’après le bilan prévisionnel de
RTE pour 2030, les perspectives de ventes
de voitures électriques n’auront aucun
impact sur la production d’électricité », rap-
pelle Marie Castelli, secrétaire générale
de l’Avere.
« L’enjeu du développement de la voiture
électrique est corrélé au développement des
énergies renouvelables, explique-t-elle. Le
problème de cette énergie, c’est son intermit-
tence : le réseau absorbe mal cette produc-
tion erratique. La solution, c’est donc le
stockage de cette production par une batte-
rie capable alors de réinjecter cette énergie
dans le réseau au bon rythme. La voiture
électrique peut parfaitement tenir ce rôle en
gérant les pics de consommation, mais éga-
lement de production, comme celle des
éoliennes, qui trouvent très peu de débou-
chés la nuit. »
LACHARGEPARINDUCTION
Pour Jean-Patrick Teyssaire, l’enjeu
infrastructurel de la voiture électrique
pourrait être devant nous. « Les ingé-
nieurs travaillent sur une infrastructure de
recharge par induction [...], une solution
adéquate pour les taxis qui stationnent,
mais l’induction pourrait permettre la
recharge dynamique, certaines marques tra-
vaillent dessus, comme Porsche et sa fameuse
Mission E. »
Ainsi, la voiture électrique pourrait non
seulement permettre à l’industrie auto-
mobile de se racheter une virginité, mais
elle pourrait également réenchanter un
secteur jusqu’ici coupable de tous les
maux. L’avenir dira si l’automobile par-
viendra de nouveau à faire rêver… Un
rêve à plusieurs dizaines de milliards
d’euros d’investissements pour les
constructeurs !
Porsche va lancer la Mission E,
sa première voiture 100 % électrique.
Elle pourrait accueillir la technologie
de la recharge par induction.
JEAN-PIERRE
LAGARDE
La hausse du coût
d’utilisation
des véhicules
thermiques
conduit les
entreprises à se
tourner davantage
vers l’électrique. 1 RenaultZoé 4 742
2 RenaultKangooZE 2 339
3 Nissane-NV200 562
4 TeslaModelS 475
5 PeugeotPartner 454
6 GoupilG4 414
7 NissanLeaf 405
8 CitroënBerlingo 386
9 SmartFortwo 348
10 BMWi3 302
TOP 10
des véhicules électriques
en entreprises en 2017
(Voituresparticulières
etvéhiculesutilitaires)
Sources : AAA Data/OVE
Annoncée par les constructeurs automobiles, l’arrivée prochaine de nouvelles voitures 100 % électriques
pousse les flottes d’entreprises à préparer leur transition énergétique.
Porsche
iStock
91. 07 JUIN 18
Site internet
ACPM : 1 320 000 visites/mois
Bientôt, la révolution des batteries solides
Chez Fisker, le Tesla néerlandais, on prétend que la Emotion pourra assurer 800 km
d'autonomie pour un temps de charge... d'une minute !
Les constructeurs automobiles se sont lancés tous azimuts sur les voitures électriques, mais
l'autonomie et le temps de charge restent les principaux freins. Une nouvelle technologie, celle
de la batterie solide, est sur le point d'émerger et pourrait rendre la voiture électrique plus
compétitive que n'importe quelle autre motorisation. Certaines marques ont déjà programmé sa
commercialisation.
Et si la voiture électrique n'en était qu'à sa préhistoire ? Jusqu'ici, il faut bien le rappeler, cette
technologie souffrait de tous les maux : autonomie réduite, temps de charge trop long,
infrastructure insuffisante, coût prohibitif, risque d'explosion... Les efforts de ces dernières
années ont permis d'atténuer quelques inconvénients, mais il n'en reste pas moins que ces
contraintes persistantes ne permettront pas à la voiture électrique de s'imposer face aux
technologies thermiques.
Mais une nouvelle révolution pourrait changer la donne : les industriels travaillent sur une autre
technologie appelée la batterie à électrolyte solide. Il s'agit de remplacer le solvant qui assurait
l'électrolyte [substance conductrice de l'électricité, ndlr] par une plaque de verre. Cette technique
permet de réduire le risque d'explosion de la batterie... Un risque avéré et qui a, à plusieurs
reprises, fait la une des journaux : le Samsung Galaxy Note 7, désormais interdit dans tous les
avions, le 787 Dreamliner et même la Tesla Model S...
