Objectifs
• Fournir aux étudiants(es) des techniques propres à l'évaluation et à l'identification des
besoins métrologiques.
• Fournir aux étudiants(es) les outils pour évaluer la variabilité des mesures en fonction
des exigences.
• Initier les étudiants(es) à la métrologie dimensionnelle. Les étudiants(es) auront
l'occasion de mettre en pratique la théorie vue au cours dans le cadre d'exercices et des
travaux pratiques.
Objectifs pédagogiques
o Comprendre et identifier les sources d'erreurs et d’incertitude dans le phénomène du
mesurage
o Le cours portera une attention spéciale sur la métrologie dimensionnelle et
géométrique
o Apprendre à sélectionner, utiliser et gérer les appareils de mesure propres à une
vérification donnée.
o Connaître les techniques existantes permettant d'effectuer une étude statistique de
reproductibilité et de répétabilité pour un processus de mesure donné.
o Comprendre les principes fondamentaux en étalonnage des instruments de mesure.
o Comprendre et interpréter le tolérablement dimensionnel et géométrique d'une
composante mécanique afin de planifier son inspection de manière appropriée.
o Rédaction d’un rapport de mesure.
o Des applications tirées d’études de cas industriels (Applications et exemples pratiques
tirés des industries d’aéronautique, de l’automobile, du transport et des produits
récréatifs)
o La résolution d'exercices et des problèmes.
Objectifs
• Fournir aux étudiants(es) des techniques propres à l'évaluation et à l'identification des
besoins métrologiques.
• Fournir aux étudiants(es) les outils pour évaluer la variabilité des mesures en fonction
des exigences.
• Initier les étudiants(es) à la métrologie dimensionnelle. Les étudiants(es) auront
l'occasion de mettre en pratique la théorie vue au cours dans le cadre d'exercices et des
travaux pratiques.
Objectifs pédagogiques
o Comprendre et identifier les sources d'erreurs et d’incertitude dans le phénomène du
mesurage
o Le cours portera une attention spéciale sur la métrologie dimensionnelle et
géométrique
o Apprendre à sélectionner, utiliser et gérer les appareils de mesure propres à une
vérification donnée.
o Connaître les techniques existantes permettant d'effectuer une étude statistique de
reproductibilité et de répétabilité pour un processus de mesure donné.
o Comprendre les principes fondamentaux en étalonnage des instruments de mesure.
o Comprendre et interpréter le tolérablement dimensionnel et géométrique d'une
composante mécanique afin de planifier son inspection de manière appropriée.
o Rédaction d’un rapport de mesure.
o Des applications tirées d’études de cas industriels (Applications et exemples pratiques
tirés des industries d’aéronautique, de l’automobile, du transport et des produits
récréatifs)
o La résolution d'exercices et des problèmes.
Cette rapide approche des techniques de CND a permis de mettre en évidence:
L’aspect complémentaire des différentes techniques en fonction des anomalies recherchées
Le besoin de spécifications de contrôles
L’importance des défauts de référence et des critères d’évaluation
Le caractère indispensable de l’étalonnage du matériel
La nécessite de la qualification des opérateurs de contrôle
La pérennité de l’action TIV est basée sur la Qualité du processus de formation des
Techniciens FFESSM et de leurs prestations au « quotidien »
La pérennité de l’action TIV est basée sur la Qualité du processus de formation des
Techniciens FFESSM et de leurs prestations au « quotidien »
Quelques exemples de calcul d'incertitudes (GUM et GUMS1)Jean-Michel POU
J'ai animé, à Pretoria dans le cadre du CAFMET 2014, un tutorial sur le calcul d'incertitudes de mesure. Tous les détails des calculs sont disponibles à la rubrique "publication" du site de Delta Mu (www.deltamu,fr) : 6 articles en tout pour traiter de la question de "A à Z"...
