Le traitement de l'eau peut signifier :
le traitement des eaux usées, aussi appelées eaux résiduaires. Des eaux usées ou d'autres sont épurées en vue de rejets (effluents) ;
le traitement de l'eau, en vue d'obtenir une eau potable ou idoine à la consommation humaine. Un traitement primaire est complété par une purification de l'eau ou filtration ou production d'eau potable.
Dans les deux cas, on parle de traitement primaire, secondaire et tertiaire, suivant le processus.
Le traitement de l'eau industrielle pour le traitement de l'eau utilisée en industrie, souvent en circuit fermé.
Le traitement de l'eau peut signifier aussi l'utilisation de procédés afin de limiter la formation de tartre. Les procédés conventionnels de traitement de l'eau contre le tartre sont l'adoucissement ou l'osmose inverse. Les procédés non conventionnels destinés à limiter la formation des dépôts de carbonate de calcium sont le magnétisme, l'électromagnétisme, l'électrolyse et les résines catalytiques macroporeuses.
Présentation d'une "Planification de la gestion des déchets solides urbaines et solutions d’amélioration" à l'occasion de la rencontre "Jeudi des Déchets" du 13 avril 2017
Le traitement de l'eau peut signifier :
le traitement des eaux usées, aussi appelées eaux résiduaires. Des eaux usées ou d'autres sont épurées en vue de rejets (effluents) ;
le traitement de l'eau, en vue d'obtenir une eau potable ou idoine à la consommation humaine. Un traitement primaire est complété par une purification de l'eau ou filtration ou production d'eau potable.
Dans les deux cas, on parle de traitement primaire, secondaire et tertiaire, suivant le processus.
Le traitement de l'eau industrielle pour le traitement de l'eau utilisée en industrie, souvent en circuit fermé.
Le traitement de l'eau peut signifier aussi l'utilisation de procédés afin de limiter la formation de tartre. Les procédés conventionnels de traitement de l'eau contre le tartre sont l'adoucissement ou l'osmose inverse. Les procédés non conventionnels destinés à limiter la formation des dépôts de carbonate de calcium sont le magnétisme, l'électromagnétisme, l'électrolyse et les résines catalytiques macroporeuses.
Présentation d'une "Planification de la gestion des déchets solides urbaines et solutions d’amélioration" à l'occasion de la rencontre "Jeudi des Déchets" du 13 avril 2017
cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
La pollution de l'eau, qu'est-ce que c'est ? Un milieu aquatique est dit pollué lorsque son équilibre a été modifié de façon durable par l'apport en quantités trop importantes soit de substances plus ou moins toxiques, d'origine naturelle ou issues d'activités humaines, soit encore d'eaux trop chaudes.
Guide des bonnes pratiques de laboratoire. S/Abdessemed
La bonne pratique des analyses de biologie est une condition essentielle pour atteindre cette qualité.
Le présent guide constitue un instrument au service de cette qualité, s’adressant à toutes les catégories de personnel travaillant au sein du laboratoire d’analyse médicale.
Son but est double :
1- Aider à rationaliser le fonctionnement des laboratoires d’analyses médicales.
2- Rappeler un certain nombre de règles et de recommandations dont le but n’est ni d’imposer des contraintes, ni d’empiéter sur la compétence propre du biologiste : le choix de la méthode utilisée pour l’exécution d’une analyse particulière relève de sa seule compétence. Toutefois, il est important que cette méthode soit adaptée aux connaissances théoriques et pratiques du moment et qu’elle suive, dans la mesure du possible, les recommandations des Sociétés Savantes Nationales ou Internationales afin d’assurer la qualité requise...
