[Gestion des risques et conformite] de bale ii à bale iiionepoint x weave
Dans la continuité des normes Bâle II qui visaient à renforcer les exigences de solvabilité des banques, les normes de Bâle III ont été élaborées, en réponse à la crise financière, et pour pallier aux insuffisances des règles en vigueur :
Renforcement des fonds propres, avec une définition harmonisée et plus restrictive des titres admis en représentation
Amélioration de la couverture des risques et notamment du risque de contrepartie
Mise en place d’un ratio d’effet de levier
Instauration de coussins contra cycliques
Prise en compte de la liquidité, avec le calcul des ratios LCR et NSFR
Weave vous accompagne sur l’ensemble des phases de vos projets de mise en conformité et vous aide à préparer la transition vers Bâle III.
Mémoire sur le thème des Fintech:
L’objectif va être d’expliquer ce changement d’habitude de consommation constaté, notamment chez les milléniaux, en déterminant l’impact des innovations Fintech sur son écosystème.
Un travail qui fera aussi l'objet d'un éclairage sur les évolutions réglementaire qui accompagnent les startups Fintech dans leur développement.
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
Conférence lors des rencontres de la création d'entreprise le 1er décembre 2016 au Lab'O incubateur numérique à Orléans
Comment réussir la présentation de son projet à son banquier
[Gestion des risques et conformite] de bale ii à bale iiionepoint x weave
Dans la continuité des normes Bâle II qui visaient à renforcer les exigences de solvabilité des banques, les normes de Bâle III ont été élaborées, en réponse à la crise financière, et pour pallier aux insuffisances des règles en vigueur :
Renforcement des fonds propres, avec une définition harmonisée et plus restrictive des titres admis en représentation
Amélioration de la couverture des risques et notamment du risque de contrepartie
Mise en place d’un ratio d’effet de levier
Instauration de coussins contra cycliques
Prise en compte de la liquidité, avec le calcul des ratios LCR et NSFR
Weave vous accompagne sur l’ensemble des phases de vos projets de mise en conformité et vous aide à préparer la transition vers Bâle III.
Mémoire sur le thème des Fintech:
L’objectif va être d’expliquer ce changement d’habitude de consommation constaté, notamment chez les milléniaux, en déterminant l’impact des innovations Fintech sur son écosystème.
Un travail qui fera aussi l'objet d'un éclairage sur les évolutions réglementaire qui accompagnent les startups Fintech dans leur développement.
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
Conférence lors des rencontres de la création d'entreprise le 1er décembre 2016 au Lab'O incubateur numérique à Orléans
Comment réussir la présentation de son projet à son banquier
Constituant une part essentielle du fond de commerce des banques, et n’ayant pas accès facile à d’autres sources de financement (le marché boursier, le marché de capital risque), les Petites et Moyennes Entreprises (PME) se trouvent en face de la banque en tant que seule source de financement de leurs projets. Pourtant l’accès au crédit semble difficile pour celles ci.
Extrait Livre Blanc : Comment mesurer le retour sur investissement de l'assur...Pénélope Cardera
Pour télécharger le livre blanc :
http://www.au-group.fr/livre-blanc-assurance-credit
Découvrez dans ce Livre Blanc les coûts comparés de l’auto-assurance et de l’assurance-crédit.
Illustrés par des exemples, cette analyse permet d’évaluer le détail des coûts directs et indirects des deux solutions et de mesurer le ROI de l’assurance-crédit.
Cours droit bancaire distribution conseil courtier iobsp version publique mai...Iobissime
Devoir de conseil du Courtier en crédits / IOBSP.
Obligation du vendeur bancaire.
Nouvelle Réglementation des Intermédiaires en Opérations de Banque et en Services de Paiement.
Une conférence accompagnée d'un cocktail dinatoire a eu lieu le: 09 /10 /2014 à la Cave de L'abbaye, afin de présenter la démarche du Cabinet Saint-Paul à l'association VIP Business Roissy.
Ce projet porte sur les modes de financement que l'entreprise peut choisir entre eux pour financer ses investissement à long terme, avec une étude de cas de la société SOTHEMA.
Ce projet est organisé par un groupe des étudiants de l'ENCG de Fès, master spécialisé: management commercial et financier.
Le financement court terme (d’une durée inférieure à un an) permet de financer l’activité quotidienne d’une entreprise ou d’une TPE à la différence des financements moyen terme (entre 1 et 5 ans) et long terme (d’une durée supérieure à 5 ans) destinés aux investissements.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
La gestion du risque de crédit à travers l’étude classique du dossier de crédit.ppt
1. UNIVERSITÉ DE SFAX
FACULTÉ DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION
La gestion du risque de crédit à travers l’étude
classique du dossier de crédit : cas de l’Union
Internationale des Banques
Réalisé par :
ELLOUMI Sana
Encadré par :
Mr. GARGOURI Omar
Année Universitaire : 2018-2019
1
2. Problématique
Introduction
Présentation du lieu du stage et
tâches effectuées
L’étude classique du dossier de
crédit : cas de l’UIB
Conclusion
Définition du crédit bancaire et ses
formes
Le risque de crédit et sa gestion à
travers l’étude classique du dossier
de crédit
2
3. Introduction
En Tunisie, les banques jouent un rôle très important
dans le financement des particuliers, professionnels et
entreprises.
3
4. Problématique
Ce travail cherche à expliquer comment se fait la
gestion du risque de crédit des particuliers et des
entreprises à travers l’étude classique du dossier de
crédit et ce, au sein de l’Union Internationale des
Banques (UIB) ?
