I just published Le Radeau de la COVID qui radote. En Auvergne c'est la montagne et les volcans, les vaches et le maïs, le tournesol et le colza, et pas mal de moutons. Tout compté il y a un habitants pour au moins dix bêtes domestiques. Et les sauvages? On parle d'inscrire les moutons dans les écoles pour garder les classes ouvertes. Le Rectorat aurait répondu que les enseignants seraient alors rermplacés par des vaches pour parachever la féminisation du corps enseignant. Les parents protestent et exige de garder un corps enseignant au moins humanisé en même temps qu'immunisé car le COVID-19 rode toujours du côté de Rodez. Ils veulent garder les deux mamelles de l'Éducation Nationale entières et productrices, les élèves dans les classes et les enseignantes collées en post-it sur les tableaux noirs. Imaginez ce que cela donne quand ces bambins et bambines deviennent presque adultes vers 15 ans, grand max. Du gibier de supermarché et de smartphone. C'est tout dire et ne hjamais en finir avec la délinquance car ils sont des proies faciles pour les roublards interlopes qui errent dans les ruelles sde nos villes acharnées à oublier le mal pour simplement s'en donner à coeur joie sur un ballon rond - parfois ovale.
EXTRAIT du roman « Zykë l'Aventure » de Thierry PoncetTaurnada
4e de couverture : Au fond d'un PMU de la rue du Faubourg-Saint-Martin, je tends le texte d'une de mes nouvelles à l'aventurier de la mine d'or. Il lit les premières lignes et déclare : « C'est toi » comme il cracherait deux écorces de graines de tournesol. Il aurait pu dire : « Je viens de décider de t'emmener avec moi, aussi ton destin va-t-il basculer dans les minutes qui suivent, tu vas connaître le monde entier, les grandes ivresses, le sexe, l'amour et le danger, et tu vas devenir écrivain d'une manière que tu n'aurais jamais imaginé. » Mais non. Juste : « C'est toi. » L'incroyable odyssée autour du monde, au sommet du succès littéraire et au cœur de l'amitié de deux hommes que tout oppose. Un récit trépidant et truculent, dur et drôle, invraisemblable et vrai : inlâchable.
EXTRAIT du roman « Zykë l'Aventure » de Thierry PoncetTaurnada
4e de couverture : Au fond d'un PMU de la rue du Faubourg-Saint-Martin, je tends le texte d'une de mes nouvelles à l'aventurier de la mine d'or. Il lit les premières lignes et déclare : « C'est toi » comme il cracherait deux écorces de graines de tournesol. Il aurait pu dire : « Je viens de décider de t'emmener avec moi, aussi ton destin va-t-il basculer dans les minutes qui suivent, tu vas connaître le monde entier, les grandes ivresses, le sexe, l'amour et le danger, et tu vas devenir écrivain d'une manière que tu n'aurais jamais imaginé. » Mais non. Juste : « C'est toi. » L'incroyable odyssée autour du monde, au sommet du succès littéraire et au cœur de l'amitié de deux hommes que tout oppose. Un récit trépidant et truculent, dur et drôle, invraisemblable et vrai : inlâchable.
Pendant toute une soirée, venez déambuler dans le quartier du Viaduc des Arts et de la Coulée verte à la découverte d’auteurs de 19 pays et de l’une de leurs oeuvres en français ou en traduction française. Chaque auteur invité, accompagné d’un/e comédien/ne francophone et parfois du traducteur / de la traductrice , investit un lieu du quartier du Viaduc des Arts, de 17h à 23h pour une série de 6 lectures / rencontres de 40 minutes environ.
Ainsi les 19 auteurs investissent 17 lieux.
Les lectures commencent simultanément au début de chaque heure : 17h, 18h, 19h, 20h, 21h et 22h.
À vous de faire votre propre parcours, à la découverte de la littérature du monde !
Chaque heure se déroulera comme suit :
✔ 15-20 mn de lecture
✔ 15-20 mn de discussion entre le public, l’auteur, le traducteur/la traductrice et le/la comédien/ne
✔ ensuite vous êtes invités à vous déplacer dans un autre lieu pour la prochaine lecture.
L’entrée est libre et dans la limite des places disponibles.
Il est important de bien respecter les horaires (les lectures commencent à l’heure précise) afin d’assurer le bon déroulement de la manifestation.
Si la faim progresse pendant les décennies à venir, s’il n’y a plus d’amour l’apocalypse est aux portes du monde.
Dans cette période à venir Pierre Vincent ingénieur dans une multinationale livre un combat industriel pour faire régresser la faim. Arrivera-t-il à son but au milieu des embûches de la politique, du capitalisme forcené et de sa propre passion pour Nike la belle Africaine.
Une aventure qui va vous guider à travers l’Afrique et le reste du monde et nous conduire à l’Apocalypse...
Sélection top 100 des libraires ensemble Rentrée littéraire 2018
Retrouver ce guide gratuitement en librairie et sur notre site :
https://www.librairiemartelle.com/228-a-la-une-s-il-n-en-restait-que-100.html
When the Ephemeral that Lasts Endlessly Ends up Creatively FamishedEditions La Dondaine
I knew them from 1976 to 1995 when I finally migrated to our Central Mountains and Auvergne. They were a tremendous experience. They were able to make music speak and laugh and they moved Carmen, the opera, of course, dumb ass! Picmuche and Poupinou were for me the perfect extraterrestrial neighborly pair if not a couple of clowns. Now that Gilles Defacques is gone, are they still going to wait for the coming of some God? Probably because clowns always stick to their antics. And they have, had, and will always have plenty of tricks in their pockets, and if not in their pockets probably in their shoes, socks, but beware the hats: they always hide some deadly weapons of general laughter there, laughing louse that is ready to jump onto you just like fleas on a famished dog.
560 nouveaux Romans et Essais "seulement" pour cette rentrée et nous remercions les éditeurs d'avoir légèrement abaissé leur production mais c'est une tradition bien française et notre petit catalogue se veut à guide à travers ce nouveau cru de la rentrée littéraire 2016. Il y en a 560 que nous aurons tous en stock dès que le dernier sera paru mais nous vous ne proposons 100 comme véritablement incontournables.
100 livres sélectionnés par des libraires indépendants (Les Libraires Ensemble) et leurs équipes.
Merci aux auteurs qui cette année encore nous régalent de créativité et aux éditeurs de leur permettre de rayonner....
I just published Tout est Grivois à la Montagne. La vérité sort de la bouche des enfants et dans la montagne la joie de vivre est de rigueur, en dansant dans la forêt et en se roulant dans la neige. Vaste d'ambulatoire forestier. Rien ne saurait arrêter le plaisir, même pas les chevreuils curieux ni les sangliers hopstiles, alors ne parlons pas des renards et des lapins.
Les jeux sont faits et les lits sont défaits. Rien ne va plus dans cet entre-deux. D'un côté la poésie. De l'autre la turpitude sociale, culturelle et S*******. La censure des mots sensibles est naturelle dans notre société de liberté. La version ici est non censurée et étendue par rapport à la version sur les sites vendeurs. Ici on peut appeler un appendce pénien par son simple nom de pénis et arrêter de parler du pen-club de l'amour ou du penne de la serrure virginale ou du Le Pen de la virilité frivole et lubrique, azvec ou sans jeu de mot sur les articles bégayants en genre comme le Le pen ou la Le Pen. C'est plus simple en anglais, The Pen and that's all.
Pendant toute une soirée, venez déambuler dans le quartier du Viaduc des Arts et de la Coulée verte à la découverte d’auteurs de 19 pays et de l’une de leurs oeuvres en français ou en traduction française. Chaque auteur invité, accompagné d’un/e comédien/ne francophone et parfois du traducteur / de la traductrice , investit un lieu du quartier du Viaduc des Arts, de 17h à 23h pour une série de 6 lectures / rencontres de 40 minutes environ.
Ainsi les 19 auteurs investissent 17 lieux.
Les lectures commencent simultanément au début de chaque heure : 17h, 18h, 19h, 20h, 21h et 22h.
À vous de faire votre propre parcours, à la découverte de la littérature du monde !
Chaque heure se déroulera comme suit :
✔ 15-20 mn de lecture
✔ 15-20 mn de discussion entre le public, l’auteur, le traducteur/la traductrice et le/la comédien/ne
✔ ensuite vous êtes invités à vous déplacer dans un autre lieu pour la prochaine lecture.
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Si la faim progresse pendant les décennies à venir, s’il n’y a plus d’amour l’apocalypse est aux portes du monde.
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Une aventure qui va vous guider à travers l’Afrique et le reste du monde et nous conduire à l’Apocalypse...
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When the Ephemeral that Lasts Endlessly Ends up Creatively FamishedEditions La Dondaine
I knew them from 1976 to 1995 when I finally migrated to our Central Mountains and Auvergne. They were a tremendous experience. They were able to make music speak and laugh and they moved Carmen, the opera, of course, dumb ass! Picmuche and Poupinou were for me the perfect extraterrestrial neighborly pair if not a couple of clowns. Now that Gilles Defacques is gone, are they still going to wait for the coming of some God? Probably because clowns always stick to their antics. And they have, had, and will always have plenty of tricks in their pockets, and if not in their pockets probably in their shoes, socks, but beware the hats: they always hide some deadly weapons of general laughter there, laughing louse that is ready to jump onto you just like fleas on a famished dog.
560 nouveaux Romans et Essais "seulement" pour cette rentrée et nous remercions les éditeurs d'avoir légèrement abaissé leur production mais c'est une tradition bien française et notre petit catalogue se veut à guide à travers ce nouveau cru de la rentrée littéraire 2016. Il y en a 560 que nous aurons tous en stock dès que le dernier sera paru mais nous vous ne proposons 100 comme véritablement incontournables.
