Conférence de presse tenue par le ministère de l'economie et des finances et qui présente les résultats préliminaires de l'économie marocaine durant l'année 2011
L'état des comptes publics par Arnaud Phelep à l’occasion de son audition devant la Commission finances de l’Assemblée de Français de l’étranger (AFE) le 2 mars 2010.
Le Financement des PME (étude PME Finance)PME Finance
Découvrez les premières pages de l'étude de l'Observatoire des Entrepreneurs de PME Finance sur Le Financement des PME, à paraître au mois d'octobre chez Les Echos Etudes
Avec futur telecom
Stimulez vos communications!
Depuis plus de 10 ans, futur telecom,
société affi liée au groupe SFR,
se positionne comme le guichet unique
des entreprises pour leurs solutions
télécoms et informatiques.
L'état des comptes publics par Arnaud Phelep à l’occasion de son audition devant la Commission finances de l’Assemblée de Français de l’étranger (AFE) le 2 mars 2010.
Le Financement des PME (étude PME Finance)PME Finance
Découvrez les premières pages de l'étude de l'Observatoire des Entrepreneurs de PME Finance sur Le Financement des PME, à paraître au mois d'octobre chez Les Echos Etudes
Avec futur telecom
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Depuis plus de 10 ans, futur telecom,
société affi liée au groupe SFR,
se positionne comme le guichet unique
des entreprises pour leurs solutions
télécoms et informatiques.
Commentaire:
Nouvelle semaine d’hésitation à la Bourse de Casablanca, où le MASI évolue sans réelle orientation. En effet, l’indice de toutes
les valeurs cotées fait du surplace, avec une performance hebdomadaire de -0,06%
Les indicateurs mathématiques restent globalement baissiers, à l’exception d’un redressement de la stochastique sur la ligne des
50, reflétant un regain d’intérêt des acheteurs à horizon très court terme. Sur le plan graphique, le dernier rebond sur la zone des
11 350 points a fortement contribué au changement de consensus sur l’indice passant de vendeur à neutre, Cette
« cyclothymie » a entrainé la mutation de la figure en « Double Top » (figure baissière citée dans notre précédente analyse)
en « triangle symétrique » (figure d’hésitation), laissant le champs à deux hypothèses d’évolution probable sur la semaine
prochaine :
♦ Signal haussier : Si l’indice clôture au-dessus du niveau des 11 470 points avec volumes importants, il devrait
s’inscrire probablement dans un nouveau rally haussier avec pour objectif les 11 600 points ;
♦ Signal baissier : Si l’indice casse à la baisse le support des 11 350 points, cela déclencherait un retournement baissier
qui aura pour première cible les 11 200 points suivie par les 11 150 points.
Commentaire:
Nouvelle semaine d’hésitation à la Bourse de Casablanca, où le MASI évolue sans réelle orientation. En effet, l’indice de toutes
les valeurs cotées fait du surplace, avec une performance hebdomadaire de -0,06%
Les indicateurs mathématiques restent globalement baissiers, à l’exception d’un redressement de la stochastique sur la ligne des
50, reflétant un regain d’intérêt des acheteurs à horizon très court terme. Sur le plan graphique, le dernier rebond sur la zone des
11 350 points a fortement contribué au changement de consensus sur l’indice passant de vendeur à neutre, Cette
« cyclothymie » a entrainé la mutation de la figure en « Double Top » (figure baissière citée dans notre précédente analyse)
en « triangle symétrique » (figure d’hésitation), laissant le champs à deux hypothèses d’évolution probable sur la semaine
prochaine :
♦ Signal haussier : Si l’indice clôture au-dessus du niveau des 11 470 points avec volumes importants, il devrait
s’inscrire probablement dans un nouveau rally haussier avec pour objectif les 11 600 points ;
♦ Signal baissier : Si l’indice casse à la baisse le support des 11 350 points, cela déclencherait un retournement baissier
qui aura pour première cible les 11 200 points suivie par les 11 150 points.
Similaire à Conférence de presse tenue par le ministère de l'economie et des finances et qui présente les résultats préliminaires de l'économie marocaine durant l'année 2011
Panorama des risques
Compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur
Cette publication trimestrielle présente le détail des évolutions des notes pays, des analyses et prévisions du département études économiques et risques pays de la Coface.
