Keynote presentation about Digital Marketing for MBA students
MBA International Paris (MBA IP) is a master degree issued jointly by University Paris-Dauphine & IAE Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
3. Transformation Digitale
Digital success isn’t all about technology …
Strategy,
not Technology,
Drives Digital Transformation
Source : http://sloanreview.mit.edu/projects/strategy-drives-digital-transformation/
4. La disruption “digitale” est déjà là …
Worlds largest taxi company owns no taxis
Largest accommodation provider owns no real estate
Largest hotel resellers owns no hotel rooms
Largest phone companies own no telco infrastructure
Worlds most valuable retailer has no inventory
Most popular media owner creates no content
Largest software vendor don’t write the apps
Source : https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/60/8f/e0/608fe08130c3db1336aa3aaa76724c2a.jpg
5. Sur Internet, c’est le consommateur qui a la main
Deux facteurs principaux contribuent à cela :
La logique de « pull » dominant de l’Internet, et l’abondance ingérable
des contenus
C’est cette logique dominante qui explique que Google y règne encore et toujours
en maître, et que même un Amazon cherche des moyens de proposition et de
recommandation de contenus à ses clients, malgré toute la force de ses outils de
recommandation et d’analyse de données.
La majorité des e-commerçants peinent à développer le cross-sell et l’upsell auprès
de leurs clients même fidèles
Ensuite, l’abondance permanente de contenus nécessitée par le web
est difficilement gérable pour les entreprises. Pour la rentabiliser, les
maîtres mots du développement web/mobile sont devenus la
productivité, la « maintenabilité », la « scalabilité » ;
Source : http://viuz.com/2013/09/30/les-tablettes-sauveront-elles-le-marketing-digital/#Vj1I4oC65cmhIUaf.99
6. Or le marketing, c’est d’abord une force de proposition
C’est-à-dire du « push » :
une histoire qu’on n’a pas demandée, mais qui tout à coup nous
intéresse, nous séduit, nous donne envie d’en savoir plus, de la
consommer, etc.
La vraie créativité n’est pas demandée par les consommateurs, qui ne
cherchent que ce qu’ils connaissent, finalement.
Elle est proposée par les marques, et pour susciter l’émotion au-delà
de la seule raison, et sans trop d’intrusion, impose un format
narratif et visuel minimal…
Source : http://viuz.com/2013/09/30/les-tablettes-sauveront-elles-le-marketing-digital/#Vj1I4oC65cmhIUaf.99
7. L’impact de l’E-reputation … et des réseaux
More than 90% of shoppers’ buying decisions are
nowadays influenced by social media
Source: #SocialNomics2014
8. La perte de crédibilité de la publicité traditionnelle
… 90% trust peer recommendations.
… But only 14% trust advertisements.
Source: #SocialNomics2014
9. Étude Forrester Research
L'enseignement principal de l'étude est que les consommateurs dans leur
grande majorité n'ont plus confiance dans les communications des
marques particulièrement lorsque celles-ci sont à caractère promotionnel
(seuls 10% des consommateurs accordent leur confiance aux messages
publicitaires).
Ce constat est plus fort pour les Européens que pour les Américains.
Source: http://viuz.com/2013/04/08/etude-forrester-le-contenu-de-marque-avenir-du-marketing-digital/
10. Étude Forrester Research
Près de 90% des consommateurs n'ont pas confiance dans les messages postées
par les marque ou entreprises sur les réseaux sociaux
Les applications mobile dites "de marque" sont quasiment inutiles pour générer de
l'engagement vu que seuls 10 à 12% des consommateurs portent du crédit aux
informations qui y sont véhiculées.
Les emailing envoyés par les marques ne sont considérés comme crédibles que par
11% des Européens et 18% des Américains.
Le salut viendrait selon Forrester Research du contenu de marque ou branded
content qui permettrait d'engager de nouveau des consommateurs plus mâtures dans
leur relation aux marques et parfois même plus experts dans leur utilisation des
différents médias.
