Revue "Le Mag de l'INPH" n°3 - Janvier 2015
Nous avons tous dans notre hôpital un « médecin DIM ». (Article L6113-7 CSP : « Les établissements de santé, publics ou privés, procèdent à l’analyse de leur activité… en vue d’améliorer la connaissance et l’évaluation de l’activité et des coûts et de favoriser l’optimisation de l’offre de soins... Le praticien responsable de l’information médicale est un médecin désigné par le directeur d’un établissement public de santé ou l’organe délibérant d’un établissement de santé privé s’il existe, après avis de la commission médicale ou de la conférence médicale. » et http://www.departement-informationmedicale.com/blog/2010/03/28/le-dimpour-les-nuls/
Cette spécialité fut mise sur le devant de la scène lors de l’introduction de la T2A : ce sont en effet les informations collectées et traitées par nos confrères DIM qui permettent de déterminer la partie des financements des établissements liée à l’activité (soit la plus grande partie des ressources de l’hôpital depuis 2008). C’est dire si leur position est stratégique... et exposée.
Le 22 avril 2014 sort l’ouvrage du Dr Tanquerel, médecin DIM à l’hôpital de St Malo. « Le serment d’Hypocrite - secret médical : le grand naufrage ».
La spécialité est à nouveau sur le devant de la scène : l’éclairage est violent et révèle une réalité non moins violente. Qui sont ces confrères, Icares malgré eux, qui parfois se consument d’avoir approché de trop près le coeur brûlant de l’activité ?
reseauprosante.fr
Nous avons tous dans notre hôpital un « médecin DIM ». (Article L6113-7 CSP : « Les établissements de santé, publics ou privés, procèdent à l’analyse de leur activité… en vue d’améliorer la connaissance et l’évaluation de l’activité et des coûts et de favoriser l’optimisation de l’offre de soins... Le praticien responsable de l’information médicale est un médecin désigné par le directeur d’un établissement public de santé ou l’organe délibérant d’un établissement de santé privé s’il existe, après avis de la commission médicale ou de la conférence médicale. » et http://www.departement-informationmedicale.com/blog/2010/03/28/le-dimpour-les-nuls/
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Présentation réalisée par Alain TURCOTTE dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Exemple d’un plan d’action en matière de prévention et de lutte contre les i...Ibnelafif Samir
La lutte contre les infections nosocomiales dans un hôpital de 320 lits, nécessite un engagement continu de l’unité de supervision et d’évaluation des soins. La mise en œuvre d’un plan d’action structuré permet d’avoir une perspective globale et de garder bien en vue les activités à inscrire en priorité, à réaliser et à maintenir pour réduire le risque infectieux relié à la prestation des soins et services.
La lutte contre les infections nosocomiales doit être un projet commun. Administrateurs, gestionnaires, médecins, professionnels et intervenants, dont chacun doit participer efficacement de prés ou de loin fasse a ce problème néfaste, et contribuer à renforcer le lien de confiance entre la population a desservie et cette établissement de soins.
Nous avons tous dans notre hôpital un « médecin DIM ». (Article L6113-7 CSP : « Les établissements de santé, publics ou privés, procèdent à l’analyse de leur activité… en vue d’améliorer la connaissance et l’évaluation de l’activité et des coûts et de favoriser l’optimisation de l’offre de soins... Le praticien responsable de l’information médicale est un médecin désigné par le directeur d’un établissement public de santé ou l’organe délibérant d’un établissement de santé privé s’il existe, après avis de la commission médicale ou de la conférence médicale. » et http://www.departement-informationmedicale.com/blog/2010/03/28/le-dimpour-les-nuls/
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Chirurgie ambulatoire, vecteur de qu...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Présentation réalisée par Alain TURCOTTE dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Exemple d’un plan d’action en matière de prévention et de lutte contre les i...Ibnelafif Samir
La lutte contre les infections nosocomiales dans un hôpital de 320 lits, nécessite un engagement continu de l’unité de supervision et d’évaluation des soins. La mise en œuvre d’un plan d’action structuré permet d’avoir une perspective globale et de garder bien en vue les activités à inscrire en priorité, à réaliser et à maintenir pour réduire le risque infectieux relié à la prestation des soins et services.
La lutte contre les infections nosocomiales doit être un projet commun. Administrateurs, gestionnaires, médecins, professionnels et intervenants, dont chacun doit participer efficacement de prés ou de loin fasse a ce problème néfaste, et contribuer à renforcer le lien de confiance entre la population a desservie et cette établissement de soins.
Présentation réalisée par Jérôme FOUCAULT dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé les 3 et 4 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Alcimed expose sa vision sur la e-santé au service des maladies rares...Les Filières de Santé Maladies Rares illustrent cette réalité avec des projets en cours.
Présentation réalisée par Michel GREIVER et Gilles BROUSSEAU dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Interview Anne Marie Armenteras De Saxce - Directrice générale DGOSRachel Bocher
Comment devient-on directrice générale de l’offre de soins ?
Quelles sont les missions de la directrice générale et qui concernent directement les PHs ?
Le CHS Valvert favorise les usages de la MSSanté pour une meilleure prise en ...Marie Bonnaud
Le Centre Hospitalier Spécialisé (CHS) Valvert est un établissement public
psychiatrique couvrant un bassin de population de 350 000 habitants de l’Est et du Sud de Marseille. Il a récemment initié un projet de mise à
disposition de ses médecins et secrétaires médicales une messagerie sécurisée estampillée MSSanté, via la solution Enovacom Secure Messaging. En matière de confidentialité des données médicales, les établissements psychiatriques concernés sont au premier plan. La mise en production d’une MSSanté au sein du CHS Valvert à Marseille participe de la réponse à cette contrainte, mais aussi à l’optimisation des échanges entre professionnels pour améliorer la prise en charge des patients, comme en témoignent Didier Ducatel et Christian Rezzoagli, respectivement DSIO et Chef du projet MSSanté pour cet établissement.
Présentation réalisée par Sabrina BOUTIN dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Interview le dpc, un outil pour améliorer la qualité des soins.Réseau Pro Santé
Pour le Dr Sylvia Benzaken, Vice-présidente de la CME du CHU de Nice, le DPC est un dispositif national obligatoire, dont les modalités doivent être personnalisées en fonction des différentes spécialités et adaptées aux besoins de chaque mode d’exercice et de chaque professionnel avec comme objectif l’amélioration de la qualité des soins.