Une densité énergétique multipliée par 5
En outre, cette batterie solide promet des performances hors du commun pour une technologie
électrique. On parle d'une autonomie de plus de 600 km, soit autant qu'un plein de carburant.
Mieux encore, le temps de recharge pourrait être réduit à quelques minutes seulement.
L'efficacité de ces batteries tient à la densité énergétique qui passerait de 150 Wh/kg [wattheure
par kilogramme, ndlr] pour une batterie lithium-ion classique, à près de 800 Wh/kg, voire même
1000 Wh/kg.
Pour Jean-Patrick Teyssaire, président d'Electric-Road, un forum sur la voiture électrique, « la
batterie solide est la technologie la plus prometteuse de ces prochaines années. Nous sommes
en fin de cycle de recherche fondamentale, la batterie solide arrivera sur le marché dans trois
ans », s'enthousiasme-t-il. Chez Fisker, on prétend que la Emotion pourra assurer 800 km
d'autonomie pour un temps de charge... d'une minute ! De son côté, Toyota promet un premier
modèle fondé sur cette technologie à l'horizon 2025.
Il faut ajouter une durée de vie significativement rallongée et une plage de température
nettement plus large : les températures entre lesquelles la batterie fonctionne de façon optimale
passeraient d'une plage de 15 à 35 °C à une plage de - 20 à 100 °C…
Lire la suite sur latribune.fr
92. 07 JUIN 18
Site internet
ACPM : NC
Nantes accueillera le congrès Electric-Road les 18 et 19 juin
Nantes accueillera les 18 et 19 juin le congrès Electric-Road, évènement dédié à la mobilité
électrique dans son ensemble, qui fait le pari de parvenir à mélanger les experts pointus et le
grand public. Jean-Patrick Teyssaire, son fondateur,explique qu’il y a entre 12 et 15 millions de
domiciles équipés de garages en France. « Il est temps que la mobilité électrique devienne un
sujet rural et pas simplement cantonné aux grandes agglomérations. Une charge électrique ne
prend que quelques secondes lorsqu'il s'agit de brancher la voiture en rentrant le soir. Il convient
aussi de noter que la courbe de TCO va croiser celle des véhicules thermiques puisque le coût
du lithium-ion est passé sous la barre des 100 dollars/KW, soit cinq fois moins cher qu'en 2006.
Ce qui rend les batteries de plus en plus abordables », souligne-t-il. (Journalauto.com)
93. 08 JUIN 18
Presse écrite
ACPM : 11 619 ex
Hydro sans gêne
Éditorial
À dix jours du congrès Electric Road, au Palais des congrès de Nantes, où l’on pourra découvrir
les dernières nouveautés en matière d’électro-mobilité, l’un des espoirs de la mobilité électrique
est représenté par l’hydrogène. Alors que ces derniers mois, le constructeur américain Nikola a
enchaîné des centaines de commandes et Star’s Service arborait son premier Kangoo roulant à
l’hydrogène à la SITL, voilà que le gouvernement s’est emparé du sujet en présentant son plan
hydrogène, le 1er juin. L’utilisation de l’hydrogène – issu de filières propres de l’eau et de
l’électricité ? – dans la pile à combustible permet vraiment d’éliminer toutes sortes d’émissions
polluantes. Pour l’instant, souligne le ministère de la Transition écologique, l’hydrogène est
d’origine fossile. D’où la volonté de développer une vraie filière de production décarbonnée et se
doter d’une vision politique en la matière. À partir de l’année prochaine, la France va donc
investir 100 M€ pour déployer l’hydrogène dans l’industrie, la mobilité et l’énergie. Parmi ses
objectifs, le développement de solutions zéro émission pour les transports fluviaux, terrestres et
ferroviaires. Parmi les 14 actions prévues par le plan, le gouvernement prévoit 200 véhicules
lourds tous modes confondus, et la construction de 10 stations d’ici à 2023. Avant 2028, le parc
de véhicules lourds devra se situer dans une fourchette comprise entre 800 et 2 000 unités.
