16 décembre 2015 : 59 startups françaises de la e-santé se réunissent en une association, France eHealthTech, pour créer une filière du numérique en santé
Télémédecine et autres prestations médicales électroniquesbenj_2
France, 10 Février 2016, CNOM: Le Conseil national de l’Ordre des médecins publie son avis sur
« l’ubérisation » des prestations médicales
Répondre aux besoins médicaux des patients sans laisser s’installer une ubérisation de la médecine
La révolution numérique et le parcours de santé Alain Tassy
La loi de modernisation du système de santé de janvier 2016 ouvre la porte à une véritable révolution en proposant de rebâtir tout le système autour du parcours de santé afin de mettre le patient au centre du dispositif et de favoriser la prévention.
Pour être mise en œuvre, cette nouvelle approche nécessite une évolution des pratiques et une coordination à distance de tous les professionnels de la santé. L’utilisation des technologies numériques représente alors une solution car elles permettent une coordination efficace. Le dossier médical partagé est absolument nécessaire et son appropriation par les professionnels est vital.
L’introduction du parcours de santé représente pour le monde médical une innovation organisationnelle comme le vivent de nombreux autres domaines du monde économique confrontés à la transformation digitale. On peut alors s’étonner que les projets gérés par les ARS soient lancés uniquement pour répondre à un problème identifié localement sans prendre en compte le passage à l’échelle nationale. On peut aussi s’étonner de l’absence de structure et d’un chef de projet responsables de la mise en place du parcours de santé.
16 décembre 2015 : 59 startups françaises de la e-santé se réunissent en une association, France eHealthTech, pour créer une filière du numérique en santé
Télémédecine et autres prestations médicales électroniquesbenj_2
France, 10 Février 2016, CNOM: Le Conseil national de l’Ordre des médecins publie son avis sur
« l’ubérisation » des prestations médicales
Répondre aux besoins médicaux des patients sans laisser s’installer une ubérisation de la médecine
La révolution numérique et le parcours de santé Alain Tassy
La loi de modernisation du système de santé de janvier 2016 ouvre la porte à une véritable révolution en proposant de rebâtir tout le système autour du parcours de santé afin de mettre le patient au centre du dispositif et de favoriser la prévention.
Pour être mise en œuvre, cette nouvelle approche nécessite une évolution des pratiques et une coordination à distance de tous les professionnels de la santé. L’utilisation des technologies numériques représente alors une solution car elles permettent une coordination efficace. Le dossier médical partagé est absolument nécessaire et son appropriation par les professionnels est vital.
L’introduction du parcours de santé représente pour le monde médical une innovation organisationnelle comme le vivent de nombreux autres domaines du monde économique confrontés à la transformation digitale. On peut alors s’étonner que les projets gérés par les ARS soient lancés uniquement pour répondre à un problème identifié localement sans prendre en compte le passage à l’échelle nationale. On peut aussi s’étonner de l’absence de structure et d’un chef de projet responsables de la mise en place du parcours de santé.
Introduction de la conférence du 22 juin 2017Alain Tassy
Objets connectés: gadget ou technologie indispenesable à l'excellence en médecine 4P ?
Rappel de l'activité du club Telecom Paristech Santé.
Projection du marché des objets connectés de santé.
Les objets connectés dans la stratégie e-santé 2020 du gouvernement précédent.
Rappel de la médecine 4P: Préventive, Personnalisée, Prédictive et Participative
Etat des lieux sur les objets connectés en santé tassy alainAlain Tassy
Après avoir analysé l'impact des technologies numériques, nous évoquons l'environnement réglementaire du marché des objets connectés de santé. Nous exposons ensuite les débats et les conclusion de la première réunion du club Telecom Paristech Santé
IoMT: gadgets ou technologie indispensable pour l’excellence en médecine 4pAlain Tassy
Extrait de la conférence organisée le 22 juin 2017 par Telecom Paristech Santé et Télécom évolution.
Les IoMT grands publics sont de plus en plus adoptés pour des usages professionnels. Leur utilisation intervient dans de nouveaux protocoles médicaux, essentiellement à l’étranger.
Les médecins devront s’adapter à ces nouvelles technologies et endosser le rôle de coordinateur du parcours de soin, bien au-delà de la prescription de médicaments ou d’actes curatifs. Le métier des complémentaires santé est déjà en train d’évoluer en basculant de l’assurance vers la vente de produits et de services. Avec le vieillissement de la population et l’augmentation des affections de longue durée, la prévention, la prédiction, la participation du patient et la personnalisation du suivi de la santé deviennent les éléments clefs de la médecine de demain. Dans la pratique et la réalité quotidienne, rien n’a réellement évolué depuis deux ans. Cela vient d’un blocage des systèmes d’information et du manque de standards.