Source: http://viuz.com/2013/04/08/etude-forrester-le-contenu-de-marque-avenir-du-marketing-digital/
11. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
12. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
13. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
14. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
15. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
16. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
17. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
18. WEB is the current mainstream …
E-Reputation = Reputation
19. Le web est devenu la NORME…
E-Marketing (ou Marketing Digital) =
Marketing dans un monde digital
Le “E” représente les “techniques”
37. Les principes de bases du Marketing Digital
ATTIRER LES “INTERNAUTES”
SEO / SEM / Branding / Digital Native / Brand content / Réseaux sociaux / ereputation
LES FAIRE RESTER SUR SON “SITE”
Content / design / offres / ereputation
LES “CONVERTIR” EN CLIENT (VENDRE)
Améliorer le “taux de conversion”(multiple techniques)
On-site remarketing / reviews / …
Amélioration de “l’abandon de panier”
LES FAIRE REVENIR ET/OU LES FAIRE DEVENIR AMBASSADEURS
remarketing actions and advertising (using cookies)
E-mailing / Réseaux sociaux
CRM
42. In today’s Internet-driven world, customers have
more power than ever.
-> a single disgruntled customer can broadcast
his complaints to an audience of millions.
E-reputation
43.
44.
45.
46. Les réseaux sociaux en 2016
Facebook est le réseau social N°1 dans 129 pays sur les 137 analysés par
Vincos
47. Les réseaux sociaux en 2016
Twitter est le réseau social N°2 dans 35 pays sur les 56 analysés par Vincos
50. Le référencement naturel (SEO)
Le référencement naturel (SEO) : le SEO désigne l’ensemble des
techniques gratuites à appliquer pour faire apparaître son site dans une
position optimale dans les moteurs de recherche.
La plupart de ces techniques sont en réalité des réflexes à acquérir
(remplissage de la Meta Description, utilisations des balises H1 – H2 – H3,
des balises ALT etc…).
Il faut cependant surveiller l’actualité pour être réactif aux changements
d’algorithmes de Google, qui peuvent totalement changer les règles du
jeu.
51. ATTIRER LES “INTERNAUTES”
S.E.O :
“Search Engine Optimization” – optimisation du référencement “naturel”
et/ou “organique” sur les moteurs de recherche.
On parle surtout ici d’être en accord avec l’algorithme de GOOGLE qui évolue
sans cesse afin de remonter dans les résultats de manière naturel.
Balises, meta-données, rapidité de chargement, qualité de la page …etc
Un travail “quotidien” essentiel – de plus en plus fait par des spécialistes
Dernières évolutions majeures de PENGUIN / PANDA => Mobile et HTTPS ”first”
Des sites pour “tester” son SEO
www.seositecheckup.com
https://developers.google.com/speed/pagespeed/insights/
https://www.dareboost.com/
57. Le référencement payant (SEA / SEM)
Il s’agit de l’achat d’espaces publicitaires sur les moteurs de recherche.
Plus concrètement, le SEA consiste notamment à acheter des mots-clés
sur lesquels le site souhaite se positionner afin d’être trouvé plus
facilement par les internautes.
58. ATTIRER LES “INTERNAUTES”
S.E.M :
“Search Engine Marketing” – placement de publicités dans les résultats des
moteurs de recherche. (SEARCH | DISPLAY | Réseaux d’annonces …)
Les mots clés ici sont
CPC : post per click
Bid : enchère
Quality score : niveau de qualité de l’annonce
Position : Premium 1-3 autre de 4 à 9 (avant)
=> Premium 1-4
Je vais y revenir sur Google et Facebook (un peu plus loin)
62. CRM ou le “Big Data” en vrai
Le CRM “Customer Relationship Marketing” prend tout son
sens dans le monde digital.
Il est primordial de pouvoir proposer aux prospects les
produits qu’ils désirent au moment où ils les cherchent et de
renouveller leur fidélité à la marque.
En utilisant différents niveaux de données, c’est la promesse
du CRM
68. L’e-mail marketing
L’email promotionnel : contactez vos clients pour les remercier de leur
fidélité ou en leur partageant des offres privilégiées sur certains produits.
