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Outils & financement : le 360° du recrutement startup - Pôle Emploi - Incubat...FrenchTechCentral
Nos experts de Pôle Emploi et de l’Incubateur HEC vous font découvrir les ressources & dispositifs innovants pensés pour les startups et leurs problématiques RH.
- CDI- CDD: avantages et inconvénients
- Les contrats aidés: quel serait le contrat plus adapté à mon activité?
- Les aides à l'embauche: décryptage d'un formalisme par toujours facile
Catalogue des interventions fiphfp à compter du 1er janvier 2017Cheops Paca
Le présent catalogue présente l’offre d’intervention directe du FIPHFP à destination des
employeurs publics.
“Peuvent faire l’objet de financements par le fonds les actions suivantes proposées par les
employeurs publics :
1 Les aménagements des postes de travail et les études y afférentes effectués avec le
concours du médecin chargé de la prévention ou du médecin du travail et des
instances compétentes en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail ;
2 Les rémunérations versées aux agents chargés d’accompagner une personne
handicapée dans l’exercice de ses fonctions professionnelles ou les prestations
équivalentes servies par des organismes de droit privé ;
3 Les aides versées par les employeurs publics afin d’améliorer les conditions de vie,
au sens du décret du 6 janvier 2006 susvisé, des travailleurs handicapés qu’ils
emploient et destinées à faciliter leur insertion professionnelle ;
4 Les aides que les employeurs publics versent à des organismes contribuant, par
leur action, à l’insertion professionnelle des personnes handicapées dans la fonction
publique ;
5 La formation et l’information des travailleurs handicapés ;
6 La formation et l’information des personnels susceptibles d’être
en relation avec les travailleurs handicapés ;
7 Les outils de recensement des bénéficiaires de l’obligation d’emploi mentionnés
au deuxième alinéa de l’article L. 323-4-1 du code du travail ;
8 Les dépenses d’études entrant dans la mission du fonds ;
9 Les dépenses visant à rendre accessibles les locaux professionnels et celles
visant à favoriser l’accessibilité numérique des systèmes d’information,
de communication et de gestion développés dans le cadre de l’activité
professionnelle.
Peuvent également faire l’objet
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6 La formation et l’information des personnels susceptibles d’être
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8 Les dépenses d’études entrant dans la mission du fonds ;
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de communication et de gestion développés dans le cadre de l’activité
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Peuvent également faire l’objet
Dossier de presse handicap faf.tt- décembre 2016 (vd)AVIE
Depuis 2009, l’Agefiph et le FAF.TT sont associés afin de permettre aux salariés intérimaires et aux permanents des agences d’emploi handicapés d’acquérir les compétences nécessaires pour trouver un emploi.
Les objectifs partagés des deux partenaires sont de :
• Développer l’employabilité des personnes handicapées,
• Informer et sensibiliser les permanents des agences d’emploi,
• Favoriser les partenariats opérationnels entre les agences d’emploi et les acteurs territoriaux.
Dans ce cadre, le FAF.TT s’engage à renforcer l’accès des personnes handicapées à l’ensemble des outils proposés par la branche de travail temporaire pour sécuriser leurs parcours individuels.
Listes des exemples des 50 lettres de motivation présentées dans le programme "SOS entretiens, comment décrocher plus d'entretiens d'embauche" par Yves Gautier, coach emploi
Les Deux Grands Univers De La Veille - Spotter - Ana Athayde - VeillemagActulligence Consulting
Interview d'Ana Athayde, PDG de Spotter, société spécialisée en services et solutions de veille stratégique, d'intelligence économique, de veille image et d'e-reputation. Ana Athayde revient sur la création de la société Spotter il y en 1998, sur ses évolutions et sur celle de la veille stratégique et de l'e-reputation. Elle présente également Mediaspotter 2.0, la dernière version de la plateforme de veille stratégique et de veille image, développée par Spotter et mise à disposition de ses clients.
