Rapport de stage à la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie (BMCI)Sabrine Aghbal
Rapport détaillé qui présente d'une part, un descriptif de la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie, et d'autre part les tâches que j'ai effectuées, en tant qu'assistante du chargé de clientèle avec caisse, au sein d'une agence à Meknès au Maroc.
Rapport de stage à la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie (BMCI)Sabrine Aghbal
Rapport détaillé qui présente d'une part, un descriptif de la Banque Marocaine pour le Commerce et l'Industrie, et d'autre part les tâches que j'ai effectuées, en tant qu'assistante du chargé de clientèle avec caisse, au sein d'une agence à Meknès au Maroc.
Connaître la réforme de Bâle II - Bâle III dans son ensemble , Maîtriser les différentes approches introduites par la réforme de Bâle II , Savoir appréhender les impacts de la réforme
Bâle III et ses implications
Objectifs et enjeux
Historique des objectifs et de la mise en place de Bâle II
Les raisons de l’évolution Bâle III
3 piliers de Bâle II, vers Bâle III…
Pilier 1 : les exigences de solvabilité et de liquidité face aux risques
Evolution des ratios réglementaires
Zoom sur les différents ratios
Calendrier de mise en place
Pilier 2 : la procédure de surveillance et le contrôle des risques
Exigences et implications pour les banques
Pilier 3 : la discipline de marché et la transparence
Renforcement des Fonds propres
Contrôle des risques (crédit, opérationnels)
Renforcement du reporting réglementaire (SURFI)
Impacts de la réforme
Sur l’organisation interne
Sur les opérations clientèle et les stratégies de la banque
Sur les marchés financiers
Le projet Solvency 2 pour les Compagnies d’Assurance
Après Bâle III, les travaux en cours du Comité de Bâle
Voir notre formation Réforme de Bâle II et ses implications, vers Bale III:
http://formation.actions-finance.com/reforme-de-bale-ii-et-ses-implications-vers-bale-iii/
Plus d'infos sur:
http://www.actions-finance.com/
twitter.com/Actions_finance
Pour tout renseignement, contactez nous au
+ 33 (0)1 47 20 37 30
[Gestion des risques et conformite] de bale ii à bale iiionepoint x weave
Dans la continuité des normes Bâle II qui visaient à renforcer les exigences de solvabilité des banques, les normes de Bâle III ont été élaborées, en réponse à la crise financière, et pour pallier aux insuffisances des règles en vigueur :
Renforcement des fonds propres, avec une définition harmonisée et plus restrictive des titres admis en représentation
Amélioration de la couverture des risques et notamment du risque de contrepartie
Mise en place d’un ratio d’effet de levier
Instauration de coussins contra cycliques
Prise en compte de la liquidité, avec le calcul des ratios LCR et NSFR
Weave vous accompagne sur l’ensemble des phases de vos projets de mise en conformité et vous aide à préparer la transition vers Bâle III.
L'étude des étudiants du MBADMB: la transformation digitale de la banque en France.
La chaîne de valeur du secteur bancaire, l'impact des nouvelles technologies et sa transformation numérique.
Les banques islamiques sont souvent considérées comme des banques refusant la pratique de l'intérêt. Il s'agit assurément de l'une de leurs caractéristiques principales, ayant donné lieu aux réflexions et aux recherches les plis approfondies quant aux modalités pratiques de respect de cet interdit, dans un monde moderne soucieux d'efficacité, où se désintègrent progressivement les valeurs religieuses; éthiques et sociales et dans lequel une place importante est occupée par l'argent et donc par le système bancaire classique dont l'intérêt est l'un des piliers.
Master Spécialisé, management comptable et financier des organisations
Ecole nationale de commerce et de gestion de Fés.
Matière: Ingénierie financière
Semestre 9.
Cas d'un montage financier élaboré par les étudiants du master.
ce cas porte sur la titrisation, présentant le cas de AttijariWafa Bank.
