S28 revue de presse kylia - semaine du 4 au 10 juillet 2016
1. La revue de Presse KYLIA
1
LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 4 au 10 juillet 2016
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
Les professionnels réclament un bilan de
l’encadrement des loyers à Paris
Le 4/7/2016
L’évaluation avant l’extension. Pour la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim), l’Union des
syndicats de l’immobilier (Unis) et l’association Plurience, l’extension de l’encadrement des loyers à
l’agglomération parisienne à l’horizon 2018 ne pouvait pas de décider aussi rapidement. Ensemble,
elles ont réclamé que le dispositif soit circonscrit à Paris intra-muros.
«Cette décision est contraire aux directives édictées par le Premier ministre, Manuel Valls, de
circonscrire l’encadrement des loyers à Paris intra-muros, et d’en faire un bilan avant de poursuivre
2. La revue de Presse KYLIA
2
une éventuelle extension», écrivent-elles dans un communiqué. Il avait en effet présenté à l’époque la
mesure comme un dispositif expérimental.
Propositions alternatives
«Avant toute prise de décision unilatérale telle que celle qui vient d’être prise abruptement, nous
demandons que la décision du Premier ministre soit respectée et fasse l’objet d’une mission
d’enquête de parlementaires faisant le bilan de la mesure appliquée sur Paris intra-muros avant toute
extension», poursuivent-elles. Elles ajoutent avoir «maintes fois signalé les conséquences ravageuses
de cette décision technocratique qui fait fi du marché et rompt la confiance de l’investisseur» et
rappellent avoir «fait des propositions alternatives qui n’ont jamais été examinées, car elles font appel
à la contractualisation et non à l’encadrement».
La ministre du Logement, Emmanuelle Cosse, a annoncé jeudi avoir signé l’arrêté permettant
d’étendre l’encadrement des loyers à 412 communes de l’agglomération parisienne. Une annonce qui
avait immédiatement suscité le mécontentement de la plupart des professionnels de l’immobilier
même si plusieurs associations de consommateurs y voyaient plutôt une avancée. Nombre
d’observateurs notent également que la mesure ne sera réellement appliquée qu’à partir de 2018,
donc après l’élection présidentielle, sachant que bon nombre de candidats sont opposés à cette
mesure.
Depuis août 2015, à la signature d’un nouveau bail ou lors d’un renouvellement, le loyer d’un
logement ne peut dépasser de plus de 20% un loyer de référence (modulé par zones et nombre de
pièces) fixé par arrêté préfectoral, ni lui être inférieur de 30%. Un «complément» est autorisé pour
certains biens.
Source : LeFigaro.fr
3. Encadrement des loyers
professionnels dénoncent les "conséquences
ravageuses"
Le 4/07/2016
Depuis août 2015, à la signature d'un nouveau bail ou lors d'un renouvellement, le loyer d'un logement
ne peut dépasser de plus de 20% un loyer de référence. (Crédits : (c) Copyright Thomson Reuters
2012. Check for restrictions at: h
demandent d'abord un bilan de la mesure, déjà appliqués dans Paris intra
Logement, Emmanuelle Cosse, a signé l'arrêté permettant d'étendre l'encadrement des loyers à
communes de l'agglomération parisienne.
La décision d'étendre l'encadrement des loyers au Grand Paris ne passe pas auprès des
professionnels de l'immobilier. La Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), l'Union des syndicats
de l'immobilier et l'association Plurience ont dénoncé dimanche dans un communiqué cette extension
qui doit avoir lieu à l'horizon 2018 et demandé qu'il soit circonscrit à Paris intra
"Cette décision est contraire aux directives édictées par le Premier ministre, Manuel
circonscrire l'encadrement des loyers à Paris intra
une éventuelle extension."
La revue de Presse KYLIA
Encadrement des loyers : les syndicats
professionnels dénoncent les "conséquences
Depuis août 2015, à la signature d'un nouveau bail ou lors d'un renouvellement, le loyer d'un logement
ne peut dépasser de plus de 20% un loyer de référence. (Crédits : (c) Copyright Thomson Reuters
2012. Check for restrictions at: http://about.reuters.com/fulllegal.asp) Les syndicats de l'immobilier
demandent d'abord un bilan de la mesure, déjà appliqués dans Paris intra-muros. La ministre du
Logement, Emmanuelle Cosse, a signé l'arrêté permettant d'étendre l'encadrement des loyers à
communes de l'agglomération parisienne.
