La 28e
édition du Festival de la Communication Santé a récompensé les meilleures opérations de communication santé des institutions, des associations et des entreprises, destinées à l’ensemble des professions de santé, des patients et du grand public. Une place importante était accordée à l’expérience patient.
Programme du 28ème festival de la communication santé de Deauville qui se déroule les 24 et 25 novembre 2017
Infos et inscriptions : www.festivalcommunicationsante.fr
Revue "What's Up Doc" n°25 - Mars Avril 2016
SARAH BALFAGON, LUC BLONDEAU, NICOLAS SCHUFFENECKER, GUILLAUME BOUVY, LAURENT TEUMA, ADRIEN RENAUD, ALICE DESCHENAU ET MATTHIEU DURAND.
La génération Y a mis du temps à prendre les commandes en médecine, du fait de notre (trop) longue formation. Mais elle est aujourd’hui bien là.
Et partout, en clinique, à l’hôpital, au cabinet, les trentenaires de cette génération choquent par leur approche différente du métier.
Les commentaires vont bon train. La santé, comme les autres environnements professionnels, vit une mutation de l’intérieur orchestrée par des praticiens nés dans le digital qui n’entendent plus répéter les modèles établis.
Qui sont-ils ?
Qui sommes-nous en réalité ?
Dissection en profondeur d’une génération tout en contraste, qui nourrit chaque jour un choc culturel autour de la pratique de l’exercice médical… Y.
P. 16 Une construction professionnelle en réaction
P. 18 Les médecins Y, une génération qui parle beaucoup d'elle…
P. 19 Médecins de génération Y, un phénomène international
P. 20 Handicapés de la décision ou adeptes du carpe diem ?
P. 21 Portrait d'un médecin de la génération Y
P. 22 Le choc des générations
P 24Conjuguer la génération Y au futur
P. 25 Conclusion de l'enquête
reseauprosante.fr
Alcimed expose sa vision sur la e-santé au service des maladies rares...Les Filières de Santé Maladies Rares illustrent cette réalité avec des projets en cours.
Programme du 28ème festival de la communication santé de Deauville qui se déroule les 24 et 25 novembre 2017
Infos et inscriptions : www.festivalcommunicationsante.fr
Revue "What's Up Doc" n°25 - Mars Avril 2016
SARAH BALFAGON, LUC BLONDEAU, NICOLAS SCHUFFENECKER, GUILLAUME BOUVY, LAURENT TEUMA, ADRIEN RENAUD, ALICE DESCHENAU ET MATTHIEU DURAND.
La génération Y a mis du temps à prendre les commandes en médecine, du fait de notre (trop) longue formation. Mais elle est aujourd’hui bien là.
Et partout, en clinique, à l’hôpital, au cabinet, les trentenaires de cette génération choquent par leur approche différente du métier.
Les commentaires vont bon train. La santé, comme les autres environnements professionnels, vit une mutation de l’intérieur orchestrée par des praticiens nés dans le digital qui n’entendent plus répéter les modèles établis.
Qui sont-ils ?
Qui sommes-nous en réalité ?
Dissection en profondeur d’une génération tout en contraste, qui nourrit chaque jour un choc culturel autour de la pratique de l’exercice médical… Y.
P. 16 Une construction professionnelle en réaction
P. 18 Les médecins Y, une génération qui parle beaucoup d'elle…
P. 19 Médecins de génération Y, un phénomène international
P. 20 Handicapés de la décision ou adeptes du carpe diem ?
P. 21 Portrait d'un médecin de la génération Y
P. 22 Le choc des générations
P 24Conjuguer la génération Y au futur
P. 25 Conclusion de l'enquête
reseauprosante.fr
Alcimed expose sa vision sur la e-santé au service des maladies rares...Les Filières de Santé Maladies Rares illustrent cette réalité avec des projets en cours.
