L'économie circulaire est un modèle économique qui répond aux limite de notre modèle actuel et offre nombre d'opportunités pour nos entreprises. Le 1er mars, l'UCM, en partenariat avec IKEA, Skyfarms, Lilibulk et ESN proposait un atelier pour parcourir le concept et ses modèles sous-jacents.
17. PROGRAMME
L’économie circulaire et ses modèles
La mise en œuvre et l’illustration
L’économie circulaire
L’économie de la
fonctionnalité
La relocalisation:
circuits-courts
Eco-conception
18. ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Un système économique d’échange et de production qui, « à tous les
stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à augmenter
l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer l’impact sur
l’environnement tout en développant le bien être des individus ».
L’économie circulaire vise également à diminuer drastiquement le
gaspillage des ressources à la source […]. Dans toute la mesure du
possible, elle se développe à l’échelle locale en créant des chaînes de
valeur peu délocalisables.
19. ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Un système économique d’échange et de production qui, « à tous les
stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à augmenter
l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer l’impact sur
l’environnement tout en développant le bien être des individus ».
L’économie circulaire vise également à diminuer drastiquement le
gaspillage des ressources à la source […]. Dans toute la mesure du
possible, elle se développe à l’échelle locale en créant des chaînes de
valeur peu délocalisables.
20. ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Un système économique d’échange et de production qui, « à tous les
stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à
augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer
l’impact sur l’environnement tout en développant le bien être des
individus ».
L’économie circulaire vise également à diminuer drastiquement le
gaspillage des ressources à la source […]. Dans toute la mesure du
possible, elle se développe à l’échelle locale en créant des chaînes de
valeur peu délocalisables.
21. ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Un système économique d’échange et de production qui, « à tous les
stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à
augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer
l’impact sur l’environnement tout en développant le bien être des
individus ».
L’économie circulaire vise également à diminuer drastiquement le
gaspillage des ressources à la source […]. Dans toute la mesure du
possible, elle se développe à l’échelle locale en créant des chaînes de
valeur peu délocalisables.
22. ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Un système économique d’échange et de production qui, « à tous les
stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à
augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer
l’impact sur l’environnement tout en développant le bien être des
individus ».
L’économie circulaire vise également à diminuer drastiquement le
gaspillage des ressources à la source […]. Dans toute la mesure du
possible, elle se développe à l’échelle locale en créant des chaînes de
valeur peu délocalisables.
23. ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Un système économique d’échange et de production qui, « à tous les
stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à
augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer
l’impact sur l’environnement tout en développant le bien être des
individus ».
L’économie circulaire vise également à diminuer drastiquement le
gaspillage des ressources à la source […]. Dans toute la mesure du
possible, elle se développe à l’échelle locale en créant des chaînes de
valeur peu délocalisables.
24. ÉCONOMIE CIRCULAIRE
Un système économique d’échange et de production qui, « à tous les
stades du cycle de vie des produits (biens et services), vise à
augmenter l’efficacité de l’utilisation des ressources et à diminuer
l’impact sur l’environnement tout en développant le bien être des
individus ».
L’économie circulaire vise également à diminuer drastiquement le
gaspillage des ressources à la source […]. Dans toute la mesure du
possible, elle se développe à l’échelle locale en créant des chaînes de
valeur peu délocalisables.
32. Phases de travail
du concepteur
100% des efforts
investis%
20 des efforts
investis%
Impactsenvironnementaux
80%Choixtechniques(coûts)80%
Des
concepts
Des
idées
Source : Pôle éco-conception et management Cycle de vie
Une
solution
+
un
prototype
Des
produits et
des
services
finis
Des déchets
ou des
ressources ?
36. Environnement : jusqu’à 80% des aspects environnementaux
Retours économiques :
– Augmentation des revenus
– Diminution des coûts variables (énergie, matières premières, …)
Rencontre les attentes des consom’acteurs
Proactivité devant la règlementation
Stimule l’innovation et la créativité
– Synergie des compétences
Image et notoriété
Avantages et bénéfices associés
à la démarche en éco-conception
37. Reconnexion de l’environnement
avec les autres enjeux stratégiques de l’entreprise
Maitrise des
coûts
Faisabilité
technique
Attentes de
clients
Environnement
Retours économiques
Rencontre
des consom’acteurs
(Eco) innovations
40. Quel impact environnemental génère sa culture, son extraction,
son utilisation ?
Origine naturelle ou synthétique ?
Ressource renouvelable ?
Ressources locale ou éloignée ? Quel mode de transport et à
quelle distance?
Issue de matière recyclée ? Recyclable ? Les deux ?
Exploitable à l’état brut ou étape de transformation nécessaire ?
Emploi seul (mono-matériau) ou combiné dans le produit (multi-
matériaux) ?
Matières premières
41.
42. Production
Production locale possible ?
Minimisation des déchets de production
(chutes) ?
Possible de minimiser l’énergie nécessaire à la
production ?
Comment maximiser le nombre de pièces par
volume de transport et de stockage
(conditionnement)?
43.
44. Transport et logistique
Quels types de transport prévoyez-vous?
Mutualisation des moyens de transport, stockage
?
Produit démonté/démontable ?
Comment évitez-vous les déchets de transports
(palettes, emballages,...)? Logistique inverse ?
45.
46. Utilisation
Produit conçus pour durer à une utilisation intensive ?
