Table ronde - Économie de la santé et psychiatrie Réseau Pro Santé
Revue SPH n°10 Décembre 2015
La psychiatrie peut-elle faire plus avec moins ?
Marc Bétrémieux
La psychiatrie peut-elle faire plus avec moins ?
C’est sous ce titre que l’ensemble des syndicats de la psychiatrie publique dénonçait le 2 juillet 2015 la baisse délibérée des dotations annuelles de financement (les DAF). Ce choix politique attaque les efforts des équipes de soins pour maintenir l’offre de prise en charge. Cela a pour effet le délabrement des secteurs de psychiatrie alors que la ministre dans sa présentation du projet de loi de modernisation du système de santé fait du secteur un axe majeur de la politique de santé mentale.
Les Troubles psychiques en 2015
Les troubles psychiques sont fréquents. Plus d’un quart de la population mondiale viendrait à en souffrir un jour ou l’autre (OMS).
Ils ont des conséquences économiques importantes pour les sociétés et nuisent à la qualité de vie des individus et des familles (OMS, 2001).
En France, en 2011 : c’est 22,6 milliards d’euros, c’est 15 % des dépenses de santé qui concernent la santé mentale. C’est le deuxième poste de dépenses derrière les hospitalisations ponctuelles et devant les pathologies cardiovasculaires ou le diabète (Cnamts, 2013).
La charge des troubles psychiques a longtemps été sous-estimée du fait de leur faible létalité directe. Les troubles psychiques sont responsables d’un peu plus d’1 % des décès mais ils représentent près de 11 % de la charge globale de morbidité en 2012 (exprimée en années de vie perdues en bonne santé). (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Rapport d’information déposé par la Commission des Affaires Sociales en conclusion des travaux sur la pris en charge des personnes âgées dépendantes
I – Les attendus
II – Propositions de la mission
La onzième édition des Chiffres clés de l’aide à l’autonomie met à la disposition des acteurs et des décideurs du secteur médico-social les données disponibles en 2020. La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, près de 28 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’État, de la sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie.
Cnsa les ciffres clés de l'aide à l'autonomie 2018AVIE
Les chiffres clés de l'aide à l'autonomie 2018.
La neuvième édition des Chiffres clés de l’aide à l’autonomie met à la disposition des acteurs et des décideurs du secteur médico-social les données disponibles en 2018. La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, plus de 26 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’Etat, de la Sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie
Table ronde - Économie de la santé et psychiatrie Réseau Pro Santé
Revue SPH n°10 Décembre 2015
La psychiatrie peut-elle faire plus avec moins ?
Marc Bétrémieux
La psychiatrie peut-elle faire plus avec moins ?
C’est sous ce titre que l’ensemble des syndicats de la psychiatrie publique dénonçait le 2 juillet 2015 la baisse délibérée des dotations annuelles de financement (les DAF). Ce choix politique attaque les efforts des équipes de soins pour maintenir l’offre de prise en charge. Cela a pour effet le délabrement des secteurs de psychiatrie alors que la ministre dans sa présentation du projet de loi de modernisation du système de santé fait du secteur un axe majeur de la politique de santé mentale.
Les Troubles psychiques en 2015
Les troubles psychiques sont fréquents. Plus d’un quart de la population mondiale viendrait à en souffrir un jour ou l’autre (OMS).
Ils ont des conséquences économiques importantes pour les sociétés et nuisent à la qualité de vie des individus et des familles (OMS, 2001).
En France, en 2011 : c’est 22,6 milliards d’euros, c’est 15 % des dépenses de santé qui concernent la santé mentale. C’est le deuxième poste de dépenses derrière les hospitalisations ponctuelles et devant les pathologies cardiovasculaires ou le diabète (Cnamts, 2013).
La charge des troubles psychiques a longtemps été sous-estimée du fait de leur faible létalité directe. Les troubles psychiques sont responsables d’un peu plus d’1 % des décès mais ils représentent près de 11 % de la charge globale de morbidité en 2012 (exprimée en années de vie perdues en bonne santé). (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Rapport d’information déposé par la Commission des Affaires Sociales en conclusion des travaux sur la pris en charge des personnes âgées dépendantes
I – Les attendus
II – Propositions de la mission
La onzième édition des Chiffres clés de l’aide à l’autonomie met à la disposition des acteurs et des décideurs du secteur médico-social les données disponibles en 2020. La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, près de 28 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’État, de la sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie.
Cnsa les ciffres clés de l'aide à l'autonomie 2018AVIE
Les chiffres clés de l'aide à l'autonomie 2018.
La neuvième édition des Chiffres clés de l’aide à l’autonomie met à la disposition des acteurs et des décideurs du secteur médico-social les données disponibles en 2018. La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, plus de 26 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’Etat, de la Sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie
Le Dr Patrick BOUET est médecin généraliste en Seine Saint Denis, le 93 ! Où les situations sociales et sanitaires sont particulièrement difficiles. Il a été élu pour 3 ans président du conseil national de l’Ordre des médecins en juin 2013. A mi-mandat il regroupe la profession autour d’une image renforcée du médecin et a déjà profondément modifié les rapports de l’Ordre des médecins avec le gouvernement...
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
RAPPORT MORAL -Isabelle Montet, secrétaire généraleRéseau Pro Santé
Revue SPH n°12 - Décembre 2016
Placée en amont du thème ambitieux de La psychiatrie du futur que la Société de l’Information Psychiatrique a choisi pour le congrès scientifique, l’assemblée générale du SPH peut bien s’autoriser pour faire un bilan de l’action syndicale à recevoir les influences de la Science sur le statut du temps. Une affirmation posée par le théoricien de la relativité restreinte, Einstein, selon qui la distinction entre passé, présent et futur n’est qu’une illusion, ouvre la voie charmeuse des relations entre science et imaginaire, dont semble relever souvent celles entre psychiatrie et société, syndicalisme et pouvoirs publics.
Et pourquoi ne pas alors se laisser emmener par les qualités de la fiction scientifique ou science fictive qui, devenue science-fiction, a gagné un statut : objet d’étude qui lui a valu trois colloques au centre culturel de Cerisy la-Salle, reconnue comme le genre littéraire des savoirs de l’imaginaire, il lui est attribué le mérite de saisir les enjeux technologiques, sociaux et politiques des sociétés technologiquement saturées et de manière exploratoire, de contribuer à la mise en garde contre les dérives scientistes de la société post-moderne.
Dans le monde réel et bien présent, une nouvelle réforme de la santé a été décidée par le gouvernement : excursions spatio-temporelles et effets vortex accompagnent ses répercussions. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Communiqués de presse du snjmg dec 2015 janv-fev 2016 Réseau Pro Santé
Revue "Jeune MG" SNJMG n°14 - Mars 2016
Mardi 22 septembre 2015, Démographie médicale, l'amendement de trop !
Lundi 05 octobre 2015, Pour une Sécurité Sociale réaffirmée
Vendredi 09 octobre 2015, Jeunes Installés : Votez !
Lundi 09 novembre 2015, Les Assises du changement
Jeudi 12 novembre 2015, Elections URPS : des règles à changer
23 novembre 2015, Les jeunes médecins mobilisés autour du nouveau Bureau du SNJMG
26 novembre 2015, Démographie médicale : les limites de la politique de Marisol Touraine
01 décembre 2015, Prime pour les soignants du 13 novembre : de la démagogie à bon compte ?
Mardi 22 décembre 2015, Garde des internes : Marisol Touraine conforme à ses (mauvaises) habitudes
21 janvier 2016, Le syndicat des jeunes médecins généralistes de France soutient leurs confrères d'Outre-Manche
22 janvier 2016, Temps de travail des internes : le bricolage continue
25 janvier 2016, Tiers payant : le syndicat des jeunes médecins généralistes relance ses propositions
09 février 2016, DES de médecine générale en 3 ans : une réelle avancée ?
12 février 2016, Grande Conférence de Santé : un constat mitigé
Réseau Pro Santé
INPH n°7 - Avril 2016
INTERVIEW Didier TABUTEAU
Responsable de la chaire santé de Sciences, codirecteur de l’institut Droit et santé de l’Université Paris Descartes INSERM UMR S 1145
Didier Tabuteau, quel est votre regard sur le système de santé actuel ?
Il est construit sur 4 clivages que nous devons surmonter impérativement sous peine de le voir s’effrondrer.
Le 1er clivage réside dans la discontinuité de la répartition des compétences et des rôles entre les professions de santé.
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Revue "Le Mag de l'INPH" n°7 - INPH - Avril 2016
Responsable de la chaire santé de Sciences, codirecteur de l’institut Droit et santé de l’Université Paris Descartes INSERM UMR S 1145
Didier Tabuteau, quel est votre regard sur le système de santé actuel ?
Il est construit sur 4 clivages que nous devons surmonter impérativement sous peine de le voir s’effrondrer.
Le 1er clivage réside dans la discontinuité de la répartition des compétences et des rôles entre les professions de santé. En France, le médecin est beaucoup plus distant des autres professions que dans de nombreux autres pays où les compétences sont réparties de façon plus continue entre professions médicales et paramédicales. Par exemple avec le rôle d’infirmier expert ou clinicien. Il s’agit là d’un véritable enjeu car cette situation pèse sur l’organisation des soins et les relations entre professions.
