Que mangeaient les « premiers hommes » il y a deux millions d'années ?
Comment son régime alimentaire s'est-il diversifié ? De quoi est-il composé
aujourd'hui ? Qu'attendre demain ?
Un nouvel objet vient enrichir le champ d’investigation des sciences humaines : le « fait alimentaire ». Ce dictionnaire est le premier à exposer la diversité et la richesse des sens que cette expression recèle.
Penser l’alimentation c’est l’inscrire naturellement au cœur de dialectiques culturelles et sociales : celles du terroir et de la mondialisation, de l’authentique et de la standardisation des denrées, du symbolique et du réel, de l’animalité et de l’humanité.
Mais c’est encore placer le « fait alimentaire », voire le déplacer en « fait nutritionnel », au point d’oscillation balançant du don à la privation, de l’aide à l’arme alimentaire, de la malnutrition à l’engraissement, de la pensée sauvage à la rationalité industrielle, de la nutri-génétique à la nutri-génomique, de l’herbivore à la vache folle, de la gastronomie au fast-food, de l’élémentaire besoin au rituel religieux sophistiqué… bref, de l’incorporation à l’identité et donc de l’Autre au Même : manger, c’est dépendre d’une culture.
Plus de 230 études, rédigées par 162 spécialistes d’horizons linguistiques extrêmement divers et de compétences scientifiques complémentaires (anthropologie, sociologie, médecine, histoire des religions, psychologie, droit, économie, histoire, géographie, agronomie, politique internationale de santé…) composent le menu du Dictionnaire des cultures alimentaires.
Conférence prononcée par Jean Pierre Poulain,
"Les modèles alimentaires. Ressource centrale de l’ethno-diversité" dans le cadre de
Slow Food Conference
"Ensuring food diversity and safety in Europe"
22 October 2010, Torino, Italia
Comprendre l’évolution de nos comportements alimentaires pour améliorer ceux ...Fondation Louis Bonduelle
En deux générations, nos sociétés ont balayé des millénaires d’évolutions culturelles en relation avec les connaissances des ressources végétales et animales de notre alimentation.
Plus de dossiers scientifiques sur :
http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/professionnels-de-sante/monographies.html
Manger est le premier plaisir que découvre le nouveau-né. Cet acte peut rester un plaisir jusqu’à la fin de la vie, à condition de continuer à accorder une attention particulière à la qualité du repas et à l’ambiance dans laquelle il est consommé.
Plus de dossiers scientifiques sur :
http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/professionnels-de-sante/monographies.html
Un nouvel objet vient enrichir le champ d’investigation des sciences humaines : le « fait alimentaire ». Ce dictionnaire est le premier à exposer la diversité et la richesse des sens que cette expression recèle.
Penser l’alimentation c’est l’inscrire naturellement au cœur de dialectiques culturelles et sociales : celles du terroir et de la mondialisation, de l’authentique et de la standardisation des denrées, du symbolique et du réel, de l’animalité et de l’humanité.
Mais c’est encore placer le « fait alimentaire », voire le déplacer en « fait nutritionnel », au point d’oscillation balançant du don à la privation, de l’aide à l’arme alimentaire, de la malnutrition à l’engraissement, de la pensée sauvage à la rationalité industrielle, de la nutri-génétique à la nutri-génomique, de l’herbivore à la vache folle, de la gastronomie au fast-food, de l’élémentaire besoin au rituel religieux sophistiqué… bref, de l’incorporation à l’identité et donc de l’Autre au Même : manger, c’est dépendre d’une culture.
Plus de 230 études, rédigées par 162 spécialistes d’horizons linguistiques extrêmement divers et de compétences scientifiques complémentaires (anthropologie, sociologie, médecine, histoire des religions, psychologie, droit, économie, histoire, géographie, agronomie, politique internationale de santé…) composent le menu du Dictionnaire des cultures alimentaires.
Conférence prononcée par Jean Pierre Poulain,
"Les modèles alimentaires. Ressource centrale de l’ethno-diversité" dans le cadre de
Slow Food Conference
"Ensuring food diversity and safety in Europe"
22 October 2010, Torino, Italia
Comprendre l’évolution de nos comportements alimentaires pour améliorer ceux ...Fondation Louis Bonduelle
En deux générations, nos sociétés ont balayé des millénaires d’évolutions culturelles en relation avec les connaissances des ressources végétales et animales de notre alimentation.