Produit récupérable, permettant seconde vie pour le
produit?
Modèle économique fondé sur la possessions ou l’usage ?
Indications pour l’utilisateur sur l’emploi, l’entretien, les
évolutions possibles du produit ?
Informations sur les différentes actions possibles en fin de
vie du produit
47.
48. Fin de vie
Revaloriser en seconde main?
Votre produit est-il réadaptable et donc
revendable?
Votre produit est-il recyclable?
Votre produit est-il biodégradable?
55. Logiquement, la définition de circuits courts se
réfère à l’existence d’un nombre limité
d’intermédiaires entre le producteur et le
consommateur
Qu’entend-on par Circuits courts ?
56. Qu’entend-on par Circuits courts ?
Mais le concept de Circuit court inclut aussi la
notion de lien social, de transparence, de
coopération, d’équité, et de dynamique
territoriale visant la relocalisation économique
et la création d’écosystèmes impliquant
l’ensemble des acteurs de la chaîne.
57. Pourquoi développer les
Circuits courts?
« Une image vaut mille mots » (Confucius)
https://www.youtube.com/watch?v=dSpEJCQAURA&feature=youtu.be
58. Circuits courts : le contexte
À l’origine, les Circuits
courts sont nés
comme solution
alternative à la
mondialisation qui a
conquis
l’agroalimentaire
59. Circuits courts : le contexte
Cependant, l’ensemble des secteurs d’activités
répondant à des besoins fondamentaux pourrait
adhérer à une logique territoriale, se nourrir, se loger,
s’habiller, se chauffer, se détendre,…
Les succès stories sont de plus en plus nombreuses :
60. Voici quelques témoignages, qui de par la disparité des
initiatives présentées permettent de montrer la
diversité des modèles en circuit court (alimentaires,
non-alimentaires, économie marchande, économie
sociale, disparité géographique, …)
https://www.youtube.com/watch?v=5fq3ZBckiG8&t=21s
Circuits courts : le contexte
61. Les Circuits courts ont le vent en poupe.
Les individus prennent conscience des enjeux
et impacts de leurs actes de consommation :
• Impacts sur leur santé
• Impacts en matière de sécurité alimentaire
• Impacts sur le dynamisme économique
Circuits courts : le contexte
62. Circuits courts :
Enjeux environnementaux
1er avantage a priori : le transport… pas si évident!
Les CC favorisent une production moins intensives, voire
même biologiques
La proximité favorise la transparence sur les modes de
production et/ou de transformation et favorisent ainsi les
pratiques respectueuses de l’environnement et de la santé.
Forte réduction de la production de déchets (le
suremballage devient inutile)
62
63. Circuits courts : Enjeux économiques
Les CC relocalisent l’économie ;
protègent les producteurs et consommateurs des
chocs systémiques de celle-ci ;
permettent aux producteurs de garder la maitrise
de leur marges et de vendre à un prix juste et de
valoriser leur savoir-faire
Sont une alternative à la consommation de masse
en relocalisant les filières au niveau local.
63
64. Circuits courts : Enjeux sociaux
Les circuits courts améliorent la proximité
relationnelle et la solidarité entre consommateurs
et producteurs
Ils favorisent le lien au territoire.
Ils assurent la transparence de l’origine
Entreprises à taille humaine.
Reconnaissance du savoir-faire des producteurs
64
65. Circuits courts : conclusions
Les Circuits courts sont une des réponses aux
dérives liées au modèle économique mondialisé
Les CC sont ancrés dans le territoire
Les CC stimulent l’économie en mobilisant des
ressources locales variées (matières premières,
savoir-faire et compétences ainsi que la main
d’œuvre). Ils permettent de relocaliser et maintenir
des activités endogènes
66. Circuits courts : conclusions
Les CC sont source d’un dynamisme économique local
et d’emplois de qualité.
(Néanmoins, leur impact environnemental fait débat, notamment en raison
des déplacements qu’ils peuvent occasionner à la fois pour les producteurs
et les consommateurs)
Les CC, desservent l’économie circulaire en créant des
mécanismes économique vertueux de production et
d’échange de produits.
Grâce aux CC, les entreprises peuvent établir des
relations horizontales et directes où les échanges sont
basés sur la transparence et l’équité.
69. POUR QUI ?
Pour les entrepreneurs qui souhaitent intégrer rapidement et de
manière concrète une offre de produits locaux au sein de leurs points
de vente.
Pour les commerçants qui veulent développer des gammes de produits
issus des Circuits courts.
Pour les porteurs de projet qui veulent lancer une activité de vente en
circuits courts.
70. COMMENT ?
Via un accompagnement collectif et individualisé réparti sur 4
modules d'une durée de 4 demi-journées organisées sur 2 mois,
la formation sera :
Orientée pratique et pragmatique, pour permettre d’intégrer
rapidement et de manière concrète une offre de produits locaux au
sein des points de vente.
Conçue en ateliers de travail collectifs ou individuels permettant
d’avancer concrètement et sereinement à l’implémentation de denrées
en circuit court.
71. CONTENU
Module 1- Demande : comment répondre aux attentes
premières des consommateurs CC au sein de mon commerce:
En pratique: Après identification de son public cible (travailleurs et
retraités), des potentiels clients (administrations publiques et entreprises)
et de l’absence de concurrence dans son quartier, le commerce a
développé des lunch à emporter pour répondre à leurs attentes.