La décision d'étendre l'encadrement des loyers au Grand Paris ne passe pas auprès des
professionnels de l'immobilier. La Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), l'Union des syndicats
association Plurience ont dénoncé dimanche dans un communiqué cette extension
qui doit avoir lieu à l'horizon 2018 et demandé qu'il soit circonscrit à Paris intra-muros.
"Cette décision est contraire aux directives édictées par le Premier ministre, Manuel
circonscrire l'encadrement des loyers à Paris intra-muros, et d'en faire un bilan avant de poursuivre
3
: les syndicats
professionnels dénoncent les "conséquences
Depuis août 2015, à la signature d'un nouveau bail ou lors d'un renouvellement, le loyer d'un logement
ne peut dépasser de plus de 20% un loyer de référence. (Crédits : (c) Copyright Thomson Reuters
ttp://about.reuters.com/fulllegal.asp) Les syndicats de l'immobilier
muros. La ministre du
Logement, Emmanuelle Cosse, a signé l'arrêté permettant d'étendre l'encadrement des loyers à 412
La décision d'étendre l'encadrement des loyers au Grand Paris ne passe pas auprès des
professionnels de l'immobilier. La Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), l'Union des syndicats
association Plurience ont dénoncé dimanche dans un communiqué cette extension
muros.
"Cette décision est contraire aux directives édictées par le Premier ministre, Manuel Valls, de
muros, et d'en faire un bilan avant de poursuivre
4. La revue de Presse KYLIA
4
"Avant toute prise de décision unilatérale telle que celle qui vient d'être prise abruptement, nous
demandons que la décision du Premier ministre soit respectée et fasse l'objet d'une mission d'enquête
de parlementaires faisant le bilan de la mesure appliquée sur Paris intra-muros avant toute extension",
poursuivent-elles, alors que la ministre du Logement, Emmanuelle Cosse, a annoncé jeudi avoir signé
l'arrêté permettant d'étendre l'encadrement des loyers à 412 communes de l'agglomération
parisienne.
"Une décision technocratique qui fait fi du marché"
Elles ajoutent avoir "maintes fois signalé les conséquences ravageuses de cette décision
technocratique qui fait fi du marché et rompt la confiance de l'investisseur" et rappellent avoir "fait des
propositions alternatives qui n'ont jamais été examinées, car elles font appel à la contractualisation et
non à l'encadrement".
Depuis août 2015, à la signature d'un nouveau bail ou lors d'un renouvellement, le loyer d'un logement
ne peut dépasser de plus de 20% un loyer de référence (modulé par zones et nombre de pièces) fixé
par arrêté préfectoral, ni lui être inférieur de 30%. Un "complément" est autorisé pour certains biens.
Source : LaTribune.fr
5. La revue de Presse KYLIA
5
Immobilier: après le Brexit, c'est le moment
d'acheter
Le 4/7/2016
Les emprunteurs, qui obtenaient déjà des conditions de crédits immobiliers jamais vues,
devraient encore voir baisser les taux pratiqués par les banques.
Les emprunteurs devraient encore voir baisser les taux pratiqués par les banques. (C) SIPA
Après le vote en faveur du Brexit, il y a ceux qui tremblent… et ceux qui se frottent les mains. Entre
autres effets collatéraux, l’Etat français s’endette moins cher cette semaine qu’il y a dix jours. Le 23
juin, il empruntait au taux de 0,368 % sur dix ans. Aujourd’hui, il emprunte sur cette durée à 0,098 %.
Sans parler des autres durées d’emprunt, plus courtes, sur lesquelles il s’endette à taux négatif! En
clair, si le prêt est consenti à l’Etat sur moins de dix ans, c’est le prêteur qui rémunère l’emprunteur.