Le 2ème clivage est le clivage ville/hôpital : La médecine de ville s’est construite en France au 19ème siècle sur son indépendance et même son opposition par rapport aux pouvoirs publics, à la différence d’autres pays européens comme l’Allemagne ou l’Angleterre, où les médecins et l’Etat ont construit ensemble le système de santé. Le système conventionnel a ensuite, dans les années 1970, été édifié dans le champ de la démocratie sociale et donc encore à distance de l’Etat, régulateur de l’hôpital. De ce fait, la médecine de ville en France dispose d’une autonomie considérable et, en conséquence, médecine de ville et l’hôpital sont deux mondes séparés.
...
www.reseauprosante.fr
La huitième édition des Chiffres clés de l'aide à l'autonomie publiée par la CNSA met à la disposition des acteurs et décideurs du secteur médico-social des données disponibles en 2017. La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, plus de 25 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’État, de la Sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie.
Revue "Le Mag de l'INPH" n°5 - INPH - Aout 2015
Les modalités de mise en oeuvre du fonds d’intervention régional pour l’année 2015 ainsi que le montant des crédits attribués aux agences régionales de santé viennent d’être fixés par la circulaire SG/2015/152 en date du 28 avril et par l’arrêté du 30 avril 2015.
Au même titre que les circulaires relatives à la campagne budgétaire et tarifaire annuelle des établissements de santé, cette circulaire est importante à suivre en tant que PH car y sont précisés les financements d’un certain nombre de projets nouveaux en lien avec nos activités ou avec les réorganisations territoriales.
Qu’est-ce que le FIR ?
Le FIR a été créé le 1er mars 2012 en application de l’article 65 de la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2012. Les textes relatifs à son fonctionnement ont été codifiés aux articles L.1435-8 à L.1435-11 et R.1435-16 à R.1435-36 du code de la santé publique. Le FIR se substituait en partie au fonds pour la modernisation des établissements de santé publics et privés (FMESPP) et au fonds d’intervention pour la qualité et la coordination des soins (FIQCS). Le FMESPP reste toutefois en vigueur et fait toujours l’objet de 3 dotations annuelles de financement.
Quels sont les objectifs du FIR ?
Pour 2015, l’article 56 de la LFSS vient de réorganiser les missions du FIR en cinq axes stratégiques regroupés, en cohérence avec la stratégie nationale de la santé.
1. La promotion de la santé et la prévention des maladies, des traumatismes, du handicap et de la perte d’autonomie.
2. L’organisation et la promotion de parcours de santé coordonné, la qualité et la sécurité de l’offre sanitaire et médico-sociale.
3. La permanence des soins et la répartition des professionnels et des structures de santé sur le territoire.
4. L’efficience des structures sanitaires et médico-sociales et l’amélioration des conditions de travail de leurs personnels.
5. Le développement de la démocratie sanitaire.
...
reseauprosante.fr
Dès la (n des années 70, l’hôpital
change : dans l’hôpital « moderne
», du fait des progrès de la
médecine, la durée de séjour diminue,
le nombre de patients pris
en charge augmente, l’activité se
densi(e et devient plus technique
et dans un contexte économique
plus contraint, la maîtrise des dépenses
s’impose.
reseauprosante.fr
Revue "Le Mag de l'INPH" n°6 - INPH - Janvier 2016
La Loi de Modernisation du Système de Santé vient enfin de terminer un parcours de plus d’un an par un vote définitif le 17 décembre 2015 à l’Assemblée Nationale. Le réel contenu de cette Loi a été masqué par des points de crispation en particulier sur le tiers payant.
Ainsi, tout le secteur éducation sanitaire et prévention n’a pas fait l’objet d’un grand débat public, laissant souvent la place aux luttes silencieuses entre législateurs et lobbys (tabac, alcool, cigarette électronique, …). De même, le parcours de santé qui devait être le fleuron de cette Loi est à construite dans les futurs décrets.
Il y a cependant des éléments forts, comme le retour d’un service public hospitalier, véritable socle de la prise en charge de tous les patients, de toutes les pathologies dans toutes les situations, motivation principale des praticiens hospitaliers dans leur exercice quotidien.
Bien entendu, cette Loi apporte aussi quelques réponses aux graves dysfonctionnements qu’avait entraînés la précédente Loi (HPST).
La gouvernance hospitalière (Article 49) s’assouplit un peu avec les mesures suivantes :
L’organisation en pôles pourra être facultative en fonction des effectifs concernés.
Le terme de « service » que nous n’avions jamais oublié dans nos pratiques quotidiennes revient dans les dénominations officielles.
Le Président de CME contracte avec le DG une charte de gouvernance.
Le chef de pôle se voit confier une mission de dialogue et de concertation interne au sein du pole.
...
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Les dépenses en faveur des personnes handicapées ont progressé de 13,5 millia...AVIE
L’effort social consenti en faveur des personnes handicapées s’élève à 46,6 milliards d’euros en 2014, soit 2,2 % du produit intérieur brut (PIB). Cet effort passe avant tout par le système de protection sociale : les différentes prestations sociales versées au titre du handicap représentent 42,7 milliards d’euros en 2014. Les avantages fiscaux et sociaux en sus s’élèvent, quant à eux, à 3,4 milliards d’euros en 2014.
Depuis le tournant de la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées en 2005, cet effort social a progressé en moyenne de 2,4 % par an en euros constants, principalement porté par le développement des prestations sociales.
Cette hausse a été notamment portée par la montée en charge de la prestation de compensation du handicap, la réforme des prestations en faveur des enfants handicapés et la revalorisation de l’allocation adulte handicapé.
Drees dépenses sociales en faveur des personnes handicapéesSociété Tripalio
La DREES a publié, le 9 mars 2017, une étude sur les dépenses en faveur des personnes handicapées.
Selon la DREES, les dépenses en faveur des personnes handicapées ont progressé de 13,5 milliards d’euros de 2005 à 2014.
Le mouvement des médecins espagnols contre l'austérité.Réseau Pro Santé
La crise financière mondiale et la dette croissante des états européens ont évidemment une influence négative sur le financement des systèmes de santé, la sécurité des patients, l'amélioration des conditions de travail et des salaires des médecins salariés européens.
En Espagne, malgré la ténacité et la persévérance des organisations professionnelles comme la Confédération Espagnole des Syndicats Médicaux (CESM), membre de la FEMS, les médecins sont parmi les moins rémunérés et leurs conditions de travail sont parmi les plus mauvaises d'Europe. La stratégie de diminution des dépenses pour contenir les déficits publics a encore dégradé cette situation depuis 2008.
UNE AUSTÉRITÉ À « L’ESPAGNOLE »
La structure politique espagnole, en 17 Communautés Autonomes, a organisé la compétition entre les services de santé, engageant les politiciens et les gestionnaires de santé dans des planifi cations à court terme, un sous-financement chronique et une augmentation des l istes d'at tente. Ces engagements sont facilités par une marginalisation progressive de l'influence et des avis des professionnels. Depuis longtemps, le Système Nat ional de Santé (SNS) est devenu une arme de confrontation politique et de propagande électorale. Les 17 Communautés Autonomes ont ainsi laissé se constituer des déficits énormes, parfois plus importants que le déficit du gouvernement espagnol national. Les dépenses de santé représentent environ 40 % des budgets des Communautés Autonomes, ce qui explique l'argument démagogique avancé par les politiciens pour justifier les coupes budgétaires drastiques dans ce domaine : sauver le SNS et assurer sa pérennité, alors que ces mesures menacent l'essence même du SNS.
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Este documento presenta un resumen de la familia del autor. Describe brevemente a sus padres y hermanos, y proporciona detalles sobre sus apellidos paternos y maternos. El apellido Montaña se originó en Cataluña y Aragón y data del siglo XII, mientras que Chuchoque proviene de los aborígenes chibchas de Colombia.
Le Dr Patrick BOUET est médecin généraliste en Seine Saint Denis, le 93 ! Où les situations sociales et sanitaires sont particulièrement difficiles. Il a été élu pour 3 ans président du conseil national de l’Ordre des médecins en juin 2013. A mi-mandat il regroupe la profession autour d’une image renforcée du médecin et a déjà profondément modifié les rapports de l’Ordre des médecins avec le gouvernement...
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
RAPPORT MORAL -Isabelle Montet, secrétaire généraleRéseau Pro Santé
Revue SPH n°12 - Décembre 2016
Placée en amont du thème ambitieux de La psychiatrie du futur que la Société de l’Information Psychiatrique a choisi pour le congrès scientifique, l’assemblée générale du SPH peut bien s’autoriser pour faire un bilan de l’action syndicale à recevoir les influences de la Science sur le statut du temps. Une affirmation posée par le théoricien de la relativité restreinte, Einstein, selon qui la distinction entre passé, présent et futur n’est qu’une illusion, ouvre la voie charmeuse des relations entre science et imaginaire, dont semble relever souvent celles entre psychiatrie et société, syndicalisme et pouvoirs publics.
