Rapport final - Mémoire de fin d'études - Bâle III - Nouvelle réglementation ...Youcef Benchicou
Nouvelle réglementation prudentielle : Quel impact
sur la performance des banques marocaines ?
Le financement bancaire représente un moteur de la croissance de l’économie, principalement là où l’intermédiation financière est plus poussée. Les pouvoirs publics se retrouvent donc devant l’obligation de militer pour la résilience du système financier. Dans le cadre de leurs missions, les superviseurs bancaires œuvrent pour la mise en place d’une réglementation prudentielle qui obligerait les banques à disposer d’une assise financière solide nécessaire pour faire face aux différents risques et périls. Si la crise financière a confirmé les besoins en termes d’adaptation de la régulation prudentielle, les institutions financières ont dénoncé toutefois le coût trop élevé des nouvelles exigences bâloises, un coût qui pèserait forcément sur l’activité bancaire et, par conséquent, sur l’activité économique. A partir de ce constat, nous menons une étude d’impact dont l’objectif serait alors de démontrer et d’évaluer l’impact d’une modification au niveau des exigences minimales sur la performance du secteur bancaire.
Cette publication est également disponible sur Wordpress sur: https://youcefbenchicou.wordpress.com/
Rapport final - Mémoire de fin d'études - Bâle III - Nouvelle réglementation ...Youcef Benchicou
Nouvelle réglementation prudentielle : Quel impact
sur la performance des banques marocaines ?
Le financement bancaire représente un moteur de la croissance de l’économie, principalement là où l’intermédiation financière est plus poussée. Les pouvoirs publics se retrouvent donc devant l’obligation de militer pour la résilience du système financier. Dans le cadre de leurs missions, les superviseurs bancaires œuvrent pour la mise en place d’une réglementation prudentielle qui obligerait les banques à disposer d’une assise financière solide nécessaire pour faire face aux différents risques et périls. Si la crise financière a confirmé les besoins en termes d’adaptation de la régulation prudentielle, les institutions financières ont dénoncé toutefois le coût trop élevé des nouvelles exigences bâloises, un coût qui pèserait forcément sur l’activité bancaire et, par conséquent, sur l’activité économique. A partir de ce constat, nous menons une étude d’impact dont l’objectif serait alors de démontrer et d’évaluer l’impact d’une modification au niveau des exigences minimales sur la performance du secteur bancaire.
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Le risque de liquidité des banques islamiquesAde Med
L'Objectif de la présentation est axé sur l'importance de la gestion de risque de liquidité chez les banques islamique pour atteindre le seuil de rentabilité visé. La présentation est ponctuée par la définition des concepts de risque de de risque de liquidité, ensuite surligner les dispositions de comité de Bâle en faveur de la bonne gestion de liquidé.enfin je vais faire une étude comparative de comportement de trois banques islamiques connues à travers des ratios de liquidité afin d'analyser leurs Feedback après la mise oeuvre de la réglementation Baloise.
[Gestion des risques et conformite] de bale ii à bale iiionepoint x weave
Dans la continuité des normes Bâle II qui visaient à renforcer les exigences de solvabilité des banques, les normes de Bâle III ont été élaborées, en réponse à la crise financière, et pour pallier aux insuffisances des règles en vigueur :
Renforcement des fonds propres, avec une définition harmonisée et plus restrictive des titres admis en représentation
Amélioration de la couverture des risques et notamment du risque de contrepartie
Mise en place d’un ratio d’effet de levier
Instauration de coussins contra cycliques
Prise en compte de la liquidité, avec le calcul des ratios LCR et NSFR
Weave vous accompagne sur l’ensemble des phases de vos projets de mise en conformité et vous aide à préparer la transition vers Bâle III.