L’explication? L’annonce du vote assez massif en faveur du Brexit a engendré une panique sur les
marchés. De nombreux investisseurs ont vendu leurs actions et leurs obligations privées pour se
reporter encore plus massivement sur les emprunts d’Etat français et allemand. Un mouvement bien
connu, que l’on appelle "flight to quality". Pris d’angoisse, les investisseurs logent leurs avoirs dans
des actifs réputés plus sûrs. Et comme ils sont, d’un coup, plus nombreux à vouloir prêter aux Etats
jugés solvables, leur taux de rémunération diminue. Les emprunteurs, eux, profitent à plein de ce
mouvement. Bref, pour l’Etat français, lourdement endetté, ce Brexit signe une période de soldes
façon douzième démarque.
6. La revue de Presse KYLIA
6
Mais l’Etat n’est pas le seul à profiter de l’occasion: les emprunteurs, qui obtenaient déjà des
conditions de crédits immobiliers jamais vues, devraient encore voir baisser les taux pratiqués par les
banques. "Depuis la semaine dernière, confirme Maël Bernier, porte-parole du courtier en crédits
immobiliers meilleurtaux.com, les trois grandes banques nationales qui ont revu leur barème ont
encore consenti 0,10 point de baisse". Le taux jugé moyen la semaine dernière était de 1,70% sur
vingt ans, et il est descendu à 1.60%. "La baisse est généralisée: tous les profils éligibles à
l’endettement, aisés ou modestes, en profitent", ajoute Maël Bernier.
"Aucune raison d'arrêter"
Mieux: l’année dernière, à la même époque, les banques avaient relevé leurs taux pour dissuader les
emprunteurs, car elles faisaient face à un nombre inédit de dossiers à traiter. "Cette année, elles ont
du personnel pour faire face", annonce Maël Bernier, "et n’ont aucune raison d’arrêter". Bref, les
candidats à l’achat peuvent se lancer sans hésiter. Avec 1.200 euros de mensualités, on emprunte
aujourd’hui 232.000 euros, contre 200.000 il y a quatre ans.
Ceux qui n’ont pas encore renégocié leur crédit peuvent aussi se pencher sérieusement sur la
question au cours de l’été… les banques commencent même à voir des emprunteurs qui renégocient
pour la deuxième fois. Un particulier qui aurait contracté un emprunt de 200.000 euros en 2012, au
taux de 3.30% sur vingt ans, a encore seize ans de remboursements devant lui aujourd’hui. En
conservant la même durée, il peut obtenir un taux de 1,4%. Ses mensualités passent de 1.199 euros
à 1.059 euros, soit une économie mensuelle de 140 euros et de 26.880 euros sur toute la durée du
prêt.
Cette baisse des taux de crédits immobiliers est assez logique: ce sont les taux des emprunts d’Etat
qui dictent, peu ou prou, les conditions dans lesquelles les banques se refinancent. Si le taux des
emprunts d’Etat baisse, elles empruntent moins cher auprès des banques centrales, et peuvent donc
baisser les taux de crédits octroyés à leurs clients sans entamer leurs marges. Mieux: avant 2012,
elles prêtaient sur des durées longues mais empruntaient, elles, sur des durées très courtes (à des
taux bien plus faibles).
La fin des soldes
"Mais les opérations de refinancement lancées par les banques centrales leur ont permis de se
refinancer à moyen et long terme à des conditions très favorables", note Sandy Campart, directeur de
l’IUP Banque Finance Assurance à l’IAE de Caen et co-auteur du guide Risques de taux d’intérêt et
de change, avec Pedro Jimenez. Alors que les durées moyennes de refinancement s’échelonnaient
entre 3 et 6 mois avant 2012, elles sont aujourd’hui supérieures à un an.
7. La revue de Presse KYLIA
7
Pourtant, la situation des banques n’est pas aussi dégagée que celle des particuliers emprunteurs,
selon Sandy Campart. "Les particuliers renégocient à des taux d’intérêts beaucoup plus bas. Pour le
moment, les banques trouvent à se refinancer à des taux très bas également. Mais si les taux
d’intérêts venaient à remonter brutalement, les banques se refinanceraient plus cher, tandis que les
emprunteurs, eux, conserveraient les mêmes conditions qu’avant".