Description d'une expérience de certification ISO 9001- Hotel Golden Tulip Carthage Tunis, présentation lors du forum des métiers en marketing à la faculté des sciences économique et gestion de Tunis le 25/11/2015
ce fichier fournit les connaissances de bases sur la stérilisation et les techniques actuellement en industrie généralement et
pharmaceutique .spécialement
this file provides the basic knowledge about sterilisation in industry specially pharmaceuticals
cette conférence de travaux pratique s'adresse aux étudiants graduant en sciences médicales , il aborde les aspects élémentaires de la pratique au laboratoire de microbiologie ainsi que des aspects relatifs au diagnostic microbiologique.
La pollution de l'eau, qu'est-ce que c'est ? Un milieu aquatique est dit pollué lorsque son équilibre a été modifié de façon durable par l'apport en quantités trop importantes soit de substances plus ou moins toxiques, d'origine naturelle ou issues d'activités humaines, soit encore d'eaux trop chaudes.
Guide des bonnes pratiques de laboratoire. S/Abdessemed
La bonne pratique des analyses de biologie est une condition essentielle pour atteindre cette qualité.
Le présent guide constitue un instrument au service de cette qualité, s’adressant à toutes les catégories de personnel travaillant au sein du laboratoire d’analyse médicale.
Son but est double :
1- Aider à rationaliser le fonctionnement des laboratoires d’analyses médicales.
2- Rappeler un certain nombre de règles et de recommandations dont le but n’est ni d’imposer des contraintes, ni d’empiéter sur la compétence propre du biologiste : le choix de la méthode utilisée pour l’exécution d’une analyse particulière relève de sa seule compétence. Toutefois, il est important que cette méthode soit adaptée aux connaissances théoriques et pratiques du moment et qu’elle suive, dans la mesure du possible, les recommandations des Sociétés Savantes Nationales ou Internationales afin d’assurer la qualité requise...
Description d'une expérience de certification ISO 9001- Hotel Golden Tulip Carthage Tunis, présentation lors du forum des métiers en marketing à la faculté des sciences économique et gestion de Tunis le 25/11/2015
ce fichier fournit les connaissances de bases sur la stérilisation et les techniques actuellement en industrie généralement et
pharmaceutique .spécialement
this file provides the basic knowledge about sterilisation in industry specially pharmaceuticals
Ce travail a été réalisé au Laboratoire des Sciences de l’Eau et de l’Environnement
(LSEE) de Limoges sur le site de l’Ecole Nationale Supérieur d’Ingénieurs de Limoges.
J’exprime ma reconnaissance au Professeur Michel Baudu pour la confiance qu’il m’a
témoignée en m’accueillant au sein de son Laboratoire durant ces années de recherche.
J’adresse également mes plus profonds remerciements à Geneviève Feuillade, Maître
de Conférences - HDR au sein du LSEE, pour avoir encadré ce travail. Merci pour ta
gentillesse, ton soutien permanent et ta grande disponibilité. Ta rigueur scientifique et ton
exigence ont sans aucun doute contribué au bon déroulement de cette étude.
Dispositifs de traitement de l’eau potableProspection
Un dispositif de traitement de l’eau potable (DTEP) dans une installation de plomberie peut être, entre autres, installé dans le but de rendre l’eau potable ou d’en améliorer sa qualité. Les exigences du Code de construction visent à assurer que les dispositifs ont été conçus selon des normes..
Les eaux techniques en nettoyge desinfection et sterilisation / echnical wate...Dr Taoufik Djerboua
ce document regroupe les caractéristiques qualitatives et quantitatives relatives a la composition des eaux techniques destinés au domaine du nettoyage et de la stérilisation il cmprend aussi les caractéristiques physiques et chimiques détaillant les phénomènes liés a la vapeur d'eau. et le controle qualité fixé par la norme ISO 17 665.
this document regroups all the quantitative, qualitative physical and chemical caracteristics linked to thechnical waters and water vapor and their quality controle according to the ISO 17 665 norm. feel free to leave me any feed back.