100 livres sélectionnés par des libraires indépendants (Les Libraires Ensemble) et leurs équipes.
Merci aux auteurs qui cette année encore nous régalent de créativité et aux éditeurs de leur permettre de rayonner....
I just published Tout est Grivois à la Montagne. La vérité sort de la bouche des enfants et dans la montagne la joie de vivre est de rigueur, en dansant dans la forêt et en se roulant dans la neige. Vaste d'ambulatoire forestier. Rien ne saurait arrêter le plaisir, même pas les chevreuils curieux ni les sangliers hopstiles, alors ne parlons pas des renards et des lapins.
Les jeux sont faits et les lits sont défaits. Rien ne va plus dans cet entre-deux. D'un côté la poésie. De l'autre la turpitude sociale, culturelle et S*******. La censure des mots sensibles est naturelle dans notre société de liberté. La version ici est non censurée et étendue par rapport à la version sur les sites vendeurs. Ici on peut appeler un appendce pénien par son simple nom de pénis et arrêter de parler du pen-club de l'amour ou du penne de la serrure virginale ou du Le Pen de la virilité frivole et lubrique, azvec ou sans jeu de mot sur les articles bégayants en genre comme le Le pen ou la Le Pen. C'est plus simple en anglais, The Pen and that's all.
The piano is a 19th-century evolution of an older pianoforte that Beethoven tolerated or suffered from but probably hearing in his deafness the modern piano. Technically it was a revolution after the harpsichord and of course, all the organs going back to medieval times. For us in the West, the modern piano is Pleyel first in Aulteribe for George Onslow and the three days festival in September every year. The auditorium Salle Pleyel in Paris is connected to this brand of piano and is extremely vertical since this Pleyel piano was still sort of weak when compared to the present concert pianos we use. Then other brands will come, and playing on a Pleyel or a more recent brand name may be very different. Every year the pianists who take part in the Aulteribe Festival say it abundantly. It takes them one or two months to just learn how to use a Pleyel piano from the 1820-1830s. But the piano has become the most famous star of all concert halls and other large audience musical events.
In this piano revolution, salon music, music for the few well-off families and aristocrats plus their friends and relatives in their private but grandiose homes became a habit and this enabled women, I mean girls, to practice early with a piano teacher and quite a few could have become interesting performers or composers, but only very few did achieve anything in their life and yet after their death, they went back to the memorized oblivion of non-existence. When their scores had been kept by their families or some friends, we can today start rediscovering their music and we can also wonder what freedom and creativity they were allowed to develop and demonstrate in their very limited experience and performing life.
« Laurent Mathoux livre un roman décapant sur fond de satire sociale. Il nourrit son récit de personnages pittoresques et truculents. Son style est à la croisée des chemins entre Tar[a]ntino et Mr Bean. » Dixit l’auteur qui se croit descendre de la cuisse de Charlie Chaplin. Mais tartinons comme on peut avec les baked beans de quelque pub londonien
Pas mal du tout, mais plutôt creux comme quand il faut creuser un peu pour voir la lumière de l’enfer sous nos pieds. Truculents ? Vraiment ? Le Malik est plutôt succulent, dixit ou dixeunt trois putes dont une plutôt travestie. La Clémence est plutôt mal embouchée si j’en crois son lexique courant par temps de crise. Le Tony, le Gitan local, est plutôt pas trop branché sexe mais plutôt branchés sur les bites d’amarrage en acier que nos villes utilisent pour empêcher le parking ou parkage sauvage. L’Amadou , c’est le pied, Mbote et Botikala Malamu. Il est noir comme la nuit et il se fait des trous noirs dans la journée. Une étoile, quoi. Les autres sont des comparses qui ne font que figurer dans les marges, surtout les marges de la drogue, de l’alcool et de je ne sais quelle prostitution.
Plus que de la satire sociale nous avons là un simple cas de surexploitation satyrique ou satyridienne, avec l’y-grec essentiel, d’un Gitan, d’un Maghrébin, d’un Malien et d’une aveugle de naissance comme c’est pas possible par l’Éducation Nationale et ses classes Ulis, vous savez « Heureux qui comme Ulis a fait un long détour par Saint Flour et la Margeride ». Il en est même revenu avec une toison d’or. Superbe Jason en tenue d’Adam dans ce capharnaüm.
Eh Ben Ça Alors ! C’est du tout cuit sur canapé de crudités à déguster avec parcimonie tout en se gardant de provoquer une quelconque éruption verbale intempestive. Que veut dire « ejaculare » en Latin. Rien de bien différent de volubilité inexhaustive.
This CD has just come out and to miss it would be a crime, a divine crime maèybe, but a crime anyway. The two artists, the guitarist and the countertenor are singing love in many forms, but always leading to separation, an end, death even when the Erlkönig interferes with life. No love can stop that lethal deadly companion carried by the wind. It is a tremendous pleasure to hear that Lied again after so many years gone by since my high school time when I learned how to speak it out, in its original German of course. I was 15 or 16, the ripe age to fall in love with the bitter-sweet pleasure of all the senses experiencing blissful ecstasy.
Bernard Marr just published Generative AI in Practice (1), which brings together the matter he has been dealing with on his blogs: Artificial Intelligence from the simple practical point of view of a user along with a systematic question about what can the consequences be for the various jobs these users have? But the book is always schematic when it shows the negative consequences will not compare with the positive consequences, though bad or good, they will require a lot of changes in the way we work, the jobs available, and the mindset of the users.
Bernard Marr does not insist so much on the negative sides of GenAI, but he does list them, particularly all sorts of cheating by using GenAI to replace one’s own writing work, all types of misuse of the intellectual property of such mechanical production of text, images, videos or any other copyrightable product that the user presents as his/her own.
But he does not enter the details, and thus he remains superficial. The problems of misinformation, hallucination, and bias are a lot less important, even with deep fakes, though Bernard Marr remains superficial on such dangers. He considers these GenAI products more like patentable or trademark problems, which they are but that’s the only side or point of view of the businesses using this technology.
At the present moment, lawsuits are emerging on the Intellectual Property front with people getting ready to go to court for unauthorized use of protected data and items within LLMs, or the use of voices, slightly synthesized (hence plagiarism and plain theft) as commercial products sold with an unshared profit. I will concentrate, in the second part, on chapter 10 on education to enter some details I know from the practice of self-learning at many levels of the educational system. (2)
Les Arts en Balade in Clermont-Ferrand this month of May 2024 were a success because they expanded to two cities outside Clermont conurbation, Thiers and Vic-Le-Comte, there were many people everywhere, there were 240+ artists or groups in about the same number of places: public spaces dedicated for such events, supportive professional institutions like the Order of Lawyers and the Order of Architects, many stores of all sorts opening their businesses to one or two artists, and also many apartments in the city transformed into workshops where artists could present their work. They were also a success because they lasted four days and were just as dense on Friday, May 17 as on the three following days up to Monday, May 20. Note the case of Michelin who opened their conference rooms and galleries in their Headquarters to three artists with a very good service guiding the visitors and making feel, equally at ease, the audience and the works of art, even from some green challenge declared to be ecological. Thank God we are not in the Orsay Museum of Le Louvre
This complete covering of the event I was able to work on, plus some suggestions for further development and opening to other arts than only plastic arts inside exhibition rooms or halls and on portable media. The opinions and tips are just mine of course, not those of an Artificial Intelligence requested to caress the wild artistic animals of this event smoothly and avoid ruffling their hairs. I apologize if some find it slightly rough at times. Arts are often harsh, and thus critics have to be harsh too. To critically cover an art exhibition is a love affair, and as they say in French, we could pretend that good lovers are also good at chastising those they love.
Les Arts en Balade à Clermont-Ferrand ce mois de mai 2024 ont été un succès car ils se sont étendus à deux villes hors agglomération clermontoise, Thiers et Vic-Le-Comte, il y avait beaucoup de monde partout, il y avait plus de 240 artistes ou groupes dans environ le même nombre de lieux : des espaces publics dédiés à de tels événements, des institutions professionnelles exprimant ainsi leur soutien comme l'Ordre des Avocats et l'Ordre des Architectes, de nombreux magasins en tout genre ouvrant leurs commerces à un ou deux artistes, mais aussi de nombreux appartements en ville transformés en ateliers. où les artistes pouvaient présenter leur travail. Ils furent également une réussite car ils durèrent quatre jours et furent tout aussi denses le vendredi 17 mai que les trois jours suivants jusqu'au lundi 20 mai. A noter le cas de Michelin qui a ouvert ses salles de conférence et d’exposition à son siège social à trois artistes avec un très bon service guidant les visiteurs et faisant sentir, également à l'aise, le public et les œuvres d'art, même de quelque défi vert déclaré écologique. Dieu merci, nous ne sommes pas au Musée d'Orsay ou du Louvre
Ce reportage complet de l'événement sur lequel j'ai pu travailler, ainsi que ...
A novel of political fiction that does not reach science-fiction but wants to tell us a lot about the modern world and what the choices are for us in this decaying future. The pattern, the Gestalt of this book seems to be that no matter what humans try to do, good or bad, progressive or reactionary, democratic or dictatorial, there is no hope and no future for those initiatives. Any attempt at changing the decaying world we live in is doomed to be a failure.
What is history? The production of what happens in our world, in fact, in the cosmos, and no human individual, no human crowd, no human anything can control or change the course of such events. If by any chance we want to understand what makes history, we have to consider billions, maybe trillions of parameters in the cosmos and we, the human dwarves we are, do not even control half a dozen of them and our vanity makes us believe we can command the cosmos because we want to be gods. In the old days and in other civilizations than the Western denied Bible, they were humble enough to give this power to a God that was not of the human species.