72. CONTENU
Module 2 - Offre: composer une offre porteuse et rentable; se
différencier sans se perdre; les relations avec les fournisseurs :
En pratique: pour se différencier et vu sa situation à proximité d’un arrêt
de bus, le commerce a développé un petit déjeuner à emporter ainsi
qu’un dépôt de pains pour étoffer son offre.
73. CONTENU
Module 3 - Communication: développer un plan de
communication et identifier les outils pertinents :
En pratique: étant donné que la moitié de son public cible est connecté,
le commerce apprendra à développer une présence sur les réseaux
sociaux mais aussi un marketing local pour toucher les non-connectés
(notamment les retraités).
74. CONTENU
Module 4 - règlementation et organisation :
Les bases de la réglementation
Organisation interne et externe
En pratique: vu que le commerce souhaite proposer des plats préparés
« Maison ». Il sera informé de toutes les réglementations en terme
d’hygiène et d’étiquetage liés à cette activité (en plus des réglementations
générales pour tout commerce alimentaire)
80. SORTIR DE LA LOGIQUE DE VOLUME
L’économie de la fonctionnalité déplace la
stratégie de l’entreprise de logique de vente de
biens vers des solutions qui intègrent des
biens et des services de manière à créer de
valeur sur l’usage.
On se préoccupe de la façon dont cela rend service
81. SORTIR DE LA LOGIQUE DE VOLUME
Augmenter la valeur servicielle de votre offre
EN QUOI CELA AIDEZ-VOUS CLIENT?
Est-ce que le client va gagner en productivité?
En relation sociale? En bien-être?
85. RESSOURCES IMMATÉRIELLES
Intangibles
Se développent dans l’usage, avec l’expérience
A conditions d’être capable d’apprendre de
l’expérience pour innover, se professionnaliser,
développer des compétences, la confiance.
86. EN COOPÉRATION
Avec vos clients et avec votre écosystème
Pour augmenter la pertinence
Et exclure…
87.
88. EN COOPÉRATION
Avec vos clients et avec votre écosystème
Pour augmenter la pertinence
Et exclure… et avoir l’occasion de planifier le
développement de votre entreprise
Attention, réussir une relation de coopération
n’est pas simple
91. EXTERNALITÉS
Effets externes , involontaires positifs ou
négatifs sur un autres acteurs qui ne sont pas
contractualisés.
En les intégrant, vous vous encrez dans le
territoire et les acteurs locaux ont intérêt à ce
que vous vous développiez
93. Vend et répare des ordinateurs
– Concurrence d’internet sur la vente de matériel
– De plus en plus de Do it Yourself
– Offre pour un nouveau marché
94. A quoi sert un ordinateur
Comment l’entreprise rend-elle service à ses
client? Comment augmenter la pertinence de
l’offre?
Comment augmenter la durée de vie d’un
ordinateur et diminuer les DEEE
95. 10 MOIS D’ACCOMPAGNEMENT
Objectif: co-construire une solution en économie
de la fonctionnalité
1 atelier par mois
Test beta-testeurs
Rencontres individuelles
Reconstruction financière, marketing, juridique,…
96. OFFRE en économie de la fonctionnalité
Faciliter le travail et la qualité de vie au
quotidien des indépendants et des PMEs
98. Met à disposition des vélos électriques en
bambou ou non, fabriqués à Bruxelles avec du
bambou belge ou français
Plus vous roulez, moins vous payez
Une offre circulaire MAIS…
99. Se professionnalisé
L’entreprise souhaite grandir sainement
– Challenger ses stratégies avec des parties prenantes
(clients potentiels, revendeurs, …)
– Acquérir une rigueur opérationnelle
– Se doter d’outils de gestion
– Elargir son réseau
– Fixer les aspects juridiques (contrats, conditions générales
de vente)
– Professionnaliser sa communication et son marketing
100. 2 RENCONTRES PAR MOIS
Objectif: aider l’entreprise à grandir sainement
2 rencontre par mois avec des objectifs courts et moyens
terme
Test beta-testeurs
Mise en contact parties prenantes
Expertise juriste, guichet, secrétariat social UCM
Ateliers collectifs
Proposition d’outils de gestion
…
101. Perrine Collin et Martin NEYS
Cellule éco-conception
www.eco-conception.be
02 743 83 88(98) – eco-conception@ucm.be
103. HISTORIQUE
Notre histoire
● Greenlab avec un projet pilote
● Novembre 2016 : création de la SPRL
● Été 2017 :
○ Opportunité de marché
○ L’équipe
○ Le process pour y répondre
105. VOTRE POTAGER D’ENTREPRISE
Accompagnement “All in”
● Créer du lien, se détendre et se rencontrer
● Animation sous différentes formes
● Conception, installation, entretien
● Local et de saison
● Permaculture, sans produits chimiques
● Entre ciel et terre (toit, terrasse, jardin)
On récolte ce que l’on sème...
108. Pourquoi ?
● Aller au bout de nos valeurs
● Un choix économique intelligent pour assurer
un développement à long terme.
Concrètement :
● Matériaux et partenaires locaux, respectueux
de l’environnement (bois recyclé et artisans
belges)
● Recyclage et valorisation des déchets
● Exploiter des espace inutilisés
● Vendre le service plus que le produit
● Meilleure utilisation du capital humain
● Recherche de synergies d’entreprise :Tomato
chili, Permafungi, partage de camionnette...