Interview Rencontre avec Didier SICARD Rachel Bocher
Didier Sicard est Professeur émérite à l’université Paris Descartes, ancien président du Comité consultatif national d’éthique (Ccne), ancien chef de service de médecine interne à l’hôpital Cochin, à Paris.
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Revue "Le Mag de l'INPH" n°6 - INPH - Janvier 2016
Didier Sicard est Professeur émérite à l’université Paris Descartes, ancien président du Comité consultatif national d’éthique (Ccne), ancien chef de service de médecine interne à l’hôpital Cochin, à Paris.
Didier Sicard est auteur notamment, d’ « Hippocrate et le scanner » avec Gérard Haddad, (éditions Desclée de Brouwer, 1999) ; La Médecine sans le corps : Une nouvelle réflexion éthique (Plon 2002) et L’Alibi éthique, (Plon, 2006).
Didier Sicard a accepté de nous recevoir, simplement, parce que nous lui avions demandé. Il a répondu à nos questions avec la même simplicité déconcertante, mais aussi avec beaucoup de patience (car nous ne sommes pas des professionnels de la presse) et enfin et surtout avec unefoi en l’humanité intacte et un amour profond envers l’Homme.
De tout cela, nous voulions le remercier.
Ethique du Service Public
Pour moi la fonction du service public est la capacité à répondreà une demande individuelle en tenant compte de la dimension collective. En tant que médecin de service public, notre honneur est la confiance que la collectivité nous accorde afin que nous utilisions au mieux les ressources publiques au profit d’un individu en souffrance et nécessitant des soins.
La médecine ne peut se considérer comme seule dépositaire des ressources économiques, sans restriction, sauf dans les situations d’urgence vitale. L’obligation des moyens n’est pas forcément celle de tous les moyens : ce n’est pas parce qu’un médicament existe qu’il faut l’utiliser. Il faut avoir le courage de mettre en balance le prix d’un médicament pour une personne et le nombre de personnes que ce même montant empêcherait de soigner par manque de ressources.
...
reseauprosante.fr
L’étude PneuVUE*, réalisée par l’équipe Santé d’Ipsos MORI pour le laboratoire Pfizer met en lumière le manque de connaissances des Européens concernant les moyens de prévention existant pour lutter contre la pneumonie et pointe le relatif désintérêt de la population vis-à-vis des risques que représente cette maladie. Le rôle de sensibilisation des professionnels de santé s’avère donc crucial pour favoriser un vieillissement en bonne santé des populations.
Peut-on améliorer la lutte antipaludique basée sur l'utilisation des médicaments dans l'état actuel de connaissance de la population et du personnel de santé ? - Présentation du 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Serge Brice ASSI - Médecin/Chercheur - Institut Pierre Richet, Institut National de Santé Publique, Côte d'Ivoire - assisergi@yahoo.fr
Prise en charge de la maladie chronique.
Un site internet qui permet en un clic d’avoir accès, de manière personnalisée, à:
- L’intégralité de son dossier médical;
- Son pilulier virtuel;
- Son agenda santé;
- Un dossier complet sur sa pathologie, sa prise en charge et ses complications;
- Ses comptes rendus médicaux et analyses;
- Des jeux éducatifs concernant sa pathologie et son traitement;
- Une boîte mail pour un contact direct avec un professionnel de santé dédié;
- Un forum complet pour échanger…
Observatoire Européen des Maladies RaresIpsos France
A l'occasion de la Journée Mondiale des Maladies rares, Ipsos et ASAP FOR CHILDREN présentent les résultats d'une vaste enquête réalisée auprès de 11 400 personnes au sein de 10 pays de l’Union Européenne. Quelle proportion de la population européenne est concernée par les maladies rares ? Quel regard posent-ils sur le parcours des familles des personnes touchées ? Quelle perception ont-ils de la recherche médicale et de l'accès aux traitements pour les malades ? Quelles attentes expriment-ils pour améliorer la prise en charge des personnes malades et le développement de nouveaux traitements ?