Introduction à la gestion des risques en finance : définition du risque, typologie des risques, principales mesures du risque, définition de la couverture et instruments de couverture
INTRODUCTION GENERALE
Au Maroc la décennie 80 a été le théâtre d’un large mouvement de restructuration économique. Au niveau financier, la finalité des réformes est la substitution d’un environnement financier nouveau, à un autre né pour l’essentiel depuis la fin des années 60.
Les réformes du système financier, encore inachevées, visent la généralisation des financements au prix du marché des capitaux par l’amélioration du financement direct, au détriment du financement bancaire traditionnel, ce dernier ,devrait de plus en plus être déterminé par les taux d’intérêt du marché financier . Dans une économie d’endettement tel est le cas pour le Maroc , le marché financier est peu développé , dés lors , une faible part des besoins des entreprises est financée par émission de titres financiers .Les entreprises sont donc fortement endettées auprès des banques qui jouaient un rôle d’intermédiaire entre les particuliers désirant épargner leur argent et les entreprises ayant besoin de ces fonds.
Les banques étant étroitement liées à la banque centrale , celle –ci aura la tentation d’agir sur le niveau d’investissement et donc le niveau d’activité de l’économie .Les taux d’intérêt sur le marché ne reflètent pas l’équilibre de l’offre et de la demande de crédit mais un niveau souhaité pour des raisons d’ordre politiques et économiques par les pouvoirs publics.
La conséquence fondamentale de tout cela pour les entreprises est que les plus grandes d’entre elles ne vont plus emprunter l’argent dont elles ont besoin auprès des banques puisqu’elles pourraient emprunter sur le marché financier .
Le Maroc a commencé depuis début 90 à moderniser son système financier . Il a débuté par la mise en place d’un cadre juridique rénové pour les établissements de crédit à travers la loi bancaire de 93 , puis s’est poursuivie par la refonte de l’organisation du marché boursier selon les normes existantes dans les systèmes financiers développés : ainsi fut opérée la privatisation de la société gestionnaire de la bourse des valeurs de Casablanca , la création de sociétés de bourses, l’institution d’une nouvelle autorité de tutelle , le conseil déontologique des valeurs mobilières ( CDVM) , et enfin par l’introduction d’un nouveau véhicule d’épargne pour les particuliers : les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) . toutes ces démarches ont eu pour conséquence l’élargissement des possibilités de placement pour les investisseurs qui disposent désormais d’une multitude d’instruments de placements.
Les opérations de fusion-acquisition, cession partielle d’actif , Restriction de l’actif et du passif du bilan, Réorganisation d’un groupe, nécessitent une appréciation préalable de l'entreprise. Cette évaluation relève d'un ensemble d'approches et de techniques assez complexes qui, dans une optique d'approximation aussi fine que possible de la valeur de l'entreprise, tentent d'apporter des solution pour viabiliser une entreprise au-delà de ses mutations économiques.
Ce document est un support de cours simplifié renforcé de cas pratiques dans une vision de clarifier les notions et d'appréhender au mieux la matière.
La gestion du portefeuille d'action est une matière qui relève du trading financier qui consiste à analyser les tendance du marché, identifier des opportunités d'investissement, et combiner les actifs pour constituer le portefeuille efficient.