Même souplesse pour l’objectif de stations : d’un minimum de 400 à un maximum de 1 000. En
corollaire de ces objectifs, le plan envisage le lancement prochain d’appels à manifestation
d’intérêt pour accompagner le développement d’une gamme de véhicules lourds routiers ainsi
que le déploiement de flottes territoriales et de véhicules lourds alimentés par l’hydrogène issu
de la phase d’amorçage industriel. À noter toutefois que, dans ce dossier, la partie
réglementaire, notamment en matière de sécurité sur les stations n’est pas un point de détail.
C’est pour très bientôt que Nicolas Hulot a annoncé un cadre réglementaire propre aux stations
d’avitaillement en hydrogène. L’Ademe est, pour sa part, investie d’un rôle de pilote de projets.
Au mois d’avril, l’agence avait diffusé une note sur l’hydrogène en soulignant la plus grande
autonomie dont bénéficient les véhicules mais aussi les risques… d’émissions polluantes sur
l’ensemble de son cycle de vie. Une source à encadrer donc.
105. 15 JUIN 18
Agence de Presse
ACPM : NC
AGENDA ECONOMIQUE ET FINANCIER DU LUNDI 18 JUIN 2018
PARIS (AFP)--Voici l'agenda économique et financier pour le lundi 18 juin. Toutes les indications
horaires sont en heure de Paris
ECONOMIE
=========
BCE
Réunion annuelle des grands banquiers centraux organisée par la BCE sur le thème de la
fixation des prix et salaires dans les économies avancées (19H30)
JAPON
Commerce extérieur (mai) (01H50)
ITALIE
Commerce extérieur en avril (10H00)
ENTREPRISES
============
FRANCE
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
5e Congrès ELECTRIC-ROAD, "le rendez-vous grand public et professionnel pour se connecter
et avancer dans l'électro-mobilité". Conférence de presse le 18 juin à 9h - Cité des Congrès
ALLEMAGNE
Immobilier: fin de l'offre de rachat de Buwog par l'allemand Vonovia
106. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : 3 160 000 visites/mois
AGENDA ECONOMIQUE ET FINANCIER DU LUNDI 18 JUIN 2018
PARIS (AFP)--Voici l'agenda économique et financier pour le lundi 18 juin. Toutes les indications
horaires sont en heure de Paris
ECONOMIE
=========
BCE
Réunion annuelle des grands banquiers centraux organisée par la BCE sur le thème de la
fixation des prix et salaires dans les économies avancées (19H30)
JAPON
Commerce extérieur (mai) (01H50)
ITALIE
Commerce extérieur en avril (10H00)
ENTREPRISES
============
FRANCE
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
5e Congrès ELECTRIC-ROAD, "le rendez-vous grand public et professionnel pour se connecter
et avancer dans l'électro-mobilité". Conférence de presse le 18 juin à 9h - Cité des Congrès
ALLEMAGNE
Immobilier: fin de l'offre de rachat de Buwog par l'allemand Vonovia
107. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : 3 160 000 visites/mois
AGENDA DES SOCIETES JUSQU'AU 21 JUIN
Voici l'agenda prévisionnel des sociétés jusqu'au jeudi 21 juin 2018 (heure de Paris)
VENDREDI 15 JUIN 2018
FRANCE
Eurosatory 2018, salon international de défense et de sécurité - Parc des Expositions de Paris
Nord Villepinte Hall 6 - 5A et 5B ZAC Paris Nord 2
Assises de la Pêche et des produits de la mer - Théâtre Molière - 14 et 15 juin
Intesa Sanpaolo / Irefi : 1er Forum de l'Energie France-Italie - Hôtel Westin Paris-Vendôme - 3
rue de Castiglione (1er)
Première édition du Salon de la Pâtisserie - Paris Expo Porte de Versailles - 2 place de la Porte
de Versailles (15e) (jusqu'au 17)
Carrefour : a.g. + Rassemblement à l'appel de la CGT devant le siège de Carrefour avec
conférence de presse à 10h30 - Docks Pullman - 87 avenue des Magasins Généraux - (10H00)
XPO Logistics Europe (ex-Nobert Dentressangle): assemblée générale des actionnaires - Lyon
Marriott Hôtel Cité Internationale - 70, quai Charles de Gaulle (6e) - (10H00)
Renault : assemblée générale 2018 - (15H15)
ALLEMAGNE
Salon high tech Cebit
GB
Assemblée générale des actionnaires de Tesco
Tesco: rapport d'activité 1T
CHINE
Salon annuel de l'électronique "Consumer Electronics Show" à Shanghai