PHAR-E : Que vous inspirent les résultats de cette enquête réalisée par Avenir Hospitalier et la CPH auprès de l'ensemble des PH, toutes spécialités confondues ?
S. Benzaken : Ces résultats reflètent la complexité du dispositif et la difficulté à communiquer auprès de nos collègues. L’information est certes diffusée, mais il me semble que celle-ci devrait être plus personnalisée.
Ce dispositif a été mis en place pour l’ensemble des professionnels de santé et, concernant le personnel médical, pour tous les secteurs d’activité. Ainsi, la communication cible à la fois les médecins libéraux et les médecins hospitaliers avec des messages trop globaux qui ne parlent pas à tous, ou plutôt à chaque individu selon son exercice ou son activité.
La diffusion de l’information existe, mais le mode de communication idéal n’a pas été trouvé.
Objet de l’appel :
•Réviser les données récentes et le statut de la LVSC
•Discuter du rôle de la communication et du travail d’équipe en sécurité des patients
•Définir des moyens de mesurer l’efficacité de la LVSC
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wjN7Bs
Le site d’information des usagers sur la qualité des prises en charge dans les établissements de santé. S'informer pour bien choisir > http://www.scopesante.fr
Dynamique syndicale. rapport de mission du dr e.hubert.Réseau Pro Santé
Le président de la République a confié au Dr E. Hubert, en juin 2010, une mission de concertation sur la médecine de proximité avec pour objectif, de proposer des mesures concrètes aux difficultés structurelles rencontrées par la médecine ambulatoire depuis des années.
Cette mission arrive dans les suites du celle du Dr M. Legmann de février 2010 ayant eu pour but la définition d’un nouveau modèle de médecine libérale.
Après avoir constaté que les aides incitatives, essentiellement "nancières, mises en place depuis 2004, n’ont pas eu d’effet sur le choix du mode et lieu d’exercice de la médecine libérale, la mission conclut à une modernisation de la médecine libérale dont les propositions tournent autour de trois axes :
1. Formation des médecins
2. Accompagnement à l’installation
3. Moderniser les conditions d’exercice pour les adapter aux aspirations des jeunes médecins.
Après rencontres et réflexions, voici un résumé du rapport de cette importante mission pour l’avenir de la médecine générale.
reseauprosante.fr
5 bonnes raisons d’intégrer la reconnaissance vocale au dossier patientNuance Healthcare EMEA
En France, les nombreux investissements engagés en faveur de l’adoption du dossier patient pourraient bien transformer le paysage
médical en permettant aux professionnels de santé comme aux patients un accès immédiat au compte rendu d’hospitalisation et en améliorant
la sécurité et la transparence, avec pour effet positif la réduction du nombre d’erreurs, et une recherche médicale stimulée.
Alors…
Comment aider les professionnels de santé à produire une documentation médicale de meilleure qualité, tout en leur permettant de continuer à fournir d’excellents soins ? Comment garantir la rentabilité des investissements engagés dans la mise en place d’un dossier patient ?
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
Présentation réalisée par Jérôme FOUCAULT dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé les 3 et 4 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Alcimed expose sa vision sur la e-santé au service des maladies rares...Les Filières de Santé Maladies Rares illustrent cette réalité avec des projets en cours.
Présentation réalisée par Michel GREIVER et Gilles BROUSSEAU dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Interview Anne Marie Armenteras De Saxce - Directrice générale DGOSRachel Bocher
Comment devient-on directrice générale de l’offre de soins ?
Quelles sont les missions de la directrice générale et qui concernent directement les PHs ?
Le CHS Valvert favorise les usages de la MSSanté pour une meilleure prise en ...Marie Bonnaud
Le Centre Hospitalier Spécialisé (CHS) Valvert est un établissement public
psychiatrique couvrant un bassin de population de 350 000 habitants de l’Est et du Sud de Marseille. Il a récemment initié un projet de mise à
disposition de ses médecins et secrétaires médicales une messagerie sécurisée estampillée MSSanté, via la solution Enovacom Secure Messaging. En matière de confidentialité des données médicales, les établissements psychiatriques concernés sont au premier plan. La mise en production d’une MSSanté au sein du CHS Valvert à Marseille participe de la réponse à cette contrainte, mais aussi à l’optimisation des échanges entre professionnels pour améliorer la prise en charge des patients, comme en témoignent Didier Ducatel et Christian Rezzoagli, respectivement DSIO et Chef du projet MSSanté pour cet établissement.
Présentation réalisée par Sabrina BOUTIN dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Interview le dpc, un outil pour améliorer la qualité des soins.Réseau Pro Santé
Pour le Dr Sylvia Benzaken, Vice-présidente de la CME du CHU de Nice, le DPC est un dispositif national obligatoire, dont les modalités doivent être personnalisées en fonction des différentes spécialités et adaptées aux besoins de chaque mode d’exercice et de chaque professionnel avec comme objectif l’amélioration de la qualité des soins.
PHAR-E : Que vous inspirent les résultats de cette enquête réalisée par Avenir Hospitalier et la CPH auprès de l'ensemble des PH, toutes spécialités confondues ?
S. Benzaken : Ces résultats reflètent la complexité du dispositif et la difficulté à communiquer auprès de nos collègues. L’information est certes diffusée, mais il me semble que celle-ci devrait être plus personnalisée.
Ce dispositif a été mis en place pour l’ensemble des professionnels de santé et, concernant le personnel médical, pour tous les secteurs d’activité. Ainsi, la communication cible à la fois les médecins libéraux et les médecins hospitaliers avec des messages trop globaux qui ne parlent pas à tous, ou plutôt à chaque individu selon son exercice ou son activité.
La diffusion de l’information existe, mais le mode de communication idéal n’a pas été trouvé.