Connaître la réforme de Bâle II - Bâle III dans son ensemble , Maîtriser les différentes approches introduites par la réforme de Bâle II , Savoir appréhender les impacts de la réforme
Bâle III et ses implications
Objectifs et enjeux
Historique des objectifs et de la mise en place de Bâle II
Les raisons de l’évolution Bâle III
3 piliers de Bâle II, vers Bâle III…
Pilier 1 : les exigences de solvabilité et de liquidité face aux risques
Evolution des ratios réglementaires
Zoom sur les différents ratios
Calendrier de mise en place
Pilier 2 : la procédure de surveillance et le contrôle des risques
Exigences et implications pour les banques
Pilier 3 : la discipline de marché et la transparence
Renforcement des Fonds propres
Contrôle des risques (crédit, opérationnels)
Renforcement du reporting réglementaire (SURFI)
Impacts de la réforme
Sur l’organisation interne
Sur les opérations clientèle et les stratégies de la banque
Sur les marchés financiers
Le projet Solvency 2 pour les Compagnies d’Assurance
Après Bâle III, les travaux en cours du Comité de Bâle
Voir notre formation Réforme de Bâle II et ses implications, vers Bale III:
http://formation.actions-finance.com/reforme-de-bale-ii-et-ses-implications-vers-bale-iii/
Plus d'infos sur:
http://www.actions-finance.com/
twitter.com/Actions_finance
Pour tout renseignement, contactez nous au
+ 33 (0)1 47 20 37 30
Rapport de stage à la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie (BMCI)Sabrine Aghbal
Rapport détaillé qui présente d'une part, un descriptif de la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie, et d'autre part les tâches que j'ai effectuées, en tant qu'assistante du chargé de clientèle avec caisse, au sein d'une agence à Meknès au Maroc.
Le risque de liquidité des banques islamiquesAde Med
L'Objectif de la présentation est axé sur l'importance de la gestion de risque de liquidité chez les banques islamique pour atteindre le seuil de rentabilité visé. La présentation est ponctuée par la définition des concepts de risque de de risque de liquidité, ensuite surligner les dispositions de comité de Bâle en faveur de la bonne gestion de liquidé.enfin je vais faire une étude comparative de comportement de trois banques islamiques connues à travers des ratios de liquidité afin d'analyser leurs Feedback après la mise oeuvre de la réglementation Baloise.
[Gestion des risques et conformite] de bale ii à bale iiionepoint x weave
Dans la continuité des normes Bâle II qui visaient à renforcer les exigences de solvabilité des banques, les normes de Bâle III ont été élaborées, en réponse à la crise financière, et pour pallier aux insuffisances des règles en vigueur :
Renforcement des fonds propres, avec une définition harmonisée et plus restrictive des titres admis en représentation
Amélioration de la couverture des risques et notamment du risque de contrepartie
Mise en place d’un ratio d’effet de levier
Instauration de coussins contra cycliques
Prise en compte de la liquidité, avec le calcul des ratios LCR et NSFR
Weave vous accompagne sur l’ensemble des phases de vos projets de mise en conformité et vous aide à préparer la transition vers Bâle III.
Introduction à la gestion des risques en finance : définition du risque, typologie des risques, principales mesures du risque, définition de la couverture et instruments de couverture
INTRODUCTION GENERALE
Au Maroc la décennie 80 a été le théâtre d’un large mouvement de restructuration économique. Au niveau financier, la finalité des réformes est la substitution d’un environnement financier nouveau, à un autre né pour l’essentiel depuis la fin des années 60.
Les réformes du système financier, encore inachevées, visent la généralisation des financements au prix du marché des capitaux par l’amélioration du financement direct, au détriment du financement bancaire traditionnel, ce dernier ,devrait de plus en plus être déterminé par les taux d’intérêt du marché financier . Dans une économie d’endettement tel est le cas pour le Maroc , le marché financier est peu développé , dés lors , une faible part des besoins des entreprises est financée par émission de titres financiers .Les entreprises sont donc fortement endettées auprès des banques qui jouaient un rôle d’intermédiaire entre les particuliers désirant épargner leur argent et les entreprises ayant besoin de ces fonds.
Les banques étant étroitement liées à la banque centrale , celle –ci aura la tentation d’agir sur le niveau d’investissement et donc le niveau d’activité de l’économie .Les taux d’intérêt sur le marché ne reflètent pas l’équilibre de l’offre et de la demande de crédit mais un niveau souhaité pour des raisons d’ordre politiques et économiques par les pouvoirs publics.
La conséquence fondamentale de tout cela pour les entreprises est que les plus grandes d’entre elles ne vont plus emprunter l’argent dont elles ont besoin auprès des banques puisqu’elles pourraient emprunter sur le marché financier .