Here Salman Rushdie follows a witch bewitched by a goddess who pretends she can create a whole empire from a bag, or rather a sack of seeds, and this leads to a total and pitiful defeat and absolute termination of the attempt, but it means Salman Rushdie is predicting that all the positive elements his witch tries, religious tolerance, education for boys and girls equally, women’s rights, gender-friendly policies, peace and coexistence, and finally freedom of expression are all doomed to fail and crumble as soon as they reach some height. In other words, his novel and his vision are the rewriting of the Babel Tower myth.
Sorry boys and girls, no future for any progressive dream, just as much as for any regressive nightmare. Life and history are neither a dream nor a nightmare. They are nothing but cosmic determinism governed by the cosmos itself, and we can be happy with the fact our world is not in a black hole. But after all, maybe that’s the destiny and fate of humanity, to end up in a bottomless black hole.
This series is very well done, suspenseful, at least as much as possible, twisted and distorted like any crime series should be but unluckily it is biased. It states to anyone who wants to listen that crime has roots in only one thing: family dysfunctioning and nothing else. The fact that society leads some people who do not fit in the standard mold to rebellion, frustration and violence by being biased against them and bullying them all the time and if they want to have contacts with people, they have to go down on their knees and beg for a favor.
That’s too bad because the cases in this rural north Wales area deserve a lot better, and probably, a more open vision of crime in this community.
LA CHAISE-DIEU MÉDIÉVALE & LA RÉVOLUTION BÉNÉDICTINE--MEDIEVAL LA CHAISE-DIEU...Editions La Dondaine
On July 13, 2024, at La Chaise-Dieu, the European Network of Casadean Sites will present a public conference on the topic of the Benedictine Revolution in Livradois-Forez, led by the La Chaise-Dieu Abbaye, starting a bit earlier with the religious reform brought up by Charlemagne in the 9th century. The Abbaye was founded less than 200 years later. The conference will focus the discussion – and it has to be a discussion – on the consequences of the Carolingian religious reform, the agricultural revolution with the invention of the horse collar and the management of the land, the rotation of crops, cultivation, and fertilization. Then the proto-industrial revolution that will bring five types of watermills for grain, oil, tan, hemp (fiber and cloth), and slightly later paper. This will make Livradois-Forez an essential region producing hemp cables and hemp cloth for ships. The first result was 75 days without any work in the year, no work before and after morning and evening angelus, and a pause with midday angelus. The second result was better food and demographical expansion, up to the end of the 13th century.
Then things became darker. Overpopulation brought unrest and all sorts of contests and conflicts at the religious level itself (Crusades in the Middle East, but also against the Cathars in France. Then in 1346, the Black Death, a pandemic in Europe of the bubonic plague, caused a tremendous level of deaths. Then, the One Hundred Years War started in 1337. The resilience of the population enabled Europe in general to go through, and around 1450 the printing press was developed by Gutenberg enabling the printing of books for the highly-needed university training of great numbers of people to bring Europe back on its feet. The Renaissance was the result of this period, a tremendously positive and creative period, and at the same time, a highly-disturbed era with The Reformation, and the religious wars that concerned all countries at a time when nationalism was emerging.
Two speakers-debaters will present the five or six centuries concerned as fast as possible to let the audience debate questions like:
1- The influence and impact of Charlemagne’s religious reform.
2- The feudal system: land ownership and serfdom.
3- The role of technology to produce energy, replace human work, and develop new products.
4- Religious tensions with Avignon and Rome conformist Popes.
5- The role of The Inquisition and religious justice.
6- The fate of the cable industry when Omerin In Ambert is number one in Europe or the world for various high-security and high-technicity cables.
7- The culture: architecture, music, painting, carving, theater, oratorio and opera, literature.
It will take place at LA CHAISE-DIEU – AUDITORIUM GEORGES CZIFFRA
SAMEDI 13 JUILLET 2024 – 14-17 HEURES 30.
The two main speakers so far are Dr Jacques COULARDEAU (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) and PhD Graduate Student Clément GOMY (Université Clermont Auvergne
Xavier Rouard searches and researches the linguistic world, scientific research of course, for the origin, the cradle, the homeland, or the motherland, of Indo-European. He is not the only one in the world, but he goes against practically all the others by positioning this linguistic nursery in Central Asia based on a Eurasian or trans-Eurasian language or languages. But precisely Eurasian languages only came into existence from the moment when syntactic-analytic Indo-Iranian languages left the Iranian plateau where they had stationed themselves when they arrived from Black Africa, some 40,000 years ago, or BCE, not much difference here. They had to go through the Ice Age first and finally get on the move after this climate event probably around 15,000 BCE, some east to the southern Asian continent, with Pakistan and India, others west down into Mesopotamia and from there to Europe. These people, on both side, encountered people who spoke other languages, Turkic agglutinative languages, and isolating Sino-Tibetan languages, mostly. These languages had integrated the Denisovans and their own language(s). Thes encountered people were hybrid Homo Sapiens with a varying proportion of Denisovan DNA in Central Asia, and the same in Mesopotamia with a varying proportion od Neanderthalensis DNA. When they reached Europe, the population was essentially of Turkic language and origin with a varying level of hybridization with European Homo Neanderthalensis. It is such encounters that generated or engendered the various Indo-European or Indo-Aryan languages
My approach is phylogenetic and thus it is absolutely impossible for me not to take into consideration the migrations and geographic, hence social, cultural and linguistic movements of these populations. That’s the basic principle of Joseph Greenberg who considered that all these migrations had only one matrix or melting pot that produced the emergence of human articulated language on the basis of what these emerging Homo Sapiens inherited from the other Hominins from which they were descending.
But Joseph Greenberg and his disciples encountered a problem: in all language you should find a certain number of words whose “roots” are universal and stable in meaning. These are the roots coming from Black Africa before any migration out of Black Africa. The problem is then that it does not enable any topology of languages. So, they, Greenberg and his disciples, tried to introduce “grammatical” or “syntactic” words, but even so it does go that far.
To get somewhere you have to ask the question about the phylogeny of articulated language(s), and there you only find three articulations in a precise order: root-languages (by the way vastly ignored by Xavier Rouard), Isolating character languages, and agglutinative as well as synthetic-analytic languages according to the migrations out of Black Africa. If you do not consider this phylogeny, then you put all sorts of languages together in the melting pot [...}
Three crime series in one entry.
First, The Brokenwood Mysteries; seasons 1 to 3.
Second, The Coroner, Complete Series.
Third, The Unforgotten, Series 1 to 4, Complete Series.
Police series, detective stories, criminal mysteries, and many other options in the field of crime and delinquency have been explored by the English from the first moment they started existing, a very long time ago.
Shakespeare and he was not the first author in the field, loved those stories of crimes and criminals, having people assassinated, or mutilated, or tortured on the stage from Titus Andronicus to Romeo and Juliet.
Dickens was a good one too in that field, but Shakespeare looked at crime from the outside, from some ethical point of view. Dickens looked at it from inside, from the point of view of the criminals themselves forced to commit crimes in order to simply survive.
Then you had Mary Shelley and her Frankenstein and then later on Dracula came into the picture, and many others trill we came across Conan Doyle who edicted the proper form of a crime story or detective story, hence an investigation of a crime we can only see from outside, and the investigation is to get into it to see how it got developed and who was the criminal.
Since then, with the radio at first, the cinema next, and finally television leading directly to streaming and the Internet, those police adventures have just become adventures, and the extreme form is what they call action films where violence is no longer criminal since it has been transformed into the ultimate survival if not the final renascence before the apocalypse.
Enjoy these series.
The Mayas are more a cultural and historical mystery than a vast field of knowledge. We know less than we can even imagine about them. Where did they come from? What language did they speak before coming to Mesoamerica? What were their beliefs before arriving in Yucatan? They brought with them cacao, chocolate, writing, mathematics, extremely advanced calendars, phenomenal knowledge about stars, planets and the cosmos. They even brought with them a vigesimal counting system with the mathematics going along with it, including the equivalent of our zero (that we borrowed from the Arabs in the 17th century) that enabled them to count up to the infinite.
The most remarkable achievement is that they managed to merge phenomenal art with the glyphic writing system of theirs. We know the glyphs were works of art, for one, and a syllabary phonetic writing system, for two. For a very long time the second aspect was rejected, particularly by Sir Eric Thompson. Luckily this untruth was rejected after his death, with a little bit of disregard before his death. The glyphs were not flat symbolic of items and purely artistic, like some kind of secondary if not superfluous decoration. The colonizing Spaniards considered that decoration as diabolical and they burned and destroyed all the books and artifacts that carried such artistic representations of Maya reality and such glyphs that could only be the language of the devil.
Imagine how surprised I was when I discovered this catalogue of an exhibition at the MET Museum of Art in New York. They provide some images of the glyphs, and even some sentences written with them. But they systematically ignore the glyphs, transliterate the sentences and words into Latin-transliterated Maya, and simply work and speculate on these transliterations and their translations into English. They lose all the richness of meaning and beauty of the glyphs. In other words, they terminate, bring to a final end the destructive work of the Spaniards, the culturicide of the Mayas and the Maya culture and civilization. My full study (about 15,000 words, only in English) is available
The 3 Literacies of Modern Age, the Trikirion of CommunicationEditions La Dondaine
Review of the Trikirion of Communication:
Symboleracy, Numeracy and Techneracy
The starting point is the phylogeny of communication because the educational topic I am going to address cannot even exist if there is no communication. We have to understand that all Hominins were communicating. Probably all Hominins after Homo Erectus included had some command of some articulated language, but only Homo Sapiens reached the comprehensive and sustainable command of the fully-articulated language, probably around 200,000 BCE.
