2. Infos pratiques
Lieu : salle de formation de la BU de Versailles
Prochaine date : de 10h à 12h
-Jeudi 23 mai
Contacts :
magalie.le-gall@uvsq.fr
Où trouver les supports des formations ?
www.slideshare.net/magalielegall
Programme du module 2
Mettre en place une veille documentaire et utiliser les outils de partage collaboratifs
connaitre les principes de la veille scientifique
les services d’alertes
agrégateurs et fils RSS : l’exemple de Netvibes
la folksonomie et le partage de signets : Delicious et Diigo
la veille sur les médias sociaux
les outils de curation : paper.li et scoop.it
4. Veiller…sans s’endormir !
Qu’est-ce que la veille ?
Définitions
est au cœur de l’activité de recherche et
d’innovation
Soyez méthodiques !
définissez votre temps disponible
sachez ce que vous recherchez
attention à l’effet entonnoir ou
Google syndrom : trop d’info tue l’info
5. Pourquoi faire de la veille ?
De manière générale :
Repérage des « signaux faibles »
Surveiller son identité numérique, sa e-
réputation
Surveiller ses thèmes de prédilection
Rester « éveillé » !
Pour les doctorants :
Identifier des sources pertinentes
(« sourcing »)
Suivre l’actualité la plus fraîche sur son sujet
de recherche
Suivre les nouveautés (revue, auteur,…)
Anticiper
Gagner du temps…
6. Les outils et méthodes de veille
Trois sortes d’outils :
Outils de collecte : agrégateurs, fils rss,
alertes, réseaux sociaux,…
Outils de stockage : partage de signets, outils
de gestion de références bibliographiques
Outils de diffusion : réseaux sociaux, blogs,
newsletter, outils de publication manuelle ou
automatique
Deux méthodes :
La méthode PULL / requiert du temps mais
est la recherche est plus précise
La méthode PUSH / gain de temps mais
risque de bruit
Pour aller plus loin :
http://guides-
formadoct.ueb.eu/cat.php?cid=18864
7. Source : Christophe Deschamps, in Regards croisés sur la veille
Les étapes de la veille
9. A quoi sert une alerte ?
Recherche automatique dans une source d’après
une requête établie préalablement
Des résultats envoyés par mail ou sous forme de
flux RSS
Surveiller sans réinterroger systématiquement
Mais attention, la requête doit être pointue !
Travail sur les mots-clefs
Travail sur la syntaxe de recherche
Tester les résultats de différentes requêtes
pour trouver la plus pertinente
Mettre en place une alerte :
Ouvrir un compte
Définir la source
Définir la requête
Sélectionner la périodicité
Sélectionner le mode de transmission
10. Les alertes Google Scholar
Critiqué mais ultra pratique
Alertes par mail uniquement
Recherche dans le web invisible
Requête pointue exigée !
11. Les alertes des bases de données
La plupart des bases de données, des sites web, des moteurs de recherche, des revues ou bouquets
de revues, des catalogues de bibliothèques ou d’éditeurs permettent de s'abonner à des alertes
Science Direct, Cairn, Springer, Web of Science, …
L’exemple de Science Direct
Se créer un compte sur la base
Construire et lancer sa requête
La sauvegarder en tant qu’alerte
Paramétrer l’alerte
Pour y accéder plus tard : « My alerts »
13. Agrégateur et fil RSS : késako ?
Un fil RSS…
est « un fichier dont le contenu est produit
automatiquement en fonction des mises à jour
d’un site web » (Wikipédia)
on parle aussi de « flux RSS » ou de « lien
RSS »
aisément repérable sur le web :
existe officiellement depuis 1999 mais
vraiment utilisé depuis 2004-2005
Un agrégateur…
sert à lire les fils RSS
prévient de la mise à jour d’un site web
importe automatiquement le contenu en
question
le fait pour tous les sites que vous avez
préalablement sélectionnés
La mort du fil RSS annoncée ?
14. L’exemple de Netvibes
Créer son compte
Créer son dashboard
Une fois Netvibes paramétré un simple clic sur un flux RSS permettra de le renvoyer vers votre
page
Supprimer les modules qui ne m’intéressent pas, nommer mes onglets en fonction de mes axes de
recherche, sélection de la mise en page et de l’affichage des contenus
Possibilité de déplacer les contenus : glisser-déposer
Définir votre Netvibes comme page d’accueil de votre navigateur ?
Pensez aussi à le mettre à jour !
16. Bookmarking social, folksonomie
« Une folksonomie représente en même temps ce qu’il y a de meilleur et de pire dans
l’organisation de l’information. » Adam Mathes, 2004
Combinaison de « taxinomie » et de « folks »
Outils qui permettent de :
capitaliser l’information découverte afin de pouvoir la retrouver, y revenir, la
compléter,…
diffuser l’information qu’on y a stocké
collaborer autour de l’information
Règles de bonne indexation :
penser collectivement
employer le pluriel afin de contenir toutes les variations possibles
ne pas employer de majuscules sauf acronymes par ex
inclure des synonymes pour éviter les confusions
17. Delicious
se créer un compte et se connecter
l’organisation d’une page Delicious
enregistrer un document issu du web et sauvegarder un signet
gérer ses tags et ses catégories de tags (bundles)
le network de Delicious
rechercher dans Delicious
intégrer Delicious à Firefox
18. acronyme de « Digest of Internet Information, Groups and Other stuff »
comme pour Delicious :
- création d’un compte
- barre d’outils à installer dans son navigateur Firefox
- enregistrement de documents, de tags, de commentaires
- travail en réseau
permet en plus de faire en ligne ce que l’on fait lorsque l’on lit sérieusement un article : surligner
et prendre des notes.
22. Paper.li et Scoop.it
Qu’est-ce que la curation ?
De « curare » : soigner
Pratique de sélection, d’éditorialisation et de partage de contenus
Avec le web2,0, professionnels comme amateurs peuvent être curateurs
La dernière étape du cycle de veille ?
Deux exemples d’outils : paper.li et Scoop.it
Des exemples de « journaux » scientifiques :
http://www.scoop.it/t/doctorants-doctorantes-docteurs?page=1
http://www.scoop.it/u/mysciencework#pg=1&mi=topics&si=curated&panel=followedPanel
http://www.scoop.it/t/scientific-social-network
23. CC BY-NC-SA 2.0
Merci de votre attention
magalie.le-gall@uvsq.fr
Magalie Le Gall Pro
magalielegall
magalielegall BU_Versailles
http://www.slideshare.net/magalielegall pour consulter et/ou télécharger cette présentation