Une véritable révolution dans le comportement des consommateurs s’opère. De plus en plus connecté, informé et actif, le consommateur multiplie les signes manifestes de l’exercice de son pouvoir. Les entreprises doivent prendre conscience que ces nouveaux comportements de consommation ne sont pas des épiphénomènes.
Discussions autour du concept de co-création de valeur dans les entreprises.
Dans quelles mesures le concept de co-création de valeur s'inscrit-il dans une démarche de Customer Empowerment ?
La co-création est-elle toujours synonyme de valeur ?
Communauté de marque et influence dans la stratégie de communication globale ...Mathias Duret
La crise des médias traditionnels ainsi que la prise de pouvoir des consommateurs
grâce au Web 2.0 à favorisé l’expansion des communautés de marque en ligne et de
l’intelligence collective. Le secteur de la communication et du marketing doit donc
adapter ses stratégies pour entrer en conversation avec ces communautés.
Une nouvelle approche de la communication, tournée vers le dialogue et l’écoute
amène l’entreprise à devenir citoyenne parmi les citoyens. Un changement de
statut qui la fait entrer en conversation avec ses consommateurs de plus en plus
impliqués. L’entreprise doit alors comprendre et mettre en place des outils
communautaire favorisant la coopération et les connexions.
Que sont finalement les actions ? Ce sont tout simplement des promesses énonçant qu'une entreprise vous doit de l'argent. Certes, mais encore, les actions sont des créances qu'un actionnaire possède auprès d'une entreprise. Toute créance apporte un revenu, et celui-ci se définit comme le dividende que nous étudions ici.
Discussions autour du concept de co-création de valeur dans les entreprises.
Dans quelles mesures le concept de co-création de valeur s'inscrit-il dans une démarche de Customer Empowerment ?
La co-création est-elle toujours synonyme de valeur ?
Communauté de marque et influence dans la stratégie de communication globale ...Mathias Duret
La crise des médias traditionnels ainsi que la prise de pouvoir des consommateurs
grâce au Web 2.0 à favorisé l’expansion des communautés de marque en ligne et de
l’intelligence collective. Le secteur de la communication et du marketing doit donc
adapter ses stratégies pour entrer en conversation avec ces communautés.
Une nouvelle approche de la communication, tournée vers le dialogue et l’écoute
amène l’entreprise à devenir citoyenne parmi les citoyens. Un changement de
statut qui la fait entrer en conversation avec ses consommateurs de plus en plus
impliqués. L’entreprise doit alors comprendre et mettre en place des outils
communautaire favorisant la coopération et les connexions.
Que sont finalement les actions ? Ce sont tout simplement des promesses énonçant qu'une entreprise vous doit de l'argent. Certes, mais encore, les actions sont des créances qu'un actionnaire possède auprès d'une entreprise. Toute créance apporte un revenu, et celui-ci se définit comme le dividende que nous étudions ici.
Aide à l'utilisation de la plateforme e-twinning en français : inscription, prise en mains, utilisation du twinspace.
Formation réalisée dans le cadre d'un projet Kinema.
Certaines slides sont tirées du site e-twinning.
Synthèse du premier cycle des lunch 2011. Ce cycle parlait de la nouvelle ménagère vue sous trois angles: celui du consommateur (MARC VANDERCAMMEN ), des médias (DIDIER ACKERMANS) et de l'annonceur (NORA MEBARKA).
Aide à l'utilisation de la plateforme e-twinning en français : inscription, prise en mains, utilisation du twinspace.
Formation réalisée dans le cadre d'un projet Kinema.
Certaines slides sont tirées du site e-twinning.
Synthèse du premier cycle des lunch 2011. Ce cycle parlait de la nouvelle ménagère vue sous trois angles: celui du consommateur (MARC VANDERCAMMEN ), des médias (DIDIER ACKERMANS) et de l'annonceur (NORA MEBARKA).
Premier livre en français à traiter l'expérience client comme une nouvelle discipline de gestion, il propose une méthodologie de mise en oeuvre en 7 étapes et une boite à outils en mode design thinking
L’ÉCONOMIE COLLABORATIVE : COMMENT ADOPTER SES CODES POUR UNE MARQUE QUI C...Dagobert
Les nouveaux acteurs issus de l’économie collaborative sont systématiquement vus comme une menace pour les marques traditionnelles…
Comment les modèles d’économie collaborative peuvent-ils au contraire aider les marques à se renforcer ?
Découvrez les réponses à cette question dans le nouveau slideshare réalisé par les équipes du planning Stratégique de l'agence Dagobert.
Partage et témoignages d'entrepreneurs et de start-up : EdTech, FinTech, MedTech, Luxe.
