2. Article 5
L'offre publique de soins en mode fixe est composée des
quatre réseaux d'établissements de santé suivants:
Le réseau des établissements de soins de santé primaires
(RESSP) ;
Le réseau hospitalier (RH) ;
Le réseau intégré des soins d'urgence médicale (RISUM) ;
Le réseau des établissements médico-sociaux (REMS).
L'offre publique de soins comprend en outre des structures
spécialisées d'appui aux réseaux précités ainsi que des
installations de santé mobiles.
3. Article 39
Le réseau des établissements de santé médico-sociaux est
destiné à la prise en charge médicale avec un
accompagnement social des personnes à besoins spécifiques.
Les prestations de soins fournies par ce réseau peuvent être
rendues avec ou sans hébergement.
4. Article 40
Le réseau des établissements médico-sociaux est
composé des :
Centres dits «Espaces Santé-Jeunes » ;
Centres de rééducation physique, d'orthoptie et
d'orthophonie ;
Centres d'appareillage orthopédique ;
Centres d'addictologie ;
Centres médico-universitaires ;
Centres de soins palliatifs.
5.
6. Au niveau international, il existe plusieurs types de structures
sanitaires, dédiées à la population estudiantine, qui offrent
gratuitement des services accessibles et adaptés en matière de
prévention et de promotion de la santé à savoir :
Service de santé universitaire (SSU)
Unité de médecine préventive (UMP)
Service universitaire ou interuniversitaire de médecine
préventive et de promotion de la santé (SUMPPS)
Centre Médico-Universitaire(CMU)
Centre de santé médico-psycho-social(CMPS)
7. Objectifs des CMU :
Protéger et promouvoir la santé des étudiants afin qu’ils
puissent suivre leurs études dans les meilleures conditions
physiques, psychiques et sociales à travers les prestations
suivantes :
Visite médicale systématique;
Visite médicale à la demande;
Soins infirmiers;
Contrôle d’hygiène et de salubrité;
Éducation sanitaire;
Écoute et conseil ;
Assistance sociale.
8. La couverture sanitaire en milieu universitaire est régit par la
convention de partenariat conclue entre le Ministère de la
Santé et le Ministère de l’Enseignement Supérieur et qui
définie le rôle et les attributions de chaque partie à savoir :
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur est chargé de
Créer des CMU au sein des établissements universitaires, de
les équiper et de les doter en médicaments.
Le Ministère de la Santé est chargé de:
Affecter du personnel médical et para médical pour assurer
une couverture sanitaire telle que dictée par le PNSSU et
conformément à la convention de partenariat signée entre
les deux parties.
9. Les normes d’implantation des CMU par ville universitaire
sont fonction des effectifs des étudiants, du nombre
d’établissements universitaires et de l’existence ou pas de
cité universitaire, Ces normes sont comme suit:
01 CMU par cité universitaire;
01 CMU pour 8000 à 10 000 étudiants.
10. Les CMU sont des structures accessibles aux étudiants gratuitement créées au
sein des établissements universitaires et équipées et dotées en médicaments par
le MES.
Le personnel médical et paramédical affecté à temps plein par le Ministère de
la Santé, dans ces structures, offrent des prestations de prévention et de
promotion de santé, conformément aux termes de la convention de partenariat
conclue entre les deux départements, à savoir :
Visite médicale systématique;
Consultations à la demande;
Soins infirmiers;
Contrôle d’hygiène et assainissement;
Écoute et conseil;
Information et sensibilisation.
11.
12. Importance de la population des jeunes
18% (15-24 ans)
29% (10-24 ans)
Exposition à :
Problèmes de santé physique et des souffrances psychiques
Comportements à risque (tabagismes, drogues, Rapports sexuels non
protégé, sédentarité, alimentation…)
Facteurs de vulnérabilité
Déficit informationnel et en services pour maintenir et promouvoir le
capital santé chez les jeunes
Population à fort potentiel exploitable y compris en matière
de promotion de la santé
13. La question de la santé des jeunes et plus particulièrement « les
services de santé » figure dans les agendas des pays et des
organisations des NU depuis la Conférence Internationale sur la
Population et le Développement.
