Cette présentation, exposée dans le cadre du Congrès International de Métrologie de 2007 à Lille (10 ans déjà !), décrit l'insuffisance de la notion de "capabilité" d'un processus de mesure pour déclarer la conformité d'une entité. Elle explique les principes de la stratégie des Bandes de Garde désormais préconisées par la norme NF ISO/CEI Guide 98-4 de 2013 ... Elle ne traite pas de la question du risque spécifique.
Optimisation des bandes de garde, suivant norme ISO/IEC Guide 98-4Jean-Michel POU
Je viens de présenter cette conférence à Pretoria, dans le cadre du CAFMET. Le but principal est de mettre en évidence les conséquences des bandes de garde, notamment en matière de Risque Fournisseur et de proposer une vision différente : Minimisation de la somme pondérée des risques Client et Fournisseur
Explications sur le fascicule AFNOR FD X 07-014Jean-Michel POU
Cette conférence a été présentée en 2008, dans le cadre du salon MESUREXPO. Elle décrit les 3 méthodes proposées dans le fascicule AFNOR FD X 07-014 pour l'optimisation des périodicités.
Le suivi des process de production fait l'objet d'une littérature abondante. le SPC (MSP) est une technique qui a pénétré le monde des process "séries". Force est néanmoins de constater que la mesure, et les incertitudes associées, sont rarement considérées. Et pourtant ...
Ecart type experimental : quelle formule choisir ?Jean-Michel POU
Je viens de publier un billet sur mon blog qui traite de l'estimation d'un intervalle de confiance pour un écart-type (Suivre http://www.lametrologieautrement.com). Cela m'a rappelé une ancienne conférence, présentée en 2003 dans le cadre d'un congrès international de Métrologie. J'ai relu avec beaucoup de tolérance ce travail "d'il y a 10 ans", mais que de progrès réalisés depuis ...
Optimisation des bandes de garde, suivant norme ISO/IEC Guide 98-4Jean-Michel POU
Je viens de présenter cette conférence à Pretoria, dans le cadre du CAFMET. Le but principal est de mettre en évidence les conséquences des bandes de garde, notamment en matière de Risque Fournisseur et de proposer une vision différente : Minimisation de la somme pondérée des risques Client et Fournisseur
Explications sur le fascicule AFNOR FD X 07-014Jean-Michel POU
Cette conférence a été présentée en 2008, dans le cadre du salon MESUREXPO. Elle décrit les 3 méthodes proposées dans le fascicule AFNOR FD X 07-014 pour l'optimisation des périodicités.
Le suivi des process de production fait l'objet d'une littérature abondante. le SPC (MSP) est une technique qui a pénétré le monde des process "séries". Force est néanmoins de constater que la mesure, et les incertitudes associées, sont rarement considérées. Et pourtant ...
Ecart type experimental : quelle formule choisir ?Jean-Michel POU
Je viens de publier un billet sur mon blog qui traite de l'estimation d'un intervalle de confiance pour un écart-type (Suivre http://www.lametrologieautrement.com). Cela m'a rappelé une ancienne conférence, présentée en 2003 dans le cadre d'un congrès international de Métrologie. J'ai relu avec beaucoup de tolérance ce travail "d'il y a 10 ans", mais que de progrès réalisés depuis ...
Quelques exemples de calcul d'incertitudes (GUM et GUMS1)Jean-Michel POU
J'ai animé, à Pretoria dans le cadre du CAFMET 2014, un tutorial sur le calcul d'incertitudes de mesure. Tous les détails des calculs sont disponibles à la rubrique "publication" du site de Delta Mu (www.deltamu,fr) : 6 articles en tout pour traiter de la question de "A à Z"...
Objectifs
• Fournir aux étudiants(es) des techniques propres à l'évaluation et à l'identification des
besoins métrologiques.
• Fournir aux étudiants(es) les outils pour évaluer la variabilité des mesures en fonction
des exigences.
• Initier les étudiants(es) à la métrologie dimensionnelle. Les étudiants(es) auront
l'occasion de mettre en pratique la théorie vue au cours dans le cadre d'exercices et des
travaux pratiques.
