Plus que d’autres, le secteur du tourisme a profondément évolué avec l’arrivée d’internet dans les ménages. Depuis le début des années 2000, les touristes ont progressivement pris l’habitude de faire appel à l’extraordinaire richesse du web pour trouver la destination de vacances de leur rêve et pour planifier leurs séjours. Aujourd’hui, internet est devenu la principale source d’information pour le voyage.
E-tourisme: valorisez votre territoire grâce à internet
1. Informatique
E-tourisme
Voici quelques critères importants qui
influencent la position d’une page dans les
résultats de Google :
Valorisez votre territoire
-le nombre d’occurrences des mots objets
de la recherche dans le contenu de la page
(plus ils sont nombreux, mieux c’est) ;
-la position des mots objets de la recherche
grâce à internet
dans la page (plus ils sont en haut de la page,
mieux c’est) ;
-la présence des mots de la recherche dans
le titre du contenu (balise html < h1 >);
-la présence des mots objets de la recherche
dans le titre de la page (balise html < title >);
-la présence de mots objets de la recherche
EDOUARD VERCRUYSSE CONSEILLER RESPONSABLE dans les mots-clés attachés au code de la
page (balise html < keywords >).
Plus que d’autres, le secteur du tourisme a profondément évolué Pour arriver à un résultat optimal, il est dès
avec l’arrivée d’internet dans les ménages. Depuis le début des lors important de rédiger (ou d’adapter) ses
contenus en tenant compte de ces critères.
années 2000, les touristes ont progressivement pris l’habitude Parfois, la simple modification d’un titre
de faire appel à l’extraordinaire richesse du web pour trouver permet de grappiller une position ou deux
la destination de vacances de leur rêve et pour planifier leurs dans Google.
D’autres éléments, indépendants du
séjours. Aujourd’hui, internet est devenu la principale source contenu lui-même, influencent la position
d’information pour le voyage. dans Google. Un des plus importants est
P
le nombre de liens qui envoient vers votre
OUR LES VILLES ET communes recherche qu’il utilisera dans 9 cas sur 10. site. Au plus il y a des sites tiers sur lesquels
soucieuses de promouvoir leur tou- En effet, dans la plupart des pays européens, figurent un lien qui pointe vers votre site, au
risme local, cette évolution repré- plus de 90 % des recherches sur internet son plus celui-ci figurera en bonne position dans
sente l’opportunité de toucher un menées avec Google1. Google. Et si, en plus, les sites sur lesquels
public infiniment plus large que précédem- Cette très large domination de Google, figurent ces liens sont eux-mêmes renom-
ment. Désormais, grâce à internet, l’audience même si elle en inquiète certains sur le més, votre contenu sera encore en meil-
est mondiale. La rubrique touristique du site plan démocratique, est plutôt de nature à leure position. Divers facteurs influencent
internet d’une commune, quelle que soit la simplifier les choses pour celui qui sou- la renommée d’un site, parmi lesquels le
taille de celle-ci ou la valeur de son patri- haite valoriser son contenu sur le web. Son nombre de visites mais aussi son caractère
moine, peut être potentiellement consultée attention ne doit en effet se concentrer que officiel ou non. Si le site belgium. be du Gou-
par des centaines de millions de gens. sur ce seul outil. vernement fédéral, très officiel, contient un
Mais si la présence sur internet de l’offre tou- Pour que votre contenu touristique soit lien vers votre site communal (ce qui est
ristique locale est une étape qui est devenue visible des internautes, il est indispensable le cas pour toutes les communes2), cela
indispensable pour les entités souhaitant qu’il apparaisse en bonne position dans les influencera favorablement la position de
développer leurs activités touristiques (et résultats de recherche Google sur des mots celui-ci dans Google.