Depuis lors, certaines agences des NU ont déployé des efforts
pour réussir l’intégration de ces services dans l’offre et la
promotion de la santé des jeunes et ont appuyé les pays pour
leur implantation.
14. Consistance des interventions de
promotion de la santé des jeunes
Information et compétences de vie
Services de santé et de conseil
Environnement sain
Opportunités de contribution et de
participation
Disposer de l’information stratégique
en rapport avec la santé des jeunes
Elaborer ou appuyer les politiques
favorables à la santé
Mettre en place des services
Renforcer les capacité des PS et
autres intervenants
Positionnement du secteur
de la santé
1995
Selon les recommandations d’un rapport d’experts inter
agences (OMS, UNICEF, UNFPA), les services de santé dédiés
aux jeunes constituent une composante essentielle des
actions de promotion de leur santé. Le secteur de la santé à
un rôle central dans leur mise en œuvre.
15. L’OMS a fourni un appui considérable pour aider les pays à
développer des services de santé pour les jeunes
notamment en matière de normalisation, de protocoles, de
contenus et d’outils de formation des professionnels de santé
16. L’UNFPA a aussi contribué à standardiser et à appuyer les
pays pour l’implantation des services de santé amis des
jeunes « youth freindly health services » dans le domaine
de la SSR.
Dans la plus part des pays ayant des structures de santé
dédiées aux jeunes, ces services sont implantés dans le
réseaux des Soins de Santé Primaires
Beaucoup de pays ont orienté la mission et les prestations
vers la SSR
17. C’est une réponse à la doléance des jeunes d’avoir des services
de santé dédiés à eux (Consultation des jeunes par le Ministère
de la santé, 2003)
Les ESJ s’inscrivent dans le cadre d’une Stratégie Nationale après
une phase pilote.
La mission des ESJ approche la santé dans sa globalité (SSR,
Santé mentale, modes de vie sain…)
Ces structures ont été accompagnées par des actions de
standardisation, de développement de contenus, de formation,
…
Leur évaluation en 2010 à affirmer leur pertinence
Certaines structures ont été crées avec l’appui de l’INDH
18. Critères d’implantation
Un ESJ est assimilé à un centre de santé urbain de
deuxième niveau.
Un ESJ pour 50 000 habitants ;
01 ESJ/Province pour les provinces qui comptent
moins de 50 000 habitants.
19. Mission
Contribuer à la promotion de la santé des jeunes de 10 à 25 ans en leur offrant
des services accessibles et adaptés en matière d’écoute, de conseil,
d’accompagnement psychosocial, de prise en charge et d’orientation médicale
et psychologique y compris dans le domaine de la santé sexuelle et reproductive
et de la lutte contre les addictions.
Accueil,
Consultation médicale
Écoute/conseil
Espace animation pour la santé et accès à l’information
Consultation de psychologie (régulière au niveau de l’ESJ)
Consultations spécialisées :
• Sur RDV au niveau de l’ESJ (spécialités les plus demandées)
• Référence (autres)
Prestations permanentes
Prestations sur RDV
20. Quatre à six salles
Personnel médical et paramédical :
Médecin généraliste (PT)
Médecins spécialistes (MT)
Médecin dentiste (PT)
Infirmier (PT)
Assistante sociale ou toute autre personne formée à l’écoute
(MT)
Psychologue (MT)
Equipements (médico technique, bureautique, didactique)
21.
22.
23. Selon l’OMS, la réhabilitation des personnes handicapées est «un
dispositif leur permettant d'atteindre et de garder leurs niveaux
fonctionnels physique, sensoriel, intellectuel, psychologique et
social» ; ce dispositif comprend les outils nécessaires à leur
autonomie (Source: www.who.int, relu le 25 septembre 2013).
Différentes formes: Médicale (Médecine Physique et de la
Réadaptation: MPR) Médicosocial et Social.