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/maladies-rares-les-europeens-et-notamment-les-francais-nacceptent-pas-la-fatalite
Le Mag du 29ème Festival de la Communication Santé avec les projets présentés, les partenaires, des interviews des acteurs du #FCSanté. La remise des prix aura lieu à Paris le 24 janvier 2019 à Paris. Infos sur www.festivalcommunicationsante.fr (places limitées, inscription obligatoire)
Interview Rencontre avec Didier SICARD Rachel Bocher
Didier Sicard est Professeur émérite à l’université Paris Descartes, ancien président du Comité consultatif national d’éthique (Ccne), ancien chef de service de médecine interne à l’hôpital Cochin, à Paris.
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Revue "Le Mag de l'INPH" n°6 - INPH - Janvier 2016
Didier Sicard est Professeur émérite à l’université Paris Descartes, ancien président du Comité consultatif national d’éthique (Ccne), ancien chef de service de médecine interne à l’hôpital Cochin, à Paris.
Didier Sicard est auteur notamment, d’ « Hippocrate et le scanner » avec Gérard Haddad, (éditions Desclée de Brouwer, 1999) ; La Médecine sans le corps : Une nouvelle réflexion éthique (Plon 2002) et L’Alibi éthique, (Plon, 2006).
Didier Sicard a accepté de nous recevoir, simplement, parce que nous lui avions demandé. Il a répondu à nos questions avec la même simplicité déconcertante, mais aussi avec beaucoup de patience (car nous ne sommes pas des professionnels de la presse) et enfin et surtout avec unefoi en l’humanité intacte et un amour profond envers l’Homme.
De tout cela, nous voulions le remercier.
Ethique du Service Public
Pour moi la fonction du service public est la capacité à répondreà une demande individuelle en tenant compte de la dimension collective. En tant que médecin de service public, notre honneur est la confiance que la collectivité nous accorde afin que nous utilisions au mieux les ressources publiques au profit d’un individu en souffrance et nécessitant des soins.
La médecine ne peut se considérer comme seule dépositaire des ressources économiques, sans restriction, sauf dans les situations d’urgence vitale. L’obligation des moyens n’est pas forcément celle de tous les moyens : ce n’est pas parce qu’un médicament existe qu’il faut l’utiliser. Il faut avoir le courage de mettre en balance le prix d’un médicament pour une personne et le nombre de personnes que ce même montant empêcherait de soigner par manque de ressources.
...
reseauprosante.fr
L’étude PneuVUE*, réalisée par l’équipe Santé d’Ipsos MORI pour le laboratoire Pfizer met en lumière le manque de connaissances des Européens concernant les moyens de prévention existant pour lutter contre la pneumonie et pointe le relatif désintérêt de la population vis-à-vis des risques que représente cette maladie. Le rôle de sensibilisation des professionnels de santé s’avère donc crucial pour favoriser un vieillissement en bonne santé des populations.
Peut-on améliorer la lutte antipaludique basée sur l'utilisation des médicaments dans l'état actuel de connaissance de la population et du personnel de santé ? - Présentation du 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Serge Brice ASSI - Médecin/Chercheur - Institut Pierre Richet, Institut National de Santé Publique, Côte d'Ivoire - assisergi@yahoo.fr
Prise en charge de la maladie chronique.
Un site internet qui permet en un clic d’avoir accès, de manière personnalisée, à:
- L’intégralité de son dossier médical;
- Son pilulier virtuel;
- Son agenda santé;
- Un dossier complet sur sa pathologie, sa prise en charge et ses complications;
- Ses comptes rendus médicaux et analyses;
- Des jeux éducatifs concernant sa pathologie et son traitement;
- Une boîte mail pour un contact direct avec un professionnel de santé dédié;
- Un forum complet pour échanger…
Observatoire Européen des Maladies RaresIpsos France
A l'occasion de la Journée Mondiale des Maladies rares, Ipsos et ASAP FOR CHILDREN présentent les résultats d'une vaste enquête réalisée auprès de 11 400 personnes au sein de 10 pays de l’Union Européenne. Quelle proportion de la population européenne est concernée par les maladies rares ? Quel regard posent-ils sur le parcours des familles des personnes touchées ? Quelle perception ont-ils de la recherche médicale et de l'accès aux traitements pour les malades ? Quelles attentes expriment-ils pour améliorer la prise en charge des personnes malades et le développement de nouveaux traitements ?