Objet de l’appel :
•Réviser les données récentes et le statut de la LVSC
•Discuter du rôle de la communication et du travail d’équipe en sécurité des patients
•Définir des moyens de mesurer l’efficacité de la LVSC
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wjN7Bs
Le site d’information des usagers sur la qualité des prises en charge dans les établissements de santé. S'informer pour bien choisir > http://www.scopesante.fr
Dynamique syndicale. rapport de mission du dr e.hubert.Réseau Pro Santé
Le président de la République a confié au Dr E. Hubert, en juin 2010, une mission de concertation sur la médecine de proximité avec pour objectif, de proposer des mesures concrètes aux difficultés structurelles rencontrées par la médecine ambulatoire depuis des années.
Cette mission arrive dans les suites du celle du Dr M. Legmann de février 2010 ayant eu pour but la définition d’un nouveau modèle de médecine libérale.
Après avoir constaté que les aides incitatives, essentiellement "nancières, mises en place depuis 2004, n’ont pas eu d’effet sur le choix du mode et lieu d’exercice de la médecine libérale, la mission conclut à une modernisation de la médecine libérale dont les propositions tournent autour de trois axes :
1. Formation des médecins
2. Accompagnement à l’installation
3. Moderniser les conditions d’exercice pour les adapter aux aspirations des jeunes médecins.
Après rencontres et réflexions, voici un résumé du rapport de cette importante mission pour l’avenir de la médecine générale.
reseauprosante.fr
5 bonnes raisons d’intégrer la reconnaissance vocale au dossier patientNuance Healthcare EMEA
En France, les nombreux investissements engagés en faveur de l’adoption du dossier patient pourraient bien transformer le paysage
médical en permettant aux professionnels de santé comme aux patients un accès immédiat au compte rendu d’hospitalisation et en améliorant
la sécurité et la transparence, avec pour effet positif la réduction du nombre d’erreurs, et une recherche médicale stimulée.
Alors…
Comment aider les professionnels de santé à produire une documentation médicale de meilleure qualité, tout en leur permettant de continuer à fournir d’excellents soins ? Comment garantir la rentabilité des investissements engagés dans la mise en place d’un dossier patient ?
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
La pandemia de COVID-19 ha tenido un impacto significativo en la economía mundial y las vidas de las personas en todo el mundo. Muchos países han implementado medidas de confinamiento que han cerrado negocios no esenciales y han pedido a las personas que permanezcan en sus hogares tanto como sea posible para frenar la propagación del virus. A pesar de los desafíos sin precedentes, la comunidad internacional ha demostrado una gran solidaridad y esperanza en la lucha contra esta pandemia.
Chez amis, merci de votre présence aux JFR cette année !
Internes et chefs de clinique de radiologie, nouveaux internes nommés à l’ECN, jeunes médecins nucléaires, vous avez tous participé au succès de cet événement.
Nous tenons aussi à remercier la SFR, les organisateurs des JFR, les membres du Carrefour de la Recherche et tous les autres qui ont rendu cette aventure possible.
Depuis quelques années nous bénécions d’un espace dédié pendant les JFR : le salon des juniors.
C’est un lieu privilégié d’échanges entre jeunes radiologues français et étrangers, dans une ambiance toujours conviviale et agréable.
reseauprosante.fr
Encuentro regional de voluntariado universitario Alejandra Cork
El documento describe un encuentro regional de voluntariado universitario que tuvo lugar el 13 de mayo de 2014, donde estudiantes de tres universidades (UNR, UNL y UNER) intercambiaron experiencias sobre voluntariado.
Informe semanal de Análisis Técnico de Cortal Consors - 8 de febrero de 2011Salainversion
El documento resume la situación de los mercados financieros mundiales. Indica que la renta variable mundial sigue en tendencia alcista a largo plazo. Recomienda comprar correcciones a corto plazo debido a indicadores extremos. Destaca sectores y regiones que se están comportando bien. Analiza gráficos diarios del S&P 500, EuroStoxx 50, IBEX 35 y bonos alemanes e indica soportes y resistencias clave. Selecciona Philips como valor de la semana y explica su análisis técnico.
Este documento trata sobre controladores PID. Explica las acciones proporcional, integral y derivativa y cómo se combinan en un controlador PID. Describe cómo los parámetros de un controlador PID (ganancia proporcional, tiempo integral y tiempo derivativo) afectan su funcionamiento. También cubre métodos para ajustar estos parámetros, incluidos métodos iterativos y de optimización. El documento proporciona una introducción general a los controladores PID analógicos y digitales.
Les prodiges de sayyidouna imam housayn رضی اللہ تعالی عنہIlyas Qadri Ziaee
This Book is written by Ameer e Ahle Sunnat Hazrat Allama Maulana Ilyas Attar Qadri Razavi Ziaee.
This book include the following topics:
*Refulgent counternance
*Horse hurled the blasphemous into the fire
*Stung by black scorpion
* And many more..
Like & Share Official Page of Maulana Ilyas Qadri
www.facebook.com/IlyasQadriZiaee
La gran huida de caperucita roja. alex y bryanyanete
Caperucita Roja y su primo el Pato con Botas huyen de la ciudad de Japón para escapar del cazador Yoda, quien los tenía en su lista de víctimas. Se esconden en un campo de arroz, pero Yoda los encuentra y comienza a dispararles. El Pato con Botas lucha y mata a Yoda, poniendo fin a la amenaza. Los primos construyen casas en el campo y viven felices para siempre.
Este documento presenta la introducción, objetivos y desarrollo de actividades para el curso Estructura de Datos de la Universidad Nacional Abierta y a Distancia. Se detalla la estructura general del contenido del curso, así como información sobre las unidades didácticas, prácticas de laboratorio y evaluación. El objetivo es conocer el aula virtual del curso e interactuar con los compañeros y tutor.
Este documento proporciona información sobre los servicios de consultoría para el empleo de Aldalan. Aldalan ofrece programas a entidades públicas enfocados en el desarrollo personal y profesional, orientación laboral y búsqueda de empleo. Sus servicios incluyen talleres, estudios de mercado, gestión de prácticas y formación en competencias profesionales. Aldalan ha trabajado desde 2004 para promover la inserción y reinserción laboral de calidad.
El PMI es una organización fundada en 1969 que establece estándares y ofrece certificaciones en gestión de proyectos. El PMI desarrolló el Project Management Body of Knowledge (PMBOK) para estandarizar los conocimientos de la profesión. Ofrece tres certificaciones principales, incluyendo la muy respetada PMP. El PMI promueve la profesión a través de eventos, capacitación y una red global de más de 250 capítulos.
