3. HISTOIRE
• Début des années 1970, en Californie.
• Deux chercheurs :
- John Grinder (psychologue, linguiste).
- Richard Bandler (psychologue, mathématicien).
4.
5. DÉFINITION
• Programmation : Reprogrammer les comportements
dysfonctionnels
• Neuro : Les Programmes sont inscrits dans les neurones
• Linguistique : Les programme se manifestent dans le langage
(verbal et non verbal)
6.
7. DÉFINITION
• Grinder : La PNL est l'analyse et la reproduction de l'excellence
humaine, de savoir-faire. La différence qui change tout.
• Bandler : la PNL est une attitude méthodologique dont découle
un ensemble de techniques. C'est une certaine façon de
comprendre les gens. Une vision du monde.
8. OBJECTIFS
• Améliorer la connaissance de soi et de l ’autre.
• Améliorer sa façon de communiquer.
• S’accomplir et de se dépasser.
• Gagner de l’authenticité et de l’efficacité dans les relations.
• De se donner les moyens pour atteindre ses objectif.
9. POSTULATS ET
PRÉSUPPOSITIONS DE LA PNL
• Postulat : principe premier, indémontrable ou non-démontré.
• Présupposition :Supposition préalable; admettre par hypothèse.
10. POSTULATS DE LA PNL
• La carte n’est pas le territoire
• Chaque personne fait toujours le meilleur choix parmi ceux qui lui
paraissent possibles
• Plus on a des choix, mieux ça vaut
• On ne peut pas NE PAS communiquer
• Toutes les ressources sont dans la personne
• Rencontrer l’autre dans son modèle du monde
• Tout comportement a une intention positive
11. POSTULATS DE LA PNL
• Le niveau inconscient de la communication est le plus important
• La signification de la communication est la réaction que vous
obtenez
• Le corps et l’esprit font partie du même système cybernétique
• Les êtres humains sont toujours plus complexes que les théories qui
les décrivent
• Le cadre utilisé pour percevoir une situation détermine le sens
qu’on lui accorde
• Il n’y a pas d’échec, il n’y a que du «feedback»
12. PRÉSUPPOSITIONS DE LA
PNL
• Respecter le modèle du monde de l’autre;
• Les sens de la communication se trouvent dans la réponse que vous
obtenez;
• Le corps et l’esprit s’influencent mutuellement;
• Les mots que nous utilisons ne sont pas les évènements ou les objets
qu’ils représentent;
• Le comportement d’une personne est l’information la plus importante
que l’on puisse avoir sur elle;
• Tout comportement vise l’adaptation et le comportement présent
représente le meilleur choix possible dans les circonstances;
13. • Le comportement d’une personne n’est pas la personne (Acceptez
l’être, changez son comportement);
• Les gens possèdent tous les ressources nécessaires pour réussir (Ils sont
dans des états de non-ressource, ils n’en manquent pas);
• «Je suis responsable de mon esprit donc de mes résultats»;
• Le système (la personne) avec la plus grande souplesse de
comportement contrôlera le système;
• Il n’y a pas d’échec, seulement de l’information supplémentaire
(feedback);
• La résistance chez un client indique un manque de rapport. Il n’y a pas
de client résistant, seulement des communications sans souplesse;
• Toute intervention devrait augmenter le nombre de choix possibles;
• Les comportements et les changements doivent être évalués en
15. LE CALIBRAGE
• Le calibrage consiste à identifier, chez son interlocuteur, les
indicateurs du comportement (attitude, langage, éléments
verbaux et non verbaux) susceptibles de nous révéler quel canal
sensoriel le sujet utilise de manière préférentielle
• Plusieurs outils peuvent nous aider dans cette tâche : Les
prédicats, signes non-verbaux , les mouvements des yeux.
16. LES PRÉDICATS
• Lorsque nous nous exprimons, nous
sélectionnons inconsciemment un vocabulaire
correspondant à notre canal dominant. Ainsi
pour dire qu’il est d’accord avec une proposition,
un visuel va dire : « je vois ce que tu veux dire »,
un auditif « J’entends bien », un kinesthésique :
« Je sens bien cette solution ». L’examen des
prédicats utilisés est donc un bon outil pour
déterminer le canal dominant d’un sujet.
17. LES PRÉDICATS
Visuel Auditif Kinesthésique
Je vois
C’est clair
J’imagine que…
Visiblement
Objectif
Montrer
C’est net
C’est flou
Blanc de peur
Vert de rage
J’entends
D’accord
Ca me parle
Dire
Bien entendu
Je m’entends très bien avec…
N’écoutant que…
Ca ne me dit rien
C’est inouï
Je sens
Bien dans ma peau
Choc
Le bon sens
Ca prend corps
Les pieds sur terre
Contact
Ca me touche
Ca me dégoûte
Exemples de prédicats visuels, auditifs et kinesthésiques :
18. SIGNES NON-VERBAUX
• les indices non-verbaux sont nombreux : bien que ces éléments
soient schématiques, ils participent à identifier la dominante
sensorielle.
Visuel Auditif Kinesthésique
Posture raide
Voix rapide et haut perchée
Respiration haute, thoracique
et rapide
Distance conversationnelle
longue
Posture confortable
Voix posée et agréable
Respiration moyenne et
équilibrée
Distance conversationnelle
intermédiaire
Posture décontractée
Voix lente et grave
Respiration abdominale et
lente
Distance conversationnelle
courte
19. LES MOUVEMENTS DES YEUX
• lorsque nous allons « chercher » l’information, l’activité
cérébrale provoque des mouvements oculaires involontaires.
Selon que cette information sera visuelle, auditive ou
kinesthésique, les mouvements des yeux seront différents.
20.
21. L’ANCRAGE
• Une image, une odeur, un geste, un mot peut
réveiller des souvenirs, provoquer des émotions,
des sentiments, des réactions, des
comportements. Le stimulus initial (la photo,
l’odeur etc.) fonctionne comme une ancre pour
celui qui se souvient, en s’accrochant à un
endroit précis de sa mémoire. Nous avons tous
des ancrages qui provoquent des états internes
(joie, tristesse, motivation, conviction…).
22. L’ANCRAGE
Un ancrage peut être :
• auditif : une expression, un mot, un ton, un rythme ou une intensité de
la voix inhabituelles,
• visuel : une image, un geste, un lieu,
• kinesthésique : un contact, une odeur.
Pour être efficace, l’ancrage doit utiliser le prédicat de l’interlocuteur (Si la
personne est visuelle, l’ancre doit être visuelle etc.), Il existe deux types
d’ancres :
• Les ancres positives provoquent des états internes positifs
(concentration, efficacité, dynamisme, confiance, calme, confiance…),
• Les ancres négatives provoquent des états internes négatifs (peur,
doute, incompréhension…).
23. LE RECADRAGE
Changer le cadre de la perception pour adopter un
comportement différent.
Cette démarche doit permettre de dépasser ses limitations
fonctionnelles personnelles et d’élargir son répertoire de
comportements afin d'avoir un éventail de choix plus important.
La démarche consiste d’abord à faire prendre à la personne
conscience de l’intention positive sous-jacente. Ensuite on
l’amène à imaginer ou à créer une solution qui la satisfasse
pleinement tout en respectant cette intention positive du
« problème ». Une dernière étape consiste à vérifier avec la
personne que la solution envisagée est compatible avec ses
choix personnels et ses valeurs.