Médias traditionnels, nouveaux médias et médias sociaux
1.
Connaissance des médias
Médias traditionnels, nouveaux médias
et médias sociaux
Clara Delcroix et Eva Jauer
Photo par rawpixel via Unsplash
2.
Introduction
Pour débuter ce dossier, nous allons définir différentes notions, afin de bien les distinguer.
Les médias traditionnels (old media) sont les médias qui étaient établis avant Internet,
soit la radio, la télévision et la presse écrite au format papier. Ils ont une réputation
quelque peu entachée : fermés, opaques, corrompus…
À l'inverse, les nouveaux médias (new media) ont été créés avec l'apparition d'Internet. Ils
résultent d'une extension des médias traditionnels. La presse est numérique, la télévision
se délinéarise (on ne la regarde plus via un poste de télévision, mais via un ordinateur, une
tablette, un smartphone…), ou encore la radio devient podcasts.
Ces nouveaux médias sont porteurs de diverses promesses : transparence, ouverture,
authenticité… Nous arrivons ainsi aux médias sociaux, à ne pas confondre avec les réseaux
sociaux !
Les médias sociaux sont des sites Internet, dont le contenu est généré par les utilisateurs.
En outre, l'interaction entre les différents internautes - avec une réciprocité plus ou moins
forte - est primordiale. Cette logique de collaboration est propre au Web 2.0 (avant, les
internautes étaient spectateurs sur les pages web, ils sont désormais acteurs).
En occident, parmi les médias sociaux les plus importants, on retrouve :
● Facebook (2,072 milliards d'utilisateurs actifs par mois au niveau mondial)
● YouTube (1,5 milliard)
● Instagram (800 millions)
● Twitter (330 millions)
● Pinterest (200 millions)
● Snapchat (178 millions)
● LinkedIn (115 millions)
Ces chiffres sont issus de l'étude 2018 Hootsuite et
We Are Social sur les tendances du digital et des
réseaux sociaux.
2
3.
En revanche, dans les réseaux sociaux, pour devenir ami avec quelqu'un, il faut lui
envoyer une demande, et on ne deviendra amis que lorsque qu'il aura accepté cette
demande. Les réseaux sociaux s'apparentent à du réseautage.
À ce titre, seuls 2 réseaux sociaux sont largement utilisés en occident : Facebook et
LinkedIn. Sur tous les autres médias sociaux cités ci-dessus, il est possible de suivre
quelqu'un sans pour autant que cette personne ne nous suive en retour.
Ces termes étant définis, force est de constater que nombre de médias traditionnels sont
présents sur les médias sociaux.
Certains médias sont même exclusivement présents sur les médias sociaux (sur Twitter,
par exemple, TicToc de Bloomgerg - @tictoc). Ils s'apparentent aux pure players, ces sites
d'information indépendants, qui n'existent que sur Internet (tels que le Huffington Post ou
encore Konbini).
En outre, les jeunes générations semblent davantage s'informer via les médias sociaux que
via les médias traditionnels. On parle aussi du déclin de la télévision linéaire. Est-ce
réellement le cas ? Les médias sociaux et les nouveaux médias sont-ils en train de
remplacer les médias traditionnels ?
Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons divisé notre travail en deux parties :
1. recherche d'informations (livres et Internet)
2. questionnaire pour analyser le comportement des individus
Photo par NordWood Themes via Unsplash
3
4.
Sommaire
Revue de littérature 6
Les médias sociaux, premier foyer de circulation de l'information 6
Renouvellement des médias : place aux nouveaux médias ! 8
Les médias traditionnels, garants de qualité 8
Partie analytique 10
La population étudiée 10
Résultats et interprétation 12
Conclusion 15
Glossaire 16
Sitographie 16
Annexe : exemplaire du questionnaire réalisé 17
4
5.
Revue de littérature
Photo par Elijah O'Donell via Unsplash
Les médias sociaux, premier foyer de
circulation de l'information
Internet a changé la manière de consommer
l'information. Les internautes peuvent sélectionner les
thèmes qu'ils souhaitent suivre, en s'abonnant à une
page Facebook par exemple. Et désormais, nous ne
devons plus chercher l'information, mais c'est
l'information qui vient à nous.
La vitesse de circulation de l'information est plus
rapide que jamais et les journalistes ne sont plus
forcément les premiers témoins d'un événement.