Cortal Consors - Informe Semanal de Análisis Técnico del 9 de agostoSalainversion
El documento resume el análisis técnico de varios mercados financieros de la semana pasada. Indica que los mercados de renta variable mundiales siguen en una tendencia alcista a largo plazo pero están debilitándose a mediano plazo. Recomienda invertir en sectores como la industria, bancos, seguros y utilities. El análisis individual se centra en Iberdrola como una oportunidad de compra.
El documento presenta preguntas y opciones de respuesta sobre conceptos relacionados con la programación y el procesamiento de datos. Se definen términos como programación, programa, información y datos. También se explican conceptos como lenguajes de programación, tablas de verdad, depuración de programas y procesamiento de datos. Finalmente, se incluyen preguntas sobre estos temas para evaluar la comprensión.
Este documento presenta los servicios de recursos humanos que ofrece Aldalan para empresas en Bizkaia. Aldalan proporciona servicios de búsqueda de currículums, recolocación de personal, formación y gestión de prácticas de alumnos. Los servicios incluyen acceso gratuito a una base de datos de currículums, apoyo en la búsqueda de personal, intermediación en ceses laborales, consultoría de formación y gestión de subvenciones para la formación.
La révolution numérique et le parcours de santé Alain Tassy
La loi de modernisation du système de santé de janvier 2016 ouvre la porte à une véritable révolution en proposant de rebâtir tout le système autour du parcours de santé afin de mettre le patient au centre du dispositif et de favoriser la prévention.
Pour être mise en œuvre, cette nouvelle approche nécessite une évolution des pratiques et une coordination à distance de tous les professionnels de la santé. L’utilisation des technologies numériques représente alors une solution car elles permettent une coordination efficace. Le dossier médical partagé est absolument nécessaire et son appropriation par les professionnels est vital.
L’introduction du parcours de santé représente pour le monde médical une innovation organisationnelle comme le vivent de nombreux autres domaines du monde économique confrontés à la transformation digitale. On peut alors s’étonner que les projets gérés par les ARS soient lancés uniquement pour répondre à un problème identifié localement sans prendre en compte le passage à l’échelle nationale. On peut aussi s’étonner de l’absence de structure et d’un chef de projet responsables de la mise en place du parcours de santé.
E-Santé : quels enjeux pour le professionnel de santé ?Driss AIT MANI
Présentation réalisée au Forum Derm@to Connecté du 2/02/2017 à Marseille, pour la Fédération Française de Formation Continue et d´Evaluation en Dermatologie-Vénéréologie (FFFCEDV)
Journal du Médecin - Interview de Melchior Wathelet (Xperthis) sur le DPI dan...Xperthis
L’informatique hospitalière est en pleine évolution. La création prochaine de réseaux hospitaliers vient encore complexifier les technologies de l’information. Quelles sont les difficultés que rencontrent les hôpitaux ? Melchior Wathelet, CEO de la société belge Xperthis dont l’ERP* (ERP4HC) équipe la moitié des hôpitaux du pays, répond à cette question.
INTERVIEW Anne-marie ARMENTERAS DE SAXCE - Directrice générale DGOSRéseau Pro Santé
Revue "Le Mag de l'INPH" n°8 - INPH - Décembre 2016
Comment devient-on directrice générale de l’offre de soins ?
Pour le côté formel des choses, il s’agit d’une nomination en conseil des ministres. Pour ce qui est du choix de la personne - et en particulier me concernant - il est difficile de répondre à la place des intéressés, au premier rang desquels la ministre. L’analyse que je peux en faire n’est pas spécifique au poste : c’est la rencontre entre d’un côté les besoins spécifiques d’un moment et, de l’autre, l’expérience et les compétences acquises.
Sous l’angle du parcours professionnel et de l’engagement personnel pour exercer des responsabilités d’équipes et de programmes, les fonctions de directrice de l’offre de soins et médico-sociale à l’ARS d’Ile-de-France, après une carrière hospitalière variée, auront été déterminantes. Ma nomination est venue rencontrer un moment particulier, celui de la préparation puis de la création des GHT, des nombreuses mesures de la loi de modernisation de notre système de santé, de la poursuite du plan triennal, de la concertation avec toutes les parties prenantes. Mais surtout - car le sens est important - la projection d’une vision fondamentale pour ce qui concerne la DGOS : celle de l’organisation territoriale de l’offre de soins. (...)
http://www.reseauprosante.fr
Mon hôpital orienté client ou les bons soins au bon endroitChanfi MAOULIDA
Les comparaisons entre les différents secteurs sont aujourd'hui monnaie courante et les hôpitaux n’y échapperont pas. Patient ou client ? Peut-on parler de " fidélisation " du malade ? La gestion orientée client est-il transposable dans le domaine hospitalier ? L’accent doit-il être mis sur l’« expérience » du patient ou sur sa « satisfaction » ? Comment amorcer le virage vers des e-services personnalisés plutôt que normalisés ?
Présentation de l'expertise santé:
accompagner la transformation dans son ensemble,
Solutions modulaires en fonction de vos scénarios,
Le DPM, un dispositif de partage qui mobilise tous les acteurs de la santé,
Modernisation et optimisation des SI de santé,
Accélérer la mise en œuvre des SIH,
Un plan de projet : La trajectoire d'évolution du SIH vers le DMP,
Coffre fort des données de santé.
Revue "Le Mag de l'INPH" n°8 - INPH - Août 2016
PH en Neurologie,CHU Grenoble
Député adjoint de l’Isère
Rapporteur de la loi de Modernisation du système de Santé
Bonjour Olivier Veran
En novembre 2015, la ministre des Affaires sociales et de la santé vous a confié une mission en vous demandant de « travailler à l’avènement de modes de financement davantage médicalisés, plus sensibles aux spécificités des différents types de soins dispensés à l’hôpital. La piste d’une dotation modulée à l’activité devra être examinée avec une attention particulière. Ce nouveau modèle devra s’appliquer en priorité à certaines activités hospitalières qui ne se prêtent pas au modèle de la tarification à l’activité, en particulier les parcours de prise en charge des pathologies chroniques, les soins palliatifs et les soins non programmés. » .
Votre rapport d’étape sur la T2A vient de paraître.
