La Haute Autorité de Santé (HAS) publie aujourd’hui son rapport annuel d’activité, qui revient sur les principaux faits marquants de l’année 2014. Elle y présente les principaux travaux et productions de ses services et de ses 3 commissions réglementaires qui évaluent les médicaments, dispositifs médicaux, actes et procèdent aux évaluations médico-économiques. Une synthèse du rapport et sa version longue sont disponibles sur le site de la HAS, www.has-sante.fr.
Pour en savoir plus, consultez le communiqué de presse : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2043935/fr/publication-du-rapport-d-activite-annuel-la-has-revient-sur-son-annee-2014
Alcimed expose sa vision sur la e-santé au service des maladies rares...Les Filières de Santé Maladies Rares illustrent cette réalité avec des projets en cours.
LIVRE BLANC - les appareils biomedicaux connectes pour l'Hopital de demainMivy
Découvrez le 1er Livre Blanc sur les appareils biomédicaux connectés pour l'Hôpital de demain.
Partage des données patients, Identitovigilance, Certification…
Enovacom, éditeur de logiciels 100% Santé vous propose le 1er livre blanc dédié aux appareils biomédicaux connectés. Nous verrons ensemble comment aller vers l’hôpital connecté de demain avec plusieurs questions de posées : comment sont gérées aujourd’hui les données des patients ? Comment sont documentés leurs dossiers de soins ? Quels rôles peuvent jouer les dispositifs biomédicaux pour compléter ces informations ? Quels sont les avantages pour les hôpitaux de connecter les équipements ? Entre la certification, l’identitovigilance ou encore le partage des données de santé, découvrez tous les bénéfices de ces technologies santé – pour les équipes de votre établissement (DSI, Soignants, Biomédical), pour le patient.
Plusieurs études de cas sont proposées en fin de document afin d’éclairer ce type de projets.
A retrouver également sur www.enovacom.fr
La Haute Autorité de Santé (HAS) publie aujourd’hui son rapport annuel d’activité, qui revient sur les principaux faits marquants de l’année 2014. Elle y présente les principaux travaux et productions de ses services et de ses 3 commissions réglementaires qui évaluent les médicaments, dispositifs médicaux, actes et procèdent aux évaluations médico-économiques. Une synthèse du rapport et sa version longue sont disponibles sur le site de la HAS, www.has-sante.fr.
Pour en savoir plus, consultez le communiqué de presse : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2043935/fr/publication-du-rapport-d-activite-annuel-la-has-revient-sur-son-annee-2014
Alcimed expose sa vision sur la e-santé au service des maladies rares...Les Filières de Santé Maladies Rares illustrent cette réalité avec des projets en cours.
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Plusieurs études de cas sont proposées en fin de document afin d’éclairer ce type de projets.
A retrouver également sur www.enovacom.fr
Les vigilances sanitaires dans un établissement de santéADIPh
LES VIGILANCES SANITAIRES DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE:
ETAT DES LIEUX, ACTIONS ET PERSPECTIVES
COORDINATION OU INTEGRATION DANS UNE GESTION GLOBALE DES RISQUES?
Intelligence artificielle et santé de demainIpsos France
Que pensent les professionnels de santé et les patients de l’arrivée de l’intelligence artificielle dans les soins ? Quelle vision ont-ils de la santé de demain ? L’étude Ipsos réalisée pour la MACSF révèle des décalages de perception entre patients et professionnels de santé
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/professionnels-de-sante-et-patients-une-vision-decalee-sur-lintelligence-artificielle-et-la-sante
Présentation réalisée par Sabrina BOUTIN dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Stratégies de lutte contre le paludisme adaptées à un système de santé défaillant - Présentation du 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Alpha Jean Luc ASSANI AKILI MALI - Médecin - Inspection Provinciale de la Santé, Goma - République Démocratique du Congo - alphaasani@yahoo.fr
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Les plans maladies rares francais par le Pr Loïc GuillevinKhadija Moussayer
Dans le cadre de ses Journées de l’Auto-Immunité, l’association AMMAIS a organisé le 28 novembre 2015 à Casablanca une grande conférence consacrée aux maladies rares.