Bourse Be circular 2018 !
L'ÉCONOMIE CIRCULAIRE
L’économie circulaire au coeur
de Skyfarms
110. ● Formation UCM pour transformer le business modèle et
passer à l’économie de la fonctionnalité
● On reste propriétaire du potager
● Travail poussé sur les besoins auxquels on répond
○ Cohésion et motivation
○ Santé
○ Image
● Comment renforcer les externalités ?
○ Biodiversité
○ Ville plus verte
● Avantages :
○ Investissement dans du matériel durable de qualité
○ Gestion de la fin de vie
○ Intégration de nouvelles compétences et nouveaux
partenaires pour une offre de valeur toujours plus
complète et ciblée.
ECONOMIE DE LA FONCTIONNALITÉ
Pertinence des services plutôt qu’une logique de volume
144. ESN - European Service Network
• Depuis 1986
• Agence de communication « one
stop shop »
• Spécialisée en communication
institutionnelle
• Centre de Bruxelles
• 50 employés
• Chiffre d’affaires annuel de 10-15 €m
145. Services
• Stratégie de Communication
• Produits média digitaux:
Edition multilingue
Audiovisuel
Design graphique
Web
• Evénements & Publicité
Publicité, veille et monitoring de médias sociaux
Organisation d’événements, stands et logistique
146. ESN – Label Entreprise éco dynamique
Certifié depuis 2004* - 2009* - 2012** et 2015**
Motivations
Internes:
• Gains en efficacité/économies
• Rendre cohérentes des démarches isolées
• Promouvoir des attitudes écoresponsables
• Mesurer et accompagner / trouver de
nouvelles solutions
Externes:
• Communiquer sur les valeurs de l’entreprise
• Se mettre en phase avec les demandes du
secteur
• Réseautage & implication en Région
bruxelloise
147. Initiatives
Depuis 2004: habitudes généralisées d’éco-gestion
PAR EXEMPLE:
• Promotion d’une mobilité durable
• Choix d’appareils électriques classés A (A+, A++)
• Paramétrage des imprimantes
• Intégration progressive de lampes économiques
• Ventilation naturelle des pièces (sauf pour les serveurs)
• Suivi des données : consommation d’électricité, papier etc.
• Réutilisation des fournitures de bureau
• Communiquer en interne sur l’éco-gestion
• Possibilité de télé-travailler
148. Initiatives
Eco-gestion = créativité & RSE
• Mise en place d’une éco-team
• Cadeaux immatériels aux employés
• Création d’un logo interne « éco-management»
• Paniers de fruits chaque semaine depuis 2010 (atelier protégé)
• Distributeurs de boissons Oxfam pour les employés
• Distribution de sacs ESN (bâches recyclées)
149. Écoconception & économie circulaire
le cas de l’évènementiel chez ESN
Impacts environnementaux des stands dans l’événementiel :
• Importantes consommations d’énergie : éclairages, chauffages, air
conditionné, transports
• Nombreux déchets rarement triés aux démontages:
* tapis et revêtements de sols.
* panneaux de bois avec colles, clous, agrafes et vis.
* peintures avec solvants
* matériaux plastiques (PVC...)
* visuels imprimés (bâches PVC...)
150. Réponses et alternatives chez ESN
Réalisation des chantiers avec la
main d’œuvre locale pour
diminuer ou supprimer l’impact du
transport/coût énergétique
• Partenariats avec de
nombreuses firmes en
Belgique et à l’étranger.
• Diminution des coûts
(transport) répercutée vers le
client
151. Réponses et alternatives chez ESN
Utilisation de tapis en dalles :
• Stockage et transport plus
faciles
• Montages et démontages
aisés
• Réemploi (durée de vie) +
recyclage « cradle to cradle »
(dalles DESSO)
• Facilité de nettoyage
152. Réponses et alternatives chez ESN
Eclairage « LED » :
• Consommation électrique de 10 à
20 x inférieure
(Ré)utilisation de plus en plus fréquente
de mobilier en carton réutilisable,
recyclé et recyclable
Réemploi de matériaux existants:
• Matériel modulable
• ESN s’adapte a ce qui existe chez ses
partenaires
• Utilisation de bâches sans date et
aux couleurs « corporate »
153. Écoconception & économie circulaire
Le cas du numérique
Impacts environnementaux du numérique :
• 2 à 6 % des émissions de gaz à effet de serre
• Epuisement des ressources non renouvelable dont
l’énergie, mais aussi de métaux rares (une puce
électronique = 16,000:1 MIPS)
• 50 à 75 millions de tonnes de DEEE
* recyclage insuffisant (+/- 20 %)
* trafic de déchets (+/- 80 % du volume)
* 1 g de mercure pollue 1m3 de terre pendant 50 ans
* risques sanitaires
* effondrement de la biodiversité
Source: GreenIT.fr
154. Internet
• Une croissance soutenue
Internautes : 45 millions en 1995 à 3,2 milliards en 2015
Terminaux : 3 milliards en 2010 à 9 milliards en 2015
Serveurs : de 14 millions en 2000 à 44 millions en 2015
• Le poids moyen d’une page web a été multiplié par
x3 entre 2010 et 2015
x115 entre 1995 et 2015 (et même x176 si on considère
le poids décompressé)
• Escalade des équipements
* Terminaux, serveurs, réseaux
* Bandes passantes
* Obsolescence programmée
* Obésiciels, « Fatwares »
Source: GreenIT.fr
156. Réponses et alternatives chez ESN
Axes principaux
Notion de « Service numérique » intégrant l’ensemble des systèmes et services
sous-jacents
Optimiser la conception des services numériques pour diminuer l’impact sur les
ressources matérielles et techniques
Par ce biais, allonger la durée d’utilisation des équipements: terminaux , serveurs,
réseau
157. Réponses et alternatives chez ESN
Mise en œuvre
Conception fonctionnelle
• Des interfaces simples et un parcours utilisateur intuitif,
se débarrasser de l’inutile
Optimisation
• Le code des applications
• Le poids des éléments (images, PDFs,..)
