Rapport PFE | Remitec | Automatisation d'une installation de production des e...Zouhair Boufakri
Rapport du projet de fin d'étude, effectué à Remitec S.A.R.L., dans le cadre des études Licence en Génie Electrique et Systèmes Automatisés.
thème : Automatisation d'une installation de production des engrais aux Oligo-éléments.
ce cours est destiné aux élèves de génie électrique est plus spécialement aux filière STE ,discipline sciences de l'ingenieur.N'hesiter pas à me faire parvenir vos remarques et vos critiques sur mon adresse zahidiabdo@yahoo.fr;
PFE Réalisation d’un onduleur monophasé autonome commandé par PIC 16F877RAMZI EL IDRISSI
Réalisé par :
EL IDRISSI Ramzi
SEMLALI Amine
AGHMADI Ahmed
Filiére :
Génie Industriel & Energies Renouvelables ( l'école supérieure de technologie de Berrechid )
Cours machine asynchrone (cours et problèmes)OMAR EL MOUDEN
La machine asynchrone, connue également sous le terme anglo-saxon de machine à induction, est une machine électrique à courant alternatif sans connexion entre le stator et le rotor.
Comme les autres machines électriques (machine à courant continu, machine synchrone), la machine asynchrone est un convertisseur électromécanique basé sur l'électromagnétisme permettant la conversion bidirectionnelle d'énergie entre une installation électrique parcourue par un courant électrique (ici alternatif) et un dispositif mécanique.
Cette machine est réversible et susceptible de se comporter, selon la source d'énergie, soit en « moteur » soit en « générateur », dans les quatre quadrants du plan couple-vitesse1,2,3 :
en fonctionnement « moteur », dans deux quadrants du plan couple-vitesse4, l'énergie électrique apportée par la source est transformée en énergie mécanique vers la charge3 ;
en fonctionnement « générateur », dans les deux autres quadrants5,3, l'énergie mécanique de la charge est transformée en énergie électrique vers la source (la machine se comporte comme un frein)3.
Comme ce fonctionnement est sans discontinuité et ne dépend pas de la machine elle-même mais de l'ensemble source d'alimentation/machine/charge, la distinction moteur/générateur est « communément » faite par rapport à la finalité d'usage de la machine. C'est ainsi que dans le langage commun l'utilisation de « moteur asynchrone » pour désigner cette machine est fréquent.
Les machines possédant un rotor « en cage d'écureuil » sont aussi connues sous le nom de machines à cage ou machines à cage d'écureuil. Le terme asynchrone provient du fait que la vitesse de rotation du rotor de ces machines n'est pas exactement déterminée par la fréquence des courants qui traversent leur stator (voir : « Principes généraux – Glissement d'une machine asynchrone »).
La machine asynchrone a longtemps été fortement concurrencée par la machine synchrone dans les domaines de forte puissance, jusqu'à l'avènement de l'électronique de puissance. Elle est utilisée dans de nombreuses applications, notamment dans le transport (métro, trains, propulsion des navires, automobiles électriques), dans l'industrie (machines-outils), dans l'électroménager. Elle était à l'origine uniquement utilisée en « moteur » mais, toujours grâce à l'électronique de puissance, elle est de plus en plus souvent utilisée en « génératrice »6,7, par exemple dans les éoliennes8.
Pour fonctionner en courant monophasé, les machines asynchrones nécessitent un système de démarrage. Pour les applications de puissance, au-delà de quelques kilowatts, les machines asynchrones sont uniquement alimentées par des systèmes de courants triphasés.
Etude d'installation électrique et réalisation de l'armoire électrique TGBTSadokZgolli
Etude d'installation d'éclairage, prise de courants, dimensionnement de circuits et réalisation pratique d'un TGBT du restaurant KFC rapport et annexe
Contact :
https://www.linkedin.com/in/sadok-zgolli/
zgollisadok@yahoo.com
L’objectif de ce document est de vous guider pas à pas dans la découverte des différentes fonctionnalités de base du logiciel Xcos pour un utilisateur n’ayant jamais utilisé un logiciel de modélisation et de simulation de systèmes dynamiques hybrides.