Partage et témoignages d'entrepreneurs et de start-up : EdTech, FinTech, MedTech, Luxe.
Les start-up | entrepreneurs | business présents dans le cahier
Askeet.io | Stanislas Miquel | Plateforme d'échange de leads
D'Estrëe | Laëtitia Lumbroso-Revenu | Maison de couture
Iktos | Yann Gaston-Mathé | IA au service de la pharma
Kokoroe | Elise Covilette | Plateforme de contenu pédagogique
La Formation Pour Tous | Jean-Paul Debeuret | Mobile learning pour les entreprises
Learn Assembly | Antoine Amiel | MOOC d'entreprises
Livsty | Grégoire Berger | Viager digital
Maison Z | Matthieu Zeilas | Luxe et innovations technologiques
Merci Docteur | Charlotte Lajoux | Lutte contre les déserts médicaux
Promis | Antoine Jenoudet | Plateforme de produits d'assurance
The Mooc Agency | Paul Farnet | Accompagnateur des organismes de formation
Tilkal | Matthieu Hug | Blockchain pour la supply chain
Vegg'up | Robin Lietar | App de recettes végétariennes et vegan
IXIS conseille les investisseurs en capital (GSO Innovation, CEA Investissement, Aquiti et CAAE) dans le cadre de leur entrée au capital de la société SYMBIOSE (Due diligence fiscale)
Cahier annuel des entrepreneurs - année 2021 - Quatrième édition
Entretiens avec des entrepreneurs sur leur aventure de création d'entreprise et de startup, avec des articles :
Christophe Le Houédec / François Misslin Ayolab : fournir de la donnée aux marques pour améliorer leurs ventes en ligne
Matthieu Ballester Nannybag : la consigne accessible et connectée
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François-Xavier Goemaere SkyBoy : une nouvelle expérience de la réalité augmentée
Matthieu Chabeaud Chattez avec vos données avec askR
Clothilde Perez Une transition écologique sur-mesure
Sophie Comte Chut ! au digital, l’aventure entrepreneuriale
Ilan Kaddouch Comment Ilan veut révolutionner le son avec la startup Akoustic Arts
Aurélien Tardieu Greenmove repense nos usages de mobilité : « saisissez l’occasion de passer à l’électrique »
Timothée Le Quesne Les chargeurs ne sont plus que des objets vintage avec Energysquare
Laurent Le Breton Eegle : Data, territoires et entrepreneuriat
Des métiers et des hommes 2ème semestreMike Sebaut
La gazette des métiers et des hommes du second semestre est disponible :-) Découvrez le quotidien des collaborateurs du groupe Helvetia Environnement. #DesMétiersEtDesHommes
Afin d'évaluer l’impact de la ligne sur les populations à l'échelle du projet, l e suivi de la répartition du Castor sera assuré à large échelle sur les bassins versants interceptés dans le contexte jugé le plus contraint qu'est leur recolonisation des cours d'eau jusqu'i ci désertés. Il s'agira d'engager un suivi standardisé sur les réseaux hydrographiques du bassin de la Vienne (Vienne, Clain et affluents) dans le département 86.
Le Castor est en phase de « colonisation » du réseau hydrographique du bassin de la Vienne et notamment du sous bassin du Clain. À large échelle, la ligne peut potentiellement devenir un frein à cette colonisation dans le département de la Vienne si les aménagements réalisés n'assuraient pas correctement (en qualité et en quantité) la circulation de cette espèce à travers l'infrastructure.
Les suivis menés en 2018 sur le site du Bocage de Chaunay ont pour objectif de mettre en évidence les conséquences de la gestion menée sur le site pour la compensation des espèces impactées. Les groupes concernés par ces suivis sont les Oiseaux et le Damier de la succise. Le présent rapport fait état des résultats issus de ces suivis.