Et pourquoi ne pas alors se laisser emmener par les qualités de la fiction scientifique ou science fictive qui, devenue science-fiction, a gagné un statut : objet d’étude qui lui a valu trois colloques au centre culturel de Cerisy la-Salle, reconnue comme le genre littéraire des savoirs de l’imaginaire, il lui est attribué le mérite de saisir les enjeux technologiques, sociaux et politiques des sociétés technologiquement saturées et de manière exploratoire, de contribuer à la mise en garde contre les dérives scientistes de la société post-moderne.
Dans le monde réel et bien présent, une nouvelle réforme de la santé a été décidée par le gouvernement : excursions spatio-temporelles et effets vortex accompagnent ses répercussions. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Communiqués de presse du snjmg dec 2015 janv-fev 2016 Réseau Pro Santé
Revue "Jeune MG" SNJMG n°14 - Mars 2016
Mardi 22 septembre 2015, Démographie médicale, l'amendement de trop !
Lundi 05 octobre 2015, Pour une Sécurité Sociale réaffirmée
Vendredi 09 octobre 2015, Jeunes Installés : Votez !
Lundi 09 novembre 2015, Les Assises du changement
Jeudi 12 novembre 2015, Elections URPS : des règles à changer
23 novembre 2015, Les jeunes médecins mobilisés autour du nouveau Bureau du SNJMG
26 novembre 2015, Démographie médicale : les limites de la politique de Marisol Touraine
01 décembre 2015, Prime pour les soignants du 13 novembre : de la démagogie à bon compte ?
Mardi 22 décembre 2015, Garde des internes : Marisol Touraine conforme à ses (mauvaises) habitudes
21 janvier 2016, Le syndicat des jeunes médecins généralistes de France soutient leurs confrères d'Outre-Manche
22 janvier 2016, Temps de travail des internes : le bricolage continue
25 janvier 2016, Tiers payant : le syndicat des jeunes médecins généralistes relance ses propositions
09 février 2016, DES de médecine générale en 3 ans : une réelle avancée ?
12 février 2016, Grande Conférence de Santé : un constat mitigé
Réseau Pro Santé
INPH n°7 - Avril 2016
INTERVIEW Didier TABUTEAU
Responsable de la chaire santé de Sciences, codirecteur de l’institut Droit et santé de l’Université Paris Descartes INSERM UMR S 1145
Didier Tabuteau, quel est votre regard sur le système de santé actuel ?
Il est construit sur 4 clivages que nous devons surmonter impérativement sous peine de le voir s’effrondrer.
Le 1er clivage réside dans la discontinuité de la répartition des compétences et des rôles entre les professions de santé.
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Revue "Le Mag de l'INPH" n°7 - INPH - Avril 2016
Responsable de la chaire santé de Sciences, codirecteur de l’institut Droit et santé de l’Université Paris Descartes INSERM UMR S 1145
Didier Tabuteau, quel est votre regard sur le système de santé actuel ?
Il est construit sur 4 clivages que nous devons surmonter impérativement sous peine de le voir s’effrondrer.
Le 1er clivage réside dans la discontinuité de la répartition des compétences et des rôles entre les professions de santé. En France, le médecin est beaucoup plus distant des autres professions que dans de nombreux autres pays où les compétences sont réparties de façon plus continue entre professions médicales et paramédicales. Par exemple avec le rôle d’infirmier expert ou clinicien. Il s’agit là d’un véritable enjeu car cette situation pèse sur l’organisation des soins et les relations entre professions.
Le 2ème clivage est le clivage ville/hôpital : La médecine de ville s’est construite en France au 19ème siècle sur son indépendance et même son opposition par rapport aux pouvoirs publics, à la différence d’autres pays européens comme l’Allemagne ou l’Angleterre, où les médecins et l’Etat ont construit ensemble le système de santé. Le système conventionnel a ensuite, dans les années 1970, été édifié dans le champ de la démocratie sociale et donc encore à distance de l’Etat, régulateur de l’hôpital. De ce fait, la médecine de ville en France dispose d’une autonomie considérable et, en conséquence, médecine de ville et l’hôpital sont deux mondes séparés.
...
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La huitième édition des Chiffres clés de l'aide à l'autonomie publiée par la CNSA met à la disposition des acteurs et décideurs du secteur médico-social des données disponibles en 2017. La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, plus de 25 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’État, de la Sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie.
Revue "Le Mag de l'INPH" n°5 - INPH - Aout 2015
Les modalités de mise en oeuvre du fonds d’intervention régional pour l’année 2015 ainsi que le montant des crédits attribués aux agences régionales de santé viennent d’être fixés par la circulaire SG/2015/152 en date du 28 avril et par l’arrêté du 30 avril 2015.
Au même titre que les circulaires relatives à la campagne budgétaire et tarifaire annuelle des établissements de santé, cette circulaire est importante à suivre en tant que PH car y sont précisés les financements d’un certain nombre de projets nouveaux en lien avec nos activités ou avec les réorganisations territoriales.
Qu’est-ce que le FIR ?
Le FIR a été créé le 1er mars 2012 en application de l’article 65 de la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS) pour 2012. Les textes relatifs à son fonctionnement ont été codifiés aux articles L.1435-8 à L.1435-11 et R.1435-16 à R.1435-36 du code de la santé publique. Le FIR se substituait en partie au fonds pour la modernisation des établissements de santé publics et privés (FMESPP) et au fonds d’intervention pour la qualité et la coordination des soins (FIQCS). Le FMESPP reste toutefois en vigueur et fait toujours l’objet de 3 dotations annuelles de financement.
Quels sont les objectifs du FIR ?
Pour 2015, l’article 56 de la LFSS vient de réorganiser les missions du FIR en cinq axes stratégiques regroupés, en cohérence avec la stratégie nationale de la santé.
1. La promotion de la santé et la prévention des maladies, des traumatismes, du handicap et de la perte d’autonomie.
2. L’organisation et la promotion de parcours de santé coordonné, la qualité et la sécurité de l’offre sanitaire et médico-sociale.
3. La permanence des soins et la répartition des professionnels et des structures de santé sur le territoire.
4. L’efficience des structures sanitaires et médico-sociales et l’amélioration des conditions de travail de leurs personnels.
5. Le développement de la démocratie sanitaire.
...
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Dès la (n des années 70, l’hôpital
change : dans l’hôpital « moderne
», du fait des progrès de la
médecine, la durée de séjour diminue,
le nombre de patients pris
en charge augmente, l’activité se
densi(e et devient plus technique
et dans un contexte économique
plus contraint, la maîtrise des dépenses
s’impose.
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Revue "Le Mag de l'INPH" n°6 - INPH - Janvier 2016
La Loi de Modernisation du Système de Santé vient enfin de terminer un parcours de plus d’un an par un vote définitif le 17 décembre 2015 à l’Assemblée Nationale. Le réel contenu de cette Loi a été masqué par des points de crispation en particulier sur le tiers payant.
Ainsi, tout le secteur éducation sanitaire et prévention n’a pas fait l’objet d’un grand débat public, laissant souvent la place aux luttes silencieuses entre législateurs et lobbys (tabac, alcool, cigarette électronique, …). De même, le parcours de santé qui devait être le fleuron de cette Loi est à construite dans les futurs décrets.
Il y a cependant des éléments forts, comme le retour d’un service public hospitalier, véritable socle de la prise en charge de tous les patients, de toutes les pathologies dans toutes les situations, motivation principale des praticiens hospitaliers dans leur exercice quotidien.
Bien entendu, cette Loi apporte aussi quelques réponses aux graves dysfonctionnements qu’avait entraînés la précédente Loi (HPST).
La gouvernance hospitalière (Article 49) s’assouplit un peu avec les mesures suivantes :
L’organisation en pôles pourra être facultative en fonction des effectifs concernés.
Le terme de « service » que nous n’avions jamais oublié dans nos pratiques quotidiennes revient dans les dénominations officielles.
Le Président de CME contracte avec le DG une charte de gouvernance.
Le chef de pôle se voit confier une mission de dialogue et de concertation interne au sein du pole.
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Les dépenses en faveur des personnes handicapées ont progressé de 13,5 millia...AVIE
L’effort social consenti en faveur des personnes handicapées s’élève à 46,6 milliards d’euros en 2014, soit 2,2 % du produit intérieur brut (PIB). Cet effort passe avant tout par le système de protection sociale : les différentes prestations sociales versées au titre du handicap représentent 42,7 milliards d’euros en 2014. Les avantages fiscaux et sociaux en sus s’élèvent, quant à eux, à 3,4 milliards d’euros en 2014.
Depuis le tournant de la loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées en 2005, cet effort social a progressé en moyenne de 2,4 % par an en euros constants, principalement porté par le développement des prestations sociales.
Cette hausse a été notamment portée par la montée en charge de la prestation de compensation du handicap, la réforme des prestations en faveur des enfants handicapés et la revalorisation de l’allocation adulte handicapé.
Drees dépenses sociales en faveur des personnes handicapéesSociété Tripalio
La DREES a publié, le 9 mars 2017, une étude sur les dépenses en faveur des personnes handicapées.
Selon la DREES, les dépenses en faveur des personnes handicapées ont progressé de 13,5 milliards d’euros de 2005 à 2014.