Les newsletters : si vous produisez régulièrement du contenu, comme sur
un blog par exemple, proposez à vos lecteurs de s’abonner à une
newsletter hebdomadaire ou mensuelle pour partager vos derniers
articles.
L’email de prospection : à partir d’une base de données externe, vous
envoyez des emails visant à établir un premier contact entre votre site
marchand et des prospects. Ce levier n’est toutefois pas toujours
pertinent: l’achat de données est souvent mal vu, et les personnes ciblées
ne sont pas toujours très qualifiées.
75. Le remarketing
L’e-mail remarketing : aujourd’hui, des solutions permettent de relancer
les personnes qui ont commencé un processus d’achat et communiqué
leurs coordonnées, avant d’abandonner la transaction en cours.
L’email leur rappelle que le panier est toujours disponible, et peut aussi
proposer des éléments de réassurance ou des réductions..
77. Les réseaux sociaux
La majorité des e-commerçants a bien compris l’importance des réseaux
sociaux pour créer et développer une communauté.
En B2C, privilégiez les réseaux sociaux qui permettent de mettre en valeur vos
produits, qui privilégient la diffusion au plus grand nombre, la viralité et les
interactions. Facebook, Twitter, Instagram, Pinterest sont donc les plateformes
les plus adaptées pour parvenir à vos fins.
En B2B, soyez présents sur les réseaux sociaux que les internautes utilisent à
titre professionnel pour échanger entre eux. Twitter est donc incontournable,
tout comme LinkedIn, Viadeo et dans une moindre mesure Google+ sur
lesquels on retrouve de nombreuses communautés de professionnels.
78. Les réseaux sociaux
L’importance des influenceurs et des « brand advocates »
SOCIAL MEDIA REVOLUTION :
https://www.youtube.com/watch?v=jottDMuLesU
83. La publicité sur les réseaux sociaux
Elle sert des objectifs distincts et complémentaires sur FB
et/ou sur des sites partenaires
84. 2 notions – LE REACH & L’ENGAGEMENT
Le Reach
Le Reach organique est l’équivalent du S.E.O pour Google
Le Reach payant est là pour « compenser » le taux de reach organique
en baisse ….années après années ..
L’engagement est une méthodologie de calcul de la qualité
d’un post ou d’une page
85. 2 notions – LE REACH & L’ENGAGEMENT
• Ce graphique représente
l’évolution du reach
organique des publications.
• On remarque une forte
augmentation du reach des
vidéos Facebook au mois de
décembre 2014.
• Suivent les statuts simples
(textes), les partages de liens
et de photos, à peu près
stables depuis octobre.
• En moyenne, les vidéos
touchent 10% des fans,
• les statuts et les liens autour
de 6%
• et les photos 4%.
86. 2 notions – LE REACH & L’ENGAGEMENT
Pour résumer, la méthode de calcul de l'engagement de Socialbakers
divise les interactions, à savoir les likes, les commentaires et les
partages, par le nombre de fans de la page (ils ont en réalité deux taux
d'engagement, celui par post et celui et de la page).
De cette façon, la page a un pourcentage d’engagement, qu’il est
possible de comparer à des pages qui ont des fanbase plus ou moins
grandes.
Mais désormais, Socialbakers défend l'idée qu'il faut se concentrer sur
le nombre d'interactions brut et ne plus le diviser par le nombre de
fans Facebook de la page.
88. Facebook Ads: un système d'enchère social
de faire sa première annonce, il faut savoir que la publicité
Facebook fonctionne selon un système d'enchère influencé
principalement par 5 variables:
le type d'enchère,
le budget,
le ciblage
la qualité de l'annonce
le placement
https://www.olivierlambert.ca/facebook-ads-comment-ca-marche-combien-ca-coute
89. Facebook Ads: un système d'enchère social
CPM (coût par mille) C'est le montant que vous êtes prêts à payer pour
avoir 1000 affichages sur Facebook. (option UCPM – pour unique)
Pour vous donner quelques repères, voici le CPM approximatif de
quelques industries:
Bannière sur un site web: 5$ à 15$ selon la taille et la niche.