les revenus que celles-ci génèrent), elle n’est avec lesquels il est associé. Pour les mots- De par leur caractère officiel, les sites inter-
pas suffisante en elle-même. La simple mise clés les plus importants (par ex. « butte du net des communes eux-mêmes bénéficient
en ligne d’une rubrique dédiée au tourisme lion Waterloo » ou « cascade de Coo »), le d’une position privilégiée sur Google, cela
ne risque pas d’amener un grand nombre de site communal ou celui de l’office du tou- sans même qu’aucun travail particulier soit
nouveaux touristes. L’audience planétaire risme doivent impérativement figurer sur entrepris pour améliorer leur référence-
n’est en effet qu’une audience potentielle. la première page de résultats, idéalement ment. Il s’agit là d’un élément tout à fait inté-
Pour que les internautes soient amenés à même à une des trois premières places ressant dont les villes et communes ont tout
consulter effectivement les contenus touris- (elle en contient 10), ce qui est le cas pour intérêt à tirer profit pour mettre en avant leur
tiques de la commune ou de l’office du tou- les exemples cités ci-dessus. Les utilisa- contenu touristique.
risme local, divers points d’attention doivent teurs de Google s’aventurent en effet rare- Ainsi, de manière générale, la visibilité d’un
être pris en considération. ment plus loin. contenu touristique dans les moteurs de
Les méthodes pour parvenir à un bon réfé- recherche sera meilleure s’il est intégré au
Un bon référencement dans Google rencement dans Google sont multiples. site communal que s’il figure sur un site dis-
L’outil de prédilection de celui qui recherche Certaines d’entre elles sont relativement tinct. Pour cette raison, il est intéressant d’in-
une destination de séjour ou d’excursion simples à mettre en oeuvre, d’autres beau- tégrer l’office du tourisme au site communal
sur internet est Google. C’est ce moteur de coup plus complexes. lorsque c’est possible, notamment quand
58 MOUVEMENT COMMUNAL N°862 NOVEMBRE 2011
2. Informatique
l’office ne couvre qu’une seule commune. PIVOT organise la mutualisation des offres qui donnent la possibilité aux internautes
Certaines communes ont pris cette option touristiques. L’encodage se fait une seule fois de publier leur propre contenu et de don-
et arrivent à un résultat tout à fait intéres- par celui qui est le plus proche de la source, ner leur avis sur le contenu des autres. C’est
sant. C’est le cas de la Ville d’Andenne (www. puis l’information est redistribuée vers les notamment le cas de sites d’hébergement
andenne.be) dont la rubrique Tourisme est autres. « Quelqu’un qui est à Tournai et qui de vidéos comme Youtube ou Dailymotion.
partie intégrante du site de la Ville (avec veut des informations sur Arlon doit être Ces plates-formes peuvent être utilement
notamment une ligne graphique identique), capable d’obtenir cette information à travers mises à profit pour promouvoir les attrac-
tout en ayant un contenu totalement consa- PIVOT », dit Monsieur Danloy. tions touristiques locales. Grâce à elles, les
cré au tourisme et un menu distinct de la par- Les données de PIVOT peuvent être inté- contenus ne se cantonnent plus au site de
tie communale. De cette façon, le contenu grées et venir enrichir les sites de l’ensemble la commune ou de l’office du tourisme. En
touristique bénéficie d’un excellent référen- des acteurs du tourisme. Cela va du por- postant ses vidéos touristiques sur Youtube,
cement dans Google tout en n’étant pas noyé tail du tourisme de la Wallonie (www.tou- une commune ou un office du tourisme
dans la masse du contenu communal. rismewallonie.be) jusqu’aux sites des villes élargissent considérablement la visibilité
et communes. A travers des requêtes spé- de celles-ci, sachant que Youtube totalise
Une mise à profit de sources cifiques, chaque organisme sélectionne les environ 80 millions de visites par mois ! Les
d’informations extérieures informations qu’il souhaite reprendre sur contenus bénéficieront également de la
Les touristes cherchent bien souvent en son site. L’importation des données se fait position intéressante des contenus de You-
premier lieu des informations pratiques : où par le biais d’un « webservice » qui offre tube dans les recherches sur Google.
