La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Exemple d’un plan d’action en matière de prévention et de lutte contre les i...Ibnelafif Samir
La lutte contre les infections nosocomiales dans un hôpital de 320 lits, nécessite un engagement continu de l’unité de supervision et d’évaluation des soins. La mise en œuvre d’un plan d’action structuré permet d’avoir une perspective globale et de garder bien en vue les activités à inscrire en priorité, à réaliser et à maintenir pour réduire le risque infectieux relié à la prestation des soins et services.
La lutte contre les infections nosocomiales doit être un projet commun. Administrateurs, gestionnaires, médecins, professionnels et intervenants, dont chacun doit participer efficacement de prés ou de loin fasse a ce problème néfaste, et contribuer à renforcer le lien de confiance entre la population a desservie et cette établissement de soins.
Rapport IGAS et IGF sur le développement de l'hospitalisation ambulatoireSociété Tripalio
Rapport commun de l'IGAS et de l'IGF sur le développement de la chirurgie ambulatoire en France. Rédaction en juillet 2014, publication en janvier 2015. Aucune préconisation particulière.
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Exemple d’un plan d’action en matière de prévention et de lutte contre les i...Ibnelafif Samir
La lutte contre les infections nosocomiales dans un hôpital de 320 lits, nécessite un engagement continu de l’unité de supervision et d’évaluation des soins. La mise en œuvre d’un plan d’action structuré permet d’avoir une perspective globale et de garder bien en vue les activités à inscrire en priorité, à réaliser et à maintenir pour réduire le risque infectieux relié à la prestation des soins et services.
La lutte contre les infections nosocomiales doit être un projet commun. Administrateurs, gestionnaires, médecins, professionnels et intervenants, dont chacun doit participer efficacement de prés ou de loin fasse a ce problème néfaste, et contribuer à renforcer le lien de confiance entre la population a desservie et cette établissement de soins.
Rapport IGAS et IGF sur le développement de l'hospitalisation ambulatoireSociété Tripalio
Rapport commun de l'IGAS et de l'IGF sur le développement de la chirurgie ambulatoire en France. Rédaction en juillet 2014, publication en janvier 2015. Aucune préconisation particulière.
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Nouvelles modalités d’exercice : que...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
2013-06-13 ASIP Santé RIR "Etat d’avancement des travaux ROR (Répertoire Opér...ASIP Santé
Etat d’avancement des travaux ROR (Répertoire Opérationnel des Ressources)
Nathalie CREGUT, adjointe au chef de bureau R2 – premier recours, DGOS
Jean-François PARGUET, directeur du pôle technique et sécurité, ASIP Santé
La gériatrie est une discipline qui s’est inscrite grâce à une histoire exigeante et tenace comme une discipline de plein exercice. Elle offre les différents types d’activités d’une discipline médicale aussi bien en établissement de santé qu’en activité libérale. La palette des lieux de pratique est particulièrement riche aussi bien dans les services d’établissement de santé de court séjour, de soins de suite et rééducation et de consultation, mais aussi en soins médicaux techniques importants (SMTI) (autrefois soins de longue durée) et en établissement médico-sociaux. Ces lieux de pratiques gériatriques se sont diversifiés notamment dans le sillage du plan Alzheimer 2008- 2012. Souvent nos interlocuteurs ne perçoivent qu’une partie de ces activités de médecins gériatres, voire y incluent des compétences élargies aux sciences humaines et sociales en rupture avec les formations initiales. Les raisons en sont nombreuses et il serait fastidieux d’en faire une description minutieuse. Mais cette confusion ne doit pas être partagée par les médecins qui se destinent à cette pratique, au risque d’en perdre la sève de leur spécialité pour eux-mêmes et la compétence pour les patients.
La pratique de la médecine gériatrique est clairement inscrite dans le prolongement de la formation des études médicales et dans le cursus qui conduit l’étudiant d’une spécialité initiale (DES) vers un exercice construit par des connaissances et un apprentissage : le DESC de Gériatrie. Les sciences humaines ont enrichi les études médicales par les aspects organisationnels, juridiques et éthiques entre autres. Mais la colonne vertébrale reste la capacité à établir de manière argumentée un diagnostic de pathologie, à décider une démarche thérapeutique et à assumer ses choix par les moyens prescrits de la surveillance et de l’accompagnement. Les processus de décision et de suivis font appels, au même titre que d’autres spécialités, à la nécessité d’un travail avec d’autres professionnels et à l’intégration des proches dans les procédures d’annonces et de décisions, à la mesure des capacités de communications et de décision du patient. Ceci nous amène à afrmer comme le font tous les enseignants de gériatrie, que la qualité de la démarche clinique, le raisonnement diagnostic, la rigueur de la communication de l’information sont les pierres angulaires sans lesquelles il ne peut y avoir une gériatrie de qualité, quels que soient les dons d’empathies et de dialogue que l’on déploie.
reseauprosante.fr
« L’infirmière de pratique avancée en équipe mobile de gériatrie » (Christine...Caroline Pastorelli
Christine Lenouvel est membre du Collège des soignants et du groupe de travail EMG (équipes mobiles de gériatrie). Dans cet article elle présente et explique la mise en place d'une infirmière de pratique avancée dans l'équipe mobile de l'Hôpital Saint-Brieuc.