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
La gestion du risque cas des dérivés de creditNoamRevah
La gestion du risque - Cas des dérivés de crédit
La récente crise mondiale nous a permis de découvrir un phénomène de délocalisation sectorielle et géographique du risque de crédit.
Il se manifeste par l'utilisation des dérivés de crédit auprès des banques ainsi que des compagnies d'assurances mondiales (occidentales en particulier).
L'objectif de cette note est de présenter de façon sommaire les généralités sur les dérivés de crédit, leur utilisation ainsi que les méthodes d'évaluation du risque.
Pour conclure, nous nous permettons de présenter la valeur ajoutée que procurera la mise en place de tels produits sur le marché marocain.
Connaître la réforme de Bâle II - Bâle III dans son ensemble , Maîtriser les différentes approches introduites par la réforme de Bâle II , Savoir appréhender les impacts de la réforme
Bâle III et ses implications
Objectifs et enjeux
Historique des objectifs et de la mise en place de Bâle II
Les raisons de l’évolution Bâle III
3 piliers de Bâle II, vers Bâle III…
Pilier 1 : les exigences de solvabilité et de liquidité face aux risques
Evolution des ratios réglementaires
Zoom sur les différents ratios
Calendrier de mise en place
Pilier 2 : la procédure de surveillance et le contrôle des risques
Exigences et implications pour les banques
Pilier 3 : la discipline de marché et la transparence
Renforcement des Fonds propres
Contrôle des risques (crédit, opérationnels)
Renforcement du reporting réglementaire (SURFI)
Impacts de la réforme
Sur l’organisation interne
Sur les opérations clientèle et les stratégies de la banque
Sur les marchés financiers
Le projet Solvency 2 pour les Compagnies d’Assurance
Après Bâle III, les travaux en cours du Comité de Bâle
Voir notre formation Réforme de Bâle II et ses implications, vers Bale III:
http://formation.actions-finance.com/reforme-de-bale-ii-et-ses-implications-vers-bale-iii/
Plus d'infos sur:
http://www.actions-finance.com/
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Pour tout renseignement, contactez nous au
+ 33 (0)1 47 20 37 30
[Gestion des risques et conformite] de bale ii à bale iiionepoint x weave
Dans la continuité des normes Bâle II qui visaient à renforcer les exigences de solvabilité des banques, les normes de Bâle III ont été élaborées, en réponse à la crise financière, et pour pallier aux insuffisances des règles en vigueur :
Renforcement des fonds propres, avec une définition harmonisée et plus restrictive des titres admis en représentation
Amélioration de la couverture des risques et notamment du risque de contrepartie
Mise en place d’un ratio d’effet de levier
Instauration de coussins contra cycliques
Prise en compte de la liquidité, avec le calcul des ratios LCR et NSFR
Weave vous accompagne sur l’ensemble des phases de vos projets de mise en conformité et vous aide à préparer la transition vers Bâle III.
L'étude des étudiants du MBADMB: la transformation digitale de la banque en France.
La chaîne de valeur du secteur bancaire, l'impact des nouvelles technologies et sa transformation numérique.
Les banques islamiques sont souvent considérées comme des banques refusant la pratique de l'intérêt. Il s'agit assurément de l'une de leurs caractéristiques principales, ayant donné lieu aux réflexions et aux recherches les plis approfondies quant aux modalités pratiques de respect de cet interdit, dans un monde moderne soucieux d'efficacité, où se désintègrent progressivement les valeurs religieuses; éthiques et sociales et dans lequel une place importante est occupée par l'argent et donc par le système bancaire classique dont l'intérêt est l'un des piliers.
Master Spécialisé, management comptable et financier des organisations
Ecole nationale de commerce et de gestion de Fés.
Matière: Ingénierie financière
Semestre 9.
Cas d'un montage financier élaboré par les étudiants du master.
ce cas porte sur la titrisation, présentant le cas de AttijariWafa Bank.