manger ? Où loger ? Quelles sont les attrac- beaucoup de souplesse et permet, in fine, La Ville d’Andenne a pris le virage web 2.0
tions dans la région ? une parfaite intégration des informations depuis quelques années déjà. Marc Magnier,
Pour fournir ce type d’informations, les de PIVOT à l’environnement graphique de Responsable du Service Nouvelles tech-
communes sont confrontées à deux diffi- chaque site internet. nologies de la Ville d’Andenne, explique :
cultés. Tout d’abord, elles ne disposent que Mais le chantier PIVOT n’est pas encore ter- « Nous avons dans un premier temps hébergé
des informations liées à leur territoire, ce miné : « L’outil existe mais le plus compliqué nous-mêmes nos vidéos, sur le site de la Ville.
qui restreint fortement l’intérêt de celles-ci à mettre en œuvre, c’est de savoir qui met On compressait nous-mêmes nos vidéos, on
pour le visiteur dont la curiosité dépasse les l’information à jour et comment on s’orga- les mettait sur notre propre serveur… Et puis
limites administratives. nise. C’est le défi qui nous attend pour 2012 », on s’est rendu compte que ce n’était pas une
Deuxièmement, la mise à jour des informa- conclut Monsieur Danloy. bonne idée. Non seulement parce que c’était
tions à valeur touristique est souvent fasti- D’autres sources de données qui sont acces- très lourd à gérer, l’encodage était pénible,
dieuse et monopolise beaucoup d’énergie sibles aux communes et aux acteurs tou- mais aussi parce qu’on perdait tout l’aspect
au sein de l’administration communale. Il ristiques. Parmi elles, mentionnons celle social des réseaux de vidéos que sont You-
n’est en effet pas toujours facile d’être tenu que propose la jeune société Circuits de tube ou Dailymotion. Maintenant que nous
au courant qu’un restaurant cesse ses acti- Belgique (www.circuits-de-belgique.be), hébergeons nos vidéos sur Dailymotion, il
vités ou qu’un gîte a augmenté sa capacité qui se concentre sur les ballades à pied, à y a toute une série de gens qui trouvent nos
d’accueil. vélo ou en voiture. Les circuits sont créés de vidéos depuis cette plate-forme sans vraiment
Pour éviter ces écueils, les communes manière dynamique soit par la commune passer par notre site. Ils y vont par la suite,
peuvent profiter de la base de données ou l’office du tourisme, soit directement par s’ils sont intéressés par le contenu ».
PIVOT qu’a mis en place le Commissariat l’internaute. Une fois finalisés, les circuits L’utilisation d’une plate-forme largement
général au Tourisme de la Région wallonne. apparaissent sur le portail circuits-de-bel- répandue telle que Dailymotion permet
PIVOT pour « partage de l’information pour gique. be, sous une forme à la fois graphique d’aller chercher l’internaute là où il se trouve
la valorisation de l’offre touristique ». Cette et textuelle. Un ensemble d’informations plutôt que d’espérer qu’il arrive un jour
base de données réunit un grand nombre complètent les circuits et permettent d’avoir sur le site de la commune ou de l’office du
de données touristiques de Wallonie et un large aperçu des activités et centres d’in- tourisme.
de Bruxelles (elle comporte quelque 300 térêts touristiques des différentes régions de En outre, cela amène également une cer-
champs !). Son but est que les données ne Wallonie. taine facilité technique : « Le site internet
soient encodées qu’une seule fois pour être Les circuits disponibles pour une entité Andenne TV, qui regroupe toutes les vidéos
ensuite mises à disposition de l’ensemble peuvent également être intégrés dans la d’Andenne, n’est qu’une mise en page du
des organismes intéressés. rubrique tourisme d’un site internet com- flux de nos vidéos présentes sur Dailymotion.