Micro stations d'épuration : Performance en conditions hivernales sévèresidealconnaissances
Intervention de Elmar Dorgeloh et Martina Defrain (Institut de Test pour l‘Épuration des Eaux), dans le cadre des 6èmes Assises Nationales de l'assainissement non collectif
1. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
1
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
DESINFECTION DES EAUX
2. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
2
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
DEFINITIONS
DESINFECTION : Opération au résultat momentané
permettant d’éliminer ou de tuer les micro-organismes et/ou
d’inactiver les virus indésirables portés par des milieux inertes
contaminés, en fonction des objectifs fixés. Le résultat de
cette opération est limité aux micro-organismes et/ou virus
présents au moment de l’opération
DESINFECTION = ?? STERILISATION
AFNOR
3. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
3
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
STERILISATION DESINFECTION
ELIMINE
Tous les
organismes
Vivants
Les bactéries
les virus les
parasites
Eaux industrielles
Petits Débits
Eaux potables
Petits et grands
débits
CONFUSION ENTRE…
4. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
4
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
DEFINITIONS
DESINFECTANT : Produit ou procédé utilisé pour la
désinfection ou la décontamination dans des
conditions définies
Quantitativement et pour un temps de contact
donné, un désinfectant doit réduire:
AFNOR
De 5 log la population bactérienne;
De 4 log les populations fongiques et virales;
De 3 log les spores
5. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
5
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Fonctions de la désinfection
Une bonne désinfection
doit assurer
Un traitement immédiat
effets bactéricide,
virulicide ou biocide:
capacité de traiter en une
étape donnée
Une rémanence
Effet bactériostatique
contre les reviviscences;
Effet bactéricide pour les
Pollutions éventuelles;
Prévention contre les
colonisations (biofilms)
6. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
6
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Mitochondrie
Noyau
Capsule
Paroi
cellulaire
EFFET BACTERICIDE & VIRULICIDE
7. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
7
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Mitochondrie
Bloque la multiplication
Capsule
Paroi
cellulaire
EFFET REMANANT & BACTERIOSTATIQUE
8. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
8
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Noyau
C G
TAC
G
G
G
T
T
A A
A
C
C
A
G
G T C
T T A
Dimérisation
EFFET GERMICIDE (U.V.)
9. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
9
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
MODES DE DESINFECTION
Température;
UV;
Ultrafiltration
PHYSIQUE
CHIMIQUE
Produits chlorés;
Produits halogénés (Brome);
Ozone...
10. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
10
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
TYPES DE DESINFECTANTS : U.V.
Produits par des
lampes à vapeur de
mercure
11. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
11
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
TYPES DE DESINFECTANTS : U.V.
Ils attaquent la matière organique
des composés essentiels à la vie
de la cellule : nucléoprotéines.
Principe
Points faibles
Petits débits;
Eaux turbides;
Pas de rémanence.
12. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
12
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
C ’est un gaz verdâtre de formule Cl2 : à odeur
suffocante, très oxydant, très corrosif quand il n’est pas
pur et sec.
Produits chlorés : CHLORE
électrolyse
Anode
+
Cathode
_Na
Na
Arrivée eau chlorurée
Cl
Cl
Cl2
NaOH
13. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
13
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Cl2 + H2O HOCl + HCl
NaOCl + H2O HOCl + NaOH
HOCl H+
+ OCl-
REACTION : CHLORE +EAU
Acide hypochloreux
Hypochlorite
14. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
14
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
REACTION : CHLORE +EAU
L ’action désinfectante de HClO est 40 à
80 fois plus efficace que celle de ClO-
Proportions sont fonctions du pH
PH+5 PH=6 PH = 7.5 PH = 8.5
Tout le chlore
sous forme de
HClO
HClO<
ClO-
ClO-
>>>HClO
15. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
15
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
0
0
10
10
20
20
30
30
40
40
50 50
60
60
70
70
80
80
90
90
100
100
HClO H+
+ ClO-
Soit :
4 5 6 7 8 9 10 11
%HOCl
%OCl-
pH80% en HOCl à pH 7
pH : HClO & ClO-
16. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
16
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
C’est un gaz jaune instable et explosif dans l’air, très
oxydant avec un pouvoir décolorant et désodorisant très
grand, très rémanent. De densité semblable à celle du
chlore, mais 5 fois plus soluble que celui-ci.