Prenons l'exemple d'un accident de la route. Plusieurs
personnes sur les lieux de l'événement auront tendance à diffuser l'événement sur les
médias sociaux (Twitter, Snapchat, Instagram…) avant qu'un média traditionnel ne partage
l'information.
C'est le principe de citizen journalism ou journalisme citoyen : tout le monde peut être
témoin d'un événement, le rapporter. Mais de là à dire que les journalistes sont inutiles, car
Monsieur Tout Le Monde est capable de transmettre une information, rien n'est moins sûr !
Deuxième exemple où l'information circule en premier sur les médias sociaux : lorsque
Christiane Taubira démissionne de son poste de garde des Sceaux le 27 janvier 2016, elle
l'annonce en premier sur Twitter, sans passer par les médias traditionnels.
C'est pourquoi les médias sont nombreux à se tourner vers le web et les médias sociaux.
Nombreux sont les médias à détenir une page Facebook, un compte Twitter ou un profil
Instagram.
5
6.
Eric Scherer, directeur de la prospective à France Télévisions, aborde aussi ce sujet dans
son livre A-t-on encore besoin des journalistes ? Dans le chapitre Une consommation de plus en
plus partagée : les médias sont sociaux !, il explique : « Mais il est sûr que les médias sociaux,
qui représentent un part croissante du trafic sur Internet, modifient, en ce moment même, de
manière fondamentale le paysage des médias, de la communication et de la publicité,
bousculent nos manières de communiquer et de travailler. Et d'ores et déjà, le contenu passé sur
les contenus éditoriaux "classiques" tend à diminuer. […] Près des trois quarts du temps passé en
ligne le sont dans les médias sociaux. »
Les médias traditionnels peuvent aussi utiliser les médias sociaux pour prolonger
l'expérience utilisateur. Prenons l'exemple de Touche Pas à Mon Poste, #TPMP sur les
médias sociaux. Les animateurs vont inciter les téléspectateurs à réagir sur les médias
sociaux, attirant ainsi de nouveaux spectateurs.
Il devient dès lors possible de mesurer l'intérêt d'un programme TV au nombre de tweets
publiés avec le hashtag. Le programme peut aussi gagner en notoriété s'il apparaît dans les
TT (Top Tweets) France ou monde.
Et oui, c'est un autre avantage incontestable des médias sociaux : ils ont une portée
mondiale. En effet, les utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux représentent ⅓ de la
population mondiale.
Se rendre sur les médias sociaux permet aussi de toucher une audience plus jeune là où
elle se trouve : sur Internet et les médias sociaux. Snapchat permet de bien illustrer cette
idée. Le Monde, ou encore Paris-Match, sont intégrés à l'application Snapchat dans la partie
Discover. En publiant des contenus sous de nouvelles formes (format vertical, courtes
vidéos 360°, GIF, etc.), les médias touchent une nouvelle part du marché : le jeune public,
peut-être plus difficile à atteindre avec des médias traditionnels.
Les médias sociaux présentent d'autres avantages : un coût bien moins élevé que celui des
médias traditionnels, une mesure de l'impact d'un média plus aisée (abonnés, impressions,
nombre de likes ou de RT…), une information qui se répand rapidement.
En revanche, pour gagner en visibilité dans les médias sociaux, il faut s'en occuper (de la
même manière que pour faire connaître un média traditionnel…).
6
7.
Renouvellement des médias : place aux nouveaux médias !
La presse évolue, encore et toujours. Les journaux ont désormais une version online, voire
même une application smartphones et tablettes. Les radios sont de plus en plus
nombreuses à proposer des podcasts. La télévision se délinéarise. C'est l'émergence des
nouveaux médias.
La liberté est plus importante qu'avec les médias traditionnels : on n'est pas contraint
d'écouter ou de regarder un programme défini ! On peut différer, et même rembobiner.
Et bien qu'en Occident les médias traditionnels résistent encore et toujours, il est bon de
savoir que ce n'est pas le cas partout ! En Afrique par exemple, les journaux traditionnels
rencontrent d'énormes difficultés de vente.
Mais un point de questionnement apparaît. Les internautes sont habitués à la gratuité de
l'information. « Pourquoi acheter un journal alors que je trouve les mêmes informations
gratuitement sur Internet ? ». Toutefois, des modèles d'abonnements sont en cours de
développement (d'après un rapport de 2018 de l'American Press Institute : Paths to
subscription).
