Les opérations de fusion-acquisition, cession partielle d’actif , Restriction de l’actif et du passif du bilan, Réorganisation d’un groupe, nécessitent une appréciation préalable de l'entreprise. Cette évaluation relève d'un ensemble d'approches et de techniques assez complexes qui, dans une optique d'approximation aussi fine que possible de la valeur de l'entreprise, tentent d'apporter des solution pour viabiliser une entreprise au-delà de ses mutations économiques.
Ce document est un support de cours simplifié renforcé de cas pratiques dans une vision de clarifier les notions et d'appréhender au mieux la matière.
Chapitre introductif : Planification et gestion budgétaire 1
I- stratégie et planification 2
II- la gestion budgétaire 2
Chapitre 1 : Gestion budgétaire des ventes 4
I- Les techniques de prévision 4
II - La budgétisation des ventes 7
III- L'analyse de l'écart sur chiffre d'affaire 7
Chapitre 2 : Gestion budgétaire de la production 10
I- Les techniques de gestion de production 10
II- la budgétisation de la production 14
III- Calcul des écart sur coût de production 15
Chapitre 3 : La gestion budgétaire des approvisionnements 19
I- les fondements économiques de la gestion des stocks 19
II- les modèles de gestion des stocks 20
III - la budgétisation des approvisionnements 21
Chapitre 4 : La gestion budgétaire des investissements 23
I - Rappel des méthodes de choix des Investissements 23
II- la budgétisation des investissements 25
Chapitre 5 : Le budget général et le contrôle budgétaire 27
I- le budget de trésorerie 27
II- les « documents de synthèse » prévisionnels 32
III- le contrôle budgétaire du résultat 33
Les opérations de fusion-acquisition, cession partielle d’actif , Restriction de l’actif et du passif du bilan, Réorganisation d’un groupe, nécessitent une appréciation préalable de l'entreprise. Cette évaluation relève d'un ensemble d'approches et de techniques assez complexes qui, dans une optique d'approximation aussi fine que possible de la valeur de l'entreprise, tentent d'apporter des solution pour viabiliser une entreprise au-delà de ses mutations économiques.
Ce document est un support de cours simplifié renforcé de cas pratiques dans une vision de clarifier les notions et d'appréhender au mieux la matière.
Chapitre introductif : Planification et gestion budgétaire 1
I- stratégie et planification 2
II- la gestion budgétaire 2
Chapitre 1 : Gestion budgétaire des ventes 4
I- Les techniques de prévision 4
II - La budgétisation des ventes 7
III- L'analyse de l'écart sur chiffre d'affaire 7
Chapitre 2 : Gestion budgétaire de la production 10
I- Les techniques de gestion de production 10
II- la budgétisation de la production 14
III- Calcul des écart sur coût de production 15
Chapitre 3 : La gestion budgétaire des approvisionnements 19
I- les fondements économiques de la gestion des stocks 19
II- les modèles de gestion des stocks 20
III - la budgétisation des approvisionnements 21
Chapitre 4 : La gestion budgétaire des investissements 23
I - Rappel des méthodes de choix des Investissements 23
II- la budgétisation des investissements 25
Chapitre 5 : Le budget général et le contrôle budgétaire 27
I- le budget de trésorerie 27
II- les « documents de synthèse » prévisionnels 32
III- le contrôle budgétaire du résultat 33
Ceci est un cours d'économie industrielle destiné aux étudiants en sciences de gestion et en sciences économiques. Il s'agit d'une introduction sur les concepts de base.
Par opposition aux "règles comptables" qui apportent des solutions précises à des questions d'étendue limitée (quels comptes, quelle méthode d'évaluation utiliser ? comment amortir, c'est à dire répartir dans le temps tel élément ? etc.), les principes et les conventions comptables, très généralement communes aux comptabilités des différents pays, apportent des réponses générales à des problèmes larges.
Nous en distinguerons trois types :
Les principes liés au temps,
Les principes liés à l'impératif de lisibilité par des tiers,
Les principes d'évaluation en valeur monétaire.