« On s’est rendu compte que, à tous les niveaux munal. Le coût de ce service oscille entre 190 Quand on encode une vidéo sur Dailymotion,
(communes, syndicats d’initiative, offices de et 990 euros par an en fonction de la taille de automatiquement elle est reprise sur notre site
tourisme, maisons de tourisme, fédérations l’entité. Andenne TV, on n’a aucune gestion à faire ».
touristiques,…), les mêmes informations sont La commune bénéficie également des
encodées dans des bases de données multiples Le web 2.0 et les réseaux contributions extérieures : « Je peux sélec-
qui sont parfois non compatibles les unes sociaux pour augmenter tionner les vidéos consacrées à Andenne, que
avec les autres » explique Daniel Danloy, la visibilité des contenus les internautes postent eux-mêmes sur Dai-
Directeur au Commissariat général au Tou- Depuis 2005 et l’avènement du web 2.0, une lymotion. Elles sont alors automatiquement
risme (CGT) de la Région wallonne. multitude d’outils sont apparus sur internet, injectées dans Andenne TV ».
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3. Informatique
Parmi les outils qui facilitent la communica- Le flux va donc dans les deux sens : Facebook inchangé alors que la page de destination
tion et le dialogue avec les touristes, il en est amène des visiteurs vers le site communal et peut être complétée, modifiée avec des
un autre qui est difficilement contournable le site communal les amène vers Facebook. informations textuelles, des illustrations et
aujourd’hui, c’est Facebook. Comme avec cartes, des vidéos.
Youtube ou Dailymotion, l’intérêt pour une Le smartphone Chaque code QR mène à une page spé-
commune de présenter ses activités tou- comme outil touristique cialement formatée pour être lue sur un
ristiques sur Facebook est qu’une grande 26 % des Belges et 47 % des Européens dis- appareil mobile. Il s’agit d’une véritable
quantité d’internautes utilisent cet outil, posent d’un smartphone. A l’horizon 2016, page web et pas d’une application dédiée,
qu’ils le maîtrisent parfaitement et s’y sen- ces chiffres passeront à 60 % et 80 %3. avec l’avantage qu’elle peut être lue par
tent en confiance. Pour une partie d’entre L’arrivée massive des smartphones, ces véri- tous les types de smartphone. La page
eux même, l’expérience du web se limite à tables ordinateurs de poche, permet d’envi- présente brièvement le lieu, fournit des
Facebook. Tout ce qui n’est pas sur Facebook sager de nouveaux modes d’interaction informations sur ses services et, éven-
n’existe dès lors pas. avec les touristes et de nouvelles façons de tuellement, sur son histoire. Elle contient
La création par une commune ou par un découvrir un territoire. généralement aussi des infos pratiques : les
office du tourisme d’une page Facebook Une des principales particularités des coordonnées du lieu, le plan permettant
dédiée au tourisme est une manière inté- smartphones est qu’ils permettent d’accé- de se situer dans le quartier, les coordon-
ressante de promouvoir le tourisme local, der à internet en situation de mobilité. Ils nées téléphoniques ou l’e-mail. Celles-ci
grâce à un outil gratuit et très largement amènent internet dans la poche des utilisa- peuvent être immédiatement activées avec
connu des utilisateurs. teurs. Où que ceux-ci se trouvent, ils peuvent le smartphone.
Sophie Fraikin, Responsable du Service désormais accéder au web, et donc à vos Les illustrations inclues dans les pages desti-
Tourisme de la Vile d’Andenne : « Facebook contenus. nations des codes QR permettent au touriste
nous permet d’organiser tout un partage En matière touristique, l’internet mobile de se faire une idée de l’intérieur d’un bâti-
d’informations, avec notamment des liens amène un changement de taille : le touriste ment même s’il n’est pas ouvert au public.