SAMEDI 16 JUIN 2018
FRANCE
Première édition du Salon de la Pâtisserie - Paris Expo Porte de Versailles - 2 place de la Porte
de Versailles (15e) (jusqu'au 17)
108. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : 3 160 000 visites/mois
DIMANCHE 17 JUIN 2018
FRANCE
Première édition du Salon de la Pâtisserie - Paris Expo Porte de Versailles - 2 place de la Porte
de Versailles (15e) (jusqu'au 17)
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
LUNDI 18 JUIN 2018
FRANCE
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
5e Congrès ELECTRIC-ROAD, "le rendez-vous grand public et professionnel pour se connecter
et avancer dans l'électro-mobilité". Conférence de presse le 18 juin à 9h - Cité des Congrès
ALLEMAGNE
Immobilier: fin de l'offre de rachat de Buwog par l'allemand Vonovia
MARDI 19 JUIN 2018
France
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
5e Congrès ELECTRIC-ROAD, "le rendez-vous grand public et professionnel pour se connecter
et avancer dans l'électro-mobilité". Conférence de presse le 18 juin à 9h - Cité des Congrès
L'entreprise américaine de matériel médical Becton Dickinson (BD) fait le point sur son activité
en France - 11, rue Aristide Berges - (09H30)
USA
Oracle résultats 4T et annuels 2018 - (22H00)
MERCREDI 20 JUIN 2018
FRANCE
Virbac : assemblée générale
109. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : 3 160 000 visites/mois
ITALIE
Ouverture du procès d'Eni et Shell pour corruption au Nigeria - (09H30)
IRLANDE
Annonce de la sentence contre David Drumm, l'ex patron d'Anglo Irish Bank coupable de fraude
JEUDI 21 JUIN 2018
FRANCE
Naturex : assemblée générale
Agefi-Dow Jones The financial newswire
(END) Dow Jones Newswires
110. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : NC
AGENDA DES SOCIETES JUSQU'AU 21 JUIN
Voici l'agenda prévisionnel des sociétés jusqu'au jeudi 21 juin 2018 (heure de Paris)
VENDREDI 15 JUIN 2018
FRANCE
Eurosatory 2018, salon international de défense et de sécurité - Parc des Expositions de Paris
Nord Villepinte Hall 6 - 5A et 5B ZAC Paris Nord 2
Assises de la Pêche et des produits de la mer - Théâtre Molière - 14 et 15 juin
Intesa Sanpaolo / Irefi : 1er Forum de l'Energie France-Italie - Hôtel Westin Paris-Vendôme - 3
rue de Castiglione (1er)
Première édition du Salon de la Pâtisserie - Paris Expo Porte de Versailles - 2 place de la Porte
de Versailles (15e) (jusqu'au 17)
Carrefour : a.g. + Rassemblement à l'appel de la CGT devant le siège de Carrefour avec
conférence de presse à 10h30 - Docks Pullman - 87 avenue des Magasins Généraux - (10H00)
XPO Logistics Europe (ex-Nobert Dentressangle): assemblée générale des actionnaires - Lyon
Marriott Hôtel Cité Internationale - 70, quai Charles de Gaulle (6e) - (10H00)
Renault : assemblée générale 2018 - (15H15)
ALLEMAGNE
Salon high tech Cebit
GB
Assemblée générale des actionnaires de Tesco
Tesco: rapport d'activité 1T
CHINE
Salon annuel de l'électronique "Consumer Electronics Show" à Shanghai
SAMEDI 16 JUIN 2018
FRANCE
Première édition du Salon de la Pâtisserie - Paris Expo Porte de Versailles - 2 place de la Porte
de Versailles (15e) (jusqu'au 17)
111. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : NC
DIMANCHE 17 JUIN 2018
FRANCE
Première édition du Salon de la Pâtisserie - Paris Expo Porte de Versailles - 2 place de la Porte
de Versailles (15e) (jusqu'au 17)
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
LUNDI 18 JUIN 2018
FRANCE
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
5e Congrès ELECTRIC-ROAD, "le rendez-vous grand public et professionnel pour se connecter
et avancer dans l'électro-mobilité". Conférence de presse le 18 juin à 9h - Cité des Congrès
ALLEMAGNE
Immobilier: fin de l'offre de rachat de Buwog par l'allemand Vonovia
MARDI 19 JUIN 2018
France
Première édition du SIRHA Green, le rendez-vous dédié au "Food-Service" responsable en
France (bio, "free-from", vegan, végétarien, production locale...)