Le mouvement des médecins espagnols contre l'austérité.Réseau Pro Santé
La crise financière mondiale et la dette croissante des états européens ont évidemment une influence négative sur le financement des systèmes de santé, la sécurité des patients, l'amélioration des conditions de travail et des salaires des médecins salariés européens.
En Espagne, malgré la ténacité et la persévérance des organisations professionnelles comme la Confédération Espagnole des Syndicats Médicaux (CESM), membre de la FEMS, les médecins sont parmi les moins rémunérés et leurs conditions de travail sont parmi les plus mauvaises d'Europe. La stratégie de diminution des dépenses pour contenir les déficits publics a encore dégradé cette situation depuis 2008.
UNE AUSTÉRITÉ À « L’ESPAGNOLE »
La structure politique espagnole, en 17 Communautés Autonomes, a organisé la compétition entre les services de santé, engageant les politiciens et les gestionnaires de santé dans des planifi cations à court terme, un sous-financement chronique et une augmentation des l istes d'at tente. Ces engagements sont facilités par une marginalisation progressive de l'influence et des avis des professionnels. Depuis longtemps, le Système Nat ional de Santé (SNS) est devenu une arme de confrontation politique et de propagande électorale. Les 17 Communautés Autonomes ont ainsi laissé se constituer des déficits énormes, parfois plus importants que le déficit du gouvernement espagnol national. Les dépenses de santé représentent environ 40 % des budgets des Communautés Autonomes, ce qui explique l'argument démagogique avancé par les politiciens pour justifier les coupes budgétaires drastiques dans ce domaine : sauver le SNS et assurer sa pérennité, alors que ces mesures menacent l'essence même du SNS.
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Este documento presenta un resumen de la familia del autor. Describe brevemente a sus padres y hermanos, y proporciona detalles sobre sus apellidos paternos y maternos. El apellido Montaña se originó en Cataluña y Aragón y data del siglo XII, mientras que Chuchoque proviene de los aborígenes chibchas de Colombia.
El documento describe varios programas del Instituto Mexicano de la Juventud dirigidos a jóvenes de entre 12 y 29 años. Los programas incluyen apoyo a instancias estatales de juventud, apoyo económico a jóvenes que realizan servicio social, apoyo a proyectos juveniles, becas para estudiantes, apoyo a emprendedores juveniles, concursos de debate político y de cartas a los padres, y espacios para que los jóvenes accedan a tecnología. El objetivo general es impulsar el
Créé par le Groupe Acadomia, Spésup se distingue par une approche pédagogique innovante, basée sur la qualité d’échanges avec les professeurs, des contenus de cours adaptés aux besoins des étudiants et des rencontres avec des professionnels.
El loro gris de cola roja es un loro de tamaño mediano con plumas grises excepto su cola roja. Los yacos viven en grandes bandadas jerárquicas de hasta cientos de individuos y forman parejas estables. La temporada de cría de los yacos depende de factores como la ubicación, el clima y la disponibilidad de alimentos.
El documento proporciona 5 consejos para la selección de imágenes en publicaciones periodísticas: 1) Tomar fotografías desde diferentes ángulos para capturar diversas perspectivas. 2) Las imágenes deben comunicar algo sobre la historia más allá de simplemente estar presentes. 3) Capturar tanto la acción como la reacción de los sujetos.
Este documento discute los desafíos que enfrentan los periodistas colombianos para brindar información creíble a la ciudadanía. Señala que faltan investigación, se da prioridad al rating por sobre la educación pública, y la información importante a menudo queda en segundo plano. También menciona que la televisión es el medio más utilizado pero que también presenta desafíos para una cobertura objetiva de temas como la violencia. El documento resalta la importancia de que los periodistas se enfoquen en presentar noticias veraces que
El documento presenta un proyecto llamado Atlas de la Diversidad Cultural en Red con Don Bosco. El proyecto busca promover el trabajo colaborativo entre escuelas salesianas en España y América a través de aprendizaje-servicio. El Atlas proveerá una plataforma en línea con fichas colaborativas, blogs, mapas y otros elementos para que las escuelas compartan recursos e información sobre temas de ciudadanía, paz e interculturalidad. El objetivo final es establecer las bases para futuros proyectos de colaboración trans
Les PME, les entreprises doivent-elles être présentes dans les réseaux sociaux et Facebook en particulier?
Ma présentation avec des outils pour suivre et travailler son e-reputation.
La Vida En La Escuela Secundaria Y Su[1]serarockcld
Este documento resume las observaciones de una estudiante sobre las condiciones de trabajo de los maestros en escuelas secundarias. Describe algunos de los desafíos que enfrentan como grupos saturados de estudiantes, instalaciones deficientes, bajos salarios y maestros que deben viajar entre múltiples escuelas. También contrasta las condiciones entre zonas urbanas y rurales, siendo más desfavorables en áreas rurales con falta de recursos y espacios adecuados.
El documento presenta varios pasajes bíblicos y escritos de Elena G. White sobre los peligros de las adicciones como el alcoholismo, el consumo de café y té, la inmoralidad sexual, el amor al dinero, los juegos de azar y la obsesión por la apariencia física. Ofrece consejos sobre cómo vencer estas adicciones mediante la entrega a Dios, el alejamiento de los estímulos y el fortalecimiento espiritual.
Participan únicamente trabajos estudiantiles realizados desde Enero del 2009 a Noviembre 2009.
Se pueden presentar trabajos tanto con marcas reales como ficticias.
El documento presenta 13 párrafos que describen las características del amor verdadero. Aunque seamos espirituales, trabajadores o inteligentes, si carecemos de amor nuestros esfuerzos carecen de valor. El amor es paciente, bondadoso y no se altera fácilmente. Aunque cometamos errores, el amor de Dios puede ayudarnos a crecer en amor y a priorizar lo que más importa en la vida. La esencia del amor verdadero implica asumir la vulnerabilidad y la alegría
2014-06-20 ASIP Santé JNI "Les Systèmes d’Information au service des parcours...ASIP Santé
Présentation des Systèmes d’Information au service des parcours PAERPA, par Claire Scotton (DSS), à l'occasion des Journées nationales des Industriels de l'ASIP Santé du 20 juin 2014.
29ème congrès de l’usp former, déformer les équipes et les territoires.Réseau Pro Santé
Fin mars 2012, lors de notre 27ème congrès, nous nous demandions si une alterpsychiatrie était possible.
Autres temps, mêmes moeurs, nous devrions constater lors de notre 29ème congrès, fin mars 2014, qu’elle n’est toujours pas d’actualité.
Le patient est toujours « usager », placé au centre de l’hôpital, qui se trouve parfois à son domicile, lorsqu’il est pris en charge en soins sans consentement, sans qu’aucune mesure de contrainte ne puisse alors être mise en oeuvre s’il ne consent plus au « programme » de soin ; voire majeur protégé – de lui-même ? – s’il ne l’entend pas comme son entourage ou les intervenants médico et/ou sociaux.
Pendant ce temps les soignants hospitaliers sont empaquetés de confiance.
L’usine à gaz de la formation continue ne parvient pas à produire autre chose que des procédures administratives ou des recommandations statistiques, vapeurs toxiques pour la fragile inspiration de la conduite des relations de soin. Où se déformera la formation initiale pour laisser place à une pratique substantielle et assumée ?
Dans un contexte scientiste de retour à un hygiénisme normalisateur, réglementé, chiffré et comptable, qu’est la pratique de notre art devenue ?
Une stratégie nationale de santé devrait « organiser les soins pour proposer à chaque usager un parcours conforme à ses besoins, à son profil et à ses difficultés… combattre l’injustice des barrières dans l’accès aux soins ». Les stratèges accouchent donc d’un « pacte territoire santé », « pour faire reculer les déserts médicaux » (mais on ferme encore des services, des hôpitaux). Ça, c’est une affaire d’aménagement du territoire. L’accès aux soins n’est-il pas aussi, et même surtout, une histoire d’accueil, c’est-à-dire de disponibilité et de disposition psychiques des soignants – et de la population – ?
Tout ça c’est bien pénible !
Alors, comment s’organiser dans les territoires afin que les soins psychiques y aient de l’espace pour se déployer ?
reseauprosante.fr
Cette synthèse a pour objet de mettre à disposition des informations partagées sur l'état du secteur de l'aide à domicile et ses besoins, afin d'alimenter les analyses et actions des différents acteurs qui soutiennent les associations sur les territoires (Uriopss, fédérations, DLA, pouvoirs publics, etc.).
Financement et Inégalités de santé en TunisieAmine Rekik
Présentée par Chokri Arfa, Maitre-assistant à l'Institut National du Travail et des Etudes Sociales de Tunis.
Conférence « Les inégalités sociales en Tunisie, le constat et les leviers d’action », 11 Juin 2014, Tunis - Tunisie.
En parallèle de l’élection présidentielle de 2012, le SNJMG constate et revendique plus que jamais, dans l’intérêt des jeunes médecins généralistes.
Dès le mois de février, le SNJMG, a publié chaque semaine un communiqué de presse sur différents thèmes de la Santé en France. Pour chacun de ces thèmes, le SNJMG explicite les propositions qu’il soumet au nom des nouvelles générations de médecins généralistes aux différents candidats à l’élection présidentielle.