vers notre site internet, des photos prises ne se sert plus seulement d’internet pour Les codes QR peuvent également être uti-
par des touristes, des infos sur les artisans préparer ses voyages ou ses excursions lisés à l’intérieur des bâtiments. C’est le
locaux… C’est une autre manière de com- comme il le faisait jusqu’ici. Il peut désor- cas au Musée de la Céramique de la Ville
muniquer ». Et le succès arrive petit à petit : mais également faire appel à internet au d’Andenne dont toutes les salles sont équi-
« Nous sommes aujourd’hui à plus de 1000 cours de ses visites, pour obtenir des infor- pées d’un code QR. Grâce à eux, les touristes
amis sur la page Tourisme d’Andenne sur mations sur le monument ou l’œuvre d’art peuvent obtenir des informations complé-
Facebook. » Cela fait autant de personnes qui est devant lui ou des renseignements mentaires et enrichir leur expérience de
qui sont informées automatiquement des pratiques tels que, par exemple, l’heure visite.
activités touristiques de la Ville. d’ouverture d’un musée. Un peu partout en Europe, les codes QR
Pour éviter les surprises, mieux vaut tou- Cette irruption d’internet « sur le terrain » font leur apparition. En Wallonie, la société
tefois connaître la « machine » Facebook laisse présager d’importants changements iBeaken (www.ibeaken.be) en a fait sa spé-
et bien régler les autorisations et para- dans les habitudes des touristes et dans les cialité. Elle travaille notamment en partena-
mètres de confidentialité avant de se lan- services qui leur seront proposés demain. riat avec le Commissariat général au Tou-
cer. Sophie Fraikin : « Les internautes ne Un exemple parmi d’autres : qu’adviendra- risme de la Région wallonne. Son produit
peuvent pas poster directement des com- t-il des guides de voyages face à la concur- porte le même nom que la société : iBeaken.
mentaires sur notre mur. Ils peuvent par rence des smartphones qui, contrairement Un iBeaken est une borne virtuelle person-
contre réagir par rapport à quelque chose à eux, renvoient vers des informations nalisée qui, outre un code QR, comporte
qu’on a nous-mêmes posté. Il arrive qu’il constamment à jour ? également une puce NFC qui permet aux
y ait des commentaires négatifs mais on a Plusieurs communes wallonnes ont fait le smartphones compatibles avec cette tech-
décidé de jouer le jeu et d’y répondre plutôt pas de proposer à leurs touristes des infor- nologie d’afficher des informations sans
que de les supprimer ». mations accessibles à partir d’un smart- devoir scanner de code (technologie sans
Il est intéressant de jouer la complémen- phone. C’est le cas d’Andenne, de Thimis- contact) ainsi qu’un code chiffré qui permet
tarité entre la page sur Facebook et le site ter-Clermont, de Floreffe, de Namur, de d’accéder aux informations avec des smart-
internet de la commune. La commune peut Couvin… Elles ont décidé d’installer devant phones dépourvus d’un appareil photo. Un
par exemple afficher le bouton « j’aime » les principaux monuments et curiosités tou- produit qui a déjà séduit un bon nombre
sur les pages de son site. La personne qui ristiques de leur entité des petites plaquettes de communes par son caractère complet,
cliquera dessus postera automatiquement rigides sur lesquelles ne figure pas de texte facile à mettre en oeuvre et relativement
un lien vers l’article du site communal sur sa mais un code QR. démocratique.
page Facebook. Et l’info va ensuite remon- Un code QR ? Il s’agit d’un code-barres en
ter vers l’ensemble des amis de cette per- deux dimensions que le visiteur peut scan- 1
Part de marché de Google en France : 90,5 %, Allemagne :
sonne, qui pourront eux-mêmes cliquer sur ner avec l’appareil photo de son smartphone 92,1 %, Espagne : 94,7 %, Royaume-Uni : 91,8 % (chiffres AT
Internet, août 2011).
« j’aime » et augmenter encore la visibilité et dont une des fonctions est de renvoyer 2
V. http://www.belgium.be/fr/adresses_et_sites/, rubrique
de l’article en question. C’est toute la force vers du contenu sur le web. Un avantage “villes et communes”
.
du modèle viral de Facebook. du système est que le code QR peut rester 3
Chiffres Insites Consulting, juillet 2011.
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