Introduction…………………………………………………………………………………………………………...5
Chapitre 1 - Importance de l’analyse des coûts……..……………………………………………………………8
1 – Aspects économiques de la maintenance…………………………………………………………………….8
2 – Les Coûts de maintenance entrent dans le prix de revient…………………………………………………8
3 - Problématique des coûts de maintenance…………………………………………………………………….9
4 – L'analyse des coûts est un outil de gestion essentiel……………………………………………………….9
5 – Estimation des coûts de maintenance……………………………………………………………………….10
6 - Exploitation des coûts………………………………………………………………………………………….10
7 – Remarques……………………………………………………………………………………………………..10
Chapitre 2 - Les coûts directs de maintenance…………………………………………………………………11
1 - Coûts de main-d'œuvre………………………………………………………………………………………..11
2 - Frais généraux du service maintenance……………………………………………………….…………….11
3 - Coûts de possession des stocks, des outillages des machines…………………………………………11
4 - Consommation de matières, de fournitures, de produits………………………………………………….11
5 - Coûts des contrats de maintenance…………………………………………………………………………11
6 - Coûts des contrats des travaux sous-traités………………………………………………………………..11
Chapitre 3 - Les coûts indirects de maintenance………………………………………………………………13
1 - Coûts de perte de production…………………………………………………………………………………13
2 - Estimation des CP……………………………………………………………………………………………..13
Chapitre 4 - Les coûts de défaillance……………………………………………………………………………14
1 – Notion…………………………………………………………………………………………………………..14
2 – Remarque………………………………………………………………………………………………………14
3 - Calcul des coûts de défaillance……………………………………………………………………………….14
4 - Suivi d'un matériel………………………………………………………………………………………………15
5 - Optimisation des CD……………………………………………………………………………………………16
Chapitre 5 – Maitrise économique du cycle de vie des équipements………………………………………..17
1 - Définition du LCC………………………………………………………………………………………………17
2 - Courbe LCC (Life Cycle Cost)………………………………………………………………………………..17
3 - Intérêt du LCC………………………………………………………………………………………………….18
4 - Constitution du LCC…………………………………………………………………………………………...18
Chapitre 6 - Les coûts moyens annuels de maintenance (d'un matériel)……………………………………20
1 - Notation Cma……………………………………………………………………………………………………20
2 - Calcul des Cma…………………………………………………………………………………………………20
3 - Coût moyen annuel de fonctionnement………………………………………………………………………21
Chapitre 7 – Budget de maintenance…………………………………………………………………………….22
1 - Le principe de base du budget………………………………………………………………………………..22
2 - L’absence de politique de maintenance……………………………………………………………………..22
3 - Coût horaire de la main d’œuvre (M.O.)……………………………………………………………………..22
Chapitre 8 - Les pertes économiques en maintenance productive totale……………………………………24
1 - Les pertes de productivité liées aux équipements………………………………………………………….24
Discussion et conclusion globale…………………………………………………………………………………25
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES…………………………………………………………………………..26
Examen Master CCV : Méthode et Plan d'ExpériencesMohammed TAMALI
la règle d’or pour la lecture d’un document, nécessite intelligence et attention. De même, répondre aux questions d’un examen est une tâche qui n’exige pas (dire jamais), le fait d’apprendre par cœur les notions mais les appréhender et savoir les utiliser aux moments opportuns.
La lecture d’un livre dont le contenu est en rapport avec les notions étudiées dans cours dispensé en salle restera toujours la seule solution pou réussir dans une matière. Les polycopiés ne sont que complémentarités aux différents et multiples références académiques se trouvant sur le marché sinon mises en ligne. Ces même références resteront toujours un effort personnel de l’enseignant qui les a mises en circulation et ne peuvent être prise comme preuve pour démontrer son impertinence par rapport à une notion.
la mesure des principales caractéristiques des signaux vibratoires a permis l’essor de l’analyse vibratoire. Cette nouvelle forme de diagnostic et de suivi repose sur des outils de traitement de signal comme l’analyse de Fourier (FFT), l’instrumentation et l’électronique. L'analyse vibratoire est indispensable aussi bien dans l’industrie que dans les laboratoires ainsi que dans la réglementation pour la santé publique et celle du travailleur.
Introdution a la maintenance industrielleYounes DADSSI
Introduction à la maintenance industrielle est une petite présentation de ma part qui présente les concepts de la maintenance, dans l'attente de préparer d'autres présentations pour bien détailler ce département qui joue un rôle très important pour atteindre les objectifs qualitatifs et quantitatifs.