Enfin, il n’est pas évident que cette situation de taux très bas perdure. "S’il y a des doutes sur la
croissance, sur le marché de l’emploi, les banques peuvent considérer que cela remet en cause la
capacité des emprunteurs à rembourser. Pour intégrer une prime de risque plus importante, elles
peuvent relever les taux d’intérêts des crédits", poursuit Sandy Campart. Même prolongés, les soldes
auront forcément une fin.
Source : Challenges.fr
9. La revue de Presse KYLIA
9
vendredi, un label socle qui préfigure ce que sera la future norme de construction en France, au-delà
de 2018. Une future réglementation qui succèdera à la RT2012 et qui ne sera plus simplement
thermique mais « environnementale », en prenant en compte divers critères tels que l'empreinte
carbone d'une construction sur l'ensemble de son cycle de vie ou des aspects de qualité de l'air.
Parlant de l'ambition de cette nouvelle étape dans la marche vers un bâtiment durable, la ministre a
déclaré : « Il est très important de ne jamais oublier les ambitions qui sont fortes, et ne pas s'enfermer
dans un dogmatisme en gardant le temps du dialogue et de la concertation ». Selon Emmanuelle
Cosse, la nouvelle réglementation entraînera une évolution des pratiques avec une meilleure courbe
d'apprentissage de toute la filière et en mettant l'accent sur l'innovation. Elle écarte l'idée d'une
augmentation des coûts liée à ce nouveau dispositif ou d'effet d'aubaine comme il a pu y en avoir par
le passé. La ministre du Logement estime au contraire qu'il « valorisera les savoir-faire et la filière
française des matériaux de construction ».
La rénovation, l'autre grande question de la performance énergétique des bâtiments
Outre la question de la construction neuve, Emmanuelle Cosse est également intervenue sur la
question de la rénovation thermique du parc ancien. Elle a annoncé : « Il faut avancer, trouver un
rythme plus élevé. La difficulté réelle est de sauter le pas, de lancer des travaux. Pourtant les enjeux
sont essentiels pour diminuer les émissions de gaz à effet de serre, mais également pour réduire la
précarité énergétique et améliorer le qualité et le confort des logements, ou pour revitaliser les centre-
bourgs dégradés ». L'ancienne présidente d'Europe Ecologie Les Verts s'est fendue d'une petite
formule : « C'est bon pour la planète, bon pour le pouvoir d'achat des ménages, et bon pour l'emploi ».
Elle a souligné la réussite du dispositif RGE, « qui apporte de la confiance entre le client et son
prestataire », et a rappelé que le programme « Habiter mieux » de l'Anah prendrait encore de
l'envergure en 2017, avec 100.000 rénovations comme point de mire.
Sur la problématique particulière des copropriétés, la ministre souhaite pouvoir susciter des
rénovations thermiques en actionnant différents levier : « L'Anah doit pouvoir subventionner
l'ingénierie et une partie des travaux des copropriétés fragiles ». Emmanuelle Cosse en a d'ailleurs
profité pour signer la Charte pour la rénovation énergétique des copropriétés, qui enjoint les syndics à
lancer des audits puis des travaux dans les meilleurs délais dans les immeubles qu'ils gèrent. Plus de
1.000 professionnels auraient déjà été formés à travers l'Hexagone à ces questions.
Source : Batiactu.com
10. La revue de Presse KYLIA
10
Logement: les APL deviennent dégressives au-
delà d'un certain loyer
Le 7/72016
Le gouvernement prévoit de diminuer le montant des aides personnelles au logement (APL) au-delà
d'un certain montant de loyer, selon un décret publié jeudi. Cette mesure vise à prendre "mieux en
compte la capacité financière effective et les besoins des ménages en prévoyant la dégressivité des
prestations lorsque le loyer est supérieur à un plafond", indique le document.