Qu’avez vous découvert durant cette première partie de votre mission ?
1) Les règles de gouvernance, comme les modes de financement des établissements de santé sont ressenties par nombres de professionnels de santé comme pouvant avoir un impact jusque sur l’exercice médical, c’est-à dire mettre en tension les principes éthiques. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Développement professionnel continu (dpc) l’usine à gaz.Réseau Pro Santé
Le DPC est une obligation réglementaire individuelle pour chacun d’entre nous, depuis le 1er janvier 2013, entraînant des sanctions s’il n’est pas réalisé, alors que son organistion n'est pas encore finalisée, et son financement de plus en plus flou. Un programme collectif de DPC se conçoit comme une démarche continue d'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins qui permet de satisfaire à l'obligation individuelle de formation. Le programme associe des analyses de pratiques professionnelles, l'acquisition perfectionnement des connaissances compétences, activités articulées et planifiées dans l'indépendance et la confidentialité.
L’ORGANISME DE GESTION DU DPC (OGDPC)
1er juillet 2012 : l’OGDPC a fait son entrée sur scène officiellement. Cet organisme devra piloter le DPC dans sa globalité pour tous les professionnels de santé ainsi que s’assurer de la gestion financière du dispositif pour les libéraux (médecins, chirurgiens-dentistes, pharmaciens, sagesfemmes, orthophonistes, orthoptistes, pédicures, podologues, infirmiers et masseurs-kinésithérapeutes), les professionnels de santé exerçant en centres de santé et les médecins hospitaliers éligibles au versement de la contribution de l’industrie pharmaceutique. Pour cette mission, l’OGDPC bénéficie des ressources, des infra structures de l’OGC qui était l'organisme gestionnaire conventionnel des médecins libéraux jusqu’en juillet 2012.
21 novembre 2012 : l’OGDPC a installé son conseil de surveillance avec l’élection de son bureau :15 membres, soit 12 représentants des professionnels de santé (uniquement des représentants libéraux) et 3 représentants des employeurs.
Ce conseil a pour mission d’établir un bilan annuel global de la mise en oeuvre du DPC des professionnels de santé, de donner un avis au Ministre chargé de la Santé sur la qualité et l’efficacité du dispositif, de contrôler l’utilisation des sommes du DPC et de promouvoir le DPC dans les établissements de santé auprès des professionnels.
Un groupe de travail pour les personnels de santé salariés doit être constitué.
reseauprosante.fr
Compte rendu de la réunion Telecom Paris Santé du 21 novembre 2019Alain Tassy
Quels rôles jouent les technologies numériques dans l’évolution de la médecine du travail ?
Les enjeux de la médecine du travail
La prévention
Les données de santé
Situation internationale
Autres apports des technologies digitales.
Espace Compétences
Formation IP-Manager
Module: "Accompagnement des équipes dans les processus de changement - Interdisciplinarité / Interprofessionalité - Leadership"
16 décembre 2015 : 59 startups françaises de la e-santé se réunissent en une association, France eHealthTech, pour créer une filière du numérique en santé
LIVRE BLANC - les appareils biomedicaux connectes pour l'Hopital de demainMivy
Découvrez le 1er Livre Blanc sur les appareils biomédicaux connectés pour l'Hôpital de demain.
Partage des données patients, Identitovigilance, Certification…
Enovacom, éditeur de logiciels 100% Santé vous propose le 1er livre blanc dédié aux appareils biomédicaux connectés. Nous verrons ensemble comment aller vers l’hôpital connecté de demain avec plusieurs questions de posées : comment sont gérées aujourd’hui les données des patients ? Comment sont documentés leurs dossiers de soins ? Quels rôles peuvent jouer les dispositifs biomédicaux pour compléter ces informations ? Quels sont les avantages pour les hôpitaux de connecter les équipements ? Entre la certification, l’identitovigilance ou encore le partage des données de santé, découvrez tous les bénéfices de ces technologies santé – pour les équipes de votre établissement (DSI, Soignants, Biomédical), pour le patient.
Plusieurs études de cas sont proposées en fin de document afin d’éclairer ce type de projets.
A retrouver également sur www.enovacom.fr
1. CHRONIQUE
D’HÔPITAL
Nous avons
tous dans notre hô-
pital un « médecin DIM ».
(Article L6113-7 CSP : « Les
établissements de santé, publics
ou privés, procèdent à l’analyse de
leur activité… en vue d’améliorer
la connaissance et l’évaluation de
l’activité et des coûts et de favoriser
l’optimisation de l’offre de soins... Le
praticien responsable de l’informa-
tion médicale est un médecin désigné
par le directeur d’un établissement
public de santé ou l’organe délibé-
rant d’un établissement de santé
privé s’il existe, après avis de la
commission médicale ou de la confé-
rence médicale. » et
http://www.departement-information-
medicale.com/blog/2010/03/28/le-dim-
pour-les-nuls/
Cette
spécialité
fut mise sur le
devant de la scène
lors de l’introduction de
la T2A : ce sont en effet les
informations collectées et traitées
par nos confrères DIM qui per-
mettent de déterminer la partie
des financements des établisse-
ments liée à l’activité (soit la plus
grande partie des ressources de
l’hôpital depuis 2008).
C’est dire si leur position est
stratégique... et exposée.
Le 22 avril 2014 sort l’ouvrage
du Dr Tanquerel, médecin DIM à
l’hôpital de St Malo. « Le serment
d’Hypocrite - secret médical : le grand
naufrage ». La spécialité est à nou-
veau sur le devant de la scène :
l’éclairage est violent et révèle une
réalité non moins violente.
Qui sont ces confrères, Icares mal-
gré eux, qui parfois se consument
d’avoir approché de trop près le
cœur brûlant de l’activité ?
Nous avons demandé à deux
d’entre eux (l’un exerçant en CH,
l’autre en CHU) de nous livrer,
via leurs réponses aux 5 mêmes
questions, un témoignage sur leur
exercice quotidien.
1. QU’EST-CEQU’ÊTREDIM ?
DANS UN CHU
En tant que DIM, nous avons plu-
sieurs « casquettes » :
›› La formation des techniciennes
d’information médicale au rai-
sonnement médical.
›› La lecture et l’interprétation des
textes règlementaires.