Rapport PFE | Remitec | Automatisation d'une installation de production des e...Zouhair Boufakri
Rapport du projet de fin d'étude, effectué à Remitec S.A.R.L., dans le cadre des études Licence en Génie Electrique et Systèmes Automatisés.
thème : Automatisation d'une installation de production des engrais aux Oligo-éléments.
ce cours est destiné aux élèves de génie électrique est plus spécialement aux filière STE ,discipline sciences de l'ingenieur.N'hesiter pas à me faire parvenir vos remarques et vos critiques sur mon adresse zahidiabdo@yahoo.fr;
PFE Réalisation d’un onduleur monophasé autonome commandé par PIC 16F877RAMZI EL IDRISSI
Réalisé par :
EL IDRISSI Ramzi
SEMLALI Amine
AGHMADI Ahmed
Filiére :
Génie Industriel & Energies Renouvelables ( l'école supérieure de technologie de Berrechid )
Cours machine asynchrone (cours et problèmes)OMAR EL MOUDEN
La machine asynchrone, connue également sous le terme anglo-saxon de machine à induction, est une machine électrique à courant alternatif sans connexion entre le stator et le rotor.
Comme les autres machines électriques (machine à courant continu, machine synchrone), la machine asynchrone est un convertisseur électromécanique basé sur l'électromagnétisme permettant la conversion bidirectionnelle d'énergie entre une installation électrique parcourue par un courant électrique (ici alternatif) et un dispositif mécanique.
Cette machine est réversible et susceptible de se comporter, selon la source d'énergie, soit en « moteur » soit en « générateur », dans les quatre quadrants du plan couple-vitesse1,2,3 :
en fonctionnement « moteur », dans deux quadrants du plan couple-vitesse4, l'énergie électrique apportée par la source est transformée en énergie mécanique vers la charge3 ;
en fonctionnement « générateur », dans les deux autres quadrants5,3, l'énergie mécanique de la charge est transformée en énergie électrique vers la source (la machine se comporte comme un frein)3.
Comme ce fonctionnement est sans discontinuité et ne dépend pas de la machine elle-même mais de l'ensemble source d'alimentation/machine/charge, la distinction moteur/générateur est « communément » faite par rapport à la finalité d'usage de la machine. C'est ainsi que dans le langage commun l'utilisation de « moteur asynchrone » pour désigner cette machine est fréquent.
Les machines possédant un rotor « en cage d'écureuil » sont aussi connues sous le nom de machines à cage ou machines à cage d'écureuil. Le terme asynchrone provient du fait que la vitesse de rotation du rotor de ces machines n'est pas exactement déterminée par la fréquence des courants qui traversent leur stator (voir : « Principes généraux – Glissement d'une machine asynchrone »).
La machine asynchrone a longtemps été fortement concurrencée par la machine synchrone dans les domaines de forte puissance, jusqu'à l'avènement de l'électronique de puissance. Elle est utilisée dans de nombreuses applications, notamment dans le transport (métro, trains, propulsion des navires, automobiles électriques), dans l'industrie (machines-outils), dans l'électroménager. Elle était à l'origine uniquement utilisée en « moteur » mais, toujours grâce à l'électronique de puissance, elle est de plus en plus souvent utilisée en « génératrice »6,7, par exemple dans les éoliennes8.
Pour fonctionner en courant monophasé, les machines asynchrones nécessitent un système de démarrage. Pour les applications de puissance, au-delà de quelques kilowatts, les machines asynchrones sont uniquement alimentées par des systèmes de courants triphasés.
Etude d'installation électrique et réalisation de l'armoire électrique TGBTSadokZgolli
Etude d'installation d'éclairage, prise de courants, dimensionnement de circuits et réalisation pratique d'un TGBT du restaurant KFC rapport et annexe
Contact :
https://www.linkedin.com/in/sadok-zgolli/
zgollisadok@yahoo.com
L’objectif de ce document est de vous guider pas à pas dans la découverte des différentes fonctionnalités de base du logiciel Xcos pour un utilisateur n’ayant jamais utilisé un logiciel de modélisation et de simulation de systèmes dynamiques hybrides.
L’objectif de ce document est de vous guider pas à pas dans la découverte des différentes fonctionnalités de base du logiciel Scilab pour un utilisateur n’ayant jamais utilisé un logiciel de calcul.
Scilab pour l'enseignement des mathématiquesScilab
Ce livret, réalisé avec le soutien d'Inria et co-écrit par Scilab Enterprises et des enseignants, est une introduction pratique et didactique à l’utilisation de Scilab, illustrée par de nombreux exemples inspirés des programmes de mathématiques du secondaire.
Scilab pour l'enseignement des mathématiquesScilab
L’objectif de ce livret est de vous guider pas à pas dans la découverte des différentes fonctionnalités de base du logiciel Scilab dans le cadre d’une utilisation en classes de mathématiques au lycée. Cette présentation se limite volontairement à l’essentiel pour permettre une prise en main facilitée de Scilab.
Javascript - Fonctions : que fait ce code ?Ruau Mickael
Ce document a été conçu et utilisé sur plusieurs sessions de formation professionnelles pour développeurs logiciels.