Indépendant (notamment de l’industrie pharmaceutique), le SNJMG s’est engagé à faire connaître à l’ensemble des citoyens les attentes des jeunes médecins généralistes pour leur exercice et pour notre système de santé.
Mardi 21 février 2012 - Le SNJMG milite pour un meilleur accès à des soins de qualité
Après avoir abordé l’exercice des médecins généralistes, le Syndicat National des Jeunes Médecins Généralistes (SNJMG) présente ce jour ses propositions en matière d’accès aux soins.
Le SNJMG, syndicat indépendant rassemblant internes, remplaçants et jeunes installés ou salariés en Médecine Générale, rappelle que la première et principale dif9culté en matière d’accès aux soins est représentée par la question 9nancière. Deux chiffres très récents issus d’une étude d’Harris Interactive illustrent particulièrement ce constat : 50 % des Français déclarent avoir déjà reporté des soins (pour lui-même ou pour un membre de sa famille) et 35 % y ont même déjà renoncé (dont 22 % ont dû le faire plusieurs fois).
reseauprosante.fr
Rapport d'activité 2017 de l'ARS Bourgogne-Franche-Comté v2DircomARSBFC
Rapport d'activité 2017 de l'Agence régionale de Santé de Bourgogne-Franche-Comté.
Le sommaire :
Rapport d'activité 2017 de l'Agence régionale de Santé de Bourgogne-Franche-Comté :
- Médico-social : des évolutions réglementaires pour mieux adapter l'offre
- Autonomie : de nouveaux services pour accompagner les personnes âgées, handicapées et vulnérables
- Réorganisations hospitalières : stabiliser l’offre de soins pérenne par un recours gradué
- Schéma régional des ressources humaines en santé : main dans la main pour l’efficience du système de soins
- Organisation des soins : les projets médicaux partagés : une stratégie de groupe pour organiser les soins
- Santé publique : méningite : une campagne de vaccination exceptionnelle
- Santé environnement : le PRSE 3 : pour une approche globale de la santé
- Qualité des soins : semaine de la sécurité des patients : 5 distinctions pour les établissements de la région
- Coordination des professionnels : la PTA 71 et eTicss pour répondre aux situations complexes
- Télémédecine : offrir une expertise de proximité sur tout le territoire
- Parcours de santé : décloisonner pour répondre aux enjeux du système de santé de demain
- Démographie médicale : le « cabinet éphémère », une expérimentation pour pallier des départs de médecins généralistes
- Démocratie en santé : huit conseils territoriaux en santé pour mieux appréhender les besoins de la population
- Territoires : la dynamique des contrats locaux de santé pour agir en proximité
- Sécurité des actes médicaux : les cabinets dentaires sensibilisés à la maitrise du risque infectieux
- Lutte contre le tabagisme : Stopoklop 2è édition : les partenaires entrent dans le jeu
- Programme national nutrition santé (PNNS) : l’ « ARS’active »… autour du PNNS
- Optimisation des moyens internes : un fort investissement technologique pour faciliter le travail partenarial
Rapport d'activité 2017 de l'ARS Bourgogne-Franche-ComtéDircomARSBFC
Rapport d'activité 2017 de l'Agence régionale de Santé de Bourgogne-Franche-Comté.
Le sommaire :
Rapport d'activité 2017 de l'Agence régionale de Santé de Bourgogne-Franche-Comté :
- Médico-social : des évolutions réglementaires pour mieux adapter l'offre
- Autonomie : de nouveaux services pour accompagner les personnes âgées, handicapées et vulnérables
- Réorganisations hospitalières : stabiliser l’offre de soins pérenne par un recours gradué
- Schéma régional des ressources humaines en santé : main dans la main pour l’efficience du système de soins
- Organisation des soins : les projets médicaux partagés : une stratégie de groupe pour organiser les soins
- Santé publique : méningite : une campagne de vaccination exceptionnelle
- Santé environnement : le PRSE 3 : pour une approche globale de la santé
- Qualité des soins : semaine de la sécurité des patients : 5 distinctions pour les établissements de la région
- Coordination des professionnels : la PTA 71 et eTicss pour répondre aux situations complexes
- Télémédecine : offrir une expertise de proximité sur tout le territoire
- Parcours de santé : décloisonner pour répondre aux enjeux du système de santé de demain
- Démographie médicale : le « cabinet éphémère », une expérimentation pour pallier des départs de médecins généralistes
- Démocratie en santé : huit conseils territoriaux en santé pour mieux appréhender les besoins de la population
- Territoires : la dynamique des contrats locaux de santé pour agir en proximité
- Sécurité des actes médicaux : les cabinets dentaires sensibilisés à la maitrise du risque infectieux
- Lutte contre le tabagisme : Stopoklop 2è édition : les partenaires entrent dans le jeu
- Programme national nutrition santé (PNNS) : l’ « ARS’active »… autour du PNNS
- Optimisation des moyens internes : un fort investissement technologique pour faciliter le travail partenarial
La huitième édition des Chiffres clés de l'aide à l'autonomie publiée par la CNSA met à la disposition des acteurs et décideurs du secteur médico-social des données disponibles en 2017. La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, plus de 25 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’État, de la Sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie.
Cnsa chiffres cles 2017 version complèteCheops Paca
La CNSA consacre, par ses ressources propres et les crédits d’assurance maladie qu’elle gère, plus de 25 milliards d’euros au financement des politiques d’aide à l’autonomie, destinés aux personnes âgées et aux personnes handicapées. S’y ajoutent, notamment, des financements de l’État, de la Sécurité sociale et des départements. Soit un ensemble de réponses qui doivent progresser et mieux s’articuler pour renforcer la solidarité pour l’autonomie. Source
Les Cahiers de la compression et de l'Orthopédie • EditorialBenigniJeanPatrick
Il existe en France un besoin réel de formation. La compression médicale et l’orthopédie n’y échappent pas. Une action de formation pour être efficace doit s’inscrire dans la durée. Pour modifier les habitudes il faut aborder le même problème sous des angles différents afin que tous les acteurs du domaine puissent acquérir les connaissances essentielles à la compréhension du phénomène et changer ainsi leurs pratiques quotidiennes. C’est l’objectif des Cahiers. Dr Jean-Patrick Benigni.
2015-09-24 ASIP Santé RIR "Parcours santé des aînés : apports des SI au progr...ASIP Santé
"Parcours santé des aînés : apports des SI au programme PAERPA
Estel Queral, chef de projet PAERPA, DSS
Dr Marguerite-Marie Defebvre, chef de projet PAERPA, ARS Nord Pas de Calais"
Les NVPO sont un événement fréquent en post-anesthésie puisqu'ils touchent environ un tiers des patients. Les différents scores et prophylaxies utilisées bien que souvent efficaces ne closent pas le chapitre de leur prévention. La gabapentine, antivonvusilvant, a montré par ailleurs son effet analgésique en post-opératoire.
Plus récemment, la gabapentine a montré un effet anti-émétique lorsqu'elle était administrée en prévention dans la chimiothérapie du cancer du sein.
Cette étude est une méta-analyse des essais randomisés de la gabapentine en prévention des NVPO. Elle conclut à son efficacité, efficacité d'autant plus marquée que le propofol n'est pas utilisé comme agent d'induction et/ou d'entretien.
Le degré de relâchement musculaire en chirurgie coelioscopique de la vésicule biliaire fait partie du quotidien des discussions entre anesthésistes et chirurgiens au bloc opératoire. Au fond tous sont convaincus de l'efficacité du curare : le chirurgien qui le demande et l'anesthésiste qui pense lui à sa décurarisation.
Cette étude teste curarisation profonde versus curarisation de routine dans la chirurgie coelioscopique de la vésicule biliaire. Avec comme première question "est-ce qu'une curarisation profonde permet de travaillert avec une pression abdominable moindre?", pression dont on sait qu'elle est pourvoyeuse de douleur post-opératoire.
La réponse est que le degré de curarisation participe de façon marginale au confort du chirurgien... et ne permet pas plus fréquemment de travailler à pression abdominale basse.
This document summarizes a study that evaluated the World Health Organization Disability Assessment Schedule 2.0 (WHODAS) as a tool for measuring postoperative disability. The study assessed WHODAS in 510 surgical patients across multiple timepoints. Results showed WHODAS demonstrated good criterion and convergent validity when compared to other measures of quality of recovery, physical functioning, quality of life and pain. WHODAS also showed excellent internal consistency and responsiveness over time. The study concludes WHODAS is a clinically valid, reliable and responsive tool for measuring postoperative disability in diverse surgical populations.
Thiruvenkatarajan et al-2015-anaesthesiasamirsharshar
Cranial nerve injuries are a rare but serious complication of supraglottic airway device use. The review identified 56 cases of cranial nerve injuries reported in the literature. Lingual nerve injury was most common (22 patients), followed by recurrent laryngeal nerve injury (17 patients). Recurrent laryngeal nerve injury can cause hoarseness, dysphagia, and in severe bilateral cases, respiratory distress requiring intubation or tracheostomy. Contributing factors to injury included inappropriate device size, overinflated cuffs, patient positioning, and surgical duration. Most injuries resolved with conservative treatment, but some patients had persisting voice impairment or required surgical intervention.