La réhabilitation médicale et médicosociale a pour finalité de
permettre aux personnes présentant des déficiences, incapacités
ou handicap, leur réinsertion socioprofessionnelle dans une
logique de « projet de vie individuel ».
24. En France, les prestations de la réhabilitation: rééducation
(orthophonie, psychomotricité, orthoptie, kinésithérapie et
ergothérapie) et l’appareillage orthopédique sont assurées
par les services et établissements relevant du:
Schéma Régional d’Organisation Médicosocial, à travers
des centres polyvalents et spécialisés ;
Schéma Régional des soins, à travers les soins de suite de
réadaptation (SSR).
25. Schéma Régional Médicosocial (SROMS)
Loi: 2009-879/Ch4/Section 3
Missions:
1. Apprécie les besoins de prévention, d'accompagnement
et de prise en charge médico-sociale;
2. Détermine l'évolution de l'offre médico-sociale tenant
compte de l'offre sanitaire, sociale et MS existante, et des
besoins de formation, de sa répartition et des conditions
d'accès;
3. Précise les modalités de coopération des acteurs de l'offre
sanitaire, sociale et médico-sociale.
26. Schéma Régional Médicosocial (SROMS)
Est arrêté par le Conseil Général de la Région et l’Agence
Régional de la Santé, tenant compte de:
Besoins spécifiquement régionaux conformément au Plan
Stratégique Régional de la Santé;
Evolution démographique, épidémiologique, et socioéconomique.
Les établissements et Services Médicosociaux du SROMS sont
publics et privés à but lucratif ou non lucratif.
27. Les Centres d’Action Médicosociale Précoce (CAMSP) Loi
N°75-534 du 30 juin 1975
Cinq rôles majeurs :
1. Dépistage et diagnostic précoce des déficits ou troubles;
(Autisme,…);
2. Prévention et réduction des déficiences, des incapacités et du
handicap;
3. Rééducation précoce et Cure ambulatoire,
4. Accompagnement et soutien des familles lors du processus de
révélation du handicap et dans la mise en œuvre des soins et des
actions éducatives requis par l’état de l’enfant;
5. Soutien à l’accès aux lieux de la petite enfance et à la scolarité.
28. Les Centres d’Action Médicosociale Précoce
(CAMSP) Loi N°75-534 du 30 juin 1975
Public cible: Enfants de moins de 6 ans atteints d’un handicap
sensoriel, moteur ou mental, ou présentant un risque de
développer un handicap;
Se situent à l’interface du secteur sanitaire (maternités,
services de néonatologie, pédiatrie, structures scolaires
….etc) et du secteur médico-social;
Vocation polyvalente (s’adresse à tous les types du handicaps);
Certains sont spécialisés : les enfants sourds, centré
périnatalogie,….etc.
Gestion par un conseil d’administration.
29. Situation au Canada
Les établissements médicosociaux sont pareil à ceux en
France. Ils sont polyvalents ou spécialisés.
Sont gérés par la communauté;
Bénéficient de la subvention de l’Etat.
30. 1. Centres Intégrés Régionaux d’Appareillage orthopédique et de
Rééducation (CIRAR):
◦ Nombre existants: 15
◦ Lieu d’implantation: CHR
◦ Consistance : Unités de Rééducation (Kinésithérapie, Orthophonie,
Orthoptie et Psychomotricité) et un Atelier d’appareillage orthopédique.
2. Centres Intégrés de Rééducation (CIR):
◦ Nombre existants: 09 dont 08 sont intégrés dans les CIRAR
◦ Lieu implantation: CHP
◦ Consistance: Unités de Rééducation (Kinésithérapie, Orthophonie, Orthoptie
et Psychomotricité)
3. Service de Médecine Physique et de Réadaptation (SMPR):
◦ Nombre existants: 3
◦ Lieu implantation: CHU (Fès, Ibn Rochd Casablanca et Oujda)
4. Salles de Kinésithérapie avec + ou – Orthophonie implantées au
niveau des structures hospitalières et les Centres de Santé.