Les objectifs fixés pour notre système de santé permettront-t-ils aux français de profiter d’une médecine 4P d’excellence, comme ce fut le cas dans la médecine du XXe siècle ? Si la France est médaille d’or de la longévité, la durée de vie en bonne santé y est plus courte que dans beaucoup de pays européens, en particulier les pays nordiques. Est-ce le bon choix de société ?
La santé numérique, la médecine 4P et les assurancesAlain Tassy
Il y a un consensus sur le fait que la santé numérique et la médecine 4P sont en train de bouleverser les business models des mutuelles et des assurances santé. Bien que le village gaulois soit protégé par une législation très stricte, le système français ne restera pas figé ad vitam aeternam. En particulier, il faut que l’Assurance Maladie Obligatoire, les mutuelles et les assurances se préparent à l’arrivée des services de prévention. Mais où est le retour sur investissement des innovations ?
Projet de créations d'entreprise en vue d'obtention du diplôme Master MIAGE 2 de l'université de Nice sophia antipolis ...
contact : salaheddine.bentalba@gmail.com
E SANTE AU MAROC : ETAT DES LIEUX ET PERSCPECTIVESLIONEL REICHARDT
Présentation sur la E santé au Maroc faite par le Dr Abderrahim DERRAJI, pharmacien et réalisateur du site Pharmacies.ma sur la pharmacie Marocaine. Merci pour son aimable autorisation pour diffusion
Le Big data en santé et l'éthique, sont- ils compatibles ?Céline Poirier
La caractéristique commune à l'innovation en e-santé et en santé mobile est qu’elles nous conduisent vers une médecine non plus curative mais préventive, voire prédictive. Pour y parvenir, la e-santé doit s’appuyer sur la génération, le partage (Open Data), et le traitement d'une multitude de données grâce aux outils du Big Data. Mais jusqu’où pouvons- nous aller ?
Les risques d’une trop grande divulgation des données de santé sont-ils supérieurs aux avantages ? Comment redonner confiance aux français pour faire avancer la santé connectée ?
Soutenance de ma thèse professionnelle du MBAMCI en février 2016
Objets connectés, "wearables", capteurs, m-health, big data, Google glass, réalité augmentée, gamification, simulation virtuelle, imprimante 3D ..., l'essor fulgurant de la technologie ouvre un champ applicatif en santé qui va révolutionner les usages des professionnels de santé et des patients.
Les patients y sont d'ailleurs plutôt favorables. Une étude parue en mai dernier montre que 52% d'entre eux ont utilisé au moins une fois un outil numérique de prévention en santé.
Atelier Isidore du colloque des Industries Numériques et de la Santé: "m-sant...isidore-sante
Le Docteur Vincent Varlet, président du nouvel Isidore, a présenté lors de cet atelier les raisons de la création de l'ambitieux Think Tank de la santé digitale en France. Florence BERNARD, directrice santé de l'UDA, y a exposé les raisons qui ont amené cette importante organisation professionnelle à soutenir la refondation de l'association dont elle est membre d'honneur et à accompagner cette plateforme de réflexion essentielle aux développement de recommandations et bonnes pratiques responsables dans la santé digitale. Le lancement du site de l'association www.isidore-sante.fr a été annoncé ainsi que la création d'un #isidoresante sur Twitter. Les cinq collèges constitutifs d'Isidore y ont, quant à eux, présenté leur vision de la m-santé, leurs attentes et leur rôle au sein de l'association.
Livre Blanc sur la « santé connectée » de l’Ordre National des médecins 03.02.15yann le gigan
Le CNOM observe avec intérêt que le débat sur la santé connectée s’est ouvert à la CNIL, dans des cercles de réflexion consacrés au numérique, dans les institutions du monde de la santé et au sein même de la Commission européenne. Ce livre blanc a vocation à enrichir le débat public. Il n’apporte pas des réponses péremptoires. Il pose des interrogations éthiques et déontologiques dans l’accompagnement des évolutions de nos sociétés et y apporte des éléments de réflexion.
http://www.conseil-national.medecin.fr/sites/default/files/medecins-sante-connectee.pdf
Orphan drugs - Le statut Orphan Drug: Une stratégie pour accélérer le dévelop...Michel Rotily
Orphan drugs - Le statut Orphan Drug: Une stratégie pour accélérer le développement de tout nouveau médicament? Présentation donnée dans le cadre du BioRezo et Euroboméditérannée à Sophia-Antipolis en 2009
Introduction de la conférence du 22 juin 2017Alain Tassy
Objets connectés: gadget ou technologie indispenesable à l'excellence en médecine 4P ?