Animé par le Pr Loïc Guillevin (Président d’honneur d’AMMAIS, membre du collège de la Haute Autorité de Santé – HAS -et président de sa commission de la transparence ainsi que membre du Comité de Pilotage du Plan National Maladies Rares en France), cet événement a permis aux participants de mieux appréhender les avancées en matière de recherche et d’innovations thérapeutiques relatives aux maladies auto-immunes rares (sclérodermie, vascularites, cryoglobulinémies…).
A l’issue des débats, l’association a appelé, par la voix de sa présidente, le Dr Khadija Moussayer, à la reconnaissance des maladies rares comme une priorité de santé publique au Maroc avec en particulier :
1/ le développement de centres de référence nationaux pour l’expertise et de centres de compétence régionaux pour les soins en nombre suffisant pour assurer la couverture globale du territoire ;
2/ une meilleure accessibilité à certains médicaments indispensables et au demeurant pas toujours onéreux (comme le Plaquénil pour le lupus ou l’Ursolvon pour la cirrhose biliaire primitive) ;
3/ une formation accentuée des professionnels de santé à « l’univers des maladies rares » (il n’est pas possible de toutes les connaître !) et, ce faisant, à la « culture du doute » (et si c’était une maladie rare ?) qui donnerait aux patients de meilleures chances de soins appropriés ;
4/ le regroupement avec l’aide des pouvoirs publiques des associations œuvrant dans ce domaine en une plate-forme commune, une « Alliance des Maladies Rares », comme cela a déjà été instituée en Europe.
Rappelons que si les maladies dites rares touchent chacune par définition un nombre restreint de patients, moins d’une personne sur 2 000, elles deviennent massives lorsqu'on les cumule : près de 8 000 pathologies identifiées ! On estime que plus de 5 % de la population mondiale en seraient atteintes soit environ 1.5 millions de marocains. Un médecin rencontre dans sa pratique quotidienne plus ce type de maladies que de cas de cancer ou de diabète !
Les interventions, notamment des Pr ou Dr David Saadoun, Fouzia Chraibi, Rachid Laraki, Mounir Filali et Ouafa Mkinsi, ainsi que les discussions qui en ont suivi, ont bien mis en évidence un manque d’information à ce sujet pour les patients comme pour les professionnels, ayant pour conséquences errances de diagnostic, souffrance et isolement psychologique des malades, outils de diagnostics ignorés, etc
Les vigilances sanitaires dans un établissement de santéADIPh
LES VIGILANCES SANITAIRES DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE:
ETAT DES LIEUX, ACTIONS ET PERSPECTIVES
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Intelligence artificielle et santé de demainIpsos France
Que pensent les professionnels de santé et les patients de l’arrivée de l’intelligence artificielle dans les soins ? Quelle vision ont-ils de la santé de demain ? L’étude Ipsos réalisée pour la MACSF révèle des décalages de perception entre patients et professionnels de santé
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/professionnels-de-sante-et-patients-une-vision-decalee-sur-lintelligence-artificielle-et-la-sante
Présentation réalisée par Sabrina BOUTIN dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Stratégies de lutte contre le paludisme adaptées à un système de santé défaillant - Présentation du 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Alpha Jean Luc ASSANI AKILI MALI - Médecin - Inspection Provinciale de la Santé, Goma - République Démocratique du Congo - alphaasani@yahoo.fr
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
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Les plans maladies rares francais par le Pr Loïc GuillevinKhadija Moussayer
Dans le cadre de ses Journées de l’Auto-Immunité, l’association AMMAIS a organisé le 28 novembre 2015 à Casablanca une grande conférence consacrée aux maladies rares.
Animé par le Pr Loïc Guillevin (Président d’honneur d’AMMAIS, membre du collège de la Haute Autorité de Santé – HAS -et président de sa commission de la transparence ainsi que membre du Comité de Pilotage du Plan National Maladies Rares en France), cet événement a permis aux participants de mieux appréhender les avancées en matière de recherche et d’innovations thérapeutiques relatives aux maladies auto-immunes rares (sclérodermie, vascularites, cryoglobulinémies…).