édition avril 2011
http://www.coface.fr/CofacePortal/FR_fr_FR/pages/home/publications/Panorama_des_risques
Synthèse de l\'étude réalisée par l\'IDATE pour TDF sur le rôle du hertzien
Similaire à Conférence de presse tenue par le ministère de l'economie et des finances et qui présente les résultats préliminaires de l'économie marocaine durant l'année 2011 (13)
ADH ADDOHA LHM LAFARGEHOLCIM MAROC
GAZ AFRIQUIA GAZ LES LESIEUR CRISTAL
ADI ALLIANCES LYD LYDEC
ATL ATLANTA MNG MANAGEM
ATW ATTIJARIWAFA BANK IAM MAROC TELECOM
ATH AUTO HALL MSA MARSA MAROC
BCP BANQUE CENTRALE POPULAIRE CMT MINIERE DE TOUISSIT
BCE BMCE BANK OUL OULMES
BCI BMCI RDS RESIDENCES DAR SAADA
SBM SOCIETES DES BRASSERIES DU MAROC SAH SAHAM ASSURANCE
CDM CDM SMI SM IMITER
CIH CIH SID SONASID
CMA CIMENTS DU MAROC SOT SOTHEMA
CSR COSUMAR TQM TAQA MOROCCO
DHO DELTA HOLDING TMA TOTAL MAROC
HPS HPS WAA WAFA ASSURANCE
LBV LABEL’VIE
Extrait de la note
Revue et perspectives du marché - Le marché devrait poursuivre son trend haussier en 2018E
Après une forte progression de l’indice en 2016, le CFG 25 a poursuivi son trend haussier en 2017 avec une performance de +5,7%.
Cette appréciation des cours s’est également accompagnée d’une nette amélioration de la liquidité avec une augmentation de 25,8% du volume global échangé sur le marché.
La nouvelle hausse du marché en 2017 s’inscrit selon nous dans un long cycle haussier entamé dès le T3 2013.
En 2018E, nous pronostiquons une poursuite du trend haussier sur le marché actions avec une hausse estimée dans une fourchette comprise entre +5% et +10%. La hausse des cours devrait selon nous être portée par les 2 principaux facteurs suivants :
Le maintien des taux à leurs niveaux bas actuels ;
La confirmation de la reprise de la masse bénéficiaire en 2017E avec une hausse attendue à 12%, et une nouvelle progression des bénéfices en 2018E estimée à 6%.
La poursuite de la tendance haussière sur les bénéfices devrait aussi permettre de contenir le gonflement des multiples de valorisation du marché. Le PER du marché a en effet connu une nette remontée depuis 2013 pour se situer à 20,2x à fin 2016 et 19,4x à fin 2017. Selon nous, le PER d’équilibre du marché se situe actuellement autour de 20x.
Après une excellente année 2017 pour nos principales recommandations à l’achat, nous abordons l’année 2018 avec une liste resserrée de Tops Picks : LBV, SBM, IAM, ATW & SMI
BMCE Capital Research Forecast T1 2017
20/04/2017 Cliquez ici pour revenir à la page précédente Cliquez ici pour imprimer la news
Eléments clés à retenir
.Croissance attendue à deux chiffres en 2017 : +10,1% de la capacité bénéficiaire à MAD 30,7 Md et consolidation en 2018 avec une hausse de 5,9% à MAD 32,5 Md ;
.Réduction du scope de couverture à 40 valeurs, représentant tout de même 96,2% de la capitalisation boursière du marché en date du 31/12/2016 ;
.Contribution prépondérante des sociétés industrielles aussi bien en 2017 qu'en 2018 avec en moyenne :
66% des revenus globaux vs. 27% pour les Financières et 7% pour les Assureurs ;
49% des résultats opérationnels globaux contre 48% pour les Financières et 3% pour les valeurs d'Assurance ;
Et, 57% du Bottom Line global vs. 38% pour les Financières et 5% pour les Assureurs.
DOCUMENT :
Source : BMCE Capital Bourse
Conférence de presse tenue par le ministère de l'economie et des finances et qui présente les résultats préliminaires de l'économie marocaine durant l'année 2011
1. CONFÉRENCE DE PRESSE Royaume du Maroc
Ministère de l’Economie et des Finances
RÉSULTATS PRÉLIMINAIRES DE L’ÉCONOMIE
MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES Lundi 13 février 2012
2. PLAN
I CONTEXTE INTERNATIONAL
II L’ÉCONOMIE MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
III CONCLUSION ET PERSPECTIVES
3. EVOLUTION DU CONTEXTE INTERNATIONAL
DURANT L’ANNÉE 2011.