PROPRIETES DU DIOXYDE DE CHLORE
2ClO2 Na ClCl22NaClO2 + +
Réaction Totale
Excès
Se prépare en mettant des chlorites de sodium en
présence d’eau chlorée de 5g/l à un pH inférieur à 2.5.
17. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
17
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
L’HYPOCHLORITE DE SODIUM
C’est un liquide jaune pâle, peu stable et sensible à la
lumière. La température de son entreposage ne doit pas
dépasser 30°C, sa vitesse de décomposition est doublée chaque
fois que la température augmente de 5.5°C.
Se prépare en faisant traverser du chlore gazeux
dans une solution froide de NaOH.
Na NaOCl ClCl22NaOH + ++ H2O
18. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
18
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Se présente sous forme de granulés ou de
tablettes, de formule Ca(ClO)2 de Couleur blanche.
Il a une pureté de 70%, les 30% restants sont des
insolubles et des impuretés. Déperdition du titre
très faible entre 3 et 5% lors du stockage dans de
bonnes conditions.
POPRIETES DE L’HYPOCHLORITE DE CALCIUM
19. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
19
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
COURBE D ’ABSORPTION DU CHLORE
Détermination du Break point
0 1 2 3 4 5 6 7
12345
Dose de chlore injectée en mg/l
Chlorerésiduelenmg/l
A
B
C
D
Courbe
d
’absorption
nulle
P
20. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
20
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
ACTION DES P.CHLORES
EAU + PRODUITS CHLORES
les substances réductrices non organiques
(Fe, Mn…);
les substances organiques;
les substances azotées pour former les
chloramines
21. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
21
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
NH4
+
+ HOCl NH2Cl + H2O + H+
monochloramine
PHASE A: Formation d’un sous produit
(monochloramine) qui interfère avec le chlore résiduel
libre au contact de l’orthotolidine
COURBE D ’ABSORPTION DU CHLORE
PHASE B: Destruction de la monochloramine formée
2 NH2Cl + HOCl N2 + 3HCl + H2O
Azote
22. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
22
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
COURBE D ’ABSORPTION DU CHLORE
PHASE C : Seul le chlore
résiduel libre réagit avec
l ’orthotolidine
BREAK
POINT
PHASE D : Accroissement du chlore résiduel libre
en fonction des doses injectées de chlore
23. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
23
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Break-point
Chlore total
Chlore ajouté
(mg/l)
Chlore libre
Chlore combiné
Formation des
monochloramines
Formation des di et
trichloramines à
partir des
monochloramines
Cas d'une eau qui ne
contiendrait aucun ion
oxydable et aucune
matière organique :
chlore total=chlore
ajouté
Zone à pouvoir
désinfectant
Oxydation
des
matières
minérales
COURBE D ’ABSORPTION DU CHLORE
24. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
24
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
PARAMETRES IMPORTANT POUR
L’EFFICACITE DE LA DESINFECTION
25. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
25
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Selon la loi d’inactivation des micro-
organismes de Chick-Watson:
Efficacité de
la désinfection
f(qualité de l’eau,
organismes ciblés;
Désinfectant, C.T…)
=
NOTION DE CT (mg.mn/l)
0
N
K.C.T
N
Log =
26. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
26
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
NOTION DE CT (mg.mn/l)
Influence du C.T du chlore sur l’efficacité
d’inactivation des kystes de Giardia muris
%
d’inactivation
70
0,5 log
90
1 log
99
2 log
99,9
3 log
C.T
(min.mg/l)
15 30 61 91
(pH= 7,5 - Température= 15°C – Conc chlore= 0,6 mg/l)
27. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
27
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
CT (mg.mn/l) et qualité des eaux
Influence du pH sur la valeur du C.T pour inactiver 99,9% de
Giardia muris et 99,9% d’Entérovirus par chloration (0,60 mg/l)
Température 5 °C 20 °C
pH 7,0 7,5 8,0 7,0 7,5 8,0
Giardia muris 150 182 217 56 68 81
Entérovirus 33 40 48 12 15 19
Donc : le C.T est
d’autant plus faible
• T° élevée;
• pH faible;
• Turbidité faible.
