Les techniques de culture in vitro cherchent à contrôler les facteurs de l’environnement (température, lumière, composition du milieu…) du fragment de plante mis en culture afin de l’orienter vers un programme d’évolution déterminé.
Les techniques de culture in vitro cherchent à contrôler les facteurs de l’environnement (température, lumière, composition du milieu…) du fragment de plante mis en culture afin de l’orienter vers un programme d’évolution déterminé.
Polycopié TP : Physiologie des Stress_Boucelha_2021.pdfLilya BOUCELHA
Ce polycopié présente une compilation de travaux pratiques en relation avec la physiologie des stress. Il est destiné aux étudiants de licence et master en Sciences du Végétal.
Ces manipulations permettront aux étudiants de mettre en adéquation les connaissances acquises en cours et la pratique. C’est une excellente illustration pour étudier et comprendre les mécanismes et les effets du stress hydrique sur les plantes au niveau morphologique, physiologique et biochimique avec des approches quantitatives et qualitatives. Ces manipulations peuvent être réalisées avec des techniques simples, des appareils courants et des réactifs facilement disponibles.
Les TP reposent sur une comparaison entre des plantes témoins (non stressées) et des plantes stressées par un arrêt d’arrosage. Après chaque TP, l’étudiant doit remettre un compte-rendu reprenant le protocole expérimental, les méthodes et leurs principes ainsi que les résultats et leurs modes de calcul. L’étudiant devra interpréter ces résultats sur la base de ses connaissances théoriques. Chaque protocole est précédé de rappels relatifs à chaque paramètre étudié.
Ce polycopié est structuré en trois parties distinctes. La première partie est consacrée à de brefs rappels sur le stress hydrique et les effets et réponses y afférentes. La deuxième partie regroupe les protocoles des différents travaux pratiques à réaliser. Les principes des différentes techniques utilisées sont exposés dans la troisième partie. En annexe, la préparation des réactifs et solutions utilisés est expliquée.
Nous espérons que ce modeste travail aidera les enseignants dans la mise en place de travaux pratiques et les étudiants à mieux appréhender les mécanismes physiologiques du stress hydrique.
Pour toute remarque ou suggestion, les utilisateurs peuvent contacter les auteurs : liliaboucelha@yahoo.fr ou reda_djebbar@yahoo.fr
Boucelha Lilya est Maître de conférences B et Djebbar Réda est Professeur. Tous deux sont rattachés à la Faculté des Sciences Biologiques, Université des Sciences et Technologie Houari Boumediene (USTHB), Alger
PowerPoint qui explique c'est quoi le clonage animal et le clonage vegetale, et les differentes types des clonages.
Vous pouvez utiliser cette PowerPoint avec les eleves pour expliquer le phenomene du clonage.
Depuis toujours, plusieurs approches ont été tentées pour améliorer la production végétale. Le priming est une méthode physiologique qui améliore la production végétale en modulant les activités métaboliques de la germination avant l'émergence de la radicule. Cependant, les mécanismes physiologiques, biochimiques et moléculaires régissant le priming sont mal connus. Notre travail a pour objectif d’étudier, d’une part, les effets de l’hydrorpiming des graines de Vigna unguiculata sur la germination et la croissance en conditions favorables et stressantes (PEG à 20 %), et d’autre part, l’évolution des métabolites au niveau des organes d’embryon lors la germination dans les deux conditions. Nos résultats révèlent que l’hydropriming des semences permet l’amélioration des performances germinatives et la croissance des radicules, particulièrement en conditions stressantes, en provoquant des modifications physiologique et biochimique au niveau des cotylédons, de la radicule et la gemmule. Parmi cette modification, nous révélons la stimulation d’une forte accumulation des acides aminés, la diminution de la teneur en proline libre et le taux du malondialdéhyde (MDA) permettant la protection des membranes contre la peroxydation lipidique. Cependant ces modifications dépendent étroitement de l’organe et de la phase de germination.
Fête de la Science : Les venins nous veulent du bienPasteur_Tunis
Qu’est qu’un venin ? Toute substance toxique produite par des animaux ou des plantes envers un organisme d’une autre espèce ou envers l’homme. Il y ‘a une grande biodiversité des animaux venimeux dans le monde tel que les scorpions, les serpents, les araignées, cônes de mer etc.; Ces venins engendrent d’une part ce qu’on appelle une envenimation potentiellement dangereuse pour la santé de l’homme et d’autre part et d’une manière très intéressante les recherches ont largement montré que ces mêmes venins possèdent des molécules à potentiel thérapeutique envers plusieurs maladies notamment le cancer, le diabète et autre…Un des principaux axes phares sur lequel on travaille au sein de l’institut Pasteur de Tunis est le problème de l’envenimation scorpionique et ophidienne qui est un problème de santé publique qui ne touche pas uniquement la Tunisie mais qui sévit à travers les cinq continents englobant plusieurs régions dans le monde donc des biotopes différents. En définition qu’est-ce qu’une envenimation: C’est un cocktail de molécules où certaines sont toxiques et d’autres non toxiques. Il faut savoir que les venins sont excrément stables. A l’échelle du Laboratoire, ils peuvent être conservés pendant plusieurs années sans que leur activité ne soit réduite. La composition, la quantité, la létalité du venin varient avec l'espèce, l'âge, la situation géographique et la période de l'année. Pour le venin de scorpion. C’est un mélange complexe de substance protéique, on trouve également les lipides, les sels, les enzymes. Rarement pour certains venins comme le venin du scorpion iranien on a enregistré un syndrome hémorragique.