Suivi Nichoirs à Bergeronnette des ruisseaux - 2018 - PCNLISEA
En 2016, COSEA a sollicité la LPO en Vienne pour prospecter les ouvrages d’arts dans des secteurs de compensation pour la Bergeronnette des ruisseaux, espèce impactée par la construction de la ligne LGV Tours-Bordeaux.
Suite à ce travail de repérage 17 nichoirs ont pu être installés sur 10 ouvrages disposés en 2017 sur les cours d’eau de la Vonne, de la Longère et du Palais (Figure 1). Depuis 2018, la société LISEA intervient dans le maintien de ce suivi sur le long terme afin de répondre aux objectifs d’ évaluation de la plus value de la pose des nichoirs.
Il s’agit ici de la première année de suivi des nichoirs depuis leur pose. En parallèle du suivi des nichoirs, des points d’observations ont été placés le long de ces cours d’eau afin d’estimer le nombre de couples de Bergeronnette des ruisseaux dans la zone d’étude.
Les objectifs du suivi consistent à évaluer le succes de franchissement des ouvrages en évaluant la richesse spécifique (nombre d’espèces) et intra-spécifique (nombre d’individus) au niveau des ouvrages, et de mettre en évidence d’éventuels flux de migration pour les amphibiens.
Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- Les passages petites faune prévus tout au long de la ligne permettront la traversée des individus de part et d'autre de la ligne
- Les ouvrages permettront de préserver des axes de migration (potentiels) transversaux à la ligne.
Ce suivi 2018 vient compléter les deux années précédentes de suivi.
En 2017 et en 2018, un suivi des gîtes à chiroptères a été réalisé. L’objectif de ce suivi est de vérifier l'efficacité de la création de gîtes artificiels dans les ouvrages d'art en évaluant le taux de colonisation par les chauves-souris des ouvrages aménagés en leur faveur et de suivre l’évolution de l’occupation des gîtes à différentes périodes de l’année. Ce suivi est basé sur l’identification des espèces présentes et le comptage des individus à intervalles réguliers sur une année complète.
Le suivi et l’analyse qui en découle visent également les objectifs suivants :
- distinguer s’il existe des différences d’utilisation suivant le type d’ouvrages mais également suivant le type de gîte.
- identifier et quantifier les différentes espèces présentes au sein de ces ouvrages et des gîtes ainsi que le type d’occupation (transit, mise bas...).
Les gîtes à chiroptères posés au niveau des ouvrages hydrauliques constituent des zones de haltes artificielles non négligeables pour le transit, voire la parturition (mise bas) des chiroptères. Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- La pose de gîtes à chiroptères au niveau des ouvrages hydrauliques renforce leur potentiel d'accueil ;
- Le passage de la LGV sur l'ouvrage n'est pas un frein à l'occupation des gîtes par les chiroptères ;
- La fréquentation des ouvrages et des gîtes varie en fonction des typologies d'ouvrage et de gîte.
Afin de répondre aux objectifs fixés, un protocole spécifique a été élaboré et mis en place à l’échelle de 3 départements impactés par la ligne SEA : La Vienne, la Charente et la Charente maritime. L’année 2017 constitue la première année de ce suivi, qui constitue également l’année de mise en service de la ligne.
L’objectif du suivi paysager est, à l’échelle du projet, de s’assurer de l’efficacité des mesures retenues et d’évaluer les impacts résiduels réels sur l’environnement. D’une manière plus large, il a pour vocation d’améliorer la connaissance et d’assurer un retour d’expérience pour améliorer la prise en compte du paysage dans les projets d’infrastructures à venir.
L’outil mis en place pour le suivi paysager est un observatoire photographique portant sur environ 300 stations réparties sur les 12 sites.
En 2018, un an après la mise en service de la ligne, 5 campagnes photographiques ont déjà été effectuées :
3 en période de végétation et 2 en période hivernale (automne 2013, hiver 2013/2014, hiver 2015 printemps/été 2016, printemps/été 2018). La plupart des prestations environnementales et paysagères sont terminées.