On se retrouve avec des médias en deux versions : une version gratuite avec l'info de base
et une version payante avec de l'information certifiée de qualité. Mais les individus
seront-ils prêt à payer ? La crise des fake news est opportune pour le fonctionnement de ce
système : en assurant de l'information de qualité, les médias peuvent gagner gros !
Les médias traditionnels, garants de qualité
Le gros problème sur Internet : tout le monde peut dire ce qu'il veut, sur qui il veut sans
expliquer ses propos. Le gros sujet revient dès lors à distinguer le vrai du faux.
Et pour ce faire, nombreux sont ceux qui se tournent vers les médias traditionnels. Ils
apportent une certaine garantie à l'information : une méthodologie d'enquête a été
respectée, ainsi qu'une déontologie, une idéologie journalistique (éthique, objectivité,
crédibilité…). Une information fiable est attendue sur les médias traditionnels !
7
8.
D'ailleurs, d'après le dernier baromètre de confiance dans les médias de La Croix (réalisé
par Kantar/Sofres), les médias traditionnels sont plus estimés que les médias sur Internet
(nouveaux médias et médias sociaux) : la confiance se situe à 56 % pour la radio, 52 % pour
la presse écrite et à 48 % pour la télévision, mais à 25 % pour Internet.
Par rapport au baromètre précédent, la confiance a cru envers les médias traditionnels
(+ 7 % pour la télévision, + 8 % pour la presse écrite et + 4 % pour la radio), et décliné
envers Internet (- 1 %).
Dernier point : l'idée première des médias sociaux est de créer du lien et de rapprocher les
individus. Mais ils peuvent aussi avoir un effet pervers : les personnes non câblées à
Internet se retrouvent exclues. Ainsi, si les médias traditionnels venaient à disparaître, c'est
tout un pan de la population mondiale qui se retrouverait en pénurie d'information (pas
accès aux médias sociaux, ni aux nouveaux médias). À ce jour, seul un peu plus de la moitié
de la population mondiale dispose d'un accès à Internet (étude Hootsuite / We Are Social).
Les médias traditionnels sont donc garants d'un accès à l'information pour ces personnes.
Terminons sur les propos de Dominique Wolton, sociologue, dans une interview accordée
à La Tribune : « Les médias ne sont plus les seuls vecteurs d'accès à l'information. Le public
dispose d'un grand nombre de comparatifs et prend lui-même ses sources. C'est pour cette
raison qu'il est fondamental de résister à l'idéologie technologique et de cesser le mélange des
genres : oui à la présence des médias sur le Web, non à la réduction du métier au
« webjournalisme ». Internet ne doit pas devenir la référence journalistique, à laquelle presse
écrite, radio et télévision devraient se soumettre. Le journalisme est d'abord une valeur, Internet,
un système technique. Ce devrait être la technique qui s'adapte aux métiers et non l'inverse. »
8
9.
Partie analytique
Nous avons réalisé un questionnaire en ligne afin de mieux comprendre la consommation
de l'information par les individus. 208 personnes y ont répondu.
La population étudiée
Âge
Plutôt que de classer les individus aléatoirement, par tranches de 10 ans par exemple, nous
avons préféré utiliser les générations sociologiques :
● Génération Z : nés entre 1995 et 2010
● Génération Y : nés entre 1980 et 1994
● Génération X : nés entre 1960 et 1979
● Baby boomers : nés entre 1943 et 1959
● Génération silencieuse : nés entre 1925 et 1942
Les générations sont plus signifiantes : elles regroupent des individus dont l'enfance a été
impactée par les mêmes événements. Pour la génération Z, ce sont par exemple les
attentats du World Trade Center, la crise de 2007-2010 ou encore le premier président noir
des États-Unis.
Pour cette étude, la population est
relativement jeune : 54 % appartient à la
génération Z, 24 % à la génération Y, 20 % à
la génération X et, pour terminer, 2 % sont
Baby-boomers.
Aucune réponse de la part de la génération
silencieuse, mais cela est compréhensible : le questionnaire a été réalisé via Google Forms,
or la partie la plus âgée de la population est la moins équipée dans le domaine
informatique. En effet, d'après l'Observatoire des Seniors, seuls 43 % des plus de 70 ans
sont équipés en ordinateur/tablette et internet.