Younes DADSSI
Cette rapide approche des techniques de CND a permis de mettre en évidence:
L’aspect complémentaire des différentes techniques en fonction des anomalies recherchées
Le besoin de spécifications de contrôles
L’importance des défauts de référence et des critères d’évaluation
Le caractère indispensable de l’étalonnage du matériel
La nécessite de la qualification des opérateurs de contrôle
La pérennité de l’action TIV est basée sur la Qualité du processus de formation des
Techniciens FFESSM et de leurs prestations au « quotidien »
La pérennité de l’action TIV est basée sur la Qualité du processus de formation des
Techniciens FFESSM et de leurs prestations au « quotidien »
Quelques exemples de calcul d'incertitudes (GUM et GUMS1)Jean-Michel POU
J'ai animé, à Pretoria dans le cadre du CAFMET 2014, un tutorial sur le calcul d'incertitudes de mesure. Tous les détails des calculs sont disponibles à la rubrique "publication" du site de Delta Mu (www.deltamu,fr) : 6 articles en tout pour traiter de la question de "A à Z"...
Introduction…………………………………………………………………………………………………………...5
Chapitre 1 - Importance de l’analyse des coûts……..……………………………………………………………8
1 – Aspects économiques de la maintenance…………………………………………………………………….8
2 – Les Coûts de maintenance entrent dans le prix de revient…………………………………………………8
3 - Problématique des coûts de maintenance…………………………………………………………………….9
4 – L'analyse des coûts est un outil de gestion essentiel……………………………………………………….9
5 – Estimation des coûts de maintenance……………………………………………………………………….10
6 - Exploitation des coûts………………………………………………………………………………………….10
7 – Remarques……………………………………………………………………………………………………..10
Chapitre 2 - Les coûts directs de maintenance…………………………………………………………………11
1 - Coûts de main-d'œuvre………………………………………………………………………………………..11
2 - Frais généraux du service maintenance……………………………………………………….…………….11
3 - Coûts de possession des stocks, des outillages des machines…………………………………………11
4 - Consommation de matières, de fournitures, de produits………………………………………………….11
5 - Coûts des contrats de maintenance…………………………………………………………………………11
6 - Coûts des contrats des travaux sous-traités………………………………………………………………..11
Chapitre 3 - Les coûts indirects de maintenance………………………………………………………………13
1 - Coûts de perte de production…………………………………………………………………………………13
2 - Estimation des CP……………………………………………………………………………………………..13
Chapitre 4 - Les coûts de défaillance……………………………………………………………………………14
1 – Notion…………………………………………………………………………………………………………..14
2 – Remarque………………………………………………………………………………………………………14
3 - Calcul des coûts de défaillance……………………………………………………………………………….14
4 - Suivi d'un matériel………………………………………………………………………………………………15
5 - Optimisation des CD……………………………………………………………………………………………16
Chapitre 5 – Maitrise économique du cycle de vie des équipements………………………………………..17
1 - Définition du LCC………………………………………………………………………………………………17
2 - Courbe LCC (Life Cycle Cost)………………………………………………………………………………..17
3 - Intérêt du LCC………………………………………………………………………………………………….18
4 - Constitution du LCC…………………………………………………………………………………………...18
Chapitre 6 - Les coûts moyens annuels de maintenance (d'un matériel)……………………………………20
1 - Notation Cma……………………………………………………………………………………………………20
2 - Calcul des Cma…………………………………………………………………………………………………20
3 - Coût moyen annuel de fonctionnement………………………………………………………………………21
Chapitre 7 – Budget de maintenance…………………………………………………………………………….22
1 - Le principe de base du budget………………………………………………………………………………..22
2 - L’absence de politique de maintenance……………………………………………………………………..22
3 - Coût horaire de la main d’œuvre (M.O.)……………………………………………………………………..22
Chapitre 8 - Les pertes économiques en maintenance productive totale……………………………………24
1 - Les pertes de productivité liées aux équipements………………………………………………………….24
Discussion et conclusion globale…………………………………………………………………………………25
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES…………………………………………………………………………..26
Examen Master CCV : Méthode et Plan d'ExpériencesMohammed TAMALI
la règle d’or pour la lecture d’un document, nécessite intelligence et attention. De même, répondre aux questions d’un examen est une tâche qui n’exige pas (dire jamais), le fait d’apprendre par cœur les notions mais les appréhender et savoir les utiliser aux moments opportuns.