AdWords: ~5$, selon les mots clès.
Magazines: 8 à 20$ selon la taille et l'emplacement.
Télévision: 25$ par 1000 foyers.
Radio: ~8$, selon l'heure de diffusion.
Journaux: ~20$ selon la taille, les couleurs et l'emplacement.
Sur Facebook, le CPM est très variable! On peut avoir un CPM de quelques
cents autant qu'on peut payer plusieurs dollars! Tout dépend des autres
variables de l'équation. Cependant, la moyenne est d'environ 3$.
https://www.olivierlambert.ca/facebook-ads-comment-ca-marche-combien-ca-coute
90. Facebook Ads: un système d'enchère social
CPC : Le coût par clic
Le modèle CPC a l'avantage de ne vous faire payer seulement que lorsque
les gens cliquent sur vos annonces.
Tout dépend bien sûr de vos objectifs, mais un bon CPC sur Facebook est
d'environ 0.15$.
Un excellent CPC est sous la barre des 7 cents et un CPC moyen se situe
environ à 0.50$.
À plus de 0.75$ du clic, essayez d'optimiser vos annonces!
Mais, encore une fois, ça dépend de ce que vous voulez faire avec vos
annonces.
https://www.olivierlambert.ca/facebook-ads-comment-ca-marche-combien-ca-coute
107. Les réseaux sociaux
ATTENTION, Les
médias sociaux ne
sont pas des supports
publicitaires, mais des
canaux affinitaires et
relationnels !
http://www.fredcavazza.net/2016/03/14/medias-sociaux-ne-supports-publicitaires-affinitaires-relationnels/
109. Le contenu : “le nerf de la guerre”
Des articles de blog : en intégrant un blog à votre site e-commerce, vous
pourrez non seulement partager avec votre audience des astuces sur
l’utilisation de vos produits, mais aussi parler des actualités et des
tendances de votre secteur, ce qui vous rendra plus légitime aux yeux de
vos visiteurs.
Les sites de curation de contenus : indexez vos articles sur les sites de
curation utilisés par de nombreux internautes pour faire leur veille :
Feedly, Scoop.it etc… Vous pouvez aussi envoyer une demande à Google
pour que vos articles apparaissent dans Google Actualités.
110. Le contenu : “le nerf de la guerre”
Des Livres blancs : ces documents, longs au minimum d’une dizaine de
pages, sont utilisés en B2B pour montrer l’expertise de l’entreprise auprès
des professionnels. Considérés comme des contenus à haute valeur
ajoutée, ils peuvent apporter un nombre considérable de visiteurs
qualifiés à votre site.
Des webinars : à l’instar des livres blancs, le but est d’explorer en
profondeur une thématique particulière de votre secteur d’activité. Vous
pouvez en profiter pour montrer en quoi vos solutions répondent aux
enjeux du sujet choisi, et répondre en direct aux questions des
utilisateurs.
111. Le contenu : “le nerf de la guerre”
La vidéo : elle peut être utilisée de bien des manières : démonstration
d’un produit, teasing, présentation de l’entreprise, humour façon Oasis…
elle est également plus virale qu’un simple article.
Guest blogging : ce levier consiste à écrire un article sur le blog de
quelqu’un autre au nom de votre marque. Le blog Capitaine Commerce
offre par exemple la possibilité aux e-commerçants de présenter leur site.
Le guest blogging doit toutefois avoir un réel intérêt et ne pas être une
simple auto-promotion : il faut respecter la ligne éditoriale du blog sur
lequel se fera la publication.
112. Le contenu : “le nerf de la guerre”
Le Native Advertising : à l’inverse du Guest Blogging, le native advertising
est payant. Il permet à l’e-commerçant de rédiger un article qui sera publié
dans un média à très forte audience. Si le native advertising est onéreux, il
s’agit d’un levier efficace pour se faire connaître et acquérir du trafic.