9
10.
Sexe
D'après le principe de Fisher1
, le sex-ratio (nombre
d'hommes par rapport au nombre de femmes) est
d'environ 1:1 (50 % d'hommes et 50 % de femmes).
Dans notre étude, le nombre de femmes est nettement
plus important. Le sex-ratio est plutôt de 1:1,7. En terme
de pourcentages, cela revient à 63 % de femmes pour
37 % d'hommes.
Professions et catégories socioprofessionnelles
Un fort taux d'étudiants (53 %) dans cette population, mais cela s'explique aussi par le
jeune âge de la population. Viennent ensuite les cadres et professions intellectuelles
intermédiaires et supérieures (25 %), puis les employés (12,5 %), les chômeurs (4 %), les
artisans commerçants, chefs d'entreprise (4 %) et enfin les agriculteurs exploitants (0,5 %).
10
11.
Des réponses internationales
Les réponses proviennent à 80 % de
France. Mais certaines sont issues d'autres
pays, majoritairement francophones (mais
le questionnaire était en français !) :
Sénégal (6), Côte d'Ivoire (5), Allemagne (4),
Belgique (3), Guinée (3), Suisse (3), Togo (3),
Burkina Faso (2), Cameroun (2), Canada (2),
Tchad (2), Algérie (1), Egypte (1), Haïti (1),
Mali (1), Maroc (1), Pays-Bas (1) et
Royaume-Uni (1).
Résultats et interprétation
Avant toute interprétation, il convient de stipuler deux points. Premièrement, comme
expliqué précédemment, l'étude a été effectuée via un questionnaire en ligne : tout
individu ne possédant aucune connexion internet n'a pu y répondre. Deuxièmement, une
part importante de la population est composée de journalistes ou d'étudiants en
journalisme. Ces derniers n'ont pas la même manière de s'informer qu'un individu lambda.
Par quels moyens s'informe-t-on ?
88% ont répondu s'informer via les médias sociaux. Vient ensuite la presse écrite en
version numérique avec 70% de réponse positives, puis la télévision linéaire à 52%.
Il est intéressant de constater que la génération X est la seule qui consomme encore très
largement la radio traditionnelle (64,29 % contre 32,21 % dans l'ensemble !). La radio
numérique et les podcasts, quant-à-eux, restent encore marginalisés avec 22 % de
réponses positives.
11
12.
Au niveau géographique, on s'informe davantage via des blogs ou sites web autres que
ceux des médias mainstream en
Afrique (74 %) qu'en Europe (38 %).
Fréquence de consommation
de l'information via les médias
traditionnels
58 % de la population s'informe au
moins une fois par jour via les
médias traditionnels (et 4 % ne les
consultent jamais). Écart notable par
rapport à cette moyenne : les
chômeurs qui sont 78 % à consulter
12
13.
chaque jour les médias traditionnels.
En outre, on a davantage tendance à s'informer quotidiennement via les médias
traditionnels en Europe (59 %) qu'en Afrique (48 %).
Fréquence de consommation de l'information via les médias sociaux
La part de la population qui s'informe quotidiennement via les médias sociaux est très
importante : 84 %, soit plus de 4 personnes sur 5 ! Cela représente un écart de 26 points
par rapport à la consommation quotidienne d'information via les médias traditionnels.
L'écart se réduit à 9 points
d'écart lorsqu'on s'intéresse à la
consommation hebdomadaire
d'informations. 89 % de la
population s'informe au moins
une fois par semaine via les
médias sociaux, contre 80 %
pour les médias traditionnels.
Belle exception à cette
consommation : les chômeurs,
qui ne sont que 56 % à
s'informer quotidiennement via
les médias sociaux.
Si on compare à nouveau les résultats au niveau géographique, en Afrique, on a davantage
tendance à s'informer via les médias sociaux qu'en Europe (respectivement 93 % et 83 %).
Ainsi, dans l'ensemble, les médias sociaux sont plus largement et fréquemment utilisés que
les médias traditionnels pour s'informer, bien qu'une part importante de la population
utilise encore ces derniers.
13
14.
Conclusion
Sans totalement disparaître, les médias traditionnels tendent à se transformer : la presse
écrite se consulte en version numérique, au détriment de la version papier, la télévision se
consomme de manière délinéarisée et la radio devient numérique, voire même podcasts.