This study analyzed data from the Danish Anaesthesia Database to evaluate the diagnostic accuracy of anesthesiologists' predictions of difficult airway management. The study included 188,064 patients who underwent tracheal intubation or mask ventilation. For tracheal intubation, 93% of difficult intubations were unanticipated by anesthesiologists. When a difficult intubation was anticipated, it was correct only 25% of the time. Similarly, 94% of difficult mask ventilations were unanticipated, and when anticipated, it was correct 22% of the time. The results suggest anesthesiologists' predictions of difficult airway management have low sensitivity and positive predictive value, but remain an important part of preparation
The document summarizes a study that investigated whether adding hyaluronidase to ropivacaine reduces the time to achieve complete sensory block after axillary brachial plexus block. Patients were randomly assigned to receive ropivacaine with or without hyaluronidase. The study found that the group receiving ropivacaine with hyaluronidase had a significantly shorter mean time to achieve complete sensory block, sensory block onset time, and time to reach surgical anesthesia compared to the control group receiving ropivacaine alone. Addition of hyaluronidase to ropivacaine resulted in faster blockade times for axillary brachial plexus blocks.
The document summarizes research on the impact of autonomic dysfunction on peri-operative cardiovascular complications. It finds that cardiovascular autonomic neuropathy is common in diabetic patients and can lead to haemodynamic instability during anesthesia due to the interplay between the neuropathy and anesthesia's effects on autonomic function. Depending on the type of anesthesia used, autonomic neuropathy can affect peri-operative haemodynamics and postoperative recovery in surgical patients. Pre-operative testing of autonomic function may help reduce cardiovascular complications by identifying patients at risk.
This document discusses the history and evolution of vasopressor use for treating maternal hypotension during spinal anesthesia for cesarean section. It describes how ephedrine was originally used but was found to be associated with worse fetal outcomes compared to phenylephrine or metaraminol. Phenylephrine then emerged as the preferred vasopressor due to studies showing it improved fetal acid-base status. Recent research has focused on optimizing phenylephrine administration, comparing continuous infusions to bolus doses and investigating optimal infusion rates and regimens. However, the ideal method to both control blood pressure and minimize side effects like hypertension is still unclear.
Wijeysundera et al-2015-anesthesia_&_analgesiasamirsharshar
- The study found that patients managed by high-performing anesthesiologists experienced rates of postoperative death or major complications that were 45% lower than rates among patients managed by low-performing anesthesiologists.
- This confirms an implicit understanding among anesthesiologists that individual skill and performance varies, and that choice of anesthesiologist can impact patient outcomes, especially during complex high-risk procedures.
- Further research is needed to identify factors that explain variations in performance, such as procedure volume, and to leverage variations to identify best perioperative practices.
This document summarizes a study that tested the effectiveness of a brief smoking cessation intervention for surgical patients. The intervention included brief counseling, smoking cessation brochures, free nicotine patches, and referral to a quitline. It significantly increased smoking abstinence before and after surgery compared to standard care. The results suggest that even relatively simple interventions can help many surgical patients quit smoking long-term.
Terrando et al-2015-anesthesia_&_analgesiasamirsharshar
This article summarizes discussions from a workshop on perioperative neurotoxicity in the elderly. The workshop included presentations on:
1) Preclinical evidence that surgery and anesthesia can cause neuroinflammation and cognitive impairment in rodent models, especially in vulnerable populations like the elderly.
2) Emerging human biomarkers like CSF tau levels that show potential to objectively measure postoperative neuronal injury and predict cognitive outcomes.
3) Preliminary clinical studies finding associations between postoperative cytokines, blood-brain barrier disruption, and delirium; however, interventions like glucocorticoids have not proven effective yet.
4) The need for standardized nomenclature and consideration of preexisting patient vulnerabilities in clinical studies to help resolve
1) A study showed that the choice of anesthesiologist affects outcomes in cardiac surgery, with patients of low-performing anesthesiologists having twice the rate of death or complications compared to patients of high-performing anesthesiologists.
2) While some view anesthesiologists as interchangeable, the results demonstrate that individual anesthesiologists can significantly impact outcomes.
3) Additional studies discussed in the document examine how better understanding differences in provider performance and standardizing best practices can help improve outcomes for all patients.
This document summarizes factors that determine the need for sedation during regional anesthesia. It discusses how sedation is routinely used during regional anesthesia but may not always be necessary and can have adverse effects, especially in older or higher risk patients. It suggests that alternatives to sedation like hypnosis, music, or conversation may provide adequate comfort for many patients during procedures when regional anesthesia is used. More research is still needed but moving away from routinely asking "do you want to be asleep?" and only using sedation when truly indicated could help reduce risks.
This randomized controlled trial evaluated the effectiveness of a perioperative smoking cessation intervention on long-term smoking abstinence rates. The intervention involved brief counseling, smoking cessation materials, referral to a quitline, and nicotine replacement therapy. At the 1-year follow-up, smoking cessation was reported in 25% of patients who received the intervention compared to 8% of control patients. Lower nicotine dependence at baseline and receiving the intervention were predictive of long-term smoking cessation. The study demonstrates that a minimally intensive perioperative smoking cessation intervention can significantly increase smoking abstinence rates not just short-term but also at 1 year postoperatively.
To meet the need for qualified anesthetists during the Civil War and latter 19th century, American surgeons recruited nurses to practice anesthesia. This collaboration was successful and led surgeons to work more formally with nurses at the Mayo Clinic in Minnesota. During this time period, nurses like Alice Magaw and Florence Henderson refined the safe administration of ether at hospitals. Their work improved safety and enabled surgeons like those at the Mayo Clinic to perform more complex surgeries. Other notable surgeon-nurse collaborations included George Crile working with Agatha Hodgins to introduce nitrous oxide/oxygen anesthesia, and William Halsted working closely with Margaret Boise. As surgery advanced, collaboration between surgeons and nurse anesthetists became routine and necessary to
Kancir et al-2015-anesthesia_&_analgesiasamirsharshar
This randomized controlled trial investigated the effect of hydroxyethyl starch (HES) on renal function in patients undergoing radical prostatectomy. Forty patients received either 6% HES 130/0.4 or saline during surgery. Urine and blood samples were collected before, during, and after surgery to measure markers of renal function like urinary neutrophil gelatinase-associated lipocalin (u-NGAL), creatinine clearance, and urine output. While blood loss was higher in the HES group, the study found no significant differences in the measured markers of renal function between the HES and saline groups. This suggests that 6% HES 130/0.4 did not negatively impact renal function in patients with normal preoperative
1. 1
Panorama des évolutions du
secteur social et médico-social
Adeline Leberche
Directrice du secteur social et médico-social – FEHAP
11 décembre 2013
Service Social et médico-social
2. Répartition FEHAP par secteur
Au 20/11/2013 : 3 906 structures adhérentes
Pôle Social et Médico-Social 2
3. Répartition FEHAP par secteur
Pôle Social et Médico-Social 3
ADHÉRENTS NB LITS et PLACES % OFFRE
NB SALARIÉS
en ETP
Etablissements sanitaires 643 57 661 12% 90 989
Soins de Suite et de Réadaptation - SSR 200 23 371
Soins de longue durée - USLD 24 1 965
Médecine Chirurgie Obstétrique MCO 119 15 444
Dialyse 42 16 201
Hospitalisation A Domicile - HAD 56 5 508
Psychiatrie 116 11 365
Autres sanitaires 86 8
Etablissements sociaux et médico-sociaux 3 087 188 923 8% 91 796
Etablissements et services pour personnes âgées 1 369 105 479 13%
Etablissements d'hébergement pour personnes âgées 992 77 938
Services de Soins Infirmiers A Domicile 333 27 323
Services sociaux en faveur des personnes âgées (CLICS) 41 200
Autres établissements pour personnes âgées 3 18
Etablissements et services pour personnes handicapées 1 159 61 022 13%
Etablissements et services pour enfants handicapés 402 18 270 12%
Etablissements et services pour adultes handicapés 757 42 752 13%
Etablissements et services pour personnes en difficulté
sociale 260 14 047 2%
Etablissements et services de l’aide sociale à l’enfance 104 5 417 3%
Etablissements pour adultes en difficulté 156 8 630 2%
Autres établissements 299 8 375 3%
Etablissements d’accueil des jeunes enfants 218 8 375 3%
Etablissements de formation et divers 81 - -
4. Parts de marché
Pôle Social et Médico-Social 4
Nombre de structures, France
Etablissements Publics 29 968 38,2%
Etablissements Privés commerciaux 6 253 8,0%
Etablissements Privés Non Lucratifs 42 194 53,8%
Source Observ atoire FEHAP - nov 2013
Capacités, France
Etablissements Publics 818 609 32,6%
Etablissements Privés commerciaux 330 729 13,2%
Etablissements Privés Non Lucratifs 1 361 032 54,2%
Source Observ atoire FEHAP - nov 2013
6. 6
2002-2012: une décennie de rénovation
du secteur social et médico-social?
Service Social et médico-social
7. 2002-2012: une décennie de rénovation du secteur SMS?
Loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et
médico-sociale : de la notion d’institution à la notion
d’action SMS
L'usager n'est plus « placé » en institution mais acteur de
son parcours et sujet de droits.
La loi élargit les missions de l’action sociale et médico-
sociale et diversifie les interventions:
Création de nouveaux modes de prise en charge
plus axés sur l’accompagnement et l’assistance que
sur l’hébergement: internat, accueil séquentiel,
accueil de jour…
Une base légale est donnée à des structures
nouvelles: lutte contre l’exclusion, service d’aide à
domicile.
8. 2002-2012: une décennie de rénovation du secteur SMS?
La loi affirme et promeut les droits et libertés
individuelles des usagers: mise en place d’outils (CVS...).
Le législateur décline les différents types d’action:
La prévention, l’adaptation, l’assistance,
l’accompagnement social, que ce soit dans un
cadre institutionnel ou à domicile.
La loi améliore les techniques de pilotage du dispositif
afin de permettre une meilleure adaptation de l’offre
aux besoins existants:
Schémas sociaux et médico-sociaux, autorisations…
La loi organise de manière plus transparente la
coordination entre les divers acteurs du secteur:
conventions Préfet/PCG, contrats avec les ESSMS,
évaluation.
8Service Social et médico-social
9. Les activités du secteur social et médico-social
Les établissements et services médico-sociaux sont définis à
l’article L.312-1 du code de l’action sociale et des familles (CASF):
Champ du handicap:
Les Instituts Médico Educatif (IME), SESSAD, ITEP: éducation
spécialisée pour enfants et adolescents
Les Maisons d’Accueil Spécialisé- MAS: adultes
Les établissements et services d’aide par le travail (ESAT), les
Centres de Rééducation Professionnelle-CRP/CRF: dispositifs de
formation professionnelle pour personnes en situation de
handicap
Les foyers pour adultes handicapés: foyers occupationnels,
foyers de vie: adultes
Les Foyers d’Accueil Médicalisé-FAM, SAMSAH: adultes
Champ de l’exclusion/urgence:
Les Centres d’Hébergement et de Réinsertion Sociale-CHRS- et
les dispositifs d’urgence sociale, de logement et d’insertion
9
10. Les activités du secteur social et médico-social
Champ de l’addictologie:
Les CSAPA, appartements de coordination thérapeutique….
Champ des personnes âgées:
Les Etablissements d’Hébergement pour Personnes Agées
Dépendantes-EHPAD et services pour personnes âgées
Les Services de soins infirmiers et d’aide à domicile- SSIAD
Les services d’aide à domicile- SAAD/SAD
Autres champs:
Les Foyers de Jeunes Travailleurs- FJT
Les Centres d’Accueil pour Demandeurs d’Asile- CADA
Les structures expérimentales
Les services de tutelles aux majeurs, de mise en œuvre des mesures
judiciaires d’aide à la gestion du budget familial- MJPM.
10
11. 2002-2012: une décennie de rénovation du secteur SMS?
Loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des
malades et à la qualité du système de santé :
Droit à l’information, à l’accès au dossier, création de la
Commission des relations avec les usagers et de la
qualité de la prise en charge.
Le principe de compensation relève de la solidarité
nationale, notamment dans le champ du handicap.
12. 2002-2012: une décennie de rénovation du secteur SMS?
Loi n° 2005-102 du 11 février 2005 : « pour l’égalité des
droits et des chances, la participation et la citoyenneté des
personnes handicapées »
Donne une définition élargie du handicap.
Réaffirme le droit à compensation posé dans la loi de
Loi de Modernisation Sociale n°2002-73 du 17 janvier
2002.
Impact sur les droits des personnes handicapées :
Accès de tout à tous
Simplification des démarches
Amélioration des ressources
Prestation de compensation.
13. 2002-2012: une décennie de rénovation du secteur SMS?
Loi HPST porte principalement sur:
L’organisation territoriale du système de santé avec la
création des agences régionales de santé (ARS)
L’accès aux soins
L’éducation thérapeutique.
Elle introduit:
La notion Établissements de santé privés d'intérêt
collectif
Une dynamique de l’approche globale de
l’accompagnement des personnes: une logique de
parcours.
Pôle Santé-Social 13
14. 2002-2012: une décennie de rénovation du secteur SMS?
Les politiques de santé publique comme les
professionnels de terrain doivent s’orienter vers des
stratégies coordonnées de proximité, sur un même
territoire.
Nécessité d’instruments pour la mise en place de
parcours souples et fluides d’accompagnement
passant par un décloisonnement des politiques
sanitaires et médico-sociales et des logiques financières
actuellement en œuvre.
Pôle Santé-Social 14
15. 2002-2012: une décennie de rénovation du secteur SMS?
Qu’est-ce qui doit encore évoluer ?
Réfléchir les organisations autour des parcours de vie
afin de promouvoir le maintien de l’autonomie et le
respect des choix de l’usager.
Aller plus loin dans les logiques de coopération et de
coordination dans une approche de continuité: secteur
médico-social, secteurs de la prévention, de la
médecine ambulatoire et de l’hospitalisation.
Un enjeu : le vieillissement et le développement des
maladies chroniques.
Une attention particulière portée sur les personnes en
grande difficulté: handicaps psychiques, personnes
âgées très désorientées, troubles des fonctions
intellectuelles supérieures...
15Service Social et médico-social
17. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
Un contexte budgétaire contraint: une nécessaire
mobilisation optimale des moyens déployés
ONDAM à 2,5% sur 5 ans:
2014: ONDAM général + 2,4%
2014: ONDAM médico-social + 3% sous l’effet des
plans de créations de places (PPH, PSGA, Plan
Alzheimer)
Au réel: effet prix/masse salariale : +1% secteurs PA/PH
Nécessaire état des lieux de l’existant en matière d’offre
d’établissements et services sur les territoires:
contribution FEHAP- étude NFT décembre 2013
Rapport IGAS/IGF de novembre 2012
Nécessaire état des lieux des besoins des personnes
âgées et handicapées :
orientations par défaut, amendements Creton, personnes
handicapées vieillissantes, besoin de création de places…
17Service Social et médico-social
18. Nécessaire état des lieux des financements déployés,
quel que soit le financeur:
Mise en évidence des possibilités de fongibilité entre
secteurs sanitaire et médico-social ou encore des logiques
de péréquation interrégionales.
Les compétences en matière sociale et médico-sociale en
question:
Les enjeux de la loi de décentralisation
Rapport IGAS/IGF: mettre fin aux cofinancements, jeu
« décentralisation/recentralisation »
Pôle Santé-Social 18
19. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
L’engagement de réflexions autour des systèmes de
financement dans le secteur des personnes handicapées
Mission IGAS (JY Hoquet) sur l’organisation du secteur
PH: rapport rendu fin mars:
Détecter les besoins collectifs et individuels, par
bassins de vie
Mieux prendre en compte les besoins: critères
essentiels des évaluations internes et externes
Inciter à l’intégration: mobilisation des instruments de
coopération (CPOM, GCSMS, réseaux…)
Placer les MDPH au centre de la mise en œuvre des
parcours de vie
Faciliter la fluidité des parcours par une gestion
administrative plus adaptée
Améliorer le pilotage: réforme territoriale,
décentralisation?
Valider les principes d’action: évaluation Loi 2002-2
19Service Social et médico-social
20. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
Mission IGAS/IGF sur le financement et la tarification
dans le secteur PH:
Etudes nationales de coûts: déterminants des
coûts et principaux repères de gestion d’une
typologie d’établissements et de services, pour des
services rendus comparables.
Etudes relatives aux prestations servies par les ESSMS.
Etudes relatives aux besoins de compensation des
personnes handicapées.
Suppression des cofinancements Etat/CG/AM.
20Service Social et médico-social
21. Développement des systèmes d’informations
interopérables entre CNSA/MDPH/CG/ESSMS.
Le développement d’outils de gestion adaptés : les
CPOM:
Notion de pluri annualité dans la gestion des budgets
Proposition de recomposition de l’offre hors AAP via les
CPOM, afin de faciliter les restructurations sur les territoires à
moyens constants et en l’absence de nouveaux plans de
créations de places.
Des logiques d’expérimentations et de tests des
réformes tarifaires envisagées.
Pôle Santé-Social 21
22. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
La nécessaire coordination des acteurs sur un territoire
donné : parcours de soin et plateaux techniques
Article 41 LFSS pour 2013: les parcours coordonnés de
santé sur les territoires- PAERPA
Avenir dans des prises en charge organisées sous forme
de « plateaux techniques »: une assise plus large que le
seul établissement:
Le plateau décline des offres complémentaires: de
l’évaluation du besoin à l’aide au retour à domicile, en
passant par la prise en charge et l’accompagnement.
Aujourd’hui, il n’est pas nécessaire de créer de nouveaux
outils permettant cette structuration (Association Loi 1901
ou Union d’associations, groupement d’employeurs,
contrats locaux de santé, GCSMS).
22Service Social et médico-social
23. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
Des logiques de rapprochements à développer
Avec des établissements et services de santé, sur
des bases de synergies territoriales: HAD et SSIAD,
complémentarité entre SSR, psychiatrie, HAD et
ESSMS...