Plus de dossiers scientifiques sur :
http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/professionnels-de-sante/monographies.html
Manger est le premier plaisir que découvre le nouveau-né. Cet acte peut rester un plaisir jusqu’à la fin de la vie, à condition de continuer à accorder une attention particulière à la qualité du repas et à l’ambiance dans laquelle il est consommé.
Plus de dossiers scientifiques sur :
http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/professionnels-de-sante/monographies.html
Une vague d’activisme et de projets novateurs axés sur les biens communs gagne du terrain dans le monde. Pour une démocratie alimentaire, la nourriture doit faire partie des biens communs. Cet présentation propose quinze mesures politiques, juridiques et financières pour valoriser et gérer l’alimentation comme un bien commun en Europe.
Notre corps nécessite de la nourriture, de l'eau et de l'air pour maintenir ses fonctions vitales. La nature économique de ces ressources est plutôt variée, la nourriture étant considérée comme un bien privé, l'eau étant soumise un processus de privatisation accélérée, et l'air étant (jusqu'à présent) considéré comme un bien commun mondial. La nature économique de la nourriture a évolué du statut d’une ressource commune et locale à un actif national et ensuite à une « commodity » transnational. Le processus de marchandisation est quasiment achevé aujourd'hui. La nourriture cultivée est entièrement privatisée et cette considération signifie que les êtres humains ne peuvent manger de la nourriture que tant qu'ils disposent de moyens pour l’acheter ou la produire. Certains de ces moyens sont également considérés comme des biens privés (terre, de produits agrochimiques), mais pas tous (semences, la pluie, les connaissances agricoles). En vertu du raisonnement dominant « pas d'argent - pas de nourriture », la faim prévaut encore dans un monde d'abondance. Afin de fournir une base solide pour la transition vers des systèmes alimentaires durables, cette présentation se propose de contester et de réviser la nature même de la nourriture comme un bien purement privé, en proposant une re-conceptualisation de la nourriture comme un bien commun. Cette re-conceptualisation semble nécessaire pour permettre la refonte du système alimentaire agro-industriel dominant qui voit la nourriture seulement comme une marchandise. Cette transition ambitieuse doit nous conduire à un système alimentaire plus durable, plus juste et axés sur les agriculteurs. La notion de bien commun est appliquée à l'alimentation pour déconstruire la conception de la nourriture comme un bien privé pur et la reconstruire à partir de la notion de bien commun impur. Muni d’une telle re-conceptualisation de la nourriture, il devient possible de défendre l’idée que sa production et sa distribution soit assurée de façon plus efficace par un système de gouvernance tri-centrique intégrant non seulement les règles du marché, mais aussi les réglementations publiques d’un état-partenaire et les actions collectives des citoyens (producteurs et consommateurs). Plusieurs éléments liés à l'alimentation sont déjà considérés comme des biens communs : les stocks de poissons, les fruits sauvages, les recettes de cuisine, certaines connaissances agricoles, les règles de sécurité alimentaire et les ressources génétiques non brevetées, ainsi que les implications de la nourriture (l'éradication de la faim, la santé publique et une bonne nutrition). Si la nourriture était considéré comme un bien commun, les implications pour la gouvernance du système alimentaire mondial seraient considérables, avec des exemples allant de placer les aliments en dehors des accords-cadres concernant les biens privés purs (comme l‘OMC), l'i
Christophe Château, Administrateur de la Fondation Louis Bonduelle et Directeur Communication et Marketing Corporate Bonduelle, vous présente la Fondation et ses Actions.
Voici le point complet réalisé lors des Rencontres 2008.
Retrouvez l'actualité des Rencontres sur : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1rotD8g2U
Béatrice de Reynal, nutritionniste et administraeur de la Fondation Louis Bonduelle fait le point sur les ventes croissantes d'écrans électroniques en tout genre et leurs impact sur le poids corporel des enfants.
Cette revue scientifique a été présentée lors des rencontres de la Fondation Louis Bonduelle 2009.
Retrouver toutes les informations et l'actualité des rencontres : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
Une vague d’activisme et de projets novateurs axés sur les biens communs gagne du terrain dans le monde. Pour une démocratie alimentaire, la nourriture doit faire partie des biens communs. Cet présentation propose quinze mesures politiques, juridiques et financières pour valoriser et gérer l’alimentation comme un bien commun en Europe.