Rappel de l'activité du club Telecom Paristech Santé.
Projection du marché des objets connectés de santé.
Les objets connectés dans la stratégie e-santé 2020 du gouvernement précédent.
Rappel de la médecine 4P: Préventive, Personnalisée, Prédictive et Participative
Etat des lieux sur les objets connectés en santé tassy alainAlain Tassy
Après avoir analysé l'impact des technologies numériques, nous évoquons l'environnement réglementaire du marché des objets connectés de santé. Nous exposons ensuite les débats et les conclusion de la première réunion du club Telecom Paristech Santé
IoMT: gadgets ou technologie indispensable pour l’excellence en médecine 4pAlain Tassy
Extrait de la conférence organisée le 22 juin 2017 par Telecom Paristech Santé et Télécom évolution.
Les IoMT grands publics sont de plus en plus adoptés pour des usages professionnels. Leur utilisation intervient dans de nouveaux protocoles médicaux, essentiellement à l’étranger.
Les médecins devront s’adapter à ces nouvelles technologies et endosser le rôle de coordinateur du parcours de soin, bien au-delà de la prescription de médicaments ou d’actes curatifs. Le métier des complémentaires santé est déjà en train d’évoluer en basculant de l’assurance vers la vente de produits et de services. Avec le vieillissement de la population et l’augmentation des affections de longue durée, la prévention, la prédiction, la participation du patient et la personnalisation du suivi de la santé deviennent les éléments clefs de la médecine de demain. Dans la pratique et la réalité quotidienne, rien n’a réellement évolué depuis deux ans. Cela vient d’un blocage des systèmes d’information et du manque de standards.
Les objectifs fixés pour notre système de santé permettront-t-ils aux français de profiter d’une médecine 4P d’excellence, comme ce fut le cas dans la médecine du XXe siècle ? Si la France est médaille d’or de la longévité, la durée de vie en bonne santé y est plus courte que dans beaucoup de pays européens, en particulier les pays nordiques. Est-ce le bon choix de société ?
La santé numérique, la médecine 4P et les assurancesAlain Tassy
Il y a un consensus sur le fait que la santé numérique et la médecine 4P sont en train de bouleverser les business models des mutuelles et des assurances santé. Bien que le village gaulois soit protégé par une législation très stricte, le système français ne restera pas figé ad vitam aeternam. En particulier, il faut que l’Assurance Maladie Obligatoire, les mutuelles et les assurances se préparent à l’arrivée des services de prévention. Mais où est le retour sur investissement des innovations ?
Projet de créations d'entreprise en vue d'obtention du diplôme Master MIAGE 2 de l'université de Nice sophia antipolis ...
contact : salaheddine.bentalba@gmail.com
E SANTE AU MAROC : ETAT DES LIEUX ET PERSCPECTIVESLIONEL REICHARDT
Présentation sur la E santé au Maroc faite par le Dr Abderrahim DERRAJI, pharmacien et réalisateur du site Pharmacies.ma sur la pharmacie Marocaine. Merci pour son aimable autorisation pour diffusion
Le Big data en santé et l'éthique, sont- ils compatibles ?Céline Poirier
La caractéristique commune à l'innovation en e-santé et en santé mobile est qu’elles nous conduisent vers une médecine non plus curative mais préventive, voire prédictive. Pour y parvenir, la e-santé doit s’appuyer sur la génération, le partage (Open Data), et le traitement d'une multitude de données grâce aux outils du Big Data. Mais jusqu’où pouvons- nous aller ?
Les risques d’une trop grande divulgation des données de santé sont-ils supérieurs aux avantages ? Comment redonner confiance aux français pour faire avancer la santé connectée ?
Soutenance de ma thèse professionnelle du MBAMCI en février 2016
Objets connectés, "wearables", capteurs, m-health, big data, Google glass, réalité augmentée, gamification, simulation virtuelle, imprimante 3D ..., l'essor fulgurant de la technologie ouvre un champ applicatif en santé qui va révolutionner les usages des professionnels de santé et des patients.