Les ARS doivent adopter cette vision territoriale
novatrice, en sortant des logiques traditionnelles de
« silos », et jouer un rôle dans la mise en réseau des
acteurs sur un territoire donné.
Dans cette logique, des contrats locaux de santé
entre les ARS et les CG permettraient de mettre en
adéquation les priorités départementales avec les
priorités nationales.
23Service Social et médico-social
24. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
Les enjeux de la planification
La réforme de l’autorisation : les appels à projet, un
bilan mitigé
Majoritairement mise en œuvre par les ARS
17% de projets innovants tous secteurs
La majorité des AAP concernent le secteur PA dont plus
de 80% de services
15% AAP dans le secteur enfance handicapée
Un peu plus du 1/3 des AAP dans le secteur adultes
handicapés
Peu de projets expérimentaux: 12° I L.312-1 CASF
Fort ancrage territorial des projets: coopérations
24Service Social et médico-social
25. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
Les ARS sont invitées à lancer des appels à projet
autour de plates-formes de services ou plateaux
techniques
AAP orientés vers le domicile: SSIAD, SESSAD,
SAMSAH, SAVS…
Dans le secteur des personnes âgées, la FEHAP invite
les adhérents à diversifier au maximum l’offre de
services et de prestations d’une même entité :
hébergement permanent, hébergement
temporaire, accueil de jour, PASA/UHR…
=> Avoir à l’esprit que les ARS priorisent les projets faisant
l’objet de financements fléchés dans le cadre des plans.
=> Des dossiers de PAI doivent également être montés par les
directeurs.
25Service Social et médico-social
26. Quels enjeux actuels et à venir dans le secteur ?
La gestion de la planification de l’offre doit être revue
et dynamisée, mais surtout pilotée à partir de réelles
études de besoin à l’échelle des territoires.
La FEHAP soutient des logiques de regroupements, quel
qu’en soit le mode : unions d’associations, GCSMS,
fusions/absorption, mandats de gestion,
conventionnement…
Ainsi que les modes de prise en charge innovants : HAD
en ESSMS avec hébergement, SSIAD de nuit…
26Service Social et médico-social
27. L’AAP dans le contexte de rigueur budgétaire: passage
d’une Loi HPST avec de l’argent à une Loi HPST sans
argent.
L’avenir n’est plus dans les créations de places:
Orientations budgétaires 2014: services et prestations
à domicile
Très peu de marges pour les AAP à venir, les plans
arrivant à leur terme.
Saupoudrage des places nouvelles par les ARS
Se positionner sur des projets innovants dans des
logiques de parcours coordonnés de soins.
Se positionner sur des reprises d’établissements, de
regroupements dans la cadre de la dynamique de
recomposition de l’offre.
27Service Social et médico-social
28. Mais dans les restructurations, les coopérations et les
regroupements:
la FEHAP incite ses adhérents à se regrouper en vue de
faire différemment et d’améliorer les organisations =>
logique par métier, territoriale, ou de parcours de prise en
charge (HAD et EHPAD…)
La FEHAP accompagne ses adhérents dans les appels à
projet (formations, guides…)
Et dans les reprises d’établissements: enjeu fort dans un
contexte où les schémas sont des outils de régulation et dans
la logique du renouvellement de l’autorisation conditionnée
aux seuls résultats de l’évaluation.
Dynamique d’expérimentation: rapport HCAAM, PLFSS
Dynamique d’innovation: caractéristique du secteur PNL
Service Social et médico-social 28
29. 29
Les parcours: quels parcours de soins et
d’accompagnement des personnes âgées?
Service Social et médico-social
30. Service social et médico-social 30
Plusieurs réflexions menées de front:
Les travaux de l’ANAP:
travail d’analyse régionale et publication qui recense avec intérêt
les principales actions de terrain en faveur de parcours de soins et
d’accompagnement fluides et efficaces
Exemple: Transi-SSIAD (SSIAD de nuit), plates-formes
gérontologiques…
Les expérimentations territoriales de l’article 70 de la LFSS pour 2012:
Un vecteur d’expérimentation prometteur, mais à renforcer
La FEHAP souhaite que sur un territoire donné, l’ARS et les
collectivités territoriales, en lien avec leurs partenaires (libéraux,
établissements et services médico-sociaux…) puissent engager des
avancées véritablement novatrices.
31. Service Social et médico-social 31
Les ateliers du projet PAERPA en application de l’article 70 :
Sujets: l’évaluation des besoins, les systèmes d’information, la filière
hospitalière (admission et sortie), la coordination pré et post
hospitalisation.
Objectifs:
Définir les critères de choix des territoires expérimentateurs
Définir les objectifs à atteindre
En vue « d’éviter les hospitalisations évitables des personnes
âgées vulnérables »?
32. 32
Les incontournables de l’amélioration des parcours de santé sur les
territoires
La définition claire et précise de la notion de coordination: par
qui, comment, dans quel cadre, pour quels objectifs?
La constitution d’une bonne organisation à 2 niveaux
opérationnels:
« une coordination clinique de proximité »: associant le
médecin traitant, un infirmier libéral ou un infirmier de
coordination de SSIAD et un pharmacien d’officine le cas
échéant
« une coordination territoriale »: sous la modalité d’une plate-
forme d’appui et de coordination permettant l’articulation
entre l’ensemble des professionnels et les établissements et
services concernés par le parcours de santé et
d’accompagnement.
Un encadrement nécessaire des acteurs par l’ARS et le CG qui
constituent un binôme essentiel à la bonne marche du dispositif
Service Social et médico-social
33. 33
Le rôle et la place du secteur médico-social dans les parcours
Les établissements et services médico-sociaux sont des acteurs
incontournables des parcours
Place majeure du domicile dans le dispositif qui ne doit pas
être oubliée: les hospitalisations ne concernent pas
uniquement les PA prises en charge en EHPAD
Rôle des SAAD et SSIAD qui doivent être pleinement intégrés à
la définition des parcours et être acteurs de la coordination.
Les actions de prévention réalisées par les acteurs médico-
sociaux doivent être intégrées à la notion de parcours
Exemple des SPPASAD
L’hôpital doit s’ouvrir à son environnement proche: les parcours
ne doivent pas être organisés sur la base des seuls besoins
« d’aval » de l’hôpital pivot territorial.
Service Social et médico-social
34. Ne pas oublier les fondamentaux de la prise en charge et de
l’accompagnement
Principe fondamental du libre-choix par la personne de son lieu
de vie
Nécessaire pluralité des réponses possibles adaptées aux besoins
des personnes
Nécessaire diversité des projets institutionnels assurant la
continuité d’un accompagnement adapté à la personne
Pluralité des réponses comme facteur d’adaptation de l’offre
médico-sociale à l’évolution des projets de vie et des besoins des
personnes induite par le processus de vieillissement
Formation des personnels
Les évolutions des organisations face au vieillissement des
personnes en situation de handicap.
34Service Social et médico-social
36. De nombreux travaux en cours…:
Stratégie de la refondation dans le secteur social: CHRS
et AHI
Réforme de la tarification des SSIAD
Réforme de la tarification des SAAD-SAD
Réforme de la tarification des EHPAD
Tarifs plafonds et ENC dans les ESAT
Enquête de coûts/prestations dans les CRP
Algorithme tarifaire pour les CADA
Qui n’aboutissent pas faute d’une méthodologie solide et
de volonté politique…
Pôle Santé-Social 36
37. Pour autant:
Des réflexions qui imposent aux secteurs concernés de
faire le point sur leurs activités et les prestations servies
aux usagers
Des réflexions qui font émerger un besoin de
professionnalisation des équipes des ESSMS:
En matière de gestion financière: comptabilité
analytique, EPRD, CPOM…
En matière organisationnelle
En matière de système d’information et de gestion
En matière de management: accompagnement
des équipes face au changement => impacts forts
sur le rôle du manager.
Pôle Santé-Social 37
38. 38
Le projet de loi de décentralisation
Service Social et médico-social
39. Un projet de loi attendu initialement pour l’année 2013 :
Pour une mise en œuvre le 1er janvier 2015?
Blocs de compétences transférées: régions et
départements.
Un projet en cours de concertation sur deux sujets majeurs
pour le secteur SMS:
Les MDPH: compétence exclusive des départements
Les ESAT: transfert de leur gestion et de leur
financement aux départements.
S’agissant d’autres compétences:
Formation professionnelle et apprentissage: régions
Transports, notamment ferroviaire: régions…
Pôle Santé-Social 39
40. Impact sur les organisations à ce stade difficile à évaluer,
faute de contours définis de la réforme.
Toutefois, force est de constater que la recomposition du
secteur s’accélère:
Dans un avenir proche, les institutions auront à gérer des
tensions financières qui impacteront nécessairement
l’accompagnement des personnes et l’organisation du
travail:
Réduction des taux d’encadrement, révision des
amplitudes horaires d’ouverture, travail en plate-
forme pluri gestionnaires…
Il faut d’ores et déjà penser les modes
d’accompagnement de demain et travailler en synergie
avec les acteurs d’un territoire.
Et s’adapter aux exigences en matière d’organisation.
Pôle Santé-Social 40