L'impact de la digitalisation sur les pratiques du contrôle interne dans le s...OmarMOUMINI
La banque a toujours été vu comme un employeur sur et fort, symbole de stabilité, de sécurité de l’emploi et de situation confortable.
La profession était souvent vu comme une profession d’expert dont les conseils avisés étaient indiscutables et fiables (au même titre qu’un expert comptable, un notaire..)
Cependant, depuis une vingtaine d'années de nombreux changements bousculent la situation hégémonique de la banque et du conseil bancaire ainsi que les habitudes et certitudes de ses employés.
La diffusion de l’information via internet (comparatif des taux, des couts, des produits), la démocratisation du rôle du courtier, la concurrence des banques en ligne et des pures players, le développement de la banque à distance, la baisse des taux, les contraintes reglementaire.
Autant de choses ayant ébranlé les certitudes des acteurs du secteur bancaire, de l’employé au dirigeant et qui aujourd’hui remet en cause tout le business model.
On avait avant, un business model dupliqué à tous les acteurs permettant de satisfaire aux exigences réglementaires (identification du bénéficiaire effectif, KYC, identification visuelle du client demandant une opération) et reduisait le risque de fraudes et de non-conformité.
J’ai donc décidé d’aborder ce sujet par l’angle de la digitalisation et son impact sur les process des banques et donc son organisation. Car la banque mène actuellement un vrai travail d'équilibriste.
S’adapter à un monde qui change, aux attentes des clients qui évolue tout en respectant une réglementation de plus en plus restrictive dans un monde de plus en plus transparent.
Dans ce contexte de digitalisation croissante, comment adapter les pratiques du contrôle interne tout en respectant les contraintes réglementaires?
La gestion du risque cas des dérivés de creditNoamRevah
La gestion du risque - Cas des dérivés de crédit
La récente crise mondiale nous a permis de découvrir un phénomène de délocalisation sectorielle et géographique du risque de crédit.
Il se manifeste par l'utilisation des dérivés de crédit auprès des banques ainsi que des compagnies d'assurances mondiales (occidentales en particulier).
L'objectif de cette note est de présenter de façon sommaire les généralités sur les dérivés de crédit, leur utilisation ainsi que les méthodes d'évaluation du risque.
Pour conclure, nous nous permettons de présenter la valeur ajoutée que procurera la mise en place de tels produits sur le marché marocain.
Le risque de liquidité des banques islamiquesAde Med
L'Objectif de la présentation est axé sur l'importance de la gestion de risque de liquidité chez les banques islamique pour atteindre le seuil de rentabilité visé. La présentation est ponctuée par la définition des concepts de risque de de risque de liquidité, ensuite surligner les dispositions de comité de Bâle en faveur de la bonne gestion de liquidé.enfin je vais faire une étude comparative de comportement de trois banques islamiques connues à travers des ratios de liquidité afin d'analyser leurs Feedback après la mise oeuvre de la réglementation Baloise.
Problématique : Face à la conjoncture économique actuelle, les produits structurés sont-ils une alternative à la pérennité du patrimoine de l'investisseur ?
Constituant une part essentielle du fond de commerce des banques, et n’ayant pas accès facile à d’autres sources de financement (le marché boursier, le marché de capital risque), les Petites et Moyennes Entreprises (PME) se trouvent en face de la banque en tant que seule source de financement de leurs projets. Pourtant l’accès au crédit semble difficile pour celles ci.
Formation Fondamentaux sur le crédit aux particuliersActions-Finance
Actions-Finance propose la formation Fondamentaux sur le crédit aux particuliers
Cette formation en finance permet notamment de:
•Apprendre à connaître les caractéristiques des prêts et les différents types de prêts aux particuliers.
•Comprendre la classification des clients et leur solvabilité ainsi que les modalités de décision d’attribution des prêts.
•Connaître les modalités de lutte contre le blanchiment.