Les patients y sont d'ailleurs plutôt favorables. Une étude parue en mai dernier montre que 52% d'entre eux ont utilisé au moins une fois un outil numérique de prévention en santé.
Atelier Isidore du colloque des Industries Numériques et de la Santé: "m-sant...isidore-sante
Le Docteur Vincent Varlet, président du nouvel Isidore, a présenté lors de cet atelier les raisons de la création de l'ambitieux Think Tank de la santé digitale en France. Florence BERNARD, directrice santé de l'UDA, y a exposé les raisons qui ont amené cette importante organisation professionnelle à soutenir la refondation de l'association dont elle est membre d'honneur et à accompagner cette plateforme de réflexion essentielle aux développement de recommandations et bonnes pratiques responsables dans la santé digitale. Le lancement du site de l'association www.isidore-sante.fr a été annoncé ainsi que la création d'un #isidoresante sur Twitter. Les cinq collèges constitutifs d'Isidore y ont, quant à eux, présenté leur vision de la m-santé, leurs attentes et leur rôle au sein de l'association.
Livre Blanc sur la « santé connectée » de l’Ordre National des médecins 03.02.15yann le gigan
Le CNOM observe avec intérêt que le débat sur la santé connectée s’est ouvert à la CNIL, dans des cercles de réflexion consacrés au numérique, dans les institutions du monde de la santé et au sein même de la Commission européenne. Ce livre blanc a vocation à enrichir le débat public. Il n’apporte pas des réponses péremptoires. Il pose des interrogations éthiques et déontologiques dans l’accompagnement des évolutions de nos sociétés et y apporte des éléments de réflexion.
http://www.conseil-national.medecin.fr/sites/default/files/medecins-sante-connectee.pdf
Orphan drugs - Le statut Orphan Drug: Une stratégie pour accélérer le dévelop...Michel Rotily
Orphan drugs - Le statut Orphan Drug: Une stratégie pour accélérer le développement de tout nouveau médicament? Présentation donnée dans le cadre du BioRezo et Euroboméditérannée à Sophia-Antipolis en 2009
Les objets connectés : Gadgets ou technologie indispensable à l’excellence en...Alain Tassy
Synthèse de la conférence organisée par Telecom ParisTech SAnté et Télécom Evolution le 22 juin 2017 .
En 2015, nous avons fait un état des lieux sur les objets connectés de santé et la segmentation entre préventif et curatif. Depuis un an nous réfléchissons aux évolutions de la médecine vers une médecine 4P (Préventive, Participative, Personnalisée et Prédictive), à l’évolution des parcours de santé et aux conséquences que cela aura sur le système de santé.
Après un aperçu sur les évolutions du marché des objets connectés et sur l’appropriation de cette technologie par le corps médical, nous évoquons la nécessité de labélisation et de standardisation.
Les objets connectés ne sont qu’un élément de la médecine numérique de demain. Son évolution va impacter tous les acteurs du système de santé. Parmi eux, les complémentaires santé voient leur métier se modifier profondément et elles deviennent des acteurs du marché des objets connectés de santé.
Enfin nous verrons comment d’autres acteurs, hors du corps médical mais impactant sur la santé, se sont appropriés très tôt ces objets connectés et les ont intégrés dans leurs protocoles dans un objectif d’excellence.
Mobilité - état des lieux en santé - novembre 2012LIONEL REICHARDT
Présentation faite lors de deux matinées organisées par Callimedia. Etat des lieux du mobile et de son écosystème - usage par les professionnels de santé et approche dans stratégie multicanal
Objets connectés et quantified self 21082013Brice Nadin
Etude réalisée en juin 2013 sur le formidable essor des applications mobiles orientées vers le bien être, la nouvelle tendance des objets connectés et le nouveau phénomène du quantified self (mesure de soi).
Pour accompagner les acteurs de la santé dans leur compréhension des attentes des mobinautes en matière de m-santé, les experts Santé de l’Ifop ont développé un observatoire dédié – l’Observatoire de la m-santé - qui propose annuellement un suivi complet des usages et des comportements, ainsi qu’une mise à jour tous les 6 mois, se focalisant sur les applications utilisées, afin de suivre l’évolution du marché.