›› L’optimisation du codage des
séjours, dans le respect des
textes règlementaires.
››La
forma-
tion des cli-
niciens au codage
PMSI et CCAM et leur
apporter notre aide en cas
de difficulté(s) de codage.
›› L’étude de l’activité des unités
de soins en fonction de la de-
mande des cliniciens et/ou des
différentes directions.
›› Être l’interface entre les clini-
ciens et les directions.
›› Enfin, participation au char-
gement mensuel des données
e-PMSI.
›› Autre rôle possible, l’étude
d’élément de santé publique à
partir du PMSI (ex : évolution
des taux de suicide, étude de la
périnatalité…).
›› Participation à la cellule de ges-
tion de la qualité au niveau de
la CME.
Dans le CHU où je travaille le
codage est décentralisé, c’est-à-
dire fait par les cliniciens dans les
services.
D’autres établissements ont choi-
si le codage centralisé, fait par des
TIM (Technicienne d’Information
Médicale) qui sont sous la respon-
sabilité de médecins DIM. Ce co-
dage centralisé a des avantages :
il est donc fait par des profes-
sionnels du codage, ce qui a pour
avantage de libérer du temps pour
les cliniciens mais aussi d’avoir un
codage fait au plus près du respect
des règles de codage celles-ci pou-
vant être modifiées chaque mois
de mars ; voire à d’autres mo-
ments de l’année. Ce codage cen-
tralisé a des inconvénients : celui
d’éloigner le clinicien de cette
pratique mais surtout la néces-
sité de tripler, voire quadrupler le
nombre des TIM, donc un surcoût
financier pour l’établissement, ce
surcoût étant cependant en partie
récupéré par une meilleure valori-
sation des séjours.
ÊTREDIM
www.inph.org 17
Réflexion ›››› CHRONIQUE D’Hôpital
Josette Maheut Lourmières
Médecin DIM
CHU Tours
Jean-Louis Antoniotti
Médecin DIM
CH Bastia (INPH)
Je suis à l’interface du monde médical
et du monde administratif mais
mon monde est clairement le monde
médical. Je pense que les médecins
DIM doivent se battre pour défendre le
monde soignant et la prise en charge
« encore humaine » des patients.
La nécessité a l'art
étrange de rendre
précieuses les
plus viles choses.
William Shakespeare
Le roi Lear
Le MAG de l’INPH / JANVIER 201516 www.inph.org 17
2. DANS UN CH
Le métier de DIM est évi-
demment très dépendant du
contexte où on l’exerce. En ce qui
me concerne, dans un centre hos-
pitalier de taille moyenne compor-
tant MCO, soins de suite et de réa-
daptation, psychiatrie, long séjour
et service d’accueil et d’urgence,
il se répartit essentiellement en
quatre grands volets :
›› Support aux cliniciens dans un
contexte de codage décentralisé
(les cliniciens codent les dia-
gnostics et les actes, le DIM leur
fait des suggestions d’améliora-
tion ou de correction en fonc-
tion des informations dont il
dispose dans le dossier patient
et le système d’information).
›› Retour d’information aux clini-
ciens et à l’administration.
›› Prévisions et suivi des différentes
recettes liées à la T2A, en relation
avec les services financiers.
›› Et gestion et réconciliation des
différents flux du système d’in-
formation permettant d’aboutir
à ces recettes.
Ces deux derniers
volets tendent à deve-
nir très prégnants depuis
la mise en œuvre de laT2A,le pre-
mier à cause de contraintes finan-
cières évidentes, le second du fait du
caractère peu adapté, pour ne pas
dire archaïque des systèmes d’in-
formation hospitaliers, qui peinent
à suivre le rythme des change-
ments permanents de contexte.
Il faut ajouter à cela des com-
mandes nombreuses de l’institu-
tion pour des travaux collectifs,
le DIM étant sollicité soit pour les
informations qu’il peut produire,
soit pour son expertise médicale,
soit parfois pour une disponibilité
plus facile peut-être à obtenir que
celle des cliniciens.
2. COMMENTDEVIENT-ONDIM
(VOUSENPARTICULIER?)
CHU
Après 25 ans de neurochirurgie
pédiatrique, j’ai souhaité chan-
ger d’orientation professionnelle,
mais toujours dans le domaine
médical et au sein d’un établis-
sement hospitalier. En tant que
clinicien, nous sommes « confron-
tés » au codage des séjours de
nos patients et donc avons des
rapports réguliers avec le DIM de
notre établissement.
Un poste
de PH venait
de se libérer, le pré-
sident de CME et le chef
de service du DIM me l’ont
proposé. Je me suis formé sur
« sur le tas », dans le service avec
néanmoins la validation d’un DU
de Qualité, Evaluation, Certifi-
cation à Caen. Certains de mes
collègues cliniciens ont suivi un
master de méthode et traitement
de l’information médicale à Paris,
ou à Nantes.
CH
Après une dizaine d’années de
pratique exclusivement clinique,
je me suis orienté vers la carrière
de médecin DIM. J’ai suivi une
formation à l’information médi-
cale à l’université de Montpellier,
complétée par diverses forma-
tions en statistique et santé pu-
blique. Après quelques années
d’exercice mixte, j’ai opté pour la
pratique exclusive du DIM. Ce qui
m’avait essentiellement conduit
vers cette démarche à l’époque,
était un intérêt pour l’évaluation
des pratiques professionnelles, et
pour les systèmes d’information,
en particulier dans ce qu’ils pou-
vaient apporter dans l’efficience
et la qualité des soins.
3. UNDIMNETRAVAILLENIDANS
LESOIN,NIDANSLEDIAGNOSTIC:
ÊTREMÉDECINEST-ILINDISPEN-
SABLEDANSCECAS?POURQUOI?
CHU
Oui c’est indispensable, parce que,
pour moi et après plus de 5 années
de médecin DIM, le rôle primor-
dial d’un DIM est d’être l’interface
entre les administratifs et les soi-
gnants. En effet, on est très sur-
pris de constater que médecins
et administratifs emploient très
souvent, les mêmes termes mais
leur donnent des définitions diffé-
rentes.
De plus, il est indispensable d’expliquer
aux soignants les méthodes de gestion
d’un CH, par exemple, que le taux d’oc-
cupation des lits est calculé à 0h.
