S2 revue de presse kylia - semaine du 6 au 12 janvier 2020
Revue de presse kylia semaine 23
1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 4 Juin au 10 Juin 2012
Le crédit immobilier toujours déprimé mais se stabilise en
mai (étude)
Le 4/6/12
Le volume des prêts immobiliers accordés en mai en France a été quasiment stable (+0,6%) par
rapport à avril, signe d'une stabilisation, mais à un niveau nettement moindre par rapport à 2011 (-
24,8%), selon les chiffres mensuels de l'Observatoire Crédit Logement/CSA publiés lundi.
L'Observatoire relève que cette stabilisation intervient alors que "les conditions de crédit se sont
encore améliorées (nouvelle baisse des taux, NDLR), exprimant la volonté des établissements de
crédit de soutenir les marchés immobiliers".
Cet atterrissage concerne à la fois les marchés de l'ancien et du neuf.
Autre phénomène souligné par l'Observatoire, le coût relatif des opérations (exprimé en années de
revenus) a bondi en mai pour atteindre "un de ses niveaux les plus élevés depuis le début des années
2000", à 3,95 années de revenus.
Ce sursaut s'explique largement, pour l'étude, par "la transformation du marché" qui consiste à un
"recentrage vers les clientèles plus aisées".
Concernant la durée des prêts, la proportion des crédits à 25 ans ou plus ne représente plus que
16,3% du volume, en baisse continue depuis 2011. Sur l'ensemble de l'année dernière, cette
proportion était ainsi de 25,3%.
Contraintes par le nouveau cadre prudentiel dit Bâle III, qui doit entrer en vigueur début 2013, les
banques se désintéressent des crédits à long terme, qui sont pénalisés par les nouvelles règles.
Source :LesEchos.fr
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2. Duflot annonce un décret pour bloquer les loyers à la
relocation
Le 4/6/12
Pour lutter contre "l'emballement" des prix des loyers sans attendre une nouvelle loi qui exigera de
longues négociations, le gouvernement entend bloquer par décret dès la rentrée prochaine les tarifs à
la relocation. "Il s'agit d'une disposition d'urgence pour répondre à la crise du logement qui pèse sur
les ménages, annonce la ministre du logement, Cécile Duflot, dans Libération, lundi 4 juin. François
Hollande avait promis l'encadrement des loyers et c'est dans cet objectif que s'inscrit ce projet de
décret."
Le décret, après une présentation fin juin au Conseil d'Etat, serait publié mi-juillet pour entrer
en vigueur à la rentrée. Il ne gèlera pas les loyers. En revanche, les propriétaires ne pourront
plus profiter d'un changement de locataire pour les augmenter à leur guise et le nouvel entrant
sera soumis au même tarif que le sortant. Son loyer continuera ensuite d'évoluer selon l'indice
de référence publié par l'Insee et adossé à l'inflation.
Ce décret doit "permettre que, dans les agglomérations et les zones où les loyers ont atteint des
niveaux insupportables, l'accès à la location redevienne possible", explique Cécile Duflot. La ministre
reproche au marché locatif français de s'être "embolisé, avec une logique de spéculation et un
emballement des prix des loyers". "A l'inverse d'autres pays européens où les loyers sont régulés, on
est en France dans une situation intenable, où il est devenu impossible de se loger pour les jeunes et
pour beaucoup de ménages, qui doivent fuir Paris et les grandes agglomérations", dénonce-t-elle.
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3. UNE HAUSSE MOYENNE DE 6 % À LA RELOCATION
Selon l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne, les loyers ont progressé de 2,4 % en
région parisienne en 2011, un niveau supérieur à la valeur moyenne de l'IRL (+1,7 %) en raison
notamment d'une hausse moyenne de 6 % "à la relocation". A Paris, les locations se sont conclues
l'an dernier à un loyer moyen de 23,4 euros par mètre carré, soit une progression de 3,5 % en un an.
Le blocage des loyers par décret est une revendication de la Confédération nationale du logement, la
plus importante association de locataires de l'Hexagone, et de la Confédération générale du logement,
à l'origine d'une pétition en ligne signée par plus de 20 000 personnes.