The next great stage Is the development of representational and symbolic Inscriptions and paintings or engravings on all durable media available, rockface in caves, stone, bone, ivory, and tusks. This symbolic transcription of stories and experience, maybe some spiritual language accompanying some rituals, is the first form of writing seen as symbolic transcription and going back to 300,000 BCE with Homo Naledi, 100,000 BCE with Homo Neanderthalensis, and 50,000 with Homo Sapiens.
Syllabic and alphabetical writing only came around 3,500 BCE for Homo Sapiens. There might have been older cases, but archaeology has not yet covered the whole world for all types of symbolic inscriptions that could have led to symbolic phonetic writing. The next stage was the printing press which enabled mass education and mass communication.
ENTRE IA & LES ÉCRANS LE THÉÄTRE EST EN QUESTION
The Journal “Théâtres du Monde” has just published its 34th issue. I have two articles published in that journal. So here is first of all the table of contents of the 2024 issue, and I added to these three pages all the preparatory work I have done to write the two articles that deal with the series HUNTERS and the author Lorraine HANSBERRY. These reviews and critiques are all bilingual, English for some and French for the others.
I do feel like a raisin the sun. I also added some documents on the recent question brought up about race in the USA where some states are restricting the teaching of slavery and Black history in the USA because it may, might, would, and I think SHOULD traumatize the poor white darlings who really need some traumatization about their imperialistic ideological terrorism.
Four films or series.
1- John Woo’s Silent Night (2023),
2- Doug Liman’s Road House (2024),
3- Albert Hughes’s The Continental (2023),
4- Marcela Saïd and Julien Despaux’s Ourika (2024),
all seen on Amazon’s Prime Video, hence distributed by Amazon Prime Video, all dealing with violence in our societies and all claiming that violence is justified top answer and respond to a violent society, a violence coming from outside our community, and that outside can introduce anti-immigrant accusations or plainly racist claims, both anti-white and anti-any-ethnicity.
Does it help us understand this violence ? Does these films enable us to devise a proper response to prevent and solve such violence? Both times, a resounding NO. But in both cases, it plays in the hands of the most extreme forces on the nationalist side of life, the side that refuses to consider those who are not pure according to their definitions as the cause of all our problems, and not only those people but also all products that may come from the countries concerned by these ethnic groups. This is true in the USA, in Canada, with Mexico playing the wide-open gate to the previous two, and all over Europe.
What game are these streaming services playing? Preparing coming elections! But it might go the wrong way for them. Now what is the wrong way? Good question. No answer because the ballot boxes will be the only valid answer. First stop, the European Elections in June 2024.
Mo Xiang’s third volume of the saga on The Blessing of a Heaven Official is there in front of me and this saga is emanating with so much force that no one can resist the tanha that tells them “Go For It! There is pleasure in it all!” I am sure you want to discover the pleasure there is in these volumes, but remember the authoress is a woman and as such she develops a sweet, soft, and catching psychology that will turn you completely berserk if you do not keep your feet well anchored in the earth.
The King Ghost Hua Cheng from Ghost City is behind every move the ascended Xie Lian is inspiring or is inspired by and for. His meeting this Xie Lian after 800 years of supernatural and surreal life in our vast cosmos was so mind-stirring, intelligence-moving, and body-inspiring that the pure ascetic Buddhist he is supposed to be, nearly fell into the cauldron of eroticism. He managed not to fall, but that was very close this time since he was unconscious and Hua Cheng took advantage of the situation and pretended that he had to save his “friend” before he drowned, though Hua Cheng knew perfectly well Xie Lian could not drown, hence cannot die. But, well, Hua Cheng kissed Xie Lian unconscious as he was, I mean in his unconscious mind, because Xie Lian was unconscious, and thus he could kiss him since he could not protest. What a twisted and I guess tortured mind he is. He should try Buddhist meditation to hypnotize himself into plain decent abstinence.
But sure enough, the encounter with the Venerable of Empty Words promises to be a fair adventure in which Xie Lian’s mind and body will be chastised, abused, and even probably raped. There will be quite a lot of repair work to do on the psyche and the conscious rightfulness of our Xie Lian. I guess Hua Cheng will take advantage of such situations to steal a couple more kisses. Never trust a ghost because they have no soul anymore and they have no honor either. So, lying, pretending, and even impersonating what they are not to seduce their gullible victims is some kind of sport for these fuzzy beings, if they can really BE.
Oppenheimer is an essential character in US history. He is the left-leaning Jew who provided the USA with the Atom Bomb that enabled the US to defeat Japan faster than the planned standard land and air attack by the Soviets and the Chinese Communists, officially endorsed in the Yalta Conference ( 4–11 February 1945) by Churchill, Truman, and Stalin. Truman did not have the atomic bomb yet and will only have it in July 1945. So, he bluffed and agreed with the Soviet plan because he had no alternative … yet. He reneged his agreement in July-August 1945, and he dropped two atomic bombs on Hiroshima and Nagasaki on August 6 and 9, 1945. The victory over Germany was a joint effort. The victory over Japan was a self-centered and egotistic solitary procedure not even negotiated with the allies of the US. The United Kingdom might have been informed, maybe. But the USSR was not. The Americans were already and had been for nearly two centuries, on the “America First” and “Make America Great Forever” lines that we have known all along and directly since 1918.
And within 9 years Oppenheimer will be ostracized because he was leaning to the left and there were Communists around him. He submitted and disappeared in some sideline university job. He had nowhere to go, as opposed to Charlie Chaplin who went back to England. As a Jew, he could have gone to Israel, but that was not a real optimistic solution at the time. He might even have gone to the USSR with his communist wife. But he stayed put in the USA, in his closet-university-job. The film does not really explore this dilemma: hide away in the USA, go to the Jewish Israel, or go to the USSR. On one hand, it was his old depressive nature that came back. On the other hand, it would have been going back to his faith and his roots, even if it could have looked like treason. On the third hand, on yet another other hand, it would have been plain treason.
THE DESCENT TO HELL IN THREE STAGES – 2003-2015-2019
I brought together three films and series presented here both in English and French in anti-chronological order.
1- The film 7500, 2019.
2- The series Blindspot, 2015-2020.
3- The film The Dreamers, 2003
If you take them in this backward order, you may understand that today’s world is not at all different from the one in 1968 when the Vietnam War was going on full blast, the Chinese Cultural Revolution was in full swing and the West per se was living its first full sexual revolution with the arrival of the baby-boomers to the full unquenchable desire to hormonally and fully enjoy life. Have some interesting reading.
FIRST STAGE – AMAZON STUDIOS – 7500 – 2019
There is little to say about such a film. It is just artificial entertainment that shows nothing and proves nothing. It is all stressing detail to keep the audience glued to the screen.
SECOND STAGE – BLINDSPOT – FULL SERIES – FIVE SEASONS – 2015-2020
A very long series for very little apart from stressed and stressful situations that always end well anyway, meaning leading to a worse situation in the next episode.
THIRD STAGE – BERNARDO BERTOLUCCI – THE DREAMERS – 2003
Paris Spring 1968. We all know what happened then in France. The victory of the unions, the defeat of the left, and the impossibility for the left to understand that any “events” of that sort will always lead to the victory of the right in the next elections, and today we have to update the data and say the victory of the extreme right. It might be slightly more complex, but basically, that’s what it is and when the left wins this social-minded left will become conservative within at the most two years and it might even turn reactionary within these two years, at times even less. They like power so much.
Amazon Prime Video and Blumhouse Productions love dysfunctioning mothers who, in the name of their love for their children, are ready to kill anyone only on their gut feelings that this anyone is guilty of who knows what apart from the devil.
The film is tricky enough to lure and fool the audience, and the horror of the racist and dysfunctional situation can be believed till the end when the trick is revealed. Note this revelation implies that all daughters from divorced or motherless families are by definition, even by principle, liars.
You might also find the father falling in an ice-cold river under a blizzard of some sort funny, and with his winter coat on, and then he goes on parading around outside, in the unheated car, and even in some kind of social situation without changing his freezing clothes. Like at the Oscars yesterday the costume design Oscar was delivered to a costume designer wearing no clothes at all, except a small cardboard sign where sexually necessary for the picture, meaning that costume designers are so badly treated and paid that they cannot even afford to buy underwear.
A little bit more about the context, schools, religion, Islam and girls, divorced parents, single Muslim male parent, etc. would have maybe given some depth to the story and made it less artificial.
A film that wants to be science-fiction. So, learn the lessons that emerge from it.
1- Let black doctors or scientists get into a hospital “laboratory” and the most unimaginable horrors will take place.
2- Let black people be fully treated in a hospital and they will become guinea pigs, especially in the hands of black doctors.
3- Let a mother treat her son and the worst possible crime will take place under your own nose and in front of your own eyes.
4- Shall I go on?
If this is not pure racism laced with some sexism, I just wonder what would qualify. How can anyone imagine such man-made scientific schizophrenia to be possible in the hands and under the scalpel of a doctor, a scientist? I guess it is urgent to have clear regulations and controls on such activities. Because be sure that wild clandestine medical experiments are happening every day in the world.
Duration is all that plants and animals experience. They last as long as either possible or necessary. When the phylogenic target of bringing in the next generation of life is fulfilled, the plant or the animal can die or wither away. Homo Sapiens, and probably most Hominins developed from experience the need to measure this duration, at first in days and nights, and then in clusters of days and nights. Then they can coordinate their observations and notice some cosmic items go through regular existential cycles, first of all, the sun rising or lowering in the sky with shortening or lengthening days and nights. Second, the moon and its phases are numbered as two, four, or three, but systematically waxing and waning. You can easily measure all that in solar days and that is the beginning of time: a human invention quantifying the duration of anything in observable regular elements.