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/maladies-rares-les-europeens-et-notamment-les-francais-nacceptent-pas-la-fatalite
Le Mag du 29ème Festival de la Communication Santé avec les projets présentés, les partenaires, des interviews des acteurs du #FCSanté. La remise des prix aura lieu à Paris le 24 janvier 2019 à Paris. Infos sur www.festivalcommunicationsante.fr (places limitées, inscription obligatoire)
How healthy is mental health care in Belgium? The facts behind the myths (FR)Itinera Institute
In the report “How healthy is mental health care in Belgium?” Itinera charts the deficiencies of mental health care. Mental illnesses are the primary cause of invalidity in Belgium, 27% of long term absenteeism is related to mental issues and life expectancy of psychiatric patients is on average 15 year shorter. One in two patients does not receive care, only 25% receives appropriate care. Care provision occurs often too late. On a global scale, Belgium remains in the lead of admitting patients to residential care organizations. Belgium falls behind and needs to step up policy action urgently. Itinera recommends fundamental reforms of the financial structure of mental health care, to integrate care in society as an alternative for residential stay, to position quality of care centrally within the self interest of all actors, to encourage early detection and to address existing prevention and care needs.
Le Téléthon, à quoi ça sert ?
Evénement initié par l’AFM (Association Française contre les Myopathies), cet événement avait au départ pour but de sensibiliser la population et surtout de récolter des fonds pour la recherche sur les maladies neuromusculaires. Petit à petit, la recherche a permis de cartographier le génome par exemple, et elle s’est donc ouverte à l’exploration de maladies génétiques rares, qui aujourd’hui font partie des buts du Téléthon.
L’AFM communique autour de trois grandes missions :
Aider :
Améliorer l’espace de vie, l’ergonomie des outils thérapeutiques, l’assistance aux personnes handicapées, et augmenter la qualité de vie des patients, partie importante de la prise en charge des patients et du chemin vers la guérison.
Guérir :
En étudiant le génome, en explorant le mécanisme cellulaire, et en traitant avec de nouvelles thérapies géniques et des biothérapies innovantes.
Communiquer :
Sensibiliser la population aux maladies neuromusculaires, au handicap créé ainsi qu’aux difficultés de la vie quotidienne liées à la maladie. Communiquer représente un enjeu et fait parti des statuts de l’AFM, la tâche est grande, mais pas impossible.
reseauprosante.fr
Cahier de tendances santé - La NetscouadeLaNetscouade
Assiste-t-on à une crise de confiance généralisée autour de la santé ? Comment les acteurs de la santé peuvent recréer de la confiance ? La Netscouade publie son cahier de tendances sur le thème "Santé : de la défiance à la confiance ?" pour tenter de répondre à ces questions.
Ouvrir des pistes de réflexion, trouver des clés pour mieux communiquer… Tels sont les objectifs de ce cahier de tendances. Nous y passons au crible les comportements en ligne, les profils d'influenceurs dans la santé, les spécificités de chaque réseau et les bonnes pratiques pour tenter de répondre à une question centrale : la confiance en santé est-elle mise en péril ?
Le Mag du Festival de la Communication Santé 2016 avec tous les projets nominés, nos partenaires et le programme de cette 27ème édition.