Depuis 2017, la portion ferroviaire entre Tours et Bordeaux compte 340 km de lignes nouvelles. Ce projet a eu un impact sur la faune, la flore ou l’écoulement des eaux de pluie. Après avoir entrepris toutes les évolutions de tracé pour éviter les impacts majeurs, le projet a muté pour atténuer les impacts négatifs du tracé. Les impacts résiduels ont fait l’objet de mesures compensatoires. A ce titre, COSEA/LISEA a entrepris, le long du tracé, le creusement de plusieurs mares à vocation d’attractivité, de substitution ou de compensation. Cette mission a été confiée par COSEA au Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine). Ainsi, quatre mares ont été réalisées en 2016, auxquelles s’ajoute la restauration d’une mare, sur la base des prescriptions techniques du CEN, et de deux supplémentaires creusées en 2017 qui sont venues grossir les effectifs.
Les mares font l’objet de suivi durant les trois premières années suivant leur création.
Ainsi cette année, le CEN Aquitaine a été missionné sur 7 mares pour mener les suivis de ces milieux conformément au protocole de suivi rédigé collégialement par l’ensemble des associations de protection de la nature travaillant à la mise en oeuvre des suivis écologiques sur la LGV SEA. Les quatre mares créées puis suivies en 2013 et 2014 ne sont plus intégrées aux suivis respectivement jusqu’en 2021 et 2022.
Le présent document fait le bilan du suivi 2018. Il a pour vocation d’évaluer la fonctionnalité des sites, d’apporter des éléments correctifs à la gestion des mares et à l’amélioration du suivi, ainsi que d’effectuer un retour d’expérience sur les mesures compensatoires.
Ce suivi vise à évaluer la colonisation et la fonctionnalité de ces mares créées. L'objectif principal est d'attester de l'efficience de ces entités pour les espèces à compenser.
Pour effectuer le suivi de la colonisation des mares, trois groupes taxonomiques sont étudiés : les amphibiens, les odonates et la flore, ce conformément au protocole transmis aux services de l'Etat pour validation.
Dans le cadre de la mise en oeuvre des actions de suivis des mesures de réduction liées à la réalisation de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA), LISEA a missionné le Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine) pour mener le suivi de la transplantation des pieds d’Ail rose (Allium roseum L.) sur la parcelle de transplantation de la commune de Cubzac-les-Ponts.
Ce suivi fait suite aux dispositions de transplantation de l’espèce située sur les emprises de la ligne.
Les modalités de recueil, de stockage et de réimplantation des bulbes ont fait l’objet d’un protocole soumis pour approbation au Conservatoire Botanique National Sud Atlantique (CBNSA) et à la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement d’Aquitaine (DREAL Aquitaine) en septembre 2012. Ce protocole intègre également des éléments de description et de gestion de la zone d’accueil, ainsi qu’une méthode de suivi pour mesurer l’efficacité de l’opération de transplantation des pieds d’Ail rose réalisée en 2012. Des préconisations pour le maintien des populations situées immédiatement en marge de l’emprise travaux ayant fait l’objet d’une mesure d’évitement sont édictées.
Ce document fait suite à un suivi engagé par BIOTOPE en 2013 et par le CEN Aquitaine entre 2014 et 2017.
Suivi Flore : Odontite de Jaubert - 2016-2018 - CBNBPLISEA
Actualisation des stations d’Odontite de Jaubert (Odontites jaubertianus) en Indre-et-Loire. Bilan des prospections et programme d’actions.
Ce document a été réalisé par le Conservatoire botanique national du Bassin parisien, délégation Centre.
