Travail Pratique MWAMINI RUDAHARANA Esther powerpoint
1. UNIVERSITE LIBRE DES PAYS DES GRANDS LACS/ULPG
Goma
FACULTE DE SANTE ET DEVELOPPEMENT COMMUNAUTAIRES « FSDC »
B.P 368 Goma
Par : MWAMINI RUDAHARANA Esther
Promotion : G3 FSDC
Février 2017
2. I. Question de recherche
I.1. Question générale
Quelles sont les connaissances, attitudes et
pratiques des jeunes de l’Aire de santé CASOP
en matière de prévention des IST ?
3. I.2. Question spécifiques
De cette question générale, découlent des questions spécifiques :
Quel est le niveau des connaissances des jeunes de l’A.S
CASOP face à la prévention des IST ?;
Quelles sont les attitudes des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST ?;
Quelles sont les pratiques des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST ?.
4. II. Hypothèses de recherche
Une hypothèse est une proposition de réponse
provisoire à la question passée. Elle doit faire l’objet
d’une vérification objective au cours d’une réflexion
pour une confirmation ou une infirmation dans le
résultat de la recherche (Madeline
« GRAWITZ »Méthode des sciences sociales 2ème
édition paris 1974)
5. ==suite==
Le niveau des connaissances des jeunes de l’A.S CASOP
face à la prévention des IST serait élevé ;
Les attitudes des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST seraient négatives ;
Les pratiques des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST seraient dangereuses.
6. III. Les objectifs de recherches
III.1. objectif générale
Evaluer le niveau des connaissances,
attitudes et des pratiques des jeunes de l’A. S
CASOP face a la prévention des IST
7. III.2. Les objectifs spécifiques
Evaluer le niveau des connaissances des jeunes de l’A.S
CASOP face à la prévention contre les IST ;
Evaluer les attitudes des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention contre les IST ;
Evaluer les pratiques des jeunes de l’A.S CASOP face à la
prévention des IST
8. IV. Explication des variables
IV.1.Introduction
Ce chapitre comprend des informations théoriques, des
résultats des recherches antérieurs autours des travaux sur
les connaissances, attitudes et pratique face à la prévention
des IST.
Ainsi en observant l’ordre des hypothèses, ce travail présente
tout d’abord les aspects sur le niveau de connaissance,
l’attitude, la pratique et enfin le cadre de recherche du travail
9. IV.2. Niveau de connaissance face à la prévention des IST
IV.2.1. Connaissance des causes des IST
A l’espace 2011-2015 la stratégie mondiale du secteur de la santé sur la
prévention du VIH et autres IST voulait améliorer l’accès universel aux
services de prévention, de diagnostic, de traitement, de soins et de soutien
aux patients (OMS., La stratégie mondiale du secteur de la santé sur le
VIH/sida 2011-2015)
La même idéologie est poursuivie avec l’intention d’éradiquer le VIH ici 2030
et les jeunes constituent la classe la plus visée par les actions de prévention.
Il est cohérant que la connaissance des causes d’un phénomène soit
déterminante pour décider de la prévention.
10. Ainsi, une étude menée sur 200 élèves de 14 à 20 ans d’un lycée
camerounais interrogés 89%, affirment pourtant avoir reçu une éducation
sexuelle, 99% ont déjà entendu parler des IST dont 91,92% des
répondants(es), connaissent la définition des IST. Malheureusement 59,5%
de répondants(es) ne savent pas réellement la véritable définition de la
sexualité. Et seulement 40% des jeunes possèdent des connaissances
précises sur le VIH et sa transmission. Les parents ont peu d'engouement
dans l'éducation sexuelle de leurs enfants (36,39) alors ceux-ci s'accrochent
aux autres sources d'éducation telles que : les enseignants, les camarades,
et les médias.
(Gervais Eleuthère NDONGO, Prevention des infections sexuellement transmissibles
en milieu scolaire : cas du lycée de Bertoua rural ( Cameroun), Ecole d'infirmiers, des
techniciens médico- sanitaires et du génie sanitaire de Yaoundé - Diplôme d'infirmier
d'état 2011)
11. IV.2.2. Manifestation des IST
Les scientifiques nous ont plusieurs fois
démontré qu’il n’est pas aisé d’identifier à la vue
un porteur d’une IST, seuls les professionnels
spécialisés en sont capables au moyen des
examens au laboratoire.
(Jean Paul NYONDO., cours de bio contaminent,
ULPGL/Goma, 2013-2014)
12. IV.2.3. Facteurs de risque aux IST
En référence à cela en 2013 l’UNICEF et l’OMS ont
estimé qu’il fallait que les jeunes contaminé depuis la
naissance et d’autres nouvelles contaminations
apprennent à vivre avec une infection chronique, révéler
leur état à leurs amis et à leur famille en vu d’éviter de
transmettre l’infection à leurs partenaires sexuels.
(OMS, UNICEF, Les services de prise en charge de
l'infection à VIH négligent les adolescents, Génève,
novembre 2013.)
13. IV.2.4.Conduite à tenir face aux IST
Pour certaines IST l’objectif est d’éliminer complètement l’infection,
mais pour d’autres on réduit la virulence et on évite des suivantes
contaminations. Ainsi, Elois SILGA montre dans son étude que parmi
les malades ayant consulté un agent de santé, seulement 62,7% ont
été recommandé le traitement du partenaire sexuel par le prestataire
parmi lesquels 53,6% ont déclaré avoir porté l'information à leurs
partenaires sexuels. (Eloi SILGA, Etude des déterminants de la forte
incidence des IST dans le district sanitaire de koupéla. Ecole Nationale de
Santé Publique de Ouagadougou - Attaché de santé en
épidémiologie 2008)
14. IV.4. Utilisation du préservatif
Quand le nombre de partenaires sexuels augmente chez les jeunes, le SIDA
perdure un problème majeur de santé publique en Belgique. En plus le préservatif
est le moyen de protection le plus efficace contre ces infections sexuellement
transmissibles. (http://prospective.be/IMG/pdf/DSP54-Emmilie WALEWYNS-Olivier
KLEIN. pdf, les jeunes et le preservative, us et coutumes de la negotiation)
Son efficacité est réduite si le latex ne sépare pas entièrement les régions
infectées, d’où l’importance d’un suivi gynécologique régulier. (Rapport
épidémiologique de cas de SIDA dans la province du Nord Kivu 2006)