La gestion des (RH) fait l’objet d’une préoccupation de l’infirmier chef du département qui doit posséder une base scientifique de connaissances émanant des sciences de l’organisation, de la gestion et de la management participative
2011-10-06 ASIP Santé RIR Reseaux de sante et leur SIASIP Santé
Les réseaux de Santé : état de la réflexion sur le SI des réseaux
Arnaud Claquin, UNR. Santé, Centre de soutien des réseaux de santé, PACA
Jean-Yves Robin, directeur de l’ASIP Santé
Les vigilances sanitaires dans un établissement de santéADIPh
LES VIGILANCES SANITAIRES DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE:
ETAT DES LIEUX, ACTIONS ET PERSPECTIVES
COORDINATION OU INTEGRATION DANS UNE GESTION GLOBALE DES RISQUES?
Master class HF 2017 - Expérience du Centre de l'Insuffisance cardiaquePierre Troisfontaines
Exposés dans le cadre d'une formation sur la prise en charge des patients souffrants d’insuffisance cardiaque chronique et de leurs comorbidités.
Cette formation scientifique organisée au Centre de l'insuffisance cardiaque (CIC) du Centre hospitalier régional de la Citadelle (Liège) et animée par le
Docteur P. Troisfontaines,(cardiologue, responsable du CIC ) et de Mme Laurence Greday (infirmière référente et coordinatrice du CIC).
Avenant relatif à l'emploi des aide-soignants dans la convention collective nationale des centres de lutte contre le cancer du 1er janvier 1999 (IDCC 2046).
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Nouvelles modalités d’exercice : que...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
2013-06-13 ASIP Santé RIR "Etat d’avancement des travaux ROR (Répertoire Opér...ASIP Santé
Etat d’avancement des travaux ROR (Répertoire Opérationnel des Ressources)
Nathalie CREGUT, adjointe au chef de bureau R2 – premier recours, DGOS
Jean-François PARGUET, directeur du pôle technique et sécurité, ASIP Santé
La gériatrie est une discipline qui s’est inscrite grâce à une histoire exigeante et tenace comme une discipline de plein exercice. Elle offre les différents types d’activités d’une discipline médicale aussi bien en établissement de santé qu’en activité libérale. La palette des lieux de pratique est particulièrement riche aussi bien dans les services d’établissement de santé de court séjour, de soins de suite et rééducation et de consultation, mais aussi en soins médicaux techniques importants (SMTI) (autrefois soins de longue durée) et en établissement médico-sociaux. Ces lieux de pratiques gériatriques se sont diversifiés notamment dans le sillage du plan Alzheimer 2008- 2012. Souvent nos interlocuteurs ne perçoivent qu’une partie de ces activités de médecins gériatres, voire y incluent des compétences élargies aux sciences humaines et sociales en rupture avec les formations initiales. Les raisons en sont nombreuses et il serait fastidieux d’en faire une description minutieuse. Mais cette confusion ne doit pas être partagée par les médecins qui se destinent à cette pratique, au risque d’en perdre la sève de leur spécialité pour eux-mêmes et la compétence pour les patients.
La pratique de la médecine gériatrique est clairement inscrite dans le prolongement de la formation des études médicales et dans le cursus qui conduit l’étudiant d’une spécialité initiale (DES) vers un exercice construit par des connaissances et un apprentissage : le DESC de Gériatrie. Les sciences humaines ont enrichi les études médicales par les aspects organisationnels, juridiques et éthiques entre autres. Mais la colonne vertébrale reste la capacité à établir de manière argumentée un diagnostic de pathologie, à décider une démarche thérapeutique et à assumer ses choix par les moyens prescrits de la surveillance et de l’accompagnement. Les processus de décision et de suivis font appels, au même titre que d’autres spécialités, à la nécessité d’un travail avec d’autres professionnels et à l’intégration des proches dans les procédures d’annonces et de décisions, à la mesure des capacités de communications et de décision du patient. Ceci nous amène à afrmer comme le font tous les enseignants de gériatrie, que la qualité de la démarche clinique, le raisonnement diagnostic, la rigueur de la communication de l’information sont les pierres angulaires sans lesquelles il ne peut y avoir une gériatrie de qualité, quels que soient les dons d’empathies et de dialogue que l’on déploie.
reseauprosante.fr
« L’infirmière de pratique avancée en équipe mobile de gériatrie » (Christine...Caroline Pastorelli
Christine Lenouvel est membre du Collège des soignants et du groupe de travail EMG (équipes mobiles de gériatrie). Dans cet article elle présente et explique la mise en place d'une infirmière de pratique avancée dans l'équipe mobile de l'Hôpital Saint-Brieuc.
La gestion des (RH) fait l’objet d’une préoccupation de l’infirmier chef du département qui doit posséder une base scientifique de connaissances émanant des sciences de l’organisation, de la gestion et de la management participative
2011-10-06 ASIP Santé RIR Reseaux de sante et leur SIASIP Santé
Les réseaux de Santé : état de la réflexion sur le SI des réseaux
Arnaud Claquin, UNR. Santé, Centre de soutien des réseaux de santé, PACA
Jean-Yves Robin, directeur de l’ASIP Santé
Les vigilances sanitaires dans un établissement de santéADIPh
LES VIGILANCES SANITAIRES DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE:
ETAT DES LIEUX, ACTIONS ET PERSPECTIVES
COORDINATION OU INTEGRATION DANS UNE GESTION GLOBALE DES RISQUES?