#FCsante
www.festivalcommunicationsante.fr
Big Data en santé : De la technologie à la thérapie, en passant par la confi...Alain Tassy
Avec la multiplication du nombre de médicaments, l’évolution des méthodes de diagnostic, l’apparition des objets connectés de santé et la médecine participative, le traitement des données devient un élément clef de la médecine. Avec les évolutions technologiques tant en traitement qu’en stockage, le big data ouvre des voies thérapeutiques nouvelles qui vont nécessairement modifier en profondeur la pratique médicale.
Utiliser des algorithmes mathématiques sans pouvoir vérifier explicitement les résultats pose au médecin et au patient un premier problème de confiance. Le partage des données de santé qui sont sensibles, pose des problèmes de sécurité et donc un deuxième problème de confiance. Mettre des règles sur le traitement des données est nécessaire pour établir la confiance. Mais légiférer de façon très restrictive risque de nuire à l’innovation. Imposer un consentement explicite avec obligation de mémoriser ce consentement sur plusieurs années, est un frein au développement du big data car cela tue le business model des industriels. Un consentement a priori, avec liberté de refuser le partage des données pour les personnes qui le souhaitent semble plus adapté au développement de la médecine prédictive et personnalisée.
Recherche en médecine générale surmédicalisation, surdiagnostics, surtraite...Réseau Pro Santé
Revue " Le Bulletin des Jeunes Médecins Généraliste n°9" Juillet 2014
Le risque de surdiagnostics, alias diagnostics par excès est un élément à prendre en compte dans la prise en charge des patients pour leur éviter des surtraitements, alias traitements par excès. Le surdiagnostic peut se définir comme la transformation en pathologie de phénomènes biologiques, ou la découverte d’anomalies d’imagerie qui sont sans implications délétères pour la santé des individus. La conséquence en est la prescription de traitements inadaptés ou inutiles avec des conséquences néfastes pour la santé individuelle et la santé publique.
Ce dysfonctionnement de la médecine constitue la surmédicalisation. Elle consiste à fabriquer des pathologies à partir de phénomènes sociaux, psychologiques, ou d’anomalies issues du champ de la biologie ou de l’imagerie médicale. Elle se manifeste de façon protéiforme et est associée à plusieurs phénomènes qui contribuent à la provoquer et la développer. Elle est intimement liée au développement des dépistages, des notions de facteurs de risque, du façonnage des maladies, de la manipulation des normes biologiques.
La croyance en l’efficacité générale des dépistages des cancers et des maladies chroniques est mise à mal quand on analyse les données issues de la littérature scientifique quand elle n’est pas biaisée par des conflits d’intérêt.
reseauprosante.fr
“Les Français et les Campagnes «Santé»” Enquête Future Thinking / FNAIM - Fév...yann le gigan
Communication santé grand public : quelle influence sur le patient-consommateur ?
Une enquête réalisée par Future Thinking France en partenariat avec la FNIM (Fédération Nationale de l’Information Médicale) Février 2015
http://www.lafnim.com/fnim-rendez-vous.asp?id=47
L’enquête :
http://www.lafnim.com/userfiles/document/Enquete-Future-Thinking-FNIM-022015.pdf
Pharmamar explore de nouvelles voies contre le cancer. Le laboratoire utilise la biodiversité de la mer pour développer des molécules anti-cancéreuses porteuses de nouveaux espoirs, alternative thérapeutiques en particulier dans le cancer de l'ovaire
Le Festival de la Communication Santé en quelques chiffres!
Proposez vos campagnes de communication santé au #FCsanté
www.festivalcommunicationsante.fr
Dominique Noel, présidente du Festival de la Communication Santé a coordonné le dossier du TLM n° 105 consacré à la robotique médicale, découvrez son édito
Etude IFOP Canal 33 : Primo Vision
Cette étude menée par Canal 33, partenaire du Festival de la Communication Santé, a pour objet d’évaluer l’agrément du média, l’intrusivité de la publicité diffusée, le taux de découverte des spots, la primo vision grâce à CANAL33 et l’apport du «narrative brand content» sur la mémorisation
Newsletter avec FOCUS SUR LA CONFÉRENCE
Environnement et santé : des liens d'intérêt à ne plus ignorer
En partenariat avec Pharmaceutiques - Festival de la communication Santé 2015 #FCSanté
Open data :
Nouvelle chance
ou vrai risque ?