• La bande passante utilisée
Choix des prestataires
• Hébergeurs « Green »
158. Réponses et alternatives chez ESN
Partenariats
GreenIT.fr
• Elaboration des bonnes pratiques
• Formation
• Certification
Collectif conception numérique
responsable
• 60 entreprises
• Echange de bonnes pratiques
• Séminaires
Choix des prestataires
• Hébergeurs « Green »
159. Réponses et alternatives chez ESN
Cas concret
Commission Européenne
• Site d’information sur l’environnement
Avant
Score EcoIndex : F
7,7 Mo
22 sec full load time
Après
Score EcoIndex : C
493 Ko (16x moins)
5,3 sec full load time (4x moins)
Réduction empreinte (2x moins)
GES : 0,81 g de - par page (moyenne = 2 g
CO2e)
Eau : 1,21 cl de - par page (moyenne = 3 cl)
165. LENT ET
CONTRAIGNANT
TARER, PESER, PRENDRE
SES CONTENANTS AU
MAGASIN BIO
LOURD ET
EMCOMBRANT
PRENDRE TOUT AVEC
SOI LORSQU’ON EST
UN ADEPTE DE LA
MOBILITE DOUCE
TEMPS ET VOLONTE
AVOIR SES
CONTENANTS AVEC
SOI, DE LA BONNE
TAILLE, EN BONS
NOMBRES
166.
167.
168.
169. 1. Les produits
• Comment faire pour intégrer des
produits en circuit court ?
• Exemples
• Raconter l’histoire +
Transparence
170. 2. Les points de vente
• Comment faire pour intégrer
des point de vente en circuit
court ?
• Exemples
171. 3. La livraison
• Comment faire pour intégrer la
livraison en circuit court ?
• Exemple pour le B2C
• Exemple pour le B2B
• Mutualisation
177. Conclusion
• Le circuit court s’applique au niveau de l’approvisionnement des
produits mais aussi des partenaires avec qui nous travaillons
• Ceci est également un critère que nous prenons en compte dans le
choix
• ex : localisation entrepôt
• L’économie circulaire est génératrice d’opportunités
Notes de l'éditeur
L’UCM
Comment faire face à la concurrence
Comment être compétitif alors que notre valeur ajoutée réside dans nos cerveaux
Les impacts environnementaux liés à la conception sont déterminés dès le début du cycle de développement d’un produit. Après 20% du temps consacré au développement d’un produit l’entreprise a déjà figé 80% des choix techniques, mais également 80% des aspects environnementaux liés à ce produit. Pour maximiser l’efficience de ses résultats, la démarche de l’éco-conception doit donc être considérée le plus tôt possible, en amont du déroulement de conception.
L’éco-conception, est justement une réponse cruciale apportée à l’activité productrice, que ce soit des biens, des services ou des procédés. Cette démarche d’amélioration continue repose en effet sur une vision globale des enjeux liés à la conception du produit. Elle prend en compte l’ensemble des impacts environnementaux (eau, air, sols, énergie, bruit, matière première, déchets,…) et considère toutes les étapes du cycle de vie, de l’extraction des matières premières à sa fin de vie, le tout en conservant sa qualité d’usage, voire en l’améliorant.
Cette approche permet à l’entreprise de se préoccuper des différentes activités qui rythment chacune des étapes de vie de son produit : Quels sont les intrants nécessaires à ces activités ; matière et énergie ? Quels impacts engendrent-ils ? Quels est la portée de ces derniers ? Et d’agir ensuite en conséquence sur les étapes de vie les plus impactantes : l’utilisation de matières première renouvelable, un processus réduisant les déchets de production comme l’optimisation de la découpe industriel, la réduction du poid, l’augmentation de la durabilité du produit, l’utilisation partagée de ce dernier ou encore la possibilité de valoriser ses composants en fin de vie sont des exemples d’actions alternatives à entreprendre pour l’entreprise.
L’éco-conception, est justement une réponse cruciale apportée à l’activité productrice, que ce soit des biens, des services ou des procédés. Cette démarche d’amélioration continue repose en effet sur une vision globale des enjeux liés à la conception du produit. Elle prend en compte l’ensemble des impacts environnementaux (eau, air, sols, énergie, bruit, matière première, déchets,…) et considère toutes les étapes du cycle de vie, de l’extraction des matières premières à sa fin de vie, le tout en conservant sa qualité d’usage, voire en l’améliorant.