Objectifs pédagogiques
o Comprendre et identifier les sources d'erreurs et d’incertitude dans le phénomène du
mesurage
o Le cours portera une attention spéciale sur la métrologie dimensionnelle et
géométrique
o Apprendre à sélectionner, utiliser et gérer les appareils de mesure propres à une
vérification donnée.
o Connaître les techniques existantes permettant d'effectuer une étude statistique de
reproductibilité et de répétabilité pour un processus de mesure donné.
o Comprendre les principes fondamentaux en étalonnage des instruments de mesure.
o Comprendre et interpréter le tolérablement dimensionnel et géométrique d'une
composante mécanique afin de planifier son inspection de manière appropriée.
o Rédaction d’un rapport de mesure.
o Des applications tirées d’études de cas industriels (Applications et exemples pratiques
tirés des industries d’aéronautique, de l’automobile, du transport et des produits
récréatifs)
o La résolution d'exercices et des problèmes.
Exemple de Smart Metrology dans un laboratoire d'étalonnage (Conférence CIM 2...Jean-Michel POU
Le raccordement des étalons de référence est un acte fondateur dans les laboratoires d'étalonnage. Nous montrons ici qu'il est possible de connaitre la valeur des étalons sans les étalonner !!! Et cet exemple est transposable à bien d'autres cas que les cales étalons. Même s'il est difficile de concevoir de ne plus étalonner ses références, on peut facilement s'assurer de leur fiabilité, donc améliorer la gestion de leurs étalonnages et, ainsi, faire mieux et moins cher !
surveillance de maintenance par méthodes de contrôles non destructifs |Oussam...Oussama Akikab
comment rechercher les défauts de la matière, surveiller la maintenance préventive conditionnelle à l'aide des méthodes de CND, principalement la radiographie, ultrasons et magnétoscopie.
L'AFNOR vient d'éditer (Novembre 2018) le fascicule FD X 07-039 (Rôle de l'incertitude de mesure dans l'évaluation de la conformité - Mise en oeuvre de la norme NF ISO/IEC Guide 98-4 - Illustration au travers d'études de cas industriels. Cette présentation reprend l'un des exemples du fascicule.
Cette conférence a été présentée en 2013, dans le cadre du Congrès Africain de Métrologie (CAFMET) à Marrakech. L'objectif était de montrer, sur quelques exemples, comment les outils statistiques, lorsqu'ils sont bien maitrisés, peuvent permettre d'améliorer la pertinence de la fonction métrologie tout en diminuant ses coûts.
Quelques exemples de calcul d'incertitudes (GUM et GUMS1)Jean-Michel POU
J'ai animé, à Pretoria dans le cadre du CAFMET 2014, un tutorial sur le calcul d'incertitudes de mesure. Tous les détails des calculs sont disponibles à la rubrique "publication" du site de Delta Mu (www.deltamu,fr) : 6 articles en tout pour traiter de la question de "A à Z"...
Objectifs
• Fournir aux étudiants(es) des techniques propres à l'évaluation et à l'identification des
besoins métrologiques.
• Fournir aux étudiants(es) les outils pour évaluer la variabilité des mesures en fonction
des exigences.
• Initier les étudiants(es) à la métrologie dimensionnelle. Les étudiants(es) auront
l'occasion de mettre en pratique la théorie vue au cours dans le cadre d'exercices et des
travaux pratiques.
Objectifs pédagogiques
o Comprendre et identifier les sources d'erreurs et d’incertitude dans le phénomène du
mesurage
o Le cours portera une attention spéciale sur la métrologie dimensionnelle et
géométrique
o Apprendre à sélectionner, utiliser et gérer les appareils de mesure propres à une
vérification donnée.
o Connaître les techniques existantes permettant d'effectuer une étude statistique de
reproductibilité et de répétabilité pour un processus de mesure donné.
o Comprendre les principes fondamentaux en étalonnage des instruments de mesure.
o Comprendre et interpréter le tolérablement dimensionnel et géométrique d'une
composante mécanique afin de planifier son inspection de manière appropriée.
o Rédaction d’un rapport de mesure.
o Des applications tirées d’études de cas industriels (Applications et exemples pratiques
tirés des industries d’aéronautique, de l’automobile, du transport et des produits
récréatifs)
o La résolution d'exercices et des problèmes.
Exemple de Smart Metrology dans un laboratoire d'étalonnage (Conférence CIM 2...Jean-Michel POU
Le raccordement des étalons de référence est un acte fondateur dans les laboratoires d'étalonnage. Nous montrons ici qu'il est possible de connaitre la valeur des étalons sans les étalonner !!! Et cet exemple est transposable à bien d'autres cas que les cales étalons. Même s'il est difficile de concevoir de ne plus étalonner ses références, on peut facilement s'assurer de leur fiabilité, donc améliorer la gestion de leurs étalonnages et, ainsi, faire mieux et moins cher !
surveillance de maintenance par méthodes de contrôles non destructifs |Oussam...Oussama Akikab
comment rechercher les défauts de la matière, surveiller la maintenance préventive conditionnelle à l'aide des méthodes de CND, principalement la radiographie, ultrasons et magnétoscopie.