Il présente la syntaxe du langage javascript à usage d'un public de développeurs maîtrisant déjà un langage de développement (langage C, Java, C Sharp, PHP...).
Niveau : débutant.
Séance numéro : 4/10.
Temps nécessaire à la séance : environ 1h.
Cette séance est issue d'une série de 10 séances présentant le langage javascript (niveau débutant à confirmé).
Le niveau débutant de la série se réalise en 2 jours.
La niveau confirmé se réalise en 3 jours.
Ce programme est conforme aux titres du ministère du travail :
- Développeur Logiciel
- Concepteur Développeur Informatique
Il permet de valider les modules correspondants de ces titres RNCP (compétences développement de pages web).
La méthode utilisée mélange les approches interrogatives et actives :
- à partir d'exemples de code, faire raisonner les stagiaires par raisonnement hypothético-déductif ("que fait ce code?")
- à partir de code "à trous", faire découvrir et appliquer des éléments de syntaxe (travaux pratiques "construisons ensemble")
- à partir des problèmes rencontrés, faire rechercher des solutions possibles aux problèmes soulevés par le code "énigme" ("quelles solutions?")
- à partir de code "énigme", faire vérifier l'assimilation des connaissances ("vrai ou faux?")
Inclus :
- code à trou
- grille d'évaluation
Ce document powerpoint est également disponible en marque blanche. Nous contacter via notre compte twitter @forgelogicielle.
Similaire à utilisation de MATLAB dans l'asservissement.pdf (20)
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Accompagner les éleveurs dans l'analyse de leurs coûts de production
utilisation de MATLAB dans l'asservissement.pdf
1. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
Page 43
Conditions de fonctionnement
- Les manipulations s'effectuent dans le laboratoire "d'automatique".
- La durée de la manipulation est de 3 heures.
- Les étudiants travaillent par groupes de 4 au maximum.
- Chaque groupe doit présenter au début de la séance une
recherche bibliographique sur le thème de la manipulation.
OBJECTIFS GENERAUX
- Se familiariser avec les logiciels de CAO d’automatique
- Savoir simuler des systèmes asservis.
- Savoir utiliser des logiciels d’automatique CAO pour le calcul des
structures de commande.
OBJECTIFS SPECIFIQUES
A l’issus de cette manipulation, l’étudiant doit être capable de :
- Réaliser la simulation temporelle d’un système asservi linéaire en utilisant
l’outil SIMULINK.
- Réaliser la simulation fréquentielle d’un système asservi linéaire en
utilisant l’outil SIMULINK
- Réaliser la simulation fréquentielle d’un système asservi linéaire en
utilisant la programmation sous MATLAB.
PRE – REQUIS
- Notions sur l’informatique
- Notions sur l’étude temporelle des systèmes asservis.
- Notions sur l’étude fréquentielle des systèmes asservis
EQUIPEMENT ET ACCESSSOIRES
- Micro ordinateur.
- Logiciel MATLAB.
- Imprimante.
2. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
Page 44
PRESENTATION DU LOGICIEL :
MATLAB ( MATrix LABoratory ) est un système interactif et convivial de
calcul numérique et de visualisation graphique destin é aux ingénieurs et
scientifiques. Il possède un langage de programmation à la fois puissant et simple
d’utilisation.
Dans MATLAB, l’élément de base est la matrice. L’utilisateur ne s’occupe
pas des allocations mémoire ou de redimensionnement comme dans les langages
classiques. Les problèmes numériques peuvent être résolus en un temps record, qui
ne représente qu’une fraction infime du temps à passer avec d’autres langages
comme le Basic, C, C++ ou le Fortran.
En complément de MATLAB, l’outil additionne l SIMULINK est proposé
pour la modélisation et la simulation de systèmes dynamiques en utilisant une
représentation de type graphique ( schéma bloc ).
1. Initiation :
Programmation sous MATLAB
Si on veut développer un programme, on doit suivre les éta pes suivantes :
- Lancer MATALAB en cliquant deus fois sur son icône sous Windows
Une fenêtre « MATLAB command Windows » est alors affichée.
- Cliquer sur « File » et choisir « New » « Mfile »
3. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
Page 45
une nouvelle fenêtre est ouverte dans la quelle on peut écri re notre programme
- Donner un nom au programme qu’on enregistrera
- Pour l’exécution du programme taper son nom dans la fenêtre
« MATLAB command Windows »
Exemple de programmation : Etude d’un circuit électrique RLC
Le circuit RLC suivant est attaqué par un signal sinusoïdal jwt
e
t
e
Avec : R = 100 ; L = 0.1 H ; C = 1mM
et en domaine de pulsation allant de 0 à 5000 rad/s.