From what we know the Mayas were among the most advanced people for such time-quantification and they developed all sorts of calendars to do this. But they were neither the first one nor the last one. They were not the best either, though they were very good. I will even say that all the lines of dots or check marks or squares or other geometric forms we can find in all the caves in the world in which Hominins and Homo Sapiens lived and that they decorated in many ways are the quantification of various phenomena, though we don’t always know which ones.
This book by Hunbatz Men concentrates on Mayan calendars but in modern language and modern terms, not necessarily in the real Mayan terms at the time, up to 3,000 years ago. It assumes the Mayas were aware of the leap years, though we do not seem to have any real reason to believe so. The author does not work on any serious lunar hypothesis, maybe a calendar. It vaguely mentions but does not explore the Venus cycles as Morning Star and as Evening Star. To work on the Pleiades, why not, yet one question does not concern such a long cycle but the simple working of the ritualistic 260-day Tzolk’in Calendar that is out of sync with the solar calendar, the 365-day Haab Calendar, and even more so if we consider the 360-day Haab Calendar, and how the ritual activities dictated by the Tzolk’in Calendar can be prescribed and predicted and performed when their Tzolk’in dates can fall at any time, in any season in the Haab Calendar. It is hard enough to coordinate the 12-and-a-half moon cycles over a solar calendar, but many civilizations are dealing with it and managing it with cyclical corrections.
That’s why it would have been good to give us some elements on this very same problem with the Tzolk’in calendar when we can compare with the difficult adaptation of the Muslim Lunar ritualistic calendar to the Gregorian calendar. The floating Ramadan is the result of this necessary adaptation. In other words, the present book is slightly short.
To bring together South Africa in the days of apartheid and from the point of view of the white Afrikaners with the tremendous career of Queen with Freddie Mercury and after his death without him shows how ahead of their times this band was when they started as a boys’ band and then when they matured into a full-fledged career.
Apartheid and racism bring segregation and discrimination which systematically reject differences. No future for those who do not have the skin color, the religion, the language, the sexuality, the musical affiliation, even as a simple audience, as the dominant, selected, elected, chosen entity that only has god and science over their heads. And their God has chosen these people to be his chosen people, and these people chosen by God believe what God has explained to them that science justifies their elected-ness, selected-ness or chosen-ness. They are the acme of the creation, and all others are just plain rejects that no one has the heart to destroy.
But be sure God will do it some day. Which god since there are many if not even plenty? Who cares. Each God will recognize his own supporters when they are all dead.
But then you may have no supporters at all, dear God or Gods. It does not really matter. We don’t need these supporters to eat, drink and survive. We have all we need in heaven and the sky. In fact, it was a mistake of ours to have created humanity. The planet would be so much better with none of the human parasites.
Meet the Madman Prophet, who is most the time mixed up with the other God Profit who is universal and derails every so many years, not so many as you may think every ten years or so. But with this God there is always a small population that manages to store away what they need to take over when the crisis has come to an end and the dead victims have been buried or cremated.
An interesting experiment to bring a poetry workshop in a prison For us who have lived in the mythology of Johnny Cash and San Quentin, and all his songs and work about and in prisons there is nothing strange about that But what happens afterward? The inmates get some satisfaction in their work, writing poetry and singing, slam or whatever it may be, but what’s next after their prison term? No reason to reject the experiment but a follow-up action is necessary to know what these men – and it is only men – have become or will become when they get out of the railings, out of the cage. We are not all Johnny Cash, are we?
Since this operation was sponsored by Alliance Française, it would nice to know what kind of follow-up work this Alliance Française is going to perform. The responsibility cannot be the poet’s. But it is interesting to be confirmed one more time that there are many ways for prison inmates to reform. One element is not taken into account. 98% of the population is Sunni Muslims. What is the impact on such an experiment? What does Islam bring to the experiment that would otherwise not be there. Étienne Russias should try to show us this dimension, since, as far as I know, he is a standard young man educated in the Christian traditions, maybe not the religion, but the traditions definitely like being christened, being buried religiously, being married religiously. How did he deal with a 98 percent Muslim group? How many Muslims were taking part, among the inmates and among the workshop workers?
But that’s the beginning of the intelligent globalization we need, a globalization that is founded on differences and not some westernized homogenization.
(No French Translation) The Incas partly inherited and partly developed phenomenal agriculture in the very hard conditions of the Andes: desertic areas, difficult water resources, high altitude, no real draft animal, no wheel, and yet the Andes before and under the Incas produced miraculous results that the Spaniards destroyed in a few years with epidemics and mass killing.
It is easy to say the Incas were barbarians and that covers the genocide, the culturicide, the systematic uprooting and exposing of anything they could have believed or done, based on NO direct contact with them before the “conquest” that must have killed 50% of the population in two or three years with smallpox and other infantile and childhood diseases, plus a few sword killings when there was some resistance.
Unluckily, Gordon McEwan does not really come to a clear vision in his book because he only bases his work on what has been collected by others essentially on the only source of some Spanish colonizers trying to justify the massacre and apocalyptic colonization. The real barbarians were the colonizers, and it is their testimony that is nearly only taken into account. Archaeology is about one century behind what it is in other regions of the world.
Things have slightly changed over the last ten years, but we are still a long way behind what we should have done. That leaves the door open to some like Hunbatz Men pretending the Mayas, Incas and many other Indigenous Native Americans are the descendants of the humanoid people who were established in two continents that have disappeared without leaving any trace of their existence behind them, Mu and Atlantis. And then it is easy to bring in that the inhabitants of these two disappeared continents were extra-humans from some distant civilization who landed on earth and prospered and then found some humanoid animals there and civilized them. We are their descendants, I mean of these extra-humanly civilized humanoid animals from long ago.
Maybe we could simply ask some questions about the origins of the Incas, the Mayas, and many other native American peoples of South and Meso-America. We know the Native Americans of North America and Canada up to Greenland came from Siberia. But that solution is not, feasible for the Native Americans of South and Meso-America. But we are so mentally colonized by North American Protestant Puritans who believe they are the center of the world that research about South America and Mesoamerica has scandalously been neglected. Some mental colonization of this type is also a genocide since it excludes millions of people from what these North American WASPs call the “human race” which is of course white, etc.
Impact des Critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les...mrelmejri
J'ai réalisé ce projet pour obtenir mon diplôme en licence en sciences de gestion, spécialité management, à l'ISCAE Manouba. Au cours de mon stage chez Attijari Bank, j'ai été particulièrement intéressé par l'impact des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les décisions d'investissement dans le secteur bancaire. Cette étude explore comment ces critères influencent les stratégies et les choix d'investissement des banques.
Conseils pour Les Jeunes | Conseils de La Vie| Conseil de La JeunesseOscar Smith
Besoin des conseils pour les Jeunes ? Le document suivant est plein des conseils de la Vie ! C’est vraiment un document conseil de la jeunesse que tout jeune devrait consulter.
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Ce document est une ressource qui met en évidence deux obstacles qui empêchent les jeunes de mener une vie épanouie : l'inaction et le pessimisme.
1) Découvrez comment l'inaction, c'est-à-dire le fait de ne pas agir ou d'agir alors qu'on le devrait ou qu'on est censé le faire, est un obstacle à une vie épanouie ;
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2) Le pessimisme, c'est douter de tout ! Les jeunes doutent que la génération plus âgée ne soit jamais orientée vers la bonne volonté. Les jeunes se sentent toujours mal à l'aise face à la ruse et la volonté politique de la génération plus âgée ! Cet état de doute extrême empêche les jeunes de découvrir les opportunités offertes par les politiques et les dispositifs en faveur de la jeunesse. Voulez-vous en savoir plus sur ces opportunités que la plupart des jeunes ne découvrent pas à cause de leur pessimisme ? Consultez cette ressource gratuite et profitez-en !
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Mémoire de licence en finance comptabilité et audit
Le Radeau de la COVID qui radote
1.
2. LAURENT MATHOUX – LES ESCARGOTS
MEURENT TOUJOURS DEBOUT – 2020
Résumé :
Eddy Rosco, rock manager à Clermont-Ferrand, est prêt à tout pour accompagner un
groupe vers la réussite, y compris troquer sa splendide Cadillac rose-candie contre un
vulgaire fourgon de poissonnier.
Quand il cherche un batteur, il veut absolument recruter Léon qui vit au milieu des escargots
avec un père tyrannique : Joe Locatelli.
Mais entre l’héliciculture de Joe, le jardin urbain partagé bio juste en face, et le voisin d'à
côté qui répand du Roundup sur ses cultures intensives, la tension est palpable sur les
parcelles du Puy de Montaudoux. C'est au cœur de ce mauvais western qu'Eddy Rosco va
parvenir à éloigner Léon de ses plants de cannabis. Il lui faut ce batteur extraordinaire, doté
d'un pied droit prodigieusement agile. Bien sûr, Eddy a bien entendu parler de la mauvaise
réputation que traîne le fils Locatelli. Mais le manager espère parvenir à le cadrer.
Il n'est pas au bout de ses peines...
VOL ET ENVOL DE CADILLAC FLEETWOOD
1955 ROSE
Le tracteur – oh ! Pardon la Cadillac Fleetwood 55 rose à la Elvis Presley, Dieu ait
son âme – s’envole et l’escargot Gros Gris ou Demoiselle perd pied dans ce foutoir
musicalement disjoncté. Francis Blanche, qui fut en son temps un humoriste féroce, s’en
tortille encore dans sa tombe en expliquant à Max Favalelli – ou serait-ce Joe Locatelli ou
je ne sais quel Niccolo Paganini ou Jarosław Pijarowski ? – pourquoi ces sacrés p***
d’escargots semblent ne vouloir mourir que sur leur p*** de pied – et donc guéris et vivants
après passage aux urgences gastronomiques – dans sa pièce « Les Escargots meurent
debout » de 1964 – comme Elvis Presley qui cette année chantait « J’ai besoin de quelqu’un
sur qui m’appuyer » et il s’agit bien de quelqu’une Demoiselle, escargot ou non – car ils
meurent, ces escargots, comme beaucoup d’autres bestioles ventre à terre, mais pour eux
le ventre étant le pied, ils ne peuvent mourir que sur pied et donc debout. Aussi lumineux
qu’une éclipse en plein midi. Et ce que je dis est vrai. Vous pouvez vérifier à l’Institut National
de l’Audiovisuel
Mais il s’agit de musique enfin ? Eh bien, quoi ? Nous y sommes en plein dans le
mille du mitan de la rège, autant que cinq sur cinq sont « mitano mya mitano » en lingala.