Le Maroc a commencé depuis début 90 à moderniser son système financier . Il a débuté par la mise en place d’un cadre juridique rénové pour les établissements de crédit à travers la loi bancaire de 93 , puis s’est poursuivie par la refonte de l’organisation du marché boursier selon les normes existantes dans les systèmes financiers développés : ainsi fut opérée la privatisation de la société gestionnaire de la bourse des valeurs de Casablanca , la création de sociétés de bourses, l’institution d’une nouvelle autorité de tutelle , le conseil déontologique des valeurs mobilières ( CDVM) , et enfin par l’introduction d’un nouveau véhicule d’épargne pour les particuliers : les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) . toutes ces démarches ont eu pour conséquence l’élargissement des possibilités de placement pour les investisseurs qui disposent désormais d’une multitude d’instruments de placements.
Les opérations de fusion-acquisition, cession partielle d’actif , Restriction de l’actif et du passif du bilan, Réorganisation d’un groupe, nécessitent une appréciation préalable de l'entreprise. Cette évaluation relève d'un ensemble d'approches et de techniques assez complexes qui, dans une optique d'approximation aussi fine que possible de la valeur de l'entreprise, tentent d'apporter des solution pour viabiliser une entreprise au-delà de ses mutations économiques.
Ce document est un support de cours simplifié renforcé de cas pratiques dans une vision de clarifier les notions et d'appréhender au mieux la matière.
La gestion du portefeuille d'action est une matière qui relève du trading financier qui consiste à analyser les tendance du marché, identifier des opportunités d'investissement, et combiner les actifs pour constituer le portefeuille efficient.
Connaître la réforme de Bâle II - Bâle III dans son ensemble , Maîtriser les différentes approches introduites par la réforme de Bâle II , Savoir appréhender les impacts de la réforme
Bâle III et ses implications
Objectifs et enjeux
Historique des objectifs et de la mise en place de Bâle II
Les raisons de l’évolution Bâle III
3 piliers de Bâle II, vers Bâle III…
Pilier 1 : les exigences de solvabilité et de liquidité face aux risques
Evolution des ratios réglementaires
Zoom sur les différents ratios
Calendrier de mise en place
Pilier 2 : la procédure de surveillance et le contrôle des risques
Exigences et implications pour les banques
Pilier 3 : la discipline de marché et la transparence
Renforcement des Fonds propres
Contrôle des risques (crédit, opérationnels)
Renforcement du reporting réglementaire (SURFI)
Impacts de la réforme
Sur l’organisation interne
Sur les opérations clientèle et les stratégies de la banque
Sur les marchés financiers
Le projet Solvency 2 pour les Compagnies d’Assurance
Après Bâle III, les travaux en cours du Comité de Bâle
Voir notre formation Réforme de Bâle II et ses implications, vers Bale III:
http://formation.actions-finance.com/reforme-de-bale-ii-et-ses-implications-vers-bale-iii/
Plus d'infos sur:
http://www.actions-finance.com/
twitter.com/Actions_finance
Pour tout renseignement, contactez nous au
+ 33 (0)1 47 20 37 30
Rapport de stage à la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie (BMCI)Sabrine Aghbal
Rapport détaillé qui présente d'une part, un descriptif de la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie, et d'autre part les tâches que j'ai effectuées, en tant qu'assistante du chargé de clientèle avec caisse, au sein d'une agence à Meknès au Maroc.
Présentation détaillée de la formation et du cursus pour devenir expert-comptable et commissaire aux comptes : diplômes, débouchés et formations.
L'expertise comptable est une filière d'excellence qui offre de grandes opportunités de carrière et de nombreux débouchés.