Notre corps nécessite de la nourriture, de l'eau et de l'air pour maintenir ses fonctions vitales. La nature économique de ces ressources est plutôt variée, la nourriture étant considérée comme un bien privé, l'eau étant soumise un processus de privatisation accélérée, et l'air étant (jusqu'à présent) considéré comme un bien commun mondial. La nature économique de la nourriture a évolué du statut d’une ressource commune et locale à un actif national et ensuite à une « commodity » transnational. Le processus de marchandisation est quasiment achevé aujourd'hui. La nourriture cultivée est entièrement privatisée et cette considération signifie que les êtres humains ne peuvent manger de la nourriture que tant qu'ils disposent de moyens pour l’acheter ou la produire. Certains de ces moyens sont également considérés comme des biens privés (terre, de produits agrochimiques), mais pas tous (semences, la pluie, les connaissances agricoles). En vertu du raisonnement dominant « pas d'argent - pas de nourriture », la faim prévaut encore dans un monde d'abondance. Afin de fournir une base solide pour la transition vers des systèmes alimentaires durables, cette présentation se propose de contester et de réviser la nature même de la nourriture comme un bien purement privé, en proposant une re-conceptualisation de la nourriture comme un bien commun. Cette re-conceptualisation semble nécessaire pour permettre la refonte du système alimentaire agro-industriel dominant qui voit la nourriture seulement comme une marchandise. Cette transition ambitieuse doit nous conduire à un système alimentaire plus durable, plus juste et axés sur les agriculteurs. La notion de bien commun est appliquée à l'alimentation pour déconstruire la conception de la nourriture comme un bien privé pur et la reconstruire à partir de la notion de bien commun impur. Muni d’une telle re-conceptualisation de la nourriture, il devient possible de défendre l’idée que sa production et sa distribution soit assurée de façon plus efficace par un système de gouvernance tri-centrique intégrant non seulement les règles du marché, mais aussi les réglementations publiques d’un état-partenaire et les actions collectives des citoyens (producteurs et consommateurs). Plusieurs éléments liés à l'alimentation sont déjà considérés comme des biens communs : les stocks de poissons, les fruits sauvages, les recettes de cuisine, certaines connaissances agricoles, les règles de sécurité alimentaire et les ressources génétiques non brevetées, ainsi que les implications de la nourriture (l'éradication de la faim, la santé publique et une bonne nutrition). Si la nourriture était considéré comme un bien commun, les implications pour la gouvernance du système alimentaire mondial seraient considérables, avec des exemples allant de placer les aliments en dehors des accords-cadres concernant les biens privés purs (comme l‘OMC), l'i
Christophe Château, Administrateur de la Fondation Louis Bonduelle et Directeur Communication et Marketing Corporate Bonduelle, vous présente la Fondation et ses Actions.
Voici le point complet réalisé lors des Rencontres 2008.
Retrouvez l'actualité des Rencontres sur : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1rotD8g2U
Béatrice de Reynal, nutritionniste et administraeur de la Fondation Louis Bonduelle fait le point sur les ventes croissantes d'écrans électroniques en tout genre et leurs impact sur le poids corporel des enfants.
Cette revue scientifique a été présentée lors des rencontres de la Fondation Louis Bonduelle 2009.
Retrouver toutes les informations et l'actualité des rencontres : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
Plus personne n'ignore aujourd'hui qu'il est souhaitable de
consommer «au moins 5 fruits et légumes par jour». 'information
des consommateurs n'est donc pas en cause : il faut s'interroger sur
les autres facteurs qui limitent leur consommation.
Plus de dossiers scientifiques sur :
http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/professionnels-de-sante/monographies.html
Le Jardin Potager du College Alain Savary à Istres - Soutien local de la FLBFondation Louis Bonduelle
Soutien de la Fondation à une initiative locale : le collège Alain Savary d'Istres (13).
Le collège a créé un potager qui permet aujourd'hui d'allier théorie et pratique.
Cette action a été présentée lors de l'évènement : "Les rencontres 2009".
Pour tout savoir sur les Rencontres de la Fondation Louis Bonduelle : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
Laura Bettazzoli, a présenté la Fondazione
L. Bonduelle en Italie, ses actions et ses projets, lors des Rencontres 2008.
Retrouvez le détail et l'actualité des Rencontres sur : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1rotD8g2U
Carla Estaquio, lauréate du Prix de Recherche Louis Bonduelle 2006, propose la construction d'un score de consommation alimentaire selon les objectifs nutritionnels prioritaires du PNNS, et de le mettre en relation avec le statut nutritionnel des maladies chroniques.
Carla Estaquio a participé aux Rencontres de la Fondation Louis Bonduelle 2008.