A l’occasion du 25e festival de la communication santé, “Pharmaceutiques”
a organisé une table ronde consacrée à l’open data en santé.
Les projets nominés du 25ème Festival de la Communication Santé (28 et 29 novembre 2014)
Remise des prix le .08.01.2015 Chez Orange Healthcare
www.festivalcommunicationsante.fr
Il s'agit des stratégies de descente sur le terrain consistant a mettre en œuvre la qualité d'une bonne supervision au cours d'une campagne de poliomyélite
Baromètre Donner des ELLES à la santé JanssenIpsos France
Le baromètre Donner des ELLES à la santé réalisé pour Janssen dresse pour sa 5ème édition un bilan de la situation des femmes médecins à l’hôpital et alerte sur les difficultés auxquelles elles font face.
Cette étude permet de comprendre les dynamiques actuelles autour de la satisfaction professionnelle, les aspirations à la responsabilité et les discriminations subies dans le milieu hospitalier, avec un focus particulier sur les violences sexistes et sexuelles, qui résonnent fortement avec l’émergence récente de #MeTooHôpital.
28.04.Fracture_2_Os_Avant-bras.pdf fracture des deux os de l'avant bras
Article paru dans Pharmaceutiques : Les patients mis à l'honneur au Festival de la Communication Sante
1. Industrie Communication
62
pharmaceutiques - février 2018
C
omme chaque année, la
présidente du Festival,
Dominique Noël, et son
équipe ont tenu à placer
les patients au cœur de la program-
mation. C’était le cas, par exemple,
avec les “speed visions”, des formats
courts et percutants, où des patients
et leur famille font entendre leur voix
sur les épreuves de leur quotidien, les
difficultés à traverser, mais aussi les
moments plus joyeux.
Ainsi, le père de Noé, Frédéric Lemos
– en campagne avec Gustave Roussy
pour lever des fonds et développer la
recherche pour guérir les cancers des
enfants – a témoigné du parcours de
son fils, décédé à sept ans d’un cancer
rare du cerveau. Athénaïs de Truchis de
Lays, greffée trois fois du foie, a raconté
son expérience dans l’émission Secret
Story, une incursion dans la télé-réalité
destinée à sensibiliser le grand public
au don d’organes. Aujourd’hui, elle
s’investit dans l’association des mala-
dies du foie de l’enfant (AMFE), dont
l’objectif est de soutenir la création de
chambres mère-enfant. Alice Rivières,
pour sa part, s’implique dans la plate-
forme Ding Ding Dong, un « institut de
coproduction de savoir sur la maladie de
Huntington ». Un support inédit pour
faire connaître cette maladie neuro-
évolutive rare et héréditaire, qui touche
8 000 personnes en France et pour
laquelle il n’existe pas de traitement.
Diffuser une information fiable
Outre la voix des patients, cette édi-
tion 2017 a également permis d’abor-
der les conséquences dues à une dif-
fusion rapide de l’information auprès
du grand public, que ce soit lors de
dérives médiatiques, d’infodémies
(épidémies de rumeurs) ou encore
dans la relation médecin-patient.
Ainsi, Stéphanie Chevrel, directrice
de Capital Image et fondatrice de
l’Observatoire de l’information san-
té, qu’elle a créé avec le soutien de la
Chaire Santé de Sciences Po, a analysé
les conséquences d’une dérive média-
tique intervenue après la publication
d’une étude scientifique dans la revue
Science, expliquant pourquoi certains
organes sont plus susceptibles que
d’autres de développer une tumeur.