En clair: limiter, voire supprimer, le montant des APL quand le loyer est considéré comme
manifestement trop élevé par rapport aux revenus du ménage. Elle "s'applique aux prestations dues à
compter du 1er juillet 2016", est-il ajouté. Les seuils de loyers retenus dépendent notamment de
zones géographiques. Cette disposition était prévue par la loi de Finances 2016 promulguée en
décembre et est notamment destinée à enrayer la hausse constante des APL.
Selon la Confédération nationale du logement, qui en avait demandé le retrait début juin, elle touchera
80.000 foyers. L'APL est actuellement délivrée à quelque 6,5 millions de bénéficiaires, locataires ou
propriétaires, sous conditions de ressources.
Source : LeFigaro.fr
12. La revue de Presse KYLIA
12
propriétaires particuliers, il viendra s’appliquer sur les valeurs locatives cadastrales des logements en
sus de ceux votés chaque année par le département et la commune.
(* Taxe spéciale d’équipement régional - TSER)
Guillaume Chazouillères
Source : Capital.fr
13. La revue de Presse KYLIA
13
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Retour d'expérience : "Comment j'ai dopé le
chiffre d'affaires de mes hôtels"
Le 29/5/2016
10 - Aube Le groupe familial Tradifrancehotel conjugue hôtellerie, agence de voyages et sites internet
afin d'accroître ses taux de remplissage. Une stratégie gagnante.
Le Domaine de la forêt d'Orient est l'un des trois hôtels familiaux.
C'est une histoire de famille. Christian et Catherine Aubertin, respectivement directeur administratif
et ingénieur informatique, décident de quitter leur poste pour travailler avec leur fille, Laurence, et son
époux, Christophe Heckmann, tous deux venus de chez Accor. En 2003, le quatuor rachète le
Moulin du Landion, situé dans l'Aube. "Chaque couple a vendu ses biens pour avoir un apport
conséquent et convaincre les banques", raconte Christian Aubertin. L'hôtel-restaurant 3 étoiles de
16 chambres est en mauvais état (cinq mois de travaux seront nécessaires pour le rénover
intégralement), mais il dispose de plusieurs atouts. Cet ancien moulin à eau ne manque pas de
charme, son restaurant bénéficie d'une bonne réputation et sa localisation - sur la route du
champagne et à deux pas du parc d'attractions Nigloland - est avantageuse.
14. La revue de Presse KYLIA
14
L'établissement, qui attire principalement des touristes étrangers, mise sur le chauffage de sa piscine
extérieure et la création d'un spa. Le but est de séduire également une clientèle de week-end.
Résultat : le taux d'occupation oscille dorénavant entre 55 et 65 %, ce qui est "tout à fait correct pour
un hôtel rural", juge l'intéressé.
Trois hôtels complémentaires
Afin d'augmenter leur capacité d'accueil, les entrepreneurs reprennent en 2008 une enseigne
implantée à une trentaine de kilomètres de là : l'Holiday Inn de la forêt d'Orient. L'adresse de
77 chambres "n'est pas en bonne santé financière". "L'hôtel était géré comme un Holiday Inn de
banlieue parisienne, alors qu'on est en monde rural", constate Christian Aubertin. La famille investit
dans la rénovation du bâtiment, rachète le golf adjacent et crée un spa de 400 m², couvre et chauffe la
piscine… En parallèle, la clientèle d'affaires et de séminaires devient un axe prioritaire pour le site,
rebaptisé Domaine de la forêt d'Orient. "Nous avons sept salles de réunion modulables et nous avons
passé un contrat avec une société spécialisée dans l'incentive, MGM, pour faire des offres sur mesure
aux entreprises. Au lieu de l'éternel tir à l'arc, les salariés en team building vont par exemple réaliser
un film", note-t-il. L'établissement, désormais affilié à Best Western, a gagné sa quatrième étoile,
tandis que son taux de remplissage a bondi de 20 à 60 % en quelques années.
En 2012, Le Dormeur du Val rejoint lui aussi le portefeuille familial. Ce 4 étoiles atypique de
16 chambres, situé à Charleville-Mézières, est alors en dépôt de bilan. "Notre clientèle de loisirs vient
pas mal d'Europe du Nord. On s'est dit qu'un hôtel près de la frontière pourrait s'intégrer dans des
circuits", explique le professionnel.
