La conduite de la culture du colza en BretagneRéseau Tepos
PRODUIRE DES AGRO CARBURANTS LOCALEMENT : ENJEUX, FREINS ET PERSPECTIVES
Comment assurer demain l’alimentation des motorisations mobiles, véhicules de transport et machines ? A coté de l’électricité, de l’hydrogène, encore très coûteux, ou du GNL (Gaz Naturel Liquéfié), qui n’est pas sans risques, les agrocarburants représentent une réponse, partielle sans doute, mais bien déployable localement. L’expérience de Ménergol montre que les territoires peuvent, avec seulement 10% de la SAU, fournir le double des besoins des exploitations agricoles, dans des conditions très économiques et écologiques. L’atelier se concentre sur les difficultés rencontrées et sur les solutions à plus long terme : la culture du colza, l’utilisation de l’huile brute dans les moteurs, l’incidence des marchés de matières agricoles et énergétiques, les carburants de troisième et quatrième générations.
Animé par Marc Théry, chargé de missions à la Communauté de Communes du Mené
Intervenants :
> L'huilerie Ménergol
Patrick Colleu, éleveur, conducteur de l’huilerie Ménergol de Saint Gouëno
> Le marché mondial des huiles végétales
Jean-Luc Gurtler, France Agrimer
> Les Huiles Végétales Pures et les moteurs de tracteurs agricoles
Bertrand Colinet, de la société Colinet – l’équipement agricole
> La conduite de la culture du colza en Bretagne
Jean-Luc Giteau, Chambre d’agriculture des Côtes d’Armor
> Les biocarburants de 2e et 3e générations à l'échelle des territoires ruraux
Marc Théry, chargé de missions à la Communauté de Communes du Mené
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 16 juin 2011 dans le Mené, dans le cadre des 1ères rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
Réussir l'implantation de la prairie, c'est s'assurer une prairie de bonne qualité, pérenne et productive... et donc la production d'un fourrage de qualité pour les chèvres ! Quatre facteurs ont des conséquences importantes sur la qualité de l'implantation : le précédent, la période de semis, la technique du semis et les conditions climatiques suivant le semis.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
La conduite de la culture du colza en BretagneRéseau Tepos
PRODUIRE DES AGRO CARBURANTS LOCALEMENT : ENJEUX, FREINS ET PERSPECTIVES
Comment assurer demain l’alimentation des motorisations mobiles, véhicules de transport et machines ? A coté de l’électricité, de l’hydrogène, encore très coûteux, ou du GNL (Gaz Naturel Liquéfié), qui n’est pas sans risques, les agrocarburants représentent une réponse, partielle sans doute, mais bien déployable localement. L’expérience de Ménergol montre que les territoires peuvent, avec seulement 10% de la SAU, fournir le double des besoins des exploitations agricoles, dans des conditions très économiques et écologiques. L’atelier se concentre sur les difficultés rencontrées et sur les solutions à plus long terme : la culture du colza, l’utilisation de l’huile brute dans les moteurs, l’incidence des marchés de matières agricoles et énergétiques, les carburants de troisième et quatrième générations.
Animé par Marc Théry, chargé de missions à la Communauté de Communes du Mené
Intervenants :
> L'huilerie Ménergol
Patrick Colleu, éleveur, conducteur de l’huilerie Ménergol de Saint Gouëno
> Le marché mondial des huiles végétales
Jean-Luc Gurtler, France Agrimer
> Les Huiles Végétales Pures et les moteurs de tracteurs agricoles
Bertrand Colinet, de la société Colinet – l’équipement agricole
> La conduite de la culture du colza en Bretagne
Jean-Luc Giteau, Chambre d’agriculture des Côtes d’Armor
> Les biocarburants de 2e et 3e générations à l'échelle des territoires ruraux
Marc Théry, chargé de missions à la Communauté de Communes du Mené
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 16 juin 2011 dans le Mené, dans le cadre des 1ères rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
Réussir l'implantation de la prairie, c'est s'assurer une prairie de bonne qualité, pérenne et productive... et donc la production d'un fourrage de qualité pour les chèvres ! Quatre facteurs ont des conséquences importantes sur la qualité de l'implantation : le précédent, la période de semis, la technique du semis et les conditions climatiques suivant le semis.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Cette fermoscopie est une photographie du fonctionnement d'une exploitation agricole à un moment donné. La situation de l'exploitation est donc amenée à évoluer.