Master class HF 2017 - Expérience du Centre de l'Insuffisance cardiaquePierre Troisfontaines
Exposés dans le cadre d'une formation sur la prise en charge des patients souffrants d’insuffisance cardiaque chronique et de leurs comorbidités.
Cette formation scientifique organisée au Centre de l'insuffisance cardiaque (CIC) du Centre hospitalier régional de la Citadelle (Liège) et animée par le
Docteur P. Troisfontaines,(cardiologue, responsable du CIC ) et de Mme Laurence Greday (infirmière référente et coordinatrice du CIC).
Avenant relatif à l'emploi des aide-soignants dans la convention collective nationale des centres de lutte contre le cancer du 1er janvier 1999 (IDCC 2046).
« Il était une fois la vie d’un Product Owner (PO) » est un retour d’expérience de 9 mois, une immersion dans la peau d’un Product Owner qui découvre son rôle et qui doit livrer son premier produit.
Entre les visionnaires, les utilisateurs, l’équipe de développement et les investisseurs, il évolue dans un environnement exigeant, sans filet. De l’initiation à la maturité, ce Product Owner va vivre des échecs, des réussites et construire pas à pas son produit en utilisant des techniques d’expression de besoins dans le seul et unique but de valider ses hypothèses.
Entre fiction et réalité, « Il était une fois la vie d’un Product Owner » est une illustration concrète et fantastique du quotidien et de l’apprentissage d’un Product Owner fraîchement débarqué qui va gérer son produit en mode startup.
Cette session illustre par des exemples concrets la réalité de ce rôle où rien n’est simple ni écrit d'avance avec des focus particuliers sur :
• L’évolution d’une approche déterministe de la gestion de produit vers la mise en place d’hypothèses et de mesures associées,
• L’articulation des outils actuellement à disposition des Product Owner : de la vision à la production en passant par les User stories, les exigences non-fonctionnelles, Kanban pour les Product Owner, l’impact mapping et le Lean Startup,
• L’apprentissage des erreurs commises, leurs analyses et des idées pour les éviter : UX, communication, gestion du backlog,
• La remise en question de la stratégie du Product Owner par son travail avec les parties prenantes
• Maintenir un équilibre fragile entre une approche analytique de l’expression de besoins et un contexte émergent inhérent à l’environnement startup.
Cette session s’adresse particulièrement à tous les Product Owner et les responsables produit qui souhaitent développer et enrichir leur gestion de produit agile.
Atelier Isidore du colloque des Industries Numériques et de la Santé: "m-sant...isidore-sante
Le Docteur Vincent Varlet, président du nouvel Isidore, a présenté lors de cet atelier les raisons de la création de l'ambitieux Think Tank de la santé digitale en France. Florence BERNARD, directrice santé de l'UDA, y a exposé les raisons qui ont amené cette importante organisation professionnelle à soutenir la refondation de l'association dont elle est membre d'honneur et à accompagner cette plateforme de réflexion essentielle aux développement de recommandations et bonnes pratiques responsables dans la santé digitale. Le lancement du site de l'association www.isidore-sante.fr a été annoncé ainsi que la création d'un #isidoresante sur Twitter. Les cinq collèges constitutifs d'Isidore y ont, quant à eux, présenté leur vision de la m-santé, leurs attentes et leur rôle au sein de l'association.
Vers des espaces publics collaboratifs en bibliothèqueEspaces temps
En plus de présenter la vision d'Espaces temps dans l'aménagement d'espaces collaboratifs en bibliothèque, la conférence présentera les apprentissages et les réalités inhérentes à la réalisation de ce type de projets, à partir de l'expérience de l'Espace 3C réalisé à la bibliothèque de l'École de technologie supérieure.
Apache Cassandra - Concepts et fonctionnalitésRomain Hardouin
Apache Cassandra - Concepts et fonctionnalités, 25/02/2014
Présentation de Cassandra pour le premier évènement "Lyon Cassandra Users" (organisé par DataStax & Zenika).
* Présentation de Cassandra
* Concepts clés (Théorie & Architecture)
* Installation
* Les outils DataStax : DevCenter et OpsCenter
* Modèle de données
* Requêtes
HUB REPORT - L'indispensable à savoir sur la Data & le CRM HUB INSTITUTE
Pourquoi parle-t-on autant du Big Data ? Quelles sont les différents types de données à disposition d’une entreprise ? Comment utiliser la data pour créer de la valeur business ? Quelles clés de succès pour vos projets data ? Ce HUB Report a pour vocation à démystifier ce sujet complexe et proposer un panorama des différentes applications et bonnes pratiques de la data.
En savoir + http://hubklub.hubinstitute.com/hubreport/data-et-crm/
Le point sur les nouvelles régulations mises en place par l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).
Que vous ayez lancé ou que vous soyez sur le point de lancer une marketplace, découvrez comment vous adapter à ces dispositions avec les explications d'experts et le témoignage d'acteurs clés du e-commerce français sur leur mise en conformité.