Les start-up | entrepreneurs | business présents dans le cahier
Askeet.io | Stanislas Miquel | Plateforme d'échange de leads
D'Estrëe | Laëtitia Lumbroso-Revenu | Maison de couture
Iktos | Yann Gaston-Mathé | IA au service de la pharma
Kokoroe | Elise Covilette | Plateforme de contenu pédagogique
La Formation Pour Tous | Jean-Paul Debeuret | Mobile learning pour les entreprises
Learn Assembly | Antoine Amiel | MOOC d'entreprises
Livsty | Grégoire Berger | Viager digital
Maison Z | Matthieu Zeilas | Luxe et innovations technologiques
Merci Docteur | Charlotte Lajoux | Lutte contre les déserts médicaux
Promis | Antoine Jenoudet | Plateforme de produits d'assurance
The Mooc Agency | Paul Farnet | Accompagnateur des organismes de formation
Tilkal | Matthieu Hug | Blockchain pour la supply chain
Vegg'up | Robin Lietar | App de recettes végétariennes et vegan
Strategies Relationnelles 2.0 : comment les marques peuvent passer en mode in...nous sommes vivants
Overview sur les stratégies relationnelles des marques en mode 2.0 présentée lors de l'université des services de la SNCF par jérémy dumont directeur du planning stratégique de pourquoi tu cours (l'agence des idées).
www.pourquoitucours.fr
Le super collectif des consultants en innovation & transformation collective ...nous sommes vivants
Nous vous proposons de créer un super collectif au service de l’innovation et transformation collective des entreprises : des designers, consultants, transformateurs, planneurs, facilitateurs, sociologues...
Face à un environnement fait de turbulences, d’incertitudes, de problèmes, d’évolutions et de changements, trois attitudes sont possibles :
- Le renoncement
- « Je vais m’en sortir tout seul »
- La coopération
La coopération est la stratégie à adopter face aux turbulences de l’environnement, pour rechercher le « Tous gagnants ».
En savoir plus : www.lesupercollectif.fr
Les innovations issues de l'économie collaborative et sociale qui peuvent cha...nous sommes vivants
Le numérique a non seulement démocratisé l’accès au savoir et aux moyens de communication, maintenant il apporte la capacité d'agir ensemble.
Les hommes et les femmes de tous ages qui utilisent le numérique au quotidien forment la génération C communicante, créative, connectée... et capable.
De nouveaux entrepreneurs du numérique font partie de l'économie collaborative et/sociale et solidaire.
Ces entrepreneurs ne font pas qu'imaginer le monde de demain, ce sont des makers. Etre un maker, c’est un état d’esprit. Les makers partent de l’idée que n’importe qui peut innover et changer le monde. Chacun peut apporter des idées neuves et expérimenter. Ils essayent à la fois de trouver des solutions qui répondent mieux à leurs attentes...et à celles de leurs communautés.
L’économie collaborative puise dans l’économie sociale et solidaire du côté des valeurs, de l’attention aux circuits courts, de la participation active des membres, disent Pierre Mallet et Véronique Routin du groupe de travail Sharevolution de la Fing.
Mais plus jeune que l’ESS, la consommation collaborative s’appuie sur un ensemble d’outils numériques , autour du modèle du logiciel libre, des communautés en ligne, mais aussi autour de formes d’innovation ascendantes très numériques comme l’économie de la contribution, le web 2.0, le crowdsourcing, etc.
A nous de multiplier les passerelles encore trop rares entre tous ces groupes qui aspirent à changer le monde chacun de leur coté : startupers, élus politiques et intrapreneurs, barbares, burners, hackers et makers dit Pierre Chevelle.
L'avenir du monde ne peut plus attendre. Pour créer un avenir plus radieux, nous devons appréhender la finance et l'économie autrement, nous devons changer de "logiciel de pensée". Peut être pouvons nous décider ensemble de ce que nous mangeons, de comment on s'habille, de comment on voyage à travers ces plateformes de mises en relation peer to peer.
En le faisant passer du "moi" au "nous", la corévolution donne un autre espace de déploiement concret au développement durable dis Anne Sophie Novel dans son livre.
Il faut remettre le sens au coeur de l’économie, par le partage, la collaboration et les communautés.
RDV mardi : https://www.facebook.com/events/1597874953788506/
Compte-rendu - " Les modèles économiques de la société 4.0 : vers une grande ...Chaire_Retailing 4.0
Retrouvez le compte-rendu détaillé du Petit-Déjeuner du Commerce 4.0 du 7 juin 2017, organisé par la Chaire E.Leclerc / ESCP Europe "Prospective du Commerce dans la Société 4.0."
Relevons le défi de la transformation digitale !AKOR consulting
Dans un monde en mutation, à l'heure de la transformation numérique, comment faire évoluer sa culture d'entreprise ? Vers quelle mode de gouvernance tendre ? Comment réussir ce challenge et ce changement de paradigme ?