Il est également indispensable d’expli-
quer le fonctionnement d’une unité de
soins aux directeurs lorsqu’ils pro-
posent par exemple une restructu-
ration. Le DIM doit alors apporter
les éléments d’activité nécessaires
aux cliniciens et aux directeurs
pour prendre la meilleure ou la
moins mauvaise décision. Au
contraire, Pour mon confort intel-
lectuel, le « plus » principal a été
de comprendre pourquoi je me
révoltais de certaines décisions
administratives lorsque j’étais cli-
nicien et surtout chef de service.
Mais surtout, j’ai compris les en-
jeux du codage et en particulier
le pourquoi de la nécessité de son
exhaustivité mensuelle indispen-
sable sur le plan financier. Les
modalités de financement d’un
CH ne sont jamais expliquées
voire enseignées aux cliniciens,
ce qui est bien dommage car cela
lui permettrait de comprendre
pourquoi le codage exhaustif des
séjours est indispensable. Cela
lui rendrait, peut-être, ce codage
moins rébarbatif.
CH
On peut envisager de produire et
exploiter de l’information médi-
cale sans médecin DIM : c’est
ce qui se passe dans un certain
nombre de pays. Le choix de
confier cette fonction à un méde-
cin a dû procéder de trois points :
›› La confidentialité des données
médicales, où le médecin est
soumis à une obligation déon-
tologique, qui se surajoute aux
obligations du secret profes-
sionnel, et donne donc une
garantie supplémentaire au pa-
tient et à la collectivité (ce qui
est évidemment lié au prix que
cette dernière accorde à cette
confidentialité).
›› la connaissance des pratiques
médicales, très utile dans la pra-
tique du codage des diagnostics
et des actes, dès qu’elle dépasse
un niveau élémentaire, mais
aussi dans l’analyse des don-
nées médico-économiques, où,
sans remplacer la confrontation
des résultats avec l’interpréta-
tion des cliniciens, elle permet
un premier niveau de perti-
nence qui n’est pas forcément,
et en tout cas pas facilement
accessible à un non médecin,
›› l’acceptabilité par le corps mé-
dical du dispositif du PMSI.
4. VOUSÊTESÀL’INTERFACEDU
MONDEMÉDICALETDUMONDE
ADMINISTRATIF :LEQUELESTLE
VÔTRE ?
CHU
Je suis à l’interface du monde mé-
dical et du monde administratif
mais mon monde est clairement le
monde médical (cf. mes réponses
précédentes). Je pense que les
médecins DIM doivent se battre
pour défendre le monde soignant
et la prise en charge « encore hu-
maine » des patients.
CH
Oui le DIM est classiquement à
l’interface des deux mondes. On
peut passer sous silence la rela-
tion avec le patient, où, dans une
échelle qui irait du chirurgien vis-
céral ou du psychiatre à l’anato-
mo-pathologiste, le DIM se trouve-
rait en deça de ce dernier, ou à un
niveau d’abstraction encore supé-
rieur selon le point de vue où on
se place...
Se situer à l’interface est évidem-
ment un état violent, d’autant que
la création de la fonction a procé-
dé d’un souhait d’acculturation de
chacun de ces deux mondes à son
vis-à-vis.
Il me semble que les médecins
DIM n’ont pas en général cette in-
terrogation identitaire, peut-être
parce qu’ils sont forcément dans
l’action, du fait de leur positionne-
ment.
5. COMMENTVOYEZVOUSLESÉVO-
LUTIONSDESMISSIONSDUDIM?
CHU
Je pense que, malheureusement,
l’évolution des missions des DIM
va se faire (si ce n’est déjà fait)
vers une activité de plus en plus
« administrative ». Les internes
et les jeunes médecins DIM sont
des médecins de santé publique
dont la plupart n’ont fait que
leurs stages d’étudiant en méde-
cine dans les services de soins et
n’en connaissent pas le fonction-
nement et les difficultés. Ils ne
pourront donc pas interpréter les
textes règlementaires en fonction
de l’activité d’un service de soins.
Ils ne pourront pas non plus rem-
plir leur rôle d’interface entre
l’administration et les soignants.
CH
Je vois quatre éléments impor-
tants dans l’avenir des DIM :
›› La démographie qui les touche,
comme beaucoup d’autres disci-
plines : il suffit de voir le nombre
de postes de praticien hospita-
lier non pourvus dans la spécia-
lité.
›› L’évolution des systèmes d’in-
formation hospitaliers vers une
dimension à la fois plus straté-
gique et plus industrielle. Plus
stratégique parce qu’ils doivent
intégrer plus complètement et
plus naturellement qu’ils ne le
font aujourd’hui tous les aspects
activités, processus et qualité
des soins (les vigilances pour
prendre un exemple concret) du
système de santé actuel. Plus
industriel parce les nombreuses
manipulations manuelles liées
Réflexion ›››› CHRONIQUE D’Hôpital
Le rôle
primordial d'un
DIM est d'être
l'interface
entre les
administratifs et
les soignants
Le MAG de l’INPH / JANVIER 201518 www.inph.org 19
3. à une intégration insuffisante
ou à des difficultés d’adaptation
aux changements de contexte
(ce qu’on appelle volontiers le
« cambouis » dans le jargon des
DIM), doivent disparaitre.
›› La difficulté du positionne-
ment des DIM, depuis la mise
en œuvre de la T2A. Cette der-
nière a abouti - quelle que soit
l’opinion que l’on peut avoir
du dispositif lui-même - à des
situations difficiles pour un
certain nombre de praticiens
à l’occasion de difficultés fi-
nancières des établissements,
à la fois parce que leur mise
en cause va bien au-delà de
leurs responsabilités propres,
et parce que les moyens mis
en œuvre dans ces situations
mettent à mal leur indépen-
dance professionnelle, quand
ils ne sortent pas franchement
du cadre de la réglementation :
des cas particulièrement carica-
turaux ont été médiatisés, mais
les situations moins visibles
sont nombreuses.
Pour améliorer cette situation,
il faut impérativement que le
cadre réglementaire soit res-
pecté par l’administration, et en
particulier l’indépendance pro-
fessionnelle garantie par le sta-
tut de PH, et confortée par deux
articles différents de la loi HPST.