Cours IFAG RÉUNION - Stratégie Commerciale - aout 2015Remy EXELMANS
Définir sa stratégie commerciale. Les 3 étapes clés pour développer une stratégie commerciale efficace : Étude de marché - Objectifs - Plan d'actions - Cours IFAG Réunion - Aout 2015 - Intervenant : Rémy Exelmans - Consultant Expert en Pilotage Stratégique et Organisationnel
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Sécurité du patient, des défis à rel...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Sécurité du patient, des défis à rele...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Stacy Kozak, directrice du Réseau clinique stratégique de chirurgie (RCSC) d'Alberta Health Services (AHS) fera un survol de l'approche provinciale qui a permis de faire passer le taux de conformité à la liste de vérification pour une chirurgie sécuritaire d'AHS de 50 % à plus de 90 % en deux ans.
Afin d’accroître l’efficacité de l’analyse des incidents dans l’amélioration des soins, l’analyse ne peut se concevoir isolément de la gestion des incidents (les multiples activités qui prennent place avant et après un incident). Ce module portera sur trois grands thèmes : les principales étapes du continuum de gestion des incidents; la distinction entre l’analyse des incidents (centrée sur l’amélioration du système) et l’examen de la reddition de comptes (centré sur la performance individuelle); et la sélection d’une méthode d’analyse des incidents.
Ce module porte sur le contexte, les éléments clés et les principales étapes de la méthode d’analyse succincte, qui y sont décrits, discutés et appliqués, de même que sur les principaux outils utilisés dans une analyse succincte (calendrier, questions guides, diagramme de constellation et exposé des conclusions).
Le patient traceur : une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité des...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
Mode opératoire de la maintenance préventive des IncubateursMWUMVANEZA
Ce stage pratique s'est bien déroulé et m’a permis d’organiser un mode opératoire de la maintenance préventive des incubateurs dans un service biomédical, m’a conforté dans l’idée de devenir un vrai technicien supérieur biomédical (Assistant Biomédical en Ingénieur Hospitalier).
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Certification des établissements de ...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
Objet de l’appel :
•À la fin de cet appel, vous devriez pouvoir :
•Décrire la procédure d’analyse des causes fondamentales et d’analyse multi-incidents, ainsi que leur rôle dans l’amélioration de la qualité
•Comparer et différencier les diverses approches de collecte des données de TEV nosocomiale
•Identifier une approche favorable à l’amélioration de la sécurité des patients dans votre établissement.
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
Neurochirurgie ambulatoire ... pourquoi pas ? Michel Triffaux
Présentation sur la neurochirurgie ambulatoire donnée lors du 12ème congrès de la Belgian Ass of Ambulatory Surgery du 10/03/2017
Apport de l'ambulatoire en neurochirurgie rachidienne et de la douleur
Lien et importance des normes chez le patient. Généralement la santé semble se faire avec des procédures qui ne sont pas nécessairement référencées comme des normes internationales. Dans cette présentation il a s'agit d'indiquer la necessité de profiler les politiques publiques de la santé dans le couvert des normes pour mieux comprendre l'impact des normes dans la qualité des soins, chez les praticiens et même dans l'infrastructure de la santé. En filigrane, nous montrâme tout l'intérêt d'une adaptation de la norme ISO 9001 dans le domaine de la gestion de la santé. En perspective, tous les établissements de la santé peuvent s'inscrire dans la démarche qualité et prétendre concourir à la certification. Cela induit des réformes institutionnels et une conduite du changement culturel pour aligner toutes les parties prenantes au projet de la qualité et de la sécurité des soins à destination des patients.
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
2 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à participer à l’évaluation d’un médicament, d’un dispositif médical ou d’un acte professionnel à la HAS.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 5 : Votre participation en pratique (définitions et modalités de participation)
• Module 6 : Attentes de la HAS et conseils de méthode (y compris le conseil pour vos contributions)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
4 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à comprendre l'évaluation des technologies de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel) et le rôle de la HAS dans ces évaluations.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 1 : La HAS (ses missions et valeurs, organisation et définitions et valeurs relatives aux usagers)
• Module 2 : L’ETS (les définitions clés et son contexte dans le système de santé français)
• Module 3 : Parcours d’une technologie de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel)
• Module 4 : Évaluation des technologies de santé dans le cadre du nouveau règlement européen (son contexte et calendrier)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
2. Table ronde 3
Chirurgie ambulatoire,
vecteur de qualité et
de sécurité pour le patient
Président de séance
Jean-Pierre Triboulet, Responsable du service chirurgie
générale et digestive, CHU de Lille
Modérateur
Jean-Patrick Sales, Directeur de l’Evaluation Médicale
Economique et de Santé Publique, Haute Autorité de Santé
Ensemble, améliorons la qualité en santé 2
3. Les intervenants
Olivier Bréhant, Chirurgien digestif, Clinique Ste Isabelle, Abbeville
Anne Guidat, Médecin gestionnaire des risques associés aux soins,
CHRU de Lille
Martine Hasse, Directrice adjointe, responsable de la gestion du risque,
direction de la stratégie, des études et de l’évaluation,
ARS Nord-Pas-de-Calais
Jacques Meurette, Médecin cancérologue, Clinique Saint Aimé
Michèle Morin-Surroca, Adjoint au Chef de Service,
Haute Autorité de Santé
Jean-Marc Regimbeau, Chef de service, chirurgie digestive et
métabolique, CHU d’Amiens
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 3
4. Table ronde 3
Chirurgie ambulatoire,
vecteur de qualité et
de sécurité pour le patient
Président de séance
Jean-Pierre Triboulet, Responsable du service chirurgie
générale et digestive, CHU de Lille
Modérateur
Jean-Patrick Sales, Directeur de l’Evaluation Médicale
Economique et de Santé Publique, Haute Autorité de Santé
Ensemble, améliorons la qualité en santé 4
5. Anne GUIDAT
Médecin coordinatrice des risques
associés aux soins, CHRU de Lille
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 5
6. 01
La chirurgie ambulatoire -
introduction
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 6
7. La production de soins
Un objectif :
Une La sécurité et la
expertise
permanence des soins
Une
organisation
Un patient
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 7
8. L’ambulatoire : notre idée du processus
Avant
Après
Pendant
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 8
9. L’ambulatoire : la réalité du processus
SFAR : 60 % de
SFAR : 80 % de recommandations
recommandations organisationnelles
préopératoires
Contrôles
Sélection Après
Avant
Pendant
PEC
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 9
10. 02
Définir les axes de
développement
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 10
11. Définir les axes de développement
•Quels actes ?
