L’hernie discale est une problématique assez fréquente qui peut devenir très incapacitante pour ceux qui en souffrent. Elle touche surtout les hommes âgés entre 30 et 55 ans, mais peut se déclarer à tout âge et affecter les deux sexes.
L’hernie discale se définit par la saillie d’une portion du disque intervertébral hors de sa position anatomique habituelle. La moelle épinière se trouvant juste derrière, le disque pourra donc la comprimer ou comprimer une racine nerveuse qui en émerge.
Pour l'article complet, c'est ici: http://chiroste-foy.com/hernie-discale/
L’hernie discale est une problématique assez fréquente qui peut devenir très incapacitante pour ceux qui en souffrent. Elle touche surtout les hommes âgés entre 30 et 55 ans, mais peut se déclarer à tout âge et affecter les deux sexes.
L’hernie discale se définit par la saillie d’une portion du disque intervertébral hors de sa position anatomique habituelle. La moelle épinière se trouvant juste derrière, le disque pourra donc la comprimer ou comprimer une racine nerveuse qui en émerge.
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L'invagination intestinale aiguë se présente souvent sous des formes incomplètes ou intégrée à d'autres tableaux cliniques. Connaitre les formes inhabituelles permet d'accélérer la prise en charge.
L'invagination intestinale aiguë se présente souvent sous des formes incomplètes ou intégrée à d'autres tableaux cliniques. Connaitre les formes inhabituelles permet d'accélérer la prise en charge.
The document summarizes the anatomy of the thorax, or chest region. It is divided between the thoracic wall and thoracic cavity. The thoracic wall is formed by the vertebral column posteriorly, sternum and costal cartilages anteriorly, ribs and intercostal spaces laterally, and is covered by muscles and skin. It also describes the three parts of the sternum and the three categories of ribs - true ribs attached to sternum, false ribs attached to each other and true ribs, and floating ribs without attachment.
Les différentes situations d’expertises
Expertise amiable
Expertise judiciaire
Le cadre médico-légal
Accident de circulation (AC)
Coups et blessure volontaire (CBV)
Responsabilité médicale
Accident du travail (AT)
Notion d’Incapacité
Réduction par les séquelles de la capacité physiologique
Évaluation barémique
AT : Art.38 alinéa 3 de la loi n°94/28 du 21/2/1994
AC : Art. 131 alinéa 2 de la loi n°2005-86 du 15/8/2005
Revue "Radioactif n°18" septembre 2014
Vers une IRM silencieuse ?
L’un des inconvénients majeurs de la technologie IRM réside dans son niveau sonore élevé, pouvant atteindre 110 décibels [dB], 120 dB étant le seuil de douleur auditive.
Le bruit provient de la vibration des bobines de gradients de champ magnétique qui sont de plus en plus performantes et sollicitées pour l’acquisition en imagerie rapide et haute résolution comme les séquences 3D et de diffusion par exemple.
Cette année, plusieurs constructeurs ont présenté à l’European Congress of Radiology (ECR) de nouveaux systèmes de réduction de bruit en IRM 1,5 ou 3 Teslas et les dernières innovations techniques :
Chez Toshiba, le bruit généré par les bobines de gradients est réduit grâce à la technologie exclusive Pianissimo. Brevetée depuis 1989, elle propose une solution exclusive de réduction du bruit disponible pour toutes les séquences et toutes les applications cliniques. Les bobines de gradient sont isolées dans une enceinte à vide poussé ou garnies d’isolant phonique afin que le bruit ne soit pas transmis à l’extérieur de l’enveloppe. Pianissimo permet une réduction sonore de 36 dB, ce qui permet d’éviter au patient la mise en place d’un casque anti-bruit. Pianissimo est disponible de base pour toute la gamme IRM de Toshiba 1,5 et 3T.
Chez Philips, les bobines de gradients sont assemblées à partir de matériaux acoustiques absorbants pour un niveau sonore qui n’excède pas 95 dB. De plus, un casque antibruit est systématiquement placé sur les oreilles du patient et, en complément, la technique SofTone peut être activée à tout moment afin de réduire encore davantage le bruit acoustique. Cette réduction peut atteindre 30 dB, notamment pour les séquences pondérées en T2, soit une baisse de 86 % du bruit acoustique perçu par le patient. Cette technologie fonctionne sur la modification de commutation des gradients à durée d’acquisition préservée.
Chez Siemens, il existe des applications avec réduction de bruit pour la neurologie, l’orthopédie et la pédiatrie en jouant également sur la commutation de gradient (Quiet X).
Chez General Electric, une nouvelle technique avancée de codage des séquences d’acquisition (Silent Scan) avec des applications pour la neurologie et bientôt l’ostéo-articulaire, la prostate et les reins. Grâce au temps d’écho à zero de la séquence Silenz de GE Silent Scan, de nouvelles régions d’intérêt jusqu’à présent impossibles à explorer en IRM sont en cours d’étude et d’évaluation, comme les poumons et l’os cortical.
reseauprosante.fr
2. INTRODUCTI
ON
1.Localisez le nerf / cible
2.Apportez de l'aiguille aussi près que
possible? (Mais pas dans) le nerf
3.Injecter autour (mais pas dans) le nerf
4.Maximiser l'effet et de minimiser les
effets secondaires?