Cette exploitation fait partie du réseau de fermes bio haut-normandes mis en place par le Groupement Régional des Agriculteurs BIO de Haute-Normandie.
Ce 6ième webinaire InnOvin traite de la luzerne, du semis à son utilisation par les brebis. Des conseils utiles pour bénéficier des atouts de cette plante qui a toutefois ses exigences !
Sorgho, moha, millet et teff grass : retrouvez les modes d’emploi pour réussir les semis, les valeurs alimentaires et rendements de ces plantes à pâturer en été par les brebis. Des témoignages en matière d’utilisation illustrent les propos.
Les légumineuses annuelles méditérannéennes : trèfle, séradelle, ...JrmieJost1
Dans le cadre du projet PEI Résilience des systèmes caprins de Nouvelle-Aquitaine, le réseau REDCap, avec ses partenaires, met en place des essais et suivis en élevages. Ici, nous mettons en avant les essais débutés à l'automne 2021, sur des prairies riches en légumineuses annuelles, venant du bassin méditerranéen, à savoir trèfle vésiculé, squarosum, fraise, perse, ..., la seradelle, ...
Essai de 2 périodes d’implantation (printemps/automne) pour un mélange multi-...JrmieJost1
Différents essais ont été réalisés chez des éleveurs du groupe opérationnel, afin de tester et évaluer l’intérêt d’itinéraires techniques de semis (ou sur-semis), dans un contexte de changement climatique. Ces essais ont été suivis notamment durant l’été 2022, qui fait un été particulièrement chaud et sec dans la région. Ici, l’intérêt est d’avoir un retour d’expérience sur l’intérêt d’un semis au printemps ou à l’automne d’une prairie riche en légumineuses, dans deux contextes climatiques proches mais pédoclimatiques différenciés, à savoir sur coteau ou en fond de vallée, dans la zone de Bergerac.
Les sorghos sont des plantes annuelles qui se sèment en mai ou juin, pour être exploitées durant la période estivale. De nombreuse variétés existent et le choix se fait en fonction de l’utilisation voulue : pâturage, récolte en ensilage ou enrubannage. Attention cependant à ne pas pâturer en dessous de 60 cm de hauteur car il y a un risque important de toxicité.
Trois méthodes pour améliorer la qualité des prairies permanentes ou temporaires de longue durée sont présentées dans ce diaporama, résultats d’études à l’appui.
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Webinaire santé prédation - Doré Nicolas Inrae 31 mai 2024.pdf
Jto 2020 15oct d fourrages et cc fradin
1. 9ème JTO
9èmes Journées techniques Ovines
14-15 octobre 2020
Crédit photos :, Ovilot, Bernard Tauran - Confédération Générale de Roquefort, Michèle Boussely
Des fourrages pour s’adapter au
changement climatique
Julien FRADIN - IDELE
3. 9ème JTO9ème JTO
Programme – leviers à mobiliser
• Utiliser la diversité des espèces prairiales et aussi des variétés
• Des fourragères pour opérer la soudure (estivale ou automnale)
• Les semis de prairies sous couvert pour assurer du stock en 1ère année
• Allonger le pâturage par le report de stock sur pied et le pâturage
hivernal
3
4. 9ème JTO9ème JTO
Des prairies multiespèces pour renforcer le
potentiel productif
4
6. 9ème JTO9ème JTO
Des prairies multiespèces pour renforcer le
potentiel productif
6
Un assemblage de 5 à 7 espèces, avec 2 à 3 légumineuses
Avec l’objectif d’apporter des fonctions complémentaires à la prairie en
intégrant 5 facteurs :
Le mode d’utilisation dominant
Les conditions de milieu
La durée de vie de la prairie
Les performances recherchées : Equilibre rusticité / valeur nutritive
La sociabilité des espèces : capacité à coexister
Semis à la dose de : 26 à 29 kg/ha
Dont 8 à 9 kg de légumineuses : moteur de la prairie
7. 9ème JTO9ème JTO
Jouer la complémentarité entre les types de
prairies
7
Identifier à l’échelle du parcellaire la contrainte
sol des différentes parcelles
Avec deux objectifs :
Hiérarchiser les ilots de parcelles dans leur
capacité productive aux différentes périodes
de la saison :
Au démarrage en végétation : prairie
portante avec végétation précoce
En période estivale : prairies de fond, PME
avec luzerne
Adapter la composition des prairies semées
aux caractéristiques parcellaires
9. 9ème JTO
Des espèces fourragères de courte durée pour
la soudure
Assurer de la disponibilité en fourrages à des périodes de
moindre production des prairies de longue durée
Quand ? Où ?