Dans le domaine fréquentiel, ce circuit est défini par la fonction de
transfert suivant :
jRCw
LCw
jw
V
jw
V
jw
H
e
s
2
1
1
)
(
)
(
Nous désirons calculer et tracer la réponse en fréquence de cette fonction
de transfert.
Pour ce la on doit développer le programme suivant :
L
R
C
Ve Vs
4. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
Page 46
Résultat de l’exécution du programme
Lorsque le module décroît très rapidement, il est néc essaire d’utiliser les
échelles logarithmiques pour la pulsation et le module.
Pour ce faire, il suffit d’ajouté les lignes suivante au programme
précédent :
% coordonnées logarithmiques
figure(3)
semilogx (w ; 180*angle (H) /pi)
grid , tiltle (‘phase en coordonnées semi logarithmiques’)
figure(4)
loglog (w, abs(H))
grid, title (‘module en coordonnées logarithmique’)
5. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
Page 47
Résultat de l’exécution du nouveau programme :
Utilisation de SIMULINK
1 - Initiation
Si on veut utiliser le SIMULINK, on doit suivre les étapes suivantes :
- Lancer MATALAB en cliquant deus fois sur son icône sous Windows
- Taper la commande SIMULINK à partir de la fenêtre « MATLAB
command Windows »
Une fenêtre est alors affichée sur la partie supérieure de l’écran. Elle
contient les différentes familles de blocs disponibles dans la bibliothèque
SIMULINK
6. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
Page 48
Pour examiner le continu d’une famille de blocs : pointer le rectangle
correspondant et cliquer deux fois la souris, tous les blocs appartenant à cette
famille seront affichés.
Pou fermer une fenêtre cliquer la souris sur le signe x en haut et à
gauche de la fenêtre en question.
Par exemple en cliquant deux fois sur le bloc Sinks en aboutit au menu
suivant :
Le contenu des autres blocs est :
Sources : générateurs de signaux ( sinus, carré, etc…)
Discrète : modèles discrets
Linear : modèles analogiques linéaires
Nonlinear : non linéarité (seuil, relais, etc…)
Connections : blocs de connexion ( multiplexeur , démultiplexeur ,etc…)
- Cliquer sur « File »et choisir « New », une nouvelle fenêtre est ouverte
La fenêtre ouverte est nommée « Untitled » ; vous pouvez la renommer quand
vous la sauvegardez.
7. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
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Pour construire le modèle à simuler on procède comme dans un laboratoire :
Etape 1 : Placer les éléments de votre système ( discrète, linear,
N.linear, connections, …)
Etape 2 : Placer le(s) générateur(s) de signaux (sources).
Etape 3 : Placer les appareils de mesure (Sinks)
Etape 4 : Faire les connections (à l’aide de la souris)
Etape 5 : Faire le réglage des différents éléments ( gain, base de
temps, fréquence, etc …)
Etape 6 : Choisir les caractéristiques des blocs et lancer la
simulation.
Etape 7 : Analysez les résultats (Scope, Enregistreur, Fichier,…)
2 – Sélectionner un objet :
Pour sélectionner un objet on doit cliquer une seule fois ; à ses coins
apparaissent des carrés noir. On peut sélectionner tous les objet existant
dans la fenêtre active en utilisant « SELECT ALL » du menu « EDIT ».
3 – Manipuler un bloc :
Les bloc possèdent deux propriétés : Générale et particulière
- Générale : commune pour tous les blocs ( dimension et position).
- Particulière : chaque bloc a ses caractéristiques ( la valeur du gain,
la valeur initiale d’un intégrateur, ….)
Lorsqu’un bloc est copié, il hérite tous les propriétés de celui de l’original.
a – Comment changer ou copier un bloc ?
Les blocs peuvent être changés ou copiés dans une fenêtre par
utilisation de la souris ou par l’usage de « CUT », « COPY » et
« PASTE » du menu « EDIT »
Utilisation de la souris :
Pour copier un bloc de la bibliothèque,, il faut pointer, maintenir
appuyé le bouton gauche de la souris tout en déplaçant vers l’endroit où on
désire reproduire le schéma du bloc. Lâcher le bouton et le bloc sera inséré
dans sa nouvelle position. Si la nouvelle posit ion est dans la fenêtre active
le bloc est déplacé et si elle dans une autre fenêtre, il est copié.
Pour dupliquer un bloc se trouvant dans la fenêtre de travail il faut
procéder de la même manière mais en utilisant le bouton droit de la souris.
b – Comment supprimer un bloc ?