RALENTISSEMENT DE LA CROISSANCE MONDIALE SOUS L’EFFET :
des chocs entrainés par le tremblement de terre et le tsunami survenus au Japon ;
de la hausse du prix du pétrole ;
du retard pris par le processus de relais des stimulus budgétaires par la demande privée ;
de l’élargissement de la crise de la dette souveraine à des pays importants de la zone euro
comme la France, l’Italie, l’Espagne et la Grèce et, au-delà de l’Europe, aux Etats-Unis
d’Amérique et au Japon ;
des perturbations géopolitiques dans la région Moyen Orient et Afrique du Nord
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I3
4. EVOLUTION DES PRÉVISIONS DE LA CROISSANCE
ÉCONOMIQUE MONDIALE POUR L’ANNÉE 2011
Prévisions initiales Premiers résultats
Janvier 2011 Janvier 2012
MONDE
USA
ZONE EURO
PAYS EMERGENTS
Source: FMI Direction du Trésor et des Finances Extérieures I4
5. 2007
2008
Source :OCDE
2009
2010
2011
2007
2008
Croissance économique
2009
2010
2011
ZONE EURO
2007
2008
2009
2010
2011
2007
2008
2009
2010
2011
2007
2008
2009
2010
2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures
I5
6. ZONE EURO
Taux de chômage
A l’exception de l’Allemagne, le taux de chômage continue d’augmenter dans tous les pays
européens.
Taux de chômage à fin novembre
Zone Euro Allemagne France Italie Espagne
22,9
20,4
19,0
14
10,1 10,1 10,3 10,0 9,7 9,8
7,4 8,2 8,3 7,4 7,7 7,9 8,2 8,3 8,1 8,6 8,6
6,7 7
5,5 6,0
2008
2009
2008
2009
2008
2009
2007
2007
2007
2008
2009
2010
2010
2010
2008
2009
2007
2007
2010
2010
2011
2011
2011
2011
2011
2008
2008
2009
2009
2008
2009
2007
2007
2008
2009
2007
2007
2008
2009
2007
2010
2010
2010
2010
2010
2011
2011
2011
2011
2011
Source :OCDE Direction du Trésor et des Finances Extérieures I6
7. HAUSSE DES COURS DU PÉTROLE BRUT
104 $/Baril
79 $/Baril
125,9
62 $/Baril 107,8
88,5 88,6
70,0
42,9
2009 2010 2011
janv.-09 avr.-09 juil.-09 oct.-09 janv.-10 avr.-10 juil.-10 oct.-10 janv.-11 avr.-11 juil.-11 oct.-11
Source :BLOOMBERG Direction du Trésor et des Finances Extérieures I7
8. HAUSSE DES COURS DU BLÉ DUR
286 $/mt
230 $/mt
186 $/mt
348,1
327,1
261,5 269,0
239,1
211,0
157,7
2009 2010 2011
janv.-09 avr.-09 juil.-09 oct.-09 janv.-10 avr.-10 juil.-10 oct.-10 janv.-11 avr.-11 juil.-11 oct.-11
Source : Banque Mondiale Direction du Trésor et des Finances Extérieures I8
9. TAUX DE CHANGE EURO / DOLLAR
1,493
1,415
1,291 1,319 1,288
déc.-10 janv.-11 févr.-11 mars-11 avr.-11 mai-11 juin-11 juil.-11 août-11 sept.-11 oct.-11 nov.-11 déc.-11
Source : BCE Direction du Trésor et des Finances Extérieures I9
10. PLAN
I CONTEXTE INTERNATIONAL
II L’ÉCONOMIE MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
III CONCLUSION ET PERSPECTIVES
11. L’ÉCONOMIE MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
CROISSANCE ECONOMIQUE
ECHANGES EXTERIEURS
FINANCES PUBLIQUES
DETTE DU TRESOR
11
12. EVOLUTION FAVORABLE DE L’ÉCONOMIE
NATIONALE DURANT L’ANNÉE 2011.