Il faut aussi que les médecins
DIM innovent, et proposent des
éléments concrets d’évaluation
de leurs pratiques profession-
nelles permettant de donner
aux directions et au corps médi-
cal des garanties de fiabilité de
leur travail : il pourrait s’agir par
exemple d’audits croisés entre
les DIM de différents établisse-
ments selon des méthodologies
établies préalablement.
›› La place du DIM dans les évo-
lutions du système de santé,
en particulier dans les futures
GHT. Il me semble que l’idée de
rendre le DIM de GHT respon-
sable non seulement du PMSI,
mais aussi de la facturation ne
peut être rejetée en bloc, tant
les deux fonctions sont main-
tenant liées. Par contre, elle né-
cessite une réflexion approfon-
die, et surtout la garantie que
le positionnement du DIM et
les moyens dont il disposera, ne
puissent aboutir à des impasses.
Présidente
Dr Rachel BOCHER
(CHU de Nantes)
Délégué général et chargé des CH Non Universitaires
Dr Alain JACOB
(SNHG - Corbeil Essonnes)
Secrétaire Général
Dr Jamil AMHIS
(FPS - Créteil)
Vice-Président Chargé CHU et de la Chirurgie
Dr Jean-Michel BADET
(SNPH - CHU - Besançon)
Vice-Présidente Chargée Pharmacie
Dr Mariannick LEBOT
( SYNPREFH - Brest)
Vice-Président Chargé CHS
Dr Angelo POLI
(SPEP - Saint Cyr au Mont d’Or)
Vice-Président chargé de l’Université Recherche
Pr Bertrand DIQUET
(SNHU - Angers)
Trésorier
Dr Olivier DOUAY
(SNPH - CHU - Angers)
Trésorier adjoint et chargé des Odontologistes
Dr Bernard SARRY
(SNOP - Limoges)
Vice-Président chargé de la Pédiatrie et de la Néonatologie
Dr Jean-Louis CHABERNAUD
(SNPEH - AP-HP)
Vice-Présidente chargée des Urgences
Dr Catherine BERTRAND
(SAMU - AP-HP)
Vice-Président chargé de la Médecine
Dr Hugues AUMAÎTRE
(SNMInf - Angers)
Vice-Président chargé des temps partiels
Dr Tony RAHME
(SNPH TP - Montfermeil)
SNPH-CHU
Syndicat National des PH de CHU
Président : Dr J.M. BADET
SNPEH
Syndicat National des Pédiatres Des Etablissements Hospitaliers
Président : Dr J.L. CHABERNAUD
SNPH TP
Syndicat National des Praticiens Hospitaliers à Temps Partiel
Président : Dr T. RAHME
FPS
Fédération des Praticiens de Santé
Président : Dr J. AMHIS
SPEEP
Syndicat des Médecins Exerçant en Milieu Pénitentiaire
Président : Dr E. CHAIGNE
SYNPREFH
Syndicat National des Pharmaciens Des Etablissements Publics de Santé
Président : Dr P. LEGLISE
CNAH
Confédération Nationale des Assistants des Hôpitaux
Président : Dr Jean-Marie FARNOS
SNHG
Syndicat National Des Hôpitaux Généraux
Président : Dr A. JACOB
SNMInf
Syndicat National des Maladies Infectieuses
Président : Dr Hugues AUMAÎTRE
SNHU
Syndicat National Des Hospitalo-Universitaires
Président : Dr B. DIQUET
SPEP
Syndicat des Psychiatres d’Exercice Public
Président : Dr M. TRIANTAFYLLOU
SNOHP
Syndicat National des Odontologistes Des Hôpitaux Publics
Président : Dr E. GERARD
SUDF
Syndicat National SAMU et Urgences de France
Président : Dr F. BRAUN
SCPF
Syndicat des Chirurgiens Pédiatres Français
Président : Dr Philippe MONTUPET
FNASF
Fédération Nationale des Associations de Sages-Femmes
Président : Mme MASCART
SMPHNC
Syndicat des médecins et pharmaciens de Nouvelle Calédonie
Président : Dr E. MANCEL
16 SYNDICATS POUR VOUS DÉFENDRE
BUREAU
Reference : Article L6113-7
Modifié par Ordonnance n°2010-177 du 23 février 2010 - art. 4
Les établissements de santé, publics ou privés, procèdent à l’analyse de leur activité.
Dans le respect du secret médical et des droits des malades, ils mettent en œuvre des systèmes d’information qui
tiennent compte notamment des pathologies et des modes de prise en charge en vue d’améliorer la connaissance et
l’évaluation de l’activité et des coûts et de favoriser l’optimisation de l’offre de soins. Les praticiens exerçant dans les
établissements de santé publics et privés transmettent les données médicales nominatives nécessaires à l’analyse de
l’activité et à la facturation de celle-ci au médecin responsable de l’information médicale pour l’établissement dans
des conditions déterminées par voie réglementaire après consultation du Conseil national de l’ordre des médecins.
Les praticiens transmettent les données mentionnées au troisième alinéa dans un délai compatible avec celui imposé
à l’établissement. Sous l’autorité des chefs de pôle, les praticiens sont tenus, dans le cadre de l’organisation de
l’établissement, de transmettre toutes données concernant la disponibilité effective des capacités d’accueil et
notamment des lits. A la demande du directeur, ce signalement peut se faire en temps réel. Le praticien responsable
de l’information médicale est un médecin désigné par le directeur d’un établissement public de santé ou l’organe
délibérant d’un établissement de santé privé s’il existe, après avis de la commission médicale ou de la conférence
médicale. Pour ce qui concerne les établissements publics de santé, les conditions de cette désignation et les modes
d’organisation de la fonction d’information médicale sont fixés par décret.
Lorsque les praticiens appartenant au personnel des établissements publics de santé ne satisfont pas aux obligations
qui leur incombent en vertu des troisième et quatrième alinéas, leur rémunération fait l’objet de la retenue prévue à
l’article 4 de la loi de finances rectificative pour 1961 (n° 61-825 du 29 juillet 1961).
La difficulté du
positionnement
des DIM a abouti
à des situations
difficiles pour un
certain nombre
de praticiens
à l'occasion
de difficultés
financières des
établissements
Le MAG de l’INPH / JANVIER 201520 www.inph.org 21