• Prise en charge maitrisée en per et postopératoire
Technique standardisée
Taux de complication faible
Complications compatible avec le retour au domicile
• Volume d’activité
• Évaluation financière
Tarification ambulatoire
Redistribution des ressources : lits et places, ressources humaines, …
Définir une procédure de transfert d’activité
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 11
12. 03
Des actions de
préventions des risques
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 12
13. 1/ Connaître les flux
Cs Méd. Cs Cs
Patient Pré-adm
Traitant Opérateur Anesthésie
(1)
Accueil Préparation acte SSPI
(2)
Validation Patient
Réhabilitation
sortie sorti
(3) (4)
(1) Le temps d’attente entre la Consultation de l’opérateur et celle de l’anesthésiste n’a aucune valeur ajoutée pour le
patient sauf s’il y nécessité d’examen complémentaire.
(2) Le temps de transfert entre l’unité de chirurgie ambulatoire et le bloc opératoire n’a pas de valeur ajoutée pour le
patient.
(3) Le temps de réhabilitation de 6h n’a pas de valeur ajoutée pour le patient après une intervention pour canal
carpien, mais permet la surveillance adaptée d’une cholécystectomie ou thyroïdectomie.
(4) Le temps d’attente après la validation des critères du score d’aptitude à la rue n’a aucune valeur ajoutée pour le
patient.
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 13
14. 2/ Organiser les flux
Des patients
Des professionnels
Des fonctions supports
Tenir compte de l’architecture
La circulation de l’information (quels supports,
quels circuits,…)
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 14
15. 3/ Maîtriser l’information
Clé de voûte de la maîtrise du mode de prise en charge
ambulatoire
• Vers le patient
• Vers les autres professionnels de la structure
• Vers la médecine de ville
Quoi ? À qui ? Quels support ?
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 15
16. 3/ Information au patient - partenaire
Mettre en œuvre tous les moyens d’une bonne
compréhension
• Orale, Écrite, Visuelle
• Langue étrangère, handicap
Information précoce, répétée et précise
• Effets de l’anesthésie et de la chirurgie
• Ordonnance avec horaire de prise médicamenteuse
• Solution de recours, autres thérapeutiques
Concertation, partage et répétition de
l’information donnée
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 16
17. 4/ Coordination avec la médecine de ville
Une information préopératoire le plus précoce possible
Une information cohérente
• L’ensemble des informations données au patient
• Les moyens d’accès à une information complémentaire
• Des informations pragmatiques
• Document à la sortie du patient
Un système d’évaluation et de retour d’expérience
Permanence et sécurité des soins
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 17
18. 04
Actions en réduction des
risques
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 18
19. 1/ Barrières de sécurité de la PEC
Sélection Sortie
• Liste des actes propre à l’UCA • Alimentation
• ASA 1,2,3 stable • Miction
• Âge > 3 mois • Mobilité
• Bonne compréhension • Score d’évaluation avant sortie
• Vérification des conditions de • Validation médicale
retour • Document à remettre
Trajet
Accompagnant • Condition de retour
Résidence postopératoire
Prise en charge concertée et coordonnée,
anticipation des suites postopératoires
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 19
20. 2/ Barrières de sécurité de l’organisation
Cs
Cs Méd. Cs
Patient Anesthési Pré-adm
Traitant Opérateur
e
Accueil Préparation acte SSPI
★ (✪)
Validation Patient
Réhabilitation
sortie sorti
★
★: les contacts pré et post opératoires : vérification de l’appropriation du
processus = maîtrise du risque propre du patient acteur de sa prise en charge
✪ : la visite pré anesthésique et pré opératoire : vérification ultime des
informations
: des check-lists à chaque étapes validant les informations de l’étape
précédente
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 20
21. 07
Evaluation
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 21
22. Barrière de sécurité - évaluation
•Démarche qualité
• Interne :
Du processus : check-list à chaque étape
Des temps de passage
Des volumes d’activité
• Qualité des soins postopératoires
Des complications éventuelles
Avis des acteurs de la médecine de ville
Avis du patient
•Patient acteur : risque propre
•Analyse des risques évolutive – tableau de bord
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 22
23. 08
Conclusion
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 23
24. Évaluer ce que vous savez faire
Étudier ce que vous pouvez faire
Organiser ce que vous voulez faire
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 24
25. Olivier BRÉHANT
Chirurgien digestif,
Clinique Ste Isabelle, Abbeville
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 25
26. Jean-Marc REGIMBEAU
Chef de service, chirurgie digestive et
métabolique, CHU d’Amiens