Polycopié TP : Physiologie des Stress_Boucelha_2021.pdfLilya BOUCELHA
Ce polycopié présente une compilation de travaux pratiques en relation avec la physiologie des stress. Il est destiné aux étudiants de licence et master en Sciences du Végétal.
Ces manipulations permettront aux étudiants de mettre en adéquation les connaissances acquises en cours et la pratique. C’est une excellente illustration pour étudier et comprendre les mécanismes et les effets du stress hydrique sur les plantes au niveau morphologique, physiologique et biochimique avec des approches quantitatives et qualitatives. Ces manipulations peuvent être réalisées avec des techniques simples, des appareils courants et des réactifs facilement disponibles.
Les TP reposent sur une comparaison entre des plantes témoins (non stressées) et des plantes stressées par un arrêt d’arrosage. Après chaque TP, l’étudiant doit remettre un compte-rendu reprenant le protocole expérimental, les méthodes et leurs principes ainsi que les résultats et leurs modes de calcul. L’étudiant devra interpréter ces résultats sur la base de ses connaissances théoriques. Chaque protocole est précédé de rappels relatifs à chaque paramètre étudié.
Ce polycopié est structuré en trois parties distinctes. La première partie est consacrée à de brefs rappels sur le stress hydrique et les effets et réponses y afférentes. La deuxième partie regroupe les protocoles des différents travaux pratiques à réaliser. Les principes des différentes techniques utilisées sont exposés dans la troisième partie. En annexe, la préparation des réactifs et solutions utilisés est expliquée.
Nous espérons que ce modeste travail aidera les enseignants dans la mise en place de travaux pratiques et les étudiants à mieux appréhender les mécanismes physiologiques du stress hydrique.
Pour toute remarque ou suggestion, les utilisateurs peuvent contacter les auteurs : liliaboucelha@yahoo.fr ou reda_djebbar@yahoo.fr
Boucelha Lilya est Maître de conférences B et Djebbar Réda est Professeur. Tous deux sont rattachés à la Faculté des Sciences Biologiques, Université des Sciences et Technologie Houari Boumediene (USTHB), Alger
PowerPoint qui explique c'est quoi le clonage animal et le clonage vegetale, et les differentes types des clonages.
Vous pouvez utiliser cette PowerPoint avec les eleves pour expliquer le phenomene du clonage.
Depuis toujours, plusieurs approches ont été tentées pour améliorer la production végétale. Le priming est une méthode physiologique qui améliore la production végétale en modulant les activités métaboliques de la germination avant l'émergence de la radicule. Cependant, les mécanismes physiologiques, biochimiques et moléculaires régissant le priming sont mal connus. Notre travail a pour objectif d’étudier, d’une part, les effets de l’hydrorpiming des graines de Vigna unguiculata sur la germination et la croissance en conditions favorables et stressantes (PEG à 20 %), et d’autre part, l’évolution des métabolites au niveau des organes d’embryon lors la germination dans les deux conditions. Nos résultats révèlent que l’hydropriming des semences permet l’amélioration des performances germinatives et la croissance des radicules, particulièrement en conditions stressantes, en provoquant des modifications physiologique et biochimique au niveau des cotylédons, de la radicule et la gemmule. Parmi cette modification, nous révélons la stimulation d’une forte accumulation des acides aminés, la diminution de la teneur en proline libre et le taux du malondialdéhyde (MDA) permettant la protection des membranes contre la peroxydation lipidique. Cependant ces modifications dépendent étroitement de l’organe et de la phase de germination.
Fête de la Science : Les venins nous veulent du bienPasteur_Tunis
Qu’est qu’un venin ? Toute substance toxique produite par des animaux ou des plantes envers un organisme d’une autre espèce ou envers l’homme. Il y ‘a une grande biodiversité des animaux venimeux dans le monde tel que les scorpions, les serpents, les araignées, cônes de mer etc.; Ces venins engendrent d’une part ce qu’on appelle une envenimation potentiellement dangereuse pour la santé de l’homme et d’autre part et d’une manière très intéressante les recherches ont largement montré que ces mêmes venins possèdent des molécules à potentiel thérapeutique envers plusieurs maladies notamment le cancer, le diabète et autre…Un des principaux axes phares sur lequel on travaille au sein de l’institut Pasteur de Tunis est le problème de l’envenimation scorpionique et ophidienne qui est un problème de santé publique qui ne touche pas uniquement la Tunisie mais qui sévit à travers les cinq continents englobant plusieurs régions dans le monde donc des biotopes différents. En définition qu’est-ce qu’une envenimation: C’est un cocktail de molécules où certaines sont toxiques et d’autres non toxiques. Il faut savoir que les venins sont excrément stables. A l’échelle du Laboratoire, ils peuvent être conservés pendant plusieurs années sans que leur activité ne soit réduite. La composition, la quantité, la létalité du venin varient avec l'espèce, l'âge, la situation géographique et la période de l'année. Pour le venin de scorpion. C’est un mélange complexe de substance protéique, on trouve également les lipides, les sels, les enzymes. Rarement pour certains venins comme le venin du scorpion iranien on a enregistré un syndrome hémorragique.