que
28. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
28
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Configuration du bassin de contact
Chick-Watson (autre forme)
C.Td : c’est la valeur de C.T obtenue pour une configuration
donnée de bassin de contact .
C.T (disponible)
C.T (requis)
Log (inactivation)=
max
. .( ) *utile
d
V
C T C Cte
Q
=
Cte : Facteur d’efficacité hydraulique qui dépend de la nature de
l’ouvrage de contact ( 0 < Cte < 1 )
29. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
29
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
C= Concentration en désinfectant en mg/l
T= Temps de contact en mn
MAIS
T est différent du
temps purement
hydraulique
POURQUOI ?
T réel = T Hydraulique x K
AVEC
0.1<=K <= 0.2 pour les réservoirs sans chicanes
0.3<=K <= 0.7 pour les réservoirs chicanés
Configuration du bassin de contact
30. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
30
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
La nature des ouvrages d ’eau & des passages
préférentiels du désinfectant dans ces ouvrages
Configuration du bassin de contact
31. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
31
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
ENTREE
SORTIE
RESERVOIR AVEC CHICANES
CHICANE
Vidange
T Réel = T Hydraulique x K
0.3 <= K <= 0.7
DESINFECTION PHYSICO-CHIMIQUE
32. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
32
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
RESERVOIR SANS CHICANES
T Réel = T Hydraulique x K
0.1 <= K <= 0.2 ENTREE
SORTIE
Vidange
DESINFECTION PHYSICO-CHIMIQUE
33. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
33
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
ENTREE
SORTIE
T Réel = T Hydraulique x K
0.8 <= K <= 1
DESINFECTION PHYSICO-CHIMIQUE
34. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
34
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
INJECTION DU DESINFECTANT
SYSTEME
ENTREE SORTIE
Q0 x C0
q x C1
Q x C2
Pompe Doseuse Chloromètre
35. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
35
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Impuretés;
Respect du CPS;
Responsabilité du fournisseur;
Responsabilité de l’exploitant;
QUALITE DU DESINFECTANT
36. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
36
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
Ne doit pas entraîner une transgression aux normes de
qualité prescrites pour l ’eau de boisson en y
introduisant des éléments toxiques ou indésirables.
PROPRIETES DU CHLORE
Inorganiques
toxiques
Conc en mg/
Kg de hlore
Inorganiques
toxiques
Conc en mg/
Kg de chlore
Ag
As
Ba
Cd
Cr
33.33
33.33
333.3
3.333
166.6
Hg
Ni
Pb
Se
CN
1.66
166.6
33.33
33.33
166.6
37. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
37
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
STOCKAGE DU DESINFECTANT
• Endroit frais et Sombre;
• A l ’abri de la chaleur, des
rayons de soleil;
• Loin des huiles et matières
organiques (risque d ’explosion).
38. Présentée par : T.BELHAJ (DCE/T) – Nopvembre
38
Office National de l’Eau Potable
Direction Contrôle qualité des Eaux
STOCKAGE DU DESINFECTANT
Température de stockage
20ºC 30ºC 40ºC
Solution
initiale
au bout
de
Concentration finale
1 mois 44 33 13
3 mois 34 17 650ºCl
1 an <17 <7 <2
1 mois 12,5 12 11
3 mois >12 11 <912,5ºCl
1 an 11 8,5 4