A l’issue des débats, l’association a appelé, par la voix de sa présidente, le Dr Khadija Moussayer, à la reconnaissance des maladies rares comme une priorité de santé publique au Maroc avec en particulier :
1/ le développement de centres de référence nationaux pour l’expertise et de centres de compétence régionaux pour les soins en nombre suffisant pour assurer la couverture globale du territoire ;
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3/ une formation accentuée des professionnels de santé à « l’univers des maladies rares » (il n’est pas possible de toutes les connaître !) et, ce faisant, à la « culture du doute » (et si c’était une maladie rare ?) qui donnerait aux patients de meilleures chances de soins appropriés ;
4/ le regroupement avec l’aide des pouvoirs publiques des associations œuvrant dans ce domaine en une plate-forme commune, une « Alliance des Maladies Rares », comme cela a déjà été instituée en Europe.
Rappelons que si les maladies dites rares touchent chacune par définition un nombre restreint de patients, moins d’une personne sur 2 000, elles deviennent massives lorsqu'on les cumule : près de 8 000 pathologies identifiées ! On estime que plus de 5 % de la population mondiale en seraient atteintes soit environ 1.5 millions de marocains. Un médecin rencontre dans sa pratique quotidienne plus ce type de maladies que de cas de cancer ou de diabète !
Les interventions, notamment des Pr ou Dr David Saadoun, Fouzia Chraibi, Rachid Laraki, Mounir Filali et Ouafa Mkinsi, ainsi que les discussions qui en ont suivi, ont bien mis en évidence un manque d’information à ce sujet pour les patients comme pour les professionnels, ayant pour conséquences errances de diagnostic, souffrance et isolement psychologique des malades, outils de diagnostics ignorés, etc
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Joignez-vous aux lauréates 2024 des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Hannah Bayne, Université de l’Alberta – Supporting tomorrow’s stewards: A knowledge mobilization project for climate-health literacy in Alberta elementary schools [Soutenir les intendants et intendantes de demain : un projet de mobilisation des connaissances en faveur de la littératie climat-santé dans les écoles primaires de l’Alberta]
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Jordan Chin, Université McMaster – The art of creation: An arts-based knowledge translation method to promote and advocate for a healthy start to life [L’art de la création : une méthode d’application des connaissances fondée sur les arts pour promouvoir et défendre un bon départ en santé]
20171123 6 interopérabilité sémantique et prescription_séminaire interopérabilité
1. L’intelligence médicale
au service du soin
Séminaire Interopérabilité
23 novembre 2017
Interopérabilité sémantique et prescription
Jean François FORGET
2. L’intelligence médicale
au service du soin
• Cas d’usages
• Référentiels, conformes aux enjeux
• Adhésion des acteurs
• Synchronisation des référentiels
L’interopérabilité sémantique, un préalable à la prescription dématérialisée
Un préalable
Les entités concernées sont de deux natures
• Éléments constitutifs du traitement :
Substances, forme, voie et dosage,
posologie…
• Éléments nécessaires à l’analyse de
conformité : ATCD, histoire de la
maladie, allergies…
4. L’intelligence médicale
au service du soin
• Au niveau national, la prescription en DC, l’interopérabilité LAP-LAD, ou les perspectives du
pilote PEM2D (CNAM_TS) ont favorisé l'émergence du référentiel de médicament virtuel
Medicabase
• Au niveau européen, les enjeux liés à la pharmacovigilance et à la base article 57 favorisent
l'émergence du référentiel IDMP
• Sur le marché ibérique, l’adoption de SNOMED CT en routine pour documenter la prescription
et ses motifs pathologies rend nécessaire la compatibilité de la base VIDAL (Espagne, Chili,
Uruguay, l’Argentine* avec ces référentiels
• Au sein du groupe VIDAL, le médicament virtuel constitue la pierre angulaire du
développement international
Ce sont les cas d’usage qui tirent le marché
* Adoption en cours
6. L’intelligence médicale
au service du soin
La connaissance s’organise autour des référentiels d’interopérabilité
Domaine de l'interopérabilité Domaine de la connaissance
7. L’intelligence médicale
au service du soin
Au total
• Ce sont les cas d’usage qui tirent le marché, et ce sont les acteurs de terrain qu’il
faut convaincre et engager.
• La synchronisation des acteurs du marché de la e-santé et le timing sont clé.
• Un rôle pour chacun; celui des bases de connaissances n’est pas de fournir des
référentiels d'interopérabilité, mais d’y contribuer, et de s’y conformer, pour
développer de nouveau services