Atelier Isidore du colloque des Industries Numériques et de la Santé: "La m-s...isidore-sante
Dans le cadre d'un premier chantier 2013, Isidore s'est concentré sur les applications mobiles santé qui explosent en France et à l'international. L'objectif est de proposer une méthodologie d'évaluation de ces applis, voire une labellisation. Ainsi, les membres d'Isidore ont réunis leur compétences pluridisciplinaires pendant cinq mois afin de faire un état des lieux dans ce domaine. Ils ont ensuite explorer ce marché encore émergent de la m-santé, ses usages et les offres en France et à l'international. Isidore prépare désormais une enquête visant à combler les manques d'information concernant les comportements et usages des internautes ou mobinautes santé.
De la e Santé à la m Santé : innovation mais attention aux donnéesDidier Mennecier
Synthèse sur l'évolution des nouvelles technologies dans le monde médicale où nous sommes passés de la e Santé à la m Santé avec l'apparition dans les pratiques médicales des objets connectés.
Présentation lors d'une audition à l'Académie Nationale de Médecine devant la Commission XX.
Revue "Pharmacien demain" n°26 - ALEE-
Déjà très utilisées par d’autres secteurs, les applications mobiles sont une réelle opportunité pour le secteur de la santé. En effet, l’augmentation du nombre de personnes possédant un smartphone, ainsi que l’amélioration des connexions hauts débits, tels que la 4G, permettent un échange de grands volumes de données en temps réel. Alors pourquoi ne pas en échanger avec votre médecin ?
En ouvrant l’App store, le Play store on constate qu’il y a une multitude d’applications mobiles concernant le bien-être, la forme, la santé en général. En effet, on recense plus de 97 000 applications sur le fitness, la nutrition, la prévention, l’information aux patients….
Au-delà d’être de simples applications, ces dernières pourraient être utilisées en tant que réels supports à la prise en charge thérapeutique. Un jour, une application mobile pourrait devenir un dispositif médical.
Par exemple, elles pourraient être utilisées pour mesurer la fréquence cardiaque, la glycémie, rappeler à un patient de prendre ses médicaments, ce qui augmenterait l’observance. De ce fait, elles auraient un rôle direct dans la responsabilisation du patient de sa santé.
Ce pourrait être un contact direct en temps réel avec le médecin, amenant ainsi à une prise en charge plus personnalisée, ce qui améliorerait la qualité et l’efficacité des soins. Les patients auraient la possibilité d’être suivis à distance : un avantage majeur dans le cas des maladies chroniques ! Elles permettraient à la fois une prise en charge plus rapide, avant que les symptômes s’aggravent, et dans le même temps la faciliteraient, car le patient n’aura pas à se déplacer jusqu’à l’hôpital.
...
reseauprosante.fr
Les laboratoires pharmaceutiques face à la transformation digitale
Adaptation des organisations, digitalisation des services, évolution de la relation client : où en sont les laboratoires sur le marché français ?
Intelligence artificielle et santé de demainIpsos France
Que pensent les professionnels de santé et les patients de l’arrivée de l’intelligence artificielle dans les soins ? Quelle vision ont-ils de la santé de demain ? L’étude Ipsos réalisée pour la MACSF révèle des décalages de perception entre patients et professionnels de santé
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/professionnels-de-sante-et-patients-une-vision-decalee-sur-lintelligence-artificielle-et-la-sante
La transformation digitale dans le secteur de la santé pose des questions quant aux données qui sont générées par les usages digitaux ainsi que par les enjeux de fiabilité technique des solutions mises en œuvre. Pour ces raisons, les enjeux de cette transformation digitale soulèvent l’importance de la confiance à apporter dans les solutions numériques, car la confiance elle-même est in fine le véritable levier de l’adoption des nouveaux usages au service du parcours de vie et de soin du citoyen.
Similaire à Snitem info n°197 santé la révolution mobile p 9 16 (20)
La Version 2023 de la doctrine du numérique en santébenj_2
Dans la logique d’État-plateforme, la Doctrine du numérique en santé constitue le document de référence pour les acteurs de l’écosystème de la e-santé, qui développent ou opèrent des services numériques au bénéfice des professionnels du système de santé et in fine des usagers. Elle s’adresse principalement aux entreprises du numérique en santé et plus largement aux structures publiques ou privées, de toutes tailles, qui créent, maintiennent ou développent des services numériques en santé.
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Cette étude a été réalisée sur 8 pays : France, Royaume-Uni, Suisse, Portugal, Italie, Belgique, Irlande et Allemagne.