En 48 heures, l’étude va être défor-
mée par les médias, avec des titres du
type « Le cancer : c’est la faute à pas
de chance »… « Ce modèle d’informa-
tion tronquée et spectaculaire, reprise
instantanément dans le monde entier
et sans vérification, est de plus en plus
fréquent », estime-t-elle. Avec l’émer-
gence des nouveaux médias et des
réseaux sociaux, il est donc important
de réfléchir aux moyens de contrer ces
emballements. « Le journaliste doit
remonter à la source, mais aussi plus
que jamais distinguer la vraie infor-
mation de ses nombreux reflets pour
demeurer le garant d’une information
scientifique, authentique et fiable »,
rappelle Stéphanie Chevrel.
Le Dr Sylvie Briand, directrice de
Festival de la Communication Santé 2017
Les patients mis
à l’honneur
La 28e
édition du Festival de la Communication Santé a récompensé les
meilleures opérations de communication santé des institutions, des associations
et des entreprises, destinées à l’ensemble des professions de santé, des patients et
du grand public. Une place importante était accordée à l’expérience patient.
La 28e
édition du
Festival de
la Com-
munication
Santé a réuni
plus de 500
participants,
à Deauville,
les 24 et 25
novembre
derniers.
DR
2. 63
février 2018 - pharmaceutiques
la gestion des risques infectieux à
l’OMS, mais aussi du programme
de gestion des situations d’urgence
sanitaire porté par l’organisation, a
ensuite indiqué la conduite à tenir
pour lutter contre les infodémies.
Ces dernières sont tout aussi nuisibles
pour la santé que les épidémies, avec
leurs dérives de communication et
leurs lots de “fake news”. D’où l’im-
portance d’adopter des comporte-
ments qui vont permettre de stopper
la transmission de ces rumeurs. Enfin,
Philippe Denormandie, chirurgien
et directeur des relations santé à la
MNH, a pointé du doigt la difficulté
des relations soignants/soignés due
à la rapidité d’accès à l’information.
Une évolution radicale qu’il faut « très
vite intégrer pour repenser notre sys-
tème de soins et la formation des pra-
ticiens ».
Des tables rondes
de haut niveau
Plusieurs tables rondes ont permis
d’échanger sur des sujets de société
comme la transparence de l’informa-
tion santé, la prévention du stress,
le choix des mots pour parler du
bien vieillir. Trois thématiques qui
peuvent concerner tout un chacun.
La table ronde sur « la transparence
et ses limites », animée par Eric de
Branche, directeur de la communica-
tion du Leem, a été fort appréciée de
l’auditoire. Il en ressort que le public
plaide globalement pour une plus
grande transparence, que ce soit dans
l’information médicale donnée par le
médecin au patient ou celle délivrée
par les autorités de santé. S’agissant
de l’information médicale du patient,
Magali Leo, responsable du plaidoyer
Renaloo, invite les autorités et les pro-
fessionnels de santé à « se pencher sur
les réseaux sociaux qui permettent de
remonter des signaux avant qu’une
crise ne se déclare et à mieux infor-
mer les patients ». Et de regretter « la
tétanie des autorités sanitaires » dans
l’affaire du Lévothyrox®. Autre ques-
tion soulevée : jusqu’où aller dans
l’information médicale à délivrer au
patient, en cas de maladie grave ?
Doit-on tout dire ? « Il faut toujours
dire la vérité, mais en rassurant le
patient, et non de manière brutale »,
répond le Dr Fabien Guez, cardio-
logue et journaliste à BFM Business,
qui prône une transparence « positive
et porteuse d’espoir pour le malade ».