le taux de croissance devrait se situer autour de 5% en dépit de la conjoncture
internationale défavorable ;
Accélération de la croissance des activités non agricoles ;
Accélération de la distribution des crédits bancaires à l’économie ;
Maîtrise du niveau d’inflation ;
Poursuite du recul du taux de chômage.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 12
13. CROISSANCE ÉCONOMIQUE
PIB /PIB non agricole
+1,2% +4,5% +4,7%
8,6
6,1
5,5 5,4 5,1 4,9
4,9 4,7 4,6 4,9 4,8
4,2 3,9 4,1 4,2
3,6
2,9
2,2 2,0
1,5
0,4
-1,5
T 1-09 T 2-09 T 3-09 T 4-09 T 1-10 T 2-10 T 3-10 T 4-10 T 1-11 T 2-11 T 3-11
Secteur agricole : Hausse de 4,1% de la VA du secteur en moyenne durant les 3 premiers trimestres de
l’année 2011 suite à la réalisation d’une récolte céréalière dépassant la moyenne, soit 84 M.Qx, et à la
bonne performance des autres cultures;
Secteurs non agricoles: Consolidation de la croissance non agricole autour de 4,7% en moyenne sur les
3 premiers trimestres de 2011 contre 4,5% un an auparavant sous l’effet de la reprise des secteurs du
BTP et des services.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 13
14. CROISSANCE ÉCONOMIQUE : CONDITIONS DE
FINANCEMENT DE L’ÉCONOMIE
...
Accélération du rythme de distribution des crédits à l’économie
+2,0%
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 14
15. CROISSANCE ÉCONOMIQUE : CONDITIONS DE
FINANCEMENT DE L’ÉCONOMIE
Cette accélération a concerné notamment les crédits immobiliers
Immobilier
Equipement
Consommation
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 15
16. CROISSANCE ÉCONOMIQUE : CONDITIONS DE
FINANCEMENT DE L’ÉCONOMIE
Taux d’intérêt débiteurs quasi-stables
10,60
9,28
9,03 9,13
8,60
8,08
7,88
7,60
6,70 6,63
6,33 6,34 6,31
6,07
1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 T3-11
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 16
17. MAÎTRISE DU TAUX D’INFLATION
En %
...
6,2% entre 1990 et 1995
8,0
7,0
5,7 6,1
1,8 % entre 1996 et 2011
5,2
5,2
3,7
3,0 3,3
2,8 2,8
1,9
1,5 2,5
1,2 1,0 0,9 0,9
0,7 0,6
1,0 1,0
1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 17
18. MAÎTRISE DU TAUX D’INFLATION
Indice général : Glissement 12 mois / 12
...
1, 6
2, 5 2,3
2,1
1,4 Produits alimentaires
1, 4
1,4 2
1,6
1, 5
1,4
1, 2
1,1 1,0
1,0 1,2
1 0,9 1
0,6
0,9
Produits non alimentaires
0, 5
0, 8
0
0, 6
-0,2
-0,6 -0,3
- 0, 5
0, 4
0,4
0, 2 0,2 0,3 -1
- 1, 5
0
Déc Mars Juin Sep Déc Mars Juin Sep Déc Déc Mars Juin Sep Déc Mars Juin Sep Déc
09 10 10 10 10 11 11 11 11 09 10 10 10 10 11 11 11 11
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 18
19. EN DÉPIT DU RECUL DU TAUX DE CHÔMAGE NATIONAL, LE TAUX DE
CHÔMAGE DES JEUNES ET DES DIPLÔMÉS DEMEURE ÉLEVÉ
Chômage national Chômage urbain
9,8 15,4
9,6
14,7
9,1 9,1
8,9 13,8 13,7
13,4
Chômage diplômés (urbain) Chômage jeunes (25-34 ans/urbain)
20,8
21,6
20,0
20,2
18,6
18,1 18,3 19,2 19,1 19,1
2008
2010
2011
2007
2009
2007
2008
2009
2010
2011
20. L’ÉCONOMIE MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
CROISSANCE ECONOMIQUE
ECHANGES EXTERIEURS
FINANCES PUBLIQUES
DETTE DU TRESOR
21. ECHANGES EXTÉRIEURS : RÉSULTATS 2011
Variation
2010 2011 en MM.DH
En %
Exportations 149,6 170,9 21,4 14,3%
Phosphates et dérivés 35,9 48,4 12,5 35,0%
Hors phosphates dérivés 113,7 122,5 8,8 7,8%
Importations 298,0 356,4 58,5 19,6%
Energie et lubrifiants 68,5 89,8 21,4 31,2%
Céréales 11,5 16,2 4,7 41,3%
Déficit commercial 148,4 185,5 37,1 25,0%
Taux de couverture 50,2% 48,0% -2,2 pts
Solde des services 42,8 42,1 - 0,7 1,7%
Recettes voyages 56,4 58,7 2,2 4,0%
Transferts MRE 54,4 58,5 4,1 7,6%
Couverture déficit par les recettes voyages et transferts MRE 74,7% 63,2% -11,5 pts
Recettes des Investissements et prêts privés étrangers 39,3 28,9 -10,3 -26,4%
22. DÉGRADATION DE LA BALANCE COMMERCIALE EN 2011 SUITE AU
RENCHÉRISSEMENT DE LA FACTURE ÉNERGÉTIQUE ET CÉRÉALIÈRE
La hausse des importations des produits énergétiques et céréalières a
contribué à hauteur de 70% à la dégradation du déficit commercial
HAUSSE DE LA FACTURE HAUSSE DE LA FACTURE
ÉNERGÉTIQUE CÉRÉALIÈRE
Contribution à hauteur de 58% à la
dégradation du déficit commercial. Contribution à hauteur de 11% à la
dégradation du déficit commercial.