=> parcelles en rotation
=> entre deux prairies
=> culture intermédiaire/dérobée
Période estivale
• Chicorée + trèfles
• Moha + trèfle d’alexandrie
• Sorgho multicoupe
Automne – fin d’hiver
• RGI + trèfle incarnat
• Céréales + trèfle annuel
9
10. 9ème JTO9ème JTO
Des espèces fourragères de courte durée pour
la soudure
10
2 – 3 espèces suffisent
pour atteindre les
fonctions de production
Avant floraison une qualité
similaire à une prairie
feuillue à la même période
Attention au coût du
couvert (protéagineux €€)
11. 9ème JTO
Les semis de prairies sous couvert pour
assurer du stock en 1ère année
11
• Une productivité élevée
• Sur 2 ans : + 50% de tMS avec une
implantation sous couvert
• Un stock de sécurité avant l’été
• Une maitrise du salissement de
la pairie
• Dès l’année de l’installation
• Une composition botanique en
n+1 conforme au semis de la
prairie
• Une meilleure portance
12. 9ème JTO9ème JTO
Allonger le pâturage sur les prairies en place –
Les périodes clés
12
Pâturer tôt
Limiter le
« trou» d’été
Pâturer tard
13. 9ème JTO9ème JTO
Des stocks sur pied pour l’été
• Des stocks sur pieds riches en légumineuses pour prolonger le
pâturage en fin de printemps début d'été
• Des repousses feuillues avec des graminées peu remontantes
• Des repousses très riches en légumineuses (plus grande stabilité de la valeur
avec le vieillissement de la repousse)
• Des sols assez profonds pour limiter l’effet sénescence
• Oser le pâturage des légumineuses
• Pâturer des repousses vieillies (5 semaines minimum plus riche en tiges)
• Les mélanges avec des graminées réduisent les risques de météorisation
• Faucher les refus après une pâture pour une repousse rapide.
• Eviter le piétinement en conditions humides.
13
14. 9ème JTO9ème JTO
Le pâturage hivernal
La production des prairies qui s’étale de décembre à fin février
Une production réduite par un facteur limitant : la baisse des températures
• De 0 à 15 kg MS/ha/jour
• Des espèces plus adaptées au froid : Fétuque des prés, Fléole, RGH/RGI
• Une qualité proche de celle de l’herbe d’automne (0,96 UFL, 140 g PDIN)
• En sortie hiver, le couvert est très feuillu et présente une structure différente
de celle du printemps (hauteur des gaines : 20% de la hauteur totale des
plantes contre 40% au printemps)
• Un taux de MS plus élevé qu’au printemps (21% contre 13%) améliorant son
ingestibilité
• Des reports sur pieds vieillissants en cas d’arrêt de la croissance
14
16. 9ème JTO9ème JTO
S’adapter au changement climatique :
- anticiper les besoins de fourrages => quand ? quantité ?
qualité?
- garder de la souplesse dans leur utilisation
16
17. 9ème JTO9ème JTO
Pour aller plus loin
17
• http://www.perel.autonomie-fourragere-des-elevages.fr/
• http://idele.fr/reseaux-et-partenariats/aclimel.html
• https://afpf-asso.fr/guides-des-melanges-prairiaux