La lecture d’un livre dont le contenu est en rapport avec les notions étudiées dans cours dispensé en salle restera toujours la seule solution pou réussir dans une matière. Les polycopiés ne sont que complémentarités aux différents et multiples références académiques se trouvant sur le marché sinon mises en ligne. Ces même références resteront toujours un effort personnel de l’enseignant qui les a mises en circulation et ne peuvent être prise comme preuve pour démontrer son impertinence par rapport à une notion.
la mesure des principales caractéristiques des signaux vibratoires a permis l’essor de l’analyse vibratoire. Cette nouvelle forme de diagnostic et de suivi repose sur des outils de traitement de signal comme l’analyse de Fourier (FFT), l’instrumentation et l’électronique. L'analyse vibratoire est indispensable aussi bien dans l’industrie que dans les laboratoires ainsi que dans la réglementation pour la santé publique et celle du travailleur.
Introdution a la maintenance industrielleYounes DADSSI
Introduction à la maintenance industrielle est une petite présentation de ma part qui présente les concepts de la maintenance, dans l'attente de préparer d'autres présentations pour bien détailler ce département qui joue un rôle très important pour atteindre les objectifs qualitatifs et quantitatifs.
Younes DADSSI
Explications sur le fascicule AFNOR FD X 07-014Jean-Michel POU
Cette conférence a été présentée en 2008, dans le cadre du salon MESUREXPO. Elle décrit les 3 méthodes proposées dans le fascicule AFNOR FD X 07-014 pour l'optimisation des périodicités.
Rapport final d’étude sur l’offre et les besoins de formation en métrologie
Etude réalisée par l’école des mines de DOUAI
pour le compte du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie sur la période mai 2010 – février 2011
http://www.industrie.gouv.fr/portail/metrologie/formation.php
The document discusses longitude and latitude and how they are used to locate positions on Earth. It explains that longitude measures east-west position relative to the Prime Meridian, while latitude measures north-south position relative to the Equator. Examples are given of the longitude and latitude coordinates of various locations, oceans, continents, and states.
The document discusses the history and development of artificial intelligence over the past several decades. It outlines milestones such as the creation of expert systems in the 1980s, generalized AI in the 1990s, and modern advances in machine learning. Overall progress in AI has been steady as researchers continue developing new techniques to solve increasingly complex problems.
- Généralité sur les moteurs deux temps
Fonction des defferentes piece du moteur 2 temps
Le cycle moteur 2 temps
Le refroidissement de moteur 2 temps
-Les différents types de moteurs
Les moteurs à injection indirecte
Les moteurs à injection directe
-Le circuit d'alimentation
Pompe d'alimentation
L'élément filtrant
les injecteurs
- Conclusion
The document provides details on the design and construction of shell and tube heat exchangers. It describes the key components of a shell and tube heat exchanger including the shell, tubes, tube sheets, bonnet, channel, pass partition plates, nozzles, baffles, tie rods, and flanges. It also explains the functions of each component and provides examples of different types of components like baffles, joints between tubes and tube sheets, and impingement plates.
Les capteurs et transducteurs industriels .pptxMedKad3
Définition
Localisation le capteur dans la chaine d’acquittions des données
Classification type des capteurs
Caractéristiques
Transducteur
Classification les transducteurs
Comparaison Capteurs/transducteur
Conseils pour Les Jeunes | Conseils de La Vie| Conseil de La JeunesseOscar Smith
Besoin des conseils pour les Jeunes ? Le document suivant est plein des conseils de la Vie ! C’est vraiment un document conseil de la jeunesse que tout jeune devrait consulter.
Voir version video:
➡https://youtu.be/7ED4uTW0x1I
Sur la chaine:👇
👉https://youtube.com/@kbgestiondeprojets
Aimeriez-vous donc…
-réussir quand on est jeune ?
-avoir de meilleurs conseils pour réussir jeune ?
- qu’on vous offre des conseils de la vie ?
Ce document est une ressource qui met en évidence deux obstacles qui empêchent les jeunes de mener une vie épanouie : l'inaction et le pessimisme.