Retrouvez toutes les Rencontres sur : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1rotD8g2U
Il s'agit d'un projet destiné aux enfants, dont le but est d’apprendre aux enfants, davantage sur les légumes et les fruits en vue de les encourager à en consommer davantage.
Ce projet a été présentée lors de l'évènement de la Fondation Louis Bonduelle : Les Rencontres 2009.
Retrouvez toutes les informations et l'actualité de cet évènement : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
L'éducation sensorielle, pourquoi, comment ? Bonne alimentation et sens du goût sont étroitement liés, il est important de les prendre en considération ensemble.
Ce thème a été présentée lors des Rencontres 2010, de la Fondation Louis Bonduelle.
Retrouvez toutes les informations et l'actualité des Rencontres : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1th9ZaDb6
La Consommation de fruits et légumes en Europe - Laura Fernandez, Fondation L...Fondation Louis Bonduelle
La consommation de fruits et de légumes en Europe : Les tendances, les facteurs déterminants et les interventions.
Cette étude a été présentée lors de l'évènement de la Fondation Louis Bonduelle : Les Rencontres 2010.
Retrouvez toutes les informations et l'actualité de cet évènement annuel : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1th9ZaDb6
Voici la présentation sur le thème de "la précarité et l'alimentation", de Monique Romon, Professeur de Nutrition à l'Université de Lille 2, participante de l'évènement de la Fondation Louis Bonduelle "Les Rencontres" en 2008.
Modulation de l'apétit pendant la période perinatale - Bérengère coupé et Pat...Fondation Louis Bonduelle
L'amélioration des soins et des techniques en néonatologie a considérablement réduit la mortalité des nouveau-nés prématurés. Ces progrés ont essentiellement porté sur la prise en charge respiratoire, neurologique mais également nutritionnelle.
Il peut sembler surprenant de rapprocher « le goût pour les légumes » et « les enfants », puisque l’expérience quotidienne de bien des parents révèle souvent le peu d’attrait des enfants pour les légumes. On peut proposer plusieurs interprétations à cette observation, qui seront discutées en préambule. Néanmoins, le rejet des légumes par les enfants n’est pas une fatalité et nous nous attacherons à décrire comment le goût pour les légumes se forme dans l’enfance, et les facteurs susceptibles de le moduler.
Cette présentation a été réalisée dans le cadre des Rencontres de la Fondation Louis bonduelle 2009.
Pour connaître toutes les informations et l'actualité de cet évènement : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
La place de la santé dans le processus de décision alimentaire - Tristan Four...Fondation Louis Bonduelle
Nous assistons aujourd’hui en France à une édicalisation de la société, ce qui se traduit par l’important transferts de légitimité vers le médical. La santé apparaît ainsi comme une nouvelle valeur contemporaine. Afin de prendre la mesure de cette évolution sociétale, nous avons choisi d’analyser la place accordée à la santé dans la construction des décisions alimentaires de mangeurs français.
En effet, dans un pays où convivialité et plaisir demeurent structurants de notre rapport à l’alimentation, il nous a paru intéressant de comprendre dans quelle mesure les dimensions sociales et culturelles de l’alimentation pouvaient
être « grignotées » par ce nouvel horizon de santé.
Tristant Fournier a participé aux Rencontres de la Fondation Louis Bonduelle 2009.
Retrouvez toutes le informations et l'actualité de cet évènement : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
Christophe Bonduelle vous présente la Fondation Louis Bonduelle, ainsi que son évènement "Les Rencontres"
Retrouvez toute l'actualité et le point complet des Rencontres sur : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1rotD8g2U
Du potager à l’assiette : Représentations et consommations des légumes chez les enfants de 8 à 11 ans.
L’objectif de l'étude est d’évaluer les représentations et les usages des légumes chez les enfants de 8 à 11 ans.
155 enfants ont été interrogés au cours d’ateliers, certains vivants en milieu rural d’autres en milieu urbain, tous étant issus de milieux socioéconomiques diversifiés.
Cette étude a été présentée lors des Rencontres 2009, évènement organisé par la fondation Louis Bonduelle.
Pour tout connaître sur l'évènement "Les Rencontres" : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
La consommation de fruits et légumes : déterminants et obstacles - Pierre Com...Fondation Louis Bonduelle
Evolution de la consommation des fruits et légumes en France : déterminants et obstacles.
Cette présentation a été réalisée lors des Rencontres 2010, évènement annuel de la Fondation L. Bonduelle.