L'ENOES, l'Ecole de l'Expertise Comptable et de l'Audit, vous accompagne dans votre préparation à l'ensemble des diplômes et certificats de la profession comptable :
DCG - Diplôme de Comptabilité et de Gestion
DSCG - Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion
DEC - Diplôme d'Expertise Comptable
CAFCAC - Certificat d'Aptitude aux Fonctions de Commissaire aux Comptes
CPFCAC - Certificat Préparatoire aux Fonctions de Commissaire aux Comptes
Située à Paris 8e, l'ENOES vous prépare à ces diplômes d'Etat en formation initiale, en alternance, en formation continue et propose des cours particuliers.
Pour plus d'informations, contactez-nous au 01 45 62 80 59, contact@enoes.com
Comment disposer d’un modèle dynamique de gestion des risques clients ?Pénélope Cardera
Lors de cette web conférence des responsables du credit management, des analystes crédit et des consultants évoquent les outils, indicateurs et processus de gestion des risques clients.
- Comment déployer un scoring sur ses clients ?
- Quels processus pour un recouvrement optimisé ?
- Comment gérer le plus finement possible ses encours clients ?
- Comment dimensionner et organiser ses équipes ? Comment mettre en place une gestion pro-active de ses risques clients?
À travers leurs expériences et des exemples concrets, nos interlocuteurs apportent des réponses précises sur les meilleures pratiques tant en France qu’à l’international.
www.au-group.fr
Conférence Mercredi de la Finance - Nov 2012 mwaresearch
le Cabinet MWA Conseil vous présente la conférence des mercredis de la finance de novembre 2012 "Approche opérationnelle et économique du risque de contrepartie"
Credit management, l'impact des délais de paiement sur le BFRJMichel Erault
Une presentation des différents aspects de la gestion du credit client :
Le recouvrement, la gestion du risque, l'assurance credit, l'affacturage etc...
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3. Aperçu générale
• Plusieurs types de risques peuvent affecter la survie
d’une banque, Parmi ces risques, on
trouve notamment le risque de marché, de change,
le risque opérationnel, Le risque de crédit, appelé
également risque de contrepartie est le risque le plus
répandu.
• il existe plusieurs types de risques de crédit, celui de
non remboursement est un risque majeur.
4. Définition du risque de crédit
• Le risque de crédit est le risque de défaut
• C’est le risque d’une perte due à l’éventualité
d’une défaillance de l’emprunteur lors d’une
échéance d’intérêts ou de capital.
• Il se manifeste par la constatation d’impayés
5. PRÉSENTATION DE LA PROBLÉMATIQUE
• La distribution de crédits est le générateur essentiel de bénéfices pour
les établissements bancaires. En général plus le volume de crédits
offert aux clients, entreprises et particuliers , est élevé meilleure est la
rentabilité ,Toutefois la distribution de crédits ne se fait pas sans mal.
En effet, le risque de perte totale et partielle des créances est d’autant
plus accru que le volume de crédits distribués est élevé ce qui influe
négativement sur la rentabilité des banques. Comment gérer ce dilemme?
• Tous les Établissements de crédit essaient de cerner ou plutôt
d’encadrer le risque de crédit dès l’entrée en relation avec leur clientèle
et que chaque banque essaie de se prémunir au mieux à l’aide d’outils
tel de mécanismes divers.
6. Les composantes du risque de crédit
Le risque inhérent à la qualité du débiteur :
Il s’agit d’un risque majeur et ses effets s’accroissent considérablement pour
deux raisons principales :
- la montée générale des risques individuels liée à des mutations économiques
et à des modifications du comportement.
- la concurrence qui oblige les prêteurs à modifier leurs approches
Le risque inhérent au manque de suivi :
Une action efficace pour une bonne appréciation des risques signifie, d’une
part, une bonne connaissance des clients à titre individuel et d’autre part, un
suivi régulier par marchés, par régions…
Cette démarche doit globalement satisfaire aux préoccupations suivantes :
- Identification précoce des situations du risque
- Gestion anticipée de l’impayé.