Agence et web
La famille a en effet mis sur pied, depuis dix ans, une agence de voyages. "Notre agence en ligne -
Tourisme, Nature et Patrimoine - permet de commercialiser nos hôtels nous-mêmes, à travers des
circuits touristiques ou des week-ends packagés. Grâce à notre travail de prospection sur le web, elle
nous amène jusqu'à 50 % de la clientèle hôtelière et pratiquement 100 % de notre clientèle de
séminaires, qui représente 30 % de notre chiffre d'affaires", précise-t-il. En outre, une trentaine de
sites ont été déployés pour renforcer la visibilité des trois établissements sur internet : "Un webmaster
s'occupe à plein temps de ces sites orientés bien-être, gastronomie et nature, à mi-chemin entre des
blogs et des sites de vente en ligne", Christian Aubertin.
Un véritable travail de réflexion et de promotion de la région parfait ce plan stratégique. "Nous
fonctionnons en réseau avec une quarantaine d'acteurs locaux, publics et privés. Notre but est de
doper la fréquentation touristique en Champagne, en avançant main dans la main notamment avec le
15. La revue de Presse KYLIA
15
comité départemental du tourisme de l'Aube, le comité régional du tourisme, l'aéroport de Vatry et les
offices de tourisme locaux", conclut-il.
Source : L’Hôtellerie-Restauration.com
16. La revue de Presse KYLIA
16
Ça vous est arrivé : "J'ai fait fuir un braqueur"
Le 15/7/2016
Champ-du-Boult (14) La vidéo issue d'une caméra de surveillance a fait le tour des réseaux sociaux.
Le 15 avril au soir, la gérante d'un bar-tabac-épicerie met en déroute un braqueur, après avoir
tranquillement posé le bébé qu'elle avait dans les bras. Cette personne, c'est Nathalie Leclerc-Pelan.
Rencontre.
La gérante face à son braqueur, image issue d'une caméra de vidéo-surveillance.
Le 15 avril 2016 aurait dû être une soirée classique pour Nathalie Leclerc-Pelan, la gérante du bar-
tabac-épicerie Le Bocage normand. Mais à 22 h 42, un homme cagoulé et armé fait irruption dans son
établissement encore ouvert. L'homme brandit une arme vers la gérante et exige la caisse. "Tout
d'abord j'ai pensé à une blague", déclare-t-elle. Elle dépose calmement le bébé qu'elle tient dans les
bras de sa maman, se retourne vers le braqueur et exige de voir son visage.
L'homme réitère ses injonctions en hurlant : "C'est un vrai braquage, donne moi la caisse." La gérante
lui tient tête et commence à le pousser vers la sortie. Elle lui arrache son sac des mains et lui donne
des coups avec. Elle empoigne même le canon du pistolet, quand celui-ci cherche à le braquer sur
son visage. Elle apprendra par la suite que le pistolet était bien réel, mais chargé à blanc. Acculé à la
retraite par la gérante, le braqueur est maîtrisé par la clientèle à l'extérieur de l'établissement, puis
arrêté par la gendarmerie. Jugé en comparution immédiate le lundi suivant, le jeune multirécidiviste
est condamné à six mois de prison ferme et dix-huit mois avec sursis.
17. La revue de Presse KYLIA
17
Un mois et demi après les faits, Nathalie Leclerc-Pelan ne regrette rien. "Pour nous, commerçants,
une recette est trop importante pour laisser le premier venu s'en emparer, considère-t-elle. Dans ces
moments-là on ne réfléchit pas. Le braqueur semblait hésitant et fragile. Peut être que face à un
individu plus déterminé, j'aurais réagi autrement." Depuis ce jour, Nathalie Leclerc-Pelan a reçu de
nombreux courriers et appels. "On m'a même envoyé des bouquets de fleurs", déclare-t-elle.
Source : L’Hôtellerie-Restauration.com
18. La revue de Presse KYLIA
18
A propos de Kylia
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle
Génération : Le 1
er
réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.
Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses
agents immobiliers.
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18