Pour connaîtres toute l'actualité des Rencontres : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1th9ZaDb6
Une plus grande consommation de légumes passe par une
recherche de la diversité et de la variété des goûts, d’où l’importance d’encourager cette consommation auprès des enfants qui sont en plein développement de leurs préférences alimentaires.
Plus de dossiers scientifiques sur :
http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/professionnels-de-sante/monographies.html
Les légumes dans l'alimentation de la population française : niveaux de consommation et contributions apports nutritionnels.
Résultats de l'étude de l'étude individuelle nationale de consommation alimentaire 2.
Avenir alimentation-légume-rencontres-fondation-louis-bonduelle-mai-2011-doss...Fondation Louis Bonduelle
Pour mieux comprendre l'évolution de nos consommations alimentaires et les
problématiques qui en résultent, la Fondation Louis-Bonduelle a réuni un panel d’experts
nationaux à l’occasion de ses Rencontres annuelles, qui se sont déroulées le mardi 10 mai
2011, à l’Université Pierre et Marie Curie à Paris.
Qui sont les seniors d'aujourd'hui ? Quel est l'impact de l'alimentation sur leur santé ?
Pourquoi les légumes sont-ils un atout «nutrition» des plus âgés ? Quels sont les freins à
une alimentation équilibrée ?
Influence de l'Alimentation sur la Santé - Santé & Alimentationfondationapril
Fondation April - Santé : Démêler le Vrai du Faux. L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & Alimentation. Les dessous de nos tables pour une alimentation saine et responsable. Une publication de la Fondation April, dans la collection "Santé : démêler le vrai du faux".
L'influence de l'Alimentation sur notre Santé - Fondation Aprilfondation-april
L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & Alimentation. Les dessous de nos tables pour une alimentation saine et responsable. Une publication de la Fondation April, dans la collection "Santé : démêler le vrai du faux".
L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & AlimentationFondation April
Fondation April - Santé : Démêler le Vrai du Faux. L'influence de l'alimentation sur notre santé - Santé & Alimentation. Les dessous de nos tables pour une alimentation saine et responsable. Une publication de la Fondation April, dans la collection "Santé : démêler le vrai du faux".
Coordinateurs scientifiques :Jean-Louis Rastoin, Montpellier SupAgro, Chaire UNESCO “ Alimentations du monde ”
Equipe de coordination Agropolis International : Sylvie Albert & Fabien Boulier
Ce dossier présente 15 unités de recherche et unités mixtes de recherche de la région Languedoc-Roussillon et d’Avignon, regroupant plus de 700 scientifiques et près de 500 doctorants, qui tentent, à travers tout ou partie de leurs activités, de faire face aux grands enjeux actuels de l’alimentation, de la nutrition et de la santé.
Egalement dans ce dossier des présentations : des acteurs de l’innovation en région Languedoc-Roussillon dans le domaine, des plateformes technologiques régionales au service de la recherche, ainsi que des dispositifs de formation supérieure : 42 formations diplômantes et 27 formations courtes non diplômantes.
Food & Digital : point sur les tendances en 2018OP1C
Quelles sont les tendances food qu’on retrouve le plus sur les réseaux ? Quels enjeux pour l’industrie alimentaire en 2018 pour prendre la parole sur les supports digitaux ? Il y a autant d’internautes que de façon de manger. Cette étude est un tour d’horizon des tendances à destination de quiconque souhaite appréhender le secteur.
On prend un café est une agence de communication digitale spécialisée dans le social media content. Nous accompagnons de nombreuses marques, dont des marques dans le secteur de l’alimentation (Lutti, Cemoi, Biscuit Bouvard, flunch, Bonduelle food service, La Mie Caline, ) dans leurs stratégies SoMe.
Alimentation personnes-agees-rencontres-fondation-louis-bonduelle-juin-2012Fondation Louis Bonduelle
Pour la 5e année consécutive, la Fondation Louis-Bonduelle a organisé ses Rencontres à Paris. Cette édition 2012 s’est tenue à la Maison de la RATP, le 5 juin sur le thème "Alimentation et bien vieillir".
Grey Paris, Les paradoxes du nouveau mangeurGrey Paris
État des lieux sur le rapport qu’entretiennent les Français à l'alimentation. L’objectif de ce dossier est de présenter les grands paradoxes qui structurent cette relation et de les illustrer par des exemples d’appropriation par les marques.