116. Avoir son site ne suffit plus …
Il faut également recenser votre site ou vos produits sur d’autres sites que
le vôtre !
Les annuaires en ligne : il existe de nombreux annuaires de sites
marchands qui permettent aux consommateurs de trouver plus facilement
les produits qu’ils recherchent. Veillez à être présent sur ces sites.
Les moteurs de réservation : dans certains secteurs, à l’instar de
l’hôtellerie, les internautes aiment comparer, trouver et réserver
rapidement le service dont ils ont besoin. Il est donc essentiel de faire
apparaître son site sur les principaux moteurs de réservation de son
secteur.
117. Avoir son site ne suffit plus …
Les sites de recommandations : certaines plateformes comme Fia-Net
proposent aux internautes d’évaluer la qualité des sites marchands. Vous
devez répondre aux différents commentaires de vos clients. Si les avis sont
positifs, cela incitera les internautes à visiter votre site.
Dans le cas contraire, vous aurez des axes d’amélioration à travailler, et en
montrant que vous êtes à l’écoute de vos clients, vous ne pourrez que
marquer des points.
Les marketplaces : les marketplaces (Amazon, Rue Du Commerce…) sont
les supermarchés du web : vous pouvez certes avoir votre propre
boutique, mais il est également indispensable de vendre vos produits sur
ces plateformes.
118. Avoir son site ne suffit plus …
Les plateformes d’affiliation : les plateformes d’affiliation vont sélectionner
et vous mettre en contact avec leurs partenaires les plus pertinents (blogs,
sites de couponing…) qui vont vous apporter du trafic qualifié une
échange d’une rémunération (la plupart du temps au CPA : Coût Par
Acquisition).
De plus en plus, l’essentiel des contacts digitaux avec une marque se
feront en dehors du site de cette dernière.
Un site devra technologiquement être capable de « partager » son contenu / ses
informations avec d’autres plateformes
120. VIDEO
https://www.youtube.com/watch?v=vnVuqfXohxc/
23 M views
6,432,921 shares across FacebooK
1st spot in annual Top 20 Global Video Ads Chart
In third place is a commercial created by Buzzfeed Video for Purina pet
food about one man and his pup (
10 M views
3,021,499 shares
132. 2. INFLUENCERS AS CREATIVES
Source: http://fr.slideshare.net/EdelmanInsights/university-reputations-and-the-public?next_slideshow=1
133. 2. INFLUENCERS AS CREATIVES
Source: http://fr.slideshare.net/EdelmanInsights/university-reputations-and-the-public?next_slideshow=1
134. 3. THE “BUY NOW” REVOLUTION
Source: http://fr.slideshare.net/EdelmanInsights/university-reputations-and-the-public?next_slideshow=1
135. 3. THE “BUY NOW” REVOLUTION
Source: http://fr.slideshare.net/EdelmanInsights/university-reputations-and-the-public?next_slideshow=1
136. 4. SOCIAL LISTENING AS SOCIAL INTELLIGENCE
Source: http://fr.slideshare.net/EdelmanInsights/university-reputations-and-the-public?next_slideshow=1
137. 4. SOCIAL LISTENING AS SOCIAL INTELLIGENCE
Source: http://fr.slideshare.net/EdelmanInsights/university-reputations-and-the-public?next_slideshow=1
148. 96% of unhappy customers don’t complain, however 91% of
those will simply leave and never come back – 1Financial
Training services.
Customers who rate you 5 on a scale from 1 to 5 are six times
more likely to buy from you again, compared to ‘only’ giving
you a score of 4.8. – TeleFaction data research
eCommerce spending for new customers is on average
$24.50, compared to $52.50 for repeat customers – McKinsey
E-reputation
150. La génération Y et Z ….
• https://www.youtube.com/watch?v=gkdvEg1k
wnY
Emmanuelle Duez, Fondatrice, The Boson
Project et WoMen'Up nous parle de la
génération Z, une génération qui n'a peur de
rien, lors de la 4ième édition du Positive
Economy Forum au Havre.