5e Congrès ELECTRIC-ROAD, "le rendez-vous grand public et professionnel pour se connecter
et avancer dans l'électro-mobilité". Conférence de presse le 18 juin à 9h - Cité des Congrès
L'entreprise américaine de matériel médical Becton Dickinson (BD) fait le point sur son activité
en France - 11, rue Aristide Berges - (09H30)
USA
Oracle résultats 4T et annuels 2018 - (22H00)
MERCREDI 20 JUIN 2018
FRANCE
Virbac : assemblée générale
112. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : NC
ITALIE
Ouverture du procès d'Eni et Shell pour corruption au Nigeria - (09H30)
IRLANDE
Annonce de la sentence contre David Drumm, l'ex patron d'Anglo Irish Bank coupable de fraude
JEUDI 21 JUIN 2018
FRANCE
Naturex : assemblée générale
Agefi-Dow Jones The financial newswire
(END) Dow Jones Newswires
117. 15 JUIN 18
Site internet
ACPM : 132 230 visites/mois
Le congrès Electric Road s'ouvre le lundi 18 juin 2018 dans la ville de Nantes et se positionne comme un
catalyseur des innovations relatives à la rue et à la route électriques.
Après les éditions de Rouen (2017) et de Paris (2016), Electric Road s’installe cette année pendant deux
jours à Nantes (18 et 19 juin 2018), et revendique désormais « le statut de grand congrès, après être né
comme une petite conférence », dixit Jean-Patrick Teyssaire, président du club Electric Road.
En présence de la ministre des Transports Elisabeth Borne, l’événement s’articulera autour de conférences,
mais aussi d’un espace d’exposition réunissant 40 acteurs de l’écosystème en formation de
l’électromobilité. Au programme, les problématiques de la mobilité individuelle, des transports de
personnes, mais aussi des transports de marchandises. Avec une volonté de poser des jalons de réflexion,
bien entendu, mais aussi de trouver des points d’ancrage concrets, assurés par les démonstrations de
Navya ou des premiers e-busway par exemple. « Cette édition nantaise s’annonce sous d’excellents
auspices et le plus difficile aura finalement consisté à boucler le financement de l’événement », glisse Jean-
Patrick Teyssaire. Parmi les soutiens de premier plan, on peut citer Man, Nissan, EDF et la SNCF, sans
prétendre à l’exhaustivité et sans oublier la région et la métropole pour les actions de communication.
Pas de tabula rasa à l’horizon
A la question de savoir si cette édition sera charnière, beaucoup d’experts et d’observateurs affirmant que
l’alignement des planètes se profile -enfin- pour l’électromobilité, Jean-Patrick Teyssaire répond avec
prudence : « J’ai la conviction, qui ne date pas d’hier soit dit en passant, que l’électrification est
indispensable, mais je ne fais pas non plus partie des ayatollahs du véhicule électrique qui pensent qu’il
rime avec une tabula rasa. A mon sens, les motorisations thermiques ne vont pas disparaître et on se dirige
vers un mix énergétique, incluant aussi gaz et biogaz, pour les décennies à venir. Dans ce cadre,
l’électrification va s’intensifier, notamment pour les bus et les trains à très court terme. Ce phénomène n’est
pas à opposer à la voiture particulière et j’insiste sur le fait que la fin de la voiture particulière n’est ni
réaliste ni souhaitable, y compris en ville. Il s’agit d’en réduire le nombre et d’en optimiser l’usage, ce qui
relève du bon sens ».
Electric Road tentera donc de devenir un hub entre expertises BtoB et communication auprès du grand-
public, entre experts de différents métiers et de différentes spécialités, pour créer des espaces de porosité
et d’échanges entre plusieurs plateformes de savoir et de savoir-faire.
123. 16 JUIN 18
Radio nationale
ACPM : 4,6 millions d’auditeurs
Transportez-moi.