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Feuille de route décarbonation de l'industrie pharmaceutiquebenj_2
Décembre 2023: Afin de lutter contre le réchauffement climatique et réduire les émissions de gaz à effet de serre associées à la production et à la consommation de médicaments en France, le Gouvernement a annoncé un plan de décarbonation pour l'industrie pharmaceutique.
Ce guide du déposant est destiné aux déposants qui souhaitent suivre une procédure selon le Traité de coopération en matière de brevets (PCT) et insiste sur les particularités des procédures PCT devant l'OEB. Il est appelé "Guide euro-PCT" afin de le distinguer du Guide du déposant du PCT publié par l'OMPI ("Guide PCT de l'OMPI").
INPI : Le palmarès 2016 des déposants de brevets en France en 2016benj_2
Le Top 3 modifié et un nouvel entrant parmi les 10 premiers déposants. Des changements de stratégies de propriété industrielle. La recherche publique de plus en plus visible. Une concentration significative du nombre de demandes de brevets publiées.
2. II snitem info N°197 - HIVER 2014
2
le
A
applications
mobilesensantépermettent
à tout un chacun d’accéder,
via son smartphone ou sa
tablette numérique, à des informations
pratiques sur les maladies, les acteurs
hôpitaux, médecins), les médicaments.
Certaines permettent de calculer le
nombre de pas effectués dans une
journée, le rythme cardiaque, la qua-
lité du sommeil, les calories brûlées,
le pouls, le taux de cholestérol, l’in-
dice de masse corporelle (IMC)...
et de recueillir toutes ces données dans
unesortedecarnetdesanténumérique.
(ou du « soi
de pratiques variées ayant toutes pour
point commun de mesurer et de com-
parer avec d’autres personnes des
variables relatives à son mode de vie
(nutrition, activités physiques, poids,
sommeil, etc), ces applications mobiles
en santé se multiplient.
Pour aller un peu plus loin, certaines
d’entre elles permettent de faire un
suivi de grossesse (poids, alimentation,
calendrier,informations),deprogramme
dechimiothérapie(traitementseteffets
secondaires ressentis tels que nausées,
fatigue, vomissements, etc.) ou encore
sclérose en plaques). Certaines de ces
informations peuvent être partagées
avec les professionnels de santé.
Ces derniers ont également leurs
propres applications mobiles dans des
spécialités aussi diverses que l’hépato-
gastroentérologie, l’anesthésie-réani-
mation, la pneumologie ou l’oncologie.
Ellespermettent d’accéder à des outils
pour l’éducation thérapeutique des
patients ou des outils d’aide à l’évalua-
tion, au dépistage et au diagnostic
de certaines pathologies. Le choix
est vaste…
Selon le cabinet américain de conseil et
d’étude Research2guidance, le nombre
d’applications mobiles de santé dans
le monde est passé de 17 000 en 2010
à 97 000 en 2012 (15 % d’entre elles
concernent des applications à desti-
nation des professionnels de santé).
Ce marché de la « m-santé » pourrait
atteindre 3,4 milliards de personnes en
2017(soitunutilisateurdesmartphone
sur deux). Cette « prolifération » de
lors de nouvelles questions : certaines
ont-elleslaqualitédedispositifmédical
et si oui, lesquelles ?
La généralisation de l’usage des smartphones, des
tablettesnumériquesetdesplates-formesd’applications
mobiles permet le développement du marché de la
m-santé(santémobile).C’estunerévolutionencourspour
lesutilisateurs(ycomprisprofessionnels)avecunimpactnon
négligeable pour le secteur du DM.
Les applications mobiles
s’invitent dans le secteur
3. II snitem info N°197 - HIVER 2014
2
le
A
applications
mobilesensantépermettent
à tout un chacun d’accéder,
via son smartphone ou sa
tablette numérique, à des informations
pratiques sur les maladies, les acteurs
hôpitaux, médecins), les médicaments.
Certaines permettent de calculer le
nombre de pas effectués dans une
journée, le rythme cardiaque, la qua-
lité du sommeil, les calories brûlées,
le pouls, le taux de cholestérol, l’in-
dice de masse corporelle (IMC)...
et de recueillir toutes ces données dans
unesortedecarnetdesanténumérique.
(ou du « soi
de pratiques variées ayant toutes pour
point commun de mesurer et de com-
parer avec d’autres personnes des
variables relatives à son mode de vie
(nutrition, activités physiques, poids,
sommeil, etc), ces applications mobiles
en santé se multiplient.
