L’AESP propose dans la ligne des recommandations du DSM-5 un triptyque : sémiologique, nosographique et psychologique, fournissant à l’étudiant des clefs structurantes pour organiser leur savoir et leur pratique psychiatrique, première étape pour prendre ensuite les décisions adaptées à la prise en charge des patients.
L’AESP propose dans la ligne des recommandations du DSM-5 un triptyque : sémiologique, nosographique et psychologique, fournissant à l’étudiant des clefs structurantes pour organiser leur savoir et leur pratique psychiatrique, première étape pour prendre ensuite les décisions adaptées à la prise en charge des patients.
Classé parmi les 10 pathologies les plus invalidantes selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le trouble bipolaire débute généralement chez l’adolescent ou le jeune adulte et nécessite une prise en charge tout au long de la vie. Il s’agit d’un trouble complexe, difficile à diagnostiquer, et il s’écoule en moyenne 10 ans entre son apparition et la mise en place d’un traitement adapté.
Le trouble bipolaire est l’une des pathologies psychiatriques les plus graves, qui conduit à des tentatives de suicide : 1 malade sur 2 fera au moins une tentative de suicide dans sa vie et 15 % décèderont par suicide. En France, on estime qu’entre 1 et 2,5 % de la population est touchée par ce trouble, mais ce chiffre serait sous-évalué.
un cours qui élucide d'une façon globale les différentes forme de compressions médullaires et leurs prise en charges
bonne lecture
médecine
neurologie
neurochirurgie
Psychoéducation 2/4 Troubles Bipolaires mars 2012Argos2savoies
Aggravation de la maladie:
l’évolution vers les cycles rapides (risque de suicide)
l’évolution vers les états mixtes (risque de suicide)
Les complications :
la majoration des symptômes
les symptômes résiduels entre les épisodes
l’évolution chronique avec handicap et mortalité
l’augmentation de la fréquence et de la durée des épisodes…
les conduites impulsives, l’abus d’alcool ou de drogues, les épisodes délirants aigus, les actes médico-légaux, les achats compulsifs
Classé parmi les 10 pathologies les plus invalidantes selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le trouble bipolaire débute généralement chez l’adolescent ou le jeune adulte et nécessite une prise en charge tout au long de la vie. Il s’agit d’un trouble complexe, difficile à diagnostiquer, et il s’écoule en moyenne 10 ans entre son apparition et la mise en place d’un traitement adapté.
Le trouble bipolaire est l’une des pathologies psychiatriques les plus graves, qui conduit à des tentatives de suicide : 1 malade sur 2 fera au moins une tentative de suicide dans sa vie et 15 % décèderont par suicide. En France, on estime qu’entre 1 et 2,5 % de la population est touchée par ce trouble, mais ce chiffre serait sous-évalué.
un cours qui élucide d'une façon globale les différentes forme de compressions médullaires et leurs prise en charges
bonne lecture
médecine
neurologie
neurochirurgie
Psychoéducation 2/4 Troubles Bipolaires mars 2012Argos2savoies
Aggravation de la maladie:
l’évolution vers les cycles rapides (risque de suicide)
l’évolution vers les états mixtes (risque de suicide)
Les complications :
la majoration des symptômes
les symptômes résiduels entre les épisodes
l’évolution chronique avec handicap et mortalité
l’augmentation de la fréquence et de la durée des épisodes…
les conduites impulsives, l’abus d’alcool ou de drogues, les épisodes délirants aigus, les actes médico-légaux, les achats compulsifs
Traumatisé, stressé, résistant?: Lumière sur le stress post-traumatique
Plus de trois canadiens sur quatre ont vécu au moins un événement potentiellement traumatisant au cours de leur vie et certains d’entre eux ont développé un État de stress post-traumatique (ÉSPT) suite à celui-ci. Cette conférence distinguera ce qu’est un événement « stressant » versus « traumatique", présentera les plus récents critères diagnostiques selon le DSM-5 et expliquera les facteurs pouvant contribuer à protéger ou à mettre à risque les individus exposés à des événements « traumatiques ». Enfin, les comportements de soutien à favoriser et à éviter pour les proches seront exposés et discutés avec l’auditoire.