De plus, grâce à Internet, de nouvelles formes de médias apparaissent : l'information peut
désormais être consommée sur des blogs ou sites Internet autres que les médias
mainstream (médias importants, considérés comme grand public), ou encore via les
réseaux et médias sociaux.
Cependant, bien que les médias sociaux semblent le premier canal d'information de la
population (notamment pour les jeunes générations), ils ne semblent pas vraiment
remplacer les médias traditionnels.
Quant aux résultats de notre questionnaire, il faut tout de même les relativiser. Ils
permettent de mettre en avant certaines tendances. Mais notre population n'est pas assez
importante pour faire de ces cas une généralité. En outre, comme expliqué précédemment,
les personnes sans accès à Internet n'ont pu répondre à ce questionnaire, faussant une
partie des résultats.
À l'avenir, le défi reste de réussir à combiner les médias traditionnels, avec les nouveaux
médias et les médias sociaux.
14
15.
Glossaire
1. principe de Fisher : principe décrit par le biologiste et statisticien Ronald Fisher,
énonçant pourquoi, dans la plupart des espèces, le taux de mâles par rapport aux
femelles est de 1:1.
Sitographie
● 20 minutes : Les Français retrouvent la confiance dans les médias traditionnels, se
méfient d'Internet
● à bâbord ! : Les nouveaux médias
● le blog du modérateur : État des lieux 2018 : l’usage d’Internet, des réseaux sociaux
et du mobile en France, Les 50 chiffres à connaître sur les médias sociaux en 2018
● le Courrier Australien : Pourquoi les médias traditionnels ne peuvent-ils pas rivaliser
avec le marketing des réseaux sociaux ?
● la Croix : La confiance des Français dans les médias traditionnels progresse
● Définitions marketing : Définition : Medias sociaux
● le Journal du Net (JDN) : Web 2.0 : définition, traduction, Médias traditionnels ou
sociaux : les marques ont leurs préférences
● Kinoa : Réseaux sociaux et médias sociaux, quelle différence ?
● Observatoire des Seniors : Baromètre du numérique (2015) : l’équipement des
français en fonction de l’âge
● Parlons Info : Les médias ou leur “mauvaise réputation”
● PME web, les meilleurs outils du web : [Infographie] Quelles différences entre les
médias sociaux et les médias traditionnels?
● Presstissimo : Médias traditionnels vs médias sociaux : Faut-il choisir pour (s’)
informer ?
● Réseaux Sociaux Internet, une dissolutions de la sphère privée (MINES Paris Tech) :
Les médias traditionnels
● Street Marketing : Les nouveaux médias vont-ils tuer les anciens?
● Université Paris-Est Marne-la-Vallée, UFR des sciences humaines et sociales :
Réseaux sociaux et médias traditionnels
● Wikipédia : Médias sociaux
15
16.
Annexe : exemplaire du questionnaire réalisé
Médias traditionnels et nouveaux médias (médias sociaux)
Bonjour et merci d'être venu sur ce petit questionnaire ça ne vous prendra pas plus de 5
minutes pour y répondre !
Pourquoi ce questionnaire ? Dans le cadre de nos études à l'ESJ Lille (école de journalisme),
nous réalisons en binôme un dossier sur les médias traditionnels et les nouveaux médias
(médias sociaux). Vos réponses nous permettront d'enrichir notre sujet.
*Obligatoire
1. Âge *
Une seule réponse possible.
❏ Génération Z (né entre 1995 et 2010)
❏ Génération Y (né entre 1980 et 1994)
❏ Génération X (né entre 1960 et 1979)
❏ BabyBoomers (né entre 1943 et 1959)
❏ Génération silencieuse (né entre 1925 et 1942)
2. Sexe *
Une seule réponse possible.
❏ Femme
❏ Homme
3. Catégorie socioprofessionnelle *
Une seule réponse possible.
❏ Agriculteurs exploitants
❏ Artisans, commerçants et chefs d’entreprise
❏ Cadres et professions intellectuelles supérieures et intermédiaires
16
18.