Consommation collaborative Alexandra Penel frenchAlexandra Brandt
La consommation collaborative est un nouvel espoir économique dans un contexte où la production trouve de moins en moins de destinataires. Mais au delà de ses vertus commerciales, certains y voit la possibilité d’un mode d’organisation plus sociale, plus environnementale et plus juste. Elle serait un nouvel étendard contre l’individualiste libéralisme et l’immoral capitalisme. Alors, oui ou non, la consommation collaborative amorce-t-elle la fin de notre monde ?
"Crowdsourcing et Business, Mythe ou réalité" article écrit suite au débat
1. Happy Client , Happy Business
“Crowdsourcing et Business, mythe ou réalité?”
Avec le partenariat de
Une véritable révolution dans le comportement des consommateurs s’opère. De plus en plus
connecté, informé et actif, le consommateur multiplie les signes manifestes de l’exercice de
son pouvoir. Les entreprises doivent prendre conscience que ces nouveaux comportements
de consommation ne sont pas des épiphénomènes. Isabelle Decoopman, Souad Djelassi et
Yannig Roth, respectivement experts en business model innovants, en comportement de
consommateur et en crowdsourcing, s’intéressent aux nouvelles pratiques mises en place
par des entreprises qui ont compris l’impact de cette révolution comportementale. Ils ont,
avec l’aide de Caroline Valent, BeeZ, proposé un débat autour des enjeux du crowdsourcing
dans le monde marchand. Toujours initié par l’entreprise, le crowdsourcing consiste à
intégrer le consommateur dans la conception de l’offre via un appel ouvert et non
discriminatoire. Loin d’être un simple outil marketing, il est un véritable vecteur d’innovation
ouverte pour nos entreprises. Il interpelle leur business model mais aussi la fonction
marketing et donne un rôle central au consommateur dans le processus de création de
valeur. Le débat a permis de mettre en lumière les bénéfices de ces pratiques à la fois pour
2. Happy Client , Happy Business
“Crowdsourcing et Business, mythe ou réalité?”
Avec le partenariat de
2
les consommateurs-contributeurs et les entreprises mais aussi le caractère polémique
qu’elles peuvent revêtir.
Au sein d’un espace dédié au partage d’expériences et à la co-création qui est la Fusée de
SKema (knowledge center), des professionnels et des étudiants ont pu échanger avec les
différents intervenants.
Caroline Valent a tout au long de la rencontre positionné le débat en s’interrogeant sur le
caractère mythique ou réel du crowdsourcing dans le monde du business. Isabelle
Decoopman chercheur à Skema a, dans un premier temps, présenté le contexte favorisant
l’émergence de la co-création –entreprise-consommateur » et abordé le lien entre
crowdsourcing et avantage concurrentiel. Souad Djelassi chercheur à l’Université de Lille 2,
a précisé les contours des pratiques de crowdsourcing en relevant leurs différences avec
d’autres pratiques collaboratives telles que les communautés et les logiques d’open-source.
3. Happy Client , Happy Business
“Crowdsourcing et Business, mythe ou réalité?”
Avec le partenariat de
3
Yannig Roth a quant à lui fait part à la fois de son expérience de chercheur à la Sorbonne
mais aussi de son expérience en tant que professionnel au sein de la plateforme de
crowdsourcing eYeka. Il a exposé à l’aide d’exemples concrets l’intérêt croissant des
entreprises pour ces pratiques. Nos échanges ont permis de comprendre que le
crowdsourcing permet à l’entreprise d’améliorer et d’accélérer son processus d’innovation,
de réduire ses coûts et de modifier sensiblement son image auprès des consommateurs. Le
consommateur quant à lui en retire des bénéfices variés, comme la fierté, la reconnaissance,
l’apprentissage mais aussi des récompenses de nature financière. Toutefois, le
crowdsourcing n’est pas sans créer de polémique et de controverse comme l’a fait
remarquer l’auditoire (tension entre mondes amateur et professionnel, sentiments négatifs
d’exploitation des participants …). Ce débat montre bien la nécessité de poser un regard
stratégique sur ces pratiques qui sont loin d’être anodines pour l’entreprise bien qu’elles
soient fortement créatrices de valeur.
Article écrit par Isabelle Decoopman le 6 décembre 2014
4. Happy Client , Happy Business
“Crowdsourcing et Business, mythe ou réalité?”
Avec le partenariat de
4
Cela s’est passé à SKema Business School Lille, le jeudi 4 décembre 2014 à la Fusée
Organisé et préparé à l’initiative de BeeZ
Débat animé par Caroline Valent, Révélateur de Business chez BeeZ
3 intervenants
Isabelle Decoopman, Chercheur à SKema Business School, Laboratoire
MERCUR, Experte en business model innovants
Souad Djelassi, Chercheur à l’Université de Lille 2, Laboratoire MERCUR, Experte
en comportement du consommateur
Yannig Roth, Chercheur à l’Université Paris I Sorbonne – eYeka, Expert en
crowdsourcing