Cette approche permet à l’entreprise de se préoccuper des différentes activités qui rythment chacune des étapes de vie de son produit : Quels sont les intrants nécessaires à ces activités ; matière et énergie ? Quels impacts engendrent-ils ? Quels est la portée de ces derniers ? Et d’agir ensuite en conséquence sur les étapes de vie les plus impactantes : l’utilisation de matières première renouvelable, un processus réduisant les déchets de production comme l’optimisation de la découpe industriel, la réduction du poid, l’augmentation de la durabilité du produit, l’utilisation partagée de ce dernier ou encore la possibilité de valoriser ses composants en fin de vie sont des exemples d’actions alternatives à entreprendre pour l’entreprise.
Ainsi, lorsque qu’un projet d’éco-conception aboutit, il a donc une série de retombées, sur l’organisation et ses travailleurs, mais également sur l’utilisateur des produits et services. Les observations récentes ont démontré le caractère très bénéfique de ces retombées, notamment en matière de rentabilité pour l’entreprise.
Le premier bénéfice, il est bien sur environnemental, car les impacts environnementaux liés à la conception sont déterminés dès le début du cycle de développement d’un produit. Après 20% du temps consacré au développement d’un produit l’entreprise a déjà figé 80% des choix techniques, mais également 80% des aspects environnementaux liés à ce produit. Pour maximiser l’efficience de ses résultats, la démarche de l’éco-conception doit donc être considérée le plus tôt possible, en amont du déroulement de conception.
L’argument économique reste aujourd’hui le principal levier de sensibilisation pour les entreprises et la mise en place de stratégies liées à l’environnement n’est, pour ces dernières, pas encore forcément synonyme de rentabilité. Notamment pour des raisons d’investissements en matière de temps, d’énergie et de coût supposés trop importants.
Pourtant, une meilleure maitrise de la conception de produit et service a pour effet d’optimiser les activités et diminuer les coûts y afférant. Une diminution des chutes de matières lors de la phase de fabrication d’un produit permet par exemple d’amoindrir les coûts relatifs à l’énergie, à la consommation de matières premières et/ou au traitement des déchets.
L’éco-conception participe à un retour économique positif en augmentant les revenus liés à la vente de produits et de services et en réduisant les coûts récurrents dans leur production (coût énergétique, coût des matières premières, …).
Sur 30 cas d’entreprises ayant appliqué une démarche en éco-conception et mis à l’étude par le pôle éco-conception, 28 ont rencontré un profit net par rapport à une production traditionnelle. Que ce soit en matière d’augmentation des revenus ou de diminution des coûts variables, ce qui démontre le caractère rentable de la démarche.
L’argument économique n’est pas l’unique opportunité pour l’entreprise. Les produits éco-concus permettent de rencontrer les attentes de consommateurs, attentes qui évoluent au profit d’une intégration de plus en plus importante de l’environnement dans leurs choix de consommation. En proposant dans produits simplifiés, résistants, moins consommateurs en énergie c’est aussi un moyen de soulager le portefeuille du consommateur et de le fidéliser à l’entreprise.
L’éco-conception favorise également les relations en amont en accentuant la possibilité d’être choisi comme fournisseur. La performance environnementale du produit ou du service est devenu un critère de sélection de plus en plus présente dans le cahier de charge. Les guides d’achats durables sont l’exemple de cette intégration.
Toujours dans cette tendance d’intégration, l’empreinte écologique devient également un critère d’importance dans les décisions relatives à l’octroi de financement. Les incitants publics au développement de produits et services éco-conçus sont déjà très nombreux sur la Région de Bruxelles-Capitale. Ces leviers positifs allègent drastiquement les coûts financiers de l’entreprise.
La règlementation environnementale progresse, d’une approche d’abord curative basée sur le traitement de la pollution, nous sommes passés à une approche préventive et plus récemment à une approche intégrée avec un cadre règlementaire orienté produits ROHS, EUP, ERP, … .
Anticiper ces évolutions au travers d’une démarche d’éco-conception permet à l’entrepreneur de se positionner en amont de potentielles contraintes et ainsi de les éviter.
L’éco-conception met également en avant l’importance de l’innovation, en associant notamment les compétences des différents départements de l’entreprise (Marketing, technique, Achat, Direction, …) et en privilégiant les réflexions avec les fournisseurs. Ceci a pour effet de développer sa créativité et générer des produits et des services à haute valeur ajouté, appréciés pour leurs performances. Cela a pour effet de renforcer l’argument concurrentiel de l’entreprise et de favoriser sa différentiation sur le marché. Cela permet de pallier à la présence d’un département R&D, souvent réservée aux grandes structures.
Ajoutons encore la possibilité de stimuler et rassembler le personnel de l’entreprise autour d’un projet qui favorise le partage de leurs compétences, si la mobilisation est effective, cela peut avoir des effets positifs sur la productivité.
Enfin, l’éco-conception améliore l’image de l’entreprise et assois sa notoriété.
Les leviers sont, vous le constatez, extrêmement nombreux et posent l’éco-conception comme une réponse adaptée à un contexte marqué par l’urgence environnementale et une conjecture économique difficile.
Inscrite dans une perspective d’amélioration continue, la démarche de l’éco-conception est intimement liée aux différents pouvoirs organisationnels de l’entreprise et leur volonté d’agir pour pérenniser leur activité économique. Elle mobilise toutes les factions présentes autour du projet et permet d’intégrer l’environnement au même titre que les autres enjeux stratégiques de l’entreprise.