31. Généralisation des Services de Médecine Physique et de
Réadaptation au niveau des CHU et des CHR lointains
pour la prise en charge des handicaps lourds (IMC,
Polyhandicapés, …);
Extension des centres intégrés de rééducation et
d’appareillage orthopédiques (CIRAR) au niveau des
régions non couvertes (RSZZ, Oued Eddahab et Chaouia
Ourdigha)
Intégration des prestations de rééducation fonctionnelle
dans les établissements de soins de santé de base
(Désignation d’un point focal au niveau des DRS et
Délégations préfectoraux et Provinciaux de Santé;
Mise en place d’une filière de soins de réadaptation;
31
32. Densité de la population
Prévalence du handicap
Fréquence de la morbidité liée aux suites des affections de
l’appareil locomoteur, neurologique, Ophtalmologique, ORL,
respiratoire, des brulés, ainsi qu’à l’évolution des maladies
chroniques…etc ;
Vieillissement de la population;
Existence de facteurs de risque: zone à risque de catastrophes
naturelles, industrielle, accidents routières;
Existence au niveau territorial d’autres centres de
rééducation relevant des autres départements
institutionnels, des associations et du secteur privé.
33. Trois zones:
─Zone patient (76 m2): Accueil, attente, consultation, Gymnase (salle de
marche), salle de prise de mesures (Moulage), salle d’essayage;
─ Zone personnel (184 m2): Bureau de l’équipe, vestiaires;
─ Zone de fabrication (240 m2) implantée au Rez-de-Chaussé respectant les
normes de sécurité: salle de plâtre, salle de montage, salle de machines,
thermoformage, salle de résine, et magasin.
Superficie( minimum) : 520 m2
Système de ventilation obligatoire au niveau des salles (de résine et de thermoformage)
Respect des normes de la loi 10-03 relative à l’accessibilité.
34. Ressources humaines Normes
Médecins spécialistes en médecine physique
et réadaptation
1
Kinésithérapeutes 1 à 2
Orthoprothésistes 4 à 6
Personnels administratifs :
Econome,
statisticien,
secrétaire,
Magasinier
1
1 à 2
2
1
35. Désignation Surface Utile
(m2)
Unité d’accueil et de consultation 119
Unité de kinésithérapie 113
Unité d’orthophonie 24
Unité de psychomotricité 12
Unité d’orthoptie 24
Unité Communes 82
Total 374
Profil Normes
Médecins spécialistes en médecine physique et réadaptation 1
Kinésithérapeutes 4 à 5
Orthophonistes 2 à 3
Orthoptistes 2 à 3
Psychomotriciens 2 à 3
Personnels administratifs :
Econome,
statisticien,
secrétaire,
1
1 à 2
1
36.
37. Addiction: « Etat de dépendance périodique ou chronique
à des substances ou à des comportements". (OMS)
Maladies complexes, multifactorielle, d’évolution
chronique, marquées par un taux élevé de rechute
(neurobiologique, environnementale et psychologique,..)
Conséquences sanitaires (VIH, Hépatites), sociales,
économiques et légales (violence, pauvreté , perte
d’emploi, ..)
38. Usage de substances psychoactives: 4,1%
Abus de substances: 3%
Dépendance aux substances: 2,8 %
Abus d’alcool: 2%
Dépendance alcoolique: 1,4%
Enquête nationale en population générale (>=15 ans)
(2003 - 2005)
39. 3
9
Benchmark
France:
Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en
addictologie (CSAPA) qui offrent:
Accueil, information, évaluation médicale, psychologique et
sociale.
Orientation de toute personne ayant des difficultés du fait
d’une addiction.
40. 4
0
Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en
addictologie (CSAPA):
Ces structures s’adressent généralement aux personnes
préoccupées par leurs consommations à risques, abusives et/ou
problématiques de substances psycho-actives, licites ou non, y
compris tabac et médicaments détournés de leur usage habituel.
leur mission s'étend également aux personnes souffrant
d'addictions sans substance, comme le jeu pathologique, les
troubles des conduites alimentaires... Il accueille également toute
personne (famille, parent, proche...) en interrogation ou en
difficulté par rapport à la consommation de produits ou le
comportement addictif d'un proche.