Attribuable à hauteur de 90% à l’effet
prix . Attribuable à hauteur de 80% à l’effet
Une hausse de 1$US du prix du baril du prix suite à la hausse des cours du blé
pétrole engendre une hausse de la facture sur le marché international.
énergétique de près de 900 M.DH
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 22
23. HAUSSE DES IMPORTATIONS DES DEMI-PRODUITS
ET DES BIENS D’ÉQUIPEMENT
Hausse de 13% ou 16,4 MM.DH des importations des demi-produits et des
biens d'équipement en relation avec :
Le processus du démantèlement tarifaire dans le cadre des accords de libre
échange ;
Les programmes d’investissement et les grands chantiers.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 23
24. COUVERTURE DES IMPORTATIONS DES PRODUITS ÉNERGÉTIQUES
PAR LES EXPORTATIONS DES PHOSPHATES ET DÉRIVÉS
Les exportations du groupe OCP couvrent
54% des importations énergétiques
71%
Taux de couverture = Exportations OCP
/ Importations d’énergie 54%
53% 346 52%
39%
33%
Prix du pétrole ($/Baril) 185
Prix du phosphate ($/Tonne)
123
97 122
71
53 64
41 104
79
38 62
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 24
25. FORTE CORRÉLATION ENTRE L’ÉVOLUTION DES EXPORTATIONS
MAROCAINES ET LA CROISSANCE DANS LES PAYS DE L’UE
Croissance des exportations marocaines 19,8%
9,2% 13,5%
9,3%
7,8%
2,3%
4,0%
3,6% 3,3%
-2,2%
2,6%
2,2%
1,5% 1,8% 1,6%
1,4% -9,0%
Croissance dans les pays de l’UE
-4,2%
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 25
26. CONSOLIDATION DE LA BONNE PERFORMANCE DES
PRINCIPAUX SECTEURS EXPORTATEURS…
En MM.DH
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 26
27. DÉGRADATION DES PRINCIPAUX SECTEURS
EXPORTATEURS AU T4-11
Textile et habillement
Composants automobile
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 27
28. DÉGRADATION DES PRINCIPAUX SECTEURS
EXPORTATEURS AU T4-11
Electronique
Aéronautique*
* Cycle de production long
29. RALENTISSEMENT AU NIVEAU DES FLUX
FINANCIERS AU T4-11
Recettes voyage
Transferts des MRE
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 29
30. BAISSE DU NIVEAU DES AVOIRS EXTÉRIEURS NETS
DE BAM
En mois d’importations de biens et services
9,8 11, 0
8,8 8,8 7,7
10, 0
6,6 6,8 9,0
5,2 8,0
7,0
Avoirs extérieurs nets
190
6,0
5,0
En MM.DH
170
150
130
110
188 182 176 188
174
90
167
70
150
50
30
10
-10
2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 30
31. L’ÉCONOMIE MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
CROISSANCE ECONOMIQUE
ECHANGES EXTERIEURS
FINANCES PUBLIQUES
DETTE DU TRESOR
31
32. RÉSULTATS DE L’EXÉCUTION DE LA LOI DE FINANCES 2011
L’exécution de la loi de finances pour l'année 2011 s’est caractérisée par :
Des résultats globalement positifs au niveau des recettes fiscales et non fiscales, en
comparaison aussi bien avec 2010 qu’avec les prévisions de la loi de finances;
Une hausse des dépenses ordinaires sous l‘effet de l’aggravation de la charge de la
compensation et des mesures prises dans le cadre du dialogue social.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 32
33. RÉSULTATS DE L’EXÉCUTION DE LA LOI DE FINANCES 2011
Milliards de dirhams
LF Résultats Ecarts Evolution Par
2011 2011 en valeur rapport à 2010