Les normes internationales d'information financière, plus connues au sein de la profession comptable et financière sous leur nom anglais de International Financial Reporting Standards ou IFRS sont des normes comptables, élaborées par le Bureau des Standards Comptable Internationaux (International Accounting Standards Board ou IASB en anglais) destinées aux entreprises cotées ou faisant appel à des investisseurs afin d’harmoniser la présentation et la clarté de leurs états financiers.
Le Plan Émergence est une stratégie industrielle qui a été lancée en 2005. Les objectifs de ce Plan sont la mise à niveau du secteur industriel, sa modernisation et la consolidation de sa compétitivité.
7 ans après sa mise en place, il est temps de remettre en cause ce plan et de dresser un bilan.
Comment financer votre développement en afrique?Marie-Alice Boyé
L’Afrique se porte bien et offre de multiples opportunités d’investissement, mais l’accès au financement local demeure insuffisant…
Investisseurs & Partenaires (I&P) entend répondre aux besoins de financement et d’accompagnement des entreprises africaines, et contribue ainsi à la croissance et au
développement du continent.
Ceci est un cours d'économie industrielle destiné aux étudiants en sciences de gestion et en sciences économiques. Il s'agit d'une introduction sur les concepts de base.
Par opposition aux "règles comptables" qui apportent des solutions précises à des questions d'étendue limitée (quels comptes, quelle méthode d'évaluation utiliser ? comment amortir, c'est à dire répartir dans le temps tel élément ? etc.), les principes et les conventions comptables, très généralement communes aux comptabilités des différents pays, apportent des réponses générales à des problèmes larges.
Nous en distinguerons trois types :
Les principes liés au temps,
Les principes liés à l'impératif de lisibilité par des tiers,
Les principes d'évaluation en valeur monétaire.
Les normes internationales d'information financière, plus connues au sein de la profession comptable et financière sous leur nom anglais de International Financial Reporting Standards ou IFRS sont des normes comptables, élaborées par le Bureau des Standards Comptable Internationaux (International Accounting Standards Board ou IASB en anglais) destinées aux entreprises cotées ou faisant appel à des investisseurs afin d’harmoniser la présentation et la clarté de leurs états financiers.
Le Plan Émergence est une stratégie industrielle qui a été lancée en 2005. Les objectifs de ce Plan sont la mise à niveau du secteur industriel, sa modernisation et la consolidation de sa compétitivité.
7 ans après sa mise en place, il est temps de remettre en cause ce plan et de dresser un bilan.
Comment financer votre développement en afrique?Marie-Alice Boyé
L’Afrique se porte bien et offre de multiples opportunités d’investissement, mais l’accès au financement local demeure insuffisant…
Investisseurs & Partenaires (I&P) entend répondre aux besoins de financement et d’accompagnement des entreprises africaines, et contribue ainsi à la croissance et au
développement du continent.
Coopération transfrontalière : visite d'une délégation d'Afrique de l'Ouest ...regiosuisse
Du 23 au 30 juin 2013, SEREC a organisé et accompagné un voyage d’étude sur le thème de la coopération transfrontalière dans l’Arc jurassien et dans le Chablais. Douze participants venant de six pays d’Afrique de l’ouest ont participé à ce voyage qui était organisé pour le compte du Conseil des Collectivités Territoriales (CCT) de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) avec l’appui de la Direction du Développement et de la Coopération (DDC). Les participants ont pu se rendre compte des succès, mais aussi des contraintes, de la coopération transfrontalière entre la Suisse et ses pays voisins, en particulier la France.
Tanger: Porte du Maroc sur l’Afrique, l’Amérique et l’EuropeASCAME
Conférence d’Omar Moro, président de la Chambre de Commerce, Industrie et de Services de la Wilaya de Tanger, sur les opportunités d’investissement et de développement économique de l’extrême Nord marocain autour des complexes industriels internationaux qui sont en train de s’installer dans la région depuis un certain temps.
Le rapport d'activités semestriel de l'ong éducation, formation, insertion pour les femmes. Pour nous, l’éducation est le principal outil qui permette à des enfants et à des adultes économiquement et socialement marginalisés de sortir de la pauvreté et de se procurer le moyen de participer pleinement à la vie de leur communauté.