Oui certes, mais la musique d’un trio pas d’un quintette amplifié et plus ou moins rock
managé par un érudit collectionneur bravache, obèse et exhibitionniste de vinyls, Eddy pour
les intimes, mais Rosco pas Mitchell et ses Chaussettes Noires qui n’ont pas besoin de se
laver plus d’une seule fois, juste avant la sortie de l’usine car Omo lave plus blanc, mais
seulement dans la seule nuance seulement blanche de tous les seuls gris – gros ou pas –
y compris l’esseulé noir, seulement noir. Ni d’ailleurs le quintette – on le sait puisque c’est
un trio, une triplette, une triade tripanade tout comme les tritons qui la triturent, la tripanade
– le quintette donc belge Roscoe et leurs « Choses piégées dans nos esprits », comme
quelques sangliers dans un champ de maïs ou dans une ferme d’élevage d’escargots,
héliciculture qu’ils disent, à ne pas confondre avec les « Choses piégées dans mon esprit »
de Kid Cudi, et cette chanson-là est prise dans la clôture électrique d’Apple Music qui
3. empêche les gastropodes musicaux de fuir dans la nature à la Copyleft et les
gastropodophiles de venir opérer une razzia d’escargots dans la réserve de Joe Locatelli,
mobilier en bois de palette et maison en pisé et parpaings pur béton naturel gaulois –
Vercingétorix oblige !
Mais après avoir pensé cela, une Sainte Cécile transgenre, Eddy dans le texte, plus
obèse que moi tu meurs, se met à cogiter une Ode sereine à quelque sirène, Alice dans le
texte qui se veut au-delà de quelque trou de lapin que ce soit, mais Léon Locatelli a besoin
d’une personne pour s’occuper de lui de façon quotidienne sur qui il puisse s’appuyer, bien
qu’autiste et cherchant un contact et une dépendance qu’il rejette dès qu’il la trouve, et ce
n’est pas une Pinky du film de 1949 qu’il rencontre, mais un Pinky plus infantile dans sa
créativité qu’adulte et qui s’enferme dans une solitude mentale qui l’empêche de vraiment
atteindre le monde extérieur qu’il n’arrive pas à voir du fait de ses « yeux-nombrils », comme
Jimi Hendrix les appellerait, ou serait-ce un nombril oculaire attaché au cul de la Cadillac
Fleetwood 55 rose qui va tout droit à Cadillac, Gironde, l’hôpital psychiatrique bien connu
qui rime d’ailleurs avec un des vins de Bordeaux les plus réputé, les Graves et le Sauternes
de l’autre côté de la Garonne, à une enjambée de pont, et est donc entre deux vins de
l’entre-deux-mers. Et cette Alice-Léon-Pinky-Eddy – ALPE en anachronique acronyme –
unique qui n’arrive pas à atteindre le ciel, faute d’un pluriel salvateur. On peut monter le
chemin des pénitents musicaux rock and roll ou autre de La Chaise-Dieu à genoux mais
encore en faut-il au moins deux. C’est cette unicité individualiste à trois, sinon quatre, que
l’auteur met en scène comme une Lorelei prometteuse de réussite future, mais après
l’hypnotique noyade individuelle dans les flots du Rhin.
Ces artistes Clermontois qui voudraient bien jouer et réussir en bande, en sont bien
incapables car chacun bande dans son coin sans la moindre empathie musicale qui permet
de sortir de l’autisme, même Asperger comme pour Léon, le batteur qui en bat du pied droit
salomonique ou salomonien à six orteils pour ne plus battre à une quelconque batterie omni-
dominante et tyrannisante, qui vous tient pieds et poings liés, écartelé aux quatre coins d’un
4. ring où il ne se bat que contre le spectre de je ne sais quelle mère abandominatrice absente
et quel père brutalisateur qui s’abat sur Léon comme la misère sur les pauvres et les puces
sur les chiens, sans oublier le covid-19 sur les complotistes anti-masques, et ce Léon
Locatelli ne voudrait qu’une seule chose, pouvoir se recroqueviller dans sa coquille de
gastropode Asperger qui pallie son pied gauche unique avec les ailes de son imagination
fébrile et caractérielle lumineuse comme un Saint Livre de la Révélation Apocalyptique qui
ne laisse au musicien enceint de sa musique que le choix de mourir en l’accouchant ou de
la tuer en l’enfermant dans le cocon stérile de la différence marginalisante.
Vous ne pourrez qu’aimer ce conte diabolique, et Satan n’a pas suffisamment de
noms divers pour couvrir l’entier du terrain, et ce conte luci-féérique ne peut passer que par
la mort de qui hante l’esprit et même l’âme d’un génie autiste escargotique, j’entends qui ne
peut jamais sortir de sa coquille refuge et qui est alors la victime du premier croquenot venu
qui me vous l’écrase, l’autiste, comme d’autres écrasent les chenilles ou les limaçons, les
doryphores ou les pucerons. Et c’est bien là le monde de la musique amplifiée rauque et
râle à mi-chemin entre le ba-rauque gospel ou spiritual et le rap qui râle, martelant et
laminant, niquant tout sur son passage car il n’y a dans ce monde que deux types de gogos,
ceux qui niquent et ceux qui paniquent à la vue du seul acide hydroperoxyarachidonique
(Larry R. Engelking, dans Manuel de la Chimie Physiologique Vétérinaire, Troisième
Édition, 2015). Apprenez tout sur tout et en particulier les cagouilles qui sont l’anti-pendant
des grenouilles, pied unique contre cuisses doubles.
Vous êtes soit enfermé dans cette carapace ou bien la victime des rapaces
cadavériques de la normalité qui règne en Vénus aphrodisiaque aux Zéniths de notre terre
auvergnate. Vous en regretterez le temps de la consanguinité partagée. Voilà ce qui arrive
quand on amène du sang polonais dans un filon italien pur auvergnat de montagne. Faites
comme les Pharaons d’antan, restez entre frères et sœurs : cela donne déjà suffisamment
de transfusions sanguines combinatoires. Tout le reste n’est que noyade, ensevelissement
et tsunami démo-culturel.
Dr. Jacques COULARDEAU
5.
6. LAURENT MATHOUX – SOUS PRESSION
– RevoiR ÉDITIONS – 2017
Laurent Mathoux va en étonner plus d’un avec son dernier roman, « Sous Pression ».
C’est l’histoire d’un jeune obsédé sexuel parisien qui finit par se marier avec un cep de vigne
appelé Marinella (comme la chanson de Tino Rossi), dites Marie c’est plus simple et moins
guindé.
Quand je te tiens là, sur mon cœur
Pour moi c'est un tel bonheur
Qu'aucun mot ne peut l'exprimer
Tout mon être est transformé
Et je voudrais que ce moment
Qui me trouble éperdument
Se prolonge éternellement
Et c’est ainsi qu’il finira entre deux chiens Peugeot et Renault, un ado de 17 ans,
presqu’un homme, Alex, fils de Marinella et d’un père exilé en export-import en Chine. Il va
devoir apprendre à cultiver la vigne du vignoble de Marinella, et donc d’Alex. Mais Alex n’est
pas bavard, alors ça ira à la lanterne ou à la chandelle, peu importe.
Et dire qu’il fut parisien, instituteur de maternelle obsédé sexuel en direction des
mères de ses charmants élèves. Mais à trop tenter parfois on se casse une dent et c’est ce
qui lui arrive avec le mari handicapé physique d’une de ces « mamans » dragueuses qui a
mis son mari dans le fauteuil roulant d’un coup de pétard parti volontairement par accident.
Il fuit donc de Paris à Clermont-Ferrand et Aubière et devient le bureaucrate gratte papier
sur clavier d’ordinateur à l’Inspection académique du Puy de Dôme responsable de la
gestion des brigadiers remplaçants.
Mais sa vie est compliquée et il devra laisser tout derrière. Son voisin, un certain
Raoul Morhange qui n’en a qu’une qu’il fait échographier régulièrement pour éviter quelques
remplacements, est un instituteur remplaçant plutôt barjot et tire au flanc, au flanc des
volcans à Aubière. Difficile voisinage qui s’améliorera rapidement. Une certaine Jenny
allemande prospère entre eux, qui est une manipulatrice du sexe qui ne cherche en
définitive qu’à piéger un père sans qu’il le sache pour en tirer une pension alimentaire grâce
aux conventions européennes. Qui réussira-t-elle à piéger dans son piège à bébés. Ce n’est
pas simple. La route d’Aubière à Vichy en passant par l’Allemagne est des plus compliquée,
mais simple à l’heure de l’ADN dont elle collectionne des échantillons chauds en diable de
ses innombrables amants.