Contact :
Grey Paris
92 avenue des Ternes
75 017 Paris
Alban Virey
Responsable du Développement
01 44 09 15 04
alban.virey@grey.fr
Journée Alimentation et Agro-écologie 15/02/2019 - Slide ateliersseverinlavoyer
Reconnecter agriculture et alimentation pour préserver notre santé et notre environnement
Michel DURU (Directeur de Recherche à l’INRA)
Jean-Luc BESSET (Responsable régional Bleu Blanc Coeur)
15 février 2019, Hôtel de Région, Toulouse
Journée organisée par l'Association Française d'Agroforesterie et le mouvement Pour une Agriculture Du Vivant dans le cadre du programme Agr'eau, en partenariat avec la région Occitanie et l'Agence de l'Eau Adour-Garonne.
La veille de né kid du 28.10.2010 : les nouvelles pratiques alimentairesNé Kid
Au sommaire de ce numéro 151 de la veille de Né Kid :
Actus :
• Palmarès employeur 2010
• Paris en ligne
• Les Français et la pub
Point de vue: Les nouvelles pratiques alimentaires
Idées, tendances & innovations :
• Robot publicitaire
• Hôte de marque
• BrandAlley Communauté
Mémoire de traduction professionnelle "Eating Right in America"Nathalie Joffre
Après avoir travaillé pour Kraft/Mondelez, et confronté ma culture française et familiale aux pratiques alimentaires américaines, j'ai souhaité pour mon mémoire de Master 2, traduire un essai sur le modèle alimentaire américain (éléments historiques, politiques, scientifiques et culturels sur la nutrition, l'obésité, la morale...)
Source : voir le site de l'auteur www.charlottebiltekoff.com
Ipsos x Liebig - Fracture NutritionnelleIpsos France
Entre le 20 et le 27 septembre 2021, IPSOS a interrogé 2000 Français de 18 à 75 ans sur leur rapport à l’alimentation. L’objectif était d’obtenir une lecture éclairée de la consommation et de la perception des légumes par les Français, et des freins potentiels à leur consommation.
Les conclusions de cette étude sont parlantes : elles mettent en lumière les réalités d’une fracture alimentaire qui recouvre les fractures sociétales françaises (genre, génération et catégorie sociale). Parmi les points saillants, preuve est chiffrée que les inégalités alimentaires sont conséquentes (tant dans leur réalité que dans la perception des Français), et que les légumes, dont l’importance nutritionnelle n’est plus à démontrer, sont des leviers de cette fracture alimentaire.
Similaire à Lhomme face-a-son-alimentation-communique-presse (20)
Pourquoi les troubles liés à la nutrition sont-ils si fréquents dans la société
occidentale ? Face à une diversité et une abondance d'aliments, il semble que la
régulation naturelle de l'appétit et de la prise alimentaire soit de plus en plus
problématique.
2012 est l'année européenne du vieillissement actif. Les personnes âgées seront dans les prochaines décennies de plus en plus nombreuses et de plus en plus âgées. Vieillir en bonne santé est un défi que notre société doit aujourd'hui relever. Comment ? En maintenant les capacités physiques et cognitives des personnes âgées le plus longtemps possible, notamment grâce à une alimentation adaptée et de qualité. C'est dans ce contexte que la Fondation Louis-Bonduelle développe des actions de terrain auprès de ces publics au travers d'un partenariat avec la Fédération Nationale des Maisons d'Accueil Rurales pour Personnes Agées.
La Fondation Louis-Bonduelle propose sa nouvelle opération de terrain « Art et Saveurs Nature, Des ateliers "Plaisir" pour réveiller l'imaginaire » à destination des personnes âgées en partenariat avec la Fédération Nationale des Maisons d'Accueil Rurales pour Personnes Agées (MARPA). Et ce à travers toute la France ! Aujourd'hui, l'opération « Art et Saveurs Nature » arrive dans votre région. Le temps de deux ateliers originaux autour des légumes et du monde végétal, les résidents de la MARPA de XXXX pourront apprécier une animation en groupe. Un temps ludique pour recréer du lien social mais aussi pour donner libre cours à son imagination.
Prévention de l'obésité chez l'enfant - Dr Judit Répasy, Fondation L. BonduelleFondation Louis Bonduelle
Comment prévenir l'obésité durant l'enfance ? Cette question a été abordée, lors des Rencontres de la Fondation L. Bonduelle 2010, par Judit Répasy qui a présenté le groupe de recherche nutrition de la clinique Pécs, ainsi que ses résultats sur ce sujet.