Systeme performant de mise en marche du maïs pour soutenir et accroitre le re...Fatimata Kone
EXPÉRIENCE DE LA CENTRALE DES PRODUCTEURS DE CEREALES DU TOGOUnion Régionale des Organisations de Producteurs de Céréales des Savanes
CPC Togo / UROPC-S
Exploration des échines de dragons 12 jours trekking au nord vietnam- dès 8...tourtt
Exploration des échines de dragons 12 jours trekking au nord vietnam- dès 898 usd http://minhanhvoyage.com/item/140-decouverte-des-meilleures-rizieres-du-nord-vietnam-9-jours-des-730-usd.html
Mr Mohammed Boussaïd, ministre de l'Economie du Maroc a détaillé à la presse le vendredi 24 octobre les grands axes et principales mesures du projet de loi de finance 2015 du royaume présenté au Parlement.
Alors que débute le débat parlementaire, retrouvez en les grandes lignes avec le support écrit de son intervention.
Lors de la 2ème Edition du Forum Gabon Maroc, l'Agence Nationale de la Promotions des Investissements (ANPI) , ainsi que l'ANINF, la FGIS, AGASA, CAISTAB et d'autres agences nationales gabonaises, ont eu l'opportunité d'échanger avec leurs homologues marocains à Rabat autour de la thématique suivante : Promotion des investissements directs privés et dynamisation des échanges. Rôle des agences, fonds souverains et caisses des dépôts.
Cette présentation, sert de soutien à la compréhension sur les différents pôles de développement économiques de nos deux pays.
La participation de l'Agence Nationale de Promotion des Investissements (ANPI) au grand forum Gabon Maroc pour la 2ème édition.
Le thème de ce forum s'articulait autour de la promotion des investissements directs et la dynamisation des échanges.
Quelques agences nationales gabonaises dont l'ANPI, l'ANINF, le FGIS, AGASA et la CAISTAB ont participé à cet évènement, qui s'est tenu le 14 Septembre 2017 à Rabat.
L’investissement en btp au maroc 2018 sources et tendanceshanane bouhmoud
En chiffres, une étude élargie donnant une idée claire sur les tendances et les sources des investissements en domaine de l'immobilier et de BTP. Cela, en abordant les IDE (investissements directs étrangers), les investissement des MRE (Marocains Résidents à l'Etranger), la promotion privée et la promotion publique.
Présentation du financement participatif des entreprisesPME Finance
14/02/2014. A Bercy, lors d'une conférence intitulée "Faire de la France le pays pionnier du financement participatif", la Ministre Fleur Pellerin a présenté l'assouplissement du cadre réglementaire du "crowdfunding" en France. Ce fut l'occasion de présenter la pré-étude de PME Finance sur le sujet.
Pocketbook: Competitiveness in South East Europe 2018OECDglobal
The OECD has been working with the South East Europe (SEE) region since 2000 to develop and successfully implement policies for private sector development and investment. This pocketbook brochure summarises the most recent work in the region in the second edition of the Competitiveness in South East Europe: A Policy Outlook 2018. The study assessed six SEE economies in 17 policy dimensions through a highly participatory evaluation process that included in-depth, evidence-based analyses to provide guidance to governments and the private sector, and a toolkit for donors and international development agencies. For more information on the full publication, please click on this link: http://dx.doi.org/10.1787/9789264298576-en
Making Things Happen: Transitioning to a Circular Economy OECDglobal
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 4, "Making Things Happen: Transitioning to a Circular Economy", Iain Gulland – Chief Executive, Zero Waste Scotland
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 4, "Waste To Taste To 21st Century Food", Ivanka Milenkovic, GENERAL MANAGER - EKOFUNGI
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 4, "What is the Circular Economy?", Peter BORKEY, Principal Administrator, OECD Environment Directorate
SMEs’ financial challenges in Western Balkans to go green?OECDglobal
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 3, "SMEs’ financial challenges in Western Balkans to go green?", Safet Gërxhaliu, Member of the Managing Board of Western Balkans Chambers Investment Forum