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 26
27. Retour d’expérience :
CHU Amiens – Clinique Sainte Isabelle
Programmation opératoire
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 27
28. Un constat national
Comparaison internationale au niveau des pays de l’OCDE entre les taux
moyens d’actes chirurgicaux pratiqués en ambulatoire en 1997 et inscrits
sur une liste limitée mais significative d’actes chirurgicaux
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 28
29. Un constat local
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 29
30. Une politique incitative
• 1990 : Activité interdite – Circulaire CNAM 26/11/90
• 1992 : Décrets fondateurs de la chirurgie ambulatoire
• 1994 : Création de l’AFCA
• 1996 : Création de l’IAAS
• 1998 : La chirurgie ambulatoire est une priorité de santé publique
• 2005 : Circulaire « Document cadre » DHOS – UNCAM
• 2007 : Bréviaire de la MEAH
• 2009 : Abécédaire de Chirurgie Ambulatoire
• 2010 : Recommandations SFCD ACHBT
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 30
31. Comparatif des séjours des établissements
d’Amiens de l’année 1997 – Analyse de GHM
Chirurgie ambulatoire, vecteur de session de sécurité pour le patient
Titre qualité et 31
32. Une évidence
Nécessité de mise en place d’une activité de
chirurgie ambulatoire digestive
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 32
33. Première priorité : se former
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 33
34. Les acteurs
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 34
35. Les freins du développement
La structure
• Se greffer à une structure intégrée
Les soignants
• Personnel UCA non formé à la chirurgie digestive
• Personnel médical
Les patients
• Nombre
• Adhésion au programme
La communication
• Mode
• Relation ville hôpital
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 35
36. Les leviers du développement
L’établissement
• Volonté : DG, DSI, DAF, PU-PH
• Enseignement : DUCA Bicêtre
La structure
• Géographique
UCA
– 6 places installées : 3*2 lits
– Poste de soins
– Salle de repos
– Bureau
Bloc digestif : 2 salles
Même bâtiment : structure sur 3 niveaux
• Expérience
Le personnel
• UCA, Hospitalisation, Bloc, Brancardage
• Gestion des effectifs
• Enseignement partagé
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 36
37. Le règlement intérieur
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 37
38. Le chemin clinique
Consultation chirurgicale préopératoire :
• Sélection du patient, critères médicaux, critères ambu, remise des
informations, ordonnances postopératoires, RDV postopératoire
Consultation préanesthésie :
• Eliminer des CI
Appel de la veille
Séjour dans l’unité de chirurgie ambulatoire
Appel du lendemain systématique
• Questionnaire type, archivage
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 38
39. Début d’activité
1 jour par semaine le lundi sur 6 places
à partir du 6 janvier 2009
Dates importantes :
Mai 2009 : première évaluation
Mai 2010 : changement de structure
Evaluation annuelle
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 39
40. Début d’activité
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 40
41. Activité croissante
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 41
42. Recherche clinique
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 42
43. Recherche clinique
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 43
44. Changement d’activité
102 lits en chirurgie
• 67 lits en chirurgie complète
• 6 lits en surveillance continue post opératoire
• 29 lits en chirurgie ambulatoire
(service ouvert de 7h30 à 19h30 tous les jours
sauf le week-end et les jours fériés)
32 postes d’hémodialyse (modalité hémodialyse en centre,
autodialyse, unité de dialyse médicalisée)
Activité ambulatoire :
digestif (hernie), vasculaire, ortho,
ORL, stomato, ophtalmo, endoscopie
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 44
45. Changement d’activité
Ambulatoire Froid Urgence
n % n % n %
Vésicule 24 77 3 10 4 13
Paroi 36 77 9 19 2 4
Procto 23 74 2 6 6 20
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 45
46. Conclusions
Le développement de la chirurgie ambulatoire est actuellement
une priorité
Les indications ne cessent de s’élargir
La création d’une activité de chirurgie ambulatoire nécessite un
minimum d’investissement mais la progression rapide de
l’activité le justifie
Cette prise en charge permet de plus l’ouverture de nouveaux
champs pour la recherche clinique
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 46
47. Jacques MEURETTE
Chirurgien cancérologue, chirurgie
viscérale et générale, Clinique Saint-
Amé - URPS ML Nord-Pas-de-Calais
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 47
49. …les soins postopératoires préalablement inclus dans
la dotation globale des hôpitaux publics ou dans les
honoraires du chirurgien exerçant dans les hôpitaux
privés sont externalisés vers la ville et facturés en plus.