Pour tout savoir sur les rencontes de la Fondaiton L. Bonduelle : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1th9ZaDb6
European Childhood Obesity Group - MarieLaure Frelut, Prix ECOG et FLB 2009Fondation Louis Bonduelle
Voici le prix ECOG (European Childhood Obesity Group) et Louis Bonduelle, présenté lors des rencontres de la Fondation Louis Bonduelle 2009.
Pour tout savoir sur cet évéènement : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/tout-sur-la-fondation/les-rencontres-de-la-fondation-louis-bonduelle.html#axzz1t9XgOgD6
A partir de photos, retrouvez des noms de légumes à rentrer dans les cases!
Retrouvez d’autres kits pédagogiques sur : http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/fr/connaitre-les-legumes/kits-pedagogiques.html#axzz1sBysjp1S
In this package you can find complete information explaining why vegetables are good for our health.
In what vegetable can a particular nutrient be found? How much do vegetables contribute to meeting our daily nutrient requirements? What role do vitamins, minerals and antioxidants play?
To know more: http://www.fondation-louisbonduelle.org/france/en/know-your-vegetables/educational-kits.html#axzz1sBysjp1S
1. Communiqué de presse
Septembre 2011
L’Homme face à son alimentation :
Hier, aujourd’hui et demain
Que mangeaient les « premiers hommes » il y a deux millions d'années ?
Comment son régime alimentaire s'est-il diversifié ? De quoi est-il composé
aujourd'hui ? Qu'attendre demain ?
Après des monographies sur les enfants et la télévision, sur la tyrannie des régimes
en 2010 et sur la régulation de l'appétit et ses troubles en 2011, la Fondation Louis
Bonduelle poursuit son exploration des comportements alimentaires. Cette
nouvelle monographie, établie à partir des communications de Pascal Picq -
paléoanthropologue au Collège de France, Martine Padilla - directrice de
recherche en économie alimentaire et Serge Hercberg directeur de recherche à
l’Inserm, professeur de nutrition et coordinateur de l’enquête NutriNet Santé
présentées lors des Rencontres de la Fondation Louis Bonduelle en mai dernier, fait
le point sur la manière dont les règles alimentaires se sont élaborées au cours des
siècles.
.
Ceci est un résumé de la monographie : « L'homme face à son alimentation : Hier, aujourd'hui et
demain»
Monographie complète sur demande
Mention obligatoire : Fondation Louis Bonduelle
Contact Presse
Magali Delmas
Vivactis Public Relations - Tél : 01 46 67 63 44 - mail : m.delmas@vivactis-publicrelations.fr
2. Aux origines des régimes alimentaires de l'Homme
Les Hominidés, ancêtres des « premiers Hommes », se nourrissent de fruits, de feuilles,
d'insectes et de viande. Composé de différents types de nourriture, ce régime
fructivore/omnivore, rare chez les mammifères, vient de la grande lignée des singes de
l'Ancien Monde. Mais avoir un régime diversifié n'est pas simple et requiert des capacités
cognitives et des savoirs culturels et techniques. C'est grâce à l'imitation par exemple que les
Hominidés choisissent les bons aliments. Les premiers outils leur permettent d'accéder à de la
nourriture de bonne qualité nutritionnelle comme les noix, les légumineuses à cosse solide, les
parties souterraines des plantes ou encore de la viande qu'ils découpent avec leurs outils
tranchants.
Les premiers hommes du genre Homo, apparus il y a environ deux millions d'années,
conquièrent de nouvelles régions et quittent l'Afrique grâce à... leur régime alimentaire.
Comme ils parviennent à s'approvisionner efficacement en viande, une nourriture disponible
à toute saison à toutes les latitudes, ils ne sont plus obligés de rester dans la zone arboricole
tropicale. Par ailleurs, la domestication du feu et la maîtrise de la cuisson des végétaux, et
non pas de la viande comme on le croit à tort, sont à l'origine de transformations de leur
corps, et notamment de l'augmentation de volume du cerveau.
Un saut dans le temps : dans une dizaine de régions du monde, sensiblement au même
moment (-10 000 avant JC), des Homo Sapiens se sédentarisent et commencent à
domestiquer plantes et végétaux. La diversité du régime alimentaire se réduit avec pour
conséquence une énorme pression de sélection. Seuls survivent les individus capables de
digérer certaines nourritures. Et l'espèce évolue : le squelette devient moins robuste, la taille
corporelle et du cerveau diminue.