Encore d’autre exemples d’éco-conception : Pocheco, MCB, NNOF
C’est un mode de production et de commercialisation qui favorise le minimum d’intermédiaire entre la production d’un produit et le consommateur de ce même produit, ceci tout en veillant à garder une zone géographique minimum entre ces acteurs.
la notion de circuits courts ramène l’individu au centre du débat pour une société plus solidaire et plus juste où chacun apporte de la valeur dans une relation de confiance.
La proximité resserrant les liens entre les individus et réduisant les impacts (entre autres ceux liés aux déplacements).
Pour bien cerner le model voici le film « Pourquoi développer les Circuits courts? »
Ce film se veut générique, didactique et adapté pour différents publics cibles.
Ce film d’animation, a pour objectif de :
- vulgariser le potentiel de développement des circuits court ;
- identifier les enjeux pour l’économie locale.
Cette animation a été réalisée en 2014 par compte du CRCC (Centre Reference Circuits Courts) en occasion des Premières Rencontres Circuits courts
https://www.youtube.com/watch?v=dSpEJCQAURA&feature=youtu.be
À l’origine, les circuits courts sont nés d’un modèle de production agricole poussé à l’extrême dans leurs logiques de rentabilité et productivité menant aux dérives que l’on connaît : scandales sanitaires, impact sur l’environnement, faible rémunération des producteurs,… C’est donc naturellement dans le secteur alimentaire que se sont développés les premières actions de circuits courts de par le monde.
Dès les années 60, le Japon, réfléchit à une solution alternative au commerce moderne, avec les Teikei (système de distribution directe). Consommateurs et producteurs s’unissent dans le but de réinstaurer un rapport direct ainsi que les modèles de culture, de distribution et de consommation sains et sans risques pour l’environnement. Les Teikei sont les ancêtres du circuit court dans l’agroalimentaire.
Impacts sur leur santé : rien de plus sain et nourrissant qu’un fruit cueilli à maturité et cultivé de manière naturelle.
Impacts en matière de sécurité alimentaire : une ville comme Londres n’a que 3 jours d’autosuffisance en cas de rupture de pétrole. Seul 2 % de l’alimentation des villes est produite localement, et 98 % de ce qui est produit est exporté selon une étude Cabinet Utopies de 2017 (http://www.utopies.com/wp-content/uploads/2017/06/autonomie-alimentaire-des-villes-notedeposition12.pdf).
Impacts sur le dynamisme économique : la multiplication des échanges économiques sur un même territoire est facteur de développement et d’emploi.
Diminution de l’impact du transport (grâce à la limitation des intermédiaires et des distances géographiques) seulement si la logistique de la filière est bien établie,
Le transport peut devenir très impactant : type de transport / véhicule utilisé ; taux de remplissage / trajets à vide
We have an inspiring vision: to create a better everyday life for the many people. It gives us a strong sense of purpose and the opportunity to do great things.
Sustainability contributes to achieving our vision. That’s why we have taken many bold steps to ensure IKEA has a positive impact on people and the planet. But our journey is just getting started. There is much more to do.
MSL@H: solar
Circular
We have an inspiring vision: to create a better everyday life for the many people. It gives us a strong sense of purpose and the opportunity to do great things.
Sustainability contributes to achieving our vision. That’s why we have taken many bold steps to ensure IKEA has a positive impact on people and the planet. But our journey is just getting started. There is much more to do.
Within this strategy we have 3 big pillars, one of these pillars is circularity.
It is a metamorphosis, as a business concept it is more than a change from the outside. It is a fundamental change in the way IKEA designs and develops products and a fundamental change how we involve our customers in this process.
EG designing of the lamp & cord
Our planet’s resources are finite. As IKEA wants to keep on growing its business, we need to find new ways to produce and sell in a sustainable, sound way. The shift to a circular business model is therefore a prerequisite for future growth.
For IKEA circular economy is not new and we do not consider it as a project. Circular economy is part of our DNA and we see it coming back on various levels in our organisation. And that is exactly what we want circular to be : omnipresent in our organisation. As you will see in a minute, sometimes on a modest scale, sometimes pretty spectacular.
It’s in our stores, it’s in our products, it’s in our customers
We want to learn from every initiative and value it on its business potential. Does it enrich the life of our customers? Does it lower the impact on resources like natural materials? Does it make the world a better place? All these aspects are being taken into account.
When we develop circular projects we always aim for short-term and tangible results. ‘Start small and be effective’ is our motto and turns out to be a fruitful approach.
It’s is in our DNA. Many of our classics already have been designed and produced with circular in mind. The interesting insight here is that you do not have to compromise on design nor quality.
Extendable beds allow customer not to buy a new bed at each stage of the child but to adapt the bed so that it can last longer
It’s is in our DNA. Many of our classics already have been designed and produced with circular in mind. The interesting insight here is that you do not have to compromise on design nor quality.
Klippan and Billy have been created in 1979. we follow series over years, enabling customer to dapt according to their needs or to change cover (and not sofa) according to the season, or mood
It’s is in our DNA. Many of our classics already have been designed and produced with circular in mind. The interesting insight here is that you do not have to compromise on design nor quality.