Ce projet, proposé dans le cadre du Contrat Territorial Vienne Aval, a pour objectif d’améliorer nos connaissances sur la répartition de l’espèce dans la Vienne (action A1.2 du PNA Grande Mulette) et notamment de rechercher de nouvelles stations abritant des individus vivants de cet invertébré qui est l’un des plus menacés au monde. Les prospections débutées en 2015 ont été menées sur la Vienne, en portant un effort plus important sur les secteurs localisés en aval de Châtellerault (Vienne Nature, 2015, 2016 et 2017). Ce rapport présente les résultats des inventaires menés sur la Vienne en 2018.
Le site d'étude "Prairies de Vouharte" a été acquis par le Conservatoire Régional d'Espaces Naturels du Poitou-Charentes dans le cadre des mesures compensatoires de la construction de la LGV SEA.
A l'heure de la mise ne place des mesures de gestion conservatoire, une série de suivis a été lancée sur les prairies humides et les ripisylves afin d'évaluer l'impact de la gestion proposée.
Le travail de suivi mené en 2017 par Charente Nature a concerné l'évaluation des habitats naturels de prairies humides et des ripisylves ainsi que le suivi de plusieurs taxons :
- suivi de la végétation des habitats naturels humides ouverts,
- suivi des Rhopalocères des prairies humides,
- suivi des communautés d'Orthoptères des prairies humides,
- suivi des oiseaux,
- suivi de la végétation des ripisylves,
- suivi des mammifères semai-aquatiques,
- suivi des odonates.
Ce rapport présente donc l'état des lieux des suivis réalisés en 2017.
Suivi IPR Veude de Poncay - 2018 - Fédération de pêche 37LISEA
Dans le cadre des mesures compensatoires, la Fédération d’Indre et Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique a diagnostiqué différents linéaires de la Veude de Poncay. Après validation des services de l’Etat, un projet de restauration de la morphologie et de la continuité écologique de ce cours d’eau a été retenu. Les travaux ont eu lieu de septembre à octobre 2017.
C'est dans ce cadre que la fédération de pêche d’Indre-et-Loire a réalisé la pêche électrique du 12 septembre 2018 dont fait état ce rapport. Elle correspond à l'année N+1 après travaux.
Le présent rapport fait état des résultats de l’indice IPR (Indice Poisson Rivière) et de l’évolution par rapport à la pêche « avant travaux » réalisées en août 2017.
Le présent suivi vise à étudier les populations existantes de Busards Saint-Martin, de Fauvettes Pitchou et d'Engoulevents d’Europe, sur plusieurs secteurs le long de la LGV SEA et d’évaluer l’influence potentielle de la Ligne à Grande Vitesse SEA Tours-Bordeaux sur les populations nicheuses de ces espèces (répartition, densité, réussite de reproduction) à court, moyen et long terme.
Ce dossier porte sur le suivi d'une population d'agrion de Mercure impactée par le tracé de la LGV SEA réalisé en 2017. Cette espèce possède des caractéristiques éconologiques qui font d'elle un bon indicateur de la transparence des ouvrages et de la continuité écologique des corridors aquatiques et des habitats humides alluviaux. Cette analyse est basée sur un protocole de capture/marquage/recapture qui permet de modéliser les déplacements des individus et de caractériser le fonctionnement de la population.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
1. CVSI –EA
Entretien avec Franck Raymond, Directeur général et Jacques Cardon, Président
Créée en 2007, CVSI-EA est une entreprise industrielle spécialisée dans la signalétique et la communication
(panneaux de chantier, signalisation de bureaux, étiquettes, etc.). De manière générale, l’entreprise intervient
sur « tout ce qui est objet où on peut trouver un message : autocollants sur un Airbus, sur un bus, sur un site
nucléaire, etc. ». CVSI-EA fait également de la prévention des risques et du facilty management. L’entreprise
possède une particularité qui la différencie de ses concurrents, c’est une entreprise adaptée (agrément depuis
2010) qui emploie des personnes en situation de handicap : « 100% du personnel de l’appareil de production
est en situation de handicap et quasiment 80% sur la structure ».