En janvier, François Hollande avait annoncé vouloir "encadrer par la loi" les loyers "dès la première
location ou à la relocation" dans les zones où "les prix sont excessifs", autrement dit l'essentiel de l'Ile-
de-France, une partie de Provence-Alpes-Côte d'Azur et la côte basque. Il avait ensuite précisé fin
avril que ces montants ne devraient "pas dépasser la moyenne des loyers pratiqués dans le quartier
pour un logement similaire", avertissant que "dans les zones où les loyers sont manifestement
surévalués, ils devront même baisser au moment de la relocation".
Cécile Duflot devrait exploiter une possibilité ouverte par l'article 18 de la loi du 6 juillet 1989 sur les
"rapports locatifs". Tombé dans l'oubli, il permet de fixer par décret "le montant maximum des loyers
des logements vacants" dans les zones où l'évolution des loyers s'avère "anormale". L'interprétation
extensive de cet article par le cabinet de la ministre pourrait toutefois prêter à des contestations que le
Conseil d'Etat serait amené à trancher, selon Libération. Le décret anticipera une révision en
profondeur de la loi de 1989 dans le cadre d'une grande loi sur le logement, qui ne sera pas prête
avant 2013. D'ici là, Cécile Duflot entend collecter "des données très précises" sur les loyers en
France et engager une concertation "avec tous les acteurs" du secteur, publics et privés, associations
de propriétaires ou de locataires.
Source : LeMonde.fr
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4. Immo :52% des Français ont un projet
Le 6/6/12
Rénovation, changement, achat: en moyenne 52% des Français ont un projet pour leur logement
dans les deux ans, affirme une étude publiée aujourd'hui par l'organisme français de certification
Qualitel et réalisée par H²O, spécialisé dans la recherche sociale et marketing.
Plus d'un tiers des personnes interrogées (37%) ont l'intention de rénover leur logement dans les deux
prochaines années. Ils sont en revanche moins d'un sur deux à avoir un projet d'achat ou de
changement de logement, note l'étude. Les intentions d'achat à horizon deux ans sont plus élevées
dans le logement ancien (14%) que dans le neuf (10%).
Concernant la certification des logements, l'isolation thermique apparaît comme le critère le plus
important pour engager une telle démarche. Les personnes interrogées sont 63% à juger ce critère
très important, 29% à le juger assez important. Il est suivi de la qualité des équipements de chauffage
et de robinetterie, de la qualité des toitures et des façades, du respect des normes de construction ou
encore de l'isolation acoustique et de la maîtrise des charges. L'étude a été réalisée sur Internet entre
le 5 et le 13 septembre 2011, auprès de 1.021 Français âgés de 18 ans et plus.
Source : LeFigaro.fr
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5. Un marché immobilier bloqué en Ile-de-France
Le 6/6/12
Selon MeilleursAgents.com, seuls le haut de gamme et les produits sans défauts se sont
vendus en avril 2012.
(c) Afp Cécile Duflot devrait exploiter une possibilité ouverte par l'article 18 de la loi du 6 juillet 1989
sur les "rapports locatifs". Tombé dans l'oubli, il permet de fixer par décret "le montant maximum des
loyers des logements vacants" dans les zones où l'évolution des loyers s'avère "anormale".
À Paris comme en banlieue, le marché immobilier est proche du blocage, selon le constat du courtier
en agences immobilières MeilleursAgents.com. Les prix à Paris et en première couronne ne baissent
plus depuis trois mois. Dans la capitale, ils ont même augmenté de + 0,3 % depuis mars, quand dans
l’ensemble de la petite couronne (92, 93, 94), ils ont en moyenne progressé + 0,2 %. Les prix en
grande couronne (77, 78, 91, 95), ont, eux, augmenté de + 0, 6 %. Conséquence de cette hausse des
prix : l’activité est en baisse. Le nombre de transactions a diminué de 35 à 40 % selon les quartiers et
les villes de banlieues par rapport à 2011.