La table ronde sur la prévention du
stress, animée par Nicolas Bohuon, et
réalisée en partenariat avec Pharma-
ceutiques et la FNIM, a présenté les
résultats d’une étude Opinion Way –
Fondation Ramsay Générale de Santé
– #FCSanté – FNIM. Elle montre
que 9 Français sur 10 éprouvent du
stress, à la source d’un certain nombre
de pathologies. Les jeunes générations
sont plus stressées qu’autrefois. 46 %
des 25-34 ans disent que leur niveau
de stress a augmenté ces dernières
années, contre 30 % chez les plus de
65 ans. S’agissant des personnes at-
teintes de maladies dermatologiques
(psoriasis, dermatite atopique), 55 %
des personnes interrogés déclarent que
le stress a augmenté au cours des trois
dernières années. 8 personnes sur 10
estiment que ce stress peut avoir des
conséquences à long terme sur leur
santé. Dans le détail, 70 % des son-
dés pensent que le stress engendre des
problèmes de sommeil à long terme,
57 % des problèmes psychologiques
et 51 % des problèmes cardiaques.
Pour lutter contre ce stress, 39 %
font du sport, 15 % du yoga ou de la
méditation, tandis que 28 % ne font
rien. La Fondation Ramsay Générale
de Santé, avec Kap Code, a également
analysé les publications scientifiques
de ces dix dernières années en lien
avec le stress. Il en ressort que 24 %
des recherches sur le stress traitent de
ses impacts sur la santé mentale (in-
somnie, souffrance émotionnelle…),
20 % sur les maladies métaboliques
(diabète, surpoids…) et 14 % sur les
affections cardiovasculaires.
La troisième table ronde, intitu-
lée « Les bons mots pour le dire »,
était organisée en partenariat avec
la Fondation Korian. Animée par
Eric Phélippeau, président de By
Agency Group, elle s’est focalisée sur
la manière de s’adresser aux seniors.
L’enquête « Changeons les mots pour
transformer le regard sur les aînés »,
pilotée par la Fondation Korian, a
permis d’identifier les champs sé-
mantiques utilisés pour parler des
personnes âgées. De cette étude, on
retient que les mots utilisés se révèlent
souvent techniques et inappropriés,
voire parfois blessants. Un guide pra-
tique précise ainsi les mots à bannir
et ceux à privilégier pour parler posi-
tivement du grand-âge, de la dépen-
dance, de la maladie et des maisons
de retraite. Le « guide des mots du
bien vieillir » veut ainsi sensibiliser et
convaincre les professionnels de santé,
les institutionnels et la société fran-
çaise dans son ensemble de l’intérêt
de changer les mots et les regards sur
le vieillissement.
Leo Pharma et Merck
à l’honneur
Comme chaque année, des prix ont
été décernés. Parmi les gagnants, le
Grand Prix du Festival est revenu
à Leo Pharma pour sa campagne
#31cestTrop (Agence Plan.net/Capi-
tal Image). Cette étude, basée sur les
résultats de l’enquête Pso Happy, a
été menée par le Happiness Research
Institute et Leo Innovation Lab, en
partenariat avec les associations de
patients française et belge. Elle avait
pour but d’évaluer l’impact du psoria-
sis sur le bonheur. Résultat : les pa-
tients atteints de psoriasis sévère ont
31 % de bonheur en moins par rap-
port à la population générale. Cette
approche d’une maladie affichante,
évaluant les conséquences d’une
maladie chronique sur ceux qui en
souffrent, a séduit l’ensemble du jury,
car elle propose une représentation
plus sensible et concrète des attentes
des patients.
Le coup de cœur du Festival a salué le
lancement par les laboratoires Merck
du programme connecté On StEPs,
dédié au sport et au bien-être (Agence
Capital Image). Outre ces deux cham-
pions, le Festival compte plusieurs ga-
gnants dans dix catégories. Parmi les
projets primés qui ont reçu un coup
de cœur dans la catégorie commu-
nication santé publique, figurent les
sessions organisées par MSD en pré-
sence d’un mentaliste auprès de mé-
decins généralistes et de pharmaciens
d’officine, destinées à permettre à ces
professionnels de mieux détecter les
réticences et mensonges des patients
à propos de l’observance. n
Brigitte Postel
L’ensemble du palmarès est à retrouver
sur le site du Festival :
www.festivalcommunicationsante.fr