Côté client, l’activité spécifique de CVSI-EA conjuguée à son statut d’entreprise adaptée lui confère une place
de choix sur le marché. « La loi oblige chaque entreprise à dépenser 6% de la masse salariale sur le handicap
ou à défaut seulement 3%, et à faire de l’achat sur 3% auprès d’entreprises adaptées ». C’est en se
positionnant sur ce dernier critère législatif que CVSI-EA a construit son modèle économique. Ses clients sont
donc des entreprises, principalement des grands groupes, qui cherchent à se fournir en signalétique tout en
répondant aux exigences de la loi. « Les grands groupes ont une sensibilité vis-à-vis du problème des
entreprises adaptées ou du handicap, ils nous écoutent alors que les plus petites, elles ont autre chose à
faire, elles sont débordées».
Dans le champ des entreprises adaptées, CVSI-EA occupe une position privilégié : « on arrive avec un produit
assez original dans le domaine de l’entreprise adaptée, qui est la signalétique : on a très peu de concurrents
de notre taille. En entreprise adaptée on est les seuls à avoir un tel volume d’activités donc ça intéresse aussi
les entreprises parce que c’est un nouveau produit qui se substitue aux espaces verts, à la blanchisserie… ».
Aujourd’hui, l’entreprise possède 45 produits en catalogue dont la vente représente moins de 50% de son
chiffre d’affaires. Le reste de son chiffre d’affaires est obtenu sur des produits hors catalogue : « CVSI-EA, et
c’est notre force, c’est vraiment la structure qui sait s’adapter, avec un bon taux de réactivité, et tout ce qui
est mouton à 5 pattes et de préférence avec une patte rose ou une patte bleue on prend ». Cette forte
adaptation aux besoins de ses clients a permis à l’entreprise de connaître une forte croissance depuis sa
création : « on a eu une progression entre 2010 et 2015 qui doit être à 1,2 millions d’euros environ. On était
à 1,4 millions de CA en 2011 et 1,8 en 2012. Depuis ce temps-là on monte tout doucement à 2. On va dépasser
2 cette année ». Parallèlement CVSI-EA est passé de 6 salariés à presque 40.
La participation au projet SEA en tant que fournisseur de COSEA a grandement contribué à la croissance de
CVSI-EA : « Le step de 400 000 euros qu’on a fait en 2012, il est dû principalement à COSEA ». Sur 2 ans,
l’entreprise a obtenu entre 400 000 et 500 000 euros de contrats représentant entre 10% et 25% du chiffre
d’affaires. Aujourd’hui encore, CVSI-EA produit pour le projet SEA, dans une moindre mesure toutefois
(bouées, panneaux fluviaux, repérages pour la téléphonie, housses de protection, et bien sûr panneau de
signalisation, etc.).
La participation au projet SEA est arrivée très tôt dans l’histoire de l’entreprise : « comme pour toute
entreprise pour obtenir un certain niveau de professionnalisme il faut 5 ans et pour obtenir les premiers
niveaux d’expertise il faut 10 ans. Nous on est arrivé sur la LGV, on avait 2 ans… ». Cette participation a été
initiée suite « à une réunion de la Chambre de Commerce et d’Industrie où Il y avait une personne de SEA qui
présentait les engagements de COSEA vis-à-vis des territoires traversés, de l’Etat, etc… ». Cette personne a
insisté notamment sur « l’engagement du constructeur de prendre des entreprises locales et régionales, et
2. de prendre des entreprises responsables et solidaires ». CVSI-EA a manifesté son intérêt lors de cette réunion.
La suite s’est enchaînée assez rapidement « derrière on a été sollicité via un appel d’offres, et puis on a vu
des acheteurs arrivés ».
Une fois les premiers contrats signés, un véritable défi s’est alors présenté à CVSI-EA. « Le début a été difficile
car on ne savait pas produire suffisamment vite et les prix étaient négociés sur certains sujets trop bas ».