Manger aujourd'hui
La révolution industrielle du milieu du 19ème siècle transforme radicalement le régime
alimentaire et les modes de consommation. En moins de deux cents ans, on assiste à :
− une production industrielle des aliments. De plus en plus éloignés du produit
brut, les aliments sont « prêts-à-manger » et enrichis en sucre, en graisses, sel,
conservateurs et contiennent de moins en moins de fibres végétales. On estime que la
consommation des produits traiteurs a été multipliée par 3 ou 4 en France au cours
des vingt dernières années.
− des changements de mode de consommation. Alors que dans toute l'histoire
de l'humanité, les repas représentaient des moments de partage et de convivialité, la
prise alimentaire est aujourd'hui beaucoup plus individuelle, moins ritualisée. On parle
de repas déstructurés.
− Une modification des habitudes alimentaires. Certains aliments comme le pain
et les légumes secs sont délaissés au profit des viandes rouges, jugées plus nobles. Ainsi
en 1900, la consommation quotidienne de pain s'élevait à 900 grammes par habitant,
contre 110,5 en 2010.
La perception de l'alimentation change également. Alors que jusqu'à présent nous mangions
pour nous faire plaisir, l'alimentation est liée aujourd'hui à des soucis d'esthétique et des
préoccupations de santé.
3. Se nourrir demain
Recul de l’hyperconsommation, retour des produits bruts et de la cuisine, progression des
aliments plaisir responsables et de la convivialité, désir de limiter l'impact
environnemental, voici les tendances qui se sont dessinées ces dernières années.
Qu'attendre du futur ? Le retour vers le local se confirmera-t-il ou la mondialisation
reprendra-t-elle le pas ? Nul ne peut le savoir mais des spécialistes imaginent déjà
différents scénarios possibles. Et parmi l'un d'eux, la problématique du développement
durable et de l'alimentation responsable qui semble se pérenniser. Il faut toutefois se
méfier de réalités contre-intuitives. Un exemple ? Si se nourrir de produits locaux de saison
est bénéfique pour l'environnement, il n'en est pas de même pour des produits locaux qui
ne sont pas de saison. L'impact environnemental de la production sous serre et les engrais
nécessaires est plus important que celui engendré par le transport de légumes ou de fruits
importés et qui sont, eux de saison là où ils sont cultivés.
Enfin pourra-t-on nourrir le monde de demain ? Selon les différentes analyses, la demande
alimentaire en calories pourrait augmenter de 40 à 68 % entre 2000 et 2050. Une
augmentation importante mais les agronomes l'assurent : la Terre peut nourrir de très
nombreuses bouches.
La question fondamentale reste : comment assurer une répartition équitable d'aliments de
bonne qualité ? En redonnant de l’humanité à l’aliment de demain.
De l'importance de l'épidémiologie nutritionnelle
Le rapport à la nourriture a fortement évolué durant les cinquante dernières années
et les pays développés doivent aujourd'hui faire face à une réelle épidémie de
maladies comme l'obésité, les maladies cardiovasculaires et le diabète. Au cours des
dernières décennies, l'épidémiologie nutritionnelle a éclairé les liens entre la survenue
de ces pathologies et l'alimentation. En France, l'étude NutriNet-Santé, débutée en
2009 et visant à inclure 300 000 personnes, permettra de créer une gigantesque
banque de données, une des plus grandes au monde dans le champ de la santé, sur
la nutrition et la santé de la population française. Grâce à un suivi des participants sur
une longue période (dix ans), cette étude examinera avec précision quelles sont les
relations entre les apports alimentaires et la mortalité et l’incidence des grandes
pathologies.
4. A propos de la Fondation Louis-Bonduelle
Créée en octobre 2004, la Fondation Louis-Bonduelle a pour
mission de contribuer à faire évoluer durablement les
comportements alimentaires en plaçant les légumes et leurs
bienfaits au centre de son action.
La Fondation œuvre sur le long terme, dans un cadre international, avec la volonté
affichée d’aller plus loin que les discours d’intention générale en donnant à tous, des
moyens efficaces, pratiques et souvent inédits de faire entrer les légumes dans son
quotidien.
Son programme s’articule autour de trois axes :
- Informer et sensibiliser
- Soutenir et aider la recherche
- Agir sur le terrain.
« A la Fondation Louis-Bonduelle, nous croyons qu'au-delà de l'information à apporter à
chacun, un accompagnement est indispensable pour faire évoluer les comportements
alimentaires », Christophe Bonduelle, président de la Fondation Louis-Bonduelle.
Plus de renseignements, des actus, des recettes sur
www.fondation-louisbonduelle.org