- Appréciation globale de la situation de l’emprunteur
7. Conséquence du risque crédit
En effet, la distribution du crédit implique une prise de risque,
principalement risque de défaillance de l’emprunteur. Sa
gestion nécessite une prise suffisante de garanties, avant
qu’elle se matérialise par des impayés pour le provisionner. Par
ailleurs on ne cessera de remettre en relief l’importance du
suivi des créances.
L’exposition au risque de crédit est mesurée par les montants
susceptibles d’etre perdus en cas de défaut .
8. Synthèse
• En réalité, le suivi et la gestion du risque de crédit se prévaut
comme étant un impératif trivial, assurant la survie de tout
établissement de crédit.
• Cette nécessité est l’essence même du présent projet,
L’opacité et le non disponibilité de l’information,
toute l’information utile et surtout en temps opportun
pourraient faire chavirer le navire où même le faire couler.
9. Comment font les banques pour gérer ce risque?
• le risque est pratiquement inséparable du crédit.
• Il n’est donc pas question dans l’absolu d’éliminer le risque mais de tenter
de le réduire.
• le processus de gestion du risque crédit est décliné selon deux volets qui
reflètent la réalité du métier de crédit et le déroulement d’une opération
de crédit, a savoir :
Le volet commercial
Le volet gestion de risque
10. Le volet commercial
• C’est le commercial (chargé de clientèle) qui
initie l’affaire et effectue une analyse
préliminaire du risque sur la base de laquelle il
peut donner au client, selon les compétences
dont il jouit, un accord de principe pour le
financement désiré.
11. Le volet gestion de risque
a. Les analyste du risque crédit:
• Il s sont séparés du département commercial , en vue de
leur permettre de fonctionner selon les principes de bonne
gouvernance , et de leur permettre de traiter les demandes
de financements on toute objectivité
• avant d’accorder un crédit il faut procéder a une analyse
financière , faire un diagnostic financier sur la santé actuelle
de l’entreprise, s’agissant de la banque ce qui l’intéresse
c’est la capacité de l’entreprise à remboursé les dettes à
l’échéances prévue dans le contrat de prêt .
• Les garanties doivent également être évaluées.
12. b) Le comité de crédit:
• Le comité de crédit est la seule instance habilitée à se
prononcer sur la suite à donner à une demande de
financement.
• Il se base, pour ce faire, sur l’avis rendu par le commercial et
par le comité d’analyse du risque et sa décision est collégiale
• Il procède à sa propre lecture et évaluation de l'affaire et rend
sa décision qui est aussitôt communiquée au client :
- acceptation du financement,
- refus de la demande,
- ajournement de la décision pour complément d’information
13. Synthèse
• La gestion du risque de crédit se limite à la méthode de l’analyse
financière.
• Il s’agit d’une gestion en amont, qui se borne à une sélection
lors de l’entrée en relation avec les demandeurs de crédits.
• Il n’existe pas un système de notation, fiable. Le seul système
de scoring est basé sur les indicateurs financiers, ce qui ne permet
point d’apprécier l’organisation de l’entreprise ni les compétences
qui y sont mises en œuvres, et de ce fait le système d’information
devient incomplet si l’on y rajoute le fait que les états de synthèse
remis par les entreprises ne sont pas fiables.
14. Recommandations pour l’amélioration de la gestion
du risque crédit.
• Etant entendu qu’il
n’existe point de risque
zéro, on se doit de se
préparer aux
éventuelles casses. Dans
cette partie on traitera
successivement des
procédures et de la mise
en place d’outils relatifs
au suivi du risque de
crédit.
15. Concrètement ce qui peut être réalisé
afin de suivre les débiteurs :
Suivre le secteur d’activité des entreprises clientes et leur
Positionnement dans leurs secteurs d’activités respectifs.
Organiser des visites périodiques afin de constater sur le terrain
l’évolution des affaires financées et être à leur écoute.
Proposition d’outils et de produits nécessaires à l’accomplissement
de l’objet social des entreprises clientes et par voie de conséquence
au recouvrement des créances de la banque.