Les nouvelles mobilités
Lors de ce printemps 2018, il a beaucoup été question de
mobilité, ne serait-ce qu'à travers les nombreux salons et
manifestations qui ont eu lieu.
Durée : 04:30 min
Par Gérard Feldzer
127. 16 JUIN 18
Radio nationale
ACPM : NC
Autoroute Info
Interview de Jean-Patrick Teyssaire.
Multi-diffusion les 16, 17 et 18 juin.
128. 17 JUIN 18
Radio nationale
ACPM : 3 millions d’auditeurs/jour
Europe 1 week-end – Tout roule
Congrès de la voiture électrique à Nantes : pas un
seul constructeur Français
Ce dimanche, Pierre de Vilno nous emmène dans
les coulisses du congrès des voitures électriques,
l'Electric Road, à Nantes.
Par Pierre de VILNO
Durée : 03:06 min
134. 18 JUIN 18
TV régionale
ACPM : NC
France 3 Pays de la Loire – Loire Atlantique - Nantes
Nantes : la mobilité électrique, un secteur en plein développement
Le congrès "Electric Road" réunit à Nantes les 18 et 19 juin les professionnels de la
mobilité électrique, l'occasion de faire le point sur les innovations technologiques.
Reportage de Myriam N'Guenor et Thierry Poirier
Durée : 02:03 min
Interlocuteurs : Eric Gauthier, Responsable innovation La Poste, Jean-Patrick
Teyssaire, Président de Electric-Road et Laurent Gérault, Vice-président de la région,
en charge de l'environnement, de la transition énergétique et de la croissance verte
143. 18 JUIN 18
Site internet
ACPM : NC
La route électrique est-elle pour demain ?
HYBRIDE. Exposition ouverte au public, mais conférences réservées aux professionnels, le cinquième
salon Electric-road est hybride. Pendant deux jours, la Cité des congrès de Nantes expose les dernières
innovations en matière de transport routier électrique tout en réfléchissant aux moyens techniques de
vaincre enfin le principal défaut de l’électricité face au pétrole : l’autonomie. “Ce qu’on peut résumer par
cette comparaison : 280 litres de gazole représentent l’énergie de 30 tonnes de batteries”, expose Jacques
Wittenbergue, l’un des organisateurs de la manifestation.
Malgré ce handicap, « l’électro-mobilité » progresse. Le secteur travaille ainsi sur la création d’un réseau
étendu de bornes de recharge qui permettent aux véhicules électriques de s’affranchir des limites des
villes. Ainsi, l’association des constructeurs allemands BMW, Volkswagen et Daimer au sein de Ionity
ambitionne de construire un réseau dense de stations qui assurent une recharge de la voiture en une ½
heure partout en Europe. Le danois Nextgen braconne sur le même terrain en offrant une autonomie de
400 kilomètres pour 20 minutes passées à la cafétéria de la station. “Mais il existe un débat au sein des
constructeurs sur l’opportunité de se débarrasser de la recharge filaire en utilisant l’induction sans contact
par exemple”, poursuit Jacques Wittenbergue. BMW s’intéresse de près à cette solution qui permettrait de
recharger les voitures quand elles sont au parking sans qu’elles aient besoin de rejoindre une borne.
Organiser des trains de camions sur les autoroutes
CATÉNAIRES. Avec l’induction, la mobilité électrique entre dans un monde nouveau en gestation. Les
constructeurs et les gestionnaires de réseaux rêvent d’autoroutes qui fourniraient en direct les véhicules en
électricité. Cette ambition fait l’objet de recherches approfondies et les expériences se multiplient. Trois
technologies s’affrontent. L’allemand Siemens pousse pour une solution proche du ferroviaire. Une voie de
circulation des autoroutes serait équipée de caténaires sur lesquels dans un premier temps les poids lourds
accrocheraient leurs pantographes. Seuls les itinéraires entre le lieu de chargement et celui de livraison
seraient couverts par des moteurs électriques autonomes. Pourquoi singer le rail ? “Le fret ferroviaire a sa
pertinence propre mais le transport routier a encore de beaux jours devant lui parce que ce qui coûte cher,
ce sont les ruptures de charge, ces moments où l’on transborde les marchandises des wagons dans les
camions et vice-versa”, rappelle Jacques Wittenbergue. Les caténaires ont le mérité d’offrir une technologie
éprouvée.