RECETTES ORDINAIRES 179,5 191,3 11,8 9,8%
Recettes Fiscales 158,1 162,8 4,7 5,7%
Impôt sur les sociétés 39,2 40,3 1 14,6%
Impôt sur le revenu 26,8 27,5 0,7 2,2%
Taxe sur la valeur ajoutée 46,9 50,3 3,4 10,2%
Intérieure 19,9 19,4 -0,5 3,6%
Importation 27 30,9 3,9 14,8%
Taxe intérieure à la consommation 20,8 21,9 1,1 3,4%
Droits de douane 11,2 10,3 -0,9 -16,0%
Enregistrement &Timbre 10,6 10,6 0 5,8%
Recettes non fiscales hors privatisation 14,2 19,6 5,7 21,1%
Privatisation 4,0 5,6 1,6 -
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 33
34. EVOLUTION DES PRINCIPALES RECETTES FISCALES
En pourcentage du PIB
IS IR TVA TIC Droits de
douane
6,2
5,6
4,9 4,9
4,5
3,4
2,8 2,7
2,2
1,3
2008
2009
2008
2009
2008
2007
2009
2008
2007
2009
2010
2007
2010
2008
2007
2009
2010
2010
2007
2011
2010
2011
2011
2011
2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 34
35. RÉSULTATS DE L’EXÉCUTION DE LA LOI DE FINANCES 2011
Milliards de dirhams
LF Résultats Ecarts Evolution Par
2011 2011 en valeur rapport à 2010
DÉPENSES ORDINAIRES 164,9 193,5 28,6 19,4%
Personnel 86,0 88,6 2,5 12,4%
Biens et services 43,0 37,9 -5,1 -1,5%
Dette publique 19,0 18,2 -0,7 3,8%
Compensation 17,0 48,8 31,8 79,6%
INVESTISSEMENT 48,1 49,9 1,8 6,1%
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 35
36. Evolution des dépenses
En pourcentage du PIB
Salaires Autres biens Intérêts de la Compensation Investissement
& services dette
10,7 10,9
6,0 6,1
5,5
4,7 4,6
3,1
2,7
2,2
2008
2009
2008
2009
2008
2007
2009
2008
2007
2009
2010
2007
2010
2008
2007
2009
2010
2010
2007
2011
2010
2011
2011
2011
2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 36
37. Les résultats d’exécution de la loi de finances 2011
Les recettes : 11,8 MM.DH
Les charges :
32,4 MM.DH, dont 21,6 MM.DH du fait de
l’augmentation de la charge
de compensation.
Aggravation du déficit d'environ 20,6 Milliards de Dirhams,
soit l’équivalent de 2,6% du PIB
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 37
38. RÉSULTATS DE L’EXÉCUTION DE LA LOI DE FINANCES 2011
Niveau du déficit par rapport au PIB
LF Résultats
2011 2011
SOLDE BUDGÉTAIRE -29.5 -50.1
En % du PIB -3,5 % -6,1 %
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 38
39. L’ÉCONOMIE MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
CROISSANCE ECONOMIQUE
ECHANGES EXTERIEURS
FINANCES PUBLIQUES
DETTE DU TRESOR
39
40. DETTE DU TRESOR
Malgré la hausse du déficit budgétaire, la dette du
Trésor reste contenue à des niveaux acceptables avec
une maîtrise des coûts et une faible exposition aux
risques associés à cette dette.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 40
41. LA DETTE DU TRÉSOR RESTE DANS DES NIVEAUX ACCEPTABLES
La dette du Trésor par rapport au PIB a atteint 52,9%, soit une hausse de 2,6 points par rapport à 2010.
68,1%
67,1%
63,7%
62,1%
60,8%
57,3%
58,2%
53,5%
52,9%
50,3%
47,3% 47,1%
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 41
42. LA DETTE DU TRÉSOR RESTE DANS DES NIVEAUX ACCEPTABLES
‐ Hausse de la dette intérieure par rapport au PIB de 2,6 points passant de 38,2% en 2010 à 40,8% en
2011.
- Stabilité de la dette extérieure par rapport au PIB à 12,1%.