En tant que futurs professionnels de santé,les étudiants de l'Institut de Formation aux Soins Infirmiers de Troyes ont le plaisir de vous présenter : « Un outil innovant dans la prise en charge de la maladie d'Alzheimer, le Coach Alzheimer » Cet outil se veut innovant dans le sens où nous désirons avec votre aide amener le projet à être choisi parmi les participants afin que ce projet, qui nous tient à coeur aboutisse et que nous puissions le porter à une version finalisée sous la forme d'une application pour smartphone. Un blog Wordpress est en ligne en cliquant sur le lien suivant afin de donner un aperçu de ce que pourra être l'application une fois finalisée: http://alz-memo.com/
5. • Diagnostic: « L’ASPECT »
Localisation (Droite ou gauche? Quel organe
ou partie ? Quel endroit ?)
Aigu, subaigu ou chronique?
Sévérité ? Grave ou non. (Certains critères
comme dans l’asthme sont à connaître).
Poussée ? Facteur déclenchant ?
Etiologie.
Complications et comorbidités.
Terrain.
6. Justification d’un diagnostic : « Ta fac pd »
Terrain
Antécédents
Fréquence (argument de)
Anamnèse
Clinique
Para-clinique
Différentiel (absence de diag diff)
8. Hospitalisation? Quel service ? En Urgence ?
Oxygène et mesures respi : Sat, GDS, Kiné respi, intubation/sédation, trachéo ?
SAT/VAT et autres vaccins ou prophylaxies infectieuses.
Porte d’entrée et/ou facteur déclenchant à rechercher et à traiter.
Insuffisances graves à rechercher (ECG, scope, sat, GDS, bilan hépatique, urée créat).
Tuyaux à poser (VVP, VVC, SNG, Sonde U).
Arrêt des toxiques/médics et prévention du sevrage.
Lovenox et prévention des complications de décubitus.
Ulcère de stress (MOPRAL) et aspect psychologique (psychothérapie, soutien, anxiolytique…)
Réanimation (remplissage et Rééquilibration hydro-éléctrolytique).
Glace sur le ventre/ Antalgiques.
Etiologie à rechercher et traiter.
Nursing et (re)Nutrition.
Traitement symptomatique.
Surveillance clinique et para-clinique de l’efficacité, de la tolérance et des complications.
Travail : arrêt, certificat, adaptation de poste, reclassement professionnel.
Ordonnance de sortie.
P x6:
Psy (soutien, tcc, analytique, institutionnelle, familiale, motivationnelle).
Pognon (100%).
Publique (déclaration obligatoire et autres mesures).
Partenaire (à traiter, sujets contacts).
Pédagogie (éducation et information)
Post-trauma (rééducation, Kiné).
Traitement/CAT : « Hospital urgence stop »
9. Et à ne pas oublier et qu’on oublie
toujours !!! : « IKEA »
Info
Kiné
Education
Autorisation (surtout en pédo+++)
14. Crise suicidaire : « SUICIDERAS »
Souffrance intense
Utilisation de moyens létaux disponibles
Intentionnalité (plan)
Conduites suicidaires (addictions/abus)
Impulsivité
Dépression
Evènement précipitant (ex. :divorce, chômage…)
Rupture de soins/traitement
Antécédents perso/fam de TS
Soutien de l’entourage
15. Tout dossier de pédo : « CASIER NU »
Carnet de santé /certificat
Autorisation parentale de soins
Surveillance (Température+++, purpura…)
Information parents/enfants
Education parents/enfants
Retard vaccinations
NU : examen clinique nu ! (maltraitance etc)
16. Bilan complémentaire de pédopsy = TOUJOURS le même !!!!!
•Evaluation par Pédopsychiatre + évaluation de la dynamique familiale
•Evaluation par Pédiatre : ex. clinique élimine troubles organiques
•Evaluation par Psychologue : QI / carence affective / anxiété
•Bilan Orthophoniste
•Bilan Psychomoteur
•Bilan Pédagogique : niveau scolaire
•Bilan Educatif
•Caryotype
•Acuité visuelle, audiogramme
•IRM cérébrale
•EEG
•T4, TSHus
•Bilan nutritionnel
• But bilan pédopsy :
But Diagnostique.
Ecarter Diagnostics différentiels.
Evaluer les répercussions / complications.
17. Auteur: Pierre Alexis GEOFFROY
Relecteurs: Thomas FOVET, Clélia QUILES, Jean-Arthur MICOULAUD, Ali AMAD,
Nora MILLIEZ, Farid BENZEROUK, Florence MESONA
De nombreux autres supports de cours ici:
www.asso-aesp.fr