4
5. Définition du crédit bancaire et
ses formes
Le crédit bancaire est un financement accordé aux
différents agents économiques (personnes morales ou
personnes physiques) par les établissements de
crédit. Il implique avant son octroi, une analyse de
risque, et aussi des prises de garanties.
5
6. Les crédits aux particuliers
Les crédits aux entreprises et aux
professionnels
Il existe deux grandes formes de crédit bancaire :
6
7. Le risque de crédit et sa gestion à travers
l’étude classique du dossier de crédit
Le risque de crédit est le risque que le débiteur ne
réponde pas à son obligation initiale qui est de
rembourser un crédit.
L’étude classique du dossier de crédit, en tant que
moyen de gestion de ce risque, diffère selon la nature
de l’emprunteur :
7
8. Cas des particuliers
L’étude porte sur une panoplie d’éléments :
* Les incidents des paiement ;
* Les engagements du client ;
* Le calcul du ratio d’endettement : Charges
mensuelles totales / Salaire ;
* Les garanties et des assurances offertes.
8
9. Cas des entreprises et professionnels
L’étude porte sur plusieurs éléments :
* Les engagements avec la banque en question, les
autres banques ,etc. ;
* Les incidents de paiement (crédits classés, chèques
impayés, etc.);
* Les garanties et les assurances;
* Les éléments financiers : FR, BFR, TN, ratios
financiers, etc.
9
10. Présentation du lieu du
stage et tâches effectuées
Mon stage a été effectué au sein de l’agence UIB Sfax
Chihia qui est de taille moyenne. Elle est composée de
quatre personnes.
Durant ce stage, j’ai effectué plusieurs tâches :
-Opérations de versements chèques : remplissage de
bordereaux , scannage ;
- Acceptation des demande chéquier;
- Ouverture de comptes sous le contrôle du chargé
clientèle, etc;
10
11. L’étude classique du dossier de
crédit : cas de l’UIB
Dossier de crédit d’un particulier
Le client «Y» est un salarié du secteur privé. Il s’est
adressé à l’agence UIB Sfax Chihia pour obtenir un
crédit d’aménagement pour un montant de 13000 D
sur 5 ans.
L’étude du dossier de crédit, telle qu’effectuée par le
banquier, porte sur les éléments suivants.
11
16. Calcul du ratio d’endettement
L’UIB applique deux ratios, en fonction du salaire net.
- Ratio 1 : 45% si le salaire net est supérieur à 450D
et inférieur à 800 D ;
- Ratio 2 : 50% si le salaire net est supérieur ou égal
à 800 D.
Dans notre cas, le client a un salaire de 765.234 DT.
Donc, le ratio qui lui est appliqué est 45%.
16
17. Le ratio d’endettement du client est de 37,61%
(288/765,234) qui est inferieur à 45 %.
17
18. Les garanties et les assurances
- Garanties : Domiciliation de salaire ;
- Assurances : assurance vie.
18
19. Dossier de crédit d’une entreprise
L’entreprise « X » est une SARL et est spécialisée dans
le bâtiment et la décoration. Elle est dirigé par Mr « Y »
et son épouse.
Les crédits demandés sont :
* Facilité de caisse……………….20000 D ;
* Escompte commercial………20000 D.
L’étude du dossier de crédit, telle que effectuée par le
banquier, porte sur les éléments suivants.
19
20. Analyse des garanties
La société propose une hypothèque de 1er rang sur un
terrain d’une superficie de 478m² sis à Sfax, objet de
contrat de vente notarié et enregistré à la recette des
finances de Sfax et estimé à 50000 D.
20
21. Analyse de la situation financière de la société
2017 2018
CA 255365.360 308423.651
FR 96584.125 104587.418
BFR 60102.780 68116.894
TN 36481.345 36470.524
RN 37230.554 40035.128
21
22. - L’entreprise à clôturé l’exercice 2018 par un chiffre
d’affaires de 308423.651 D contre 255365.360 D en
2017, soit une augmentation de 53058.291.
- La structure financière de l’entreprise est équilibrée
avec un FR positif de 104587.418 D en 2018 contre
96584.125 D en 2017.
- L’entreprise est rentable dégageant un résultat net
positif de 40035.128 D en 2018 contre 37230.554 D en
2017, soit une augmentation de 2804.574 D.
22
26. Les autres éléments
* La nature (secteur) d’activité de la société ;
* L’exclusivité de la relation.
26
27. Programme de crédits décidés par la banquier
Nature des
crédits
Hypothèse de calcul Cotes
théoriques
Programme
de crédits
décidé
Facilité de
caisse
15j du CA prévisionnel 375*15/360=15
MD
15MD
Escompte
commercial
Le montant de ce recours
est déterminé en fonction du
CA à crédit et du délai de
règlement client
375*0.5*90j/360
=46MD
20MD
27
28. Conclusion générale
Nous avons trouvé dans ce travail que au sein de l’UIB,
l’étude classique du dossier de crédit respecte en
grande partie ce qui a été dit au niveau de la théorie et
ce, aussi bien pour le cas des particuliers que celui des
entreprises.
28
29. Bibliographie
Documents officiels
Circulaire de la BCT n°87-47 du 23 décembre 1987.
Cours
- Gargouri, O «Techniques bancaires », FSEGS, 2017-2018 ;
- Gargouri, O «Processus de gestion de crédits», FSEGS,
2017-2018.
- Jendoubi, A « Les opérations de crédit », IFID, 2007-2008.
Sites Internet
www.memoireonline.com
29