49,0%
46,0%
44,3% 44,3%
42,9% 42,8%
41,2% 40,8%
37,9% 37,4% 38,2%
36,4%
Dette intérieure
30,2%
25,9%
Dette extérieure
20,8%
16,5%
13,9% 13,1%
11,3% 12,1% 12,1%
10,7% 9,9% 10,7%
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 42
43. NIVEAUX SATISFAISANTS DES INDICATEURS DE COÛT
ET DE RISQUE ASSOCIÉS À LA DETTE DU TRÉSOR
Poursuite de l’amélioration des indicateurs de coût
- Baisse du coût moyen de la dette du Trésor de 30 pb par rapport à 2010 pour se stabiliser à 4,4%
en 2011.
- Poursuite du trend baissier du poids des charges en intérêts :
- 9,7% par rapport aux recettes ordinaires contre 10,3% en 2010.
- 2,2% par rapport au PIB.
Charges en intérêts Coût moyen de la dette
22,6%
20,6% Par rapport aux 6,8%
recettes ordinaires 6,8%
16,6%
17,7% 5,8%
17,4% 14,2%
6,1% 5,6% 5,5%
14,7%
12,5% 10,0% 10,3% 5,6%
Par rapport au 5,4% 4,8%
PIB 10,3% 5,2% 4,4%
9,7%
4,7%
%4,7 %4,1
%3,4 %3,3 %2,7 %2,3
%4,4 %3,6 %3,3 %3,1
%2,4 %2,2
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 43
44. NIVEAUX SATISFAISANTS DES INDICATEURS DE COÛT
ET DE RISQUE ASSOCIÉS À LA DETTE DU TRÉSOR
La structure de la dette du Trésor est conforme au portefeuille benchmark ce qui permet de contenir
les risques relatifs au refinancement de la dette, aux taux d’intérêt et aux taux de change.
1. Risque de refinancement
La dette à court terme à moins de 20%
86%
83%
Dette à moyen et long terme
17% Dette à court terme 14%
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 44
45. NIVEAUX SATISFAISANTS DES INDICATEURS DE COÛT
ET DE RISQUE ASSOCIÉS À LA DETTE DU TRÉSOR
2. Risque de taux d’intérêt
La dette du Trésor à taux variables ne dépasse pas 7% de l’encours total de la dette témoignant
d’un faible impact de la variation des taux d’intérêt sur le service de la dette.
Répartition de l’encours de la dette par type de taux d’intérêt
Structure en 2011 Portefeuille benchmark de la dette du Trésor
selon le type de taux d’intérêt
93% 85-90%
15-10%
7%
Taux d’intérêt fixes Taux d’intérêt variables
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 45
46. NIVEAUX SATISFAISANTS DES INDICATEURS DE COÛT
ET DE RISQUE ASSOCIÉS À LA DETTE DU TRÉSOR
3. Risque de variation des cours de change
La structure de la dette extérieure par devises étant très proche de celle du portefeuille benchmark,
l’impact des fluctuations des cours de change des différentes devises sur le stock et le service de
cette dette reste très limité.
Répartition de la dette extérieure par devises
Structure en 2011 Portefeuille benchmark de la dette du Trésor selon les
différentes devises
Euro Euro
80-75%
77%
US dollar et devises
qui y sont associés
18% 25-20%
US Dollar
5%
Yen japonais
La structure du portefeuille benchmark de la dette est corrélée à la composition du panier du dirhams par
devises et à à la structure des échanges extérieurs entre le Maroc et le reste du monde
(75% à 80% pour l’euro et 20% à 25% pour le dollar)
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 46
47. PREMIERS RESULTATS DE L’ANNEE 2011…
2009 2010* 2011*
P.I.B (prix de l'année précédente) 4,8 % 3,7 % 5,0 %
Indice des prix à la consommation 1,0 % 0,9 % 0,9 %
Solde budgétaire / PIB -2,2 % -4,6 % -6,1 %
Dette totale du Trésor / PIB 47,1 % 50,3 % 52,9 %
Charges de compensation 12,8 MM.DH 27,2 MM.DH 48,8 MM.DH
Compte courant de la BP/ PIB -5,4 % -4,5 % -6,5 %
Facture énergétique 54,1 MM.DH 68,5 MM.DH 90,9 MM.DH
Chiffres d’affaires OCP 18,1 MM.DH 35,9 MM.DH 48,4 MM.DH
Avoirs extérieurs / mois
d’importations 7,7 MOIS 6,8 MOIS 5,2 MOIS
Crédits bancaires à l’économie +50,9MM.DH +44,3MM.DH +65,1 MM.DH
Taux de chômage / urbain 9,8 % / 14,8 % 9,1 % / 13,7 % 8,9 % / 13,4 % 47
48. PLAN
I CONTEXTE INTERNATIONAL
II L’ÉCONOMIE MAROCAINE DURANT L’ANNÉE 2011
III CONCLUSION ET PERSPECTIVES
49. RAPPORT DES SERVICES DU FMI POUR LES
CONSULTATIONS DE 2011 AU TITRE DE L’ARTICLE IV
LE MAROC A FAIT FACE AVEC SUCCÈS AUX GRANDS DÉFIS ENGENDRÉS PAR LA CRISE
MONDIALE :
Après plusieurs années de politiques macroéconomiques et de réformes politiques
avisées, le Maroc a disposé des marges de manœuvres nécessaires pour affronter la crise
internationale de 2009 et répondre aux demandes sociales qui se sont exprimées lors du
Printemps arabe en 2011.