Ce problème de substitution n’incite pas l’Assurance
maladie à développer ce mode de prise en charge.
Credes n°2 - janvier 1998
« Remboursement en cas de dépassements des quotas »
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 49
50. Juillet 2011
Une politique à poursuivre et amplifier :
Conclusions partagées au niveau institutionnel, des ARS, des
établissements et des professionnels mais pas à n’importe quelles
conditions (conclusions de colloques : octobre 2010-18 mars 2011)
• La chirurgie ambulatoire est une chirurgie qualifiée et substitutive et pour des
actes pertinents
• L’organisation centrée sur le patient constitue un véritable saut qualitatif
• L’hospitalisation ambulatoire est appelée à devenir la référence
Changement de paradigme :
Ne plus seulement considérer des gestes ciblés inscrits dans les
listes fermées souvent contestées et toujours en retard sur la
pratique et étendre la chirurgie ambulatoire à toute l’activité de
chirurgie et à l’ensemble des patients éligibles (instruction DGOS
du 27 décembre 2010)
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 50
51. Autre changement de paradigme…
Le nombre de lits…
La tarification : du prix de journée… à l’activité
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 51
53. Clinique MCO
4 lits de médecine
33 lits de maternité
131 lits de chirurgie………131
19 postes d’ambulatoire….35
Il s’agit du nombre de lits « installés », ce qui ne correspond plus à rien
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 53
54. Activité 2011
9 800 séjours ambulatoires
7 200 séjours en hospitalisation
1 490 naissances
13 000 passages aux urgences
(11% conduisant à une hospitalisation)
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 54
55. • Service de 16 postes en rez • Service de 19 lits au 1er étage.
de chaussée
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 55
56. La restructuration
Perte de lits Amélioration de la
gestion des flux
Grogne de certains
praticiens Amélioration du confort
Modification des Redéploiement du
habitudes personnel.
Effet « domino »
Effet « domino »
de la restructuration
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 56
57. Organisation pratique
Pas de bloc opératoire dédié
Programmation matin ou début d’après midi
Formation du personnel aux caractéristiques
spécifiques à l’ambulatoire
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 57
58. Bloc opératoire… comme tous les blocs
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 58
59. Une salle de réveil……comme toutes les salles de réveil.
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 59
62. Chambres à deux lits ou…
… chambre particulière
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 62
63. Des infirmières formées…
… spécifiquement à l’ambulatoire
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 63
64. Projets développés en 2011
• 35 lits d’ambulatoire répartis au RDC 16 lits et au 1er 19 lits
• Visite de conformité en janvier 2011
• Augmentation de l’offre des chambres particulières (19 chambres au lieu de 4)
• Réorganisation des services administratifs (3 ESA le matin au lieu de 2)
• Régulation des patients d’ambulatoire en interne (MA)
• Proximité du service avec le bloc opératoire
• 7.5 ETP IDE et 1 ETP ASD
• Confort hôtelier (peintures, lits,..)
• Mise en place d’une IDE accueil et des appels téléphoniques (la veille et le
lendemain)
• Echelonnement des arrivées patients
• Travail sur la prise en charge et l’évaluation de la douleur chez l’enfant
(AJ et AK- IDE accueil)
• Développement des animations enfants
• Travail en cours sur l’optimisation des temps d’hébergement et l’aptitude
à la rue (à poursuivre)
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 64
65. Audits réalisés en janvier 2012
Circuit du patient de son arrivée aux admissions et
prise en charge au bloc opératoire (évaluation des ESA,
IDE, brancardiers, bloc)
Evaluation des temps d’hébergement (prescriptions
d’aptitude à la rue)
Audit sur les écarts de prise en charge (convocation,
arrivée, départ vers le bloc et respect des horaires au
bloc : à affiner )
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 65
66. Actions 2012
Augmenter le nombre d’interventions en ambulatoire en référence
aux gestes marqueurs (et non marqueurs…)
Optimiser les lits => (actu 1 à 2 rotations / jour) => augmenter le
nombre de rotations, réorganiser les locaux (box?)
Déterminer des critères d’aptitude à la rue
Optimiser les plages opératoires (déséquilibre entre le lundi et les autres jours)
Dossier complet à l’entrée
• Qualité de prise en charge des patients
Diminuer les temps d’attente pour les patients entre l’arrivée et le départ au bloc =>
échelonner les arrivées de tous les patients, toutes spécialités confondues
Améliorer l’information et anticiper le retour au domicile avec les médecins traitants
(courriers en amont de l’intervention, consignes de sortie, ordonnances,…)
• Informatisation du dossier patient
• Mise en place HM 2nd semestre 2012 (prescriptions et dossier de soins
infirmiers)
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 66
67. Selon les spécialités…
Spécialité 0 nuit 1 nuit 2 nuits ou +
Ophtalmo 499 97 41
Chir gene 161 82 1156
Orthopédie 633 104 889
ORL-Stomato 1148 95 246
Urologie 147 17 267
Chir gyneco 347 80 874
Chir 27 16 26
vasculaire
Chir plastique 163 89 198
Divers 13 13 36
3138 563
3701 3733
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 67
68. Les variations…
Inter-spécialités
Intra spécialités
Selon le type d’exercice
Selon le chirurgien…
Selon l’anesthésiste…
IL Y A ENCORE DU GRAIN À MOUDRE…
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 68
69. Actions « syndicales » 2012
Complément de rémunération pour les praticiens
Absence d’incitation positive en faveur de l’amélioration
de la pertinence des soins ni pour les praticiens ni pour
les établissements (publics et privés)
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 69
71. Martine HASSE
Directrice adjointe, responsable de
la gestion du risque, direction de la
stratégie, des études et de l’évaluation,
ARS Nord-Pas-de-Calais
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 71
72. La Chirurgie Ambulatoire
• Vecteur de qualité et de sécurité pour
le patient
• La contractualisation, un levier du
développement
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 72
73. Comment les ARS accompagnent les établissements
dans le développement de la chirurgie ambulatoire ?