La route recharge les voitures
PROPULSION. Les deux autres solutions sont plus innovantes. Le canadien Bombardier pousse la solution
de l’induction. Des “galets” électromagnétiques plongés dans le bitume rechargent les véhicules à chaque
fois qu’ils passent au-dessus. La société d’autoroutes britanniques a d’ores et déjà annoncé une
expérimentation dans les prochains mois. Autre solution proposée cette fois par le suédois Elways et le
français Alstom, la propulsion par un rail électrique, une solution déjà mise en œuvre notamment dans le
tramway de Bordeaux. Cette infrastructure à propulsion dynamique serait d’abord développée d’abord pour
les poids lourds, lesquels pourraient ainsi rouler en convois sur la même voie dédiée, à la même vitesse,
faisant gagner temps et argent. En Corée du Sud, le procédé « online electric vehicle » (Olev) procède de
la même idée. Les États-Unis explorent aussi cette voie mais avec des convois de camions autonomes,
notamment le projet OTTO qui a vu les premières livraisons d’une célèbre marque de bière par des
camions totalement autonomes où les conducteurs ne touchent plus le volant.
Cette agitation technologique gagne aussi la France. La recharge dynamique par induction est testée à
Satory (Yvelines) par le pôle de compétitivité Moveo. Surtout, l’Ademe a lancé un appel à projets pour
tester les solutions d’autoroutes électriques en grandeur réelle. Les différents acteurs du secteur sont
invités à développer un projet pour l’autoroute A13 entre le pont de Normandie et la banlieue parisienne qui
devrait émerger au début des années 2020. Demain.
144. 18 JUIN 18
Site internet
ACPM : NC
HYBRIDE. Exposition ouverte au public, mais conférences réservées aux professionnels, le cinquième
salon Electric-road est hybride. Pendant deux jours, la Cité des congrès de Nantes expose les dernières
innovations en matière de transport routier électrique tout en réfléchissant aux moyens techniques de
vaincre enfin le principal défaut de l’électricité face au pétrole : l’autonomie. “Ce qu’on peut résumer par
cette comparaison : 280 litres de gazole représentent l’énergie de 30 tonnes de batteries”, expose Jacques
Wittenbergue, l’un des organisateurs de la manifestation.
Malgré ce handicap, « l’électro-mobilité » progresse. Le secteur travaille ainsi sur la création d’un réseau
étendu de bornes de recharge qui permettent aux véhicules électriques de s’affranchir des limites des
villes. Ainsi, l’association des constructeurs allemands BMW, Volkswagen et Daimer au sein de Ionity
ambitionne de construire un réseau dense de stations qui assurent une recharge de la voiture en une ½
heure partout en Europe. Le danois Nextgen braconne sur le même terrain en offrant une autonomie de
400 kilomètres pour 20 minutes passées à la cafétéria de la station. “Mais il existe un débat au sein des
constructeurs sur l’opportunité de se débarrasser de la recharge filaire en utilisant l’induction sans contact
par exemple”, poursuit Jacques Wittenbergue. BMW s’intéresse de près à cette solution qui permettrait de
recharger les voitures quand elles sont au parking sans qu’elles aient besoin de rejoindre une borne.
Organiser des trains de camions sur les autoroutes
CATÉNAIRES. Avec l’induction, la mobilité électrique entre dans un monde nouveau en gestation. Les
constructeurs et les gestionnaires de réseaux rêvent d’autoroutes qui fourniraient en direct les véhicules en
électricité. Cette ambition fait l’objet de recherches approfondies et les expériences se multiplient.
aller à la source
146. 18 JUIN 18
Radio régionale
ACPM : NC
Fun Radio Nantes
Interview de Jacques Van Wittenberghe
147. 18 JUIN 18
Radio régionale
ACPM : NC
Nostalgie Nantes
Interview de Jean-Parick Teyssaire
148. 19 JUIN 18
Radio nationale
ACPM : 6 millions d’auditeurs
France Inter – C’est déjà demain
Par Hélène Chevallier
Durée : 02:51 min
Quand la route permet de recharger sa voiture
Plusieurs solutions sont à l'étude pour augmenter
l'autonomie des voitures électriques grâce à des
routes électrifiées. Certaines de ces technologies
sont présentées au salon Electric Road à Nantes.