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 3, Goran Korac, "Project "Design Center Promo21”, Business area Logorište, Karlovac, Croatia
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 3, "Environmental Financing in Estonia", Madis Kareda, Developmentmanager at EIC, Estonia
Croatia’s experience in improving access to finance for green SMEsOECDglobal
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 3, "Croatia’s experience in improving access to finance for green SMEs", Dubravko Ponoš, Director, ENERGY EFFICIENCY AND ENVIRONMENTAL PROTECTION FUND
Croatia
Incubation and Acceleration of High-Growth SMEs for a Greener EconomyOECDglobal
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 2, "Incubation and Acceleration of High-Growth SMEs for a Greener Economy", Dr. Deniz Tuncalp, Chief Marketing & Operations Officer, ITU ARI Teknokent, Turkey
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 2, "SMEs in a green Economy", James Hogan, Green Business Programme Manager
Clean Technology Centre
Cork Institute of Technology, Ireland
Policy Instruments to Promote Better Enviromental PerformanceOECDglobal
Regional Policy Dialogue Meeting “SMEs in a Green Economy”, 09 March 2018, Paris
Session 2, "Policy Instruments to Promote Better Enviromental Performance", Eugene Mazur, OECD Environment Directorate
SMALL BUSINESS ACT (SBA) ASSESSMENT
Study Visit Photos
“SME and Academia Collaboration: Turkey’s Experience in Innovation and Technology Centres”
29-30 November & 1 December 2017
Istanbul, Turkey
Session 7: Technology transfer capacity building and proof of concept instrum...OECDglobal
Day 2, Session 7, 30 November 2017, Istanbul, Bridging the Gap - Technology Transfer Capacity Building and
Proof of Concept Instruments, Huseyin KEBAPCI
Legal Adviser - Intellectual Property & Technology Transfer
Session 6: EU support on competitiveness and innovation in TurkeyOECDglobal
Day 2, Session 6, 30 November 2017, Istanbul, SME and Academia collaboration: Turkey’s Experience in Innovation and Technology Centres, Ela Yazıcı İnan, European Union
Day 1, session 2, 29 November 2017, Center for Entrepreneurship and Innovation, Prof. Dr. Şebnem BURNAZ,
Director. Zeynep ERDEN BAYAZIT, PhD, Associate Director
3. 3
Analyse des recettes IDE en 2012 :
Hausse de +14 %
• En 2012, les recettes des IDE au Maroc ont atteint 29,2 MM DH, soit une hausse de 14% par
rapport à 2011.
Source: Office des changes
* Chiffres provisoires
Evolution des IDE
(En milliards de Dirham)
25.6
29.2
2011* 2012*
+14%
4. 4
• A fin 2012, le flux net a dépassé les 23 MM DH contre 20MM DH en 2011.
• Reprise des Flux Net des IDE avec 20 MM DH fin 2011, après une baisse continue depuis 2007 et
avec un minimum atteint en 2010 suite au record de dépenses enregistré (21,8 MM DH).
Flux net des IDE
Evolution du flux net des IDE entre 2005 et 2011
(En milliards de Dirham)
Flux net des IDE 2012
(En milliards de Dirham)
Source: Office des changes
* Chiffres provisoires
27 26
38
28
25
35.1
25.6
-12
-5
-15
-9 -10
-21.8
-5.2
15
22
23
19
16
13
20
-30
-15
0
15
30
45
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Recettes IDE Depenses IDE Flux net IDE
20.3
23.5
2011* 2012*
+16%
5. 5
La formation brute de capital fixe:
• A fin septembre 2012, les IDE représentent 9,8% des investissements réalisés au Maroc.
• La contribution moyenne des IDE à l’investissement global du pays entre 2006 et 2011 est de 14%
• Reprise de la FBCF en 2010 et 2011 après un léger recul en 2009 : 234 MM DH en 2010 (+ 3,5% vs
2009) et 253 MM DH en 2011 (+ 8,1% vs 2010).
Evolution des IDE et de la FBCF entre 2006-2011, fin septembre 2012
(En milliards de Dirham)
Source: HCP
*Formation brute de capital fixe est l'agrégat qui mesure en comptabilité nationale l'investissement (acquisitions de biens de production)
en capital fixe des différents agents économiques résidents
162
193
227 226 234
253
219
26
38 28 25 35 26 21
2006 2007 2008 2009 2010 2011 Fin sept.2012
FBCF IDE
6. 6
• En 2011, le Maroc a représenté 33% des flux des IDE à destination d’Afrique du Nord (vs
10% en 2010) et 6% des IDE à destination du continent Africain.