Il rencontre dès le première jour une gitane qui fait un BTS et vit en ville. Et il tombe
à cul et chemise en une heure environ avec elle, notre Tristan – comme Tristan et Isolde
comme il dit une fois qu’il ne connait qu’en allemand et attribue à Wagner alors que Wagner
n’est qu’un des derniers venus sur ce bateau de l’Irlande à la Cornouaille en passant par la
Bretagne et qui fut rédigé par écrit en français normand du 11ème siècle et existait plus
profondément en Gallois, en Cornouaillais et probablement en Breton et en Irlandais bien
avant dans la tradition orale, donc dans des langues celtes et donc avec des racines dans
le celte gaulois pour sûr, racines à retrouver, mais personne ne connait la littérature orale
gauloise écrasée et détruite par la conquête romaine. Dieu ait l’âme de Jules César, un JC
entre autre au tournant d’un millénaire.
7. Et il est alors le gadjo de ladite Rosette et de sa famille, les Klaxon, dont il côtoie sans
le savoir un des oncles historiques au café d’Aubière tous les matins vers six heures, un
dénommé Jojo qu’il ne connut jamais sous son nom patronymique, jusqu’à sa mort : et c’est
lui qui le découvre mort dans sa voiture un matin devant le café La Taupinière. Et le voilà
transformé en taupe mortuaire.
Et c’est ainsi qu’il est mêlé à la résurrection de l’attraction familiale des Klaxons
détenue par Jojo Klaxon et enlisée dans la broussaille depuis les années quatre-vingt ou
deux frères se moururent l’un l’autre sur le mur de la mort de cette attraction. Inutile de dire
que Raoul et Rosette (un choix imposé par l’éditeur RevoiR j’imagine) font un beau couple
et quand on ajoute le couple Raoul et Tino – une autre allusion à Tino Rossi, décidément –
sur les motos dans l’attraction de ce mur de la mort en lutte mortelle – ou presque – pour
les beaux yeux et la rose de Rosette on a une merveilleuse trinité faite pour la classe
moyenne plus ou moins cultivée qui a envie d’avoir des émotions fortes par intermédiaires
plus courageux que simplement téméraires.
Mais le sujet central est l’Education nationale et son fonctionnement de triste machine
à normaliser les têtes mises au carré bien plus par l’école de la république que par la
télévision aux plus de cent chaines aujourd’hui alors que la vision scolaire reste le maître
normalisé – en fonction du quartier où il officie – aux besoins, souhaits et normes de la
classe sociale de chacun de ces quartiers. Le maître ne fait que transmettre des savoirs et
des savoir-faire qui doivent être absolument en osmose avec la position sociale des familles,
et peu de mixage social s’il vous plait, et surtout pas ethnique. Les écoles d’application pour
la classe supérieure, sinon l’enseignement privée, catholique ou pas. Les classes pour
voyageurs sur les terrains communaux de ces voyageurs pour les Gitans. Et le moyen de
gamme – d’une gamme si avachie qu’on dirait à peine une taupinière dans une prairie à
vaches – pour le restant des populations socialement déprimées ou ethniquement
marginalisées sinon ghettoïsée.
La charge est lourde mais l’Education Nationale en a vu d’autres – comme l’église
catholique – et les contestataires ou ceux qui veulent faire les choses autrement n’ont pour
8. eux que la porte soit vers les échelons supérieurs de l’université s’ils supportent, ou bien les
établissements industriels qui peuvent avoir un peu plus de liberté pédagogique, ou encore
le privé encore, mais le privé qui ne joue pas le jeu de l’Education Nationale et de l’éducation
privée sous contrat. C’est d’un sinistre ! Le pire des vices dans cette institution est la peur
panique de la pédophilie et tout instituteur – notez pas institutrice – qui a des rapports trop
proches, en confiance, de grand frère est suspecté d’avoir des tendances de mauvais aloi,
alors qu’en fait dans cette profession c’est bien plus celui ou celle qui garde des distances
bien fermes et claires qui révèle sa peur de surtout ne pas apparaître comme il ne faut pas
– et Freud nous dit tout de suite que qui ne veut pas paraître est trop souvent
inconsciemment ce qu’il ne veut pas paraître.
Mon dieu comme les choses deviennent compliquées ! Peut-être qu’il est plus simple
d’enfourcher une moto et de monter au mur de la mort, ou bien d’aiguiser des sécateurs et
de faire la vendange après avoir effeuillé la vigne un mois plus tôt pour que les raisins encore
verts puissent mûrir, bien que tirer les cavaillons restent la chose la plus amusante de tout
cycle de travail viticole. Il est vrai qu’il me manque en souvenir le cheval et la charrue qui
déchausse le rang de vigne avant de tirer les cavaillons. Mathoux suit sa Marinella et parle
de désherbage. Un peu court. Mais il est vrai qu’au temps des tracteurs parfois volants il est
difficile de voir un cheval et une charrue au mitan des règes de vignes.
Dr. Jacques COULARDEAU
9. LAURENT MATHOUX – À LA LIMITE DU
HORS-JEU – RevoiR – 2022
METTEZ LE MATHOUX DANS LE MOTEUR DU
TRACTEUR
10. Laurent Mathoux c’est les Flying Tractors, du moins en Auvergne. Qui ne connait pas
les Flying Tractors ? Uniquement les ignares et les incultes.
Qui n’a jamais vu ou entendu un vol de tracteurs, naturellement planants, passer au-
dessus d’une église d’Auvergne ou d’un château fort en ruines du Massif Central ?
Uniquement les gens qui ne savent pas que la vie c’est dehors et pas dedans, c’est dans la
nature et pas dans leurs lits, c’est les bras ouverts à tout ce qui vit dans le monde et pas les
doigts fermés et crispés sur leur bout d’andouillette de 15 centimètres avec lesquels ils ne
feront jamais qu’une andouille de deux mètres, comme le père de De Gaulle. Onanisme
assassin ! Laissez-les vivre que diable ! Chacun de nos « somes » (de nos hommes ?) de
couleur – vous savez les somes chromos, chromiques et chromatiques – a le droit à
l’aventure et à rencontrer l’ovule de son choix, dans une botte de foin ou dans sa salle de
bain.
Et ne voilà-t-il pas que ces Flying Tractors que j’ai dû entendre à Mauzun lors d’un
festival de clowns, arrêtent de s’encaustiquer stérilement le citron et l’un d’eux, un transfuge
j’imagine, au nom prédestiné, se prend pour un félin malin, un Mathoux à griffes, le Laurent,
et il se lance tout seul dans l’aventure de l’écriture, chromatique j’imagine pour que cela
sente bon la peinture, une dimension essentielle de l’art poétiquement prosaïque de ce
Mathoux. Et il imagine un Parisien déraciné de son quartier totalement pavé et galeté et il
vous le transpose en Auvergne comme s’il n’était qu’une vulgaire patate plantée à dix
centimètres de profondeur dans un jardin du côté de Montferrand.
Il est sûr que cet apprenti jardinier qui a oublié que la terre ne donne que ce que pour
quoi les tracteurs la défoncent nous entraine dans une histoire sinon sanglante du moins
glauque qu’il décrit, notre chat sauvage en ces termes :
« Tristan est un séducteur compulsif et torturé, un spécialiste des amours contrariées.
Depuis son adolescence, il fraye dans la capitale comme un poisson dans l'eau jusqu'au
jour où une rencontre tourne au cauchemar. Obligé de quitter Paris en urgence, il est muté
à Clermont-Ferrand. L'adaptation à la vie provinciale est délicate pour ce citadin insensible
aux charmes de la nature. Ses nouveaux amis issus de la communauté des gens du voyage
sont tellement particuliers. Sans parler de son voisin motard irascible et barbu... SORTIE
été 2017. »
Il ne manque plus qu’Yseult, et la grande histoire d’amour, de viol et de trahison
hormonale et sensuelle peut commencer. On est au plus profond de l’horreur médiévale de
je ne sais quel Roi Louis ivre mort et pourtant “bois du matin” comme un âne. Et ce fut
comme une naissance à goût de renaissance. C’était il y a cinq ans.
Mais les amours féodales ne passent pas toutes seules dans notre société de
consommation. Encore faut-il se crowdfunder et notre Félin Malin nous révèle le pot-aux-
roses et vous êtes les roses de ce pot de fleurs : « Je vous sollicite à nouveau pour souscrire
à mon prochain roman SOUS PRESSION, un thriller de terroir qui va bientôt paraître aux
Editions RevoiR. Seulement, il me faut une centaine de préventes pour lancer les
rotatives. » Si vous croyez que je vous mène en bateau, vous avez tort car en fait je vous
mène en cageot et vous pouvez vérifier que mon information est directement tirée de
derrière les fagots, là où justement je planque mes cageots de courgettes et de piments
forts du Chili, ou du Pays Basque si vous voulez rester Européen.
11. Je ne me dois d’ajouter qu’une seule note de l’auteur – voir plus bas – qui me rend
un peu frigide, on disait c**ille molle de mon temps en Bordeluche, - car cet auteur
s’imaginerait-il qu’on perdrait du temps à vouloir le psychanalyser? Pourquoi pas aussi par-
dessus le marché et en prime gratuite . . . bof ! Quoi au juste ? Peu importe ?
« Note de l'auteur : Je voudrais mettre à l'aise les futurs(res) lecteurs(trices) de ce
roman. S'il est écrit à la première personne, il ne repose en aucune manière sur mon vécu.
Contrairement au personnage de ce récit, j'ai des parents aimants et attentionnés, mon
épouse est formidable et mes amis sont tout à fait fréquentables. »
Peut mieux faire, mon frère, et franchement nous n’en avons rien à cirer – et vous
savez ce que cirer veut dire – que vos amis prennent une douche tous les deux jours, se
parfument comme le Roi Soleil et soient des amours mignons comme des petits marquis au
lit de Molière un jour de banquet à Auteuil (voir Jean-Marie Besset pour les détails en
perversité). C’était il y a deux ou trois ans. Mais c’est que l’auteur a plus d’une corde à sa
guitare et plus d’un stylo dans sa poche d’ordinateur.