Pour aller un peu plus loin, certaines
d’entre elles permettent de faire un
suivi de grossesse (poids, alimentation,
calendrier,informations),deprogramme
dechimiothérapie(traitementseteffets
secondaires ressentis tels que nausées,
fatigue, vomissements, etc.) ou encore
sclérose en plaques). Certaines de ces
informations peuvent être partagées
avec les professionnels de santé.
Ces derniers ont également leurs
propres applications mobiles dans des
spécialités aussi diverses que l’hépato-
gastroentérologie, l’anesthésie-réani-
mation, la pneumologie ou l’oncologie.
Ellespermettent d’accéder à des outils
pour l’éducation thérapeutique des
patients ou des outils d’aide à l’évalua-
tion, au dépistage et au diagnostic
de certaines pathologies. Le choix
est vaste…
Selon le cabinet américain de conseil et
d’étude Research2guidance, le nombre
d’applications mobiles de santé dans
le monde est passé de 17 000 en 2010
à 97 000 en 2012 (15 % d’entre elles
concernent des applications à desti-
nation des professionnels de santé).
Ce marché de la « m-santé » pourrait
atteindre 3,4 milliards de personnes en
2017(soitunutilisateurdesmartphone
sur deux). Cette « prolifération » de
lors de nouvelles questions : certaines
ont-elleslaqualitédedispositifmédical
et si oui, lesquelles ?
La généralisation de l’usage des smartphones, des
tablettesnumériquesetdesplates-formesd’applications
mobiles permet le développement du marché de la
m-santé(santémobile).C’estunerévolutionencourspour
lesutilisateurs(ycomprisprofessionnels)avecunimpactnon
négligeable pour le secteur du DM.
Les applications mobiles
s’invitent dans le secteur
5. 7nitem info N°197 - HIVER 2014 V
2
le
…
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THIERRY SIRDEY
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médicaux de diagnostic et des plateaux techniques
au sein de l’ANSM.
SnitemInfo:Queltraitementréservez-
vousauxapplicationsmobilesensanté?
ThierrySirdey:Ladélimitationentreles
applicationsmobiles–oulogiciels – DM
médical et du bien-être et nous restons
rigoureux sur la destination de l’usage
qu’en donnent les fabricants. En effet,
uneapplicationpermettantdemesurer
le rythme cardiaque des utilisateurs
peut être à but éducationnel, spor-
tif si elle s’inscrit dans le cadre d’un
entraînement, mais aussi médical si
elle permet d’assurer le suivi d’une
le statut de l’application, doit être clai-
rement établie par le fabricant.
S.I. : Avez-vous été
confrontésàdesdiffi-
cultésdequalification
dessolutionsmobiles?
T.S. : Nous avons été
interrogés à plusieurs reprises par des
éditeursd’applicationsmobilesdansle
cadre de nos missions de surveillance
du marché. Nous avons été amenés à
leur proposer – en amont de la com-
mercialisation de leurs produits – une
interprétation réglementaire au vu des
éléments qu’ils nous ont présentés.
Mais nous n’avons pas eu, à ce jour,
de remontées de la part d’utilisateurs,
notamment par le biais de notre dis-
positif de matériovigilance, ou de la
part de personnes qui nous auraient
directementinterrogéssurlaconformité
déjà présente sur le marché. Toutefois,
vu leur nombre actuel disponible sur
les plates-formes de téléchargement,
-
cations mobiles en santé dont la qua-
avec la réglementation.
S.I.:Uncontrôleefficacedecessolutions
est-il possible ?
T.S. : Le foisonnement d’applications
mobiles en santé ne nous permet
malheureusement pas de toutes les
contrôler. Nous restons toutefois atten-
tifs à la mise sur le marché dématé-
rialisée de ces applications. Et nous
travaillons, au niveau national comme
européen, sur l’évolution et l’interpré-
tation de la réglementation qui leur est
applicable, notamment dans le cadre
du groupe européen chargé d’élaborer
le guide Meddev sur les logiciels dispo-
sitifs médicaux. Cette réglementation
est d’ailleurs en cours de révision et
larégulationdumarchédesapplications
mobilespasseaussiparl’informationet
l’éducationdesutilisateurs–enparticu-
lier des patients – pour une utilisation
de ces produits à bon escient. Et il faut
rappeler que l’achat sur Internet ne
présente aucune garantie.
hi régulation du marché
des applications mobiles
passe aussi par l’éducation
des utilisateurs.