1) Découvrez comment l'inaction, c'est-à-dire le fait de ne pas agir ou d'agir alors qu'on le devrait ou qu'on est censé le faire, est un obstacle à une vie épanouie ;
> Comment l'inaction affecte-t-elle l'avenir du jeune ? Que devraient plutôt faire les jeunes pour se racheter et récupérer ce qui leur appartient ? A découvrir dans le document ;
2) Le pessimisme, c'est douter de tout ! Les jeunes doutent que la génération plus âgée ne soit jamais orientée vers la bonne volonté. Les jeunes se sentent toujours mal à l'aise face à la ruse et la volonté politique de la génération plus âgée ! Cet état de doute extrême empêche les jeunes de découvrir les opportunités offertes par les politiques et les dispositifs en faveur de la jeunesse. Voulez-vous en savoir plus sur ces opportunités que la plupart des jeunes ne découvrent pas à cause de leur pessimisme ? Consultez cette ressource gratuite et profitez-en !
En rapport avec les " conseils pour les jeunes, " cette ressource peut aussi aider les internautes cherchant :
➡les conseils pratiques pour les jeunes
➡conseils pour réussir
➡jeune investisseur conseil
➡comment investir son argent quand on est jeune
➡conseils d'écriture jeunes auteurs
➡conseils pour les jeunes auteurs
➡comment aller vers les jeunes
➡conseil des jeunes citoyens
➡les conseils municipaux des jeunes
➡conseils municipaux des jeunes
➡conseil des jeunes en mairie
➡qui sont les jeunes
➡projet pour les jeunes
➡conseil des jeunes paris
➡infos pour les jeunes
➡conseils pour les jeunes
➡Quels sont les bienfaits de la jeunesse ?
➡Quels sont les 3 qualités de la jeunesse ?
➡Comment gérer les problèmes des adolescents ?
➡les conseils de jeunes
➡guide de conseils de jeunes
Impact des Critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les...mrelmejri
J'ai réalisé ce projet pour obtenir mon diplôme en licence en sciences de gestion, spécialité management, à l'ISCAE Manouba. Au cours de mon stage chez Attijari Bank, j'ai été particulièrement intéressé par l'impact des critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sur les décisions d'investissement dans le secteur bancaire. Cette étude explore comment ces critères influencent les stratégies et les choix d'investissement des banques.
1. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 1/13
CHAPITRE 1 – Instruments de mesure/contrôle mécaniques
1. Introduction :
Aucun moyen de production de pièces ne permet d’obtenir des cotes rigoureusement exactes ou des surfaces géométriquement parfaites. La métrologie est l’ensemble des opérations nécessaires pour déterminer avec précision la valeur d’une grandeur à mesurer au pour réaliser un contrôle. Elle est la science et technique de la mesure, elle permet de s’adapter aux exigences changeantes des marchés tout en respectant des règles de plus précises sur les caractéristiques du produit et de sa fabrication. On trouve deux types de technique de mesure :
Mesurage dimensionnel
Mesurage géométrique
2. Qualités métrologiques des instruments de mesures :
2.1. Etendue de mesure :
C’est l’ensemble des valeurs d’une grandeur à mesurer pour lesquelles l'instrument donne une valeur avec une erreur inférieure ou égale à l'erreur maximale tolérée.
2.2. Sensibilité d’un instrument de mesure :
Rapport k entre l'accroissement de la variable observée (dl) et l’accroissement réel de la grandeur mesurée (dG).
k = dldG
2.3. Justesse d’un instrument de mesure :
Qualité d'un instrument de mesure à donner des indications égales à la valeur vraie de la grandeur mesurée.
2.4. Fidélité d’un instrument de mesure
Aptitude d'un instrument de mesure à donner toujours la même indication pour une même valeur de la grandeur mesurée.
2.5. Précision d’un instrument de mesure
Qualité globale caractérisant l'aptitude d'un instrument de mesure à donner des indications proches de la valeur de la grandeur à mesurer.
2. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 2/13
2.6. Constance d’un instrument de mesure :
Qualité caractérisant l'aptitude d'un instrument de mesure à concerner des qualités
métrologiques constantes en fonction du temps.
3. Classification des instruments de mesures :
3.1. Vérificateurs à dimensions variables :
3.1.1. Contrôle par mesure direct :
C’est une méthode de mesure dans laquelle la valeur d'une grandeur à mesurer est obtenue
directement par lecture de la grandeur à mesurer.