L'AFNOR vient d'éditer (Novembre 2018) le fascicule FD X 07-039 (Rôle de l'incertitude de mesure dans l'évaluation de la conformité - Mise en oeuvre de la norme NF ISO/IEC Guide 98-4 - Illustration au travers d'études de cas industriels. Cette présentation reprend l'un des exemples du fascicule.
Cette conférence a été présentée en 2013, dans le cadre du Congrès Africain de Métrologie (CAFMET) à Marrakech. L'objectif était de montrer, sur quelques exemples, comment les outils statistiques, lorsqu'ils sont bien maitrisés, peuvent permettre d'améliorer la pertinence de la fonction métrologie tout en diminuant ses coûts.
Directive Machines - Norme des systèmes de contrôle de sécurité EN ISO 13849-1SMC Pneumatique
Afin de répondre aux exigences de la directive 2006/42/CE, les constructeurs de machines sont tenus de la suivre.
SMC France vous propose ainsi sa documentation détaillant les exigences de la norme de sécurité EN ISO 13849-1, mais également les produits répondant à la norme.
N'hésitez pas à nous contacter pour toute information supplémentaire.
Comment analyser des données multivariées pour suivre une productionJean-Michel POU
Le pilotage des procédés de production est une discipline délicate qui engage non seulement la qualité de la production mais également son efficience. Dans de nombreux procédés, beaucoup de facteurs interagissent pour atteindre l'objectif et il n'est pas facile de comprendre leurs interactions lorsqu'on regarde les paramètres un à un. Cette conférence propose une approche originale pour prendre en compte le caractère multivarié de la question ...
La conformité des entités manufacturées est une question au cœur de la métrologie et de la qualité. J'ai proposé hier une solution dans le cadre du XXème Congrès International de la Métrologie qui se tient à Lyon pendant Global Industrie. Il s'agit de prendre en compte non seulement le fait que la conformité des productions industrielles ne peut être établie qu'à partir d'échantillons dont toutes les caractéristiques doivent être conformes simultanément. Il convient également, évidemment, de prendre en compte les incertitude de mesure associées inexorablement aux mesures des échantillons. Autrement dit, la situation n'est pas simple !
Evaluate and quantify the drift of a measuringJean-Michel POU
L'évaluation de la dérive des instruments "mesureur" est une question majeure en métrologie, tant pour l'évaluation des incertitudes de mesure que pour celle des périodicités. Nous avons proposé dans le cadre du CIM 2019 une approche innovante permettant de traiter de cette question de façon statistique.
La norme NF ISO/CEI GUIDE 98-4 nous explique comment prendre en compte l'incertitude de mesure dans la déclaration de conformité. Contrairement à la vision traditionnelle, l'incertitude de mesure n'est pas le seul paramètre qui permet de calculer le risque. Lorsque cela est possible, il faut également connaitre l'a priori, c'est à dire la loi de probabilité des valeurs vraies (sachant le mesurande). Et la connaissance de l'a priori peut nous amener très loin, jusqu'à la suppression des vérifications périodiques !
Digitalisation des entreprises : pour faire quoi, et quand ?Jean-Michel POU
BPI France a réalisé en 2017 une enquête qui a montré que 80% des chefs de PME/TPE ne se sentaient pas concernés ... Ces quelques slides pour que les convaincre qu'au contraire, il est plus que temps d'y aller !
Congrès International de Métrologie - Paris 2017Jean-Michel POU
The traceability to reference standards is a founding act in calibration laboratories. We show here that it is possible to know the value of the standards without calibrating them !!! And this example can be transposed to many other cases than gauge blocks. Even if it is difficult to accept the idea of no longer calibrating its references, it is easy to ensure their reliability, improve the management of their calibrations and, then, make better and cheaper!
En tant qu'ambassadeur pour la Région Auvergne Rhône-Alpes, j'ai eu l'honneur de présenter l'Alliance Industrie du Futur le 9 juin, à Clermont-Fd, lors de la journée consacrée au lancement du livre "Smart Metrology, de la métrologie des instruments à la métrologie des décisions"...
L'Alliance Industrie du Futur dignement représentée à la manifestation organisée à Lyon le 15 Juin dans le cadre des 4 moteurs de l'Europe. Alain Saniard (CETIM) a animé un atelier sur l'initiation dune démarche de modernisation "Industrie du Futur"
Ce PowerPoint présente en quelques slides l'histoire de Deltamu depuis sa création. Il s'agit de retracer les grandes étapes de l'histoire de l'entreprise, étapes qui la conduisent à la Smart Metrology, dans un esprit de revalorisation du métier de métrologue dans l'entreprise.