4. l'autofécondation:
Est la fécondation d’un ovule par du pollen issu de
la même plante.
Les mécanismes qui interviennent sont le plus
souvent d’ordre morphologique:
Contacte directe des stigmates avec des
étamines ou proximité des deux organes
reproducteurs.
Protection vis-à-vis du pollen étranger.
5.
6. Plante autogame: est un
terme utilisé pour
qualifier une plante qui
se reproduit elle-même.
En effet, une plante
autogame n'a pas besoin
d'autres fleurs pour se
reproduire : elle se
féconde elle-même.
7. La multiplication
végétative ou
reproduction asexuée
C’est un mode de
reproduction qui ne
fait intervenir qu’un
organe de l’appareil
végétatif.
8. La multiplication végétative consiste donc
à reproduire une plante à partir d’un
organe de l’appareil végétatif, elle peut
être faite :
A partir des tiges aériennes
A partir des feuilles
A partir des bourgeons
A partir des racines
A partir des fleurs
A partir des tiges souterraines
9. La multiplication végétative il y a deux formes :
La multiplication
végétative
naturelle
et La multiplication
végétative
artificielle
10. La multiplication
végétative naturelle :
C’est la multiplication
normale des plantes
dites à rhizomes ;
à tubercules ;à stolons.
La multiplication
végétative artificielle :
Dans cette forme de
multiplication l’homme
intervient ; on distingue
trois types : le bouturage,
le marcottage et le
greffage.
11. Le bouturage consiste à détacher et à isoler de
la plante mère, un fragment d’organe végétatif
(bouture) et à le mettre en terre sans racine au
bout de quelque temps il y a apparition des
racines.
12. Afin d’assurer la réussite des boutures ; il faut :
les maintenir dans une terre fraîche
les soustraire à une transpiration exagérée
les boutures doivent porter peu de feuilles
les boutures doivent présenter une section bien nette
afin de faciliter la cicatrisation
les boutures ne doivent être ni trop de jeunes ni trop
vieille
planter les boutures dans un sol bien aéré
13. Le bouturage est une méthode
simple et pratique facile à réaliser.
Le bouturage donne des plantes identiques
à la plante mère.
14. Le marcottage consiste à recourber
dans un sol humide ou à introduire
dans un pot fondu latéralement une
partie d’un rameau sans le détacher
de la tige mère : le rameau ainsi
préparé est un marcottage.
Ainsi, le marcottage consiste à faire
développer des racines sur des tiges
dressés ou rampantes sous quelques
centimètres de terre.
15. Afin d’assurer la réussite du marcottage il
faut :
Une présence d’humidité
Prendre de rameau avec des bons
bourgeons
Immobiliser le rameau à marcotter avant
l’apparition de nouvelles pousses
Pratiquer délicatement le sevrage
Transplanter la marcotte dans un sol
humide.
16. Le greffage consiste à assurer la soudure
d’un organe végétatif appelé GREFFON.
Sur une autre plante enracinée appelée :
PORTE GREFFE OU SUJET.
Si la greffe est bien faite ; le sujet
nourrit le greffon comme s’il s’agissant
de ses propres branches.
17.
18. : ce procédé consiste à
fondre la tige et à y renforcer le greffon taillé en
biseau.
: Les greffons sont
placés entre l’écorce et les bois du porte greffe.
: les greffons est un
écuissions constitue d’un bourgeon ou d’un œil
accompagné d’écorce ou de tissus conducteur. La
porte greffe incisé en T reçoit le greffon.
19.
20. Afin d’assurer la réussite du greffage ; il faut que :
le greffon appartient à une même espèce ou à
une même famille.
le porte greffon soit bien enracinée
le greffon possède des bourgeons
le porte greffon et le greffon soient bien fixés
entre eux, pour cela ; on utilise du goudron ou du
mastique pour favoriser la fixation
le greffon soit bien ligaturé sur la porte greffe à
l’aide de ficelle.
21. En fin :
l'autofécondation: Est la fécondation d’un ovule
par du pollen issu de la même plante.
Les plantes autogames sont multipliée par 2 type
de multiplication végétative ( naturelle;
artificielle).
multiplication végétative artificielle: il y a 3
types : le bouturage, le marcottage et le
greffage.