Pour plus de renseignements sur la formation Fondamentaux sur le crédit aux particuliers, N’hésitez pas à nous contacter par téléphone au + 33 (0)1 47 20 37 30, ou par email sur contact@actions-finance.com
1. L'audit du risque de crédit bancaire
Résumé
Toute activité économique, qu’elle soit commerciale ou industrielle, présente un risque qui
peut être actuel ou potentiel. Celui-ci peut caractériser tous genres d’entreprises : nouvelles,
anciennes, travaillant dans les secteurs de pointe, solidement implantées…Pour le secteur
bancaire, le risque est inhérent aux opérations de crédit. La complexité de la gestion
moderne, les exigences requises pour le maintien d’une bonne organisation et le désir des
dirigeants de s’assurer les vertus des systèmes de contrôle interne ont favorisé
l’épanouissement des activités de l’audit.
Introduction
Première partie: «Le concept d'audit risque »
Chapitre I: L'audit et le risque bancaire
1)- L'audit
1.1 Évolution historique de l'audit
1.2 Définition de l'audit
2)- Le risque bancaire
Chapitre II: L'audit risque bancaire
1)- Les tâches de l'audit risque
2)- Le contenu de la fonction
1. L'investigation
2. L'analyse
3. L'évaluation
4. Conclusion
3)- Définition du concept d'audit risque
Chapitre III: Les objectifs de l'audit risque
Section 1: La protection du patrimoine de la banque
Section 2: Le contrôle et l'amélioration de la gestion des risques
Deuxième partie : L’audit du risque de crédit
Chapitre I: Analyse préalable à L’audit du risque de crédit
1)-Le dossier de crédit
2. 1.1 La documentation financière
1.2 La personnalité de l’emprunteur
1.3 L’appréhension de l’environnement
2)-La capacité du client
2.1 La personne physique
2.2 La personne morale
3)-Les sûretés : (garanties)
Chapitre II : L’audit des utilisations de crédit
1)- L’audit des différentes modalités de crédit
1.1 L’escompte
1.2 Les crédits de trésorerie
1.3 Les crédits à moyen et long terme
1.4 Les crédits à la consommation
1.5 Le crédit par signature
Section 1 : Risque de crédit
1. Définition
Le risque de crédit est défini comme étant le risque de perte auquel la banque est exposée en cas de
détérioration ou de défaillance de la contrepartie. Il résulte de la combinaison de 3 facteurs : le
risque de contrepartie, le risque d'exposition et le risque de récupération (modèle dit CER).
1.1. Risque de contrepartie
Le risque de contrepartie est caractérisé par la probabilité de défaillance du client relative à,
principalement, 2 facteurs qui sont la qualité du débiteur (classe de risque ou notation) et la maturité
du crédit.
1.2. Risque d'exposition
Le risque d'exposition est l'évaluation du montant des engagements au jour de la défaillance. Ce
montant dépend du type d'engagement accordé (facilité de caisse, prêt moyen à terme, caution,
opérations de marché, ...), du niveau confirmé ou non, de la durée de l'engagement et de sa forme
d'amortissement (linéaire, dégressif,...).
1.3. Risque de récupération
Le risque de récupération est, après coût de récupération et de partage, la valeur attendue de la
réalisation des garanties (sûretés réelles et personnelles) et de la liquidation des actifs non gagée de
la contrepartie.
La valorisation des garanties détenues vient en déduction de l'exposition. Elle est fonction de la
3. valeur initiale du bien, du caractère nécessaire ou non pour la poursuite de l'activité, de sa durée de
vie, du marché d'occasion et de la décote en cas de vente forcée.
2. Méthodes de mesures
Dans le nouvel accord Bâle II, chaque établissement aura le choix entre trois méthodes :
Ø La méthode Standard (notation externe) ;
Ø La méthode IRB Fondation (notation interne simple) ;
Ø La méthode IRB Avancée (notation interne complexe).
L'idée sous jacente à la multiplicité des modèles d'évaluation du risque de crédit est d'inciter
davantage les meilleures pratiques en matière de mesure et de contrôle de risque de crédit pour
calculer au mieux les charges en fonds propres.