Et donc voilà-t-il pas qu’en 2022, le Mathoux félin nous commet un troisième crime
de lèse-bourgeoisie Clermontoise. C’est À la limite du hors-jeu, Mais comme toujours avec
ce tigre auvergnat, tout commence en musique avec un vol d’engins à quatre roues, deux
énormes et deux moins grosses, et plein de trucs que cela tracte derrière. J’ai bien dit, les
Flying Tractors ou est-ce les Flying Tracteurs ? Ce fut à Mur-sur-Allier le samedi 26 mars,
2022, en plein redémarrage de notre chère pandémie. Confinement juste après l’élection
présidentielle, ou juste après les élections parlementaires si le Parlement est dissout le
dimanche soir du deuxième tour.
Les Flying Tractors, sans francisation, ce qui est un crime de lèse-Jacques Toubon,
sont de retour avec et dans la musique populaire mise en forme rock, style paille et
paillasson.
Populaire en Auvergne veut dire rural rustique nostalgique pour les Auvergnats qui
n’ont pas touché une bèche, une faux, ni même un tracteur depuis au moins cinquante ans,
s’il y avait déjà des tracteurs en Auvergne il y a cinquante ans.
Alors on oscille, vacille et bacille dans du rock paille et foin, du jazz rège et mitan de
chaque rège – vous ne croyez pas si bien dire car la mi-temps dans ce nouveau roman
paysan de la ville clermontoise est vraiment au mitan de l’histoire – et chaque rège en mitan
ou en entier se syncope d’emblée avec la suivante après que la précédente l’ait syncopée
comme une malpropre. On ajoute un peu d’accordéon à la Yvette Azzola ou au Marcel
Horner, ou tout autre clavier à bretelles, pour faire les raccords et les soudures entre les
poutres et les armatures bétonnées de cette structure en forme d’étable à gibier sauvage,
justement les Auvergnats paysans de la ville, et même parfois pire encore les Auvergnats
paysans du Fonds Régional d’Art Contemporain – FRAC pour les intimes – en gestation
architecturale à Ballainvilliers.
L’important est dans la distort langagière sur fond de batterie à rythme et de cuivres
en concoction de fanfare mortuaire pour un monde qui n’en finit pas de moribondiser dans
son coin panégyrique ou pandémique, au choix. Il y en aura pour tous les goûts de ce
service de COVID-19 à la table dans cette sortie exceptionnelle entre deux confinements
ou confinations du confinement qui n’en finira jamais de continuer à se continuer de se
confiner à confiner.
12.
13. Et on vous dit que le rock paysan ne casse rien comparé à ce COVID-19 qui a
officiellement tué un million de personnes aux USA, et si on considère la dissimulation qui
va de pair et de paire avec nos faux-frères atlantiques, ils ont dû dépasser le million et demi,
peut-être deux millions. Aux USA ils sont en train de comptabiliser les baisses de population
dans les états en découvrant que depuis deux ans le nombre total des décès est supérieur
au nombre total des naissances. Une excellente nouvelle pour les immigrants sans papiers.
Dans cette lumière, oui, le rock paysans même avec Flying Tractors dans les cieux
et autres drones pseudos pacifiques, ne casse pas grand-chose, sinon quelques briques.
Mais c’est reposant, quelque part, de sentir le volètement des guêpes de nos jardins et les
morsures des moustiques de nos rivières. Et justement « Aljoschka, la copine de Dimitri,
peut-IL (c’est bien dans le script de la chanson distribué au public) bien attendre Cité Lénine
le retour de son p’tit gars parti couper du bois dans la taïga. » Queer, non, ne pensez-vous
pas ? Franchement interlope gay, mais c’est russe, alors… !
Et c’est dans ce terreau que le nouveau roman se plante, pousse ses racines, et
fructifie. Fructifie quoi, au juste ? Je vais vous le dire dans une instant. Pour le moment c’est
la mi-temps.
Mais, mi-temps ou pas mi-temps, il est temps de parler, de ce dernier roman, qui se
veut de suspense policier-criminel. Une erreur me semble-t-il sur les services de police et
gendarmerie à Thiers. Près du centre historique et du centre piétonnier c’est la Police
Nationale. La Gendarmerie est en bas dans la plaine. Mais c’est courant de mélanger les
trois niveaux de Thiers, sinon plus. Au-dessus de la gare SNCF, entre la gare SNCF et le
rempart, et la plaine qui inclut Matussière et un lycée en plus d’une plaine des sports, et la
Gendarmerie.
Je suis assez indifférent avec cette fixation sports chez pas mal de Clermontois et
Puy-Dômois qui ne va plus loin que de devenir des supporters obsessifs soit du football,
soit du rugby, mais 99,99% de ces fans ne pratiquent souvent aucun sport réel, sinon le
sport de canapé ou la bronzette sur gazon.
L’histoire par contre se tient bien. Les personnages sont crédibles, même les plus
criminels, y compris les/le marabout/s malien ou autre africain. L’avocate est assez
sympathique, même si son obsession femme en voie de libération est aussi excessive que
la fixation obsessionnelle-compulsive sur le football. Oh oui, elle touche quelques cas
sensibles de violence contre les femmes et contre les enfants, violences d’abord et avant
tout matrimoniales, domestiques, conjugales et parentales. Nous qui sommes ou avons été
14. sur le terrain nous connaissons tous des cas que l’on ne doit surtout pas évoquer en public.
Il est facile de repérer quelques « symptômes ou syndromes de l’enfant battu. Un n’a pas
de sens. C’est une alerte. Deux, cela devient inquiétant. Trois, engagez une procédure.
L’ennui c’est que la plupart des enseignants, soit se murent dans une surdité et cécité
obstinée, soit déplacent le mal et accuse l’enseignant qui fait son métier avec empathie
d’être TROP proche et donc d’être pervers. L’obstination de l’administration parfois devient
si absurde que ces enseignants ont toutes les raisons de sortir de l’institution.
Mathoux évoque ces cas avec empathie justement, un ton juste, une vision humaine,
mais sans aller parfois jusqu’au fond des choses avec une sorte de préjugé qui court très
bien de chapitre en chapitre. Ses personnages semblent privilégier la faute de l’homme
quand la femme – qui n’a pas de profession – s’ennuie à la maison. Comme on la comprend,
cette femme qui s’ennuie ! Mais aussi comme on la plaint qui ne sait pas que la vie sans
une profession c’est une journée sans soleil ou un repas sans pain ou sans fibre. Cela mène
à la constipation. Il y a peut-être aussi le mythe de la femme qui a une profession et qui ne
sait pas voir que les professions de l’homme et de la femme dans un couple peuvent être
fort différentes et qu’il est difficile d’échanger de façon détaillée les expériences
quotidiennes du métier d’avocat et du métier de peintre en bâtiment ou du métier de
compositeur de musique symphonique ou de jouer de viole de gambe.
Le livre contient quinze références musicales avec quinze QR pour les trouver sur
son smartphone. C’est intéressant, même si les références sont pour la plupart bien
connues et très faciles à trouver sur YouTube par exemple. Mais je ne crois pas que lire
avec un fond musical rende justice à ce que l’on lit ou à ce que l’on écoute. Mais c’est un
goût personnel. Je n’arrive pas à faire comprendre à Amazon que l’on peut utiliser leur
application Amazon Music et ne pas utiliser le streaming car d’une part, je ne pratique pas
la musique en faisant autre chose, car cela devient alors du bruit, du noise comme on dit en
musique justement, et secundo, je ne pratique pas autre chose en écoutant de la musique.
Le pluri-tâche n’est pas bon pour la concentration en profondeur sur toutes ces tâches
mêlées.
Sans vouloir en aucune façon révéler le dénouement, « Plus noir que ça, tu meurs »,
je trouve l’histoire suffisamment bien ficelée pour relever du Festival du Roman Noir et
Social de Vitry-sur-Seine au mois de décembre. Mathoux devrait contacter la mairie de Vitry,
adjoint à la culture et l’animation, ou bien l’Association de Vitry, Livres en Luttes, rue Guy
Môquet, et leur page Facebook, facebook.com/livresenluttes/. Il pourrait même négocier
une animation musicale tout aussi noire et sociale avec les Tracteurs Volants, en français
dans ce texte par homme à Jacques Toubon.
15. Conclure sans déflorer et donc sans violenter le livre n’est pas facile. Disons que
Laurent Mathoux atteint dans certains chapitres l’universalité sur la façon dont nos sociétés
occidentales sont totalement à la fois enchaînées et dispersées dans une myriade d’activités
aliénantes, professionnelles ou de loisir, qui n’ont souvent aucune relation les unes avec les
autres. Mais bien sûr Laurent Mathoux a le doit de me demander pourquoi je suis allé à son
concert, pourquoi j’ai acheté son livre en souscription, pourquoi j’ai lu son livre en moins de
deux jours et pourquoi j’écris sur son livre alors que j’ai une date butoir proche sur « les
formes quasi-nominales en Pali, la langue du Bouddhisme theravada » pour une conférence
internationale. Mais c’est justement cela que la plupart des gens ne savent pas faire : mener
de front plusieurs activités qui ne s’articulent pas aisément les unes sur les autres. Nos
sociétés sont des sociétés fortement compartimentées avec blindage entre les
compartiments. Et l’Auvergne est tout à fait à niveau international, surtout que le numéro 1
mondial du câble blindé de haute sécurité est une entreprise d’Ambert.
Lisez donc ces livres, et quelques autres. Mathoux risque fort de laisser une trace
derrière lu, un sillon pour en rester en ce qui nous concerne aux Flying Tractors.
De. Jacques COULARDEAU
BIENVENUE À VITRY SUR SEINE