Very easy to assemble and disassemble for a long life time of the product. But also very easy recycle : only one material.
You wouldn’t consider them as ‘recycled’ from the outside. However, these IKEA quality products are partially made of materials from a recycled source. It was a challenge for our designers and manufacturers to guarantee the high quality levels our customers demand, but they succeeded.
(To add: one of two examples to explain the circular component in the product)
Recycled bottles
Recycled glass
Today for example we have KUNGSBACKA – show movie
Today for example we have KUNGSBACKA – show movie
Recovery gives products that do get damaged, returned products or showroom models a second chance by repackaging, repairing or selling them at discounted prices. Since FY14, we
have installed repackaging machines in 250 stores worldwide, and more than 80% of distribution centres. In FY16 we repackaged 29% of products that were damaged in store or returned by
customers. Approximately 60% of the remaining products unable to be repacked were given a second chance through sales at discounted prices.
It goes without saying that waste in retail is the number one challenge. If we succeed in sorting a maximum of the materials, it would be a giant leap forward. And that exactly what we do: investing in equipment and training that made it easy and stimulating for employees to make a small contribution. They are now super engaged !
Simple works: today we sort an impressive 91% of our waste. These materials are treated for re-use and start a second life.
This number puts IKEA at the top in Belgium
We love to see our customers enjoying their food and drinks in our restaurants. It is part of the IKEA experience and we do everything we can to improve this experience. On the negative side, we are been confronted with food that is not being consumed and inevitably lots of waste.
Our challenge was: how can we reduce the waste in the restaurants? The has led to three very successful projects.
Mussel shells + pot
eatable cups
mushrooms
IKEA takes care of materials, its products, its stores but most of all of its customers. We invest and believe in the circular philosophy as much as a growing number of the public does.
That’s exactly why we do involve our customers in our efforts. We want to be part of the metamorphosis and see how, by taking little steps, they can create a significant impact too. As you will see in a moment we launch projects they can benefit from in their daily life. So no theory but a very practical approach.
The metamorphosis to the circular economy can be easily founded with numbers. We believe circular is a business concept rather than a vision on sustainability. And the best is yet to come.
What is important to remember about IKEA’s circular vision?
We do it in our stores
We build it into our products
We engage our customers around it
What does it take to make circular economy a success?
Please allow me refer to the metamorphosis concept once more. You can’t launch a circular economy overnight. It takes times to define the right battlefields, develop a long-term programme and invest in a consistent follow-up. You can’t do it halfway, that’s why a step by step approach is so important. Better small and effective than big and a diffused result.
As with a metamorphosis, people want to see a tangible result. They can be convinced if they are being confronted with clear initiatives that are part of their daily life. Circular economy is real, not something that has been developed in a lab.
The third learning we have at IKEA is on the business side. You need clear KPI’s. Once again: metamorphosis is king. It is a gradual process. Be brave if you can, be modest if you have to be.
Bonjour a tous,
Merci d’etre présents ce jour
Aurélie manzi, FH et moi-même Florence posschelle
Vous présentons LILI BULK – une solution innovante pour pratiquer le zéro déchet
Depuis quelques année un vrai mouvement s’est mis en marche, initié par une franco américaine, Béa Johnson. L’idée: consommer sans emballage afin de réduire son budget et sa production de déchets. On sait qu’aujourd’hui les plastiques en tous genres sont les plus grands prédateurs des mers et océans.
On a donc vu naître une nouvelle génération de consomm’acteurs qui prend conscience qu’il faut agir, que jeter plus de 400 kg de déchets par an ce n’est pas normal? Mais comment ? En évitant les emballages en tous genres, en achetant en vrac, en prenant plaisir à cuisiner et à faire soi-même. En achetant des produits consignés comme le faisait nos grands –parents. Back to basics en quelques sortes.
Mais se mettre dans la mouvance Zéro déchet n’est pas si simple. Il faut de l’organisation, du temps et beaucoup de bonne volonté.
Par exemple
avoir toujours ses contenants avec soi pour faire ses courses (tupp/bocaux/sacs à vrac), les bonnes tailles, le juste nombre.
Etre patient: tarer son contenant quand le magasin le propose, le remplir à la trémie ou se plonger sa pelle dans un bac à vrac pas toujours propret!
Bref, vous l’aurez compris, la démarche pourrait en démotiver plus d’un!
Surtout avec une famille et une vie à 100 à l’heure, ce n’est pas toujours facile.
Voilà pourquoi, Florence et moi, fortes de notre expérience en zéro déchet voulons « simplifier ce vrac » mais comment.
en proposant une gamme de produits d’épicerie (céréales, fruits secs et graines, confiserie, pois et lentilles, pâtes et riz, sucres et farines, condiments, épices, huiles et vinaigre) 100 % bio le tout dans des bocaux consignés. Provenant à 60% de producteurs passionnés.
Ces bocaux sont récupérés, lavés et remis dans le circuit selon les prescriptions d’hygiène en vigueur, permettant de maitriser le bilan carbone grâce à nos installations professionnelles peu énergivores.
Les opérations logistiques de nettoyage empotage, livraison B2B sont réalisés depuis 15J par un partenaire d’exception : la ferme no pilifs qui emplie des travailleurs en situation de handicap. Cela donne à LILI BULK encore plus de sens et 5 personnes sont formées pourjn LILI BULK