Cette épreuve a permis à l’entreprise de grandir et de progresser : « En fait, les 3 ou 4 premiers mois je pense
qu’on a perdu énormément d’argent. Sur la fabrication des panneaux Vinci, au début on devait faire 40
panneaux à l’heure. Et on a fini aux alentours de 120 – 140 panneaux à l’heure. Le point positif, c’est que ça
nous a fait monter d’un cran en termes d’industrialisation des processus. On a perdu de l’argent au début
mais ça nous a permis d’en regagner ultérieurement ». L’amélioration du processus industriel permise par la
participation au projet SEA a eu un retentissement sur tous les autres clients de l’entreprise : « De manière
générale, pour tous les autres clients ça nous a servi : sur l’organisation, notre approche, …. Aujourd’hui
c’est un bon contrat pour nous. On a réussi à atteindre un niveau de marge qui est acceptable parce qu’on
a beaucoup travaillé ».
La relation commerciale de qualité nouée avec COSEA a permis à CVSI-EA de répondre au challenge qui lui
était proposé, en assurant la continuité de son service auprès du constructeur malgré les difficultés du début :
« On a éprouvé quelques difficultés mais eux n’ont pas ressenti les difficultés qu’on avait. Ils ont été fournis,
ils ont été très satisfaits du service rendu. On nous a fait confiance, il faut donc remercier COSEA ». Cette
confiance a permis à l’entreprise de développer ses relations commerciales avec Vinci et ses filiales au-delà du
projet SEA : « des chefs de chantier qui étaient sur la ligne LGV et qui maintenant sont partis ailleurs,
continuent à nous commander des choses sur d’autres chantiers (métro de Rennes, Bar-le-Duc) ». Mieux
encore, Vinci Construction France et Vinci Construction Terrassement ont proposé à CVSI-EA un contrat cadre
ouvrant la voie à une relation commerciale durable avec l’ensemble des filiales du groupe. Vinci et ses filiales
représentent aujourd’hui entre 10% et 25% du chiffre d’affaires annuel de l’entreprise. Finalement, « l’autre
impact positif de COSEA c’est que ça nous a aidé à booster les contacts avec Vinci : ils ont une stratégie
autour de leurs achats au secteur adapté où ils sont très volontaristes ».
Aujourd’hui CVSI connaît un développement important, que ce soit localement ou sur l’ensemble de
l’hexagone : « Globalement, aujourd’hui pour tous les chantiers bordelais les panneaux sortent d’ici ».
L’entreprise vient d’ouvrir une agence à Paris pour se rapprocher de ses clients du Nord de la France et une
autre ouverture est en cours de projet à Lyon. Le développement de CVSI-EA ne se matérialise pas seulement
par un élargissement géographique de son périmètre d’intervention. L’ouverture vers le marché des
particuliers est également en projet : « On souhaite attaquer le B to C à partir de janvier 2016. On ne va pas
arrêter ce qu’on fait. On va venir ajouter un truc qui est un petit peu plus complexe, sur lequel on ne peut
pas tenir de stock bien entendu et avec un taux de réactivité qu’il va falloir optimiser ». Pour l’entreprise ce
choix stratégique va permettre « d’apporter de la marge et de la valeur ajoutée » en vendant du mobilier sur
un segment de luxe. Le bassin d’Arcachon est une cible privilégiée pour le lancement de cette nouvelle activité.
Et comme le développement d’une entreprise est le résultat d’un processus de construction historique, les
contrats passés avec COSEA puis Vinci ne sont pas étrangers à cette orientation : « Il y a eu deux déclencheurs
pour aller sur ce segment aujourd’hui : Airbus et Vinci avec les équipements de bureau. C’est ce qui nous a
tirés vraiment vers le haut, avec des seuils hauts de qualité de produits ».