UN PATIENT DERRIÈRE CHAQUE APPLI
jklmno pqrst uvwxyz {mu|nlunk uko n}|k~€k}|n}o om~ uko ‚llunƒ‚|n}o
et logiciels en santé. La dernière date du 28 novembre. L’occasion pour
le Snitem de rappeler à quel point il est important que les utilisateurs
soient régulièrement informés des mises à jour indispensables et
« évitentletéléchargementdeversionsàrisque». Pierre Leurent, PDG de
Voluntis, a quant à lui appelé «l’ANSMàrenforcerseséquipespourêtre
enmesure,commelaFDA,defaireretirerlesapplisdangereusesdes
stores» : ces dernières ne sont «pasdesproduitsbasiquescaril y ades
patientsderrière». Ce à quoi l’ANSM a répondu qu’elle venait de lancer
une étude d’un an sur la sécurité des logiciels médicaux et qu’elle
allait, d’ici la fin de l’année, publier un guide destiné à repréciser
aux fabricants de solutions mobiles les grands éléments de doctrine
relatifs à la réglementation en vigueur.
LES POINTS DE VUE DE…
7. 7nitem info N°197 - HIVER 2014 VII
2
le
ection des données
s des mobinautes ?
± ²³´µµ´¶ ·¸¹¶ º´³»´¹¼½´µµ´¶ ¾¼¿´ ¿À³¼¸µ¸-
sées ? », s’est interrogée la Cnil dans
son rapport d’activité annuel de 2013.
SANTÉ OU BIEN-ÊTRE ?
À l’heure actuelle, nombre de dispo-
sitifs de ne sont pas
soumis à la législation renforcée sur
les données de santé « du fait de leur
de leur utilisation à titre strictement
privé », souligne Jérôme Duvernois,
conseiller en charge de la stratégie
industrielle au sein de l’Asip santé(1)
.
En revanche, la multiplication de ce
type de données recueillies par un
même appareil et leur rapprochement
(taille et poids par exemple) peuvent
-
mité de la personne. « Chaque acteur
de la chaîne d’utilisation des solutions
mobiles doit s’interroger sur la qualité
des données qu’il sera amené à utiliser »,
poursuit Florence Eon, directrice du
service juridique au sein de l’Asip santé.
L’éditeur de l’application mobile doit,
-
VERS UNE
DÉFINITION
ÉLARGIE DE
LA DONNÉE
DE SANTÉ
VERS UNE
LABELLISATION
DES APPLICATIONS
MOBILES EN SANTÉ ?
ÁÂ ÃÄÅÅÆÇÇÆÄÈ ÈÂÉÆÄÈÂÊË ÌË
l’informatique et des libertés
(Cnil) devrait prochainement
rendre des conclusions sur la
régulation des applications
mobiles. Elle réfléchit notamment
à la définition d’un label (comme
cela existe, par exemple, en
Grande-Bretagne et aux États-
Unis) pour inciter les éditeurs
d’applications mobiles en santé
à mieux informer les utilisateurs
sur l’utilisation de leurs données
personnelles. Elle entend
aussi utiliser un nouvel outil
en complément de ses outils
classiques de contrôle et de
sanction : le «privacybydesign »
qui consiste à accompagner les
acteurs industriels durant le
développement de leurs services
pour qu’ils intègrent en amont
les problématiques liées aux
données personnelles.
entend commercialiser et déterminer
s’il s’agit d’un DM ou non. Le profes-
sionnel de santé a lui aussi sa part de
responsabilité quant à la qualité des
données de mesure de soi (
self
de la part de ses patients et quant à
l’applicabilité ou non de la législation
renforcée sur les données de santé.
MOBILITÉ SANS VOLATILITÉ
Parailleurs,ilestd’autantplusnécessaire
quandcelles-cipeuventêtreconservées
surdesdispositifsmobilesquisontplus
facilement perdus... « Aussi est-il impé-
ratif que les logiciels utilisés prévoient
des possibilités de restriction des accès
aux données et de cryptage, rappelle
l’Asip santé. Le bon développement des
systèmes mobiles passe par la garantie
d’un système sûr. » C’est pourquoi l’une
desstandardsetdesnormesdesécurité
que les industriels de l’informatique
doivent intégrer dans leurs logiciels.
partagés de santé.
Un projet de règlement européen, lancé
en janvier 2012, vient modifier la directive
européenne de 1995 sur la protection des
données personnelles. Il prévoit une définition
très large de la donnée de santé, définie comme
«toutedonnéerelativeàl’étatdesantéphysique
oumentaledelapersonne».