Pour supprimer un ou plusieurs bloc, il faut le(s) sélectionner
puis actionner sur « DELETE KEY », ou choisir « CLEAR » ou
« CUT » du menu EDIT
8. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
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c – Comment redimensionner un bloc ?
Mettre le curseur dans l’un des carrés noirs qui se trouvent aux
coins du bloc sélectionné quand on veut changer ses dimensions.
4 – Manipulation des lignes :
a – Comment connecter les blocs ?
Pour relier la sortie (OUTPUT) d’un bloc à l’entrée (INPUT) de
l’autre, sélectionner la sortie, maintenir appuyé sur le bouton gauche et
traîner la pointe à l’entrée désirée . Lorsqu’on lâche le bouton, on obtient
une ligne de connexion avec une extrémité qui désigne la direction du
parcours du signal. La ligne de connexion est tracée dans deux sens
possibles de l’entrée à la sortie ou inversement mais son orientation ne
change pas.
b – Comment connecter deux lignes ?
Pointer la ligne, maintenir appuyé sur le bouton droit de la souris
et l’on déplace vers l’endroit désiré. De cette façon on obtient un e
nouvelle dérivation et il nous apparaît un point noir qui indique la
connexion entre deux lignes.
5 – Simulation des modèles :
Généralement on utilise un oscilloscope « SCOPE » ou un « XYgraph »
ou « To workspace » pour voir les courbes de simulation de notre
modèle. On démarre ou on arrête la simulation en choisissant,
respectivement, « Start » ou « Stop » du menu « Simulation ».
Après le démarrage de la simulation, on clique deux fois sur
l’oscilloscope pour voir la courbe.
Si on utilise le « To workspace », on doit le nommer, une fois
la simulation est terminée, on tape la commande plot(name) à
partir de la fenêtre « MATLAB command Windows »
name : le nom du « To workspace »
9. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
d’automatique
ISET Gafsa département génie électrique Février 2001
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MANIPULATION :
I- Première partie : Utilisation de SIMULINK :
1- Génération d’une rampe :
Réaliser le schéma de simulation suivant :
Donner la réponse à un échelon d’amplitude 1 pour les valeurs
suivantes du gain : ( G = 1 ; G = 2 ; G = 5 ).
2- Réponse temporelle des systèmes de premier et second ordre :
a – Tracer la réponse à un échelon ( E0 = 1 V ) d’un système de premier ordre
pour différentes valeurs de T ( 5s ; 7s ; 10s ; 15s ) ; K = 1. Déterminer le
temps de stabilisation à 5% et à 10%.
b – Tracer la réponse à un échelon ( E0 = 1 V ) d’un système de premier ordre
généralisé ( T = 4 s , K = 1) pour = 0 ; 0.5 ; 1 ; 1.5 ; 2 ).
c – Tracer la réponse à un échelon ( E0 = 1 V ) d’un système de second ordre
( f = 0.3 Hz , K = 1) pour m = 0 ; 0.1 ; 0.3 ; 0.5 ; 0.7 ). Déterminer le
dépassement et le temps de pic, en déduire le temps de stabilisation à 5%.
d – Tracer la réponse à un échelon ( E0 = 1.5 V ) d’un système de second
ordre ( f = 0.25 Hz , K = 1) pour m = 1 ; 1.3 ; 1.5 ). Déterminer le temps de
stabilisation à 5%.
3- Réponse temporelle des systèmes linéaires :
Soit la fonction de transfert suivante :
p
p
p
e
p
e
p
e
p
p
p
H 6
2
4
2
2
2
2
1
1
1
1
)
(
Tracer la réponse à un échelon d’amplitude 1 V.
10. TP 2
Réf /10
Simulation des systèmes asservis
( Logiciel MATLAB - SIMULINK )
Laboratoire
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II- Deuxième partie : Programmation sous MATLAB :
1- Réponse en fréquence des système de 1er
et 2ième
ordre :
a– Tracer la réponse en fréquence ( diagramme de Bode ) d’un système de
premier ordre ( K = 1 ) pour T = 5s, en développant le programme suivant :
b– Tracer la réponse en fréquence ( diagramme de Bode ) d’un système de
premier ordre généralisé ( K = 1 ; T = 4 s ) pour = 0.5 ;1.5
c– Tracer la réponse en fréquence ( diagramme de bode ) d’un système de
second ordre ( f = 0.3 Hz ; K = 1 ) pour m = 0.1 ; 0.3
Remarque :
Pour changer l’ordre de système il suffit de changer l’expression de la
fonction de transfert « t »