Présentation de la Smart Metrology - 9 Juin 2016 - Clermont-FdJean-Michel POU
Ce PowerPoint a été présenté le 9 Juin 2016, lors de la grande manifestation organisée par Deltamu dans le cadre du lancement du livre "Smart Metrology, de la métrologie des instruments à la métrologie des décisions. Il présente les enjeux de la Smart Metrology.
Inférence bayésienne : Une approche enthousiasmante pour l'exploitation des i...Jean-Michel POU
Focalisé sur l'incertitude de mesure, le métrologue en oublie parfois que c'est surtout la valeur "vraie" qui intéresse les utilisateurs. En s'appuyant sur les propriétés de la valeur mesurée, et sous réserves d'avoir quelques informations préalables sur les valeurs vraies possibles, il est possible d'améliorer la fiabilité des résultats de mesure ...
La métrologie dans les L.A.B.M : faire ou faire faire ?Jean-Michel POU
J'ai présenté cette conférence, sous la forme d'un poster, dans le cadre du congrès EURMEDLAB 2015, à Paris, Palais des Congrès. En quelques slides, je tente d'expliquer que la solution des étalonnages/vérifications internes, pour les L.A.B.M, est probablement une solution efficiente pour répondre aux exigences de la norme NF EN ISO 15189 et au COFRAC.
Métrologie : Jusqu'où ne pas aller trop loin ?Jean-Michel POU
La norme ISO 15189 pose la question de la métrologie dans les laboratoires d'analyse de biologie médicale (L.A.B.M). Cette présentation retrace l'historique de la pensée métrologie traditionnelle (Vérification périodique suivant des normes établies). Elle pose ensuite les véritables questions à traiter et propose une stratégie efficiente dans laquelle la métrologie peut devenir un outil de performance ...
J'ai présenté hier cette conférence concernant un outil innovant en matière de justification du raccordement des instruments de mesure. Après de années d'étalonnages, les industriels disposeront bientôt d'une autre approche : les Comparaisons Inter-Instruments (C.2.I)
La métrologie n'est pas ce que vous croyez, elle peut vous faire gagner beauc...Jean-Michel POU
La métrologie n'est pas valorisée au niveau qu'elle mérite dans l'entreprise. Pour des raisons historiques, son véritable potentiel n'a pas encore été exploité. Cette présentation a pour objectif de présenter le "potentiel caché" de la métrologie ...
Logiciel de gestion de parcs d'instruments de mesure : Quelles fonctionnalité...Jean-Michel POU
Une conférence présentée en 2008 sur les fonctionnalités légitimes que chaque métrologue d'entreprise devrait avoir à sa disposition sur son logiciel "Métrologie" dans le cadre de la gestion de son parc d'instruments de mesure ...
Pourquoi avons nous tant de mal à appréhender le concept d'incertitude de mes...Jean-Michel POU
J'ai eu l'occasion de présenter cette conférence lors du congrès international de métrologie de Toulon, en 2003. J'ai une tendresse particulière pour cette présentation qui me semble, plus de 10 après, terriblement d'actualité !
2. Incertitude & Déclaration de conformité
L’ISO 9001, et l’ISO 17025 ont mis en avant la
problématique des incertitudes de mesure.
Ainsi, la valeur mesurée n’est pas la valeur vraie !
Spécification
X
Valeur mesurée
CONFORME
X
Valeur mesurée
CONFORME
X
Valeur mesurée
non-conforme
Valeur vraie CONFORME
Valeur vraie
CONFORME
ou NON-
CONFORME ?
Valeur vraie
NON
CONFORME
ou
CONFORME ?
Comment savoir si l’objet mesuré est conforme ?
3. Incertitude & Déclaration de conformité
La norme ISO 14253-1 propose une solution qui
paraît séduisante :
Spécification
Incertitude de mesure Incertitude de mesure
Zone de conformité
Zone de doute
Zone de n
conformi
Zone de non
conformité
4. Incertitude & Déclaration de conformité
Néanmoins, les pratiques industrielles semblent
ne pas correspondre :
Spécification
X
CONFORME
X
CONFORME
X
non-conforme
= Zone de conformité ?
Sauf à considérer que la spécification, exprimée
aujourd’hui, correspond déjà à la Zone de
Conformité !