Analyse des flux net IDE à fin 2011
Parts régionales des flux d’IDE au Maroc
Source: CNUCED, World Investment Report 2012
12% 11% 11% 10%
33%
6%
4% 4% 4%
6%
2005-2007
Moy annuelle
2008 2009 2010 2011
Maroc/Afrique du Nord Maroc/Afrique
7. 7
Les réformes de l’environnement des affaires
• Une nouvelle constitution en 2011 qui garantit des élections libres, une stricte
neutralité, un accès équitable aux ressources et une protection garantie des témoins
de la corruption, etc.
• Le Maroc a signé la Convention des Nations Unies Contre la Corruption le 9 décembre
2003 et l’a ratifiée le 9 mai 2007.
• Création de l’Instance Centrale de Prévention de la Corruption (ICPC) en Mars 2007.
51 accords de non double imposition
• 62 accords pour la protection des investissements étrangers
• Création du Comité National de l’Environnement des Affaires (CNEA) afin de faciliter les
procédures, de faciliter l’accès à l’information et à mener des réformes juridiques.
Modernisation du droit des sociétés
Nouvelle loi en matière d’arbitrage et de médiation
Protection de
l’investisseur
Réforme
du Cadre Légal
Le Maroc est le pays qui a "le plus amélioré" sa réglementation des affaires en 2011
+21 positions dans le classement mondial
Projet de Charte
de
l’Investissement
• Présenter à l’investisseur un texte uniforme de l’investissement au Maroc
• Mettre en place un cadre conventionnel (conclusion d’une convention d’investissement
entre l’Etat et l’investisseur) offrant un appui budgétaire et financier de l’Etat et reposant
sur des procédures claires et simplifiées
8. 8
Un renforcement de l’intégration régionale
Grande Zone de Libre Echange
Arabe
(GAFTA)
•Accord de facilitation des échanges commerciaux entre les pays Arabes
•Programme exécutif de la grande zone de Libre Échange:
•Démantèlement progressif des D.D.
•Suppression des MNT
Union du Maghreb Arabe
« U.M.A. »
• Accord de promotion et d’encouragement des investissement de 1993.
Accord d’Agadir
•Evolution positive des échanges commerciaux intra Arabes mais ne représentent que moins de 10% des
échanges de la région.
•Les investissements demeurent faibles par rapport aux potentialités existantes.
• S’inscrit dans le cadre du partenariat euro-méditerranéen
• Regroupe 4 pays (Maroc, Tunisie, Egypte et Jordanie)
• Objectif :créer progressivement une ZLE entre les quatre pays
Réactualisation et redynamisation nécessaires des accords régionaux
9. 9
Jumelage institutionnel
Dans le cadre de l’acquisition des meilleures pratiques dans le domaine de la promotion
des investissement et dans l’objectif de renforcer les capacités de l’AMDI en tant
qu’API, un jumelage institutionnel avec un pays Etat membre de l’UE a été lancé le 22
janvier dernier à Rabat.
Le partenaire Etat-Membre est le Ministère Fédéral Allemand de l’Economie et de la
Technologie.
Les chantiers identifiés : La veille et les études, l’aftercare et les outils de performance.
Principaux objectifs:
• Le renforcement des capacités institutionnelles, organisationnelles et techniques de
l’AMDI
• La mise en place d’un système d’indicateurs de performance stratégiques et
opérationnels liés aux investissements
• Renforcer les échanges de bonnes expériences entre l’AMDI et les institutions
européennes.
10. 10
Développement de la coopération avec les APIs
Dans le cadre des coopérations internationale et régionale, l’AMDI travaille avec
les agences homologues pour l’échange d’information et d’expertise .
Un certain nombre de MOU ont été conclus avec les API des pays voisins
notamment:
• GAFI (Egypte),
• Libya Investment Board (Lybie),
• FIPA (Tunisie).
Des visites d’études ont ainsi été organisées au sein des API ainsi que des
actions concrètes de promotion ont été organisées en partenariat
(conférences, tables rondes, missions d’affaires, etc.).