• L’un des 10 thèmes nationaux
de gestion du risque
• « la chirurgie ambulatoire »
•=
• à décliner en région
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 73
74. Comment ?
• Diagnostic :
réalisé par des professionnels du terrain
• Communication :
journée régionale le 05 avril 2012
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 74
75. La Chirurgie ambulatoire en région
Nord – Pas-de-Calais
• Taux 17 gestes marqueurs :
83 % = cible
• Taux global :
41,1 % cible 52 % en 2016
PMSI 2011
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 75
76. Un levier du développement :
la contractualisation
Négociation d’un taux cible pour chaque
établissement à partir du potentiel de
substitution
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 76
77. L’outil : fiche spécifique développement
de la chirurgie ambulatoire
Etablissement
Finess
Territoire de Santé
Moyenne
Etablissement
régionale
Taux des 18 gestes marqueurs MSAP 72,38% 82,75%
Taux des 20 autres gestes marqueurs MSAP 38,72% 45,02%
Taux des 38 gestes marqueurs MSAP 63,77% 74,10%
Taux Global 2011 (ATIH) 22,90% 41,10%
Potentiel de substitution 1 56,64% 38,92%
Taux de séjours faits en UCA 2 83,14% 54,39%
Part de marché chirurgie ambulatoire
14,46%
dans le territoire 3
Evolution du taux global année N-1 / N (en points) 2,10 1,30
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 77
78. Situation de l'établissement
selon 7 indicateurs :
Taux des 18 gestes marqueurs MSAP
Taux de marché chirurgie ambulatoire Taux des 20 autres gestes marqueurs MSAP
dans le territoire 3
Etablissement
Moyenne
Taux de séjours faits en UCA 2 Taux des 38 gestes marqueurs MSAP
Potentiel de substitution 1 Taux Global 2011 (ATIH)
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 78
79. • Taux de chirurgie ambulatoire
sur les 38 gestes
• Détermination de la cible 2016
• Cible théorique
• Cible négociée
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 79
80. Objectifs
• Progresser ensemble
• La région à 52 % en 2016
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 80
81. Merci de votre attention
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 81
82. Les intervenants
Olivier Bréhant, Chirurgien digestif, Clinique Ste Isabelle, Abbeville
Anne Guidat, Médecin gestionnaire des risques associés aux soins,
CHRU de Lille
Martine Hasse, Directrice adjointe, responsable de la gestion du risque,
direction de la stratégie, des études et de l’évaluation,
ARS Nord-Pas-de-Calais
Jacques Meurette, Médecin cancérologue, Clinique Saint Aimé
Michèle Morin-Surroca, Adjoint au Chef de Service,
Haute Autorité de Santé
Jean-Marc Regimbeau, Chef de service, chirurgie digestive et
métabolique, CHU d’Amiens
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 82
83. Table ronde 3
Chirurgie ambulatoire,
vecteur de qualité et
de sécurité pour le patient
Président de séance
Jean-Pierre Triboulet, Responsable du service chirurgie
générale et digestive, CHU de Lille
Modérateur
Jean-Patrick Sales, Directeur de l’Evaluation Médicale
Economique et de Santé Publique, Haute Autorité de Santé
Ensemble, améliorons la qualité en santé 83
84. Le socle de connaissances HAS ANAP
Rapport complet Synthèse Questions/réponses
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 84
85. Prochaine Publication
Recommandations
organisationnelles
HAS - ANAP
Février 2013
Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient 85
86. Table ronde 3
Chirurgie ambulatoire,
vecteur de qualité et
de sécurité pour le patient
Président de séance
Jean-Pierre Triboulet, Responsable du service chirurgie
générale et digestive, CHU de Lille
Modérateur
Jean-Patrick Sales, Directeur de l’Evaluation Médicale
Economique et de Santé Publique, Haute Autorité de Santé
Ensemble, améliorons la qualité en santé 86
87. Chacun des intervenants a déclaré ses liens d’intérêt
avec les industries de santé en rapport avec le thème de
la présentation (loi du 4 mars 2002)
Retrouvez ces déclarations sur le site Internet
de la HAS, espace Rencontres régionales
www.has-sante.fr
Ensemble, améliorons la qualité en santé 87
88. La Haute Autorité de Santé vous remercie
d’avoir participé à cette séance
www.has-sante.fr
Ensemble, améliorons la qualité en santé 88