❏ Guyana
❏ Haïti
❏ Honduras
❏ Hongrie
❏ Île Maurice
❏ Inde
❏ Indonésie
❏ Irak
❏ Iran
❏ Irlande
❏ Islande
❏ Israël
❏ Italie
❏ Jamaïque
❏ Japon
❏ Jordanie
❏ Kazakhstan
❏ Kenya
❏ Kirghizistan
❏ Kiribati
❏ Kosovo
❏ Koweït
❏ Laos
❏ Lesotho
❏ Lettonie
❏ Liban
❏ Liberia
❏ Libye
❏ Liechtenstein
❏ Lituanie
❏ Luxembourg
❏ Macédoine
❏ Madagascar
❏ Malaisie
❏ Malawi
❏ Maldives
❏ Mali
❏ Malte
❏ Maroc
❏ Marshall
❏ Mauritanie
❏ Mexique
❏ Micronésie
❏ Moldavie
❏ Monaco
❏ Mongolie
❏ Monténégro
❏ Mozambique
❏ Namibie
❏ Nauru
❏ Népal
❏ Nicaragua
❏ Niger
❏ Nigeria
❏ Norvège
❏ Nouvelle-Zélande
❏ Oman
❏ Ouganda
❏ Ouzbékistan
❏ Pakistan
❏ Palaos
❏ Palestine
❏ Panama
❏ Papouasie-Nouvelle-
Guinée
❏ Paraguay
❏ Pays-Bas
❏ Pérou
❏ Philippines
❏ Pologne
❏ Portugal
❏ Qatar
❏ République
Centrafricaine
❏ République
Démocratique du
Congo
❏ République
Dominicaine
❏ République Tchèque
❏ Roumanie
❏ Royaume-Uni
❏ Russie
❏ Rwanda
❏ Saint-Kitts-et-Nevis
❏ Saint-Marin
❏ Saint-Vincent-et-les-
Grenadines
❏ Sainte-Lucie
❏ Salomon
❏ Salvador
❏ Samoa
❏ São
Tomé-et-Príncipe
❏ Sénégal
❏ Serbie
❏ Seychelles
❏ Sierra Leone
❏ Singapour
18
19.
❏ Slovaquie
❏ Slovénie
❏ Somalie
❏ Soudan
❏ Soudan du Sud
❏ Sri Lanka
❏ Suède
❏ Suisse
❏ Suriname
❏ Swaziland
❏ Syrie
❏ Tadjikistan
❏ Taïwan
❏ Tanzanie
❏ Tchad
❏ Thaïlande
❏ Timor-Oriental
❏ Togo
❏ Tonga
❏ Trinité-et-Tobago
❏ Tunisie
❏ Turkménistan
❏ Turquie
❏ Tuvalu
❏ Ukraine
❏ Uruguay
❏ Vanuatu
❏ Vatican
❏ Venezuela
❏ Viêt Nam
❏ Yémen
❏ Zambie
❏ Zimbabwe
5. Par quel(s) moyen(s) vous informez-vous / vous tenez-vous au courant de
l'actualité ? *
Plusieurs réponses possibles.
❏ Presse écrite en version papier
❏ Presse écrite en version numérique
❏ Radio traditionnelle
❏ Podcasts / radio numérique
❏ Télévision linéaire (sur un téléviseur)
❏ Télévision délinéarisée (sur un smartphone, une tablette, un ordinateur)
❏ Blogs / sites web (autres que médias traditionnels)
❏ Réseaux et médias sociaux (YouTube, Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat...)
❏ Autre : ________________________________________________________________________________
6. À quelle fréquence vous informez-vous sur les médias dits traditionnels (TV,
radio, presse écrite au format papier) ? *
Si vous écoutez la radio sous forme de podcasts ou regardez la télévision via votre smartphone / tablette,
ça ne compte pas. On parle ici de la télévision sur un téléviseur, de la radio sur un poste de radio et des
journaux papiers.
Une seule réponse possible.
19
20.
❏ Au moins une fois par jour
❏ Au moins une fois par semaine
❏ Au moins une fois par mois
❏ De temps à autre
❏ Jamais
7. À quelle fréquence vous informez-vous via les médias sociaux (Facebook,
Twitter, LinkedIn, Instagram, Snapchat...) ? *
Une seule réponse possible.
❏ Au moins une fois par jour
❏ Au moins une fois par semaine
❏ Au moins une fois par mois
❏ De temps à autre
❏ Jamais
Et voilà, c'est terminé !
N'oubliez pas de cliquer sur le bouton "Envoyer" !
Ce questionnaire a été réalisé via Google Forms.
20