Benchmark
41. 4
1
CRITERES D’IMPLANTATION
Taux de prévalence de l’usage et des dépendances
élevés
Sur la base d’ « évaluations rapides » de situations
Tendances à l’augmentation de l’usage de drogues
42. S’intègre dans le cadre de la Stratégie de Lutte contre les
Addictions dont l’objectif est de contribuer à atteindre un niveau
élevé de protection en terme de santé publique, de sécurité
publique et de cohésion sociale
Statut : Partenariat entre la Fondation Mohammed V pour la
Solidarité, le Ministère de la Santé, et le Ministère de l’Intérieur.
Objectifs : les centres d’addictologie s’inscrivent dans le cadre
de l’amélioration de l’accessibilité aux structures de prise en
charge des Usagers de Drogues (UD)
43. La réduction de la demande basée essentiellement sur
l’information, la sensibilisation et l’éducation
La prise en charge des usagers de drogues consultations
ambulatoires en matière d'addictions, un suivi
thérapeutique des patients et orientation vers les
structures hospitalières et de sevrage
La réduction des risques de contamination de VIH et
hépatites liée à la consommation des drogues
injectables via l'unité "bas seuil d’exigence" et l'unité
mobile
Appui psychosocial et accompagnement communautaire
des UD
44.
45. Le pôle médical :
Consultations et orientation : addictologie, psychiatrie et
psychologie
Orientation au besoin, aux structures hospitalières
spécialisées
Activités de psychomotricité
Psychothérapie de groupe pour les personnes addictes
traitées et suivis
Soins infirmiers de base
Le traitement de substitution à la méthadone
Gestion et coordination des activités
46. Pôle d’accompagnement communautaire :
L’Unité Fixe :
Accueil : réception, information, conseil et orientation des usagers
de drogues et de leurs familles.
Prestations de convivialité (Espace de convivialité) : douche, lavage
de vêtements, collations, café, télévision, séances de discussions
thématiques.
Activités préventives :
Information et orientation des usagers, dépistage des infections :
VIH et Hépatites
Ateliers de sensibilisation aux risques liés à l’usage des drogues :
information, éducation et communication,
Conception et production de supports d’information et de
sensibilisation : journal des usagers, dépliants et affiches, guide
de sensibilisation (usagers et grand public).
47. Pôle d’accompagnement communautaire :
L’Unité Fixe (suite):
Accompagnement et appui aux groupes d’auto-support :
sessions de travail auprès des usagers de drogues pairs.
Activité psycho-éducatives : activités occupationnelles ludiques
et culturelles : ateliers peinture, musique, poésie, théâtre, photo,
recherche internet, projection de films de divertissement, socio
éducatifs et informatifs.
Activités de formation et d’appui à la réinsertion socio-
professionnelle : informatique, jardinage, langues
(développement de partenariats..).
48. Pôle d’accompagnement communautaire :
L’Unité mobile :
Information et sensibilisation sur les risques des usagers de
drogues marginalisés au niveau des squats,
Orientation des usagers vers l’unité mobile et les services
concernés
Fourniture de moyens de prévention (seringues, matériels de
consommation)
Dépistage des infections : VIH et hépatites.
Logistique : 01 véhicule par unité mobile
49. Pôle Profil Nb Observation
Médical
Psychiatre addictologue 01 Assure la direction du centre
Médecin addictologue 01 Addictologie
Médecin généraliste 01
Assistante sociale 01
infirmier 04 Assurent aussi le programme
de substitution à la
méthadone
Psychomotricien 01
Psychologue 01
Agent de sécurité 01
Agent de service 01
50. Pôle Profil Nb Observation
Communautaire
Coordinateur
Salariés de l’association
ou bénévoles
Intervenants sur le terrain
Animateurs
Aide social
Chargée de la communication
Intervenant (Fixe)
Personnel et agents d’appui.