5. Incertitude & Déclaration de conformité
Une autre approche consiste à considérer la
« capabilité » du processus de mesure :
TOLERANCE
INCERTITUDE
C
La valeur de C doit faire l’objet d’un accord
Client-Fournisseur.
Mais quelle valeur choisir ?
6. Incertitude & Déclaration de conformité
La vraie question ne devrait-elle pas être :
Quel est le risque que l’objet soit NON-
CONFORME ?
Spécification
X
Valeur mesurée
50 % de probabilité
CONFORME
50 % de probabilité
NON-CONFORME
Vu du Métrologue :
7. Incertitude & Déclaration de conformité
Or, le risque que l’objet soit NON-CONFORME
ne peut être supérieur au risque que le process
fabrique un objet NON-CONFORME !
Spécification
X
Valeur mesurée
Dispersion du
Process
Vu du Process :
8. Incertitude & Déclaration de conformité
Ainsi, le risque « CLIENT », c’est-à-dire de
déclarer un objet « NON-CONFORME »
« CONFORME » est la combinaison de 2
risques :
X
Valeur vraie OBJET
Probabilité P1 liée au
process
-SL SL
Probabilité P2 liée à la
mesure
10. Incertitude & Déclaration de conformité
Qui se simplifie lorsque le Process est centré :
dtdx
xt
e
x
eRC
Mes
ouSL
ouSL
SL
SL
SpécMesSpéc
2
2
)(
)( 2
2
22
1
Où :
représente la dispersion du process
représente la dispersion des mesures
Mes
Spéc
11. Incertitude & Déclaration de conformité
Lorsque le coefficient de capabilité est connu, le rapport
entre Spéc et Mes est connu. Il est alors possible de
déterminer le risque Client résultant, au regard des
paramètres du Process (Moyenne et écart-type)
Ainsi, si le rapport de capabilité contractuel ne peut
être respecté (Incertitude trop grande devant la
Tolérance), il est possible de définir de nouvelles
limites d’acceptation telles que le risque Client soit
préservé, ce qui est le plus important au regard des
exigences du Client.
12. Incertitude & Déclaration de conformité
Si le coefficient de capabilité n’est pas
respecté, l’incertitude est plus grande, donc
P2 est plus grande :
X
Valeur vraie OBJET
-SL SL
Bande de Garde
TL-TL
P2’ : Probabilité Mesure dans les
nouvelles tolérances –TL / TL
13. Incertitude & Déclaration de conformité
Il s’agit alors de résoudre l’équation suivante,
d’inconnues –TL et TL, RC étant connu via le coefficient
de capabilité contractuel :
dtdx
xt
e
x
eRC
Mes
SL TL
TL
SpécMesSpéc
2
2
2
2
22
1
14. Incertitude & Déclaration de conformité
Le tableau ci-dessous donne les facteurs de Garde à
appliquer dans le cas d’un Process centré dont
l’étendue des tolérances –SL / SL correspond à 4
écart-types (TL = Facteur de garde x SL) :
Coefficient obtenu Coefficient contractuel Risque client correspondant Facteur de garde
3
4 0,798 %
0,970
2,5 0,950
2 0,907
1,5 0,850
3
13 (MSA 10%) 0,3 %
0,856
2,5 0,812
2 0,800
1,5 0,631
1,5
2 (CNOMO < 16 µm) 1,239 %
0,959
1 0,862
15. Incertitude & Déclaration de conformité
Fort de ces remarques, la probabilité pour que l’objet
mesuré sur une limite de tolérance soit NON-
CONFORME n’est pas 50% !
Il est la combinaison de la probabilité Process et de la
probabilité Mesure telle que :
Spécification
X
Valeur mesurée
X
Valeur Vraie
Erreur de mesure
Valeur mesurée = Limite Tolérance = Valeur Vraie + Erreur de Mesure
16. Incertitude & Déclaration de conformité
Le tableau ci-dessous donne la probailité que l’objet
mesuré sur la limite de tolérance soit NON-
CONFORME en considérant le cas d’un Process
centré dont l’étendue des tolérances –SL / SL
correspond à 4 écart-types :
Capabilité
(Sp/Sm)
Probabilité Objet
NON-CONFORME
0,5 0,48 %
1 0,82 %
2 1,33 %
4 1,85 %
8 2,22 %
16 2,45 %
17. Incertitude & Déclaration de conformité
Merci pour votre attention.
Jean-Michel POU
DELTA MU Conseil
Parc Technologique La Pardieu
25, Rue Joseph Desaymard
63000 – CLERMONT FERRAND
Tél : 04 73 15 13 00
Mail : jmpou@deltamuconseil.fr