Le pied à coulisse
Le pied à coulisse est un instrument de mesure de précision en acier inoxydable, trempé. Il est
constitué d'une règle graduée en mm possédant un bec à une extrémité, d'un coulisseau portant
une graduation de vernier et possédant aussi un bec. Il est souvent utilisé pour contrôler ou
mesurer des côtes dont l’intervalle de tolérance est supérieur ou égale à 0.04 mm. Dans certain
cas on peut aller jusqu’à un intervalle de tolérance égale à 0.02 mm avec un pied à coulisse à
cadran ou à afficheur numérique. Il serve à mesurer avec précision des petites longueurs : 150
mm, 200 mm et 250 mm. La position de mesurage peut être stabilisée par la vis de blocage.
Figure 1. Pied à coulisse.
Instruments de mesures
Vérificateurs à dimensions variables
Etalons
Contrôle par
mesure direct
Vérificateurs à dimensions fixes
Contrôle par
mesure indirect
Jauges
Calibre à limites
3. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 3/13
Un pied à coulisse est caractérisé par :
- son type de vernier
- sa capacité maxi
- ses types de becs
Méthode de mesure avec un pied à coulisse :
Insérer l’objet à mesurer entre les mâchoires (becs) du pied à coulisse et fermer ces mâchoires
sur l’objet. On fige la mesure par la vis de blocage.
Lire le nombre entier de mm, à gauche du zéro du vernier. On localise la graduation du vernier
(une seule possible) qui coïncide avec une graduation quelconque de la règle. Et on ajoute aux
millimètres, les 1/10ème, 1/20ème ou 1/50ème, selon les cas, pour obtenir la mesure exacte.
Exemple :
Figure 2. Lecture d’une mesure avec un pied à coulisse
On trouve quatre types de pieds à coulisses :
Figure 3. Pied à coulisse avec becs fins
Figure 4. Pied à coulisse avec becs normaux
4. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 4/13
Figure 5. Pied à coulisse à cadran
Figure 6. Pied à coulisse digital
La jauge de profondeur
La jauge de profondeur est une variante du calibre à coulisse. Il permet la mesure des
profondeurs et la méthode de lecture utilisée est strictement identique au pied à coulisse.
Utilisation des jauges de profondeurs :
Figure 7. Jauge de profondeur simple
Figure 8. Avec talon rotatif
Figure 9. Avec semelle amovible
Types des jauges de profondeurs :
5. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 5/13
On trouve différentes types de jauges de profondeur dont on peut les classées selon la nature de
lecture :
Figure 10. Lecture sur vernier
Figure 11. Lecture numérisée
Le trusquin
Sur une règle montée sur un pied, on utilise une règle muni d’un bec traceur.
Figure 12. Trusquin à lecture sur vernier
Figure 13. Trusquin à lecture numérique
Le micromètre d’extérieur
Le micromètre ou palmer est un instrument de précision. Il est constitué d'un corps en U
possédant une touche fixe et une touche mobile actionnée par un tambour qui tourne autour
d’une règle graduée. Le déplacement de la touche mobile est assuré par une vis à pas fin dite
micrométrique.
Le micromètre est choisit en fonction de la pièce à mesurer (0 à 25mm, 25 à 50mm, …). Il
permet l’évaluation des mesures avec une précision de 1/100 mm, il est constitué en acier dur,
seulement les touches sont trempées.
Le pas de la vis micrométrique est égale à 0.5 mm ( p 0.5mm) et le nombre de division du
tambour est égale à 50 ( N 50divisions ) donc une division du tambour, correspond à un
déplacement de la touche mobile de 0.01 mm.
6. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 6/13
Figure 14. Micromètre d’extérieur.
Méthode de mesure avec un micromètre :
Insérer l’objet à mesurer dans les mâchoires du micromètre, pincer la pièce avec les touches à
l’aide de la friction et on fait le serrage de la pièce à l’aide de la molette limiteur d’effort.
Lire le nombre entier de mm et de 1/2 mm sur la génératrice de repérage (dernière graduation
découverte par le tambour). Puis on lit la fraction de millimètre ( X ) sur le tambour gradué en
0,01.
Figure 15. Lecture sur un micromètre
Rq : la lecture au micromètre présente une particularité demandant une certaine attention pour
ne pas commettre d'erreur.