Dans cette conjoncture difficile, le Maroc a enregistré de bonnes performances
économiques ainsi qu’une amélioration de ses indicateurs sociaux.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 49
50. EVALUATION DES AGENCES DE NOTATION
ET DU MARCHÉ FINANCIER INTERNATIONAL
Standard & Poor's
Mars 2011 : (après le discours royal)
« Les réformes proposées par le Roi renforcent la stabilité politique du Maroc et soutiennent la
notation souveraine ».
Juillet 2011 : « une gestion budgétaire prudente du Gouvernement et son engagement à poursuivre
des politiques crédibles en matière de réduction du déficit budgétaire et de la dette ».
Fitch Ratings
Février 2011 : «l'investissement dans l'infrastructure publique, conjugué à un effort concerté en
termes de diversification dans des secteurs à plus forte valeur ajoutée, a aussi rehaussé la
croissance potentielle. »
Février 2012 : « Une bonne maîtrise de la gestion macroéconomique a permis le maintien de
l’inflation à niveau bas et la réalisation d’une croissance économique forte ».
Marché financier international
Le Maroc jouit d’une meilleure appréciation du risque souverain que plusieurs pays bénéficiant
de notations plus élevées.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 50
51. NOUVEAU PARTENARIAT DE DEAUVILLE
ADHÉSION DU MAROC AU PARTENARIAT DE DEAUVILLE
Le Maroc a rejoint le Partenariat de DEAUVILLE en juillet 2011 lui permettant de pouvoir bénéficier,
au même titre que l'Egypte, la Tunisie et la Jordanie, d’une enveloppe de près de 80 milliards de
dollars sur la période 2011-2013 :
40 milliards de dollars à mobiliser auprès des pays membres du G8.
38 milliards de dollars auprès des institutions financières régionales et internationales.
LANCEMENT DE LA COOPÉRATION MAROC-BERD DANS LE CADRE DU PARTENARIAT
DE DEAUVILLE
Suite à l’évaluation technique du Maroc par cette Banque menée depuis juillet 2011 :
Le Conseil d’Administration de la BERD a donné, à l’unanimité, son accord au mois novembre
2011, sur la décision relative à l’intervention de cette Banque au Maroc à partir des Fonds de
Coopération.
Le Maroc bénéficiera, avec les autres pays sud méditerranéens destinataires des fonds de
coopération (Egypte, Tunisie et Jordanie) d’une enveloppe financière globale de 2,5 milliards
d’euros entre 2012 et 2015 sous forme d’assistance technique , dans un premier temps, et de
financements directs par la suite.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 51
52. CONCLUSION ET PERSPECTIVES
Le Maroc jouit de la confiance de la communauté internationale, des organisations
financières internationales et des investisseurs étrangers notamment suite à la dernière
réforme constitutionnelle et à la consolidation de la transition démocratique dans notre
pays.
Il nous appartient de capitaliser sur cette confiance en vue de relever les défis auxquels
notre pays est confronté et qui exigent :
le renforcement de l’Etat de droit et la consécration des principes de la bonne gouvernance ;
la consolidation des bases d’une croissance forte et soutenable et le rétablissement des
équilibres macroéconomiques
la garantie de l’accès équitable des citoyens aux services de base et la poursuite de l'effort en
faveur des programmes sociaux.
Direction du Trésor et des Finances Extérieures I 52