BUT DE L’ANESTHESIE
REGIONALE
1.mieux?
2.Sur ?
3.rapide?
4.Coute ↓↓?
5.Style ?
L'échographie? Que dit la
littérature ::
>99% success (Sandhu N. et
al. 2002)
Improved quality of the block and
reduced complication rates with the
use of ultrasound - (Chan et al.
2007 / Williams et al. 2003)
Ultrasound-guided
neurostimulator-confirmed
supraclavicular block is more
rapidly performed and provides
a block of better quality than
supraclavicular block using
anatomic landmarks and
neurostimulator confirmation.
(Williams SR. et al. 2003)
The average savings of $128 per case with the
use of ultrasound for nerve blocks. (Sandhu N.
et al. 2003)
3. EchographieAvantages:
On visualise le nerf….à sa place habituelle?
On guide l’aiguille en temps réel
On évite les structures dangereuses (vx,…)
On évite d’injecter dans le nerf : on injecte autour
On visualise la progression de l’AL
On injecte juste la quantité nécessaire ou souhaitée
Plus confortable pour le patient…une seule ponction sous AL
US NS
4. • Reflection
• Refraction
• Transmission
• Attenuation
Interactions des ultrasons avec les tissus
1 mm faisceau ultrasonore
Orientation
bases
Physique de
L’échographie
Anisotropie ?
5. Types de sondes
Boutons a. Fréquence? B. Profondeur?
C. Gain
Les sondes linéaires
Les sondes courbe (curviligne) ou convexe
TYPES DE SONDES
Image avec un transducteur de FRÉQUENCE
plus élevée Fréquence vs Résolution
Des fréquences plus élevées - longueur d'onde plus courte
- Une meilleure résolution / faible pénétration
Les basses fréquences - longueur d'onde
- Une faible résolution / meilleure pénétration
Ajuste les données
affichées
Lancer
PROFONDE pour
voir toute
l ’ anatomie
GAIN
Objectif: pour régler l'image de façon
même niveau de luminosité s'affiche
indépendamment de la profondeur
Augmenter le gain = affichage de l'image
lumineuse
Diminuer le gain = affichage de l'image
plus sombre
5 14 MHz
6. ORIENTATION DE L’ AIGUILLE
LONG AXE COURT AXE
S.Bloc et coll
AAS 2011
S.Bloc et coll
AAS 2011
HydrolocalisationHydrolocalisation
En dehors du champ des ultra-sonsDansle champ des ultra-sons
7. 1./ Identification anatomique (Nerfs, Vx, Musc. , Fascia, Os)
2./ Identification nerfs en coupe transversale
3./ Reconnaissance anatomie classique et variations
4./ Planifier trajectoire aiguille la plus sécuritaire possible
5./ Travail et respect des règles d’asepsie
6./ Voir aiguille en temps réel et en permanence => Cible
7./ Associer technique repérage par NS
8./ Une fois extrémité aiguille optimal injection petit volume:
* Injection non visualisée = Injection IV
* Extrémité aiguille en DH plan ultrasonique
9./ Visualisation diffusion AL autour du nerf permanent
10./ Règles habituels sécurité idem AG
(ASRA et ESRA 2009)
ÉTAPES CLEFS - ALR ÉCHO-GUIDÉE
Les procédures deLes procédures de
désinfection et dedésinfection et de
protection duprotection du
matérielmatériel
8. Bloc interscalénique:
• Réalisé au niveau cervical entre les
muscles scalène antérieur et moyen
• Troncs du plexus brachial
• Indications: chirurgie de
l’ÉPAULE +/- AG
• Risques: paralysie phrenique,
troubles de
la deglutition
BLOCS DU MEMBRE SUP ÉCHO-GUIDÉE
9. Figure 2: Anatomy of the
supraclavicular brachial
plexus with transducer
placement slightly
obliquely above the
clavicle (Cl).
SA, subclavian artery;
arrow, brachial plexus
(BP
Bloc
supraclaviculaire
Sonde en plan
coronal oblique
Technique
dans le plan
Ponction
Latérale
Médiale
10. Bloc
infraclaviculaire
Sonde en
parasagitale
Médiale à
l’apophyse
coracoïde
Ponction au
rebord
céphalique de la
sonde
Technique
dans le plan
Indications
Chirurgie du coude
Chirurgie de l’avant-bras
Chirurgie de la main
11. Bloc axillaire
Sonde coupe transverse
du creux axillaire
haut
Technique dans le plan
Aiguille
Tuohy 20 G 100 mm
13. Cross-sectional anatomy of relevance to the obturator nerve
block. Shown are femoral vessels (FV, FA), pectineus muscle,
adductor longus (ALM), adductor brevis (ABM), and adductor
magnus (AMM) muscles. The anterior branch of the obturator
nerve is seen between ALM and ABM, whereas the posterior
branch is seen between ABM and AMM.
OBTURATEUR