N.B : Pour un micromètre on doit vérifier l’étalonnage à l’aide de la jauge prévu à cet
effet, avant chaque utilisation.
7. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 7/13
Le micromètre d’intérieur
Figure 16. Micromètre à becs d’intérieur
Figure 17. Alésomètre 3 touches
Le mode de lecture est le même que pour le micromètre d’extérieur. Dans la Figure 18 le
tambour commande la sortie des trois touches à 120° et permet la mesure d’alésage.
Jauge micrométrique de profondeur
Figure 19. Jauges micrométriques de profondeur
Rapporteur d’angle
Un rapporteur d’angle sert à mesurer des angles à l’aide de deux règles en acier inoxydable qui
prennent appui sur chacune des surfaces matérialisant l’angle.
Figure 20. Rapporteur d'angle à vernier
Figure 21. Rapporteur d'angle numérique
8. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 8/13
3.1.2. Contrôle par mesure indirect :
La grandeur à mesurer est comparée à une grandeur de même nature, de valeur connue, peu différente de celle de la grandeur à mesurer (on mesure la différence entre les deux grandeurs).
Le comparateur
On peut relever cette grandeur à l’aide d’un capteur ; c’est l’écart entre une pièce à mesurer et un étalon (pièce de référence). Pour ce type de mesurage on utilise le comparateur à cadran.
Figure 22. Mesurage indirect Le comparateur à cadran utilise un système d’amplification mécanique par pignon crémaillère et train d’engrenages.
Figure 23. Comparateur à cadran Pour un déplacement de 1 mm du palpeur lié à la crémaillère, l’aiguille liée au pignon terminal de la chaîne cinématique fait 1 tour. Le cadran étant divisé en 100 graduations, chaque graduation est égale à 0.01 mm. Le petit cadran indique le nombre de tours de la grande aiguille.
9. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 9/13
On trouve différents types de comparateurs
Figure 24. Comparateur à cadran à
tige rentrante radiale
Figure 25. Comparateur à cadran
numérique à tige rentrante radiale
Figure 26. Comparateur à levier
mécanique
3.2. Vérificateurs à dimensions fixes
3.2.1. Etalons
Cales étalons
Les cales étalons sont des étalons de longueur en forme de parallélépipèdes rectangles.
Figure 27. Cales étalons
Equerres et angles étalons
Ces étalons permettent un contrôle rapide d’angle. Ils ont des angles de 45°, 60°, 90°, 120°,
135°.
Les blocs équerres (90°) sont les plus utilisés pour le contrôle de perpendicularité.
10. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 10/13
Figure 28. Equerres
3.2.2. Jauges
Les jauges sont des instruments d’ateliers qui permettent un contrôle rapide et simple, peu
précis. On peu distinguer les jauges à rayons, d’épaisseurs, de filetages…
Figure 29. Jauge de filetage
Figure 30. Jauge à rayons
3.2.3. Calibres à limites
Pour assurer l’interchangeabilité des pièces, on les cote souvent à l’aide d’ajustement fixant
ainsi une cote mini et une maxi. Pour vérifier ces pièces en cours de fabrication ou à la
réception, on utilise souvent des calibres à limites.
Calibres d’alésages
Figure 31. Tampon lisse double
11. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 11/13
Figure 32. Jauge plat
Calibres d’arbre
Figure 33. Bagues lisses
Figure 34. Calibre à mâchoires
Contrôle de filetage
Figure 35. Tampon fileté
12. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 12/13
3.2.4. Mesure trigonométrique
On utilise des piges (petits cylindres de diamètre connu et de grande précision).
Mesure d’angle ou d’inclinaison
Mesure de cône
Mesure de queue d’aronde
13. ISET KEF Métrologie
Département G. Mécanique 13/13
Barre sinus
Dans quelques cas on préfère contrôler une horizontalité ou un parallélisme et calculer ensuite
les angles. La barre sinus est composée d’un corps qui permet de maintenir deux piges à une
distance fixe et précise.
Figure 36. Barre sinus
Comme exemple d’application on trouve
Figure 37. Exemple d’application de la barre de sinus
3.3. Projecteur de profil
Cet appareil permet de projeter sur un écran le
profil d’une pièce, les mesures peuvent être
effectuées par les déplacements des chariots
croisés.