Malgré des taux de crédit immobilier très attractifs - on emprunte aujourd’hui à 3,5 % sur 20 ans
contre 4 % il y a trois mois – la demande de crédit immobilier est en forte chute (-38 % par rapport au
premier trimestre 2011 selon l'observatoire Crédit Logement CSA). Les biens de qualité moyenne
d’une valeur supérieure à 350 000 euros ont du mal à trouver preneur. Seuls le haut de gamme, les
biens sans défaut au bon prix et les produits d'investissement se vendent. Cependant, inquiétés par
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6. un climat économique incertain, les propriétaires de grandes surfaces repoussent leurs projets
d'achat-revente et bloquent ce marché. Sauf changement extrêmement rapide du contexte
économique, rien ne permet d'anticiper une évolution sensible du marché avant plusieurs mois.
Source : Challenges.fr
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7. Immobilier : partager l'achat d'un pied-à-terre
Le 7/6/12
Afin de réduire le coût initial de l'achat d'un appartement parisien Corestones propose à plusieurs
particuliers de réaliser un co-investissement. La propriété comme le temps d'occupation du pied-à-
terre parisien sont divisés par le nombre de co-investisseurs
Même s'ils ont tendance à s'effriter, les prix de l'immobilier à Paris restent à des niveaux élevés. Ce
constat interpelle les particuliers souhaitant s'offrir un pied-à-terre dans la capitale. « Avec un budget
de l'ordre de 300.000 euros, nous proposons aux particuliers de s'offrir avec d'autres co-investisseurs
un appartement de standing d'environ 60 mètres carrés dans un quartier recherché, au lieu de se
limiter à l'achat d'un grand studio dans un secteur moins recherché » explique David Monroe, à la tête
de société Corestones, qui développe la marque Co-investir Paris.
Dans la pratique, Corestones sélectionne un appartement afin de le remettre en état et de le meubler.
Puis cet opérateur cède ce bien à deux ou trois ou encore quatre investisseurs. Généralement, il s'agit
de provinciaux, d'expatriés ou d'étrangers souhaitant avoir un toit dans la capitale à occuper pendant
quelques semaines par an.
En se basant sur quatre co-utilisateurs, cette formule judicieuse donne la possibilité à chacun d'entre
eux, de disposer de treize semaines par an. Sur ce total, six semaines sont réservées en avance. Et
le solde, fait l'objet de réservation au fil de l'eau, afin de donner une certaine souplesse au montage.
Même s'ils ne se connaissent pas au préalable, ce projet commun permet donc de fractionner le prix
d'acquisition de leur pied-à-terre parisien. L'autre avantage porte sur la réduction des charges
annuelles attachées à cet appartement en les répartissant entre les co-utilisateurs. A noter que
Corestones retient des frais annuels de 4.000 euros TTC par associé, sur la base de quatre co-
investisseurs. Ce poste couvre les charges de copropriété et les taxes foncières.
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8. Un montage juridique adossé à deux SCI
Cette formule de co-investissement repose sur un démembrement temporaire, d'une durée de huit
ans, de la propriété de l'appartement choisi, autour de deux SCI (sociétés civiles immobilières). D'une
part, une SCI de droit commun détenant la nue-propriété du logement. D'autre part, une SCI
d'attribution d'immeuble en jouissance à temps partagé.
Au terme des huit ans de ce démembrement temporaire, l'usufruit rejoint la nue-propriété, les associés
peuvent sortir de leur investissement. Deux cas de figure peuvent se présenter : les autres-
covinvestisseurs ou des tiers rachètent ses parts à ses conditions de prix. A défaut, s'il détient 25%
des parts dans la SCI de droit commun, l'associé peut déclencher la vente de l'appartement, dans les
six mois. Puis le produit de la vente est réparti entre les associés de la SCI, au prorata de leur
participation.
Pour avoir une idée des prix, signalons qu'un appartement de 73 mètres carrés situé dans un
immeuble en pierre de taille, implanté rue Robert Estienne à proximité de la rue Marbeuf, dans le
quartier de l'Etoile vient d'être acquis par quatre investisseurs. Chacun a déboursé 350.000 euros
pour s'offrir ce pied-à-terre.
Source : LesEchos.fr
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9. A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :
• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.
• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.
• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39
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